Récit de Panalume (2011)
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Delphine terminait les derniers préparatifs. C'était vendredi soir et dans quelques minutes, son mari allait rentrer accompagné de son patron et de deux des principaux cadres dirigeants de son entreprise pour un repas à la maison prévu de longue date.
Jean, son mari, misait beaucoup sur ce repas. Il avait postulé à un poste de responsable des ventes pour l'Asie et il espérait bien marquer des points à cette occasion. Plusieurs semaines auparavant, il avait donc posé ces trois invitations aux trois personnes les plus influentes de la société et ce soir était le grand soir. Tout devait être parfait.
Delphine avait demandé à sa mère de récupérer les enfants au collège et de les garder le week-end. Ce matin elle avait commencé par nettoyer et ranger l'appartement du sol au plafond. Puis, en fin de matinée, elle s'était mise à la tâche pour préparer un repas qui, elle l'espérait, resterait gravé dans les mémoires. Elle avait dressé une belle table et pour finir, après une bonne douche , elle avait passé sa plus belle robe.
- Bonjour chérie ! dit Jean en ouvrant la porte.
- Bonjour chéri.
-V oilà, je te présente M. Chesson, mon patron, Francis, notre DRH et Cédric, responsable marketing.
- Bonjour Messieurs, enchantée. Puis-je vous débarrasser de vos affaires ?
- Oui merci chère Madame, répondit M. Chesson en enlevant son manteau, aussitôt imité par les deux autres invités.
Les trois hommes semblaient un peu plus vieux qu'elle et son mari, pensait Delphine. Ils devaient avoir la quarantaine passée contre 34 pour elle et 35 pour Jean. Ils étaient tous les trois élégants, minces, assez grands et paraissaient très agréables et courtois, laissant présager une bonne soirée en perspective.
La soirée débuta par un apéritif pendant lequel son mari et ses hôtes discutèrent travail et durant lequel Delphine intervint peu dans la conversation. Une fois à table, les conversations dérivèrent sur divers sujets tout au long du repas. Arrivé au dessert, les quatre hommes en étaient à discuter de l'argent et du pouvoir qu'il procure.
- Voyez-vous Jean, dit M. Chesson, quand j'ai monté mon entreprise il y a 15 ans, j'avais du mal à payer mon loyer à la fin du mois. Aujourd'hui, je peux tout m'offrir, même ce qui n'est à priori pas à vendre. C'est ça le pouvoir de l'argent.
- Vous pensez que tout s'achète ? Moi je ne pense pas. répondit Jean.
- Vous avez tort mon ami. Tenez, ce n'est qu'un exemple bien évidemment mais imaginons que je vous propose 10 000 euros, là tout de suite. Je vous signe un chèque ici même sur cette table.
- Euh… et bien… mais en échange de quoi ?
- Pour que votre femme nous montre sa poitrine. Je le répète, ce n'est qu'un exemple pour illustrer mes propos.
- Euh… et bien non, nous refuserions évidemment. Hein chérie, tu es d'accord ?
- Bien sûr, quelle question !
- Je ne vous crois pas une seconde, vous laisseriez passer 10 000 euros pour si peu ?
- Oui, exactement !
M. Chesson sortit son carnet qu'il posa sur la table et commença à remplir un chèque.
- Voilà, je n'ai plus qu'à le signer. 10 000 euros pour vous si votre femme reste seins nus jusqu'à la fin de la soirée, quelle est votre réponse ?
Tout le monde resta muet pendant quelques secondes. Les deux autres invités se regardaient incrédules tandis que Jean et Delphine fixaient le chèque du regard sur la table. Au bout d'un petit moment, Jean reprit ses esprits.
- Euh… enfin M. Chesson, répondit Jean. Vous n'y pensez...
- Attendez, dit Delphine, laissez-moi parler quelques minutes avec mon mari. Chéri, vient dans la cuisine s'il te plaît.
Une fois dans la cuisine, c'est Delphine qui commença :
- Jean, ces 10 000 euros, il nous les faut. On pourrait rembourser le crédit de la voiture et on ne commencerait plus systématiquement le mois avec 2 000 euros de découvert à la banque. Alors si c'est juste pour montrer mes seins pendant quelques heures, moi je le fais. Après tout, sur la plage, tout le monde les mate mes nichons; à ta grande satisfaction en plus, je te ferais remarquer...
Jean fixa sa femme dans les yeux :
- D'accord ! on y va chérie. Si c'est ce que tu veux.
Jean et Delphine retournèrent à table.
- C'est d'accord. Ma femme et moi sommes d'accord pour ça, dit Jean rouge de confusion et de honte.
- Très bien, dit M. Chesson en signant le chèque. Madame, je vous en prie.
Delphine déboutonna son chemisier qu'elle jeta sur l'accoudoir du canapé puis elle dégrafa son soutien-gorge qui suivit le même chemin.
- J'en étais sûr, dit Chesson. Une magnifique paire de seins, assez gros et bien hauts, avec de jolis tétons bien proportionnés qui pointent. Mes compliments Jean, votre femme à une magnifique poitrine. Combien voulez-vous pour le reste ?
Jean resta interloqué, ne sachant quoi répondre.
- Quoi ? Comment ?
- 20 000 euros de plus pour que votre femme se mette totalement nue et le reste toute la soirée. Qu'en dites-vous ?
Jean ne pouvait prononcer un seul mot et restait prostré sur sa chaise.
- C'est d'accord ! entendit-il au-dessus de son épaule.
Sa femme venait d'accepter l'inacceptable sans même le consulter. Avait-elle eu peur que Jean refuse la proposition ? Pendant que M. Chesson remplissait un deuxième chèque, Jean vit Delphine enlever ses chaussures et sa robe, puis vint le tour des bas qu'elle enleva délicatement. Pour finir, elle retira son string qu'elle laissa tomber à ses pieds.
- C'est un très joli petit cul ça mes amis, dit Chesson à ses deux collaborateurs qui n'en croyaient toujours pas leurs yeux. Regardez cette petite chatte toute lisse, pas un seul poil ne reste. Je vois que nous avons un goût en commun pour l'épilation totale, n'est-ce pas Jean ?
- Euh… oui c'est vrai, j'aime que ma femme s'épile totalement le sexe.
- Delphine, pouvez-vous vous tourner et vous cambrer un peu s'il vous plaît ?
Delphine hésita, puis lança un regard à son mari qui lui fit un signe d'approbation. Elle se retourna et se plia légèrement en deux, les mains sur les genoux.
- Oh mon Dieu que c'est beau ! Ce petit abricot tout lisse m'émerveille. Et nous avons en plus un beau petit trou légèrement ouvert qui nous apprend que Madame pratique la sodomie, c'est absolument parfait. Madame est une connaisseuse, hein Jean ?
- Oui, dit Jean sans autre commentaire.
Delphine servit le dessert à ses hôtes dans le plus simple appareil.
- Jean, pour être honnête avec vous, votre femme m'excite énormément et je me demandais si vous accepteriez de nous la mettre à disposition quelques heures. Je suis disposé à faire un effort financier important pour que vous nous la prêtiez à moi et aussi à Cédric et Francis. Je n'oublie jamais mes collaborateurs, dit-il en les regardant d'un œil malicieux. Disons 40 000 euros , qu'est-ce que vous en dites ?
- Non, non et non, cria Jean, il n'en est pas question.
- Ne vous mettez pas en colère Jean. Une heure seulement si vous voulez. Je vous en offre 50 000 euros et ce sera ma dernière proposition.
Jean se tenait la tête à deux mains. Delphine lui parlait calmement à l'oreille.
- Chéri, juste une heure et c'est fini, lui susurrait-elle à l'oreille. 50 000 euros, c'est un apport pour la maison de nos rêves. Allez, dit oui chéri, s'il te plaît.
Jean resta inerte, la tête dans les mains pendant une bonne minute.
-Oui… c'est d'accord, dit-il sans relever la tête.
- Très bien Jean, je vois que vous êtes raisonnable. Bien sûr, pour 50 000 euros, vous comprendrez que nous disposerons de Madame à notre guise et que rien ne pourra nous être refusé, on est bien d'accord ?
- Oui… on est d'accord.
- Voici vos 50 000 euros Jean, faites en bon usage, dit Chesson en lui tendant le chèque. Messieurs, mettons-nous en tenue. Allez, déshabillez-vous, vous n'allez pas faire attendre une jolie femme. Jean, qu'allez-vous faire ? Allez-vous rester dans la pièce pour regarder ?
Jean lança un regard à sa femme qui hocha de la tête.
- Oui, je préfère rester ici, sur ma chaise. Je ne vous gênerais pas.
- Comme vous le souhaitez mon ami, répondit Mr Chesson. Mais n'intervenez pas sinon notre marché est annulé.
Les trois hommes étaient désormais nus. Mr Chesson vint s'asseoir sur le canapé.
- Venez ici Delphine entre mes jambes, vous allez me sucer un peu.
Delphine, hésitante, se mit à genoux par terre entre ses jambes et le prit en bouche.
- Voilà c'est bien… aspire-moi bien la bite… lèche-moi un peu les couilles… oui, c'est bien, continue… quelle bonne suceuse tu fais… allez pompe maintenant.… pompe à fond… pompe ma salope…
Sur sa chaise, Jean était envahi par un sentiment où se mêlaient la jalousie et l'excitation.
- Viens t'asseoir sur ma queue maintenant, je vais te baiser la chatte.
Delphine se plaça sur lui, face à face, les jambes repliées sous les fesses.
- Allez bouge ma cochonne… allez plus vite… plus vite… rapproche-toi que je te suce le bout des seins…
Malgré la situation, Delphine ne pouvait empêcher le plaisir de monter dans son sexe et dans son corps.
- T'aimes te faire baiser devant ton mari, hein ? Dis-le que t'aimes ca… Allez, dis-le !
-Oui… j'aime… ça ! dit-elle.
- Alors dis-le à ton mari. Regarde-le et dis-lui… allez ma belle.
Delphine était à présent submergée par l'excitation. Tout en continuant ses mouvements de bassin, elle se tourna vers Jean.
- Chéri, oui j'aime me faire baiser devant toi. J'aime les grosses queues comme celle-là dans ma chatte. Oui, j'adore ça chéri… j'aime les bites… j'aime les bites.
- eh bien si tu aimes les bites, Cédric et Francis vont s'approcher et tu vas les sucer à tour de rôle pendant que je continue à te limer la moule. Allez les gars, venez ici.
Les deux hommes prirent place de chaque côté de M. Chesson debout sur le canapé, afin de présenter leur sexe à hauteur de bouche pour Delphine. Celle-ci les suça à tour de rôle en continuant de s'activer sur Chesson.
- T'aime baiser mais t'aime surtout sucer de la bite toi. Tu gobes comme une grosse pute. Je suis certain que tu adores avaler la jute, n'est-ce pas ?
-Oui, j'aime ça aussi, dit-elle en passant d'un sexe à l'autre.
- Eh bien il faut le dire à Jean, comment veux-tu qu'il le devine si tu ne lui dis pas… allez, dis-lui que t'aime sucer les bites !
- Oui chéri, dit-elle en se tournant vers lui à nouveau. J'aime sucer les bites… toutes les bites bien juteuses… je veux pomper la bite de tes collègues mon chéri… Je veux avaler du jus de bite, j'adore ça le jus de bite, chéri…
Jean avait sorti son sexe et se masturbait sur sa chaise.
- Très bien, dit Chesson. On va passer aux choses sérieuses maintenant. Delphine, mettez-vous en levrette sur le canapé, les mains sur le dossier. Relevez bien les fesses, on va vous enculer chacun notre tour. Allez, c'est moi qui commence, ouvrez bien votre cul.
- Comme ça ? dit Delphine en se cambrant au maximum.
- Oui c'est bien comme ca… voilà, c'est bien, ma bite rentre toute seule… allez, tu la sens bien ma grosse queue dans ton cul là hein ?
- Oh oui, c'est bon, elle est grosse.
- Elle est plus grosse que celle de ton mari celle-là hein ?
- Oh oui, plus grosse !
- Il te fait pas autant jouir par le cul ton mari hein ?
- Non, pas autant, c'est bon là… oh oui c'est bon dans le cul, chéri tu sais. Qu'est-ce qu'il m'encule bien ton patron… j'aime ça, chéri. C'est bon, oui c'est bon, c'est bon…
- Allez les gars, au suivant,dit Chesson en se retirant de l'anus de Delphine, Jean, j'ai de la peine à vous voir vous masturber sur votre chaise. Voulez-vous vous joindre à nous pour enculer votre femme ?
Jean se leva de sa chaise et vint se joindre au groupe qui se tenait autour de Delphine. C'est maintenant Cédric qui la sodomisait, puis se fut le tour de Francis et enfin Jean pris son tour.
- Allez ma belle, dit Chesson, vient t'asseoir par terre et ouvre grand le bec, on va tous te juter dans la bouche et tu vas tout avaler.
Delphine s'assit sur le sol, la bouche grande ouverte en attendant sa ration de sperme, entourée des quatre hommes qui se masturbaient. Cedric éjacula le premier au fond de sa gorge. Delphine avala tout d'une traite puis ouvrit la bouche à nouveau pour accueillir le sperme de Francis et de M. Chesson mélangé. Elle avala les deux doses d'un coup puis reprit sa position. Jean attrapa sa femme par les cheveux et lui enfourna son sexe entièrement dans la bouche.
- Tu veux de la bite espèce de chienne, dit-il à sa femme. En voilà de la bite, allez pompe-moi la queue grosse salope. Je vais te l'enfoncer jusqu'aux couilles ma bite dans ta bouche de pute. Je vais t'envoyer la purée directe dans le gosier… aaaaaaaaaahhhhhh, voilà, je te jute dans la gorge… aspire bien ma cochonne, n'en perd pas une goutte.…
Les quatre hommes laissèrent Delphine épuisée sur le sol puis se rhabillèrent.
- Jean, ce fut une merveilleuse soirée. J'espère que nous aurons l'occasion de recommencer cela à l'avenir.
- Tout le plaisir fut pour moi M. Chesson. Si vous le souhaitez, nous pouvons vous proposer une nouvelle invitation à dîner vendredi prochain. Delphine se fera un plaisir de vous recevoir, au sens propre comme au figuré bien sûr. Bien évidement, inutile cette fois-ci de venir avec votre chéquier, il n'y aura aucun frais annexe. Cedric et Francis, vous êtes également invités bien sûr. N'hésitez pas d'ailleurs à amener quelques amis avec vous si vous le souhaitez. Je viens de constater que la capacité d'accueil de ma femme est bien plus importante que je ne pensais. Voilà, à bientôt M. Chesson.
- Au revoir Paul et à lundi !
Paul referma la porte et se dirigea vers sa femme. Il prit sa tête entre ses mains et l'embrassa tendrement sur la bouche.
- Merci chérie, c'était parfait…
FIN
Une magnifique soirée qui se termine de façon admirable. Et la promotion , saurons-nous si Jean l’a obtenue ? Y aura-t-il d’autres dîners à raconter ?
RépondreSupprimerrécit original et excitant... bien écrit. ça me plait.
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