Texte d'Alexis.
Le concours.
C'est en me retrouvant sur l'estrade avec les neuf autres concurrentes que j'ai réalisé que je n'aurais jamais dû accepter ce concours de " Miss camping juillet ". Trop tard ! Mais mon époux avait tant insisté, et moi, amoureuse éperdue, je désirais tant lui faire plaisir !
N'est-il pas naturel d'être amoureuse de son mari lorsqu'on a seulement 4 mois de mariage ? Si, bien sûr. Et c'est pour cela que j'ai accepté de passer nos premières vacances (notre " voyage de noce " ) dans ce camping de la côte d'azur ou il revient chaque année depuis trois ans.
Moi qui n'avais jamais campé, j'aurais préféré une ambiance plus intime et surtout plus de confort. Mais il a argué que nous étions jeunes et que cela constituerait une nouvelle expérience pour moi. Bien sûr, j'ai plongé ! Je l'avais déjà fait quelques mois plus tôt en me fiançant et me mariant en un temps record tout simplement parce que j'étais amoureuse (nous ne nous connaissons que depuis janvier ). Ah l'amour !
Toujours est-il que trois jours seulement après notre arrivée dans ce camping en bord de mer (tout confort avec accès plage direct, piscine et supérette), Jean m'a annoncé qu'il m'avait inscrite au concours de beauté du camping ! Moi qui suis timide et introvertie, j'étais tout simplement furieuse. Je n'avais aucune envie de me présenter devant des inconnus en maillot de bain pour être jugée uniquement sur mes qualités physiques, être évaluée comme une vulgaire « pouliche » ! De quel droit, d'ailleurs, allaient-ils choisir la plus belle ? Selon moi, la beauté est trop subjective pour faire l'objet d'une récompense.
Bref, j'ai tenté de toutes mes forces de m'opposer à ma participation. Mais, encore une fois, j'ai cédé. Et pour cela, qu'a-t-il eu à faire ? Pas grand-chose hormis me caresser doucement les cheveux et les fesses en répétant :
- Je veux que tu participes, et en plus, je veux que tu gagnes.
Doucement, oui, mais avec tendresse, persuasion et surtout avec une farouche détermination et moi, comme d'habitude, j'ai fondu.
J'étais donc là, le soir même, montant les marches de l'estrade à l'appel de mon nom par l'animateur, morte de peur et de trac. Cependant, au moment déterminant, mon stress s'est mué en une assurance dont je ne me croyais pas capable.
Je suis venue au centre de la scène, habillée de ma plus jolie robe rouge. Un vêtement ordinaire (je n'avais rien apporté de très habillé au camping !) mais néanmoins suffisant dans ce cadre décontracté. J'ai souri au public venu en nombre,(on dit que j'ai un beau sourire et un visage harmonieux : tant mieux, c'est utile dans ce genre d'occasion !). J'ai répondu à quelques questions, mais je n'ai pu m'empêcher de rougir à l'énoncé de mes mensurations (que l'on s'accorde habituellement à donner comme " idéales " ). Le speaker en a profité pour dire que j'étais toute intimidée (ce que je m'efforçais justement de cacher). Puis il termina ma présentation par une phrase un peu énigmatique pour moi :
- C'est souvent les plus timides qui vont le plus loin, peut-être pourrons-nous le vérifier tout à l'heure.
Je suis allée ensuite rejoindre mes concurrentes alignées et souriantes au fond de l'estrade tandis qu'une autre était appelée à son tour. J'en profitais pour jeter un coup d'œil aux autres : certaines étaient plus jeunes que moi, mais la plupart un peu plus âgées. Elles étaient toutes mignonnes dans leurs genres, mais aucune véritablement très belle.
"Ouf, me suis-je dit, j'ai peut-être une chance ! Jean a tellement envie que je gagne, je dois y arriver pour lui faire plaisir !".
Mon mari me faisait justement un signe de la victoire, assis sur une chaise en plastique, juste devant la scène ! Je gonflai alors ma poitrine et me cambrai au maximum pour mettre en avant mes atouts. Bien sûr, je n'oubliais pas de sourire généreusement.
Une fois les dix participantes présentées, chacune dût faire un tour d'estrade à l'appel de son nom afin de permettre au public de se faire une première opinion (les votes étant effectués à mains levées). Celles qui passaient devant moi adoptaient toutes une attitude très aguicheuse, ce qui me fit penser que la lutte allait sans doute être rude.
Lorsque ce fût à moi, je ne parvins pas à adopter la même attitude. Je me rendis compte rapidement que j'étais en retrait par rapport à mes compétitrices. Jean me fit d'ailleurs un signe en ce sens. Heureusement, nous avions toute un deuxième passage : celui ou nous devons retirer nos robes pour apparaître en maillot de bain deux pièces.
Là, je n'avais plus le droit à l'erreur. Aussi, lorsque ce fut à moi, je mis immédiatement "le paquet" : œillade vers le public, passage suggestif de mes mains sur mon corps. Je fis glisser langoureusement ma robe à mes pieds et l'envoyai dans le public d'un coup de pied, en espérant que Jean pourrait tout de même la récupérer. Je fis ensuite le tour de l'estrade en me cambrant au maximum avec un air un peu mutin qui me sembla être du meilleur effet. Je retournai ensuite satisfaite à ma place. Un coup d'œil à Jean : il était aux anges !
Les autres candidates, débarrassées de leurs principaux vêtements, me parurent moins bien foutues que moi. Certaines avaient de grosses poitrines, mais aussi, la plupart du temps un gros popotin. D'autres, moins callipyges me semblaient un peu plates au niveau de la poitrine. Cependant, quelques concurrentes (les plus "sérieuses") avaient elles aussi à la fois une belle silhouette, un corps harmonieux et avaient eu l’intuition de mettre des strings mettant leurs fesses parfaitement en valeur... Ce que je n’avais pas fait !
On passa ensuite au vote. Il en ressortit le nom de cinq d'entre nous. Citée en second, j'avais des raisons d'être contente, mais en fait, j'étais déçue de ne pas être première. Je commençai à m'orienter vers l'escalier, pensant l'épreuve finie.
Mais je m'étais trompée : les cinq encore en lice devaient rester en scène, et en fin de soirée serait choisie la "reine de beauté" du camping.
Jean vint me rejoindre pendant la pause et s'ingénia à me "mettre la pression" pour que je fasse "absolument tout" pour gagner. Il y tenait tellement que je ne le reconnaissais plus : lui si calme d'habitude, pourquoi ce concours le mettait-il dans un tel état ? Je lui promis de tout faire ce qui était en mon pouvoir, mais en même temps, je m'inquiétai des autres épreuves. Il ne voulut rien me dévoiler en arguant que les règles changeaient d'année en année et il ne voulut rien me dire non plus sur les épreuves des années passées.
A nouveau sur l'estrade pour le second round, nous étions appelées vers le devant de la scène par l'animateur une par une. Autres questions anodines, vite expédiées. Puis l'animateur commença, à ma grande stupeur, par réaliser une description détaillée de chacune d'entre nous. La première candidate, une grande blonde bouclée assez élégante, se nommait Julie. Il la tutoya rapidement et en joignant le geste à la parole, il décrit son physique de haut en bas :
- Julie a de belles jambes soyeuses (il lui caresse les jambes), de belles cuisses pleines et puissantes (il lui caresse les cuisses), des fesses bien rebondies (il l'a fait tourner sur elle-même et lui caresse les lobes avec insistance).
Enfin, remontant le dos, il lui dégrafa le soutien-gorge et lui fit enlever pour le jeter dans le public. Elle dut ensuite se mettre de face et de profil pour que chacun apprécie les rondeurs juvéniles - elle devait avoir une vingtaine d'années comme moi - de ses obus en forme de pomme dont il caressa aussi les mamelons avec insistance afin que ceux-ci s'érigent, ce qu'ils firent d'ailleurs ! Julie se laissa faire, le sourire aux lèvres, la langue légèrement sortie, aguicheuse. Puis Christelle, une jolie brune aux yeux clairs, subit le même sort, ses seins et la forme de son sexe, bien dessiné par son string, attirant tout particulièrement les attentions de l'animateur, et les murmures d'appréciation du public.
Désespérée, je regardai Jean avec des larmes dans les yeux pour lui demander d'abandonner. Mais celui-ci, inflexible, me fit signe que non seulement je devais continuer, mais aussi gagner. Je passai en troisième position. L'animateur avait lui aussi gagné de l'assurance. Manifestement, j'étais à son goût, car il flatta longuement toutes les parties de mon corps, sous prétexte de mieux les montrer au public.
- Regardez, Mesdames et Messieurs, les courbes parfaites de notre 3ème candidate ! (il prend mon menton dans sa main) Elle a un joli minois, de beaux yeux mystérieux (sa main descend dans mon cou), un cou de rêve, fin et élancé (il passe derrière moi, ses mains se retrouvent sur mes épaules), deux épaules bien fermes et musclées, une vraie gymnaste (ses mains descendent sur mes seins et il me les pelote ouvertement, par-dessus mon maillot, puis dessous, je sens ses doigts pincer mes tétons), et des nichons, mon Dieu qu'ils sont gros, une merveille, Mesdames et Messieurs, waouw, je suis en érection, je vous assure !
Je ne savais plus où me mettre, je le laissai me caresser, en souriant, comme une godiche idiote, et Jean me souriait comme un imbécile ! L'exploration continua, l'animateur se colla à mes fesses, je sentais son sexe érigé sur mes lobes, et ses mains descendirent sur mon ventre.
- Un ventre ferme et plat, des hanches larges, qui cachent (il passe la main dans mon slip de bain et me caresse les poils pubiens) une toison courte (ses doigts entrent dans ma fente, et titillent mon clitoris, je ne respire plus !) et un sexe ouvert à toutes les propositions !
Le public éclata de rire, quelques applaudissements fusèrent, et Jean me fit un signe de victoire assurée, ça me remit un peu d'aplomb, même si je trouvais le traitement que je subissais avilissant et osé. L'animateur s'écarta un peu, je soufflai, soulagée de ne plus sentir son membre contre mes fesses. Il fit glisser les cordelettes de mon maillot, révélant ma poitrine à tous.
- Regardez-moi ces mamelons ! Les seins sont parfaits, Mesdames, vous devriez lui demander comment elle fait pour les avoir aussi gros et ronds ! Leur texture est soyeuse et ils sont doux au toucher et (il me lécha les tétons, devant tout le monde !) ont un goût délicieux ! Vous êtes mariée, mademoiselle ?
Je hochai la tête en souriant toujours, figée.
- Dommage, je vous aurais bien sautée ce soir sur la plage !
Le public éclata de rire à nouveau, quelques encouragements fusèrent, des "A poil ! A poil !" bon enfant mais tout de même osés. Je ne savais pas comment réagir, apparemment c'était une sorte de rituel, aussi souriais-je toujours, bonne joueuse. L'animateur me fit me tourner, et décrivit mes fesses avec énergie et enthousiasme, tirant sur mon maillot pour qu'on voie mieux mes lobes encore blancs et me les caressant de manière très suggestive. La tête me tournait. Il passa la main dans ma culotte et vint titiller mon sexe par-dessous (je sentis une vague électrique me traverser, je commençais à être excitée malgré moi) et palper mon anus en s'extasiant des sensations que chacun de ces actes lui procurait dans le bermuda.
Lorsque je fus bien ravalée au rang d'un animal de foire dont on fait l'article pour mieux le vendre, je retournai à ma place, seins nus , culotte à moitié rentrée entre mes fesses, touchée dans mon amour-propre et honteuse de moi. Seul Jean me félicita à distance, et je fus rassérénée d'être soutenue par la seule personne que j'aimais. Les deux autres candidates eurent droit au même traitement avilissant.
Un autre vote eu lieu. J'étais cette fois-ci troisième des trois finalistes. Les deux filles écartées par le vote du public descendirent de l'estrade l'air déçu, accueillies l'une par son petit ami, l'autre par ses parents. Celles qui restaient se regardaient en chien de faïence. Nous appréhendions toutes ce qui allait venir. L'animateur prit alors la parole :
- Cette année, nous allons donner à ces demoiselles elles-mêmes le choix des armes pour recueillir le plus de votes. Voyons jusqu'où elles sont prêtes à aller pour gagner ! Pour ceux qui ne le savent pas encore, je rappelle que la lauréate gagne la gratuité totale de son séjour chez nous pour elle et sa famille pour le mois entier. Que la plus appétissante gagne !
J'écarquillai les yeux de stupeur et d'indignation: Jean voulait que je gagne pour faire l'économie du séjour ! Pour notre lune de miel !!! Quel GOUJAT !!!
Ce concours de reine de beauté tournait en un combat de séduction à la limite de l'érotique, sans doute au grand plaisir du public venu en masse ce soir. Effectivement, il y avait bien là plus de 500 personnes, surtout des hommes, en tout cas la totalité des locataires du camping, ça ne faisait pas de doute. Et tous ces gens mataient mes seins et mes fesses, et me voyaient me faire humilier devant eux, et ils en redemandaient.
La troisième position me permettrait de jouer ma carte en dernier, au vu de ce qu'avaient fait mes compétitrices ! Il me suffisait d'aller un peu plus "fort" pour gagner.
Mes sentiments étaient donc très mitigés. J'avais le cœur gros de savoir que Jean me laissait me traîner dans la boue pour gagner quelques centaines d'euros... Cependant, toujours amoureuse, je ne voulais pas le décevoir... Allais-je jouer le jeu ? Aller plus loin que ce que je n'avais fait ? Je n'en avais aucune envie.
La première candidate s'avança. Elle commença à danser de manière très érotique. Manifestement, elle avait compris que sa première place pouvait se retourner contre elle. Aussi, elle n'hésita pas à pousser le bouchon très loin : avec stupéfaction, je la vis ôter langoureusement son string pour découvrir d'abord ses fesses (belles et rondes, fermes à souhait), puis, lorsqu'elle se fut débarrassée de ce dernier vêtement, encore dos au public, elle se retourna puis enleva l'une après l'autre les mains qui cachaient son sexe, une toison brune presque rasée. Elle continuait à danser, mains au-dessus sur la tête, poitrine haute, en avant, provocante alors que la foule l'applaudissait à tout rompre. Mais son final était encore plus éblouissant : elle termina sa danse les jambes totalement écartées face au public et les seins en avant (soutenus par ses mains), elle s'offrait à la foule, qui hurlait de bonheur.
J'étais désespérée.
Ensuite interrogée par l'animateur, qui se frottait littéralement - excusez-moi- la queue sur elle, elle en profita pour remercier le public avec lequel elle venait en quelque sorte de faire l'amour. Puis, à la question :
- Et si vous gagnez, que proposez-vous ?
Elle répondit :
- Je propose de ne pas me rhabiller pour la soirée qui va suivre afin que chacun puisse me voir de près lorsque je danserai sur la piste !
Elle fut bien entendu acclamée.
J'en restais bouche bée ! Mais, comme si de rien n'était, Jean, de loin, continuait à m'encourager. Il me criait :
- Je te donne carte blanche, tu peux faire mieux, tu es une bombe sexuelle, montre-leur !
Je rougis de plaisir et de honte, tout le monde l'avait entendu et me regardait avec des yeux affamés. Je me sentais toute nue - c'est vrai que, les seins à l'air et quasiment en string, je n'en étais pas loin.
Déjà, la seconde candidate s'avançait. C'était la blonde, Julie. Elle ne se mit pas à danser. Elle hésitait, ne savait pas quoi faire. Enfin, elle se décida. Elle prit la parole et dit :
- Je ne danse pas très bien, mais par contre, si vous votez pour moi, sachez que je prends l'engagement de rester totalement nue dans le camping et sur la plage à partir de maintenant et pendant la totalité des vacances, jusqu'à fin juillet. Je vous promets de ne rien vous cacher de mes formes et de rester souriante et avenante pour chacun. Maintenant, je vous montre tout de suite ce que je vous offre.
Elle joignit le geste à la parole et retira sa culotte avec une certaine maladresse. Chacun put alors voir qu'il s'agissait d'une vraie blonde, dont les poils, peu touffus, ne cachaient pas la fente, longue et ourlée. Quelques sifflements d'admirations vinrent saluer cette mise à nu, suivie d'applaudissements appuyés. L'impétrante rougit violemment, puis comme dans un dernier défi à elle-même lança à l’assemblée :
- Et pour que l’on puisse encore mieux m’admirer, je m’engage à me raser le sexe pour le plaisir de vos yeux !
Après avoir montré ses fesses, elle retourna à l'arrière scène, rouge pivoine, mais satisfaite des "hourras " qu'elle recevait du public.
Enfin, ce fût à moi. Comment faire mieux ? Mue par mon stress, je ne tergiversai pas longtemps : je choisis tout simplement de reprendre à mon compte la meilleure des deux propositions et de surenchérir. Je fis donc un petit show au terme duquel ma culotte s'envola dans le public. J'exposai donc à la fois ma croupe, mes mamelles et ma chatte au regard et à la concupiscence de chacun, sans toutefois écarter trop les jambes (un zest de pudeur, peut-être !). Je ne me reconnaissais plus moi-même, je suis d'ordinaire plutôt prude, et si réservée ! La honte de me montrer nue devant une foule d'inconnu ne me tarauda pas un instant : il fallait que je le fasse, je le faisais !
Puis, j'annonçai à tous que moi aussi, je resterais nue en toute occasion jusqu'à la fin du mois en cas de victoire.
- Et chacun aura le droit de me toucher et de me caresser, à la demande, sans que je ne puisse rien dire, et pourra ainsi vérifier la justesse de son vote ! Je suis certainement la plus chaude et la plus belle de toutes les femmes du camping, si vous voulez vous en rendre compte physiquement, votez pour moi !
L'animateur se frottait contre ma jambe, je sentais son sexe dressé à travers le tissu de son bermuda, j'étais effrayée et excitée, mon sourire devait être éclatant, je me sentais belle et désirée, sentiment renforcé par Jean, qui rayonnait de bonheur à me voir me donner ainsi au public. Le speaker s'écria :
- Un engagement facile à lancer, mais peut-être difficile à tenir, car une fois échauffés, certains de vos électeurs pourraient se montrer très entreprenants !
Le souffle me manquait. L’instant était décisif. Je jetai à nouveau un regard à Jean qui me fit le signe de la victoire. Je repris mon souffle, souris de toutes mes dents et mains sur les hanches abattis mes dernières cartes :
- Allons cher ami, le public ici présent est composé de gentlemen et ils ont toute ma confiance. Mais si je venais à manquer mes engagements, même légèrement, je trouverai parfaitement normal de me faire punir à leur convenance... Et que l’on me retire mon titre et mon prix ! Vous-même frottez votre membre en érection sur moi depuis le début de la soirée et je ne vous ai pas repoussé…
L'animateur rougit légèrement et s'écarta un peu. Sur le moment j’étais très fière de moi d’avoir eu le courage de me lancer de la sorte. J’étais à mille lieues d’imaginer à quel point mes « électeurs » n’étaient pas du tout des gentlemen !
A suivre...
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