vendredi 23 février 2024

Cocu content, mais pas trop - Ch. 03

 Récit de Atortetadore (2010)

*****

On remet ça.

Les jours qui ont suivi cet épisode furent bien longs. Pendant près de quinze jours, on s’est à peine parlé, de banalités en banalités nous nous sommes ignorés. Nous n’avons même pas fait l’amour. Jusqu’au jour où, n’en pouvant plus, j’ai pris mon courage à deux mains.

Nous sommes mercredi. On se couche chacun de son côté. Pas un mot pas un bruit.

— Chérie ?

— Oui !

— Qu’est-ce qui ne va pas ?

— Bah rien !

— Je vois bien que ça ne va pas.

— Pourquoi ça n’irait pas ?

— Je ne sais pas, depuis l’autre jour, je te sens ailleurs.

— Tu as eu ce que tu voulais. Non ? Alors me fais pas chier.

Je restais un peu abasourdi sans comprendre pourquoi elle réagissait de la sorte alors qu’elle avait joui comme une folle.

— Ça ne t’a pas plu ?

— Si.

— Eh bien alors ?

— Eh bien alors… J’ai joui comme une folle oui. Mais tu m’as traitée de tous les noms et je déteste ça.

— Tu as joui, ce n’est pas l’essentiel ? On ne connaissait personne. Qu’est-ce que ça peut faire ? On y est bien allés pour ça, non ?

Et là, elle éclate de rire. Je ne comprends plus rien.

— Non ! Je te rappelle qu’on s’était juste arrêtés boire un coup et que pour le coup c’est toi qui m’en as mis un. Et quel coup mon salaud !

— T’es vraiment cinglée !

— Et toi t’es vraiment trop con.

Elle se jette sur moi et se met à m’embrasser comme une folle. Puis, elle descend le long de mon torse poilu, doucement, me mordille les tétons, j’étouffe un cri de douleur.

— La ferme ! Salaud ! Ce soir t’es à moi.

— Oui, mon amour.

Elle continue sa descente et prend mon sexe directement dans sa bouche. Elle commence une fellation terrible. Elle ne m’avait jamais sucé comme ça. Sa bouche monte et descend sur ma queue qui devient raide en rien de temps, elle me pompe à fond, aspire ma queue, me malaxe les couilles. Je passe mes mains dans ses cheveux et commence à lui imprimer un mouvement de plus en plus ample lui baisant la bouche.

— Ahhh la vache, tu suces trop bien. Tu l’as bien dans la bouche là, hein ? Hummm oui… Ohh putain je vais pas tenir.

En entendant ça, elle accélère le va-et-vient aspirant encore plus fort. Je sens que je vais exploser.

— Ahh putain, arrête. Je vais jouir. Ahhh salope… Ouiiii !

J’explose enfin dans sa bouche. Elle avale tout. Il lui en reste un peu au coin de la lèvre. Elle ramasse avec sa langue puis vient m’embrasser. Je lui rends son baiser, qui n’a pas un goût terrible soit dit en passant.

Nous restons un moment enlacés. Et c’est par excès de confiance que j’ose poser la question fatidique.

— Tu veux qu’on y retourne ?

— Où ?

— Bah au club !

— Tu crois ?

— Pourquoi pas ? Ce n’était pas si mal.

— Oui c’est vrai, mais je ne sais pas si c’est une bonne idée.

— On fait comme l’autre fois ni plus ni moins.

— D’accord !

Puis elle se retourne et éteint la lumière.

Impossible de dormir. Quand allons-nous y retourner ? Comment allons-nous réagir ? Que va-t-il se passer ? Toutes ces questions se sont bousculées dans ma tête toute la nuit. Ça faisait quinze jours que je n’avais pas baisé et à nouveau je ressentais ce besoin de l’avilir, de la voir se faire traiter comme une moins que rien. Une fois de plus j’étais prêt à tout pour baiser. Comment expliquer le fait que quand je suis en manque de sexe, c’est ma femme que j’ai envie de voir se faire baiser ? Je ne comprends pas ce processus.

Un jeudi. On se met d’accord pour prendre une journée afin d’y retourner. On se dit qu’en semaine il y aura moins de monde et pas forcément trop d’hommes.

Nous sommes jeudi. Grasse matinée, petit déjeuner, petit resto, balade en ville et enfin retour à la maison pour se préparer. J’ai commandé à ma femme une petite tenue très sexy pour notre sortie. C’est une robe noire très décolletée et fendue jusqu’en haut des cuisses, des talons assez hauts (10 cm) et un micro string ficelle noir transparent qui ne cache pour ainsi rien presque rien de sa belle chatte. Elle se prépare dans la salle de bain. Comme souvent, elle se rase la chatte laissant juste un petit ticket de métro comme on dit. Puis elle débarque dans la chambre. Elle veut essayer les habits que je lui ai achetés, ça lui va plutôt bien. Bien qu’un peu juste la robe lui moule parfaitement les seins et les fesses, les mettant merveilleusement en valeur. Seul petit hic, impossible de mettre de sous-vêtements sans que ça se voie.

— Chéri t’aurais pas voulu être un peu trop flatteur ? dit-elle en riant.

— Pourquoi ?

— Ben, viens voir.

Je rentre dans la chambre et je la vois habillée, le string et le soutien-gorge marquant la robe par-dessous. Une horreur. Nous éclatons de rire. Un fou rire à se pisser dessus. Un rire nerveux à n’en pas douter.

— Je pensais mettre des dessous coquins mais là je crois que c’est cuit. Dit-elle.

— Ouais c’est clair. Mais bon. On s’en fout t’en auras peut-être pas besoin.

— Ouais. Ouais. Ne commence pas à te faire des films, gros.

— Un gros ? Où tu as vu un gros ? Qui est-ce qui est gros hein ? dis-je en faisant mine de regarder de droite à gauche.

Je m’approche d’elle par-derrière et la mets face à la glace, mes mains passent sur la robe sous ses seins, je les soupèse, les caresse, aussitôt les tétons apparaissent sous le tissu.

— Qu’est-ce que tu es belle !

Elle me sourit.

— Tu as une paire de seins magnifique, dis-je en lui pelotant les seins fermement.

Elle ferme les yeux.

— Non, regarde-toi ma belle, regarde comme tu aimes qu’on te touche.

— Ouiii ! soupire-t-elle.

Je bande comme un fou.

— Suce-moi. Maintenant.

Sans discuter, elle s’accroupit, la fente de sa robe me laisse voir ses cuisses nues, ses hanches larges. Oh ! Mon Dieu, qu’elle est belle ! Elle extirpe mon sexe à demi bandé de mon pantalon et l’enfourne dans sa bouche entièrement. Je pousse un soupir de contentement, puis elle commence à me pomper, ma queue gonfle à vitesse grand V. Je sens que je ne vais pas tenir bien longtemps à ce train-là. Elle me presse les couilles, tire sur le manche et je m’envole au Paradis. En moins de deux minutes, je lui lâche tout dans la bouche. Elle avale tout, se relève le sourire narquois, comme si elle venait de gagner une bataille. Elle éclate de rire.

Finalement c’est vêtue uniquement de la robe fendue et de ses talons que nous prenons la voiture, il faut une bonne heure pour y aller. Le trajet se passe bien et en silence, j’en profite pour glisser une main sur sa cuisse lisse et la câliner. Sa petite faveur a calmé mes ardeurs. Nous y sommes. La tension est maintenant palpable. Je sonne. La femme de l’autre fois nous ouvre et nous reconnaît.

— Bonsoir. Heureuse de vous revoir. Entrez !

Nous discutons puis nous nous dirigeons vers les fameux casiers en riant et en plaisantant. Nous sommes finalement plutôt détendus. Nous rejoignons le bar et nous nous installons sur les grands tabourets. Mathilde laisse la serviette découvrir ses cuisses. Elle a gardé ses talons. La vue de ses jambes me trouble. Les hommes la regardent et ça aussi, ça me trouble énormément. Je me surprends même à bander légèrement.

La soirée défile doucement, nous dansons. Certains couples se forment dans les coins, d’autres se tripotent discrètement. Je profite d’être sur la piste pour passer ma main sous sa serviette et caresse doucement ses fesses. Lentement, je passe un doigt dans sa raie et viens titiller son petit trou discrètement. Elle me sourit et vient se blottir contre moi. On ne bouge quasiment plus, elle se laisse faire. Mon doigt appuie parfois plus fort sur sa rosette pour l’assouplir. Puis je passe derrière, elle se colle contre mon corps, mes mains caressent ses seins au travers de la serviette. Je bande, elle le sent contre ses fesses, qu’elle remue doucement puis mes mains descendent doucement sur ses hanches puis sur ses fesses, je repasse devant, entrouvre la serviette et doucement pose un doigt sur son clitoris dévoilant plus ou moins son sexe à la vue de ceux qui sont en face. Elle a glissé une main entre nous et me caresse la bite. Je sens ma fureur sexuelle monter. Une fois de plus, je me sens devenir fou. Mon cœur accélère, ma respiration s’affole. J’ai envie de la jeter par terre, de la baiser jusqu’à l’os, de l’insulter, de la faire gueuler, crier, de la traiter comme une pute, une chienne. Je crois que je deviens fou.

Pour me calmer, je retourne au bar la laissant se dandiner sur la piste où quelques hommes et couples nous ont rejoints. Je bande comme un salaud et ça se voit. Je suis gêné. Un homme s’approche d’elle et l’invite à danser. Il est fin, élancé, maigre même. Certainement d’origine maghrébine, vu son teint de peau et son visage, il fait plus jeune. Un peu plus de la trentaine. Il est apparemment seul. Une fois de plus, pas grand-chose à se mettre sous la dent. Décontractée elle se laisse faire. Ils dansent doucement langoureusement au son de la musique. Je les regarde, ça m’énerve de les voir comme ça et voilà que ça me reprend. Je l’imagine à quatre pattes en train de le sucer pendant que je l’encule. Cette vision me dérange, m’effraie. Mais je patiente, j’ai très envie de voir ce qu’il va se passer. Ils dansent l’un contre l’autre, il lui parle dans l’oreille. Elle rit. Les mains de l’homme s’égarent sur ses fesses. Elle ne lui a pas pété sa gueule comme elle l’avait suggéré la dernière fois. Étrange. Prendrait-elle goût à la situation ? Incroyable. J’ose à peine y croire et pourtant c’est bien ce que j’attendais, non ? Je ne sais plus. Je ne sais plus si c’est ce que je voulais qu’il arrive ou si j’aurais préféré autre chose. Je deviens fou sans doute. Qu’est-ce qu’on fait là ? C’est bien moi qui l’ai entraînée. Oui, c’est ça que je veux. Je veux qu’elle devienne ma chose. Mon objet sexuel. Je veux enfin en faire ce que je veux.

Blottie dans ses bras, elle se laisse peloter les fesses sans aucune gêne. Je suis sûr qu’elle mouille. Puis elle jette un regard au moment ou leurs lèvres se frôlent.

Soudain, je me lève, me dirige vers ma femme.

— Viens, je veux te baiser. Dis-je à haute voix.

J’entraîne ma femme, qui a l’air surprise, dans le coin câlin ou nous étions la première fois.

Suivi discrètement par l’homme avec lequel elle dansait. Je la jette une fois de plus sur le lit et me jette sur elle, je lui bouffe les seins qui sont bandés, tendus, je les mordille. Elle crie de douleur. Mais je persiste. Elle gémit, soupire. L’homme est sur le bord du lit mais je fais mine de l’ignorer. Me disant que si je l’ignore, il s’en ira. Mais je suis trop con et j’oublie la phrase culte :

« Qui ne dit mot consent. »

Ma femme a les yeux fermés au moment où je m’introduis en elle, je veux la baiser. Mais aucun mot ne peut sortir de ma bouche. J’ai envie de la traiter de tous les noms. Mais je n’y arrive pas. L’homme assis sur le bord du lit m’empêche de m’exprimer. Il m’agace d’être là à nous regarder. Quand sa main vient s’emparer d’un sein de ma femme, tout en me regardant dans les yeux, je suis au bord de la folie. Il insiste et maintenant pétrit franchement son sein en jouant avec le téton. Ma femme, toujours les yeux fermés, pense sans doute que c’est moi qui lui prodigue cette caresse ou peut-être est-elle très consciente que ce n’est pas moi. Cette idée me rend dingue. Mais je n’arrive pas à l’empêcher de faire ce qu’il fait. Puis sa bouche s’empare de son autre sein. Elle ne peut maintenant plus ignorer que ce n’est pas moi. Il lui suce le téton, pince l’autre entre ses doigts. Il bande. Sa queue est longue et fine. Mathilde gémit, soupire, elle prend son pied. Alors que je la baise à fond, je transpire.

Puis tout s’accélère. L’homme approche sa queue de la bouche de ma femme. Lui pose le gland sur ses lèvres. Toujours les yeux fermés, je la vois entrouvrir les lèvres et le sexe s’enfoncer dans sa bouche. Elle le suce. Il gémit. Moi je ralentis profitant du spectacle. Si je fais deux allers-retours de plus je jouis. Je sors et enfile trois doigts dans sa chatte et la branle sans ménagement pour la maintenir sous tension, je triture son clitoris de l’autre main. Je bande tellement que je crois que ma queue va exploser. Et finalement c’est lui qui se met à l’insulter.

— Oh putain oui qu’elle est bonne sa bouche ! Elle suce comme une reine cette salope. Quel bol tu as !

L’accent de l’autre ne trompe pas. L’accent des cités renforce fortement la scène. Mathilde se met à le sucer plus activement. Son accent l’exciterait-elle davantage ? L’idée de se faire sauter par un jeune des cités lui plairait-elle ? Elle qui comme les femmes un peu bourgeoises en a peur ? Et moi ? Que dois-je faire ?

Et le voilà qui remet ça.

— Ouais, vas-y comme elle suce trop bien ta femme. Sa bouche, elle est vraiment trop chaude. T’as trop bien fait de revenir, elle m’a trop excité l’autre jour. Hummm. Oui vas-y pompe ma queue salope.

Il me tutoie. Je n’en reviens pas, mais je comprends mieux son comportement, il devait faire partie des spectateurs et vu comme j’avais insulté Mathilde, il ne se gêne pas pensant que finalement elle apprécie. D’autorité, je la mets à quatre pattes. Ma femme ouvre les yeux pour chercher la queue qu’elle suçait et se jette dessus. Je n’en crois pas mes yeux. Elle accélère et le prend en main. D’une main, elle lui malaxe les couilles et de l’autre elle le branle en le suçant. Et le voilà qui recommence me prenant à témoin.

— Oh la vache, elle m’aspire la queue comme une folle la « tepu ». Elle adore ça, la bite, hein ?

Je suis incapable de répondre et je me remets à la baiser bien à fond dans la chatte. Puis il continue. Il m’excite ce con à parler comme ça de ma femme.

— Humm oui, que c’est bon ! Vas-y défonce-la. Défonce-la bien, fais-la gueuler cette chienne !

— Oui je vais la faire gueuler.

Je me mets à lui claquer les fesses.

— Oui vas-y bourre-la.

Il lui maltraite les seins pendant qu’elle le suce à fond. Il tire sur les tétons. Elle grimace de plaisir. Elle relâche la queue de temps en temps pour m’encourager :

— Oui… oui… défonce-moi ! Ouiii. Plus fort.

Elle dégouline de mouille sur ma queue, ma queue fait des bruits obscènes dans sa chatte. Je ne l’ai jamais vue dans cet état. J’accélère, lui mettant de grands coups de bite, la percutant le plus fort possible. Elle va jouir, je la connais, je lui enfonce mon pouce à fond dans le cul.

Elle rugit, quand l’orgasme la submerge. Moi aussi je vais jouir. Dans un râle, il éjacule dans sa bouche la tenant par les cheveux.

— Ouiiiii prends tout, pétasse. Tiens, prends tout dans ta bouche.

À ces mots, je me colle au fond de sa chatte et j’éjacule. Elle est secouée de spasmes. Mathilde déglutit, tant bien que mal, le foutre de cet inconnu pendant que je finis de me vider en elle. Puis il ressort sa queue de la bouche de Mathilde, nous remercie et s’enfuit discrètement. On s’effondre une fois de plus sur ce lit. J’ai un mal de chien à respirer, Mathilde aussi apparemment. Je suis hors de moi. Comment ma femme a-t-elle pu sucer un inconnu ? Je n’en reviens pas. Quelle salope ! Non mais ce n’était pas prévu comme ça. Elle est folle.

Rapidement et sans un mot on se douche, on se rhabille et on rentre à la maison. Dans la voiture elle dort. Moi je n’en reviens toujours pas. Elle ne perd rien pour attendre. Jusqu’où serait-elle capable d’aller ? Il faut que je le sache, que j’en aie le cœur net.

À suivre…

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