jeudi 29 février 2024

La déchéance de Sophie Ch. 06

 Récit de Monsieur_E (2016)

*****

Le marionnetiste.

La soirée fut longue et douloureuse pour moi.

Affamés par ces exercices, je fus tout d'abord chargée de préparer le repas uniquement affublée d'un seul tablier et de mes haut-talons. Pendant que je m'affairais, Sonia, toujours nue, se faisait peloter sans vergogne sur les genoux d'Eric.

Ce fut le seul moment jusqu'au coucher où il m'autorisa a être debout et je savourais comme un délice cette infime parcelle de dignité retrouvée. Pendant que je battais les oeufs (je préparais une omelette) j'observais à la dérobée ce qui se passait derrière moi.

Eric se comportait avec ma fille de manière beaucoup plus douce qu'avec moi et elle même ne montrait aucune gêne à répondre à ses sollicitations. Sauf la situation si particulière dans laquelle nous nous trouvions, j'aurais très bien pu m'imaginer cuisiner pour mon futur gendre.

Une fois de plus j'étouffais une montée de jalousie totalement injustifiée.

Lorsque j'apportais le plat sur la table, Sonia gémissait les cuisses écartées alors que notre Maître caressait doucement son clitoris gonflé. Je posais les assiettes et allais m'assoir quand il interrompit mon geste tout en poursuivant les siens.

-"Depuis quand les animaux mangent à table ?"

Je me figeais instantanément.

-"Va chercher un bol et pose-le par terre à côté de moi !"

Les larmes aux yeux, je fis comme il dit et alors que je me penchai, il arrêta momentanément de s'intéresser à ma fille pour tirer sur ma laisse et me forcer à me mettre au sol.

-"Assis ! Bonne chienne !"

Avec sa main, il prit une portion d'omelette et la lâcha directement dans le bol. Puis d'un geste négligent il me tapota la tête.

-"Allez mange mon toutou !"

J'étais anéantie. Après ma dignité je perdais jusqu'à mon statut d'être humain. Je n'étais qu'un animal de compagnie pour lui et je me sentais m'enfoncer encore plus loin dans la soumission. Aussi terrible que cela paraissait, j'aurais pu faire face mais le coup de poignard qui m'acheva fut le sourire et le petit rire qui échappa à Sonia. Ma propre fille prenait plaisir à mon humiliation. J'étais seule et ne devais m'attendre à aucun réconfort de sa part. Ravalant ma fierté, je détournais le regard et dans la position de la suppliante, commençait mon repas toujours relié par du cuir à la main qui m'asservissait.

Au dessus de moi j'entendais des gloussements et des chuchotements et me sentir ainsi exclue au sein de mon propre foyer rajoutait à ma détresse. A un moment, Sonia se leva et ses chevilles passèrent dans mon champ de vision. La porte du frigo claqua sans que je vis ce qu'elle y avait prélevé.

Le nez dans mon bol, je sursautais quand un liquide tiède coula sur ma croupe offerte et le long de ma raie suivit bientôt par des doigts qui se pressèrent sur ma vulve, étalant cette substance sur et en moi.

Je tentais de me redresser mais la laisse me maintenait clouée au sol et je n'eus d'autre choix que de me laisser faire sous peine de m'étrangler. On me força à écarter les jambes accordant ainsi l'accès total à mon intimité et par la même facilitant l'intromission de ces mêmes doigts inquisiteurs.

Réagissant en chienne de Pavlov, j'étais trempée à nouveau. Ma moitié inférieure était secouée de frissons quand un autre objet plus imposant fut poussé dans mon entrée. Une fois entièrement en moi, la pression sur mon cou se relâcha et je relevais enfin un visage maculé de jaune vers mon tourmenteur.

-"Monte dans ta chambre chercher l'autre accessoire qui était dans le colis. Ensuite tu te mettras à plat ventre sur la table, jambes écartées !" me dit-il d'un ton enjoué.

Sans même songer à me relever, je m'exécutais et entamait l'ascension de l'escalier.

-"Fais attention à ne pas faire tomber ce que tu as en toi !" me cria t-il.

Au cours de mon périple je repensais au moment où je l'avais fait pour la première fois, à peine une semaine plus tôt. Il me semblait pourtant que des années lumières s'étaient écoulées depuis.

Le retour me laissa les genoux endoloris tandis que ma mâchoire serrait fermement la fausse queue de chien. En bas, tous les deux m'attendaient debout à côté de la table où sans un mot, je pris position.

Il me débarrassa de mon tablier, me privant ainsi de la seule protection dont je disposais encore et récupéra le plug. Je compris vite ce qui allait se passer et la honte d'être utilisée comme ça devant mon enfant me fit serrer les dents.

-"A toi l'honneur..."

Saisi d'effroi par ces mots je me relevais à moitié et ne pus retenir mes mots.

-"Nooooon, tout mais pas ça Eric, pas par ma fille je t'en prie... AIEEE !"

Je le vis devenir cramoisi et avant même de regretter mes paroles, une gifle retentissante me ramena à ma position initiale. A moitié sonnée, je ne réagis pas à sa première claque sur mes fesses. La deuxième m'arracha un gémissement. Je ne sais combien de fois il s'acharna sur moi, encore et encore, mais vite, je criais et le suppliais d'arrêter.

Essoufflé par la violence de l'effort, il s'arrêta soudain. Mon derrière était en feu, la douleur atroce. Je murmurais comme un mantra.

-"Je ferais tout... je ferais tout..."

Impitoyable, il me prit au mot.

-"Pour ta peine, tu vas écarter ton gros cul et lui demander poliment de te le mettre dedans !"

Je sanglotais tandis que j'écartais mes globes, incapable de lutter davantage.

-"S'il te plait Sonia, enfonce le moi... dans le cul !"

-"Avec plaisir salope !"

La dureté de ses mots me fit plus mal encore que l'embout de plastique qui se forçait un passage dans mon rectum. Lentement elle l'enfonçait et le ressortait ne laissant que l'extrémité en moi alors que je maintenais mes fesses grandes ouvertes.

A chaque va et vient je sentais à travers la fine paroi de chair, le plastique frotter contre ce qui remplissait mon vagin et ainsi prise en sandwich, je me sentais pleine et entière. L'excitation revint avec la fougue d'un étalon au galop et je priais pour qu'on m'épargne la disgrâce suprême de jouir par les mains de ma fille.

Consciente de mon état, Eric l'encourageait de la voix et lui-même participa à ma reddition en frottant mes grandes lèvres de l'index. Dans un dernier effort pour me contenir, je resserrais mon anneau sur la tige qui me sodomisait de plus en plus vite et dans un feulement animal, je perdis le combat.

Mon corps entier s'arquebouta sous la jouissance, mon vagin se contracta et quelque chose se brisa en lui. Un liquide jaune et blanc s'en échappa et s'écoula le long des jambes tremblantes. Un oeuf ! Ils avaient introduit un oeuf en moi ! Leur perversion à tous les deux me rendait malade presque autant que le plaisir que je ressentais à me faire maltraiter.

-"Va te laver et rejoins nous dans ta chambre. Tu garderas cette queue qui te va si bien jusqu'à ce que je t'autorise à l'ôter !"

Sans même réfléchir je me laissais tomber à quatre pattes et ajoutais servilement.

-"Merci Maître !"

Après ma douche, je trouvais le couple allongé dans mon propre lit conjugal et je restais plantée à la porte ne sachant que faire. Sur le tapis juste à côté, je remarquais le panier géant de Kaz.

-" Ta place est juste là au cas où tu la chercherais !" me dit-il en m'indiquant le panier du doigt.

Et avant que je ne puisse me rebeller :

-"A moins que tu ne veuilles me désobéir une fois de plus..."

Je frémis et m'avançait tête basse, la fausse queue fouaillant l'air derrière moi. L'odeur de chien mouillé était atroce alors que je me roulais en boule nue comme au premier jour. Cette journée s'achevait bien tristement mais malgré tous les sévices que j'avais subi, j'avais joui deux fois.

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Après une nuit agitée je me fis réveiller par des bruits familiers. Encore désorientée par le sommeil, je grimaçais en étendant mes jambes et mon dos ankylosés. Un peu partout sur mon corps, s'étaient déposés des poils du chien que je détestais tant. Sachant déjà ce que j'allais y découvrir, je me redressais sur mes genoux et lançait un regard vers mon lit.

Eric était allongé sur le dos, les mains croisées derrière la tête pendant que Sonia le chevauchait, une lueur de pure plaisir éclairant son visage. A chaque coup de rein, j'apercevais sa petite chatte engloutir voracement le membre tendu. Fascinée par ce numéro, je ne me rendis même pas compte que ma main glissait d'elle-même vers mon entrejambe qui s'humidifiait déjà.

L'ado qui était mon Maître tourna la tête vers moi et le spectacle de la mère se masturbant pendant qu'il besognait la fille le fit sourire. Toujours en me regardant il se saisit des hanches de Sonia et la pénétra le plus loin, le plus vite et le plus fort qu'il put. A l'unisson, je fouillais mes lèvres intimes et de ma main libre pinçait mon téton droit.

En criant, ma fille succomba à l'orgasme qui la terrassait alors même qu'Eric tapissait son antre de foutre. La double stimulation de mes doigts et du plug toujours enfoncé dans mon fondement allait bientôt me faire jouir quand Eric repoussa sa partenaire et m'écarta les bras.

-"Pas toi. Ce n'est pas une façon de jouir pour une chienne !"

Tout en me maintenant, il ondulait du bassin de manière à ce que son sexe se balade sur mon visage y laissant des traces gluantes.

-" Nettoie la bite qui te fait tant envie. Et n'oublie pas de répondre à toutes mes demandes par oui Maître !"

Comme je le regardais, implorante il ajouta à mi-voix :

-"Je te laisse le choix : soit tu la prends en bouche maintenant, soit tu ne la sentiras plus jamais en toi..."

Je ne m'attendais pas à ça. Comble de la perversion, ce salaud m'avait percé à jour et me forçait à assumer ma nouvelle dépendance. Car oui, j'étais devenue accro comme une droguée à sa queue et aux plaisirs qu'elle me donnait. Je n'avais jamais connu ça dans ma vie... et je ne voulais pas que ça cesse.

Vaincue, je m'humiliais de mon propre chef et m'emparais de son membre souillé par son sperme et les sécrétions intimes de ma propre fille et en soutirais les dernières gouttes. Son air de triomphe alors que je me soumettais à lui augmenta mon sentiment de honte et de dégoût de moi.

Finalement satisfait, il me relâcha pour enfiler son caleçon. Sonia se leva pour aller dans la salle de bain et j'en profitais pour m'éclipser aux toilettes. Enfin je tentais de m'éclipser. Je n'avais pas atteint la porte qu'il m'interpella.

-"Tu crois aller où comme ça sans demander ?"

Je fis demi-tour sur mes genoux et conforme à ses exigences formulais ma demande.

-"Maître... il faut que j'aille... aux toilettes, s'il vous plait"

Il ne répondit rien mais me rejoignit et s'empara de la laisse qui pendait toujours entre mes seins. Sans s'arrêter il m'entraina à sa suite et j'eus toutes les peines du monde à suivre son rythme. Nous redescendîmes au rez-de-chaussée et je fus prise de panique quand il ouvrit la porte qui donnait sur le jardin.

Tel un chien récalcitrant, je freinais des quatre fers et tirais sur ma laisse. La punition d'hier soir à l'esprit, je n'osais exprimer mon désaccord à voix haute mais je faisais mon possible pour éviter de sortir nue sous cette condition de bête-humaine.

Sans aucune considération pour mes efforts, Eric tira plus fort faisant glisser mes genoux sur le carrelage jusqu'à ce qu'enfin je me retrouve dans l'herbe humide de la rosée du matin. Des trois côtés notre jardin était ceint par une haie mais celle-ci ne devait faire au plus qu'1 mètre 60 de haut et il était fréquent l'été que nous échangions par dessus avec nos voisins.

Une fois dehors, la situation s'inversa. Apeurée qu'un passant puisse me voir je me précipitais le plus vite possible vers un angle pour me protéger au mieux mais cette sécurité toute relative ne m'empêchait pas de me sentir totalement vulnérable. Je restais dans mon coin, cet ado à côté de moi debout qui simplement attendait que je me décide.

Je savais que plus je tardais, plus j'avais de chance d'être prise en flagrant délit mais je répugnais à m'abaisser à ce point. De la rue j'entendais le claquement des portières et le départ matinal du voisinage. Mon malaise augmentait de seconde en seconde et quand Eric fit un signe de la main et dit le bonjour à quelqu'un je sus qu'il fallait en finir.

Je m'accroupis dans l'herbe mais son regard tomba sur moi et d'une voix forte fit comme s'il s'adressait à un véritable chien.

-" Pas comme ça. Tu ne sais plus t'y prendre ? Lève la patte !"

Puis il ajouta plus bas :

- "j'ai tout mon temps..."

Le feu de la honte brûlant mes joues je me remis à quatre pattes, soulevais ma jambe gauche et relâchais ma vessie pleine. Cela donna des idées à mon tourmenteur qui libéra son sexe et urina juste à côté de moi. J'en terminais avant lui et observais les dernières gouttes s'écraser dans l'herbe.

J'étais pressée de me mettre à l'abri et commençais à m'agiter quand il lui prit l'envie de me dégrader plus à fond. Rapidement il tendit la main et me tordit violemment le nez m'obligeant sous la douleur à ouvrir la bouche et à engloutir son pénis souillé. L'intrusion et le goût acre manquèrent me faire vomir mais il ne me relâcha pas tant qu'il fut certain que je l'avais nettoyé.

Toujours en moi, il accentua la douleur et me rappela à mes devoirs.

-"Je n'ai pas entendu..."

-"Mmmpfff merchi Maîtreeeee" tentais-je de répondre aussitôt.

Il me libéra enfin et je toussais, toussais, crachais et bavais dans l'herbe. Je reprenais juste le contrôle de mon estomac quand il tira sur la laisse pour me faire avancer. Alors que nous nous dirigions vers mon foyer je voyais du coin de l'oeil que Kaz était sorti de sa niche et s'était approché aussi proche qu'il pouvait, restraint qu'il était par sa propre laisse.

Il s'était mis en position d'arrêt et me regardait intensément les narines frémissantes. Avec ce qu'il avait vu et l'odeur que je dégageais il devait se poser bien des questions.

Un fois à l'intérieur Eric m'ordonna d'aller me doucher et il me donna ce qui serait ma tenue pour la journée. Je découvris une tenue de soubrette tout droit sortie d'un catalogue porno, des mi-bas blancs, et une paire de talons aiguilles encore plus haut que ceux qu'il m'obligeait maintenant à porter. A cela j'avais le droit d'ajouter un string et le soutien-gorge le plus échancré de ma collection.

Le plus humblement possible je lui demandais ce qu'il avait prévu mais avec son sourire habituel il déclina ma requête.

-"Je ne voudrais pas te gâcher la surprise. File maintenant et oh... attends une seconde !" 

Il me fit pivoter et d'un coup sec, m'arracha la fausse queue de mon petit trou. Je poussais un glapissement de douleur autant que de surprise et sentis mon anus béer. Aussitôt, j'éprouvais un vide dans mes entrailles qui me laissa curieusement insatisfaite. Eric décrocha ma laisse en cuir et sur le chemin de la salle de bain je croisais Sonia.

Le fait que moi sa mère était contrainte de vivre à quatre pattes alors qu'elle, pouvait se mouvoir comme bon il lui semblait me rendait encore plus pathétique. C'est à peine si elle posa les yeux sur moi. J'entrais et fermais la porte. J'étais enfin seule et pouvais savourer une bonne douche. Longtemps je restais sous l'eau chaude à profiter de l'instant, prenant même un plaisir démesuré à cette chose si simple.

De nouveau j'avais l'odeur d'une femme et non plus du molosse mais au fond de moi je savais que ma crasse intérieure ne partirait plus jamais.

Je ne sais pas au juste combien de temps j'y restais. En ressortant, toute ruisselante d'eau, je passais quelques minutes à m'inspecter et à passer le rasoir un peu partout. Outre la tenue imposée, j'avais comme directive de me rendre le plus sexy possible pour ses "invités". S'en suivit donc du rouge à ongle, maquillage discret sauf pour le rouge à lèvre écarlate et cheveux noués en queue de cheval.

Une fois habillée et maquillée, je faisais 20 ans de moins et j'étais le portrait craché d'une call girl de luxe pour client pervers. Et alors qu'il y a quelques jours cette vision m'aurait fait horreur, j'éprouvais un certain sentiment de fierté en me sentant aussi "pute".

Prête, je rejoignis mon maître. Ma fille aussi s'était apprêtée de manière sexy mais sans commune mesure avec mes atours. Eric prit le temps de m'inspecter en détail et hocha la tête, satisfait. Puis, il m'envoya à la cuisine préparer les sandwichs et les boissons.

Je terminais la confection du repas quand la sonnette de l'entrée retentit et qu'un groupe entrait chez moi. Aux rires et éclats de voix qui filtraient à travers la porte de la cuisine, je devinais que sa clique au complet était réunie pour assister une fois de plus à ma déchéance.

Au bout de quelques minutes, le brouhaha se calma quelques peu et j'entendis une musique d'un genre à être diffusée dans les soirées à haute probabilité de débauche. Ne sachant que faire, je restais dans la protection toute relative de ma cuisine mais cette tranquillité fût vite interrompu par Sonia qui m'indiqua tout sourire de prendre "la bouffe" et de venir dire bonjour aux invités.

Je déposais donc la nourriture sur un plateau et la suivit dans la salle à manger, parfaitement consciente de l'image que je donnais de moi-même.

Ils étaient là, tous les cinq, assis autour de la table ronde, et je fus accueillie par un concert de sifflements et de commentaires vulgaires. Quatre paires d'yeux écarquillés rivés sur ma tenue de soubrette et c'est à peine s'ils ne bavaient pas sur le tapis. Sonia s'assit sur les genoux d'Eric qui lui regardait ses acolytes avec malice.

Je m'immobilisais un instant et baissant les cils, je fis le tour pour distribuer les sandwichs. Plutôt que de penser à ma situation je tentais de me remémorer leur nom à tous. Fred, c'était facile, c'était lui qui avait eu le droit de "tester ma poitrine", Mike le petit timide... j'arrivais à Ahmed quand une main s'aventura le long de ma cuisse et je sursautais. Vite j'en terminais par le grand black et au moment où je me retournais je sentis une claque sur ma fesse droite.

Tentant de ne rien laisser paraître je me postais debout à côté d'Eric. J'étais toujours le centre de l'attention générale et ainsi assuré d'être bien entendu, mon Maître prit la parole.

-"Bien, puisque tout le monde est là et attentifs nous allons pouvoir démarrer la partie"

Ma fille prit un paquet de carte dans sa poche et commença à les battre.

-"Qu'est ce qu'on mise ?" demanda Fred.

Eric sourit.

-"Qu'est-ce qu'on gagne tu veux dire !" dit-il en produisant d'un geste théâtrale une télécommande et en la posant au centre de la table.

-"Ceci !"

Comme ses amis le regardaient d'un air incrédule il dévoila ses plans et je me sentis devenir livide.

-"Celui qui remporte le tour rafle la mise. Jusqu'au tour suivant il peut utiliser cette télécommande... et cette télécommande dirige Sophie."

Le silence était maintenant palpable.

-"Pendant un tour, le gagnant pourra lui faire faire tout ce qu'il veut et j'ai bien dit tout".

Je ne savais plus où disparaître quand il se tourna vers moi.

-"N'est ce pas que tu seras une bonne salope obéissante ?"

Sa voix était douce mais ses yeux glacés.

-"oui maître" fut ma seule réponse.

Je fis un rapide tour de table et lus dans les regards toutes les promesses de luxure que leur avait inspiré cette opportunité.

-"Si tout le monde est d'accord... "

Un cri général ponctua sa phrase...

-"On commence".

Il distribua rapidement les cartes et les participants fixèrent leur donne comme un billet de loto gagnant. Tous changèrent une ou plusieurs cartes. A l'issue de ce premier tour, chacun abattit son jeu et Fred poussa un cri de joie.

-"yesss, deux paires, c'est pour moi !"

Il s'empara de "ma" télécommande et prit le temps de réfléchir tout en m'examinant.

-"Vu qu'on a de la musique pour, je crois que j'aimerais bien un strip-tease" déclara-t-il en pointant l'objet vers moi.

-"Bonne idée" renchérit Eric, "tu l'as entendu ?"

Je soupirais ma réponse et résignée, portais les mains à mes boutons.

-"Non non non" m'interrompis le petit gros "tu montes sur la table et tu danses comme une pro !"

J'ouvrais la bouche, les mains à mi-hauteur, le regard de mon maître-chanteur ne laissait pas planer le doute quant aux conséquences si je rechignais. Sur ses genoux, ma fille se trémoussait ravie de la tournure des évènements.

J'escaladais donc la table et malgré ma gêne, j'ondulais les hanches le plus sensuellement possible. Pendant que j'accomplissais le souhait du vainqueur, le jeu reprit. En tremblant je m'effeuillais lentement et en rythme devant une bande d'ados boutonneux.

Ma tenue de soubrette s'envola et je détachais les agrafes de mon soutien-gorge, ne le retenant plus que d'une main plaquée sur mon opulente poitrine. Malgré moi je me prenais au jeu, et tâchais d'effectuer ma mission le mieux possible.

Comme un peu plus tôt dans la salle de bain, j'éprouvais une certaine fierté (et excitation) à attiser le désir de mâles. J'offris enfin à leur regard une nouvelle fois mes seins dont les mamelons étaient déjà durcis. Je déglutis, et passais les doigts dans mon string, commençant à le faire descendre lentement...

-"brelan les mecs !" hurla Fred en empoignant à son tour la télécommande.

Je me figeais au grand dam de mes supporters et redescendis sur terre. Je croyais avoir gagné quelques minutes de répit mais je me trompais.

Avec un sourire pervers, il m'ordonna de lui remettre mon string. Je m'exécutais leur dévoilant ainsi pour la première fois mon intimité toute épilée. Serrant le plus possible les jambes, je lui tendis et il le porta instantanément à son nez pour humer mon parfum. Je rougis d'un coup.

La partie allait reprendre une fois de plus mais il avait encore un peu de temps alors il poussa son avantage.

-"Viens t'assoir à califourchon sur ma jambe. Tu vas me porter chance bébé".

Comme une automate, je m'installais sur lui et trouvais étrange que ce que je trouvais choquant était de me faire appeler bébé par un gamin de près de 20 ans de moins que moi.

Totalement nue je me positionnais à califourchon sur sa jambe droite en croisant les jambes pour éviter le contact au maximum. Les cartes furent redistribuées et la partie repris.

Alors qu'il jouait mon "propriétaire" d'un tour, s'amusait à monter et descendre sa jambe tant et si bien qu'à un moment je n'eus plus le choix pour garder mon équilibre. J'ouvrais grand les jambes et frottais mon sexe sur sa cuisse.

Evidemment c'est ce qu'il attendait depuis le début et ses mouvements se firent plus intense, favorisant d'autant plus les frictions. Par la force des choses je devais donner l'image d'une chienne en chaleur qui se soulage elle- même sur la jambe de son Maître.

Cette pensée ainsi que les stimuli commençaient à m'échauffer et me respiration se fit plus courte. Cette fois c'est Eric qui gagna. Je quittais donc le petit gros et me dirigeais vers mon propriétaire.

-"Hé mais, elle m'a trempé mon fute cette pute !"

Je me retournais mortifiée. Effectivement une tâche sombre était bien visible sur sa cuisse, preuve que ses attouchements ne m'avaient pas laissé insensible.

Eric ricana. Il ne me demanda rien et se contenta de doigter mon antre humide pendant le tour de jeu, augmentant ainsi mon malaise et, à ma grande honte, mon désir. Au moment du verdict, je commençais à ne plus pouvoir retenir mes gémissements.

Sans un mot, Mike s'empara du gain. Il se leva et d'un seul geste fit descendre son pantalon et son caleçon sur ses chevilles libérant un sexe monstrueux et déjà en érection. Il se rassit et comme s'il avait commandé une pizza :

-"Ben puisqu'elle est si chaude que ça, elle va nous montrer qu'elle en veut." 

Puis en pointant la télécommande vers moi.

- "Ouvre grand les jambes et branle toi devant nous madame !"

Je laissais échapper un hoquet en même temps que la chaleur explosait dans mon ventre. C'était si avilissant... En tremblant je portais la main à mon entrejambe et ne pus que vérifier que j'étais trempée. Je fermais les yeux et commençais à passer les doigts sur mes grandes lèvres ce qui me procura instantanément des frissons.

Faisant abstraction de l'environnement (ou peut-être justement à cause de cela), je fouillais mon intimité en me donna un plaisir malsain, ponctué par des halètements. Aussi incroyable que ça puisse paraître, j'étais à deux doigts de la jouissance. De plus en plus vite j'astiquais ma chatte et mon clito en bougeant le bassin de manière obscène. J'allais avoir un immense orgasme quand j'entendis.

-"STOP. A mon tour maintenant".

J'ouvrais les yeux désespérée. C'était Kevin qui venait de conclure le tour.

-"T'aimerais jouir, pas vrai salope ? T'aimerais que je te demande de sortir ma queue et que je baise ta chatte hein ?"

J'étais proche, si proche. Je murmurais :

- "...oui...."

- "Oui quoi ? Plus fort !"

J'en pleurais presque de frustration et criais presque.

"Oui MR Kevin, baisez moi ma chatte s'il vous plait !"

Qu'une mère de famille nue au beau milieu de son salon demande de manière si vulgaire à des ados de la prendre provoqua l'hilarité générale. A cet instant tout m'était égal. En réponse il sortit sa verge quasiment déjà en érection.

-"Viens me sucer sous la table et si tu me fais gicler avant la fin de la partie, je te laisserai finir... allez, donnez le cartes les mecs".

J'écarquillais les yeux devant cette humiliation mais mon état était tel que j'envisageais la chose sérieusement. Les cartes données, il me jeta un seul coup d'oeil.

-"Le temps passe..."

Je craquais et me jetais à genoux, je rampais littéralement sous la table et entrepris de prendre son membre dans ma bouche. Sans plus d'hésitation ni de préliminaires, je lui taillais la pipe la plus violente de sa vie. Je la léchais, lui suçais les couilles, m'empalais jusqu'à la gorge pour le faire jouir le plus vite possible. Ma tête bougeait de manière frénétique sur sa hampe que je sentais durcir de seconde en seconde. Enfin je ressentis dans mon palais les pulsations annonciatrices de son plaisir...

-"A moi la partie, file moi la télécommande !"

A peine avais-je entendu Ahmed prononcer cette phrase que ma bouche s'emplit de foutre épais. Une main se plaqua sur l'arrière de mon crâne m'obligeant à finir mon gage et à tout avaler.

-" AH ah, désolé... juste un peu tard".

J'en aurais crier de frustration. Loin de m'avoir apaisé, cet acte dégradant m'avait maintenu dans un état d'excitation insoutenable.

En tout cas, cette demande donna des idées au nouveau vainqueur qui exigea la même chose. Au final je dû tous les sucer les uns après les autres. Quand je ressorti de sous la table, j'avais mal à la gorge et mon visage était recouvert de foutre.

Mon calvaire toutefois ne s'arrêta pas là. Avant la fin de l'après-midi, ils m'avaient tous pris par chacun de mes trous, parfois à 2 ou 3 pendant que ma fille s'occupait d'Eric qui filmait tout. Et à ma grande honte, je rebondissais d'orgasme en orgasme. Quand finalement ils se lassèrent de moi, je restais étendue à même le sol, les orifices béants, dégoulinants de leur semence.

Je n'étais plus vraiment là, mon esprit battait la campagne et c'est à peine si je me rendis compte qu'ils étaient partis. Comme une bonne chienne dressée j'obéissais maintenant automatiquement à tous les ordres de mon Maître. J'étais devenue sa chose au sens littéral mais il exigea encore plus de moi. Ce qu'il me fit faire ce soir là me changea à jamais et je m'évanouis avant la fin.

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Le lendemain c'est le bruit du réveil qui me fit ouvrir les yeux. J'étais nue, propre, allongée dans mon lit. Je mis un certain temps à me rendre compte que j'étais seule à la maison. Les évènements de la veille me revenaient par bribes mais de manière détachée. Comme s'ils étaient arrivés à quelqu'un d'autre.

Quoiqu'il en soit je devais me préparer pour aller au travail et une fois de plus je me transformais en salope de service qui ne demande qu'à se faire baiser. Je n'avais même plus le réflexe de porter des sous-vêtements arrivée chez moi. J'avalais juste un café avant de partir.

Une fois dans ma voiture j'hésitais sur le trajet. Je n'avais certes pas les enfants à déposer à l'école mais je ne pouvais prendre le risque de manquer à mon Maître.

Ma décision prise je me dirigeais donc vers l'école. De là où je me garais je pouvais habituellement voir le repère d'Eric et à ma grande surprise je constatais qu'il était désert. Encore une fois je tergiversais sur l'attitude à adopter. Devais-je sortir et faire le pied de grue sur le trottoir pour me "montrer" ou rester dans la voiture et attendre...

J'optais pour la deuxième solution. J'observais avec appréhension les minutes passer, me demandant si j'allais pouvoir être à l'heure à mon travail. Finalement, une fois que tous les élèves furent rentrés je pris le parti de reprendre la route, soucieuse de ce que cette absence pouvait signifier.

J'étais encore dans mes pensées en arrivant dans l'open space ce qui fait que je ne réalisais pas tout de suite la situation. Toute l'équipe était déjà là, un des bureaux avait disparu et Jessica était confortablement installée derrière le mien. Je clignais des yeux pour être bien certaine de se que je voyais et m'avançais rouge de colère. Avant que j'ai pu ouvrir la bouche pour demander des explications, elle agita dédaigneusement la main vers moi.

-"Dépêche toi de monter, le Boss t'attend. Il veut te parler".

Illico, sans répliquer, je fis demi-tour et me dirigeais vers les escaliers. Cette fois-ci il allait trop loin et je me voyais déjà prendre un avocat pour lui faire payer cette mise à l'écart. Je frappais à sa porte et sans attendre de réponse, entrais dans son bureau.

-"Richard, qu'avez-vous fait ? Je ne...."

Le téléphone à la main il interrompit ma tirade d'un geste.

-"Permettez, j'envoie juste un sms et je suis à vous...vous allez tout comprendre... voilà, c'est fait"

Il appuya sur une touche et quelques secondes plus tard mon portable se mit à sonner. Je restais figée pendant qu'il m'observait.

-"Vous ne regardez pas ? C'est peut-être important !"

Je ne réagis toujours pas.

-"Lis ton sms maintenant !" Sa voix claqua comme un fouet.

En tremblant je sortis mon téléphone et regardais le numéro trop bien connu de moi maintenant. Le message était bref mais ce qu'il impliquait était terrible.

*Bonjour salope. Heureux que tu respectes mes consignes. Maintenant que tu es là tu peux t'agenouiller devant ton vrai Maître*

Je blêmis et tout mon corps se mit à trembler.

-"Désolé mais j'en ai vraiment assez de faire des fautes d'orthographe. Tu ne sais pas à quel point j'ai détesté ça".

Il porta le regard au-dessus de mon épaule et je me retournais en sentant une présence dans mon dos. IL était là, Eric, le visage extatique, dissimulé depuis le début dans un coin.

Richard reprit :

-" Inutile de faire les présentations, je crois que tu connais mon fils".

Mon coeur manqua s'arrêter. Je comprenais tout maintenant en effet et ma situation personnelle était encore pire que ce que j'avais pu croire.

Je ne pus que balbutier quelques mots. J'avais le tournis et tenais à peine sur mes jambes.

-"Mais comment... pourquoi... ?"

Il se leva lentement et s'approcha de moi. Il me répondit comme si ma question était stupide tout en commençant à déboutonner mon chemisier. J'étais comme paralysée, incapable de la moindre réaction.

-"Pourquoi ? mais parce que je le peux déjà. Tu vois j'ai eu envie de te baiser à la première seconde où je t'ai vu. Non plus que ça, en fait, je voulais te soumettre et t'humilier... effacer cet air supérieur de ton visage"

Les seins totalement à l'air, il m'appuya sur les épaules tout en poursuivant. Mes jambes fléchirent et je me laissais tomber à genoux, impuissante.

-"Tu étais une menace pour moi. Brillante, ambitieuse. Les patrons d'en haut t'avaient à la bonne et il me fallait faire quelque chose."

Sa queue déjà raide jaillit de son pantalon et s'engouffra entre mes deux mamelles offertes qu'il entreprit de baiser violemment.

-"J'ai joint l'utile à l'agréable. Maintenant tu n'es plus rien à part mon jouet et nous le savons tous les deux n'est-ce pas ?"

Il avait raison. Ma vie personnelle et professionnelle avait été réduite à néant. Sa semence se répandit sur ma poitrine, me souillant et scellant mon destin.

-"A partir d'aujourd'hui tu n'as plus besoin de bureau. Tu iras où on te dira et fera tout ce que je veux. Tu es placée sous la responsabilité de Jessica."

Il reboutonna mon chemisier comme si de rien était, le collant à mon torse barbouillé de son sperme.

-"Je suis sûr que tu seras une bonne pute pour moi, pas vrai ?"

Je rougis en me relevant. Devant son regard intense je ne pu que m'incliner.

-"Oui... Maître".

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Dès le lendemain je prenais la mesure de mes nouvelles occupations. A la fin de semaine, tout sentiment de gêne semblait avoir disparu et le week-end me fit sombrer un peu plus dans la débauche.

Le lundi matin suivant me trouva à 4 pattes sous le bureau de Richard. J'étais en train de le sucer vigoureusement pendant qu'il branlait ma chatte trempée avec son pied.

-"Aujourd'hui salope, nous allons faire un petit jeu. J'ai demandé à quelqu'un de venir pour me donner son avis sur un projet. Selon l'option qu'il choisira tu me feras jouir dans le trou adéquat."

Je ne protestais même pas. Il me tendit un papier où je lus :

1 - bouche

2 - chatte

3 - anus

Je reprenais son sexe en bouche quand j'entendis frapper.

-"Ah, entrez ! Vous devez vous demander pourquoi je vous ai fait venir, nos départements travaillant rarement ensemble."

-"Effectivement ce n'est pas souvent que je viens ici."

Je tressaillis en reconnaissant la voix de mon mari. En réaction, le pied de Richard se fit plus pressant sur ma vulve et je retins un gémissement.

-"Bien, c'est une histoire de marketing, cela vous concerne donc. Voici les options que nous avons retenu mais nous avons un doute pour le choix final. J'ai besoin de votre avis."

Le silence se fit pendant que j'imaginais mon époux lire un papier qui n'avait aucune importance aux yeux de mon patron. Finalement la sentence tomba.

-"Je pense que le deuxième est meilleur..."

-"Intéressant. Je pense aussi que c'est un très bon choix. Et puisque c'est vous qui le dites en plus... expliquez-moi ça en détail !"

Sa main glissa sous la table pour me donner une petite gifle. Je savais ce qu'il attendait de moi. Sans faire de bruit, le plus silencieusement possible je me retournais et cambrais mon cul. Il s'avança pendant que mon mari parlait et pénétra ma chatte d'un coup.

J'étais à 4 pattes sous le bureau de mon patron en train de me faire baiser avec mon époux à moins d'un mètre. je devenais folle, c'était trop humiliant. Excitée par les préliminaires je m'empalais sur son manche, je le sentais lui aussi prêt à jouir et au moment où il se déversa en moi, je ne pus plus me retenir et poussais un cri de jouissance.

C'était plus fort que moi, le plaisir était trop intense.

Un silence pesant suivi, puis j'entendis mon mari haleter.

-"...SOPHIE ? ? ? ? ?....."

Fin 

1 commentaire:

  1. Est-ce vraiment la fin? Quelle sera la réaction du mari de Sophie ? J’aurais aimé la connaître…

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