jeudi 29 février 2024

La déchéance de Sophie Ch. 06

 Récit de Monsieur_E (2016)

*****

Le marionnetiste.

La soirée fut longue et douloureuse pour moi.

Affamés par ces exercices, je fus tout d'abord chargée de préparer le repas uniquement affublée d'un seul tablier et de mes haut-talons. Pendant que je m'affairais, Sonia, toujours nue, se faisait peloter sans vergogne sur les genoux d'Eric.

Ce fut le seul moment jusqu'au coucher où il m'autorisa a être debout et je savourais comme un délice cette infime parcelle de dignité retrouvée. Pendant que je battais les oeufs (je préparais une omelette) j'observais à la dérobée ce qui se passait derrière moi.

Eric se comportait avec ma fille de manière beaucoup plus douce qu'avec moi et elle même ne montrait aucune gêne à répondre à ses sollicitations. Sauf la situation si particulière dans laquelle nous nous trouvions, j'aurais très bien pu m'imaginer cuisiner pour mon futur gendre.

Une fois de plus j'étouffais une montée de jalousie totalement injustifiée.

Lorsque j'apportais le plat sur la table, Sonia gémissait les cuisses écartées alors que notre Maître caressait doucement son clitoris gonflé. Je posais les assiettes et allais m'assoir quand il interrompit mon geste tout en poursuivant les siens.

-"Depuis quand les animaux mangent à table ?"

Je me figeais instantanément.

-"Va chercher un bol et pose-le par terre à côté de moi !"

Les larmes aux yeux, je fis comme il dit et alors que je me penchai, il arrêta momentanément de s'intéresser à ma fille pour tirer sur ma laisse et me forcer à me mettre au sol.

-"Assis ! Bonne chienne !"

Avec sa main, il prit une portion d'omelette et la lâcha directement dans le bol. Puis d'un geste négligent il me tapota la tête.

-"Allez mange mon toutou !"

J'étais anéantie. Après ma dignité je perdais jusqu'à mon statut d'être humain. Je n'étais qu'un animal de compagnie pour lui et je me sentais m'enfoncer encore plus loin dans la soumission. Aussi terrible que cela paraissait, j'aurais pu faire face mais le coup de poignard qui m'acheva fut le sourire et le petit rire qui échappa à Sonia. Ma propre fille prenait plaisir à mon humiliation. J'étais seule et ne devais m'attendre à aucun réconfort de sa part. Ravalant ma fierté, je détournais le regard et dans la position de la suppliante, commençait mon repas toujours relié par du cuir à la main qui m'asservissait.

Au dessus de moi j'entendais des gloussements et des chuchotements et me sentir ainsi exclue au sein de mon propre foyer rajoutait à ma détresse. A un moment, Sonia se leva et ses chevilles passèrent dans mon champ de vision. La porte du frigo claqua sans que je vis ce qu'elle y avait prélevé.

Le nez dans mon bol, je sursautais quand un liquide tiède coula sur ma croupe offerte et le long de ma raie suivit bientôt par des doigts qui se pressèrent sur ma vulve, étalant cette substance sur et en moi.

Je tentais de me redresser mais la laisse me maintenait clouée au sol et je n'eus d'autre choix que de me laisser faire sous peine de m'étrangler. On me força à écarter les jambes accordant ainsi l'accès total à mon intimité et par la même facilitant l'intromission de ces mêmes doigts inquisiteurs.

Réagissant en chienne de Pavlov, j'étais trempée à nouveau. Ma moitié inférieure était secouée de frissons quand un autre objet plus imposant fut poussé dans mon entrée. Une fois entièrement en moi, la pression sur mon cou se relâcha et je relevais enfin un visage maculé de jaune vers mon tourmenteur.

-"Monte dans ta chambre chercher l'autre accessoire qui était dans le colis. Ensuite tu te mettras à plat ventre sur la table, jambes écartées !" me dit-il d'un ton enjoué.

Sans même songer à me relever, je m'exécutais et entamait l'ascension de l'escalier.

-"Fais attention à ne pas faire tomber ce que tu as en toi !" me cria t-il.

Au cours de mon périple je repensais au moment où je l'avais fait pour la première fois, à peine une semaine plus tôt. Il me semblait pourtant que des années lumières s'étaient écoulées depuis.

Le retour me laissa les genoux endoloris tandis que ma mâchoire serrait fermement la fausse queue de chien. En bas, tous les deux m'attendaient debout à côté de la table où sans un mot, je pris position.

Il me débarrassa de mon tablier, me privant ainsi de la seule protection dont je disposais encore et récupéra le plug. Je compris vite ce qui allait se passer et la honte d'être utilisée comme ça devant mon enfant me fit serrer les dents.

-"A toi l'honneur..."

Saisi d'effroi par ces mots je me relevais à moitié et ne pus retenir mes mots.

-"Nooooon, tout mais pas ça Eric, pas par ma fille je t'en prie... AIEEE !"

Je le vis devenir cramoisi et avant même de regretter mes paroles, une gifle retentissante me ramena à ma position initiale. A moitié sonnée, je ne réagis pas à sa première claque sur mes fesses. La deuxième m'arracha un gémissement. Je ne sais combien de fois il s'acharna sur moi, encore et encore, mais vite, je criais et le suppliais d'arrêter.

Essoufflé par la violence de l'effort, il s'arrêta soudain. Mon derrière était en feu, la douleur atroce. Je murmurais comme un mantra.

-"Je ferais tout... je ferais tout..."

Impitoyable, il me prit au mot.

-"Pour ta peine, tu vas écarter ton gros cul et lui demander poliment de te le mettre dedans !"

Je sanglotais tandis que j'écartais mes globes, incapable de lutter davantage.

-"S'il te plait Sonia, enfonce le moi... dans le cul !"

-"Avec plaisir salope !"

La dureté de ses mots me fit plus mal encore que l'embout de plastique qui se forçait un passage dans mon rectum. Lentement elle l'enfonçait et le ressortait ne laissant que l'extrémité en moi alors que je maintenais mes fesses grandes ouvertes.

A chaque va et vient je sentais à travers la fine paroi de chair, le plastique frotter contre ce qui remplissait mon vagin et ainsi prise en sandwich, je me sentais pleine et entière. L'excitation revint avec la fougue d'un étalon au galop et je priais pour qu'on m'épargne la disgrâce suprême de jouir par les mains de ma fille.

Consciente de mon état, Eric l'encourageait de la voix et lui-même participa à ma reddition en frottant mes grandes lèvres de l'index. Dans un dernier effort pour me contenir, je resserrais mon anneau sur la tige qui me sodomisait de plus en plus vite et dans un feulement animal, je perdis le combat.

Mon corps entier s'arquebouta sous la jouissance, mon vagin se contracta et quelque chose se brisa en lui. Un liquide jaune et blanc s'en échappa et s'écoula le long des jambes tremblantes. Un oeuf ! Ils avaient introduit un oeuf en moi ! Leur perversion à tous les deux me rendait malade presque autant que le plaisir que je ressentais à me faire maltraiter.

-"Va te laver et rejoins nous dans ta chambre. Tu garderas cette queue qui te va si bien jusqu'à ce que je t'autorise à l'ôter !"

Sans même réfléchir je me laissais tomber à quatre pattes et ajoutais servilement.

-"Merci Maître !"

Après ma douche, je trouvais le couple allongé dans mon propre lit conjugal et je restais plantée à la porte ne sachant que faire. Sur le tapis juste à côté, je remarquais le panier géant de Kaz.

-" Ta place est juste là au cas où tu la chercherais !" me dit-il en m'indiquant le panier du doigt.

Et avant que je ne puisse me rebeller :

-"A moins que tu ne veuilles me désobéir une fois de plus..."

Je frémis et m'avançait tête basse, la fausse queue fouaillant l'air derrière moi. L'odeur de chien mouillé était atroce alors que je me roulais en boule nue comme au premier jour. Cette journée s'achevait bien tristement mais malgré tous les sévices que j'avais subi, j'avais joui deux fois.

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Après une nuit agitée je me fis réveiller par des bruits familiers. Encore désorientée par le sommeil, je grimaçais en étendant mes jambes et mon dos ankylosés. Un peu partout sur mon corps, s'étaient déposés des poils du chien que je détestais tant. Sachant déjà ce que j'allais y découvrir, je me redressais sur mes genoux et lançait un regard vers mon lit.

Eric était allongé sur le dos, les mains croisées derrière la tête pendant que Sonia le chevauchait, une lueur de pure plaisir éclairant son visage. A chaque coup de rein, j'apercevais sa petite chatte engloutir voracement le membre tendu. Fascinée par ce numéro, je ne me rendis même pas compte que ma main glissait d'elle-même vers mon entrejambe qui s'humidifiait déjà.

L'ado qui était mon Maître tourna la tête vers moi et le spectacle de la mère se masturbant pendant qu'il besognait la fille le fit sourire. Toujours en me regardant il se saisit des hanches de Sonia et la pénétra le plus loin, le plus vite et le plus fort qu'il put. A l'unisson, je fouillais mes lèvres intimes et de ma main libre pinçait mon téton droit.

En criant, ma fille succomba à l'orgasme qui la terrassait alors même qu'Eric tapissait son antre de foutre. La double stimulation de mes doigts et du plug toujours enfoncé dans mon fondement allait bientôt me faire jouir quand Eric repoussa sa partenaire et m'écarta les bras.

-"Pas toi. Ce n'est pas une façon de jouir pour une chienne !"

Tout en me maintenant, il ondulait du bassin de manière à ce que son sexe se balade sur mon visage y laissant des traces gluantes.

-" Nettoie la bite qui te fait tant envie. Et n'oublie pas de répondre à toutes mes demandes par oui Maître !"

Comme je le regardais, implorante il ajouta à mi-voix :

-"Je te laisse le choix : soit tu la prends en bouche maintenant, soit tu ne la sentiras plus jamais en toi..."

Je ne m'attendais pas à ça. Comble de la perversion, ce salaud m'avait percé à jour et me forçait à assumer ma nouvelle dépendance. Car oui, j'étais devenue accro comme une droguée à sa queue et aux plaisirs qu'elle me donnait. Je n'avais jamais connu ça dans ma vie... et je ne voulais pas que ça cesse.

Vaincue, je m'humiliais de mon propre chef et m'emparais de son membre souillé par son sperme et les sécrétions intimes de ma propre fille et en soutirais les dernières gouttes. Son air de triomphe alors que je me soumettais à lui augmenta mon sentiment de honte et de dégoût de moi.

Finalement satisfait, il me relâcha pour enfiler son caleçon. Sonia se leva pour aller dans la salle de bain et j'en profitais pour m'éclipser aux toilettes. Enfin je tentais de m'éclipser. Je n'avais pas atteint la porte qu'il m'interpella.

-"Tu crois aller où comme ça sans demander ?"

Je fis demi-tour sur mes genoux et conforme à ses exigences formulais ma demande.

-"Maître... il faut que j'aille... aux toilettes, s'il vous plait"

Il ne répondit rien mais me rejoignit et s'empara de la laisse qui pendait toujours entre mes seins. Sans s'arrêter il m'entraina à sa suite et j'eus toutes les peines du monde à suivre son rythme. Nous redescendîmes au rez-de-chaussée et je fus prise de panique quand il ouvrit la porte qui donnait sur le jardin.

Tel un chien récalcitrant, je freinais des quatre fers et tirais sur ma laisse. La punition d'hier soir à l'esprit, je n'osais exprimer mon désaccord à voix haute mais je faisais mon possible pour éviter de sortir nue sous cette condition de bête-humaine.

Sans aucune considération pour mes efforts, Eric tira plus fort faisant glisser mes genoux sur le carrelage jusqu'à ce qu'enfin je me retrouve dans l'herbe humide de la rosée du matin. Des trois côtés notre jardin était ceint par une haie mais celle-ci ne devait faire au plus qu'1 mètre 60 de haut et il était fréquent l'été que nous échangions par dessus avec nos voisins.

Une fois dehors, la situation s'inversa. Apeurée qu'un passant puisse me voir je me précipitais le plus vite possible vers un angle pour me protéger au mieux mais cette sécurité toute relative ne m'empêchait pas de me sentir totalement vulnérable. Je restais dans mon coin, cet ado à côté de moi debout qui simplement attendait que je me décide.

Je savais que plus je tardais, plus j'avais de chance d'être prise en flagrant délit mais je répugnais à m'abaisser à ce point. De la rue j'entendais le claquement des portières et le départ matinal du voisinage. Mon malaise augmentait de seconde en seconde et quand Eric fit un signe de la main et dit le bonjour à quelqu'un je sus qu'il fallait en finir.

Je m'accroupis dans l'herbe mais son regard tomba sur moi et d'une voix forte fit comme s'il s'adressait à un véritable chien.

-" Pas comme ça. Tu ne sais plus t'y prendre ? Lève la patte !"

Puis il ajouta plus bas :

- "j'ai tout mon temps..."

Le feu de la honte brûlant mes joues je me remis à quatre pattes, soulevais ma jambe gauche et relâchais ma vessie pleine. Cela donna des idées à mon tourmenteur qui libéra son sexe et urina juste à côté de moi. J'en terminais avant lui et observais les dernières gouttes s'écraser dans l'herbe.

J'étais pressée de me mettre à l'abri et commençais à m'agiter quand il lui prit l'envie de me dégrader plus à fond. Rapidement il tendit la main et me tordit violemment le nez m'obligeant sous la douleur à ouvrir la bouche et à engloutir son pénis souillé. L'intrusion et le goût acre manquèrent me faire vomir mais il ne me relâcha pas tant qu'il fut certain que je l'avais nettoyé.

Toujours en moi, il accentua la douleur et me rappela à mes devoirs.

-"Je n'ai pas entendu..."

-"Mmmpfff merchi Maîtreeeee" tentais-je de répondre aussitôt.

Il me libéra enfin et je toussais, toussais, crachais et bavais dans l'herbe. Je reprenais juste le contrôle de mon estomac quand il tira sur la laisse pour me faire avancer. Alors que nous nous dirigions vers mon foyer je voyais du coin de l'oeil que Kaz était sorti de sa niche et s'était approché aussi proche qu'il pouvait, restraint qu'il était par sa propre laisse.

Il s'était mis en position d'arrêt et me regardait intensément les narines frémissantes. Avec ce qu'il avait vu et l'odeur que je dégageais il devait se poser bien des questions.

Un fois à l'intérieur Eric m'ordonna d'aller me doucher et il me donna ce qui serait ma tenue pour la journée. Je découvris une tenue de soubrette tout droit sortie d'un catalogue porno, des mi-bas blancs, et une paire de talons aiguilles encore plus haut que ceux qu'il m'obligeait maintenant à porter. A cela j'avais le droit d'ajouter un string et le soutien-gorge le plus échancré de ma collection.

Le plus humblement possible je lui demandais ce qu'il avait prévu mais avec son sourire habituel il déclina ma requête.

-"Je ne voudrais pas te gâcher la surprise. File maintenant et oh... attends une seconde !" 

Il me fit pivoter et d'un coup sec, m'arracha la fausse queue de mon petit trou. Je poussais un glapissement de douleur autant que de surprise et sentis mon anus béer. Aussitôt, j'éprouvais un vide dans mes entrailles qui me laissa curieusement insatisfaite. Eric décrocha ma laisse en cuir et sur le chemin de la salle de bain je croisais Sonia.

Le fait que moi sa mère était contrainte de vivre à quatre pattes alors qu'elle, pouvait se mouvoir comme bon il lui semblait me rendait encore plus pathétique. C'est à peine si elle posa les yeux sur moi. J'entrais et fermais la porte. J'étais enfin seule et pouvais savourer une bonne douche. Longtemps je restais sous l'eau chaude à profiter de l'instant, prenant même un plaisir démesuré à cette chose si simple.

De nouveau j'avais l'odeur d'une femme et non plus du molosse mais au fond de moi je savais que ma crasse intérieure ne partirait plus jamais.

Je ne sais pas au juste combien de temps j'y restais. En ressortant, toute ruisselante d'eau, je passais quelques minutes à m'inspecter et à passer le rasoir un peu partout. Outre la tenue imposée, j'avais comme directive de me rendre le plus sexy possible pour ses "invités". S'en suivit donc du rouge à ongle, maquillage discret sauf pour le rouge à lèvre écarlate et cheveux noués en queue de cheval.

Une fois habillée et maquillée, je faisais 20 ans de moins et j'étais le portrait craché d'une call girl de luxe pour client pervers. Et alors qu'il y a quelques jours cette vision m'aurait fait horreur, j'éprouvais un certain sentiment de fierté en me sentant aussi "pute".

Prête, je rejoignis mon maître. Ma fille aussi s'était apprêtée de manière sexy mais sans commune mesure avec mes atours. Eric prit le temps de m'inspecter en détail et hocha la tête, satisfait. Puis, il m'envoya à la cuisine préparer les sandwichs et les boissons.

Je terminais la confection du repas quand la sonnette de l'entrée retentit et qu'un groupe entrait chez moi. Aux rires et éclats de voix qui filtraient à travers la porte de la cuisine, je devinais que sa clique au complet était réunie pour assister une fois de plus à ma déchéance.

Au bout de quelques minutes, le brouhaha se calma quelques peu et j'entendis une musique d'un genre à être diffusée dans les soirées à haute probabilité de débauche. Ne sachant que faire, je restais dans la protection toute relative de ma cuisine mais cette tranquillité fût vite interrompu par Sonia qui m'indiqua tout sourire de prendre "la bouffe" et de venir dire bonjour aux invités.

Je déposais donc la nourriture sur un plateau et la suivit dans la salle à manger, parfaitement consciente de l'image que je donnais de moi-même.

Ils étaient là, tous les cinq, assis autour de la table ronde, et je fus accueillie par un concert de sifflements et de commentaires vulgaires. Quatre paires d'yeux écarquillés rivés sur ma tenue de soubrette et c'est à peine s'ils ne bavaient pas sur le tapis. Sonia s'assit sur les genoux d'Eric qui lui regardait ses acolytes avec malice.

Je m'immobilisais un instant et baissant les cils, je fis le tour pour distribuer les sandwichs. Plutôt que de penser à ma situation je tentais de me remémorer leur nom à tous. Fred, c'était facile, c'était lui qui avait eu le droit de "tester ma poitrine", Mike le petit timide... j'arrivais à Ahmed quand une main s'aventura le long de ma cuisse et je sursautais. Vite j'en terminais par le grand black et au moment où je me retournais je sentis une claque sur ma fesse droite.

Tentant de ne rien laisser paraître je me postais debout à côté d'Eric. J'étais toujours le centre de l'attention générale et ainsi assuré d'être bien entendu, mon Maître prit la parole.

-"Bien, puisque tout le monde est là et attentifs nous allons pouvoir démarrer la partie"

Ma fille prit un paquet de carte dans sa poche et commença à les battre.

-"Qu'est ce qu'on mise ?" demanda Fred.

Eric sourit.

-"Qu'est-ce qu'on gagne tu veux dire !" dit-il en produisant d'un geste théâtrale une télécommande et en la posant au centre de la table.

-"Ceci !"

Comme ses amis le regardaient d'un air incrédule il dévoila ses plans et je me sentis devenir livide.

-"Celui qui remporte le tour rafle la mise. Jusqu'au tour suivant il peut utiliser cette télécommande... et cette télécommande dirige Sophie."

Le silence était maintenant palpable.

-"Pendant un tour, le gagnant pourra lui faire faire tout ce qu'il veut et j'ai bien dit tout".

Je ne savais plus où disparaître quand il se tourna vers moi.

-"N'est ce pas que tu seras une bonne salope obéissante ?"

Sa voix était douce mais ses yeux glacés.

-"oui maître" fut ma seule réponse.

Je fis un rapide tour de table et lus dans les regards toutes les promesses de luxure que leur avait inspiré cette opportunité.

-"Si tout le monde est d'accord... "

Un cri général ponctua sa phrase...

-"On commence".

Il distribua rapidement les cartes et les participants fixèrent leur donne comme un billet de loto gagnant. Tous changèrent une ou plusieurs cartes. A l'issue de ce premier tour, chacun abattit son jeu et Fred poussa un cri de joie.

-"yesss, deux paires, c'est pour moi !"

Il s'empara de "ma" télécommande et prit le temps de réfléchir tout en m'examinant.

-"Vu qu'on a de la musique pour, je crois que j'aimerais bien un strip-tease" déclara-t-il en pointant l'objet vers moi.

-"Bonne idée" renchérit Eric, "tu l'as entendu ?"

Je soupirais ma réponse et résignée, portais les mains à mes boutons.

-"Non non non" m'interrompis le petit gros "tu montes sur la table et tu danses comme une pro !"

J'ouvrais la bouche, les mains à mi-hauteur, le regard de mon maître-chanteur ne laissait pas planer le doute quant aux conséquences si je rechignais. Sur ses genoux, ma fille se trémoussait ravie de la tournure des évènements.

J'escaladais donc la table et malgré ma gêne, j'ondulais les hanches le plus sensuellement possible. Pendant que j'accomplissais le souhait du vainqueur, le jeu reprit. En tremblant je m'effeuillais lentement et en rythme devant une bande d'ados boutonneux.

Ma tenue de soubrette s'envola et je détachais les agrafes de mon soutien-gorge, ne le retenant plus que d'une main plaquée sur mon opulente poitrine. Malgré moi je me prenais au jeu, et tâchais d'effectuer ma mission le mieux possible.

Comme un peu plus tôt dans la salle de bain, j'éprouvais une certaine fierté (et excitation) à attiser le désir de mâles. J'offris enfin à leur regard une nouvelle fois mes seins dont les mamelons étaient déjà durcis. Je déglutis, et passais les doigts dans mon string, commençant à le faire descendre lentement...

-"brelan les mecs !" hurla Fred en empoignant à son tour la télécommande.

Je me figeais au grand dam de mes supporters et redescendis sur terre. Je croyais avoir gagné quelques minutes de répit mais je me trompais.

Avec un sourire pervers, il m'ordonna de lui remettre mon string. Je m'exécutais leur dévoilant ainsi pour la première fois mon intimité toute épilée. Serrant le plus possible les jambes, je lui tendis et il le porta instantanément à son nez pour humer mon parfum. Je rougis d'un coup.

La partie allait reprendre une fois de plus mais il avait encore un peu de temps alors il poussa son avantage.

-"Viens t'assoir à califourchon sur ma jambe. Tu vas me porter chance bébé".

Comme une automate, je m'installais sur lui et trouvais étrange que ce que je trouvais choquant était de me faire appeler bébé par un gamin de près de 20 ans de moins que moi.

Totalement nue je me positionnais à califourchon sur sa jambe droite en croisant les jambes pour éviter le contact au maximum. Les cartes furent redistribuées et la partie repris.

Alors qu'il jouait mon "propriétaire" d'un tour, s'amusait à monter et descendre sa jambe tant et si bien qu'à un moment je n'eus plus le choix pour garder mon équilibre. J'ouvrais grand les jambes et frottais mon sexe sur sa cuisse.

Evidemment c'est ce qu'il attendait depuis le début et ses mouvements se firent plus intense, favorisant d'autant plus les frictions. Par la force des choses je devais donner l'image d'une chienne en chaleur qui se soulage elle- même sur la jambe de son Maître.

Cette pensée ainsi que les stimuli commençaient à m'échauffer et me respiration se fit plus courte. Cette fois c'est Eric qui gagna. Je quittais donc le petit gros et me dirigeais vers mon propriétaire.

-"Hé mais, elle m'a trempé mon fute cette pute !"

Je me retournais mortifiée. Effectivement une tâche sombre était bien visible sur sa cuisse, preuve que ses attouchements ne m'avaient pas laissé insensible.

Eric ricana. Il ne me demanda rien et se contenta de doigter mon antre humide pendant le tour de jeu, augmentant ainsi mon malaise et, à ma grande honte, mon désir. Au moment du verdict, je commençais à ne plus pouvoir retenir mes gémissements.

Sans un mot, Mike s'empara du gain. Il se leva et d'un seul geste fit descendre son pantalon et son caleçon sur ses chevilles libérant un sexe monstrueux et déjà en érection. Il se rassit et comme s'il avait commandé une pizza :

-"Ben puisqu'elle est si chaude que ça, elle va nous montrer qu'elle en veut." 

Puis en pointant la télécommande vers moi.

- "Ouvre grand les jambes et branle toi devant nous madame !"

Je laissais échapper un hoquet en même temps que la chaleur explosait dans mon ventre. C'était si avilissant... En tremblant je portais la main à mon entrejambe et ne pus que vérifier que j'étais trempée. Je fermais les yeux et commençais à passer les doigts sur mes grandes lèvres ce qui me procura instantanément des frissons.

Faisant abstraction de l'environnement (ou peut-être justement à cause de cela), je fouillais mon intimité en me donna un plaisir malsain, ponctué par des halètements. Aussi incroyable que ça puisse paraître, j'étais à deux doigts de la jouissance. De plus en plus vite j'astiquais ma chatte et mon clito en bougeant le bassin de manière obscène. J'allais avoir un immense orgasme quand j'entendis.

-"STOP. A mon tour maintenant".

J'ouvrais les yeux désespérée. C'était Kevin qui venait de conclure le tour.

-"T'aimerais jouir, pas vrai salope ? T'aimerais que je te demande de sortir ma queue et que je baise ta chatte hein ?"

J'étais proche, si proche. Je murmurais :

- "...oui...."

- "Oui quoi ? Plus fort !"

J'en pleurais presque de frustration et criais presque.

"Oui MR Kevin, baisez moi ma chatte s'il vous plait !"

Qu'une mère de famille nue au beau milieu de son salon demande de manière si vulgaire à des ados de la prendre provoqua l'hilarité générale. A cet instant tout m'était égal. En réponse il sortit sa verge quasiment déjà en érection.

-"Viens me sucer sous la table et si tu me fais gicler avant la fin de la partie, je te laisserai finir... allez, donnez le cartes les mecs".

J'écarquillais les yeux devant cette humiliation mais mon état était tel que j'envisageais la chose sérieusement. Les cartes données, il me jeta un seul coup d'oeil.

-"Le temps passe..."

Je craquais et me jetais à genoux, je rampais littéralement sous la table et entrepris de prendre son membre dans ma bouche. Sans plus d'hésitation ni de préliminaires, je lui taillais la pipe la plus violente de sa vie. Je la léchais, lui suçais les couilles, m'empalais jusqu'à la gorge pour le faire jouir le plus vite possible. Ma tête bougeait de manière frénétique sur sa hampe que je sentais durcir de seconde en seconde. Enfin je ressentis dans mon palais les pulsations annonciatrices de son plaisir...

-"A moi la partie, file moi la télécommande !"

A peine avais-je entendu Ahmed prononcer cette phrase que ma bouche s'emplit de foutre épais. Une main se plaqua sur l'arrière de mon crâne m'obligeant à finir mon gage et à tout avaler.

-" AH ah, désolé... juste un peu tard".

J'en aurais crier de frustration. Loin de m'avoir apaisé, cet acte dégradant m'avait maintenu dans un état d'excitation insoutenable.

En tout cas, cette demande donna des idées au nouveau vainqueur qui exigea la même chose. Au final je dû tous les sucer les uns après les autres. Quand je ressorti de sous la table, j'avais mal à la gorge et mon visage était recouvert de foutre.

Mon calvaire toutefois ne s'arrêta pas là. Avant la fin de l'après-midi, ils m'avaient tous pris par chacun de mes trous, parfois à 2 ou 3 pendant que ma fille s'occupait d'Eric qui filmait tout. Et à ma grande honte, je rebondissais d'orgasme en orgasme. Quand finalement ils se lassèrent de moi, je restais étendue à même le sol, les orifices béants, dégoulinants de leur semence.

Je n'étais plus vraiment là, mon esprit battait la campagne et c'est à peine si je me rendis compte qu'ils étaient partis. Comme une bonne chienne dressée j'obéissais maintenant automatiquement à tous les ordres de mon Maître. J'étais devenue sa chose au sens littéral mais il exigea encore plus de moi. Ce qu'il me fit faire ce soir là me changea à jamais et je m'évanouis avant la fin.

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Le lendemain c'est le bruit du réveil qui me fit ouvrir les yeux. J'étais nue, propre, allongée dans mon lit. Je mis un certain temps à me rendre compte que j'étais seule à la maison. Les évènements de la veille me revenaient par bribes mais de manière détachée. Comme s'ils étaient arrivés à quelqu'un d'autre.

Quoiqu'il en soit je devais me préparer pour aller au travail et une fois de plus je me transformais en salope de service qui ne demande qu'à se faire baiser. Je n'avais même plus le réflexe de porter des sous-vêtements arrivée chez moi. J'avalais juste un café avant de partir.

Une fois dans ma voiture j'hésitais sur le trajet. Je n'avais certes pas les enfants à déposer à l'école mais je ne pouvais prendre le risque de manquer à mon Maître.

Ma décision prise je me dirigeais donc vers l'école. De là où je me garais je pouvais habituellement voir le repère d'Eric et à ma grande surprise je constatais qu'il était désert. Encore une fois je tergiversais sur l'attitude à adopter. Devais-je sortir et faire le pied de grue sur le trottoir pour me "montrer" ou rester dans la voiture et attendre...

J'optais pour la deuxième solution. J'observais avec appréhension les minutes passer, me demandant si j'allais pouvoir être à l'heure à mon travail. Finalement, une fois que tous les élèves furent rentrés je pris le parti de reprendre la route, soucieuse de ce que cette absence pouvait signifier.

J'étais encore dans mes pensées en arrivant dans l'open space ce qui fait que je ne réalisais pas tout de suite la situation. Toute l'équipe était déjà là, un des bureaux avait disparu et Jessica était confortablement installée derrière le mien. Je clignais des yeux pour être bien certaine de se que je voyais et m'avançais rouge de colère. Avant que j'ai pu ouvrir la bouche pour demander des explications, elle agita dédaigneusement la main vers moi.

-"Dépêche toi de monter, le Boss t'attend. Il veut te parler".

Illico, sans répliquer, je fis demi-tour et me dirigeais vers les escaliers. Cette fois-ci il allait trop loin et je me voyais déjà prendre un avocat pour lui faire payer cette mise à l'écart. Je frappais à sa porte et sans attendre de réponse, entrais dans son bureau.

-"Richard, qu'avez-vous fait ? Je ne...."

Le téléphone à la main il interrompit ma tirade d'un geste.

-"Permettez, j'envoie juste un sms et je suis à vous...vous allez tout comprendre... voilà, c'est fait"

Il appuya sur une touche et quelques secondes plus tard mon portable se mit à sonner. Je restais figée pendant qu'il m'observait.

-"Vous ne regardez pas ? C'est peut-être important !"

Je ne réagis toujours pas.

-"Lis ton sms maintenant !" Sa voix claqua comme un fouet.

En tremblant je sortis mon téléphone et regardais le numéro trop bien connu de moi maintenant. Le message était bref mais ce qu'il impliquait était terrible.

*Bonjour salope. Heureux que tu respectes mes consignes. Maintenant que tu es là tu peux t'agenouiller devant ton vrai Maître*

Je blêmis et tout mon corps se mit à trembler.

-"Désolé mais j'en ai vraiment assez de faire des fautes d'orthographe. Tu ne sais pas à quel point j'ai détesté ça".

Il porta le regard au-dessus de mon épaule et je me retournais en sentant une présence dans mon dos. IL était là, Eric, le visage extatique, dissimulé depuis le début dans un coin.

Richard reprit :

-" Inutile de faire les présentations, je crois que tu connais mon fils".

Mon coeur manqua s'arrêter. Je comprenais tout maintenant en effet et ma situation personnelle était encore pire que ce que j'avais pu croire.

Je ne pus que balbutier quelques mots. J'avais le tournis et tenais à peine sur mes jambes.

-"Mais comment... pourquoi... ?"

Il se leva lentement et s'approcha de moi. Il me répondit comme si ma question était stupide tout en commençant à déboutonner mon chemisier. J'étais comme paralysée, incapable de la moindre réaction.

-"Pourquoi ? mais parce que je le peux déjà. Tu vois j'ai eu envie de te baiser à la première seconde où je t'ai vu. Non plus que ça, en fait, je voulais te soumettre et t'humilier... effacer cet air supérieur de ton visage"

Les seins totalement à l'air, il m'appuya sur les épaules tout en poursuivant. Mes jambes fléchirent et je me laissais tomber à genoux, impuissante.

-"Tu étais une menace pour moi. Brillante, ambitieuse. Les patrons d'en haut t'avaient à la bonne et il me fallait faire quelque chose."

Sa queue déjà raide jaillit de son pantalon et s'engouffra entre mes deux mamelles offertes qu'il entreprit de baiser violemment.

-"J'ai joint l'utile à l'agréable. Maintenant tu n'es plus rien à part mon jouet et nous le savons tous les deux n'est-ce pas ?"

Il avait raison. Ma vie personnelle et professionnelle avait été réduite à néant. Sa semence se répandit sur ma poitrine, me souillant et scellant mon destin.

-"A partir d'aujourd'hui tu n'as plus besoin de bureau. Tu iras où on te dira et fera tout ce que je veux. Tu es placée sous la responsabilité de Jessica."

Il reboutonna mon chemisier comme si de rien était, le collant à mon torse barbouillé de son sperme.

-"Je suis sûr que tu seras une bonne pute pour moi, pas vrai ?"

Je rougis en me relevant. Devant son regard intense je ne pu que m'incliner.

-"Oui... Maître".

-------------------------------------------------

Dès le lendemain je prenais la mesure de mes nouvelles occupations. A la fin de semaine, tout sentiment de gêne semblait avoir disparu et le week-end me fit sombrer un peu plus dans la débauche.

Le lundi matin suivant me trouva à 4 pattes sous le bureau de Richard. J'étais en train de le sucer vigoureusement pendant qu'il branlait ma chatte trempée avec son pied.

-"Aujourd'hui salope, nous allons faire un petit jeu. J'ai demandé à quelqu'un de venir pour me donner son avis sur un projet. Selon l'option qu'il choisira tu me feras jouir dans le trou adéquat."

Je ne protestais même pas. Il me tendit un papier où je lus :

1 - bouche

2 - chatte

3 - anus

Je reprenais son sexe en bouche quand j'entendis frapper.

-"Ah, entrez ! Vous devez vous demander pourquoi je vous ai fait venir, nos départements travaillant rarement ensemble."

-"Effectivement ce n'est pas souvent que je viens ici."

Je tressaillis en reconnaissant la voix de mon mari. En réaction, le pied de Richard se fit plus pressant sur ma vulve et je retins un gémissement.

-"Bien, c'est une histoire de marketing, cela vous concerne donc. Voici les options que nous avons retenu mais nous avons un doute pour le choix final. J'ai besoin de votre avis."

Le silence se fit pendant que j'imaginais mon époux lire un papier qui n'avait aucune importance aux yeux de mon patron. Finalement la sentence tomba.

-"Je pense que le deuxième est meilleur..."

-"Intéressant. Je pense aussi que c'est un très bon choix. Et puisque c'est vous qui le dites en plus... expliquez-moi ça en détail !"

Sa main glissa sous la table pour me donner une petite gifle. Je savais ce qu'il attendait de moi. Sans faire de bruit, le plus silencieusement possible je me retournais et cambrais mon cul. Il s'avança pendant que mon mari parlait et pénétra ma chatte d'un coup.

J'étais à 4 pattes sous le bureau de mon patron en train de me faire baiser avec mon époux à moins d'un mètre. je devenais folle, c'était trop humiliant. Excitée par les préliminaires je m'empalais sur son manche, je le sentais lui aussi prêt à jouir et au moment où il se déversa en moi, je ne pus plus me retenir et poussais un cri de jouissance.

C'était plus fort que moi, le plaisir était trop intense.

Un silence pesant suivi, puis j'entendis mon mari haleter.

-"...SOPHIE ? ? ? ? ?....."

Fin 

mardi 27 février 2024

Un dîner presque parfait

 Récit de Panalume (2011)

*****

Delphine terminait les derniers préparatifs. C'était vendredi soir et dans quelques minutes, son mari allait rentrer accompagné de son patron et de deux des principaux cadres dirigeants de son entreprise pour un repas à la maison prévu de longue date. 

Jean, son mari, misait beaucoup sur ce repas. Il avait postulé à un poste de responsable des ventes pour l'Asie et il espérait bien marquer des points à cette occasion. Plusieurs semaines auparavant, il avait donc posé ces trois invitations aux trois personnes les plus influentes de la société et ce soir était le grand soir. Tout devait être parfait. 

Delphine avait demandé à sa mère de récupérer les enfants au collège et de les garder le week-end. Ce matin elle avait commencé par nettoyer et ranger l'appartement du sol au plafond. Puis, en fin de matinée, elle s'était mise à la tâche pour préparer un repas qui, elle l'espérait, resterait gravé dans les mémoires. Elle avait dressé une belle table et pour finir, après une bonne douche , elle avait passé sa plus belle robe.

- Bonjour chérie ! dit Jean en ouvrant la porte.

- Bonjour chéri.

-V oilà, je te présente M. Chesson, mon patron, Francis, notre DRH et Cédric, responsable marketing.

- Bonjour Messieurs, enchantée. Puis-je vous débarrasser de vos affaires ?

- Oui merci chère Madame, répondit M. Chesson en enlevant son manteau, aussitôt imité par les deux autres invités.

Les trois hommes semblaient un peu plus vieux qu'elle et son mari, pensait Delphine. Ils devaient avoir la quarantaine passée contre 34 pour elle et 35 pour Jean. Ils étaient tous les trois élégants, minces, assez grands et paraissaient très agréables et courtois, laissant présager une bonne soirée en perspective.

La soirée débuta par un apéritif pendant lequel son mari et ses hôtes discutèrent travail et durant lequel Delphine intervint peu dans la conversation. Une fois à table, les conversations dérivèrent sur divers sujets tout au long du repas. Arrivé au dessert, les quatre hommes en étaient à discuter de l'argent et du pouvoir qu'il procure.

- Voyez-vous Jean, dit M. Chesson, quand j'ai monté mon entreprise il y a 15 ans, j'avais du mal à payer mon loyer à la fin du mois. Aujourd'hui, je peux tout m'offrir, même ce qui n'est à priori pas à vendre. C'est ça le pouvoir de l'argent.

- Vous pensez que tout s'achète ? Moi je ne pense pas. répondit Jean.

- Vous avez tort mon ami. Tenez, ce n'est qu'un exemple bien évidemment mais imaginons que je vous propose 10 000 euros, là tout de suite. Je vous signe un chèque ici même sur cette table.

- Euh… et bien… mais en échange de quoi ?

- Pour que votre femme nous montre sa poitrine. Je le répète, ce n'est qu'un exemple pour illustrer mes propos.

- Euh… et bien non, nous refuserions évidemment. Hein chérie, tu es d'accord ?

- Bien sûr, quelle question !

- Je ne vous crois pas une seconde, vous laisseriez passer 10 000 euros pour si peu ?

- Oui, exactement !

M. Chesson sortit son carnet qu'il posa sur la table et commença à remplir un chèque.

- Voilà, je n'ai plus qu'à le signer. 10 000 euros pour vous si votre femme reste seins nus jusqu'à la fin de la soirée, quelle est votre réponse ?

Tout le monde resta muet pendant quelques secondes. Les deux autres invités se regardaient incrédules tandis que Jean et Delphine fixaient le chèque du regard sur la table. Au bout d'un petit moment, Jean reprit ses esprits.

- Euh… enfin M. Chesson, répondit Jean. Vous n'y pensez...

- Attendez, dit Delphine, laissez-moi parler quelques minutes avec mon mari. Chéri, vient dans la cuisine s'il te plaît.

Une fois dans la cuisine, c'est Delphine qui commença :

- Jean, ces 10 000 euros, il nous les faut. On pourrait rembourser le crédit de la voiture et on ne commencerait plus systématiquement le mois avec 2 000 euros de découvert à la banque. Alors si c'est juste pour montrer mes seins pendant quelques heures, moi je le fais. Après tout, sur la plage, tout le monde les mate mes nichons; à ta grande satisfaction en plus, je te ferais remarquer...

Jean fixa sa femme dans les yeux :

- D'accord ! on y va chérie. Si c'est ce que tu veux.

Jean et Delphine retournèrent à table.

- C'est d'accord. Ma femme et moi sommes d'accord pour ça, dit Jean rouge de confusion et de honte.

- Très bien, dit M. Chesson en signant le chèque. Madame, je vous en prie.

Delphine déboutonna son chemisier qu'elle jeta sur l'accoudoir du canapé puis elle dégrafa son soutien-gorge qui suivit le même chemin.

- J'en étais sûr, dit Chesson. Une magnifique paire de seins, assez gros et bien hauts, avec de jolis tétons bien proportionnés qui pointent. Mes compliments Jean, votre femme à une magnifique poitrine. Combien voulez-vous pour le reste ?

Jean resta interloqué, ne sachant quoi répondre.

- Quoi ? Comment ?

- 20 000 euros de plus pour que votre femme se mette totalement nue et le reste toute la soirée. Qu'en dites-vous ?

Jean ne pouvait prononcer un seul mot et restait prostré sur sa chaise.

- C'est d'accord ! entendit-il au-dessus de son épaule.

Sa femme venait d'accepter l'inacceptable sans même le consulter. Avait-elle eu peur que Jean refuse la proposition ? Pendant que M. Chesson remplissait un deuxième chèque, Jean vit Delphine enlever ses chaussures et sa robe, puis vint le tour des bas qu'elle enleva délicatement. Pour finir, elle retira son string qu'elle laissa tomber à ses pieds.

- C'est un très joli petit cul ça mes amis, dit Chesson à ses deux collaborateurs qui n'en croyaient toujours pas leurs yeux. Regardez cette petite chatte toute lisse, pas un seul poil ne reste. Je vois que nous avons un goût en commun pour l'épilation totale, n'est-ce pas Jean ?

- Euh… oui c'est vrai, j'aime que ma femme s'épile totalement le sexe.

- Delphine, pouvez-vous vous tourner et vous cambrer un peu s'il vous plaît ?

Delphine hésita, puis lança un regard à son mari qui lui fit un signe d'approbation. Elle se retourna et se plia légèrement en deux, les mains sur les genoux.

- Oh mon Dieu que c'est beau ! Ce petit abricot tout lisse m'émerveille. Et nous avons en plus un beau petit trou légèrement ouvert qui nous apprend que Madame pratique la sodomie, c'est absolument parfait. Madame est une connaisseuse, hein Jean ?

- Oui, dit Jean sans autre commentaire.

Delphine servit le dessert à ses hôtes dans le plus simple appareil.

- Jean, pour être honnête avec vous, votre femme m'excite énormément et je me demandais si vous accepteriez de nous la mettre à disposition quelques heures. Je suis disposé à faire un effort financier important pour que vous nous la prêtiez à moi et aussi à Cédric et Francis. Je n'oublie jamais mes collaborateurs, dit-il en les regardant d'un œil malicieux. Disons 40 000 euros , qu'est-ce que vous en dites ?

- Non, non et non, cria Jean, il n'en est pas question.

- Ne vous mettez pas en colère Jean. Une heure seulement si vous voulez. Je vous en offre 50 000 euros et ce sera ma dernière proposition.

Jean se tenait la tête à deux mains. Delphine lui parlait calmement à l'oreille.

- Chéri, juste une heure et c'est fini, lui susurrait-elle à l'oreille. 50 000 euros, c'est un apport pour la maison de nos rêves. Allez, dit oui chéri, s'il te plaît.

Jean resta inerte, la tête dans les mains pendant une bonne minute.

-Oui… c'est d'accord, dit-il sans relever la tête.

- Très bien Jean, je vois que vous êtes raisonnable. Bien sûr, pour 50 000 euros, vous comprendrez que nous disposerons de Madame à notre guise et que rien ne pourra nous être refusé, on est bien d'accord ?

- Oui… on est d'accord.

- Voici vos 50 000 euros Jean, faites en bon usage, dit Chesson en lui tendant le chèque. Messieurs, mettons-nous en tenue. Allez, déshabillez-vous, vous n'allez pas faire attendre une jolie femme. Jean, qu'allez-vous faire ? Allez-vous rester dans la pièce pour regarder ?

Jean lança un regard à sa femme qui hocha de la tête.

- Oui, je préfère rester ici, sur ma chaise. Je ne vous gênerais pas.

- Comme vous le souhaitez mon ami, répondit Mr Chesson. Mais n'intervenez pas sinon notre marché est annulé.

Les trois hommes étaient désormais nus. Mr Chesson vint s'asseoir sur le canapé.

- Venez ici Delphine entre mes jambes, vous allez me sucer un peu.

Delphine, hésitante, se mit à genoux par terre entre ses jambes et le prit en bouche.

- Voilà c'est bien… aspire-moi bien la bite… lèche-moi un peu les couilles… oui, c'est bien, continue… quelle bonne suceuse tu fais… allez pompe maintenant.… pompe à fond… pompe ma salope… 

Sur sa chaise, Jean était envahi par un sentiment où se mêlaient la jalousie et l'excitation.

- Viens t'asseoir sur ma queue maintenant, je vais te baiser la chatte.

Delphine se plaça sur lui, face à face, les jambes repliées sous les fesses.

- Allez bouge ma cochonne… allez plus vite… plus vite… rapproche-toi que je te suce le bout des seins… 

Malgré la situation, Delphine ne pouvait empêcher le plaisir de monter dans son sexe et dans son corps.

- T'aimes te faire baiser devant ton mari, hein ? Dis-le que t'aimes ca… Allez, dis-le !

-Oui… j'aime… ça ! dit-elle.

- Alors dis-le à ton mari. Regarde-le et dis-lui… allez ma belle.

Delphine était à présent submergée par l'excitation. Tout en continuant ses mouvements de bassin, elle se tourna vers Jean.

- Chéri, oui j'aime me faire baiser devant toi. J'aime les grosses queues comme celle-là dans ma chatte. Oui, j'adore ça chéri… j'aime les bites… j'aime les bites.

- eh bien si tu aimes les bites, Cédric et Francis vont s'approcher et tu vas les sucer à tour de rôle pendant que je continue à te limer la moule. Allez les gars, venez ici.

Les deux hommes prirent place de chaque côté de M. Chesson debout sur le canapé, afin de présenter leur sexe à hauteur de bouche pour Delphine. Celle-ci les suça à tour de rôle en continuant de s'activer sur Chesson.

- T'aime baiser mais t'aime surtout sucer de la bite toi. Tu gobes comme une grosse pute. Je suis certain que tu adores avaler la jute, n'est-ce pas ?

-Oui, j'aime ça aussi, dit-elle en passant d'un sexe à l'autre.

- Eh bien il faut le dire à Jean, comment veux-tu qu'il le devine si tu ne lui dis pas… allez, dis-lui que t'aime sucer les bites !

- Oui chéri, dit-elle en se tournant vers lui à nouveau. J'aime sucer les bites… toutes les bites bien juteuses… je veux pomper la bite de tes collègues mon chéri… Je veux avaler du jus de bite, j'adore ça le jus de bite, chéri… 

Jean avait sorti son sexe et se masturbait sur sa chaise.

- Très bien, dit Chesson. On va passer aux choses sérieuses maintenant. Delphine, mettez-vous en levrette sur le canapé, les mains sur le dossier. Relevez bien les fesses, on va vous enculer chacun notre tour. Allez, c'est moi qui commence, ouvrez bien votre cul.

- Comme ça ? dit Delphine en se cambrant au maximum.

- Oui c'est bien comme ca… voilà, c'est bien, ma bite rentre toute seule… allez, tu la sens bien ma grosse queue dans ton cul là hein ?

- Oh oui, c'est bon, elle est grosse.

- Elle est plus grosse que celle de ton mari celle-là hein ?

- Oh oui, plus grosse !

- Il te fait pas autant jouir par le cul ton mari hein ?

- Non, pas autant, c'est bon là… oh oui c'est bon dans le cul, chéri tu sais. Qu'est-ce qu'il m'encule bien ton patron… j'aime ça, chéri. C'est bon, oui c'est bon, c'est bon… 

- Allez les gars, au suivant,dit Chesson en se retirant de l'anus de Delphine, Jean, j'ai de la peine à vous voir vous masturber sur votre chaise. Voulez-vous vous joindre à nous pour enculer votre femme ?

Jean se leva de sa chaise et vint se joindre au groupe qui se tenait autour de Delphine. C'est maintenant Cédric qui la sodomisait, puis se fut le tour de Francis et enfin Jean pris son tour.

- Allez ma belle, dit Chesson, vient t'asseoir par terre et ouvre grand le bec, on va tous te juter dans la bouche et tu vas tout avaler.

Delphine s'assit sur le sol, la bouche grande ouverte en attendant sa ration de sperme, entourée des quatre hommes qui se masturbaient. Cedric éjacula le premier au fond de sa gorge. Delphine avala tout d'une traite puis ouvrit la bouche à nouveau pour accueillir le sperme de Francis et de M. Chesson mélangé. Elle avala les deux doses d'un coup puis reprit sa position. Jean attrapa sa femme par les cheveux et lui enfourna son sexe entièrement dans la bouche.

- Tu veux de la bite espèce de chienne, dit-il à sa femme. En voilà de la bite, allez pompe-moi la queue grosse salope. Je vais te l'enfoncer jusqu'aux couilles ma bite dans ta bouche de pute. Je vais t'envoyer la purée directe dans le gosier… aaaaaaaaaahhhhhh, voilà, je te jute dans la gorge… aspire bien ma cochonne, n'en perd pas une goutte.… 

Les quatre hommes laissèrent Delphine épuisée sur le sol puis se rhabillèrent.

- Jean, ce fut une merveilleuse soirée. J'espère que nous aurons l'occasion de recommencer cela à l'avenir.

- Tout le plaisir fut pour moi M. Chesson. Si vous le souhaitez, nous pouvons vous proposer une nouvelle invitation à dîner vendredi prochain. Delphine se fera un plaisir de vous recevoir, au sens propre comme au figuré bien sûr. Bien évidement, inutile cette fois-ci de venir avec votre chéquier, il n'y aura aucun frais annexe. Cedric et Francis, vous êtes également invités bien sûr. N'hésitez pas d'ailleurs à amener quelques amis avec vous si vous le souhaitez. Je viens de constater que la capacité d'accueil de ma femme est bien plus importante que je ne pensais. Voilà, à bientôt M. Chesson.

- Au revoir Paul et à lundi !

Paul referma la porte et se dirigea vers sa femme. Il prit sa tête entre ses mains et l'embrassa tendrement sur la bouche.

- Merci chérie, c'était parfait…

FIN


dimanche 25 février 2024

Changements de vie pour Jessica Ch. 18

Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

****

Jessica subit encore les stagiaires vicieux.

En quittant le bureau des stagiaires je suis nerveuse. J’ai à peine survécu au test du rouge à lèvres et je ne veux pas savoir ce qui m’attend ensuite. De plus, je dois m’assurer que Matt ne fasse rien de stupide et ne  nous cause pas d’ennuis ;

En me rendant à mon bureau, je croise mes collègues qui arrivent au travail. En chemin je remarque que plusieurs d’entre eux me regardent d’un air curieux en passant. Je sais qu’ils voient mes bijoux sur les poignets et mes bracelets de cheville scintillants. Je crois que j’ai même vu quelques sourires cachés.

Émotionnellement, je suis complètement harassée. d’une part je voudrais ramper dans un trou et m’y cacher. D’un autre côté, je veux qu’ils m’admirent. Je veux que mes subordonnés me respectent en tant que dirigeante d’entreprise, mais en même temps je veux me sentir jolie et attirante.

Quand enfin je regagne mon bureau, je m’assois sur mon siège et j’essaie de me calmer, ce qui s’avère difficile. Embrasser des chaussures sales dans un bureau ouvert est la chose la plus avilissante que j’ai jamais endurée. Si bien que ma chatte dégouline et mon esprit est si brumeux qu’il m’est impossible de me mettre au travail. Je ne peux pas me concentrer. Pourtant il faut que j’assiste à une réunion importante.

Assise dans la salle de réunion, mon état ne s’améliore pas. Je suis complètement distraite et je passe la plupart du temps à penser à ce qui va m’arriver dans ce défi du rouge à lèvres. Les membres de mon équipe me surprennent plusieurs fois à rêvasser. Ça me gêne de ne pas pouvoir répondre à leurs questions avec autant d’éloquence que d’habitude. Pourtant j’essaie, mais je n’y arrive pas.

Mon manque de concentration est particulièrement gênant, car cette réunion est cruciale pour mon prochain voyage d’affaires. Le projet de changement le plus important de l’entreprise arrive sur la fin et je dois présenter un projet pour la phase suivante. Ce projet a consommé une grande partie du budget alloué à mon service et il est essentiel à la prospérité de la société. Dont ça doit être un succès.

J’entends Damon chuchoter à Eric :

- Je parie qu’elle pense à de nouvelles tenues et bijoux. Elle fait une liste dans sa tête au lieu de suivre les présentations.

Eric répond en faisant allusion à mes bijoux scintillants. Il ne peut réprimer un petit rire :

- Notre patronne si sévère a trouvé sa vraie vocation hé hé hé ! Qui aurait pensé qu’elle soit si intéressée par tous ces accessoires.

Pour montrer que je suis toujours la directrice, je me racle la gorge bruyamment pour calmer mes deux subordonnés et je leur jette un regard méchant. Cependant mes yeux doivent avoir l’air plus vitreux que fâchés, car les deux gars me font un sourire lubrique en réponse. Bon sang, leur conversation me fait tellement mouiller que j’ai peur qu’une tache sombre n’apparaisse sur ma jupe.

Leurs commentaires désobligeants me poussent également plus loin dans mes pensées de soumission. Je ne veux pas critiquer la présentation de mon équipe, mais je veux me mettre à genoux, ramper sous la table et sucer toutes les bites présentes. Pour la première fois, je ne veux pas me sentir comme leur supérieure qui leur assigne des tâches. Au lieu de ça, je veux les servir et leur plaire comme une salope de bureau.

Même si je sais que mes subordonnés se sont rendu compte de mon manque d’attention inhabituel, leur dernière question m’a surprise. Je n’avais pas écouté. En bégayant je cherche une réponse, mais je n’en trouve pas. Le visage tout rouge, je m’excuse et je demande à celui qui a posé la question de venir dans mon bureau plus tard pour discuter du problème.

En sortant de la salle de réunion, je pousse un grand soupir de soulagement, même s’il n’y avait pas grand-chose à soulager. J’avais à peine réuni quelques informations. Ma prestation avait été horrible. Ça ne doit plus se reproduire. A la prochaine réunion je dois être mieux préparée et plus attentive. Je ne peux pas prendre le risque que O’BANNON ou ORTEGA soit au courant de mon inattention.

Merde, il faut que j’aie la tête claire et les pensées rapides. En allant vers les escaliers, je tombe sur Justin. Un dossier dans les mains il est visiblement en route vers la salle du photocopieur pour faire des copies.

- Mademoiselle ADDAMS ! Appelle-t-il quand je le croise.

Pendant un moment, je me demande si je dois simplement continuer à marcher et l’ignorer. Mais ça ne fera que le mettre en colère. Après le jeu dans le bureau des stagiaires, je me dis qu’il vaut mieux que je joue le jeu. Alors je me retourne et je lui souris.

- J’ai des questions concernant un travail ! Me dit-il.

Bien sûr, c’est une couverture et nous le savons tous les deux. Alors je joue le jeu et je lui explique le contenu du dossier jusqu’à ce que le reste des participants à la réunion ait disparu dans leurs bureaux. Quand nous sommes seuls dans le couloir, Justin attrape mon bras et me tire rudement dans la salle de photocopie. Là il me dit :

- Il est temps pour moi d’avoir une autre marque de rouge à lèvres, Miss BRATZ. Et cette fois-ci ça sera sur ma bite ! Mais d’abord, amusons-nous avec ces chaînes.

Je remarque que Justin est devenu plus agressif. Il a vu comment Daniel et Matt me traitaient. Mais comme j’ai pu le remarquer hier, il est moins dans l’humiliation que dans le traitement rude et brutal de mon corps. Il vit pleinement ses fantasmes.

L’étudiant en commerce est un lèche-bottes qui fait des courbettes à tous les autres employés, mais pas à moi. Au contraire, il me traite comme un vulgaire morceau de viande qu’il peut brutaliser comme il le veut. Cette différence de traitement est encore plus dégradante pour moi.

La salle de photocopie est aussi utilisée comme salle de stockage pour divers équipements de bureau et appareils qui ne sont pas utilisés pour le moment. Me tirant par le bras, Justin me conduit au milieu de la pièce.

- Allez poupée, sors-moi ces gros nichons ! Ordonne-t-il simplement.

Résignée à mon sort, j’ouvre ma veste de costume en cuir bordeaux et je la laisse glisser au sol. Secouant mes épaules, mes gros seins rebondissent dans le satin noir.

C’est incroyable, un seul ordre et je me change en mode soumise immédiatement. Et je fais un strip-tease sexy.

Même si au fond de moi ça me gêne, je continue. Balançant doucement mes hanches, j’ouvre les boutons du chemisier en satin en commençant par le haut. A chaque bouton la chair de ma poitrine serrée apparaît. Et je me retrouve devant le jeune stagiaire seulement vêtue de mon corset en satin noir, d’une jupe en cuir bordeaux, de bas noirs, de talons hauts rouges et des bijoux scintillants.

- Sors ton rouge à lèvres et prépare-toi pour ton défi Miss BRATZ. Me dit-il d’une voix autoritaire.

Daniel m’a ordonné d’exécuter tout ordre concernant le défi à tout moment et n’importe où au travail. Je ne peux donc vraiment pas discuter. Au moins, Justin m’a traînée dans une pièce qui est rarement utilisée par mes collègues. Ce sont les stagiaires qui y viennent. Justin saisit mon sac, sort le rouge à lèvres et me le tend. Alors que je commence à l’appliquer, il m’arrête.

- Je n’ai pas dit où n’est-ce pas ? Maquille ta chatte pour moi salope ! Ricane-t-il.

Je gémis en réponse. Je n’aime pas le tour que prennent les évènements. Pourtant j’obéis et je recouvre d’une épaisse couche de rouge vif les lèvres de ma chatte. C’est vraiment obscène, mais Justin adore.

Satisfait de mon maquillage, il attrape mon bras et me conduit près d’un tableau à feuilles mobiles couché et appuyé contre le mur pour le ranger. Il le saisit et le pose au milieu de la pièce, puis il m’ordonne de le chevaucher.

Ensuite il tire mes bras derrière mon dos et il accroche les attaches ensemble, mes poignets à mes chevilles. Enchaînée ainsi mes jambes se soulèvent du sol et mon corps descend sur le côté du tableau. C’est à ce moment que je réalise ce que fait Justin.

- Ooooohhhh ! Qu’est-ce que vous faites ?

Je laisse échapper un petit cri lorsque le métal s’enfonce dans ma chatte sensible.

Tout mon poids ne repose que sur mon entrejambe. Ma chatte et mes fesses sont pressées contre le bord métallique. La seule chose que je peux faire pour protéger mes parties intimes est de me soulever sur la pointe des pieds. Mais les bras attachés à mes jambes, je ne peux pas descendre du tableau.

- C’est un appareil de torture appelé « Spanish Donkey ». Tu vas apprendre à aimer salope ! Tu restes dessus jusqu’à ce qu’il prenne la marque de ton rouge à lèvres. Me dit le jeune salaud.

Satisfait de son travail, Justin se retourne et commence à faire des photocopies. Il accomplit sa tâche sans même faire attention à moi. Je reste sur la pointe des pieds au milieu de la pièce, le visage brûlant de honte. Tout ce que je peux faire c’est d’attendre, complètement impuissante. Les minutes s’écoulent. Le temps me parait très long.

La sueur s’accumule sur mon front alors que je me balance sur la pointe des pieds. Je sens de la fatigue dans mes jambes. C’est inévitable, après environ cinq minutes, elles commencent à trembler dangereusement.

Je n’en peux plus ! Mes mollets sont trop fatigués. Aussi lentement que possible, je me baisse sur la tranche du tableau. Ma chatte sensible se pose sur le bord métallique dur et froid.

- Aie ! Grogné-je quand j’ai l’impression d’être fendue en deux.

- Ne te plains pas et sois contente qu’il s’agisse que d’un bord plat et non pointé comme le véritable appareil. C’est facile en comparaison ! Dit Justin pour me faire taire.

Honnêtement cette comparaison ne me remonte pas le moral. La façon dont le bord métallique presse contre ma chatte est assez inconfortable. Je n’ai pas envie de connaître le vrai appareil de torture.

Luttant pour endurer ce bord dur qui entaille ma chatte, je réussis à le tolérer pendant près d’une minute avant de devoir me relever. Avec mes muscles tremblants d’une manière exaspérante, le temps pendant lequel je peux rester sur la pointe des pieds est considérablement plus court qu’auparavant. Mes mollets cèdent d’eux-mêmes. Avec toute la force qu’il me reste, je me baisse doucement en essayant de disposer mon poids autrement.

- Arggghhh ! Gémis-je quand le bord du tableau coupe mes fesses en deux et appuie sur mon cul.

Ce n’est pas mieux ! Il me faut beaucoup plus de temps cette fois pour rassembler assez de force pour me relever. Pourtant je réussis. La sueur coule sur mon visage.

Le temps où j’arrive à rester sur mes orteils est de plus en plus court. La fatigue s’installe et je suis de plus en plus souvent posée sur le bord métallique. Bientôt je ne peux pas faire autre chose que chevaucher ce maudit tableau. Ma chatte et mon cul me font mal alors que je me tortille encore et encore sur l’appareil. Mes mouvements deviennent de plus en plus effrénés jusqu’à ce que je bouge de haut en bas sur le tableau comme si je chevauchais un âne. Même la bague scintillante de mon nombril rebondit en rythme contre mon corset.

En haut ! En bas ! En haut ! en bas !

- Ohhhh… Aiiieee… Ohhhh… Aieeee !

Je gémis et grimace en rythme alors que mes gros seins rebondissent à l’unisson avec la bague de mon nombril. Même si je fais de mon mieux pour étouffer mes gémissements, ils deviennent de plus en plus forts. Je ne peux plus me contrôler.

La peut m’envahit. Le bruit est si fort que quelqu’un dans le couloir peut l’entendre. A chaque seconde je m’attends à ce que la porte s’ouvre et qu’ORTEGA entre dans la pièce. Je ne pourrai pas me cacher.

- Alors poupée ? As-tu oublié où tu es ? Tu n’es pas censée faire autant de bruit, stupide animal de bureau. Me réprimande Justin.

Il avance vers moi, ôte sa cravate de son cou et la fourre directement dans ma bouche. Encore une chose qu’il a apprise de Daniel.

- Mmmmppphhhhh… Mmmmppphhh…

Mes gémissements sont étouffés. Même si le jeune stagiaire imite mon homme, je suis reconnaissante, car la cravate étouffe le bruit, donc réduit les chances que je sois découverte.

En haut ! En bas ! En haut ! en bas !

Je suis obligée de continuer à chevaucher le tableau de feuilles mobiles pendant les prochaines minutes. Je rebondis si fort que le cœur en strass « Missy » se soulève de haut en bas et cogne ma peau douce et bronzée au-dessus de mon nombril. Ça doit être vraiment comique.

Justin me laisse comme ça une bonne vingtaine de minutes pendant qu’il finit de photocopier le dossier complet. De temps en temps en temps, il me regarde et rigole de me voir essayer de me relever. La douleur se mélange à la honte d’avoir à accomplir cette tâche infernale pour ce salaud de lèche-bottes alors qu’il me prête à peine attention.

CRIIIIIIIII

Soudain la porte s’ouvre avec un grincement.

Non ! Ça ne peut pas arriver ! Pas après que mes cris ont été étouffés ! Pas après tout ce que j’ai vécu ! Je crois que je vais m’évanouir et m’effondrer. Je suppose que j’aurai glissé du tableau si je n’avais pas été enchaînée.

Mais la porte s’ouvre et se referme aussitôt. Avant que je m’en rende compte, deux autres personnes se trouvent dans la salle de photocopie.

- Nous vous cherchions partout !

Il s’agit de Matt et Taylor. Je pousse alors un soupir de soulagement. Je n’ai jamais été aussi contente de voir leurs visages. Ici et tout de suite je les aurais embrassés si j’avais pu me sortir de cette position infernale.

Puis je réfléchis. Je ne devrais pas être contente que Matt soit là ! Surtout sans Daniel ! De plus, attachée comme je suis, il peut faire ce qu’il veut de moi et en profiter.

- Oh je vois, tu prends l’animal de compagnie avec toi lorsque tu travailles. Dit Matt à Justin en m’ignorant.

- Je parie qu’elle t’a supplié de la laisser monter sur ce tableau. La salope n’en a jamais assez hein ? Et elles disent que c’est nous qui pensons tout le temps avec nos bites ! Ajoute-t-il pour recommencer à se moquer de moi

- Qu’est-ce que vous en pensez les gars ? Voyons à quel point elle aime ça ! Je parie que je peux la faire mouiller sur le tableau. S’exclame Justin pour garder l’initiative.

N’attendant pas la réponse des gars il s’approche de moi et saisit mes gros nichons. Il commence à tripoter ma chair molle et la pétrit fermement. Quand il commence à me pincer les mamelons en rythme avec  mes mouvements, je commence à me tortiller en gémissant.

Bon sang, ce salaud joue avec mon corps comme avec un violon. Je sens des vagues de plaisir déferler dans mon corps et se mélanger avec la douleur dans mes reins.

La façon dont Justin me manipule si facilement est embarrassante. J’ai très mal sur cet appareil. Pourtant mon corps devient excité par son simple toucher.

Maintenant Justin tient fermement mes mamelons en place sans bouger. De cette façon c’est moi qui agite mes seins en sautant sur le tableau. J’ai l’impression que mes seins sont enfilés sur une brochette. La traction sur mes tétons tendres est à peine tolérable. Et ça conduit mon excitation à de nouveaux sommets malgré la douleur dans ma chatte et mon cul.

Lorsque mon corps est levé, Justin se penche soudainement et gifle mon clitoris. Une décharge explose dans ma chatte et traverse mon corps. Mes jambes tremblent si fort que je redescends instantanément sur le tableau ? Je sais que je dégouline de mon jus.

Ce jeune lèche-bottes a su m’amener à l’orgasme malgré la torture du tableau de feuilles mobiles. Il a réussi en si peu de temps que j’en suis ébahie. Ses camarades stagiaires sont encore plus impressionnés et sifflent d’admiration avant que Justin ne détache mes chaînes et me libère du dispositif infernal. Il me montre alors le tableau et me dit :

- Je te l’ai dit poupée que tu allais aimer ! Regarde le gâchis que tu as fait !

Je remarque alors que le tableau est collant de mon jus. Quelques traces de rouge à lèvres sont encore visibles, mais elles ont été recouvertes par mon jus de chatte. C’est trop pervers !

- Tu es trop stupide pour laisser une trace de rouge à lèvres décente Miss BRATZ ! Me réprimande Justin.

Bon sang, j’avais complètement oublié le défi. D’une certaine manière il avait raison. J’étais tellement excitée que je n’avais pas été en mesure de réaliser son défi correctement. Daniel va être déçu.

- Nettoie ça idiote ! Je ne peux pas laisser sale notre matériel de bureau ! Dit cet enfoiré en retirant sa cravate de ma bouche.

Saisissant mes cheveux châtains, il pousse mon visage  sur le tableau. Je lèche mon jus sucré sur le métal tout en pensant que Justin m’avait si facilement fait jouir et juter sur le dispositif infernal. Et comme s’il devinait que ma chatte est toujours excitée, il pousse deux doigts dedans et commence à me baiser avec pendant que je suis penchée.

- Ohhhhh…. Ohhhhh…

Je me retrouve vite à gémir les dents serrées. Juste au moment où je suis au bord de l’orgasme, il s’arrête et donne deux grosses claque sur mes fesses, enterrant ainsi mon excitation.

- il ne faut pas que tu oublies le défi, petit animal de bureau. Je devrais te remettre sur le tableau pour que tu recommences. Dit-il avec un petit rire.

Puis il m’attrape une nouvelle fois par les cheveux et s’exclame :

- Il est temps de laisser une marque de rouge à lèvres sur moi.

En me tirant par les cheveux, il me conduit au fond de la pièce. Une table est placée contre le mur. Il fait demi-tour et me pousse pour que je m’allonge sur le dos sur la table. Puis il la contourne et tire mes épaules pour que ma tête pende du bord.

Je réalise enfin ce qu’il fait. Il veut baiser ma bouche. Dans cette position malaisée, je n’offre presque aucune résistance. Avec ma tête en arrière, ma gorge s’ouvre d’elle-même. Quelle position odieuse !

Justin aggrave encore les choses quand il prend ma jambe droite, la soulève du sol et la plie au genou. Puis tenant ma jambe sur la table, il attrape mon bras droit et le tire pour le placer à côté. Et enfin il utilise mes bracelets de poignets et de chevilles pour les accrocher ensemble.

Après avoir fait de même avec ma jambe et mon bras gauche, je me retrouve allongée sur la table, la tête pendante au bord et ma chatte grand ouverte. Tous mes orifices sont complètement exposés.

Debout devant mon visage, Justin prend mon rouge à lèvres et barbouille ma bouche jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Puis il baisse son pantalon. Me regarder chevaucher le tableau l’a tellement excité que sa bite est déjà bien raide. Il saisit ma tête et tire mon corps dans la bonne position. Il me bouge comme une poupée gonflable jusqu’à ce que son membre soit contre mes lèvres. Je suis complètement impuissante. Tout ce que je peux faire c’est de regarder sa grosse bite bien dure planer au-dessus de mon visage. Il m’explique alors :

- Je n’arrêterai pas tant que tu n’auras pas laissé ta marque de rouge à lèvres sur mon entrejambe, salope. Tu as compris ?

Je hoche la tête pour signifier mon accord. Ma position est vraiment dégradante. Pourtant je veux lui montrer que je ne suis pas stupide et que je peux supporter ça. Je suis trop fière pour ne pas lui montrer que je ne suis pas idiote et que je peux réaliser le défi.

Avec un grognement, le jeune stagiaire pénètre ma bouche. Je ferme rapidement mes lèvres peintes autour son sexe dur. Ma langue joue avec son gland, mais il pousse sa bite plus profondément. Je me concentre sur mon réflexe nauséeux et je baisse ma tête plus bas pour ouvrir ma gorge. Je sens son bâton de chair presser contre ma luette.

Puis la bite de Justin glisse profondément dans ma gorge. Il me faut quelques instants pour réaliser que je ne peux plus respirer. Néanmoins ce salaud garde sa queue dans ma gorge jusqu’à ce que ma vision se trouble. Je manque d’air.

Je commence à lutter et je m’agite dans mes entraves. Toutefois, je ne peux presque pas bouger. Je dois vraiment avoir l’air ridicule de me débattre dans mes liens.

Finalement Justin retire son membre pour me permettre de reprendre mon souffle. Mais seulement pour une courte période, car il empale de nouveau ma gorge avec son sexe. Il recommence le même jeu, il garde sa bite au fond de ma bouche jusqu’à ce que je recommence à me débattre. Cette fois, il reste plus longtemps, me laissant me secouer dans tous les sens. Les bracelets s’enfoncent profondément dans mes poignets alors que je me tortille sur la table comme une anguille hors de l’eau. Les autres stagiaires s’amusent de me voir aussi impuissante.

Justin montre ainsi son pouvoir dominant. Il a vraiment vite appris. Il a trouvé le moyen de me faire sentir comme son simple objet sexuel. Je m’étais attendue à ce que Matt prenne le contrôle dès qu’il est entré dans la salle. Mais c’est ce jeune lèche-bottes qui garde le commandement et se révèle un dominant capable.

J’essaie de rester calme. Je veux montrer aux stagiaires que je peux être une poupée de luxe. Cependant, plus la bite de Justin reste enfouie au fond de ma gorge, plus je suffoque et j’ai besoin de respirer. Donc finalement, je commence à me débattre avec force comme un poisson hors de l’eau. C’est épuisant pour moi, mais amusant pour les garçons. Et c’est tout ce qui compte, non ? Après tout, ici je suis leur jouet, non ?

Après avoir testé ma résistance, Justin commence finalement à baiser ma bouche, lentement, profondément et régulièrement. Encore et encore, il pilonne ma gorge serrée jusqu’à ce que son sexe chatouille mes amygdales et ses couilles reposent sur mon nez. Malgré mon entraînement d’hier, ses profondes pénétrations me font étouffer et cracher pitoyablement au rythme de ses poussées.

- Urggghhh… Urgggghhhh… Urgggghhhh…

Ma gorge réagit en produisant des quantités extrêmes de salive et de bave. Ça coule de ma bouche en torrents. Une fois de plus ma position n’arrange rien. La bave coule sur mon visage, sur mes joues et jusque dans mon nez.

Cependant, soudainement Justin s’arrête et retire sa bite de ma bouche. Il la tient directement au-dessus de ma tête et il me laisse la regarder. Puis il donne un coup sec à sa queue avec son doigt.

- Aiiiee ! Crié-je en me débattant une seconde plus tard.

La bave sur sa bite est tombée sur mon visage. Elle a frappé mes yeux ouverts et ça m’a piqué. Bon sang, qu’est-ce que ça fait mal ! Mais ma douleur, mon cri et ma grimace ne font qu’amuser encore plus les stagiaires.

Quand j’arrête de bouger, Justin donne un autre coup à sa bite. Mais cette fois, je suis préparée et je ferme rapidement les yeux. Cet enfoiré ne va pas me surprendre une nouvelle fois. Toutefois il n’est pas d’accord.

- AIIIIEEE ! Crié-je quand il donne une grosse claque sur mon sein droit.

La gifle a envoyé mon sein droit s’écraser sur mon sein gauche. Le coup est si brutal que je suis sûre qu’il a dû laisser la trace de sa main sur ma peau tendre. Comme je n’ouvre toujours pas les yeux, il gifle mon autre sein.

- AIIIEEE ! OUILLE ! Crié-je.

Je gémis de douleur alors que Justin fouette mes seins avec sa main de gauche à droite.

Il ne s’arrête pas avant que j’ouvre les yeux. Puis il donne un autre petit coup à sa bite chargée de ma bave.

- Aiiieeee !

Je pousse un nouveau cri alors que la bave tombe dans mon œil gauche.

Putain de merde, ça pique et ça fait mal ! Néanmoins je fais de mon mieux pour garder les yeux ouverts jusqu’à ce que Justin fasse tomber pour la troisième fois de la bave qui tombe cette fois-ci sur mon œil droit.

Mes yeux me brûlent, ma poitrine est en feu et je veux toujours continuer à servir ces salauds comme une poupée de luxe. C’est bien le comportement d’un animal de compagnie soumis non ?

Satisfait de ma soumission, Justin remet sa queue dans ma bouche et recommence à me baiser.

- Vas-y, frappe tes couilles contre sa tête vide ! Commente Matt pendant que les testicules de son copain frappent mon nez pendant qu’il me baise la bouche.

Sa remarque ne fait qu’augmenter la situation humiliante dans laquelle je suis, et je grogne d’envie. Putain , je me perds complètement dans la luxure. Je suis concentrée sur mon plaisir. Matt a raison, ma tête est vide, toute pensée est bloquée. Tout ce qui compte c’est de servir ces jeunes stagiaires.

La bave m’a fait fermer les yeux et je ne peux plus rien voir. Maintes et maintes fois, je sens Justin retirer sa bite de ma gorge et étaler sur mon visage le flot de liquide épais qui sort de ma bouche. C’est aussi désagréable qu’humiliant. Mais ça rend le jeu amusant pour les gars non ?

Tout en me baisant la gorge, Justin attrape mes seins et commence à les tripoter avec rudesse. Attachée, je ne peux rien faire d’autre que de laisser me maltraiter. Mon visage recouvert de bave, ses coups de reins s’accompagnent de bruits humides qui se mélangent avec mes sons de suffocation.

Justin a pris possession de mon corps méthodiquement. Il m’a pris et me possède. J’ai l’impression que c’est exactement ce qu’il est censé faire. Je ne suis qu’un bout de viande pour le plaisir des stagiaires, pour qu’ils me baisent où et quand ils le veulent. Je sais que c’est ma place, dominée par Daniel et utilisée par les stagiaires.

- Je ne vois pas encore de rouge à lèvres sur mon entrejambe Miss BRATZ ! Me dit soudainement Justin.

Je n’en reviens pas. Avec mes yeux couverts de bave, je ne peux pas le voir non plus. Je suis obligée de le croire. Bien qu’il m’ait baisé la bouche avec vigueur, il n’avait pas entré complètement sa bite.

- Fais donc un petit effort pour réussir ton défi, salope ! m’encourage-t-il.

Et merde, je veux vraiment réussir. Après avoir chevauché le tableau, je veux montrer aux stagiaires que je suis un bon animal de bureau.

Justin garde sa bite à mi-chemin dans ma bouche, il veut que je fasse moi-même la dernière partie. Sans réfléchir davantage, je pousse mon visage vers le haut et je laisse glisser son membre plus profondément à l’intérieur.

Même si j’étouffe, je ne réussis pas encore à sentir la peau de son ventre contre mes lèvres. Encore une fois, je pousse vers le haut, et encore une fois ses couilles me frappent le visage. C’est tellement dégradant. Cette fois cependant, je sens mes lèvres et mon menton presser sa paroi abdominale.

- Oui, c’est ça, embrasse mon ventre avec tes lèvres de salope !

Justin me fait comprendre que j’ai réussi.

- Maintenant, tire la langue et chatouille mon ventre ! Ordonne-t-il.

J’arrive à peine à respirer. Pourtant je fais ce qu’il me dit et je pousse ma langue. Ça suffit à m’ouvrir encore plus la gorge et un autre torrent de bave jaillit et tombe sur mon visage déjà barbouillé.

C’est trop dégoûtant. Mon visage est enduit de bave et de bile.

Splash ! Splash ! Splash !

Justin frappe sa bite contre mes joues trempées de bave, provoquant des bruits mous et humides. Je comprends que mon visage doit être vraiment un gâchis. Comment vais-je pouvoir sortir de la pièce dans cet état.

- Hé hé, quels sons agréables ! Mais ça devrait être plus fort ! Fait remarquer Matt

- Arggghhh ! Gémis-je soudainement.

En réponse au commentaire de Matt, Justin vient de me cracher au visage ! Un gros mollard a atterri sur ma figure, s’ajoutant à la bave et me faisant sursauter de dégoût.

Splash ! Splash ! Splash !

Une fois de plus cet enfoiré gifle mes joues avec sa bite pour faire des bruits humides. Puis il remet sa bite dans ma bouche et me baise avec un bon rythme.

Splash ! Urghhhh ! Urggghhh ! Splash ! Urgghh ! Urgghhhh !

Il s’amuse avec mon visage. Il alterne entre me gifler avec son membre et m’étouffer pendant que mon corps se débat sur la table. La quatrième fois, il termine la séquence avec deux grosses claques bien appuyées sur chacun de mes seins. Je grimace, mais je sens une décharge dans ma chatte.

- Hé hé, bravo ! Tu as trouvé une utilisation parfaite pour cette chienne. Sa tête est aussi creuse qu’un tambour de toute façon. Ricane Matt.

- Ouais, c’est ce qu’on dit, ce sont les contenants creux qui font le plus de bruits. Laisse échapper Justin.

J’ai l’impression que les deux jouent au jeu de savoir qui pourra le plus se moquer de leur animal de bureau stupide. Ils ne se soucient pas de mes gémissements ou de mes petits cris en réponse à leurs moqueries. Justin continue à utiliser mon visage comme il le désire.

Splash ! Urghhhh ! Urggghhh ! Splash ! Urgghh ! Urgghhhh !

CLAC ! CLAC !

Cette fois, Justin gifle deux fois ma chatte pour terminer la séquence. Ces claques inattendues me font mal, mais me font aussi presque jouir de suite. Se penchant en avant, il enfouit son sexe au fond de ma gorge et il commence à éjaculer. Sentant les jets de foutre, je n’ai même pas à avaler, ça tombe directement dans mon estomac. Après quatre giclées, Justin retire son sexe de ma bouche et me laisse respirer. Ma gorge est grande ouverte et j’ai l’impression qu’elle ne se refermera plus.

- Ohhhhh ! Crié-je soudainement de surprise.

Je ne peux toujours rien voir, car mes yeux sont fermés sous la couche de bave qui les recouvre. Pourtant je sens une sorte de matière lisse et douce glisser sur mon visage. Je comprends que Justin a dû prendre mon chemisier en satin pour essuyer mon visage.

- Non ! Arrête ! Crié-je en me débattant dans mes chaînes.

Il utilise mon chemisier comme un chiffon de nettoyage. Il ruine ma tenue en la recouvrant de bave et de bile. Comment pourrais-je continuer à la porter le reste de la journée ?

Bien sûr, Justin ne m’écoute pas. Il continue à essuyer mon visage avec le chemisier jusqu’à ce qu’il trouve que je suis propre. Maintenant, je peux ouvrir les yeux de nouveau. Mais je n’aime pas ce que je vois.

Il jette mon chemisier en satin sur le sol et remonte son pantalon, puis il détache mes poignets et mes chevilles. Enfin il quitte la pièce après Matt et Taylor.

Je suis seule et je peux bouger de nouveau. La position que j’avais sur la table était plus qu’inconfortable. Je dois étirer mes jambes pour retrouver un peu de sensation. Il me faut plusieurs minutes avant d’être prête à descendre de la table.

Je m’approche de mes vêtements et je ramasse mon chemisier pour l’inspecter. Le tissu est complètement trempé. De grandes taches sombres recouvrent le tissu et d’épais brins de bave s’y accrochent. Même après avoir utilisé du papier pour essuyer la bave, les taches humides restent en évidence sur le chemisier. Je ne peux plus le porter ! C’est foutu pour la journée ! Une conséquence désagréable du défi du rouge à lèvres !

Mon visage rouge de honte, j’ouvre la porte de la salle de photocopie et je jette un coup d’œil. Je viens de fourrer mon chemisier souillé dans mon sac à main et j’ai remis ma veste en cuir bordeaux. Même si j’ai fermé tous les boutons, je me sens nue. Sans le chemisier, la veste couvre les deux tiers de mes seins, mais c’est tout. Mon décolleté descend jusqu’à la courbe inférieure de mes seins.

Heureusement le couloir est vide alors je me faufile jusqu’à mon bureau aussi vite que possible. Avec le corset sans bonnets poussant ma poitrine vers le haut, j’ai l’impression que mes nichons vont sortir de ma veste à chaque fois.

Merde, je ne peux pas rencontrer mes subordonnés comme ça ! Ma multitude de bijoux fait que tous les gars du bureau me regardent longuement. Et s’ils regardent de plus près, ils verront que je ne porte rien en dessous.

Il me faut une pause. J’ai besoin de me vider la tête. J’ai besoin de revenir en mode travail. Tout ça devient incontrôlable. Mon excitation constante affecte ma capacité à travailler et diminue mes performances. Pire encore, ça me fait perdre tout intérêt pour mon boulot. Et au contraire, ça me fait fantasmer sur des jeux plus coquins. J’ai le sentiment que ça ne finira pas bien.

De retour à mon bureau, j’invente une réunion avec un client imaginaire. Je n’ai jamais fait ça et j’ai toujours respecté mon travail. Cependant il est très important de faire attention à ne pas voir certains collègues. Je suis absolument certaine que je vais me perdre dans l’excitation et la luxure si les stagiaires commencent un autre tour avec le jeu du rouge à lèvres.

Je n’ose pas rester dans mon bureau, mais je ne sais pas où aller. Alors j’attrape mon ordinateur et je me faufile avec précaution hors du bâtiment. Je vais dans un café assez loin pour qu’aucun de mes collègues ne me voit.

J’y reste quelques heures. Même si je reçois des messages sur mon téléphone, je ne les regarde pas. J’essaie plutôt de me concentrer sur le projet que je dois livrer demain. Mais malgré tous mes efforts pour accomplir cette tâche, mon esprit continue à vagabonder sur le défi du rouge à lèvres et sur la tentative de Matt de faire virer Daniel.

Assis à la terrasse au soleil, je remarque un groupe d’hommes s’arrêtant pour me regarder. Il y a même un groupe de jeunes qui me sifflent et m’apostrophent en passant. Ça me fait sourire et je me penche en avant pour attraper ma tasse de café et  leur donner une bonne vue sur mon décolleté profond. Leur attention me réjouit et me fait sentir belle. Mais comme le tatoueur de ce matin, ils ne peuvent s’imaginer que je suis une directrice d’entreprise n’est-ce pas ?

Finalement, je me dis que je dois retourner au bureau pour assurer mes collègues de ma présence. Je regarde mon téléphone et je vois que j’ai reçu quatre SMS de Daniel. Il me cherche et n’est pas trop content que je ne réponde pas. Je lui envoie donc un rapide message lui disant que je viens d’assister à une réunion importante et que je rentre.

A mon arrivée au bureau, je reçois un autre message de Daniel. Il me dit de venir les voir dans la salle de détente des stagiaires. J’ai l’impression que les gars attendent avec impatience leur animal de bureau pour commencer un nouveau tout du défi du rouge à lèvres. En entrant dans la salle, je vois les quatre gars se prélasser sur les canapés. Des sandwichs traînent sur la table.

- Nous t’attendions pour que tu déjeunes avec nous. Nous avons même reporté notre pause déjeuner. Mais tu nous as fait attendre si longtemps que nous avons partagé ton sandwich. Dommage ! Me dit Daniel.

- Mais par contre, tu peux nous divertir pendant notre pause. Après tout, c’est pour cela que nous gardons un animal de compagnie au travail non ? Intervient Matt.

Puis il continue :

- Pourquoi ne pas utiliser ce moment pour mon tour ? De toute façon tu es impatiente que ce soit moi n’est-ce pas Miss BRATZ ?

Je ne réagis pas à ses paroles, mais Matt ne s’y attendait pas de toute façon. Pendant que les autres stagiaires prennent leurs sandwichs et commence à manger, il se lève du canapé et se dirige vers moi.

Je reste complètement immobile pendant qu’il commence à enlever les boutons de ma veste en cuir bordeaux. Il la fait glisser de mes épaules et la laisse tomber au sol. Puis il remonte ma jupe sur mes hanches. Il a fallu moins de trois minutes avant que je me retrouve au milieu de la salle de détente avec mes seins et ma chatte à l’air.

Je suis tellement nerveuse que j’ai du mal à rester immobile tandis que ce salaud arrogant fait le tour de mon corps. A chaque instant qui passe, je m’attends à ce qu’il me gifle ou me pince, ou trouve une humiliation perverse.

De toute évidence Matt apprécie la situation. Il savoure pleinement le pouvoir qu’il a sur moi. Très lentement, il passe doucement ses mains sur mes seins et effleure mes mamelons. Encore plus lentement il fait courir ses mains sur mes cuisses et mon monticule pubien. De temps en temps il feint de me gifler. Il me fait alors sursauter et me contracter.

Ce suspense me rend folle. Je suis sur le point de le supplier de gifler ma poitrine ou de pincer mon clitoris. Tout sera mieux que cette attente insupportable.

Mais soudainement il attrape ma chevelure châtain et me pousse en avant sur la table basse. Saisissant mes hanches il me soulève facilement et me retourne pour que je sois allongée sur le dos sur la table.

- Ces attaches sont très bien faites. Ce serait dommage que nous ne les utilisions pas n’est-ce pas Miss BRATZ ? Me demande-t-il tout en sachant que je n’aime pas être attachée.

Encore une fois, je choisis de l’ignorer bien que ses mots font battre mon cœur plus vite de nervosité. De toute façon, ce salaud n’attend pas de réponse et il se met immédiatement en action. Il attrape mes jambes et les soulève jusqu’à ce que mes genoux soient de chaque côté de mes seins et mes pieds en l’air. Puis il prend mes bras et les lève jusqu’à mes chevilles.

CLIC ! CLIC !

A l’aide des attaches, il accroche mes bracelets de poignets aux bracelets de cheville et à la table. Une fois encore mon bras droit est attaché à ma jambe droite et mon bras gauche à ma jambe gauche. Toutefois, ils sont cette fois-ci attachés au-dessus de ma tête. Je suis enchaînée comme un cochon à un poteau.

Dans cette position, avec mes jambes à côté de ma tête, ma chatte est complètement ouverte et exposée. Quoi que Matt veuille faire de moi, je suis à sa merci et il le sait. Mais il ne fait rien. Il rejoint les autres sur les canapés et commence à manger son sandwich.

Les quatre stagiaires sont contents de déjeuner et ils discutent du prochain grand matche de football tout en me laissant attachée sur la table basse. Tous mes trous sont facilement accessibles à tous et pourtant ils m’ignorent complètement.

Ils préfèrent leurs sandwichs à moi ! c’est pire que n’importe quel acte sexuel pervers que Matt puisse imaginer. Même ramper sous une table pour lécher du ketchup sur leur bite vaut mieux que d’être ignorée ainsi.

Justin est le premier à terminer son déjeuner. Il se lève du canapé et passe devant la table basse. En passant il crache nonchalamment sur ma chatte ouverte. Mais il ne me regarde même pas.

Tandis que son crachat coule lentement sur la chair rose de ma chatte, Taylor finit de déjeuner. Quand il passe devant moi, il pince rapidement mes deux mamelons avant de se diriger vers la porte.

Il ne reste que Daniel et Matt. Ils se positionnent chacun d’un côté de la table basse, faisant battre mon cœur plus rapidement. Enfin ça va commencer. Ils sont sur le point de m’utiliser. Mais je me réjouis trop tôt.

Les deux gars ont d’autres plans. Daniel approche sa main entre mes jambes alors que Matt tend la main vers mon visage. Le latino gifle mon clitoris en même temps que l’autre salaud me donne une gifle sur la joue. Je me débats alors sur la table. Mais Daniel donne une autre claque à ma chatte tandis que Matt frappe mon autre joue. Je ressens de la douleur, mais c’est mieux que rien. Pourtant c’est tout ce que j’obtiendrai pour le moment.

-  C’était pour nous avoir fait attendre salope ! Me dit Daniel sévèrement.

- Maintenant c’est à ton tour de nous attendre petite pute ! Ajoute Matt.

Puis ils se détournent tous les deux et quittent la pièce.

Ils s’en vont vraiment. Je n’arrive pas à le croire. Je reste seule dans la salle de détente des stagiaires allongée sur le dos sur une table basse, les jambes et les bras attachés au-dessus de ma tête, ma chatte bien exposée.

Je suis leur animal de compagnie. Je suis leur poupée de luxe avec laquelle ils jouent comme ils le veulent. Pourtant ils viennent de me mettre de côté. Ils me jettent comme un objet inutile dont on a plus l’utilité.

Je passe la prochaine demi-heure dans cette position. Je reste immobile sur la table basse et j’écoute tous les bruits du sous-sol. Chaque fois que j’entends quelque chose, mon cœur se met à battre plus rapidement et j’espère que ce sont les stagiaires qui reviennent.

Je n’ai jamais autant désiré être baisée. Je n’ai jamais autant rêvé de servir ces salauds. L’attente me rend folle.

Finalement la porte s’ouvre et je crie presque de joie quand je vois Justin et Matt entrer dans la pièce. Le moment est venu pour continuer le défi du rouge à lèvres. C’est trop vicieux, pourtant je l’attends comme un enfant la veille de Noël.

Matt s’approche de moi tandis que Justin reste à l’arrière-plan pour observer la scène. Quand ce salaud sort le rouge à lèvres, je comprends que le défi commence. Je lève la tête et le regarde dans l’expectative. Où va-t-il le mettre ? Que va-t-il faire ?

Sans rien dire, il commence à peindre les lèvres de ma chatte. C’est donc là. Il passe et repasse sur mes lèvres intimes jusqu’à ce que ma chatte soit collante de rouge vif. Je suis un peu déçue. Mon sexe ne ressemble pas à un endroit extraordinaire non ? Je m’attendais à quelque chose de vraiment spécial de sa part. Mais encore une fois, je me réjouis un peu trop vite.

Pour s’amuser, Matt passe ses mains sur mes cuisses avant de lever rapidement sa main droite comme s’il était sur le point de me gifler à nouveau. Je tressaille et sursaute en prévision du coup. Mais le garçon arrête sa main avant qu’elle ne touche ma chatte sensible.

Rigolant de mes craintes désespérées, il attend que je redevienne immobile. Puis il met quatre doigts dans ma chatte couverte de rouge à lèvres. Tenant sa main verticalement, il remplit ma chatte d’un coup.

- Ummmm ! Gémis-je sous la pression soudaine.

Putain, ses quatre doigts étirent vraiment ma chatte. Mais Matt n’a pas fini. Pressant ses doigts l’un contre l’autre il commence à les pousser dans et hors de mon sexe. Il commence même à tourner sa main d’une position verticale à une position horizontale pour étirer encore plus les parois de ma chatte.

- OHHHHH ! AAAHHHH !

Dans ma position, je ne peux que gémir en réponse.

Plusieurs fois il sort ses doigts pour cracher sur ma fente avant de les remettre à l’intérieur. Sa salive se mélange à mon jus et crée des bruits de succion tandis qu’il continue à me baiser avec ses doigts tout en tournant la main. Quand il commence à utiliser son pouce pour frotter mon clitoris, mes gémissements deviennent plus forts.

- UMMMMMMMM ! Grogné-je soudainement.

Ce salaud a plié son pouce pour le placer dans sa paume et il pousse ses cinq doigts dans ma chatte. Les parois de mon sexe serrent fermement ses premières phalanges et s’étirent.

- Je n’ai jamais dit que le rouge à lèvres irait sur ma bite n’est-ce pas ? Me demande triomphalement Matt.

Puis il ajoute :

- Il ira sur mon poignet !

Avant que ses mots aient le temps de monter à mon esprit pour que je comprenne ce que ça implique, il me fait réaliser le sens de ses paroles en maintenant la pression. Les parois de ma chatte sont étirées au maximum. Et mon sexe lutte contre l’invasion. Ma chatte est trop serrée et les jointures de Matt ne glissent pas à l’intérieur.

- AIIIEEEEEAIIIEEEE ! Crié-je en essayant désespérément d’étouffer mes cris.

L’arrogant stagiaire n’est pas satisfait. Il retire brutalement ses doigts de ma chatte distendue et crache une nouvelle fois dessus. A présent je sens la froideur de sa salive.

S’approchant de ma tête, Matt tient sa main devant mon visage et me dit de cracher dessus. L’idée d’aider ce salaud autoritaire à fister ma pauvre chatte me fait grimacer. Mais il n’est pas d’humeur à discuter alors il me donne une grosse gifle sur la joue.

Quand j’ouvre mes lèvres avec précaution, il pousse deux doigts dans ma bouche et il les enfonce immédiatement dans ma gorge. Ça me fait régurgiter et instantanément je produis une grosse masse de bave dans ma bouche. Quand elle est sur le point de déborder, Matt retire ses doigts et la bave jaillit pratiquement avec.

Avec sa main enduite de ma salive, Matt la replace sur ma chatte et commence à pousser aussi fermement qu’il le peut. Quatre doigts entrent facilement à l’intérieur et il ajoute rapidement le cinquième. Cependant, alors qu’il continue de pousser, ma chatte cherche à se fermer. C’est vraiment trop serré.

Il commence alors à sortir et à enfoncer les cinq doigts pour essayer d’étirer progressivement les parois de ma chatte. Comme il ne réussit pas, il tourne la main à  l’horizontale et cesse de pousser.

- AIIIIIIEEEEE ! OOOOOHHHHH !

Une seconde plus tard, il remet sa main à la verticale et pousse du plus qu’il peut. Enfin les parois de ma chatte cèdent et s’étirent. La main de Matt entre dans mon sexe. J’ai l’impression d’entendre un claquement lorsqu’elle me pénètre.

- AIIIEEEEE ! OUILLLE ! AIEEEEE !

Je continue à crier de douleur quand Matt commence à tourner sa main à l’intérieur de mon sexe. Elle se trouve enterrée jusqu’au poignet et maintenant il essaie de racler du rouge à lèvres de ma chatte sur sa peau.

Je ne me suis jamais sentie autant remplie auparavant. Et plus le stagiaire tourne sa main, plus mes parois intimes s’étirent. Je ne peux pas m’arrêter de trembler dans mes liens. Mon corps entier se tortille sur la table dans des tentatives désespérées de soulager mon inconfort.

La pression ne diminue pas du tout. Cette pression constante et la sensation d’être remplie font lentement leur effet et ajoute du plaisir à la douleur. C’est une impression étrange que je ressens alors que la douleur et le plaisir se mélangent et commence à former une seule sensation écrasante.

- AIEEEEEE ! Ai-je de nouveau crié.

Juste au moment où l’inconfort diminuait et que je m’habituais à ce fisting, Matt retire sa main. Cela force l’entrée de ma chatte à s’ouvrir brutalement et ça laisse mon sexe béant.

- Je ne vois pas de rouge à lèvres sur mon poignet. Tant pis pour toi salope, ce n’est pas fini ! S’exclame Matt en inspectant son bras.

Donc, insatisfait du résultat, ce salaud remet ses cinq doigts dans ma chatte béante. Mais la poussée est si puissante que je suis presque entraînée hors de la table basse. Liée comme je le suis, je ne peux rien faire d’autre que de laisser le stagiaire pilonner ma chatte.

- OOOHHHHH ! AIIIIIIIIEEEE ! OOOOOOHHHH !

Je crie quand Matt ferme sa main et qu’il y a maintenant un poing dans ma chatte.

J’ai l’impression que sa main s’est transformée en une énorme boule dans mon ventre, étirant encore plus mon sexe. Encore une fois, il tord et tourne son bras avant de commencer à le pousser dans et hors de ma chatte. Il est en train d’agrandir grossièrement mon sexe avec son poing en poussant mon corps sur la table.

- c’est ouvert comme une porte de grange ! Commente Justin en voyant ma chatte béante alors que Matt a retiré son poing une nouvelle fois.

- Ouais, mais je n’ai toujours pas beaucoup de rouge à lèvres sur mon poignet. Répond Matt, pas trop content du résultat.

Pendant que j’essaie de reprendre une respiration normale, je suis sur les nerfs. Différentes sensations me submergent. Malgré la douleur cuisante, je veux à nouveau que quelque chose remplisse ma chatte. Je me sens tellement vide et insatisfaite, même si ce n’est pas depuis longtemps.

- Oooooohhhhhh ! Gémis-je quand je sens Matt presser sa bite contre mon trou du cul.

Il utilise le jus de ma chatte qui recouvre son poing pour lubrifier mon trou du cul et rendre sa bite bien glissante. Et même si mon anus résiste un peu au début, c’est quand même une diversion agréable au fisting.

Avec un coup de rein puissant, sa queue plonge dans mon cul. Il commence à m’enculer avec des coups puissants et profonds. Maintenant c’est au tour de mon trou du cul de s’étirer. Je sens toujours ma chatte béante alors qu’il me sodomise. C’est tellement de sensations différentes dans mon esprit que je me transforme en masse de chair qui balbutie de façon incohérente.

- Aaaaaahhhhh ! Ummmmmm ! Oohhhhh !

Finalement Matt retire sa bite de mon cul seulement pour ramener sa main sur ma chatte et la serrer en poing. Je fais face à ce nouveau fisting avec une grosse vague de cris tandis que le mélange de douleur et de plaisir me traverse à nouveau.

Cette fois cependant, des sons humides accompagnent le poing de Matt. L’intensité et la force de la pénétration fait déborder ma chatte. Mon jus qui s’échappe se mélange au rouge à lèvres de ma chatte et s’agrippe au poignet du garçon.


A présent, non seulement ma chatte fuit, mais elle est si relâchée que le poing du stagiaire glisse facilement dedans et dehors. Il peut enfoncer sa main dans ma fente sans résistance. Et il le fait plusieurs fois pour amuser Justin. Il plonge son poing formé dans mon sexe et le retire plusieurs fois avant de se retirer et de montrer mon trou béant.

Après avoir répété cette action cinq ou six fois, il positionne son sexe sur l’entrée de mon cul et pousse d’un coup. Tout en me sodomisant activement, il utilise deux doigts de chacune de ses mains pour écarter les parois de ma chatte.

- Regarde, cette garce est tellement ouverte que tu peux voir ma bite s’enfoncer dans son cul par là. Dit Matt à Justin

Apparemment, ça doit être un spectacle vraiment excitant pour ce salaud, car la sève monte dans ses couilles. Il n’a besoin que de quelques poussées de plus dans mon cul pour que sa bite commence à gicler son foutre. Il se retire rapidement de mon cul et utilise ma chatte béante comme cible. Il tire un premier jet dans mon sexe ouvert avant de gicler les suivants dans mon cul lui aussi ouvert.

- Je suppose que tu as besoin de repos après une séance de baise aussi épuisante, hein chienne ? Me demande Matt en rangeant sa bite dans son pantalon.

- Tu peux avoir ça Miss BRATZ ! Ajoute-t-il.

Oh non ! Il ne va pas faire ça ? Pas encore ! En colère je jette un mauvais regard à ce salaud arrogant. Mais il ne fait que rire.

- C’est encore plus amusant quand tu me regardes comme ça, petite pute de bureau. Me dit-il avant de se détourner et de quitter la salle de détente, Justin à sa suite.

Encore une fois, je reste seule au sous-sol. Est-ce la deuxième partie du plan de Matt pour faire découvrir le chantage de Daniel ? Veut-il envoyer un collègue ici pour me trouver et faire virer le latino ?

Je peux bouger autant que je veux, je n’ai aucune chance de m’échapper. Les bras et les jambes attachées au-dessus de ma tête, je peux à peine remuer. Tout ce que je peux faire, c’est écouter les bruits du sous-sol et d’espérer avoir de la chance. Cependant mon cœur bat si fort que j’ai de la peine à entendre autre chose.

Dix minutes plus tard, la porte s’ouvre. Paniquée, je ferme les yeux.

- Justin vient de me dire que Matt t’a laissé ici !

C’est Daniel ! Il vient à mon secours. Il enlève mes chaînes et me délivre de ma position inconfortable.

- On m’a également dit que tu avais appris une nouvelle compétence, petite chatte. Tu n’es pas seulement une pute à enculer, mais aussi une pute à fister. Me dit-il.

Puis il me montre de nouveau son côté attentionné :

- Tout va bien ?

Même si ma chatte est béante et douloureuse comme jamais, je hoche rapidement la tête. J’ai accompli le défi, c’est la chose la plus importante. Le jeune latino m’informe alors :

- Je pense avoir trouvé un plan. Matt va fêter son anniversaire ce week-end et je pense que nous pouvons utiliser ça à notre avantage. Mais aujourd’hui continuons à nous conduire normalement. D’accord ?

Encore une fois, je hoche la tête rapidement. Oui je vais continuer. Au moins le tour de Matt sur le défi est terminé, c’est déjà ça.

Après m’avoir laissé étirer mes jambes et reprendre des forces, Daniel me tend ma veste en cuir bordeaux et il me renvoie dans mon bureau. L’après-midi est bien entamé et je n’ai pas terminé mon travail. J’ai subi deux tours du défi du rouge à lèvres, pris un café et visité le sous-sol, mais je n’ai pas réussi à répondre à mes mails quotidiens. A présent, exécuter les défis ressemble plus à du travail que ce que je dois faire réellement.

Daniel me laisse une heure pour me remettre du défi avec Matt avant d’entrer dans mon bureau. Je suis au téléphone pour discuter avec le client dont je suis en trains de finaliser le projet.

Mais le latino s’en fiche. Il s’approche simplement de moi pendant que je fais de mon mieux pour parler avec mon interlocuteur tout en observant ses mouvements. Bien sûr, je ne peux me concentrer sur deux choses à la fois et je n’écoute pas la réponse de mon client.

- Je suis désolé Monsieur, j’ai été distraite. Je ne suis pas douée pour le multitâche, hi hi hi ! Dis-je au téléphone avant de demander à l’homme de répéter sa réponse.

Une fois de plus, j’essaie de couvrir mon erreur d’un rire stupide. Bon sang, la simple présence de Daniel suffit à transformer la dirigeante d’entreprise que je suis en pute de bureau à la tête vide. La façon dont le latino glousse à mon rire stupide m’excite en un rien de temps.

Pendant que je fais de mon mieux pour écouter la réponse de mon client, Daniel s’approche de moi et me saisit les jambes. Il les écarte largement jusqu’à ce que ma jupe en cuir bordeaux soit remonté sur mes cuisses et dévoilent ma chatte nue.

Je ne lutte même pas, le laissant se débrouiller avec mon corps tout en essayant désespérément de continuer ma conversation téléphonique. Il replie mes jambes écartées derrière les pieds de ma chaise de bureau. Puis il les attache ensemble avec les bracelets de cheville.

- Oh putain ! Laissé-je échapper.

Daniel vient de m’attacher à ma chaise de bureau. Je ne peux pas me lever ! Je ne peux pas fermer mes jambes ! Je suis piégée dans mon bureau avec ma chatte exposée.

Je ne me suis même pas rendu compte que j’avais crié au téléphone jusqu’à ce que mon client me demande ce qu’il se passe. Encore une fois, je me retrouve à m’excuser en gloussant. A la hâte je termine l’appel. Dès que j’ai raccroché je dis à Daniel :

- C’est quoi ce bordel ? Vous ne pouvez pas m’attacher comme ça ! Pas avec Matt qui veut vous éjecter !

Mes protestations ne font que faire sourire Daniel pendant qu’il enfonce ses mains dans ma veste pour commencer à tripoter mes nichons.

- Ne t’inquiète pas petite chatte ! Matt est occupé avec LAMBERT en ce moment. M’explique-t-il l’humeur détendue.

- Mais… Mais… Vous ne pouvez pas m’enchaîner dans mon bureau… Ohhhh… Pas ici ! Oohhhh ! Je ne peux pas me lever ! Oohhhhh….

Mes protestations se transforment en gémissements quand le latino commence à manipuler mes mamelons.

Ils cessent de les pincer quand ils sont durs comme du roc et pointent sous ma veste en cuir bordeaux. Même si mes bras ne sont pas attachés, je les laisse pendre à mes côtés. Je ne pense même pas à arrêter Daniel alors que nous sommes dans mon bureau.

Tout ce que je suis capable de faire c’est de rester aussi silencieuse que possible, ce qui est assez difficile dans mon état d’excitation. Surtout quand le stagiaire enlève sa main droite de mon sein pour aller titiller mon clitoris. Faisant un pas en arrière, Daniel me demande :

- Tu en veux plus petite chatte ?

Il connaît parfaitement la réponse.

- Bien sûr que tu en veux plus, petite pute de bureau gourmande.

TOC TOC !

Avant que je ne puisse répondre, nous sommes interrompus par deux coups sur ma porte de bureau. Paniquée je me fige. Que dois-je faire ? Dois-je faire semblant d’être partie pour une réunion ? Ou dois-je répondre comme si de rien n’étais ?

Avant que je me décide, la porte s’ouvre. C’est ORTEGA, il passe sa tête à l’intérieur de mon bureau.

- Mlle ADDAMS ? Je dois quitter le bureau pour l’heure qui vient et Mlle KEELAN vient de partir chez le médecin. Me dit mon rival d’un ton neutre.

Surprise je me contente de le regarder la bouche ouverte. Je me rappelle que mes jambes sont attachées à ma chaise.

- Je serai absent pendant une heure environ et je vais rediriger mes appels vers votre téléphone. Vous serez gentille de répondre pour moi. Me dit-il simplement.

Hein ? Quoi ? Il veut que je sois sa secrétaire pendant la prochaine heure. Est-ce qu’il est fou ? Nous sommes tous les deux cadres, au même niveau. Il a toute une équipe de subordonnés qui travaillent pour lui. Et puis il ne me demande pas, il me l’annonce comme si c’était décidé.

Je vois ORTEGA me regarder. Il me dévisage. Heureusement mes jambes grandes ouvertes sont cachées derrière le bureau en bois. Mais s’il regarde de plus près, il pourra voir que je n’ai plus de chemisier. Et s’il entrait et s’approchait ? Je ne peux pas bouger. Il verrait mes mamelons dressés pousser ma veste.

Mon cœur bat à cent à l’heure. Je regarde ORTEGA puis Daniel et je reviens vers mon rival. Je vois son regard intransigeant alors que le stagiaire sourit.

- Euhhh… Oui… D’accord… Balbutié-je en essayant de retrouver mon calme.

Mon esprit est tellement embrumé que je n’ai pas réussi à contrer ORTEGA et à le remettre à sa place comme je l’aurais fait habituellement. Avec Daniel présent, je ne me sens même pas en position de rabrouer mon rival pour sa goujaterie.

- Ok merci ! Dit ORTEGA sans attendre ma réponse complète.

Lorsque qu’il repart et s’éloigne, Daniel le suit rapidement et ferme la porte sans me dire un mot. Putain de merde, ORTEGA vient de me confier une tache de subalterne et je n’ai même pas protesté. Nous somme sur un pied d’égalité en ce qui concerne notre statut dans la société. Mais le fait qu’il me charge de cette tache exprime clairement son point de vue. Et le fait que je n’ai pas rouspété dit tout sur mon changement de situation.

Il y a quelques jours à peine, je me serai levée pour le regarder en face et je l’aurai renvoyé manu militari. Mais aujourd’hui, je n’ai même pas réussi à trouver une réponse cohérente. Je suis simplement contente qu’il n’ait pas remarqué mon chemisier manquant et mes jambes écartées.

Je parie qu’il va se vanter auprès de son équipe que j’ai accepté de jouer le rôle de sa secrétaire. Probablement il va même dire à O’BANNON que je ne suis pas un successeur convenable pour la société. Après tout, il faut s’affirmer  pour être PDG non ? Même si ce n’est que pour une heure, ça ruine ma position dans l’entreprise. Toutefois, c’est toujours mieux que s’il avait découvert ma tenue et ma chatte exposée. Accepter cette tâche subalterne me pousse encore plus loin dans la soumission. Je passe la majeure partie de l’heure suivante à penser que je sers de pute de bureau officiel pour les employés.

Daniel me laisse seule toute l’heure. Mon téléphone sonne deux fois. Comme je n’ai pas reconnu le numéro, ça devait être un appel pour ORTEGA. Même soumise, il y a encore de la fierté en moi. Donc, même s’il m’avait prise au dépourvu, je ne me plierai pas si facilement à sa volonté, je ne serai pas sa secrétaire. Je ne décroche pas le téléphone. Après tout, ce n’est pas de ma faute si ORTEGA rate un appel important. Je ne travaille pas pour lui.

A suivre…