lundi 5 février 2024

Changements de vie pour Jessica Ch. 16

 Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

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La journée de défi continue.

Quelques heures plus tard, c’est l’heure de mes cinq minutes de masturbation. Juste au moment où je me prépare, ma porte de bureau s’ouvre et les quatre stagiaires entrent. J’ai une impression de déjà-vu. Dès que Daniel a fermé la porte, Matt se place devant mon bureau.

Mince ! Il a déjà remporté le jeu de la roulette russe et il a encore la possibilité du Pierre-Papier-Ciseaux. Il me dit :

- Bien Miss BRATZ. Tu as évité de nous servir le déjeuner. Mais reprenons où nous en étions. Il est temps de faire une pause, tu ne crois pas ? Alors si je gagne tu nous serviras le café.

Bon Dieu, ils ne vont pas arrêter leurs tentatives de me transformer en servante ? Servie du café est à peine mieux que de servir le déjeuner. C’est toujours une tâche de servante. Quelque chose que je ne fais pas même pour mes clients quand je n’ai pas d’assistant.

- Pierre… Papier…

Comme les autres, Matt commence sans attendre ma réponse.

Je serre rapidement le poing et je joue. Je n’ai pas encore choisi « Pierre » alors je décide de faire ça. Matt fait la même chose, nous sommes à égalité.

Nous devons donc faire un autre tour. Une fois encore je serre le poing. Mais cette fois-ci je décide de faire « Papier ». En revanche, mon adversaire ne change pas d’idée et reste « Pierre ».

J’ai de la chance, je n’arrive pas à y croire. Je viens de vaincre Matt. C’est la plus belle victoire de la journée.

Voir son visage empourpré par les émotions et fluctuant entre la déception et la rage est la récompense de la journée. C’est encore mieux que sa réaction de ce matin quand il a vu comment je m’étais enjolivée. Je n’arrive pas à cacher le sourire sur mon visage qui le rend encore plus furieux.

Toutefois, malgré ma victoire, j’ai toujours ma tâche à accomplir. Et Daniel n’a pas oublié non plus. Il se dirige vers mon bureau et me tend le gode.

- Nous avons pensé que nous devons te donner un coup de main, petite chatte. Nous ne voulons pas que tu profites de la situation et que tu jouisses secrètement après toutes ces actions coquines. Ma dit-il en agitant la fausse glace rose devant le visage.

Je regarde mon homme autant avec indignation que par contrariété. Je suis scandalisé par son hypothèse que je ne suivrais pas ses règles. En même temps, je me sens mal à l’aise de le faire devant tous les stagiaires. Ce qui est ridicule, car je l’ai déjà fait et j’ai sucé le gode non ?

Même si ça ne me fait pas plaisir de me montrer en spectacle aux garçons, j’essaie de retirer le gode des mains de Daniel. Mais il ne veut pas. Il pousse ma main hors de portée pour conserver l’objet.

- D’abord un strip salope ! Dit-il.

Lentement je  commence à balancer les hanches tout en tirant sur la robe en patchwork noir et blanc. Quand elle se retrouve au-dessus de mes fesses, je me retourne et présente mon cul nu.

Mes mouvements de bassin deviennent de plus en plus rapides, je secoue mon gros cul. Ma chair remue et donne aux garçons un sacré spectacle. Leur faisant face à nouveau, j’abaisse le col de ma robe et je laisse apparaître mes gros nichons enserrés dans le chemisier rouge.  Celui-ci semble à peine recouvrir ma poitrine et serre mes seins qui sont gonflés de manière obscène. Je continue à danser et à faire remuer toutes les parties de mon corps.

Finalement, j’attrape la fermeture à glissière et j’ouvre complètement ma robe, puis je la laisse glisser au sol. Je suis maintenant au milieu de mon bureau seulement vêtue de mon chemisier rouge et mes escarpins à talons hauts, attendant que mon homme me tend un gode pour me masturber devant des stagiaires excités.

Cependant, Daniel ne me donne toujours pas la fausse glace. Apparemment il a d’autres projets pour ma séance.

- Tu sais ce qui est bien avec ce gode petite chatte ? Me demande-t-il avec un sourire narquois.

Il me laisse réfléchir puis ajoute :

- C’est la poignée qui est vraiment pratique.

Sur ces mots, il se dirige vers mon bureau sur lequel se trouve un porte-cartes de visite en bois à côté de mes documents de travail. C’est un porte-cartes assez massif avec dix compartiments minces, contenant chacun environ dix cartes. Le latino macho est sur le point de transformer cet élégant élément de mon bureau en quelque chose de totalement différent.

Il prend les cartes de visite se trouvant dans le compartiment du milieu et il les jette négligemment sur le sol. Ensuite il fiche le poignet du gode dans ce compartiment vide. Je n’arrive pas à y croire. Le gode sort du porte-cartes au beau milieu de mon bureau.

Bon sang, où ont-ils trouvé ce maudit gode ? C’est vraiment un outil de dégradation. Le sucer est vicieux, car je donne l’impression d’être une jeune fille en train de sucer une glace. Me baiser avec élargit mes trous à cause de sa circonférence. Et la poignée permet de le fixer presque n’importe où, comme sur une déchiqueteuse, un porte-cartes ou Dieu sait quoi d’autre.

- Allez poupée ! Nous savons tous que tu veux que ta chatte soit remplit de jouets de salope ! je peux déjà te voir baver. Rigole Daniel.

Non je ne bave pas. Et oui je veux que ma chatte soit satisfaite. Mais pas dans mon bureau et certainement pas sur mon bureau. Néanmoins, je me lève, attrape mes documents, les ferme et les range soigneusement dans un tiroir. Je ne veux pas qu’ils soient salis. C’est un peu stupide de me préoccuper de mes affaires alors que je suis sur le point d’agir comme une vraie salope dans mon bureau. J’ai de plus gros problèmes que quelques documents froissés.

Enfin je monte sur le meuble. J’ai l’impression d’être une strip-teaseuse qui se tient sur une scène devant un public. Mon chemisier rouge convient très bien à cette situation. Lentement je m’accroupis et j’écarte mes jambes, exposant ma chatte rasée. Écartant les petites lèvres de ma chatte avec mes ongles longs, je descends doucement sur le gode.

- Ooooohhhh !

Je ne peux m’empêcher de gémir lorsque la tête du gode divise ma fente.

- Ohhhh merde ! …. Ohhhh !!  Aaaaahhh !

Je grogne quand je sens le gode s’élargir quand je pousse vers le bas. Ma chatte est agrandie. La fausse bite est tellement épaisse qu’elle glisse avec peine à l’intérieur. Je dois vraiment travailler dur et presser ma chatte par de petits mouvements giratoires pour que le gode pénètre bien.

Le porte-cartes n’est sûrement pas l’objet le plus propice pour tenir le gode. Quand j’empale ma chatte sur la fausse glace, il se déplace dangereusement. Je serai pathétique si le gode s’échappait et si je culbutais sur le bureau. Je saisis donc le porte-cartes de la main gauche pour le maintenir en place.

Lorsque finalement, le gode est à l’intérieur de ma chatte, je me sens tellement remplie que c’est ahurissant. Les lèvres de ma chatte tiennent fermement l’engin et le laisse à peine bouger. Pourtant, je commence à  pilonner mon sexe de haut en bas.

- En haut ! En bas ! En haut ! En bas !

Accompagnée des cris encourageants des stagiaires, j’augmente la vitesse jusqu’à ce que je me baise vigoureusement avec le gode. Tout ce temps, je tiens fermement le porte-cartes pour empêcher le tout de glisser. Ça doit vraiment me faire paraître maladroite et ridicule.

Dans ma frénésie lubrique, je commence à pétrir et à pincer mes mamelons avec ma main libre jusqu’à sentir mes cuisses se fatiguer. Mes jambes commencent à trembler d’épuisement et mes mouvements deviennent plus lents. Daniel me laisse faire et profite de mes difficultés

- Montre-leur ton trou de pute ! M’ordonne-t-il finalement.

Après avoir retiré le gode, je finis par tomber sur le cul. Je n’ai plus de force dans les jambes. Au moment où mes fesses heurtent le bois de mon bureau, ma chatte libère un peu de mon jus. Je suis gênée. Je rougis et ça fait rire les gars.

Mais, je me comporte de façon cochonne avec enthousiasme. Immédiatement j’écarte les jambes, assis sur le bureau. Après avoir été distendue par le gode, ma petite chatte rose est déjà ouverte. Je tends les mains vers le bas et je pousse deux doigts de chaque main dans ma chatte trempée. En me penchant en arrière, j’écarte les parois de mon sexe. j’ouvre ma chatte pour faire découvrir le tunnel sombre et profond. Dans cette position, je sens l’air froid pénétrer dans mon intimité.

Daniel commente alors :

- Belle vue ! c’est bien à quoi est censée ressembler une chatte de salope, pas vrai ? Ouverte pour les affaires.

- Absolument ! Héhé ! Crient les autres stagiaires.

- C’est ouvert si grand que nous pouvons presque voir son cœur. Ajoute Justin.

- C’est ouvert si large que nous pouvons voir l’intérieur de la tête vide de cette salope. Dit Matt.

Je rougis encore plus.

- Tu sais salope que le temps file encore ! Me dit Justin pendant que les autres rient encore de la remarque de Matt.

Puis il attrape le gode en le dégageant du porte-cartes. Des yeux je le suis dans la pièce, il marche vers le mur avec des fenêtres. Comme nous sommes dans un vieil immeuble, nous n’avons pas de système de climatisation intégré au plafond. Au lieu de ça, il y a des climatiseurs individuels dans chaque bureau sous les fenêtres.

C’est exactement où se dirige Justin. Une fois encore, il utilise le manche du gode pour transformer un simple équipement de bureau en jouet de baise vicieux. Il pousse le manche du gode dans une des fentes de ventilation du climatiseur. Ainsi l’objet ressort latéralement.

- Ouais, bonne idée ! Félicite Matt.

 Et merde, non ce n’est pas une bonne idée du tout. Le climatiseur est juste au-dessous de la fenêtre.

- Allez poupée ! Viens là ! Dit Justin en me faisant signe.

Je regarde Daniel en espérant qu’il intervienne et arrête ces bêtises. Mais il me fait un signe de tête et me fait comprendre de continuer. Bien sûr, il ne peut montrer aucune faiblesse devant ses collègues stagiaires.

Très lentement je me dirige vers le climatiseur. Pour me rassurer, je regarde par la fenêtre. Pour la première fois je suis contente de la vue. Heureusement elle donne sur le parking.

Mon bureau est situé au dernier étage et il n’y a pas d’autres bâtiments aussi hauts autour. Donc personne ne peut voir à l’intérieur de mon bureau. De plus il n’y a personne sur le parking à l’exception d’un consultant en train de se garer. Il doit revenir d’une réunion avec un client.

Debout devant la fenêtre, Justin a un énorme sourire sur le visage. Visiblement il est très content de son idée. Je pense qu’il essaie d’impressionner Matt… à mes dépens.

- Voilà Miss BRATZ, ton jouet t’attend. Va le chercher ! Commande-t-il alors que je ne bouge plus.

Apparemment, je suis trop lente en compréhension parce qu’il m’attrape les épaules et me retourne pour que mon dos soit face à la fenêtre. Puis il me pousse dans le dos pour que je me plie.

Je ne résiste pas et je le laisse me positionner comme il veux. De toute façon, ça ne me sert à rien d’objecter. De plus je ne veux vraiment pas me débattre ? Je veux être leur jouet de baise. La façon dont ils transforment mes équipements de bureau en jouets sexuels est si vicieuse et humiliante que ça me transforme en affamée de plaisir.

Justin continue de me pousser jusqu’à ce que je sois à quatre pattes, le visage au sol, les fesses en l’air. Mais même si je lève mon cul au maximum, le gode est trop haut.

Qu’est-ce qu’il vient d’inventer cet idiot ? Il a même pas prévu l’écart de hauteur.

J’essaie de me relever et de me pencher, mais l’étudiant en commerce ne me laisse pas faire. Bon sang, je ne peux pas atteindre le gode en restant agenouillée par terre. Alors je pousse à la fois sur mes mains et mes pieds pour essayer de l’atteindre.

Et merde, je dois faire du yoga pour y arriver. C’est absurde. Pourtant, finalement, je me sens si bien, lorsque ma chatte est enfin remplie avec l’objet en silicone. Alors, encore et encore, je pousse mon corps d’avant en arrière pour empaler mon sexe sur le gode.

Je dois vraiment avoir l’air ridicule. Une dirigeante d’entreprise, dans une position de yoga, qui s’empale et se baise sur un gode rose juste sous une fenêtre. Et c’est encore plus dégradant lorsque ma chatte bien humide commence à faire des bruits de succion à chaque poussée.

En arrière ! SLURP ! En avant ! Slurp !

En arrière ! SLURP ! En avant ! Slurp !

Tout ça me rend folle. Je me rapproche de l’orgasme et j’augmente la vitesse. De plus en plus vite, je m’empale sur le gode. Et de plus en plus près est ma jouissance. Putain de merde, je fais une grosse séance d’entraînement physique. Je travaille plus fort que pendant mes cours de yoga. Une autre idiote qui ne fait qu’ajouter à la chaleur qui gronde dans mes reins.

Je suis totalement perdue dans mon envie alors que j’essaie désespérément de garder mes gémissements inaudibles. Mais j’échoue, et des cris remplissent mon bureau. C’est à ce moment que je sens une brise d’air frais sur mon cul.

En état de choc, je m’arrête de bouger. Justin vient d’ouvrir la fenêtre. Quel connard ! Je ne peux pas être vue, mais je peux être entendue maintenant.

Justin rigole face à moi et dit :

- Hé hé hé, pourquoi tu t’arrêtes ? M. EVANS vient juste de passer. Je parie qu’il aimerait entendre tes gémissements.

Putain ! Ça doit être le consultant qui vient juste de se garer sur le parking. C’est un des membres de mon équipe. Et s’il m’a entendu ? Et s’il a vu ma fenêtre ouverte ? Je ne pourrais jamais plus lui faire face.

Mes gémissements n’ont pas été aussi forts que ça n’est-ce pas ? Et il y a d’autres bruits dehors non ?

- C’est amusant, mais ne mettons pas notre position en danger. Intervient finalement Daniel qui semble un peu agacé.

Comme le latino est toujours le leader du groupe, Justin ne proteste pas et ferme la fenêtre, même si Matt ne paraît pas trop content. En le regardant droit dans les yeux, j’envoie un merci à mon homme avant de me concentrer de nouveau sur ma tâche.

Reprenant mon va-et-vient sur le gode, j’essaie de retrouver le rythme. Il faut peu de temps avant que le jus de ma chatte coule à nouveau et mon excitation revient plus forte que jamais.

Les cinq minutes doivent être passées depuis longtemps, mais je donne un spectacle si vicieux aux gars qu’ils ne peuvent probablement pas s’arrêter de regarder. Ils vont me laisser continuer non ? Ils vont me laisser jouir pour être un si bon jouet de baise non ?

Tout mon corps est tendu. Mes orteils se recroquevillent. Je suis au bord de l’orgasme.

Nooooonnnn… On me tire par les cheveux. Le gode sort de ma chatte béante. Je tombe sur mon visage et mes seins.

Matt m’a attrapé par la chevelure et m’a traîné loin du climatiseur. Je proteste avec de petits cris et des gémissements. Je veux que le gode revienne à sa place.je veux que ma chatte soit encore bien remplie.

Matt lâche mes cheveux et attrape le gode pour le retirer du climatiseur. Il va le remettre dans ma chatte non ? Mais il ne le fait pas. Au lieu de ça il le brandit devant mon visage. 

- Tu veux lécher ton jouet Miss BRATZ ? Dit-il pour me taquiner.

J’acquiesce rapidement. En fait je le veux en moi. Je me moque bien de quel trou il peut remplir tant que je l‘ai en moi. En regardant la fausse glace rose, je commence à baver. L’objet a un effet hypnotisant sur moi. Je le suis des yeux.

Matt commence à reculer en laissant le gode pendre devant son entrejambe. Il marche lentement à reculons. Je ne réalise même pas que je marche à quatre pattes pour suivre le gode juste au moment où j’ai fait le tour complet du bureau et que les rires des stagiaires résonnent dans mes oreilles.

Putain de merde ! Sans m’en rendre compte, j’ai agi comme un âne avec une carotte qui pend devant son visage. Je suis un animal de compagnie stupide essayant d’attraper son jouet.

Avant de réaliser complètement mon comportement déluré, Matt saisit à nouveau mes cheveux châtains et tire dessus pour me remettre debout. Ensuite, avec une poussée dans le dos, il me plie sur mon bureau.

Il n’a même pas besoin de dire un mot, j’ouvre instantanément mes jambes et je cambre mon dos pour lever mes fesses. Je veux lui présenter ma chatte humide. Je veux l’inciter à me fourrer le gode.  Je fais même tournoyer mon bassin de façon suggestive.

- Uummphhh !

Je grogne quand Matt suit mon invitation et fourre la fausse glace rose en silicone dans ma chatte. Il n’est pas tendre du tout. Il enfonce le gode profondément, étirant les parois de ma chatte. Heureusement, ma grotte intime est lubrifiée avec mon jus et le gros gode glisse à l’intérieur. Mais la force du garçon me pousse sur la pointe des pieds.

Le stagiaire n’hésite pas. Il commence rapidement à pousser le gode dans et hors de ma chatte. Mon Dieu, il est en train de marteler mon sexe avec une telle force qu’il me soulève du sol et me pousse sur le plateau du bureau.

Cependant, ma chatte excitée accueille bien le traitement. Après toutes les taquineries d’avant, j’ai besoin d’un traitement plus rude. Tout mon être est centré sur ma chatte. Mes mains impuissantes tremblent jusqu’au moment où, Matt les prend et les maintient fermement dans le dos. Soudain il cesse le pilonnage de ma chatte.

- Uummphhh !

Je grogne fort quand mon trou du cul se tend brusquement. Il bourre sa queue dans mon cul non préparé. Il ne s’embarrasse pas avec des préliminaires. Il enfourne simplement son membre épais dans mon sphincter serré tout en me maintenant en place, ses mains tenant mes bras. Mon cul lutte puissamment pour accommoder la taille de sa bite avec mon anneau anal.

Malgré l’invasion soudaine, le gode est toujours dans ma chatte. Il remplit complètement mon vagin. Et maintenant, la bite de Matt est dans mon cul. Je me sens distendue de partout. Je n’ai jamais été autant bourrée auparavant.

- Oooohhh ! Ooowww ! Putain : Oohh putain !

J’ai crié si fort que ça m’a même surpris.

Rapidement je me mords la lèvre pour réprimer mes cris. Ma fenêtre est fermée maintenant, mais il y a toujours des collègues à proximité.

Toutefois, la double pénétration ne dure pas longtemps. Quand Matt entre complètement sa queue dans mon cul, ça a pour conséquence de pousser le gode hors de ma chatte. Il tombe bruyamment sur le sol.

- Fieeeewwww… Gémis-je de soulagement.

- Tu es trop stupide pour garder ton jouet à l’intérieur, salope ? Me réprimande Matt.

Avec une grande claque sur mon cul, il retire sa bite et attrape le gode rose sur le sol. Alors que mes trous sont maintenant vides, ma chatte tremble de façon exaspérante. Bon sang, mon corps veut être rempli à nouveau.

- Pousse-le à l’intérieur et tiens-le cette fois stupide pute ! Dit Matt en giflant mon cul une fois de plus.

Non je ne vais pas pouvoir le supporter ! C’est trop ! Je veux protester, mais je me contente d’acquiescer humblement. Je saisis le gode de la main droite et j’écarte les jambes tout en restant penchée sur mon bureau. Je pose la tête de la fausse glace sur ma fente scintillante et je lubrifie l’objet avant de la glisser dans ma chatte.

C’est la partie la plus facile. Tout en tenant fermement le gode, je prends une profonde respiration pour me préparer à ce qui va suivre. Quelques secondes plus tard, je sens la bite de Matt pénétrer mon cul. Une fois encore il n’est pas doux et il enfonce sa queue au plus profond sans préliminaires.

- Aaaarrrgggghhhh ! Crié-je.

Je ne peux pas me taire. Je dois crier. Donc, rapidement, je me mords le poignet gauche pour étouffer mes cris, même si je continue à pleurer.

- Mmmmmmppppphhhh ! Mmmmmphhh !

Avoir ma chatte et mon cul remplis en même temps est inconfortable, mais aussi étrangement excitant. J’ai quand même du mal à m’habituer à la double pénétration. Mais Matt s’en fout pas mal. Il commence à pousser sa grosse queue dans et hors de mon cul.

Quand il repousse son membre à l’intérieur, je sens le gode qui veut ressortir. La première fois, je manque de le laisser s’échapper, ce qui me vaut une nouvelle grosse claque sur mon postérieur. La fois suivante, je garde une prise plus forte sur le gode pour le maintenir en moi. Je sens la bite du stagiaire glisser contre l’objet en silicone à travers la fine membrane séparant mes deux conduits.

- Mmmmmphhh !

Je ne peux pas m’empêcher de crier sur mon poignet.

- Oooohhh ! Aaarggghhhh !

Je finis par lâcher mon poignet et je hurle bruyamment.

De toute évidence, Daniel est aussi préoccupé de moi de ne pas attirer les autres employés. Alors il défait sa cravate et la pousse dans ma bouche pour étouffer tous mes cris.

Bon Dieu ! Utiliser cet accessoire de costume de cette façon est obscène. C’est vicieux. Toutefois je me moque bien de cette perversion, tout ce qui m’importe pour le moment c’est que l’on étouffe mes cris.

Tenir le gode moi-même me laisse une peu de latitude pour contrôler ma double pénétration. Chaque fois que Matt repousse sa queue dans mon trou du cul, je laisse le gode glisser à mi-chemin pour laisser de la place à la bite. Mais le stagiaire dominateur reste brutal. Il m’encule le plus durement possible.

Les sensations sont intenses. Plusieurs fois je manque relâcher ma prise sur le gode et je sens mes jambes céder. La prise de Matt sur mes cheveux est tout ce qui me retient en place.

Le garçon finit par se fatiguer. Alors il tire mon corps vers le haut avec une traction sur la chevelure et il me fait me retourner. Il me fait asseoir sur le bureau et me pousse en arrière jusqu’à ce que je sois couchée sur le dos. Puis il ramène mes jambes vers le haut jusqu’à ce que mes genoux reposent à droite et à gauche de mes gros seins.

- Reste comme ça salope ! Dit-il.

Je pose mes mains sous mes genoux et je maintiens mes jambes levées. Je suis incapable de me déplacer dans cette position. Et mes trous sont complètement à la disposition de Matt. Je suis totalement à sa merci.

Comme mes mains sont occupées, Matt a saisi le gode. Il l’enfonce grossièrement dans ma chatte qui fuit. Puis il place son gland contre mon trou du cul et commence à appuyer. Cette fois il introduit lentement sa bite dans mon conduit anal en savourant son étroitesse.

Il tient le gode en place, profondément enfoncé dans ma chatte. Dans cette position, je sens chaque centimètre de sa queue frotter contre ma fine membrane. Ça me rend folle.

- MmmmMMMMPPPHHH !

Mes cris étouffés deviennent de plus en plus forts sous la cravate dans ma bouche.

Quand Matt est complètement dans mon cul, il commence à me pilonner. Il va lentement au début, mais il accélère de plus en plus le rythme. Ses couilles claquent contre mes fesses. Il me baise brutalement pendant un certain temps. Puis il retire le gode en même temps que sa bite.

- MMMMMMPPPPHHHH ! MMMMPPPPPHHHH !

Mes cris étouffés s’élèvent à nouveau dans la pièce alors qu’il enfonce sa bite et le gode en même temps dans mes trous.

Il agrandit mes orifices au-delà de leur capacité. Dans ma position, les genoux relevés près de ma poitrine je ne peux rien faire d’autre que crier et encaisser. Le garçon me pilonne les deux trous en même temps. Il me baise si fort que mon corps glisse sur la table.

Pendant quelques instants, j’ai peur de tomber du bureau. Mais mon esprit revient vite aux sensations émanant de ma chatte et mon cul. j ai l’impression de perdre la raison alors que les deux engins forent mon corps avec force. Les couilles du garçon battent durement contre mes fesses. C’est trop et je jouis.

J’ai du mal à tenir mes genoux alors que mon corps tremble et se contracte. L’orgasme me traverse alors que Matt continue à m’enculer. C’est trop bon !

Je jouis à plusieurs reprises même si à chaque fois je pense que c’est impossible que je le fasse une fois encore. Je ne remarque même pas que Matt jouit lui aussi. Cependant il n’arrête pas de me baiser, continuant à me marteler le cul.

Une minute plus tard, les couilles bien essorées, il sort sa bite de mon trou du cul. On entend un « PLOP » quand sa queue sort. J’ai alors un frisson de honte !

- Allez grosse salope, récupère le nectar dont tu te nourris ! Me dit-il en reculant un peu.

J’ai tellement joui que je me sens un peu étourdie. Toute tremblante, je me relève et je me mets à genoux sur le bureau. Je passe l’ongle long de mon index autour de mon trou du cul. Il est gonflé et reste ouvert. Si mon anus a l’air aussi étiré et agrandi que je le sens, alors ça doit être un sacré spectacle.

Matt a giclé au plus profond de mon cul. Glissant mon index, je me doigte pour essayer de ramener le sperme. Mais je ne le trouve pas.

Alors je commence à pousser tout en tenant ma main droite sous mon cul. Je sens le sperme gluant glisser lentement dans mon tuyau anal.  Mon Dieu, je suis sur le point d’expulser du sperme de mon cul dans ma main. C’est horrible !

Je regarde par-dessus mon épaule et je vois les gars observer mon trou du cul béant. Ils sont hypnotisés par ce spectacle pervers.

Je pousse si fort que mon cul se contacte énormément, mais peu de sperme s’écoule. Merde, être observée alors que j’essaie de faire sortir du foutre de mon cul est totalement dégradant. Je prends une forte inspiration et je force aussi fort que possible.

PRRRRRTTTTTTT !

Un énorme bruit de pet jaillit de mes fesses, et finalement un flot de sperme épais tombe sur ma main. Je gémis quand j’entends le bruit. J’ai pété devant les stagiaires ! Mais quelle honte !

- Héhéhé ! Une salope qui chie du foutre ! Tu es bien Miss BRATZ.

Matt ne laisse pas passer cette chance de m’avilir encore plus. Bon sang, c’est vrai que je ne peux pas me sentir comme une poupée sexy avec une flaque de sperme dans ma main. Je cherche des mouchoirs dans le tiroir de mon bureau, mais les gars m’arrêtent :

- Attends putain ! Tu ne veux pas que ta nourriture de salope soit gaspillée n’est-ce pas ? Dit Justin pour m’avilir comme son collègue.

Je les regarde bouche bée. C’est trop dégueulasse ! Je ne peux pas faire ça, je ne veux pas faire ça. Je regarde Daniel en le suppliant des yeux. Mais il se contente de me dire :

- Matt a remporté la roulette russe. Tu vois avec lui, pas avec moi.

- Je me fiche de ce que veut Matt. Cependant, il faut que je finisse ce défi. Après tout, je ne veux pas enfreindre les règles du latino. Je veux être un bon animal de compagnie pour lui.

Donc refuser n’est pas une option. Je regarde la flaque de sperme dans ma main et je fais une grimace de dégoût. Je dois avoir l’air d’avoir léché un citron. Lentement je lève la main vers ma bouche et je tire la langue. Avec précaution je lape une peu du foutre.

- Beuuurrkkkk ! Gémis-je quand le goût me frappe.

Mon visage grimace encore plus. Tous mes muscles faciaux sont crispés. Mon corps tremble quand le goût me traverse. Pouaaah, c’est affreux. Ça n’a pas mauvais goût, c’est pire !

Et ce goût ne semble pas vouloir s’évanouir. Au lieu de cela il remplit ma bouche. Je n’ai plus qu’un moyen d’en finir. J’ouvre ma bouche en grand, le lève ma main et je laisse toute la masse dégueulasse de foutre se déverser dans ma gorge.

Ma dégradation est si profonde que je tends l’autre main vers ma chatte. L’humiliation mentale de devoir avaler du sperme sorti de mon cul envoie de forts picotements dans ma chatte, si bien que je jouis. C’est incroyable, mon corps prend du plaisir à mon obligation d’avaler ce foutre.

J’avale encore et encore. J’ai besoin de déglutir plusieurs fois pour absorber la charge épaisse de sperme. Pendant tout ce temps, l’orgasme continue de ravager mon corps.

Beurrrkkk ! Oooooooohhhhhh ! Beurrrrkkkk !

Après avoir fini de tout avaler et de m’être remis de ma jouissance, je constate que Matt, Justin et Taylor ont quitté mon bureau. J’avais été tellement submergée par cet orgasme inattendu que je ne l’avais même pas remarqué.

Après m’avoir laissé reprendre mon souffle pendant quelques instants, Daniel s’approche de moi. Il est le seul à être resté. Quand il me tire de dessus le bureau, je suis si faible que je tombe immédiatement à genoux.

- Tu as bien travaillé aujourd’hui. Je suis fier de mon petit animal de compagnie. Je ne pouvais pas souhaiter une meilleure salope. Me dit le latino en me caressant doucement la joue.

Ses compliments provoquent une montée d’orgueil dans mon corps. Jouer au Pierre-Papier-Ciseaux avec les stagiaires avait été vicieux et surtout dégradant. Mais ça avait plu à mon homme. Si ça avait été amusant pour lui, alors c’était amusant pour moi non ?

Daniel me rassure même :

- Ne t’inquiète pas pour le consultant. Je ne pense pas qu’il se soit douté de quelque chose.

Et il continue de louer ma performance :

- Tu t’améliores tous les jours petite chatte. Tu mérites de recevoir ma semence maintenant.

- Merci Monsieur ! Répondis-je automatiquement avec un sourire collé sur mon visage.

- Maintenant qu’est-ce que tu penses de réaliser le fantasme de chaque homme au bureau ? Me demande-t-il.

- Quel fantasme Monsieur ? Dis-je, prise au dépourvu.

Daniel a un petit rire :

- Hé hé hé ! Ce n’est pas difficile à imaginer. Une secrétaire chaude sous le bureau du patron. C’est à cela que sert une pute de bureau n’est-ce pas ?

- Oui Monsieur Daniel. Accepté-je sans rechigner.

- En position alors ! Commande le latino quand je ne réagis pas de suite.

Une fois encore, je me retrouve à genoux sous un meuble. Cependant, cette fois-ci c’est sous mon propre bureau. C’est la position la plus soumise que l’on peut trouver dans un bureau non ? Instantanément des images pornographiques m’apparaissent. La secrétaire bimbo, agenouillée sous le bureau de son patron et qui le suce. C’est le cliché habituel. Je me sens vraiment stupide.

Mon esprit est en conflit. J’ai l’impression de céder encore plus de pouvoir à Daniel. Il a déjà pris possession de mon bureau. Maintenant il réclame ma place sur mon fauteuil. Pourtant, ça me donne la chance de terminer la journée en beauté et faisant complètement plaisir à mon homme.

Tandis que Daniel s’installe sur le fauteuil, je me glisse sous le bureau à reculons et laisse seulement ma tête dépasser. Pour bien entrer dans le rôle, j’essaie d’aguicher le stagiaire en passant mes mains aux jolis ongles longs sous les lanières de mon chemisier rouge pour attraper mes seins.

Je presse mes nichons l’un contre l’autre. Puis je commence à les tripoter avec des mouvements lents et circulaires tout en restant à genoux sous le meuble.

- Attrape-les à la base et secoue-les petite chatte ! Ordonne Daniel.

Je serre mes seins l’un contre l’autre et je les secoue. La chair déborde au-dessus de mes mains. C’est vulgaire. Cependant je continue à faire rebondir mes gros nichons.

- Ohh putain, j’en ai jamais assez de ce spectacle. Tu as vraiment de gros seins. La taille parfaite ! Avec cette poitrine tu es née pour être une poupée de luxe.  Dit Daniel en regardant mes mamelles rebondir.

Je tire mes seins sur le côté et je me précipite entre ses jambes. Puis je resserre mes seins sur sa bite bien dure. Je commence à monter et descendre, caressant sa queue avec la chair douce de ma poitrine. Ses gémissements me font comprendre que ça doit être vraiment doux comme traitement pour son membre viril.

Je continue à pousser de haut en bas mes gris nichons laissant la bite de Daniel glisser au milieu du canyon. Tout en prenant en coupe mes seins, je serre chaque mamelon entre l’index et le majeur.

- Mmmmm… Commencé-je à gémir à l’unisson avec le stagiaire.

Le contact de mes faux ongles sur mes tétons sensibles m’excite au maximum. Je ressens un besoin impérieux de toucher mon clitoris et de me faire jouir une nouvelle fois.

- Ajoute la langue petite chatte ! Me demande Daniel.

Je baisse la tête et tire la langue. Chaque fois que son gland sort de mon décolleté, je passe la langue dessus. Cette nouvelle sensation est trop pour lui. Il ne va pas tenir longtemps. Après seulement trois passages et coups de langue, sa bite est en ébullition.

Rapidement, il retire sa queue d’entre mes seins. Tout se passe si vite que je n’ai pas le temps de réaliser. Daniel se branle deux fois avant d’exploser. Un jet épais de sperme blanc jaillit de son gland et éclabousse mon front. Les deux giclées suivantes m’aspergent les joues avant que son éjaculation finale ne se répande sur mon menton.

Ma figure est imbibée de foutre. Le fait de me regarder prendre une double pénétration avait vraiment excité le macho latino. D’ailleurs il semble surpris lui-même :

- Waouh ! Quelle quantité de foutre pour la deuxième fois de la journée. Je suppose que tu es la seule à blâmer salope ?

Je ne réponds pas, laissant les éloges de Daniel envahir mon esprit. Je racle le sperme sur mon visage et je le mets dans ma bouche. Je commence vraiment à apprécier le goût de son foutre, ainsi que son côté attentionné qu’il me montre ces derniers temps.

A suivre...

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