mardi 15 mai 2018

Le jouet sexuel du patron - Ch. 04

Le jouet sexuel du patron - récit érotique - soumission - dégradation - chantage

Récit de Wifelvrman traduit par Coulybaca (2007)

Déborah prostituée.

Déborah qui venait de se faire baiser par Dan et Steve alors que j'étais forcé de regarder, alla se doucher et vint se coucher silencieusement.

Nous nous demandions tous deux ce que Dan avait en tête lorsqu'il lui avait dit qu'elle deviendrait une véritable pute ce vendredi.

Le lendemain, un jeudi, se passa normalement.

Déborah alla au boulot vêtue d'une jupe courte, sans petite culotte et d'un chandail qui s'ouvrait sur le devant, sans soutien-gorge.

Ce n'était pas vraiment la tenue apparente d'une très conservatrice enseignante de collège.

Lorsqu'elle me quitta pour rentrer dans le collège, elle me demanda à quoi elle ressemblait, je savais qu'elle avait besoin de se rassurer, que je lui dise qu'elle ne ressemblait pas trop à une salope.

Elle portait une jupe noire, de longueur moyenne, un chandail prune, très fin avec un large décolleté, des chaussures noires avec des hauts talons et c'était tout.

- "Correcte! ... Ta tenue est correcte" la rassurai-je promptement.

- "Je dois déboutonner mon décolleté quand je parle avec un adulte! ..." me précisa-t-elle éperdue, soucieuse, elle me quitta sur ces mots.

Ses opulentes miches étaient clairement visibles sous son chandail, on distinguait clairement les aréoles de ses nibards, et si elle se penchait, on les voyait se balancer mollement.

Sa jupe moulait ses fesses attirant les regards. Dan choisissait les vêtements qu'elle devait mettre, j'espérais seulement que cela ne l'excite pas trop.

Fatalement le vendredi se pointa, nous n'en avions pas parlé ces derniers jours, vers 17 heures 30 elle reçut un coup de fil de Dan.

Elle se maquilla lourdement, entièrement nue, tandis que je la regardais faire, puis elle enfila une mini jupe noire que Dan lui avait achetée et un chemisier blanc qu'il avait trouvé dans son armoire.

Elle enfila ses chaussures avec les talons les plus hauts, une paire de talons aiguilles dorée qu'elle avait acheté pendant les vacances quelques années plus tôt et partit à sa rencontre dans le parking d'un motel à trente de minute de notre maison.

Elle ressemblait vraiment à une pute lorsqu'elle me quitta, je reçus un coup de fil de Dan trois quarts d'heure plus tard.

- "Magne-toi de nous rejoindre! ..." s'exclama-t-il hilare.

Je les rejoignis au motel dans la demi-heure qui suivit.

Je vis la voiture de Dan dans le parking, il me fit signe de le rejoindre.

Je me rangeais et montais dans sa voiture sur le siège passager.

J'avais remarqué la voiture de Déborah elle aussi rangée dans le parking.

- "Chambre 22 à l'étage! ... Déborah ne va plus tarder! ..."

Nous attendions silencieux, yeux braqués sur la porte, je pensais que Dan voulait savourer mes réactions.

Un petit moment plus tard, moment qui me sembla durer une éternité, Déborah sortit.

Elle descendit les escaliers et alla frapper à une autre porte de chambre.

La porte s'ouvrit, elle entra dans la chambre.

Dan me précisa alors :

- "Ta femme vient de baiser avec un complet inconnu pour 100 $, elle va faire la même chose avec un autre dans cette chambre! ..."

- "Retourne dans ta voiture, attends et regarde, elle n'en a pas fini! ..." je me relevais

- "Je vais m'acheter une bière, veux-tu quelque chose à boire? ...." me dit-il rigolard.

- "Non... Ou peut-être un verre d'eau".

Je ne sais pas si j'aurai pu avaler autre chose.

Trois quarts d'heure plus tard, Déborah ressortit et descendit les escaliers, elle n'avait pas entièrement reboutonné son corsage ses nichons se balançaient voluptueusement au rythme de ses pas.

Elle frappa à une porte de chambre et à nouveau entra.

Dan arriva alors et me donna trois bouteilles d'eau.

- "Elle sortira lorsque son client en aura fini avec elle! ... Approche-toi de la chambre et essaye de les épier au travers de la vitre! ... Et reste-y le temps qu'elle sorte! ...."

J'obéis docilement.

J'avais du mal à voir ce qui se passait, cependant je constatais que Déborah était assise entièrement nue sur le lit et suçait la bite de son client.

Je le vis ensuite clairement s'installer entre ses cuisses, je m'approchais de la porte, je n'entendais que des sons étouffés et les couinements du lit.

Il devait la baiser à couilles rabattues.

Je sais que je devais ressembler à un pervers épiant les ébats de baiseurs, mais Dan, assis dans sa voiture, me surveillait.

Enfin, Déborah sortit, je me rejetais dans l'ombre, mais elle me vit. .

- "Je ne parviens pas à le croire! .." gémit-elle misérablement

- "Je dois remonter à l'étage! ..."

Elle me quitta sur ces mots, son corsage était entièrement déboutonné, elle ne semblait absolument pas s'en préoccuper.

Je ressentis profondément son dédain et notre humiliation.

Je retournais à ma voiture. Dan vint me rejoindre.

A l'étage Déborah frappait à une porte.

- "Une paire d'étudiants! ..." me confia Dan hilare.

- "Je leur ai apporté quelques canettes de bière, ils brûlent d'envie de baiser ta salope de petite femme! ..."

Il m'intima de rester dans ma voiture, car Déborah risquait de rester dans cette chambre un bon moment; leurs copains devaient les rejoindre lorsqu'ils en auraient fini avec elle! ..."

Dan dégrafa sa braguette et sortit sa bite. Il me dit d'en faire autant et de laisser tomber mon caleçon sur mes chevilles.

- "Ne t'en fais pas! ..." me tranquillisa-t-il.

- "Je ne suis pas une tapette! ..."

- "Mais tu peux pourtant me sucer la bite! ... Et lorsque je juterai, avale tout, où c'est Déborah qui paiera pour ta désobéissance! ..."

Je me penchais et embouchais servilement sa grosse bite, je n'avais jamais fait de pipe à qui que ce soit, et j'hésitais, mais je savais pertinemment qu'en fait, je n'avais pas le choix, je ne pouvais pas me dérober.

- "Déborah doit gagner 1000 $ cette nuit! ... " m'avisa Dan alors que je le suçais servilement.

- "Elle restera dans cette chambre tant qu'elle ne les aura pas gagnés! .... Je ne sais pas combien ces étudiants ont ameuté de potes, ni combien d'entre eux vont venir, cela ne me concerne pas! ... Je veux toucher mon argent en fin de soirée! ... Je vais jouir! ..."

Il me tint la nuque tandis qu'il se vidait dans ma bouche. Son sperme était salé, crémeux, je n'en perdis pas une goutte.

Dan sortit de ma voiture et se dirigea vers la chambre., Quelques minutes plus tard il revenait une liasse de billets en main.

Il compta 10 billets de 100 $ et me les donna

- "Tu ferais mieux d'attendre qu'elle sorte, je pense qu'elle aura peut-être besoin de ton aide pour descendre les escaliers;

J'attendis et vis d'abord deux puis trois ados gagner la chambre.

Dan avait raison, ma femme était une vraie prostituée maintenant.....

A suivre...

La Vengeance d'un intello - Chapitre 07

La Vengeance d'un intello - Chapitre 07 - récit érotique - inceste - domination - viol - soumission

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur « Silkstockingslover »

La vengeance finale sur son ex-patronne.

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Résumé : Après avoir été licencié, Bruno, un jeune intello maigrichon a inventé un produit qui lui permet de prendre le contrôle de personnes. Cette drogue agit ainsi :

• La personne ne peut pas mentir.

• Le corps de la personne obéit aux ordres même si l'esprit conscient s'oppose à cette obéissance.

• La libido sexuelle de la personne augmente considérablement. (Bruno avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).

• La personne se sent enfermée dans des vêtements et elle voudrait être nue.

• L'impact du médicament est permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).

Bruno a testé avec efficacité son produit sur sa sœur et l'amie de celle-ci ainsi que sur son ennemi à l'école et la mère de celui-ci. Il a aidé son meilleur ami à avoir son jouet personnel. Et après avoir sauvé sa mère, il a avec elle des rapports sexuels endiablés. Ensuite sa mère désire faire de sa sœur à elle une vraie soumise.

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Bruno s'est un peu égaré de sa véritable cible avec l'utilisation de son produit. Il a baisé sa sœur, la meilleure amie de celle-ci, la voisine, sa mère et sa tante. Il s'est bien amusé mais il est temps pour lui d'exécuter sa vengeance.

Le matin de la veille du jour où il décide d'en finir, il sort de sa chambre pour voir sa mère lire le journal avec deux repose-pieds humains : sa sœur et la voisine. Il est évident que sa maman apprécie l'usage de sa drogue, tout comme lui.

Enjoué, il se dirige vers les deux salopes à quatre pattes pendant que sa maman le salue :

- Alors comment va mon grand garçon ce matin?

- Bien mais j'ai la trique. Quelle salope veut mon sperme?

Mme LEVIS, la voisine, qu'il avait conditionnée, supplie immédiatement :

- S'il te plaît, baise moi!

- Je vois que tu ne l'as pas nourrie ce matin. Elle n'a pas eu sa dose de léchage de chatte ce matin.

En parlant, Bruno sort sa bite déjà raide de son pyjama.

- Pas encore, il est dit que la patience est une vertu. Répond sa mère.

- Pas pour moi. Dit-il tandis qu'il se place derrière Mme LEVIS, se met à genoux et glisse sa bite dans le trou du cul offert.

- Oh oui. Gémit la femme, son corps conditionné pour ne sentir que du plaisir, même si son anus doit être en feu après cette pénétration à sec.

- Tu aimes l'avoir dans le cul n'est-ce pas? Comme ton pédé de fils? Demande la mère de Bruno.

Mme LEVIS déteste cette condition d'aimer être sodomisée. Elle ne supporte pas non plus que son fils ait été transformé en homosexuel affamé de bites. Mais elle est obéissante pour protéger son mari, qui, pour le moment n'a pas reçu le produit qui modifierait son esprit.

- Elle n'est pas aussi serrée que d'habitude! Remarque Bruno.

- Elle a été enculée par trois étudiants noirs hier. Dit sa maman.

- Oh, j'aurais aimé voir ça. Dit Bruno excité.

- J'ai une vidéo de très bonne qualité. Répond sa mère.

- Super. Dit son fils en pensant qu'il faut qu'il filme sa vengeance prévue demain.

- Oui, surtout que l'éjaculation des trois sur son visage fait un final fantastique. Ajoute Elizabeth.

Après quelques coups de reins dans le cul de la voisine, Bruno entend sa tante Lisa gémir, désespérée de ne pouvoir en profiter :

- Et moi?

- Tu veux que je t'encule aussi? Demande le garçon.

- Oui mon neveu. Avoue Lisa.

Elle est furieuse d'avoir été transformée en bimbo par sa sœur. Pourtant, à chaque fois qu'elle voit une bite, elle veut l'avoir en elle... même celle de son neveu.

- Je reviens. Dit Bruno en sortant de la voisine et en forçant son sexe dans la salope numéro 2, qui a le cul beaucoup plus serré.

- Oui. Crie Lisa quand son cul est rempli par la bite de son neveu.

- Je ne veux pas que vous jouissiez, tant que votre Maître n'a pas éjaculé. Ordonne Elizabeth à ses deux soumises.

Bruno remarque que sa mère a beaucoup changé depuis la découverte de son produit. C'est un exemple de la menace que présente cette drogue. Dans de mauvaises mains, ce produit pourrait changer le monde.

C'est pourquoi il a brûlé ses notes. Il a seulement gardé 6 doses de produit et 3 doses de médicament curatif. Il a effacé toutes preuves de cette expérience réussie.

Il aurait aimé droguer toute chienne et les rendre soumises mais les risques sont plus importants que les gains.

Bien sûr, il arrêtera après-demain quand il aura humilié Sarah, son ancienne patronne qui l'a licencié.

Il continue à sodomiser sa tante qui gémit fortement en jouissant du traitement comme c'est programmé dans sa tête.

- Et moi? Gémit Mme LEVIS, voulant que la bite revienne dans son cul.

Elle est mortifiée de vouloir une queue dans son cul, surtout d'un intello maigrichon comme Bruno. Mais elle ne peut résister aux commandements.

- Tel fils, telle mère. Rigole Bruno qui a transformé son ancien tourmenteur en pédé complet.

La voisine est encore plus humiliée quand le garçon lui rappelle le jour où elle a vu arriver son fils, le visage plein de sperme. Pourtant malgré son ressentiment envers Bruno, elle veut sa grosse bite dans son anus. Cela l'afflige, mais elle ment :

- Il l'a mérité.

- Comme toi qui l'a toujours laissé faire et qui m'a toujours traité comme un moins que rien. Déclare Bruno.

C'est vrai. Elle a grandi dans une famille riche et snob où l'intimidation est vue comme une forme de survie adaptée, un maintien dans la hiérarchie sociale. Elle dit :

- Et je le paierai le reste de ma vie.

- Et oui. Dit Bruno.

Puis il sort de sa tante pour retourner enculer la voisine, qui est devenue plus soumise et plus affamée sous les ordres de sa mère.

Après quelques minutes d'enculage profond, Bruno est sur le point de jouir. Sa mère dit alors :

- Éjacule sur le sol et laisse ses salopes se battre pour lécher.

- J'aime ton mauvais esprit. Dit Bruno en souriant.

- Tel fils telle mère. Rit Elizabeth en enlevant ses pieds de dessus ses tabourets humains.

Le garçon sort à la toute dernière seconde, s'éloigne un peu des deux salopes et lâche son sperme sur le linoléum du salon. Il regarde, amusé, les deux femmes soumises se précipiter sur sa semence comme des cochons se ruant sur une auge.

- Je pense qu'elles ont faim. Rigole Elizabeth.

Lisa, qui a l'habitude d'obtenir ce qu'elle veut, lutte contre l'autre femme et réussit à récupérer la majorité du sperme. Elle sait que si elle ne le faisait pas, elle aurait encore envie de sperme au travail et ne serait pas capable de faire quoi que ce soit avant d'avoir sucé et avalé la semence d'un inconnu.

Bruno range son sexe en regardant avec sa mère les deux salopes.

Elizabeth, qui préfère la langue de sa fille aux deux autres crié :

- Catherine, viens prendre ton petit déjeuner.

Une minute plus tard, la jeune fille est entre les jambes de sa maman. Pendant ce temps, les deux autres soumises ont entrepris un 69 pour étancher leur soif de jus féminin.

*****

Cette nuit-là, Bruno entre dans son ancienne entreprise. Les concierges, qui détestent Sarah autant que lui, le laissent pénétrer dans les locaux.

Le garçon passe quelques heures à trafiquer le système d'aération. Son plan est simple : Il veut que son produit se diffuse dans tout le 18ème étage où est le bureau beaucoup trop grand de Sarah. Ainsi il va pouvoir se venger.

Une fois fait, il rentre chez lui et pense à sa vengeance du lendemain. Il est tellement excité qu'il ne baise aucune des salopes à sa disposition. Il se couche et passe une bonne nuit.

Le lendemain il se lève plus tard que d'habitude. La maison est vide. Tout le monde est parti à ses occupations. Une fois prêt, il se dirige vers son ancienne entreprise.

Une fois de plus, les concierges le laissent entrer discrètement sans que la sécurité ne le voie.

Une fois à l'intérieur, les concierges confirment que sa patronne est bien là. Et que la seule personne au même étage est sa secrétaire qui elle aussi est une garce. Bruno déclenche le mécanisme qui va diffuser son produit au 18ème étage Puis il attend impatiemment pendant les 10 minutes nécessaires pour que sa drogue soit complètement dissipée.

Ne tenant plus en place, il entre dans l'ascenseur et monte jusqu'à l'étage réservée à cette chienne de Sarah. L'heure de la vengeance arrive.

Il se dirige vers la secrétaire Karen, qui lui demande, clairement agacée qu'il soit devant elle :

- Que fais-tu ici?

- je viens me venger. Répond Bruno.

Puis il ajoute :

- A quatre pattes!

- Comment oses-tu? Dit Karen.

La secrétaire, belle rouquine, est sur le point d'appeler la sécurité quand elle se sent tomber sur le sol comme ordonné. Confuse, elle regarde ce petit maigrichon en s'exclamant :

- Qu'est-ce qui se passe?

-Tu es un bon coup. Je ne veux pas attendre pour te baiser. Répond Bruno.

- Tu es trop moche. Dit la secrétaire en ne comprenant toujours pas pourquoi elle a obéi à ce minus.

- Tu as envie d'une bite dans ton cul.

Bruno ajoute cet ordre dans la tête de cette prétentieuse. Elle n'est que secrétaire et elle n'a pas à le prendre de haut.

- N'importe quoi! Dit-elle

Bruno sourit. Il aime le défi que lui oppose cette prochaine salope. Il ordonne :

- relève-toi!

Alors qu'elle a essayé de le faire les 60 dernières secondes, Karen est contente que son corps lui obéisse et qu'elle puisse se relever.

- Bien salope. Maintenant déshabille-toi! Dit le garçon en souriant.

- Va te faire foutre. Crache-t-elle.

- C'est le plan. Dit-il.

A ce moment il pense qu'il pourrait la prendre à la maison comme un jouet que la famille aimerait utiliser. Sa mère serait sûrement contente du cadeau.

Karen le regarde alors qu'elle voit qu'elle est en train d'enlever sa robe. « Que se passe-t-il? Pourquoi j'obéis? » pense-t-elle.

Bruno, voyant la perplexité sur le visage de la secrétaire rouquine, lui explique :

- Je t'ai infecté avec un produit qui te fait obéir à tous mes ordres.

- C'est ridicule. Dit-elle.

Pourtant elle tire sa robe par-dessus sa tête et se trouve debout, en collants, soutien-gorge et culotte noirs devant cet intello.

- Si tu le dis. Pourtant c'est la vérité. Dit le garçon en admirant le corps de la femme.

Puis il ajoute :

- Enlève ton soutien-gorge que je puisse voir ces seins.

- Arrête. Supplie Karen, alors que tout d'un coup, elle comprend la dure réalité de sa situation.

Et elle dégrafe son soutien-gorge.

- Lance-le moi!

Karen obéit puis se couvre les seins.

- Mets tes bras le long de ton corps. Ordonne Bruno en sortant son téléphone.

- S'il te plaît, arrête. Supplie-t-elle tout en obéissant complètement mortifiée.

Le garçon fait quelques photos puis prend des ciseaux sur le bureau, les lui tend en ordonnant :

- Coupe ton collant à l'entrejambe puis ta culotte, que je puisse voir ta chatte.

Elle attrape les ciseaux et le regarde méchamment :

- Tu es un gros dégueulasse complètement fou.

- Bon. A partir d'aujourd'hui tu ne boiras ton café qu'avec un nuage de sperme.

Bruno ajoute l'ordre en pensant toujours à de nouvelles façons de l'humilier.

Mais elle se moque en commençant à couper son collant :

- Ah ah, je ne bois pas de café.

Bruno secoue la tête en pensant qu'elle est bien stupide :

- Et bien alors, chaque matin tu prendras une décharge de sperme sur la figure et tu l'étaleras comme une crème pour le visage.

- Tu n'es pas sérieux? Demande-t-elle en se rendant compte qu'elle aurait dû se taire.

- Chaque ordre que je te donne est permanent. Alors tu devrais réfléchir avant de parler... Si une salope idiote comme toi peut penser. Dit Bruno en essayant de l'énerver.

Elle le regarde, son corps entier tremblant de colère pendant qu'elle coupe ses sous-vêtements. Mais elle ne répond pas.

- Maintenant la culotte! Ordonne Bruno, appréciant que cette chienne lui obéisse.

Elle le fait sans un mot, ayant compris qu'il est préférable pour elle de garder la bouche fermée. Une fois qu'elle a coupé sa culotte, elle la lui tend. Il dit alors :

- Si tu te comportes bien, je vais faire en sorte que la vraie chienne pour laquelle je suis là aujourd'hui te mange ta petite chatte rasée.

Karen est surprise. Quand il parle de vraie chienne il doit s'agir de sa patronne qu'elle déteste aussi. Une patronne qui l'a obligée à baiser avec de gros clients hommes ou femmes. Elle est très bien rémunérée comme secrétaire. Mais la vérité c'est qu'elle est bien plus qu'une secrétaire. Et même si elle est en mauvaise situation, elle demande avec un sourire :

- Tu me laisseras dominer cette mijaurée?

- Si tu es un bon petit animal de compagnie obéissant. Répond Bruno en tendant la main vers la chatte de la rouquine.

Karen, qui a l'habitude dans son travail d'être utilisée sexuellement, se laisse doigter par l'intello maigrichon. Elle se dit que si elle se débrouille bien, elle pourra profiter de la situation. Alors elle gémit.

Bruno est impressionné par la rapidité de la secrétaire à comprendre sa position. Il veut la baiser mais il faut qu'il attende. Il doit d'abord terminer son plan de vengeance.

- A quatre pattes! Ordonne-t-il en enlevant son doigt de la chatte.

Karen obéit.

- Va jusqu'à la porte du grand bureau!

Elle obéit encore. Bruno prend une grande respiration. La fin est proche. En ouvrant la porte, il dit :

- Entre à l'intérieur!

La secrétaire obéit. Sarah, la patronne lève les yeux de son bureau.

- Que se passe-t-il? Demande-t-elle en voyant sa secrétaire ramper complètement nue devant elle.

Bien sûr, elle avait déjà vu cette salope nue auparavant dans son bureau... mais jamais comme ça. Habituellement c'était quand elle était excitée et avait besoin d'un orgasme ou alors quand elle voulait être méchante. Elle se délectait de son pouvoir et d'avoir une secrétaire à son service qui la léchait sous le bureau.

Bruno entre alors.

- Salut chienne. Dit-il.

- Que fais-tu ici? Demande Sarah en regardant le maigrichon qu'elle a renvoyé il y a quelque temps.

- Je viens me venger. Dit Bruno sans crainte.

Puis il ajoute :

- Sarah, enlève ton chemisier et ton soutien-gorge. Voyons voir ces faux seins payés par ton salaire indécent.

La patronne lui lance un regard furieux et le menace, alors que ses mains commencent à déboutonner son chemisier :

- Je vais te faire arrêter.

Le garçon hausse les épaules et réfléchit à tous les commandements qu'il doit implanter pour se protéger de toute menace future. Il dit :

- Tu ne diras jamais mon nom après que je t'ai enculée. Tu ne diras jamais à personne pourquoi tu es devenue la plus grosse salope du monde.

- Oui c'est ça. Se moque Sarah.

Mais elle a un hoquet de surprise lorsque qu'elle se rend compte qu'elle déboutonne son chemisier. Elle essaie de s'arrêter, mais elle n'y arrive pas. Elle s'exclame :

- Que se passe-t-il?

- Ça marche. Sourit Bruno.

- Qu'est-ce qui marche? Demande-t-elle en finissant de déboutonner son chemisier.

- Tu es vraiment stupide. Déclare Bruno content de pouvoir dire exactement ce qu'il pense d'elle.

- Espèce de petite bite! Insulte Sarah alors qu'elle enlève sa chemise.

Puis elle réalise que ce garçon avait découvert le produit qui prenait le contrôle de l'esprit.

- En fait je suis assez bien doté. Corrige Bruno.

Puis il ordonne :

- Karen, viens montrer à ta patronne comment je le suis.

Celle-ci, curieuse, est disposée à faire tout ce qu'il demande pour ne plus avoir de conditions imposées. Alors elle s'approche de lui et va chercher sa bite.

Pendant ce temps, la patronne déchire son soutien-gorge, furieuse et inquiète. Elle se demande comment il a fait pour récupérer le produit et combien de temps il va être efficace. Cachant sa colère et son inquiétude, elle demande :

- Comment as-tu fait?

- Cela n'a pas d'importance. Dit-il alors que sa queue qui commence à être raide sort de son pantalon.

Essayant de le distraire et espérant que l'efficacité de la drogue est de courte durée, Sarah dit :

- Bruno, nous pouvons travailler ensemble ici.

- A quoi penses-tu? Demande Bruno, joueur.

- A tout. Déclare Sarah.

- Alors tu vas prendre ma bite dans ton cul pendant que tu lécheras la chatte de Karen? Demande le garçon.

Sarah baisse les yeux et voit que ce maigrichon a une putain de grosse bite. Elle voit également que Karen, sans qu'on lui demande, l'a prise en bouche.

- Alors c'est de cela qu'il s'agit? Tu veux me baiser?

Elle se dit qu'elle va pouvoir se débarrasser de ça. Après tout, elle a baisé de hommes encore plus gringalets et plus moches que lui pour arriver à sa position au sein de l'entreprise. Les hommes sont faciles à manipuler.

Entre temps, Karen est impressionnée par la taille de la bite de l'intello. Parallèlement, Bruno est impressionné par la bouche experte de la secrétaire. Il répond à son ancienne patronne :

- il s'agit de te donner une leçon.

- Pourquoi? Parce que je t'ai renvoyé?

- Parce que tu es une grosse chienne. Enlève ta jupe!

- Combien de temps dure l'effet de la drogue? Demande Sarah en voulant savoir combien de temps elle allait devoir rester sous l'emprise de ce minus.

- Toujours. Répond Bruno en la regardant enlever sa jupe.

A sa grande surprise, il voit qu'elle porte des bas. Ça le rend heureux :

- Tu es habillée pour être baisée.

Elle ignore son commentaire pour se concentrer sur le mot de sa réponse horrible. Elle demande :

- Que veux-tu dire par « toujours »?

- C'est un mot assez simple à comprendre non?

Sarah le regarde furieusement. Elle déteste être prise pour une idiote.

- jusqu'à la fin de ta vie. Ajoute Bruno d'une voix moqueuse, lui parlant comme s'il parlait à un enfant.

- Tu n'es pas sérieux? Dit-elle.

Pendant les essais de ce produit, il était censé agir un temps limité seulement. S'ils l'avaient utilisé sur des personnes, ils auraient enfreint la Convention de Genève. Mais si le produit a un effet permanent, c'est une catastrophe.

- je n'avais pas l'intention de faire ça au début. Dit Bruno.

Puis il hausse les épaules, en regardant les formes avantageuses de Sarah et dit :

- Mais j'y vois quelques avantages.

- C'est dangereux. Insiste-t-elle, non seulement pour elle mais pour tout le monde si c'est vrai.

- Je sais. C'est pour cela que j'ai effacé tous mes résultats de recherche ainsi que le reste du produit. Tu es mon dernier cas de test. Dit-il en évitant de mentionner que tout est vrai sauf les quelques flacons qu'il a gardés.

- Tu l'as vraiment perfectionné pour te venger de moi?

- Oui. Et pour te prouver que je pouvais le faire.

- Et bien, je suis impressionnée. Dit-elle.

- Et maintenant tu vas être ma salope à trois trous. Bien que j'imagine que c'est ainsi que tu es arrivée à ce poste.

Ça énerve Sarah. Bien sûr elle a baisé de hommes importants ainsi que quelques femmes pour y arriver. Mais elle est aussi une femme très intelligente qui mérite d'être là où elle est. Alors elle dit :

- C'est un minus au chômage qui me dit ça...

Bruno soupire :

- Tu aimes bouffer de la chatte?

- Dieu non. Répond Sarah, tout en se rappelant qu'elle l'a déjà fait pour monter en grade ou conclure un contrat.

Alors Bruno la conditionne :

- Tu aimes bouffer de la chatte et tu as envie de bouffer de la chatte... pour toujours.

Sarah se tourne alors vers sa secrétaire qui l'a broutée de nombreuses fois mais à qui elle n'a jamais rendu la faveur.

Bruno ordonne :

- Karen, va t'assoir sur son bureau et écarte bien les jambes pour ton animal soumis.

- Quoi? Questionne la patronne alors qu'elle commence à saliver.

- Sarah, tu es soumise à toutes les personnes dans le monde. Tu suceras la bite, mangeras la chatte et baiseras toute personne qui te l'ordonnera.

- S'il te plait non. Supplie la femme.

- Tu veux seulement plaire et servir. Tu aimes la bite dans ta bouche, dans ta chatte et dans ton cul. Tu aimes la chatte qui se frotte sur ton visage. Tu aimes le sperme et le jus de chatte. Tu en es avide. Continue Bruno.

- Sale bâtard! Réplique Sarah, furieuse.

Mais elle fixe sa secrétaire, les jambes écartées devant elle et elle salive d'envie.

- Tu suceras, baiseras ou mangeras la chatte de quelqu'un de nouveau tous les jours. Ajoute Bruno.

- Viens manger ma chatte, petite pute. Ordonne Karen.

- ça ne va pas non! Crie Sarah en colère, alors qu'elle se penche et commence à lécher la chatte de sa secrétaire.

- Et tu t'offriras à un de tes parents. Ajoute Bruno.

Il profite de son pouvoir. Ensuite il se déplace derrière elle, baisse sa culotte et pénètre sa chatte.

- Oh mon dieu! Gémit Sarah alors que le plaisir d'avoir une bite dans sa chatte la frappe intensément.

- Et tu ne jouiras que lorsque quelqu'un t'appellera « salope vide-couilles ». Dit Bruno qui sait qu'il ne pourra se retenir longtemps car il n'a pas encore baisé aujourd'hui.

- Je te détruirai pour tout cela. Dit Sarah avec colère, même si son corps et son esprit ne lui obéissent plus.

- Et tu ne laveras ton visage qu'avec du sperme! Dit le garçon, capable d'ajouter des conditions toute la journée.

- Continue à lécher salope! Ordonne Karen, un orgasme se développant et contente d'avoir pris le pouvoir sur sa patronne.

- Petite garce. Répond Sarah tout en se remettant à lécher la chatte de sa secrétaire.

- Tu ne pourras jamais donner d'ordre à personne, jamais. Tu es la plus grosse salope du bureau et du monde. Ton seul but est de faire plaisir aux autres avec tes trois trous.

- Enculé! Dit la femme en rage.

Bruno sort de sa chatte et encule brutalement la chienne en disant :

- C'est ce que je te fais.

- ENFOIRE! Crie-t-elle alors qu'elle a l'impression que l'on déchire son anus, une douleur brulante la traversant.

- Tu m'as dit de t'enculer. Répond Bruno en jouissant du pouvoir sur la pute qui l'a renvoyé.

- S'il te plait, retire-toi. Répète Sarah sous la douleur.

Elle a déjà été sodomisée à plusieurs reprises mais toujours avec du lubrifiant et souvent quand elle était ivre.

- Tu aimes l'avoir dans le cul. Ça te rappelle la putain que tu es. Toutes les grosses bites dans ton cul feront que ta chatte va s'enflammer et que tu auras envie de jouir.

Instantanément, la douleur dans son cul s'estompe mais sa chatte commence à la bruler. Elle commence à apprécier cette sodomie brutale. Pourtant elle continue à menacer, furieuse de se faire traiter ainsi :

- Je te ferais payer pour tout ça.

- Alors maintenant, tu devras trouver un clochard tous les soirs et te faire baiser par lui. Dit Bruno, près à éjaculer.

- Va te faire mettre! Crache la femme.

- Et chaque week-end, tu iras dans une maison de retraite pour t'offrir à un résident homme ou femme. Et tu changeras chaque semaine. Ajoute le garçon en se retenant.

Pendant qu'elle lèche la chatte délicieuse de sa secrétaire, que son cul est pilonné, que sa chatte la brule, Sarah n'arrête pas de penser à l'orgasme qui est sur le point de venir mais qui ne viendra pas.

- Voila ta première ration salope! Dit Bruno en grognant et déposant son sperme au fond du cul de la chienne.

L'éjaculation de l'homme envoie directement des décharges à la chatte de Sarah mais elle ne jouit pas. Bruno la regarde, la queue encore enterrée dans son cul. Karen saisit la tête de sa patronne et force son visage dans sa chatte en disant!

- Lèche ma chatte, sale pute!

Elle obéit, son orgasme étant si près qu'elle ne peut s'arrêter d'y penser malgré sa colère.

Karen jouit subitement et arrose le visage de sa patronne, se vengeant ainsi de toutes les années où elle a été traitée en servante.

Bruno dit alors :

- C'est l'heure pour moi de baiser cette chatte, une chose que je veux faire depuis longtemps.

Sarah le regarde, sachant qu'elle est vaincue mais trop fière pour le montrer. Elle dit :

- Tu ne peux faire que ça.

Bruno hausse les épaules en sortant de son cul et en plaçant sa bite à l'entrée de sa chatte :

- Bien sûr, ça ne me fera pas de mal.

- Tu es un connard de raté! Réplique Sarah ne se laissant pas intimider même si elle ne peut plus contrôler son corps.

- Tu me désires désespérément. Chaque fois que tu auras une bite dans un de tes trous de pute, tu fantasmeras sur moi.

- C'est dégueulasse. Crache Sarah alors qu'elle regarde son sexe et le veut en elle.

Le garçon hausse les épaules et dit :

- Je pense que tu serais bien avec un bébé dans ton ventre.

- Quoi? Mon Dieu non. Dit Sarah effrayée à cette idée repoussante.

Bruno continue :

- Tu veux un bébé. Pendant toute cette année, tu feras éjaculer les hommes dans ta chatte jusqu'à ce que tu sois enceinte.

- Non, non, non, non, non. Pleure la patronne pendant que le garçon pénètre son vagin.

- Et tu cesseras d'utiliser tout type de contraception.

Bruno commence à la pilonner.

- S'il te plait non. Gémit Sarah avec le plaisir d'avoir cette bite en elle.

- Et de plus, aujourd'hui, tu ne quitteras pas cette pièce avant d'avoir reçu dix décharges de sperme dans ta chatte. Continue Bruno, la bite raide comme jamais d'avoir enfin concrétisé sa vengeance.

- Connard de bâtard! Rugit Sarah, encore une fois incapable de contrôler sa colère.

- Tu te feras mettre des piercings aux mamelons et tu te feras faire un tatouage sur le cul avec ces mots « Décharge de sperme ». Ajoute le garçon qui commence à être à cours de conditionnements.

- Et tu boiras une tasse d'urine tous les jours! Dit Karen en urinant subitement sur le visage stupéfait de sa patronne.

- Sale pute! Crie Sarah alors qu'un jet jaune tombe dans sa bouche puis dans son visage.

- Bien! Dit Bruno en souriant.

- Je vous hais! Dit Sarah ;

Des larmes coulent de ses yeux. Son humiliation est complète mais le plaisir est toujours là. Elle est frustrée de ne pouvoir jouir encore.

- Pourtant tu aimes ma bite non? Demande Bruno en continuant à la baiser.

Elle est encolère et ne veux pas avouer mais la réponse est oui.

- Dis la vérité! Ordonne le garçon.

- Oui bon sang! Admet Sarah.

Elle met sa main sur sa chatte et se masturbe, désespérée de ne pouvoir jouir. Et elle ajoute :

- Parce que tu m'as conditionné.

- Tu veux jouir? Demande Bruno pendant que Karen descend du bureau.

- Oui. Dit la patronne, incapable de penser à autre chose.

- Alors dis-moi quels sont les mots?

Elle n'arrive pas à s'en souvenir. Elle sait qu'ils sont dégradants. Elle sait que « salope » en fait partie mais elle ne se souvient pas du reste. Karen dit :

- Tu es une salope vi....

Elle se souvient tout d'un coup. Elle veut jouir, la bite de l'intello est si bien dans sa chatte. Alors, sans hésitation elle dit :

- Je suis une salope vide-couilles.

Mais, à sa grande frustration, l'orgasme ne vient pas. Alors elle répète :

- Je suis une salope vide-couilles.

Bruno, qui est prêt à se vider une deuxième fois lui explique :

- En vérité, tu ne jouiras que lorsque c'est une autre personne qui dit ces mots.

Karen qui apprécie d'avoir un peu de pouvoir sur sa patronne dit :

- Tu es une salope vide... bites.

Sarah peut ressentir du plaisir supplémentaire et a presque jouit avec cette phrase mais le dernier mot lui a refusé l'extase. Elle gémit en se tordant :

- Noooonnnn...

Tu es une salope vide... queues. Continue Karen.

- S'il vous plait... Supplie Sarah tout en rebondissant sur la queue de Bruno et en se masturbant avec beaucoup de vigueur.

- Tu es une salope vide-couilles. Déclare le garçon en éjaculant dans le vagin de cette chienne.

- OUUUUUIIIIIIIIIIIIIII. Crie Sarah.

L'orgasme le plus intense de sa vie la traverse et elle sent le bâtard inonder son ventre non protégé.

- Tu me l'a demandé. Lui rappelle Bruno en finissant de vider ses graines en elle.

- Tu m'as souillée. Grogne Sarah encore sous le coup de sa jouissance.

Alors que sa patronne ne s'est pas encore remise de son premier orgasme, Karen répète :

- Grosse pute, tu es une salope vide-couilles!

Immédiatement un deuxième orgasme traverse Sarah. Elle n'a jamais joui aussi fort.

Bruno sort du bureau et envoie un SMS aux trois concierges présents aujourd'hui. Il leur dit de venir. Pui il revient dans le bureau.

Pendant ce temps, Sarah se penche sur son bureau, recouverte d'urine, remplie de sperme, l'orgasme ne semblant pas se terminer.

Karen demande au garçon :

- Et maintenant?

Bruno lui répond :

- Tu viens à la maison avec moi. Sois une bonne salope et je te donnerai l'antidote.

- Je ferai n'importe quoi pour toi. Dit Karen en s'agenouillant et en prenant la bite du garçon dans sa bouche.

- C'est bon à savoir. Dit Bruno.

Au même moment, on frappe à la porte du bureau. Il doit s'agir des concierges.

- Entrez! Dit le garçon.

- Non! Crie Sarah en regardant la porte s'ouvrir et les concierges entrer.

- La salope est à vous trois. Déclare Bruno.

Puis il retire sa bite de la bouche de Karen et va s'assoir confortablement dans un canapé. La secrétaire le suit et recommence à le sucer pendant que les yeux de Sarah s'élargissent.

- S'il te plait Bruno, je ferai tout ce que tu voudras. Supplie-t-elle en regardant les trois hommes approcher d'elle.

- Oh oui tu le feras. De plus, il te faut encore neuf décharges de sperme dans ton ventre avant de pouvoir quitter ton bureau.

- Ce n'est pas vrai? demande Sarah tout en sachant que si.

Peu de temps après, elle se retrouve sur le sol de son bureau avec une bite mexicaine dans sa chatte, une bite de noire dans sa bouche, et une bite asiatique dans son cul. Elle ne sait pas si le troisième concierge est d'origine japonaise ou chinoise.

Pendant ce temps, Bruno apprécie la fellation de Karen. Il se dit qu'elle sera parfaite comme jouet sexuel, esclave de la famille et petite amie.

Tout en regardant le spectacle, il tape sur son téléphone un texte que devra lire Sarah au conseil d'administration de l'entreprise. Dans cette lettre, elle le désigne comme nouveau vice-président de l'entreprise. Il ne peut pas se débarrasser d'elle encore... Du moins, tant qu'il n'aura pas vraiment assis sa position.

De toute façon, il peut facilement pulvériser son produit dans une salle de réunion et faire en sorte que la majorité des membres du conseil d'administration lui obéisse. Il les déteste tous.

Quoiqu'il en soit, il serait vainqueur.

FIN.

dimanche 13 mai 2018

Le jouet sexuel du patron - Ch. 03

Le jouet sexuel du patron - récit érotique - soumission - dégradation - chantage

Récit de Wifelvrman traduit par Coulybaca (2007)

La soumission de Déborah se poursuit.

Déborah entra dans son école habillée élégamment, mais sans soutien-gorge, ni petite culotte, sa jupe était assez courte, elle était vêtue comme Dan le lui avait ordonné.

Je la quittais pour me rendre à mon boulot.

Déborah m'appela du collège pour me dire à quel point les élèves la reluquaient de façon concupiscente et ses collègues lorgnaient ses nibards qui se balançaient au rythme de ses pas alors que ses mamelons dardaient au travers du fin lainage.

Elle me confia qu'elle s'était rendue dans le bureau du principal et qu'elle s'était penchée vers lui comme lui avait dicté Dan de le faire (j'ignorais que Dan lui avait ordonné de faire ça!).

Elle avait enchaîné sur une conversation des plus normales portant sur les nouveaux textes de lois, elle avait remarqué que ses yeux étaient rivés à son décolleté, elle se demandait s'il pouvait voir distinctement ses nibards alors que le décolleté de son chandail pendait vers le bas révélant ses tétons dardés.

Elle s'était penchée à plusieurs reprises en donnant son cours comme Dan le lui avait intimé, spécialement lorsqu'elle se trouvait face à ses étudiants mâles.

Le reste de la journée se passa calmement bien qu'elle soit consciente d'être vêtue de façon fort provocante.

Elle m'apprit que Dan devait la prendre à la sortie des classes pour la ramener à la maison, aussi que je ne me tracasse pas pour ça.

Je savais ce que cela signifiait : il entendait la baiser à nouveau.

Elle sortait de classe à 15 heures et demi et je rentrais vers 17 heures.

J'eus tout le temps de me demander ce que Dan lui faisait faire pendant que je travaillais.

Elle m'avait évité de me retrouver en prison, mais nous payions tous deux le prix de ce passe-droit.

J'arrivais chez moi vers 17 heures 20, la voiture de Dan, était garée dans l'allée du garage.

Je me demandais ce devait en penser les voisins, j'espérais pouvoir leur donner une explication valable.

J'entrais dans ma maison et je les entendis remuer dans la chambre.

J'entrais dans la chambre, Déborah était assise sur Dan, sa grosse bite profondément enfoncée dans sa moule alors qu'elle avait la mentule d'un autre type en bouche.

Ils étaient entièrement nus. Je reconnus Steve, un de mes collègues.

Déborah avait des difficultés à sucer une bite tandis que Dan la baisait avec vigueur.

Je voyais sa foufoune étreindre sa hampe alors qu'il coulissait régulièrement en elle.

J'étais très ennuyé de voir que Dan avait invité un tiers à partager ma femme. Je me demandais combien de personnes étaient au courant et avec combien d'entre elles elle devrait baiser.

Steve lui tenait la tête pour qu'elle le suce correctement. Quelques instants plus tard, il se retira de sa bouche, la contourna et cracha sur son trou du cul.

J'avais peur de ce qui allait arriver, je ne pense pas qu'ils avaient remarqué ma présence, je me tenais dans l'entrée de la chambre, jusqu'à ce que Dan hurla

- "Approche-toi George, viens voir ta femme se faire embrocher par deux bites en même temps! ..."

Je m'approchais du trio et Dan m'invita à prendre une chaise pour m'asseoir auprès du lit.

Je pris la chaise de la petite coiffeuse et m'approchais du lit juste à moment où Steve pointait son gland sur l'œillet affolé de ma petite femme.

Déborah ferma les yeux et grinça des dents alors que son chibre pénétrait lentement dans son anus soumis.

J'étais abasourdie qu'elle puisse l'accueillir si facilement, elle avait une grosse bite dans la chatte et une autre dans le trou du cul.

Dan avait ralenti ses coups de boutoir facilitant l'intromission de la mentule de Steve dans l'anus de ma femme.

Lentement pour débuter, puis de plus en plus vite ils la baisèrent en chœur.

Ses nibards pendaient face à Dan, il en suçait avidement tout en pétrissant l'autre fermement.

Steve s'en saisit tout en l'enculant, son pubis frappant avec vigueur ses fesses, elle cria tout au long de cette séquence et je vis de grosses larmes rouler sur ses joues.

Steve lâcha ses nibards et Dan se mit à les sucer alternativement.

Steve lui saisit les cheveux l'attirant contre lui tout en l'enculant vigoureusement, elle cria de plus belle et le flot de ses larmes s'accrut.

Dan cracha sa semence dans son ventre suivi rapidement par Steve qui emplit de semence son trou du cul.

Il extirpa sa bite de son trou du cul et Dan la tenant par la taille la fit rouler sur le flanc, son visage se trouvait prés de moi, il la disposa à quatre pattes et elle me demanda :

- "Viens ici et pose ta tête sous moi! ..."

Je savais que c'était Dan qui la forçait à me dire cela, mais je devais m'exécuter servilement.

Je m'approchais d'elle, le visage exactement à l'aplomb de sa foufoune.

Elle s'assit sur mon visage remuant son cul sur ma bouche.

- "Lèche-moi! ..." m'intima-t-elle.

J'obtempérais savourant le goût du sperme de Steve mélangé à ses flagrances anales.

J'entendis Dan lui ordonner :

- "Viens me nettoyer la bite! ...." je savais ainsi que pendant que la léchais, elle suçait sa bite.

Puis ce fut au tour de Steve de lui intimer de nettoyer sa queue, elle dut m'imiter promptement.

- "Et maintenant ouvre toi et pousse! ... "lui commanda Dan.

Je reçus une grosse dose de sperme dans la bouche.

Je toussais et m'écartais lorsque Déborah me dit :

- "Tu n'as pas encore fini, avale et occupe-toi de ma chatoune! ..."

Elle installa sa chatte sur mes lèvres et je me mis docilement à la lécher et la sucer.

Elle se redressa expulsant de fortes doses de foutre dans ma bouche.

Steve et Dan regardaient l'épaisse semence m'emplir la bouche.

Alors qu'ils se rhabillaient, Dan me félicita :

- "T'es un gentil garçon mon vieux George! ..."

Ils éclatèrent de rire à ces mots, puis il ajouta :

- "A vendredi ma chérie... » et il partit sur ces mots.

Lorsqu'ils refermèrent la porte dans leur dos, Déborah se roula en boule et se mit à hurler.

Je ne pus que l'assurer que j'étais vraiment désolé de lui infliger tout ce-la.

Elle me répondit en sanglotant :

- "Tu n'as pas compris, samedi, il veut faire de moi une pute, sa pute! ..."

A suivre...


Le jouet sexuel du patron - Ch. 02

Le jouet sexuel du patron - récit érotique - soumission - dégradation - chantage

Récit de Wifelvrman traduit par Coulybaca (2007)

Déborah esclave sexuelle.

Mon patron a baisé ma femme chez moi, sous mes yeux à la suite d'un abominable marché, mais qui me permettait d'éviter la prison.

Déborah m'appelait de chez lui.

Il l'avait emmené chez lui pour qu'elle passe la nuit avec lui.

Il ne lui avait permis de mettre ni soutien-gorge ni corsage, en fait, elle fit la route le buste dénudé après avoir sucé sa bite et avalé son foutre.

Déborah me demanda si je l'entendais clairement, je dis que oui, elle avait posé le récepteur et évoluait dans la pièce où ils se tenaient.

Dan voulait que j'entende ce qui se passait, c'est tout ce qu'elle me dit.

J'entendis alors Dan lui ordonner de virer sa jupe et sa petite culotte.

Il lui dit qu'elle était une gentille petite femme bien obéissante et une bonne petite salope pour exécuter ainsi, à la lettre, ses ordres.

Je savais que très bientôt ma femme allait se faire baiser pour la première fois par un autre que moi.

Déjà qu'elle avait avalé du foutre pour la première fois, elle ne l'avait jamais fait pour moi, en 25 ans de mariage.

Eh oui Déborah est une femme mature de 48 ans, mais elle en parait beaucoup moins.

Je ne parvenais pas à croire en ce qui nous arrivait, mais c'était de ma faute, c'était moi qui avais détourné des fonds de la compagnie.

Si seulement j'avais su ce à que devrait accepter ma femme pour m'épargner la prison. Ma femme chérie allait non seulement se faire baiser par mon patron, mais aussi par d'autres hommes quand il le déciderait.

Elle allait lui servir de jouet sexuel tant qu'il aurait envie de ses charmes.

Et ce ne serait pas tout, j'entendis Dan lui dire :

- "Couche-toi sur le dos et écarte les cuisses en grand! ... Tu n'es plus que ma petite pute dorénavant! ... Tu seras ma salope! ... t'as compris? ..."

Au travers de ses reniflements et de ses sanglots j'entendis Déborah approuver :

- "Oui... Je... Je ferai tout... Tout ce que vous voudrez! ...."

- "Et maintenant Je vais te baiser et jouir en toi" lui annonça Dan.

Je savais qu'il disait cela pour mieux me torturer.

- "Dis lui ce qui se passe! ..."

- "Il me baise! ..." j'entendais les claquements des ses couilles venant frapper sa croupe.

- "Dis-moi que tu es une salope! ... Dis-moi que tu n'es qu'une petite pute! ... Dis-le! ..."

- "Je... je suis une salope... Une pute! ..." cracha-t-elle d'une voix tremblante.

- "C'est bon, rappelez le vous tous les deux! ....' s'exclama Dan hilare.

Il dit quelques minutes plus tard :

- "Dis à George ce que je te fais! ..."

Déborah pleurnicha :

- "Mon chéri il.. Il jouit dans mon ventre! ..."

- "Et maintenant suce le reste et nettoie ma pine ma salope! ..." entendis-je Dan lui intimer.

- "Bonne nuit George, passe la prendre demain à 6 heures et demi! ... Sois exact au rendez-vous ni en avance, ni en retard, à 6 heures et demi-pétant... "

Sur ce il reposa le téléphone.

Je me demandais bien ce qu'il allait lui faire au cours de cette nuit. Je me haïssais d'avoir condamné ma femme à faire cela. Cependant je ressentais u début d'excitation à la savoir baisée, utilisée pour le plaisir d'un tiers.

Le lendemain matin j'arrivais à l'heure exacte à la maison de Dan. Je m'étais vêtu pour aller travailler et avais amené quelques vêtements pour Déborah.

Alors que j'appuyais sur la sonnerie, Dan hurla :

- "Entre! ..." j'ouvris la porte et pénétrais dans la maison.

Dan ajouta:

- "Viens par ici! ..."

Je me dirigeais vers l'endroit d'où provenait sa voix et arrivais à sa chambre, la porte était ouverte.

- "Entre! .." m'invita George suavement.

Déborah était étendue toute nue sur son lit, il était tout aussi nu.

- "Dis à ton mari ce que tu voudrais qu'il fasse! .... Allez, dis le lui! ..."

Déborah me regarda et dit :

- "Viens ici et lèche ma chatte! ..." je voyais de grosses larmes perler dans ses yeux je savais qu'il la forçait à me dire cela.

Je savais tout autant que je devais m'exécuter.

Sous les yeux de Dan.

Comme je me plaçais entre ses cuisses et que je commençais à lécher sa fentine, je me dis qu'il venait tout juste de la baiser.

Du foutre s'écoulait de son trou vaginal.

- "Plonge ta langue profondément en moi! ..." me précisa-t-elle.

Je lui obéis docilement.

Lorsque j'en eus fini, Déborah ajouta :

- "Ce n'est pas tout! ...." et elle se retourna pointant son cul dans les airs.

- "Lèche mon trou du cul! ..." poursuivit-elle le visage enfoui dans un oreiller.

- "Je ne crois pas qu'il t'ait entendu! ..." intervint Dan cyniquement.

Déborah tourna la tête vers moi et répéta :

- "Lèche mon trou du cul! ... Il est plein de foutre! ... Et maintenant grouille-toi! ...." je me penchais sur ses fesses.

Je lui léchais l'orifice anal, je lui enfonçais même la pointe de ma langue dans son trou du cul.

- « Plus profond! .. » s'exclama-t-elle.

Je m'exécutais servilement.

Lorsque j'eus terminé, Dan prit la parole.

- "Déborah va se préparer à se rendre à son boulot maintenant? ... Assied toi et attends un instant pendant que je déjeune... As-tu aimé le tien? ...."

Déborah se leva et se rendit dans la salle de bain. Elle prit une douche rapide, se coiffa et se maquilla.

- « Je t'ai amené quelques affaires... » lui dis-je d'une voix sourde.

- "Je n'en ai pas besoin..." me répondit-elle.

- "J'ai apporté mes affaires hier soir... "

- "De toute manière je dois porter ce que Dan m'a préparé ce matin..."

Elle sortit de la salle de bain vêtue de la jupe qu'elle portait hier soir, une jolie jupe en jean qui s'arrêtait une quinzaine de centimètres au-dessus de ses genoux, un chandail rose qui se boutonnait sur le devant et ses loafers noirs.

Je remarquais d'emblée qu'elle ne portait ni bas ni soutien-gorge, ni culotte devinais-je instantanément.

Je vais vous dire quelques mots de Déborah, elle enseigne l'histoire dans le collège local, elle est très conservatrice, elle ne s'était jamais promenée sans soutien-gorge auparavant.

Ses cheveux sont auburn, tirant sur le roux elle a une opulente et ferme poitrine qui nécessitait des soutiens-gorges de maintien, elle est un peu ronde mais très bien proportionnée.

Sa jupe était jolie, le seul ennui c'est qu'elle ne portait pas de culotte en dessous.

Son chandail était joli, mais elle ne portait pas de soutien-gorge en dessous.

Lorsqu'elle bougeait ses nichons se balançaient au rythme de ses pas, on distinguait clairement ses mamelons au travers du fin lainage.

J'étais ébahi.

- "Emmène-moi au boulot! .." Soupira-t-elle.

- "Nous n'avons pas la possibilité de lui désobéir! ... .

Elle rassembla ses affaires et nous partîmes.

Quand elle descendit de la voiture, je savais que tous les yeux des élèves et des maîtres se braqueraient sur elle.

Qu'allait-il encore nous arriver les jours prochains! .....

La Vengeance d'un intello - Chapitre 06

La Vengeance d'un intello - Chapitre 06 - récit érotique - inceste - domination - viol - soumission

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur « Silkstockingslover »

C'est maintenant le tour de sa tante.

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Résumé : Après avoir été licencié, Bruno, un jeune intello maigrichon a inventé un produit qui lui permet de prendre le contrôle de personnes. Cette drogue agit ainsi :

• La personne ne peut pas mentir.

• Le corps de la personne obéit aux ordres même si l'esprit conscient s'oppose à cette obéissance.

• La libido sexuelle de la personne augmente considérablement. (Bruno avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).

• La personne se sent enfermée dans des vêtements et elle voudrait être nue.

• L'impact du médicament est permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).

Bruno a testé avec efficacité son produit sur sa sœur et l'amie de celle-ci ainsi que sur son ennemi à l'école et la mère de celui-ci. Il a aidé son meilleur ami à avoir son jouet personnel. Et après avoir sauvé sa mère, il a avec elle des rapports sexuels endiablés.

************************************************************************

Après avoir éjaculé dans le cul de sa mère, Bruno dîne avec ses deux salopes.

Elizabeth, la maman, le cul un peu douloureux, le restant de sperme que sa fille Catherine n'a pas nettoyé coulant sur la chaise, reste assise en silence et médite sur sa journée surréaliste. Après réflexion elle demande à son fils :

- Tu as fait de ma fille une bimbo qui ne peut rien refuser à personne.

- Ouais. Répond Bruno en se sentant un peu coupable.

- Et ça ne peut pas être inversé? Demande la mère en regardant sa fille.

Elle appréciait la soumission de sa garce de fille qui était devenue incontrôlable au cours du temps. Mais elle ne voulait pas qu'elle reste un objet sexuel pour sa vie entière.

- Je suis en train de créer un remède. Ajoute Bruno.

- C'est vrai? Demande Catherine.

Son frère hoche la tête :

- Oui. Je ne pense pas pouvoir modifier l'obligation que tu as d'obéir mais je peux peut-être simplement le limiter au sexe. Et je pourrais peut-être supprimer certains ordres permanents que tu subis.

- Ça serait un début. Dit Catherine frustrée de ne pouvoir contrôler son corps mais espérant de récupérer un peu d'autonomie.

Elle est surprise quand sa mère dit :

- C'est de ta faute Catherine.

- Pardon? Demande la fille.

- Si tu n'étais pas devenue une petite garce égoïste, j'imagine que Bruno aurait testé son produit sur quelqu'un d'autre. Déclare sa mère.

- Ton fils m'a transformé en une putain de Bimbo et c'est moi qui suis la mauvaise. Dit Catherine immédiatement en colère.

- Tu étais déjà une salope. Et on te prenait déjà pour une Bimbo.

- Maman! Crie Catherine blessée et en colère, des larmes se formant dans ses yeux,

Bruno intervient, surpris par le comportement de sa mère :

- Maman, je crois qu'elle a compris la leçon.

- N'est-ce pas vrai Catherine? Demande Elizabeth à sa fille en la regardant dans les yeux.

- Oui maman.

Catherine hoche la tête, essayant d'agir comme une bonne fille.

- Et quoi que fasse ton frère pour te guérir, tu comprends que maintenant je suis ta mère et ta Maîtresse et que ton frère est ton Maître?

Bruno est impressionné par le changement soudain de personnalité de sa mère. C'est comme si elle se réveillait d'année de sommeil en bonne mère de famille et qu'elle retrouvait sa sexualité perdue.

Catherine est choquée par les paroles de sa mère mais elle hoche la tête :

- Oui Maîtresse.

- Bon approche-toi maintenant pour avoir du dessert. Déclare Elizabeth.

Elle aime l'idée d'avoir une soumise personnelle pour lui lécher la chatte.

- Oui Maîtresse.

Catherine est abasourdie par le comportement dominant de sa mère mais en même temps elle a faim de sexe.

Pendant que sa fille lèche sa chatte, Elizabeth dit à son fils :

- Nous avons besoin de mettre des règles en place.

- D'accord. Approuve Bruno, curieux de connaître la suite.

- Je suis toujours ta mère, et en public, cette relation doit rester la même. Dit-elle, ne voulant pas que son image souffre de ses rapports incestueux.

- Bien sûr. Sourit Bruno, voyant déjà où sa mère veut en venir.

- Mais quand nous sommes seuls dans cette maison tu es l'homme du foyer. Continue Elizabeth, excitée par l'idée d'avoir sa propre lécheuse de chatte mais aussi d'être soumise à une grosse bite.

Bruno répond :

- D'accord, mais j'ai quelques règles de base aussi.

- Qui sont?

- Tu seras toujours en bas.

- Je le suis déjà.

- Je vais dormir avec toi dans ta chambre.

- D'accord,

- Je pense que c'est tout pour le moment. Dit Bruno.

- Que dirais-tu que nous invitions ma sœur bientôt? Suggère Elizabeth.

Elle déteste sa sœur cadette et si elle peut utiliser le produit sur quelqu'un ce sera sur elle. Bruno lui demande avec un sourire vicieux :

- Veux-tu dire qu'il faut que je change ta sœur en bouffeuse de chatte esclave de toi?

- Est-ce mal? Demande-t-elle en posant sa main sur la tête de sa fille.

- Très, très mal! Acquiesce Bruno, sa bite commençant à le démanger.

- Est-ce un oui?

- Bien sûr que oui.

Bruno hoche la tête, se lève de table, passe derrière sa sœur et pénètre son cul violemment.

- Oh oui. Crie Catherine.

La tête dans la chatte de sa mère, le discours sur sa tante l'a instantanément transformée en salope. Bruno pilonne son cul tout en sachant qu'il va lui falloir du temps pour jouir après ces deux dernières heures éprouvantes. Elizabeth dit :

- J'invite Lisa ce week-end.

Catherine, son cul transpercé, léchant la chatte de sa mère demande alors :

- Est-ce que je pourrais être au-dessus de tante Lisa?

- Si tu continues à être une bonne fille. Répond Elizabeth.

- Comme si j'ai le choix. Dit Catherine en enfouissant son visage dans le sexe de sa mère.

- Gagné!

La mère se met à rire. Bruno dit alors :

- Espérons que j'arrive à fabriquer une nouvelle version de mon produit.

- Tu veux le modifier comment? Demande Elizabeth.

-Eh bien la partie contrôlant la soumission sexuelle d'une personne sera toujours là. Par exemple, une fois qu'on a donné l'ordre à un gars de sucer une bite, il pensera toujours à sucer une bite. Une fois que ce produit chimique sera dans la tête de la personne, elle deviendra à jamais un soumis sexuel. Mais je peux modifier la drogue de telle façon que cette personne n'obéisse qu'à une seule ou un groupe de personnes.

- Donc pour le moment Catherine obéit à tout?

- Oui.

- Donc si je lui dis de marcher à l'extérieur complètement nue, elle le fera.

- Oui. La seule restriction est qu'elle ne doit pas risquer sa vie.

- Donc si je lui dis de se poignarder, elle ne le fera pas.

- Exact. La partie du cerveau qui commande l'instinct de survie est toujours intact. Mais la partie qui commande la moralité est facile à manipuler.

- Comme pour les politiciens. Plaisante Elizabeth.

- Oui. Rigole Bruno.

- Donc c'est tout ce que fait ton produit. Demande sa mère sérieusement.

- Oui, il a le pouvoir de changer le monde.

- Ou de le détruire.

- Que veux-tu dire? Demande Bruno pensif.

- Penses-tu que si le gouvernement le possédait, il l'utiliserait à bon escient?

- Je l'espère. Déclare Bruno.

Puis, la révélation de ce que peut devenir sa drogue si elle tombe entre de mauvaises mains lui apparaît.

- Merde!

Elizabeth hoche la tête.

- Oui. Je pense que tu dois modifier cette drogue, en particulier pour que ta sœur ne termine pas dans les mains d'un trou du cul cinglé. Et tu devrais brûler tes documents de recherche et te débarrasser de tout le surplus de ce produit.

Je suppose que tu as raison.

Bruno se rend compte que cette drogue est trop dangereuse pour être mise dans la main de n'importe qui.

- Bien sûr, nous allons d'abord l'utiliser sur ma sœur et toi tu auras ta vengeance. Sourit Elizabeth.

- J'aime ce côté méchant en toi Maman.

- Tu vis maintenant avec une maman salope. Gémit-elle, la langue de sa fille faisant du bon travail.

- Une maman vide-couilles. Corrige Bruno tout en enculant sa sœur.

- Oui mon chéri.

Elizabeth crie alors qu'elle jouit tout en pensant qu'elle aura bientôt sa sœur entre ses jambes. Quelques minutes plus tard, quand elle est remise de son orgasme, elle dit :

- Je vais aller faire du shopping demain au sex-shop.

Catherine demande :

- Puis-je t'accompagner?

En jouant sur la mots, Bruno dit :

- Oui tu peux l'accompagner avec l'orgasme le plus intense que tu n'aies jamais eu quand tu sentiras mon sperme dans ton cul.

- Oh mon Dieu, encule moi bien grand frère.

Elle gémit en commençant à rebondir pour répondre à ses coups de reins.

- Tu veux mon sperme salope?

- Oui Maître, remplis le trou du cul de ta salope avec ta grosse bite.

Elizabeth regarde ses deux enfants baiser. Il y a un jour, elle aurait été mortifiée. Mais aujourd'hui, elle est excitée. « Que la vie est bizarre » pense-t-elle.

Après quelques minutes de sodomie intense, Bruno grogne :

- Mmmm, je viens...

- Ouiiiiiiiiiii....

Catherine crie instantanément sous l'orgasme qui la traverse en sentant le sperme de son frère inonder son cul. Dès que celui-ci se retire, la jeune fille s'effondre sur le sol dans une extase totale.

Bruno se rapproche alors de sa mère et lui fourre sa queue dans la bouche en ordonnant :

- Nettoie ma bite maman salope!

Elizabeth n'a jamais sucé de verge sortant d'un autre cul mais elle obéit comme une bonne chienne. Elle est à la fois excitée et dégoûtée par l'ordre.

Quand son fils se retire enfin, elle lui demande :

- Avec tes ordres tu peux faire en sorte que les orgasmes soient plus intenses?

- J'ai déjà fait.

- Merde, si tu peux faire en sorte que j'ai des orgasmes plus puissants, je veux bien essayer ta drogue.

- Je pense que je peux simplement concocter un aphrodisiaque pour les orgasmes.

- Fais-le alors. Dit sa mère en regardant sa fille trembler encore sur le sol, quelques minutes après son orgasme.

Bruno se rhabille et se dirige dans sa pièce servant de laboratoire pour tenter de modifier sa drogue. Si cela fonctionne comme il espère, il sera alors possible que le produit n'impacte que les pulsions sexuelles. Cela peut rendre la drogue inutile au gouvernement mais encore utile pour lui.

Il travaille toute la nuit. Le matin, il se sent proche de réussir mais il est trop fatigué pour continuer. Il quitte son laboratoire pour aller se coucher quand il entend sa mère gémir :

- Vas-y ma chérie, mange la chatte de ta maman.

Il entre dans la cuisine et voit sa sœur sous la table en train de lécher sa mère.

- Tu ne t'es pas couché? Demande Elizabeth.

Elle n'a pas l'air de se sentir coupable de commettre un inceste avec son fils ou sa fille. Et ça ne la dérange pas que sa fille soit obligée de lui brouter la chatte.

- J'ai travaillé sur la drogue toute la nuit. Répond Bruno, sa bite durcissant sous la vision de l'acte lesbien.

- Tu y arrives?

- je ne suis plus très loin.

- Moi aussi. Insinue de façon coquine sa mère tout en tirant la tête de sa fille contre son sexe humide.

Alors qu'il s'approche d'elle et sort sa bite, il dit :

- Je pense que je ferai mieux de participer à ce partage familial de fluides.

Levant un sourcil, et en gémissant car proche de l'orgasme, sa mère demande :

- Tu penses que tu peux mettre ta bite devant le visage de ta maman maintenant?

Bruno, confiant après la journée d'hier, fait glisser sa bite dans la bouche gémissante et dit :

- Et dans ta bouche.

Elizabeth ne peut nier qu'elle aime la position dominante de son fils même si elle ne devrait pas. Alors elle commence à sucer la queue raide.

En dessous de la table, léchant avec impatience la chatte de sa mère, Catherine entend les paroles de son frère et reprend espoir sur la modification du produit. Elle a compris la leçon et elle ne sera plus une garce.

Elizabeth recrache le sexe de son fils quand elle crie de jouissance :

- OH OUIIIIIIIII..... Lèche, lèche bien le jus de maman.

Catherine le fait avec enthousiasme, obtenant ainsi sa dose matinale de fluide corporel. Et Bruno ordonne tout en remettant sa bite raide dans la bouche de sa mère :

- Garde ma bite et suce maman!

Elizabeth obéit même si elle sait qu'elle aurait dû le gronder. Elle se dit qu'elle devrait être responsable mais c'est si bon de se faire lécher par sa fille ou baisé par son fils. Et le comportement dominant de son fils l'excite profondément.

Catherine finit de lécher chaque goutte de la jouissance de sa mère avant de sortir de dessous la table. Elle voit sa mère qui suce frénétiquement la queue de son frère. Elle ne peut nier qu'elle est jalouse de sa mère. Elle veut une bite, et de préférence dans sa chatte humide. Quand elle se redresse, Bruno lui dit :

- Bonjour sœurette.

- Salut! Répond-elle incapable de détacher ses yeux du sexe de son frère.

Sa mère étant une bonne suceuse, Bruno est près d'éjaculer. Mais une idée surgit dans sa tête. Il attend le dernier moment et sort de la bouche pour éclabousser de sperme le visage de sa mère.

Celle-ci a le souffle coupé lorsque le sperme tombe sur sa figure. Cela fait longtemps qu'elle n'avait pas subi cela. Elle s'exclame :

- Bruno!

Jets après jets, la semence frappe son visage surpris. Mais elle ne bouge pas comme une bonne salope. Une fois que le garçon a fini d'éjaculer il ordonne à sa sœur :

- Voilà ta dose du matin sur le visage de maman!

Catherine ne dit rien mais s'empresse de lécher et récupérer le liquide blanchâtre sur la figure abasourdie de sa mère. Lorsqu'elle lui touche les lèvres, celle-ci l'embrasse en glissant sa langue dans sa bouche. Bruno regarde ce moment chaud où deux femmes s'embrassent.

Quand Elizabeth rompt le baiser, elle se change en mode « mère sévère » et gronde son fils :

- Jamais tu n'éjacules sur mon visage sans avertissement.

Sans vraiment réaliser ce qu'elle dit, Catherine rajoute :

- Oui, quel gaspillage de sperme.

Bruno hausse les épaules et tente de garder le contrôle en précisant qu'il est l'homme de la maison :

- Maman, il faut que nous soyons clairs entre nous. Hiérarchiquement dans cette maison je suis au-dessus de toi. Et toi tu es au-dessus de Catherine.

Elizabeth reste choquée, sans voix. Une partie d'elle-même est soumise à la personnalité de son fils, une autre voudrait le frapper. Bruno se rend compte de la confusion de sa mère. Il sait qu'il ne peut plus reculer alors il ajoute :

- Est-ce clair maman?

Elizabeth, le corps prenant le pas sur l'esprit répond :

- Oui.

Bruno hoche la tête avec confiance, se sentant puissant.

- Bon, je vais me coucher. Tu as eu tes deux doses ce matin. Cette après-midi tu peux aller voir Éric.

- Qu'est-il arrivé à Michel? Demande Elizabeth.

- Bruno m'a dit de le quitter pour un bigleux à boutons. Répond Catherine ennuyée même si Éric a une plus grosse queue que son ancien petit ami Michel.

- De toute façon Michel était un trou du cul. Déclare la mère en se levant et en allant se préparer.

Soudain Bruno entend du bruit dans le garage. Il y va et voit Sharon, la voisine, qui attend à genoux. Il se met à rire :

- Nous vous avons oublié.

- S'il vous plaît, arrêtez ça. Dit Sharon avec une envie croissante de lécher une chatte.

Bruno retourne à la cuisine et dit à sa sœur :

- Catherine, si tu veux avoir un orgasme, va voir notre voisine au garage.

- Hein? Dit-elle surprise.

- Oui. Je devais me venger de Pierre et je me suis dit que je pouvais tester mon produit sur sa mère.

- Super! Dit la jeune fille en se dirigeant vers le garage.

Bruno rejoint sa chambre, s'allonge sur son lit et, en quelques secondes à peine, s'endort corps et esprit épuisés.

*******

Bruno se réveille vers deux heures de l'après-midi. Il attrape deux beignets et se rend à son laboratoire.

Vers quatre heures et demie, il pense avoir trouvé une solution temporaire : un mélange qui va permettre d'effacer certaines conditions à long terme. Cela ne supprimera pas l'obéissance sexuelle permanente mais il peut, espère-t-il, supprimer des ordres comme la dépendance au sperme.

Content de lui, il va à la cuisine et est surpris de remarquer que sa mère n'est pas encore rentrée à la maison. Il appelle alors :

- Catherine! Tu es à la maison?

Pas de réponse. Il se dirige vers la chambre de sa sœur et commence à entendre des gémissements et sa sœur qui dit :

- Plus fort! Baise-moi plus fort!

Il ouvre la porte et voit la jeune fille chevaucher Éric l'intello boutonneux de sa classe.

- Sors d'ici! Demande Catherine tout en se trémoussant sur la queue de son ami.

Elle l'a déjà fait jouir deux fois : la première à l'école quand elle l'a sucé et la deuxième fois après juste une minute de baise quand elle l'a dépucelé.

Bruno s'excuse en souriant :

- Désolé.

Puis il referme rapidement la porte. Il retourne à la cuisine, mort de faim. Soudain, son portable sonne :

- Salut Maman.

- Je vais acheter de la nourriture pour le diner. Que veux-tu?

- Ta chatte! Répond Bruno excitée/

- Tu es insatiable. Mais je pensais plutôt à du KFC. Dit Elizabeth.

- On va devoir se lécher les doigts. Plaisante Bruno.

- Ou autre chose. Répond la mère en continuant de jouer sur les insinuations sexuelles.

- Ok, KFC me va. Déclare Bruno.

- Bon. Je reviens bientôt. Dit Elizabeth en raccrochant.

Elle a l'impression d'avoir 19 ans et d'être encore au collège, attendant avec empressement le rendez-vous où elle serait baisée.

Quelques instants plus tard, Éric se rue hors de la maison en évitant Bruno. Catherine arrive en peignoir et demande :

- Alors tous les intellos ont une grosse bite?

Bruno hausse les épaules :

- En tout cas, tous ceux que je connais.

- Je viens de prendre sa virginité et il a jouis deux fois dans ma chatte. Révèle Catherine

- Bien, ça va me reposer car je crois que maman, à son retour, veut sa part.

Soudain, Bruno réagit à ce qu'il vient de dire. C'est assez incroyable. Catherine étonnée que sa mère se soit changée de femme prude en salope dit :

- Je n'arrive pas à croire qu'elle soit devenue aussi salope sans le produit.

- Des années de déni je suppose.

- Penses-tu qu'elle était une salope quand elle avait mon âge?

- Surement.

- C'est bien.

- alors Éric est devenu ton petit ami?

Catherine hoche la tête :

- Ouais. Et s'il continue à me baiser comme ça, je vais le garder toute ma vie.

- Il est plus performant au lit que Michel?

- Bien mieux à vrai dire. Et de plus, Éric m'a fait un cunnilingus.

- Tous les intellos aiment bouffer de la chatte. Dit Bruno.

- C'est vrai?

- Nous essayons toujours de faire plaisir.

- On dirait que c'est vrai. Admet Catherine.

- Bon, approche! Ordonne Bruno.

- Je croyais que tu te réservais pour maman?

- Je pense avoir réglé quelques problèmes de mon produit.

- Vraiment? Super! Dit-elle en s'approchant de son frère.

Bruno pulvérise sa nouvelle drogue sur son visage.

- Comment ça fonctionne? Demande-t-elle.

- Je dois pouvoir supprimer tous les ordres à long terme.

- Je ne serai plus accro au sperme?

- Si je le veux.

- Est que je pourrais aussi ne plus obéir à Béatrice? Elle est vraiment devenue une vraie garce.

Bruno passe plusieurs minutes à donner de nouveaux ordres à sa sœur. Une fois cela fait, ils testent quelques ordres et Catherine est soulagée de voir que son corps n'obéit plus automatiquement. Le garçon dit :

- Pour préciser, tu ne peux pas dire non à un ordre sexuel mais tout le reste a disparu.

- Merci. Dit Catherine en pensant qu'il y a peu de chance qu'un étranger lui donne un ordre sexuel.

- Oh je pense que tu devras me rembourser toute ta vie. Sourit Bruno alors que la porte d'entrée s'ouvre.

Elizabeth entre avec des sacs de commissions et dit :

- Venez manger!

Catherine demande alors avec un air espiègle :

- Le poulet ou ta chatte?

- D'accord, viens lécher la chatte de ta mère qu'elle soit prête pour ton grand frère. Déclare Elizabeth en posant les sacs de course sur la table et en s'asseyant sur le canapé.

Catherine, qui aime le goût de sa maman, se met à quatre pattes et commence à la lécher, pas surprise qu'elle soit déjà humide. Bruno dit alors :

- J'ai supprimé la plupart des ordres de Catherine.

- Alors elle n'est plus accro au sperme?

- Non. Mais bien sûr, elle ne peut toujours pas désobéir à un ordre sexuel.

Elizabeth hoche la tête :

- Bien. J'aime bien avoir ma lécheuse de chatte personnelle.

- Maman! Proteste Catherine avec un petit rire.

Bruno et sa mère mange le dîner pendant que Catherine mange sa maman. Une fois qu'ils ont fini de manger, Elizabeth dit :

- Maintenant, viens baiser maman!

- S'il le faut : Plaisante Bruno.

- Oui il le faut. Confirme la mère alors que Catherine se retire d'entre ses jambes en se léchant les lèvres.

Bruno pilonne sa mère pendant que Catherine mange son diner. Au bout de dix minutes, le garçon éjacule. Et dès qu'il se retire, sa sœur enterre rapidement son visage entre les cuisses de sa mère. Bruno lui demande alors :

- Pourquoi fais-tu ça? Parce que tu dois le faire ou parce que tu le veux?

- Parce que je le veux. Répond Catherine qui aime ce mélange de sperme avec le jus de chatte.

Une fois que la jeune fille est satisfaite, ils s'assoient tous les trois devant la télé. Quelque temps après, la sonnette de la porte d'entrée retentit. Bruno se lève et va voir. Il est surpris de découvrir Pierre sur le pas de la porte.

- S'il te plaît, arrête ça. Dit-il dès que la porte est ouverte.

- Tu ne profites pas pleinement de la vie? Demande Bruno avec un sourire.

- J'ai proposé à tous mes profs de les sucer. Et tout ce que j'arrive à penser c'est des bites. Explique Pierre furieux, mais ne le montrant pas pour ne pas être plus conditionné.

- Tu ne peux jamais me mentir. Ordonne Bruno.

Puis il ajoute :

- As-tu aimé sucer de la bite?

Pierre veut dire non, mais une fois passé le dégoût initial de sucer un homme de 50 ans au foyer des travailleurs, il en a profité pleinement. Alors il admet, honteux :

- Oui. Mais parce que tu as fait de moi un pédé.

- je ne t'ai pas obligé à aimer. Fait remarquer Bruno.

- Quoi qu'il en soit, peux-tu supprimer ces ordres?

- Non. C'est permanent. Tu seras toujours un pédé. Mais si tu es intelligent, personne d'autre ne saura que tu dois obéir à tous ordres donnés.

- Des ordres?

- Aboie comme un chien!

- Ouaf...Ouaf...Ouaf!

- Arrête!

- Pourquoi m'as-tu fait ça? Demande Pierre, mortifié.

- Parce que tu étais un despote pour moi au lycée. Et faire obéir ta mère est un bonus supplémentaire.

- Ma mère ne me regarde même pas.

- Et si tu me désobéis de nouveau, je te ferai sucer ton père.

- Mon Dieu non.

- Bien alors. Tu vas seulement rester un amoureux des bites et un avaleur de sperme. En as-tu envie en ce moment?

- Oui. Admet-il, une faim de sperme apparaissant dans sa tête. - Et prendre une queue dans ton cul?

- Oui. Admet-il de nouveau.

- Est-ce que tu sais qu'il y a trois « glory-holes » en ville?

- Non. Dit Pierre, instantanément excité.

- Un au 7ème étage du collège dans les toilettes de la bibliothèque, un aux toilettes du MacDo, et un troisième au sex-shop à l'ouest de la ville.

Bruno avait fait des recherches par curiosité. Pierre, essayant de contrôler sa faim demande :

- Est-ce que je peux sucer ta bite?

- Je ne suis pas un pédé. De plus si je voulais baiser quelqu'un ce serait le cul de ta mère. Dit Bruno souriant.

- Espèce de salaud, je... Commence Pierre mais s'arrêtant aussitôt de peur d'avoir des ordres ajoutés.

- Je vais te donner l'exemple d'ordres que je te donnerai si tu t'emportes encore. Tu devras sucer la bite de ton père tous les jours. Et tous les jours aussi tu devras te faire éjaculer sur le visage par trois hommes mais tu ne pourras te laver avant le lendemain.

- Désolé. S'excuse Pierre devant ses ordres terrifiants.

- Maintenant tu vas aller sucer cinq bites dans chacun des « glory-holes » et tu te feras enculé une fois dans chacun de ces endroits.

- S'il te plaît non! Plaide Pierre.

- Et tu te débrouilles pour avoir au moins six décharges de sperme sur ton visage avant d'aller voir ta petite amie pour lui dire que tu es un pédé qui suce des bites et se laisse enculer.

Pierre ne peut plus contrôler sa colère alors il explose :

- Putain, je vais te tuer!

Alors qu'il va frapper Bruno, celui-ci lui ordonne :

- Frappe-toi les couilles!

Pierre obéit instantanément et s'écroule au sol.

- Tu te frapperas les couilles toutes les heures dans les prochaines 24 heures. Et si tu me menaces encore j'en ferai un ordre permanent. Est-ce clair?

- Oui. Répond Pierre qui se tord sous la douleur.

- Et parce que je suis de bonne humeur, je ne rajouterai pas l'ordre de sucer ton père. Mais comme je dois te punir, tu vas envoyer, dans les deux heures, à ta petite amie ainsi qu'à moi, une photo de toi avec une bite dans chacun de tes trous, puis une avec du sperme sur ton visage. Ensuite tu achèteras un gode ceinture que tu offriras à ta petite amie pour qu'elle te baise avec. Enfin tu iras voir tous les anciens de notre classe qui vivent encore en ville, tu t'excuseras d'avoir été un trou du cul et tu leur offriras d'être leur suceuse pour la journée.

Pierre pense alors que l'humiliation ne finira jamais.

- Est-ce clair?

- Oui. Dit Pierre en se relevant sur les genoux.

- Alors amuse-toi bien. Dit Bruno.

- Ce n'est pas amusant. Fait remarquer Pierre.

Bruno ajoute alors :

- A partir de maintenant, tu n'as du plaisir que quand une bite se trouve dans un de tes deux trous.

Pierre hoche la tête en se rendant à sa voiture pour commencer la lourde tâche humiliante. Malgré lui, sa queue est aussi dure que de la pierre.

Bruno retourne dans le salon et demande à sa mère :

- Quand allons-nous tester le nouveau produit sur tante Lisa?

- Je veux que tu utilises le premier produit sur Lisa

- Tu es sure? Demande Bruno.

- Oui nous pourrons toujours lui donner l'autre plus tard. Est-ce que tu peux l'introduire dans son café? - Oui je peux facilement le transformer en liquide comme de la crème.

- fais-le s'il te plaît.

- D'accord.

Bruno est étonné de voir sa mère aussi vindicative mais cela lui permet de continuer ses recherches.

******

Bruno passe les trois prochains jours à travailler dur. Il crée une version liquide et une version qui rend la personne vaporisée incapable de se souvenir après une heure comment elle est devenue ainsi. De cette façon, le risque de se faire prendre est limité.

Il fabrique aussi un nouveau produit qui manipule l'esprit et intensifie les orgasmes, ceci pour faire plaisir à sa mère.

Bien sûr, au cours de ces trois jours, il baise sa mère tous les jours alors que sa sœur, à sa grande surprise, continue de fricoter avec Éric, l'amenant même à la maison pour dîner.

Puis vient le samedi.

Bruno donne la version liquide à sa mère qui le verse dans le café de sa sœur Lisa. Ensuite, il se met dans le couloir et écoute sa mère transformer sa tante en esclave soumise.

Elizabeth attend que le produit face effet tout en discutant avec sa sœur de chose insignifiantes comme la carrière de Lisa dont elle se glorifie en se moquant de la vie de la mère de famille. Enfin, impatiente de voir si la drogue fonctionne elle demande :

- Lisa, s'il te plaît, masse mes pieds!

- Quoi? Dit Lisa, trouvant la demande ridicule.

Pourtant elle se sent quitter sa chaise. Puis elle demande :

- Pourquoi portes tu des bas à la maison?

- Mon maître et amant de fils aime que j'en porte.

Tandis que Lisa tombe à genoux, elle demande en se moquant

- Ton maître et amant?

- J'ai aussi une fille esclave. En vérité j'ai deux amants et j'espère bien en ajouter un troisième bientôt, très bientôt.

Lisa prend le pied de sa sœur entre ses mains alors qu'elle écoute ses déclarations bizarres et qu'elle est lesbienne. C'est alors qu'elle se rend compte qu'elle a obéi et qu'elle masse le pied d'Elizabeth. « Pourquoi fais-je ça » pense-t-elle. Elle essaie d'arrêter mais ne peut pas.

Elizabeth sourit. Sa sœur a obéi à un ordre simple mais dégradant. Elle dit alors :

- Pourquoi ne sucerais-tu pas chacun de mes orteils tant que tu y es?

- Cesse d'être ridicule Eliz...Dit Lisa, coupée soudainement lorsque sa bouche commence à sucer les doigts de pied de sa sœur à travers le bas. « Qu'est-ce qui se passe? « Elle n'arrive pas à croire qu'elle obéit.

Elizabeth pourrait expliquer ce qui se passe mais elle préfère admirer l'air égaré de sa sœur. Elle apprécie que sa sœur soit ainsi dégradée.

Bien sûr, Lisa essaie de comprendre. « Pourquoi obéit-elle? pourquoi ne peut-elle s'arrêter? »

Une fois que les cinq orteils ont bien été sucés, Elizabeth ordonne :

- L'autre pied aussi petite sœur!

- Qu'est-ce que tu m'as.... Commence Lisa, bientôt interrompue quand sa bouche gobe le gros orteil de l'autre pied.

- Tu es bien sur tes genoux? Dit Elizabeth avant d'ajouter :

- J'imagine que tu as du souvent te retrouver dans cette position pendant ta carrière.

Lisa est furieuse pour deux raisons : la première est que sa sœur l'a surement droguée et la deuxième est qu'elle suppose qu'elle a couché pour arriver au sommet de sa carrière. Bien sûr, c'est un peu la vérité. Elle a sucé, elle a baisé et elle s'est même faite sodomisée à l'occasion. Mais cela fait partie de la hiérarchie sexuelle qui existe dans le monde des affaires. Toutes les grandes directrices d'entreprise ont couché pour arriver au sommet. Il n'y a pas vraiment d'égalité entre les femmes et les hommes jusqu'à ce que vous arriviez au sommet. D'ailleurs elle n'est pas loin du sommet en tant que vice-présidente.

Après avoir fin de sucer les cinq autres orteils, Lisa demande d'un ton venimeux :

- Qu'est-ce que tu m'as fait?

- Rien d'autre que mon esclave personnel. Dit Elizabeth en haussant les épaules.

Lisa se lève et dit :

- Ce n'est pas drôle.

Mais Elizabeth sourit :

- En fait c'est rigolo. Déshabille-toi!

- Qu'est-ce qui ne va pas chez toi? Demande la femme, ses mains obéissant à l'ordre.

- J'ai eu un réveil sexuel! Répond la sœur ainée.

Lisa baisse les yeux et se rend compte qu'elle est en train d'obéir. Dépitée en déboutonnant son chemisier elle demande :

- Mais pourquoi je ne peux pas arrêter ça?

- Je t'ai fait boire un produit qui te fait respecter tous les ordres que je te donne. Dit Elizabeth avec sérieux.

- Tu as fait quoi? Demande Lisa même si elle avait compris la réponse.

Sa sœur sourit :

Tu as toujours été un peu lente à comprendre. Je vais te le dire lentement. Je... t'ai... donné... un... produit... qui... te... fait... obéir... à... tous... les... ordres... que... je... te... donne.

- Vas te faire voir! Réplique Lisa, détestant qu'on la prenne pour une idiote.

Tandis qu'elle enlève son chemisier, Elisabeth poursuit :

- Ce produit t'empêche de refuser de suivre un ordre donné par quelqu'un.

- Tu n'es pas sérieuse? Dit Lisa, même si elle obéit contre son gré à chaque ordre donné par sa sœur.

Elle pense que si c'est vrai, ça peut ruiner sa carrière.

- Enlève ton soutien-gorge! Ordonne Elizabeth, répondant ainsi à la question.

- Ton fils est là. Argumente Lisa.

Elizabeth ignore cette réflexion et une fois que le soutien-gorge tombe et révèle une belle paire de seins, elle commande :

- Pince tes mamelons!

- Elizabeth, ça va.... AHHH. Déclare Lisa avant de crier sous la douleur du pincement qu'elle s'inflige.

Elizabeth décide alors de questionner sa sœur :

- Tu ne peux plus jamais me mentir. Penses-tu que tu es mieux que moi?

- Oui. Répond Lisa.

Elle continue à pincer ses tétons tout en pensant que sa sœur a loupé sa vie en ayant des enfants.

- As-tu déjà mangé une chatte?

- Oui.

Lisa répond en pensant que de temps en temps, pour élever sa situation, il faut faire face à des secrétaires ou à des femmes ayant des postes plus importants. Et Lisa est prête à tout faire pour arriver au sommet.

- Récemment?

- Il y a quelques semaines.

Elle se rappelle comment elle a conclu un gros contrat en servant toute une soirée, habillée en soubrette, une vieille femme de soixante ans. Ce ne fut pas agréable mais l'essentiel est qu'elle ait conclu l'affaire.

- Aimes-tu lécher des chattes?

- Ca ne me gêne pas.

Elle a toujours vu le sexe comme une fin, un moyen d'avancer. Elle n'en a jamais vraiment profité mais elle ne déteste pas non plus. Elle ne s'est jamais abandonné au plaisir que peut donner le sexe.

- A partir de maintenant tu aimes les chattes. Ordonne Elizabeth.

- Mais ça n'explique pas comment le produit fonctionne. Dit Lisa.

- Il fonctionne, tu vas voir.

La sœur ainée ricane en réalisant qu'elle commence à soumettre sa propre sœur. Elle demande :

- As-tu déjà trompé ton mari?

- Je viens de te dire que j'étais avec une femme récemment. Rétorque Lisa.

- Laisse-moi reformuler la question. As-tu trompé ton mari avec d'autres hommes?

- Oui. Répond Lisa même si elle veut dire non.

- Combien de fois?

- Beaucoup. Dit Lisa, gênée d'avouer son infidélité à sa sœur.

- Des hommes différents?

- Des dizaines... S'il te plaît arrête de poser toutes ces questions.

- Combien de dizaines?

- Six peut-être. Répond Lisa en pensant que soixante est un nombre approchant.

- Wow, tu es une vraie salope.

- Ne me traite pas de salope! Demande Lisa.

Elle hait ce terme dégradant. Si un homme fait l'amour à soixante femmes c'est un étalon, si une femme fait l'amour à soixante hommes c'est une salope. C'est des conneries. Le sexe c'est juste du sexe, et rien d'autre.

- Comment veux-tu que je t'appelle alors?

- Aventurière.

- Combien d'hommes as-tu baisé réellement?

- Quelle importance ça a?

- Oui après tout. Enlève ton jean!

- S'il te plaît Elizabeth, tu t'es assez amusée. Dit Lisa tout en déboutonnant son pantalon.

Mais la sœur ainée déclare :

- Je viens juste de commencer. Comment as-tu fait pour te retrouver dans la position professionnelle actuelle. Tu as couché pour y arriver?

- Non, oui, ce n'est pas aussi simple.

Lisa pense que oui elle a baisé beaucoup d'hommes, presque soixante, pour arriver à grimper au sommet mais son travail acharné ainsi que son intelligence y sont pour quelque chose aussi.

- Je pense que si.

Elizabeth exprime son désaccord et ignore les paroles de sa sœur :

- Tu t'es déjà faite enculer?

- Oui. Admet Lisa en baissant son jean.

- Aimes-tu avoir ton trou du cul pénétré?

- Parfois. Répond Lisa en pensant aux quelques fois avec des petites bites ou en étant ivre.

- Enlève ta culotte aussi. Ordonne Elizabeth.

- Pourquoi fais-tu ça? demande sa sœur en obéissant.

- Pour me venger des années où tu m'as traitée de haut.

- Es-tu jalouse de moi? demande Lisa en sachant qu'elle avait toujours été l'enfant préféré de ses parents, celle qui réussit.

Elizabeth se moque d'elle :

- Oh oui je suis super jalouse de toi, tes heures de travail interminables, ton mariage avec un nul, ta vie sans enfants et à penser toujours à l'argent.

- Vas te faire foutre! Riposte Lisa.

- Oui je prévois de te baiser ma sœur. A genoux maintenant.

Tandis qu'elle obéit et se met à genoux, Lisa se rend compte que sa situation devient plus difficile qu'elle ne l'a imaginé. Alors elle dit :

- S'il te plaît Elizabeth?

- Rampe vers moi! Ordonne Elizabeth qui se complait dans le pouvoir qu'elle a sur sa sœur.

Elle sait que ce qu'elle fait est moralement répréhensible mais ça ne la gêne pas.

- Elisabeth? Répète Lisa en rampant vers son ainée en commençant à craindre qu'elle ne lui fasse lécher sa chatte.

- Sois une bonne esclave obéissante et ta situation n'empirera pas. Dit Elizabeth en la regardant d'en haut.

- Que m'as-tu vraiment fait? Supplie Lisa.

Elizabeth appelle :

- Bruno?

- Oui? dit Bruno en sortant du couloir où il écoutait.

- Elizabeth? Crie Lisa, le souffle coupé alors qu'elle tente se de couvrir avec ses bras et ses mains.

Bruno explique en regardant sa tante nue à genoux :

- Le produit que tu as bu a modifié ton cerveau. Tu dois maintenant obéir à tout ordre donné par une personne.

- Tu n'es pas sérieux?

Lisa est mortifiée par ce qu'elle entend, pourtant ces mots explique pourquoi elle a obéi aux ordres ridicules de sa sœur.

- Aboie tantine!

- Ouaf...Ouaf...Ouaf...

Lisa obéit instantanément, la honte et la colère brulant en elle.

- Stop Tantine! Ordonne Bruno.

- Pourquoi m'as-tu fait cela? Demande Lisa.

- Parce que maman me l'a demandé.

- Pourquoi me fais tu ça? demande Lisa en regardant sa sœur.

- Parce que tu ne m'as jamais respectée. Maintenant tu vas le faire. Dit Elizabeth.

- Et plus tu désobéiras, plus on manipulera ton esprit pour te rendre la vie plus facile. Dit Bruno.

- S'il te plaît Bruno, je n'ai jamais fait de mal. Plaide Lisa en espérant que son neveu qui a créé le produit soit plus rationnel.

- je ne sais pas ma tante. Mais le produit a déjà transformé ton cerveau. Dit Bruno en haussant les épaules.

Puis il ajoute :

- Mais je dois insister sur le fait que toutes les salopes dans la maison doivent être en bas nylon. Catherine!

- Mon Dieu! toute la famille fait partie de ce jeu tordu? demande Lisa.

- Allez, viens manger ma chatte! Ordonne Elizabeth qui veut être la première à être servie par sa sœur.

- C'est pas... Essaie de protester Lisa avant que son visage soit enfoui entre les jambes de sa sœur.

Elle lèche la chatte avec dégoût, choquée par sa situation.

- Tu aimes manger des chattes. Tu veux plaire à toute femme qui t'offre sa chatte. Ajoute Elizabeth aux ordres déjà implantés.

Instantanément, sa sœur commence à aimer de lécher et elle devient plus agressive. Elle veut goûter le doux nectar de sa sœur. Elle ne peut croire à quel point elle en a envie même si elle sait que son cerveau est manipulé.

- Oui? Demande Catherine en entrant et voyant sa tante manger la chatte de sa mère.

- Vas chercher pour notre nouvel animal de compagnie une paire de bas. Demande Elizabeth.

- Bien sur maman.

Catherine hoche la tête, excitée d'avoir son propre animal de compagnie.

- Tu aimes ma chatte petite sœur chérie? Demande Elizabeth.

- Oui. Reconnait Lisa, incapable de mentir.

Puis elle retourne lécher sa sœur. Elle est choquée mais ne peut s'arrêter de lécher la chatte délicieuse de sa sœur.

- Tu veux que Bruno te baise? demande Elizabeth en regardant son fils se déshabiller.

- Mon dieu non! dit Lisa le souffle coupé.

Alors Elizabeth rajoute des ordres :

- L'inceste t'excite. A chaque fois que tu vois un membre de la famille, tu es excitée et tu veux le baiser.

- Attention. Rappelle Bruno à sa mère, ne voulant pas que les ordres soient trop extrêmes.

- Ne t'inquiète pas, je fais attention. Rigole sa mère, pas vraiment inquiète pour les conséquences à long terme sur sa sœur.

Catherine revient et Elizabeth lui dit :

- Mets les bas à ta tante, nouvel animal de compagnie.

- Oui maman! répond Catherine avec impatience.

- Mets-toi sur le dos sœurette. Et à partir de maintenant, quand nous sommes seuls tu m'appelles Maîtresse. Ordonne la sœur ainée.

Lisa obéit, s'allongeant sur le dos dans le silence. Une partie d'elle est déçue car elle n'a pas eu le temps de finir de lécher sa sœur. « Merde, pourquoi je ne peux plus penser correctement? »

- Lève tes jambes tata! Demande Catherine.

Lisa ne peut qu'obéir alors elle supplie à nouveau :

- Elizabeth, s'il te plaît, pas plus...

- Mais tu ne veux pas continuer à me manger la chatte?

- Si Maîtresse. Lisa répond à contrecœur, le mot « Maîtresse » l'humiliant encore plus.

- Et pour ma chatte? Demande Catherine en enfilant le premier bas sur une jambe de sa tante.

-Ummm. Dit Lisa.

Elle est encore confuse par tous les ordres donnés. Elle regarde sa nièce et tout d'un coup la trouve sexy et belle. Elle se demande quel goût a sa chatte.

- Tu veux me lécher ma tante? ajoute la jeune fille.

- Attention Catherine! Dit Bruno en se caressant la queue.

- Mais elle est mon animal de compagnie non? Demande Catherine.

- Oui ma chérie! Elle va déménager ici et elle vivra dans ta chambre.

- Quoi? demande Lisa éberluée.

Elizabeth révèle alors :

- Aujourd'hui, tout change ma chérie. Tu vas être notre bonne salope à tous, tous les jours. Tu peux garder ton emploi mais tu divorceras. De toute façon tu n'aimes pas ton mari. Et tu viendras vivre ici.

- Oh non mon Dieu, S'il te plaît Elizabeth, je ferai tout...

- je sais que tu le feras. Approuve en souriant la sœur ainée.

Catherine a terminé de mettre le premier bas. Elle demande :

- Veux-tu manger ma chatte ma tante?

- Oui. Répond Lisa, la bouche salivante tout d'un coup.

- Demande moi alors! Ordonne Catherine en enfilant le deuxième bas.

Lisa n'arrive pas à croire que les mots suivants sortent de sa bouche :

- S'il te plaît Catherine, laisse ta tante faire du bien à ta chatte avec sa langue.

- Nous allons devoir lui apprendre à mieux parler. Rigole Bruno.

- Oui. Dit Elizabeth en se mettant à rire et en se déshabillant.

Une fois que le deuxième bas est mis, Catherine se met au-dessus de la tête de sa tante et abaisse son sexe sur son visage :

- Lèche ma tante!

Lisa obéit car elle n'a pas le choix mais surtout parce qu'elle en a soudainement envie. Insatiable elle mange la chatte de sa nièce alors que le désir de plaire l'emporte sur la honte de sa situation. Elle n'a jamais aimé son mari. Elle l'a épousé seulement pour sa situation et le fait qu'il pouvait l'aider à gravir les échelons. De plus il avait une petite bite et aucune ambition. Pourtant le divorce est mal vu dans le monde des affaires.

Bruno se rapproche de sa mère nue à l'exception du gode ceinture qu'elle vient de fixer à sa taille. Il glisse sa queue dans la bouche de sa mère. Elizabeth suce son fils afin qu'il soit prêt pour la double pénétration qu'ils ont prévu pour Lisa.

Après une minute ou deux, elle arrête sa fellation et demande à son fils :

- Va te coucher sur mon lit.

Bruno hoche la tête et entend sa mère dire :

- Catherine et Salope, nous allons continuer dans la chambre.

- D'accord maman. Dit Catherine sachant que le plan est de prendre sa tante en double pénétration pendant qu'elle lui mangerait la chatte. Elle se lève et dit à sa tante :

- Viens ma salope.

Lisa se lève aussi, son visage recouvert de l'humidité de la chatte de sa nièce. Elle voit sa sœur avec le gode ceinture. Celle-ci lui ordonne :

- Rampe jusqu'à ma chambre salope!

- Oui Maîtresse!

Lisa répond tout en tombant à genoux et elle se met à ramper, l'humiliation, la colère et la luxure tourbillonnant à l'intérieur de sa tête.

Elizabeth regarde sa sœur ramper devant elle. Elle sourit, c'est trop beau pour être vrai.

Un fois arrivée dans la chambre, Lisa voit que Catherine suce la queue de son frère Bruno. Les deux enfants commettent un inceste devant elle. Elle s'exclame :

- Catherine mais que fais-tu?

La jeune fille arrête sa fellation, se tourne vers sa tante et répond :

- Je suce la bite de mon frère. Viens me remplacer.

- C'est mal Catherine. Proteste Lisa en rampant vers le lit et en montant dessus.

- Fais-moi confiance, quand sa bite sera enterrée en toi tu n'y penseras plus. Réplique Catherine.

Quand Lisa est sur le lit et qu'elle voit la grosse bite bien raide de son neveu, elle salive. Elle sait que ce ne sont que des conditions implantées dans son esprit mais tout d'un coup elle veut cette queue dans sa bouche et dans sa chatte. Elle attrape rapidement le sexe de son neveu et le met dans sa bouche. Elle sait qu'elle est une bonne suceuse. Faire de fellation est le meilleur moyen pour grimper dans l'entreprise. Elle a appris à utiliser sa langue et créer de la salive pour une expérience unique. Ella a aussi appris comme une star du porno à avaler comme une salope quand les hommes déposent leur semence dans sa gorge. Elle est également prête à tout recevoir sur son visage.

Bruno gémit quand sa tante commence à le sucer. Au bout de quelques minutes il peut dire qu'elle a de l'expérience. Elle avale toute sa bite et fait des choses avec sa bouche qu'il n'a jamais connu. Il ne sait pas s'il va pouvoir tenir longtemps et il se demande où il va se vider : dans la gorge ou sur le visage?

- Oh merde, elle sait vraiment y faire! Constate Catherine.

- Salope un jour, salope toujours! Dit Elizabeth.

Lisa ignore les commentaires et se concentre sur la grosse bite dans sa bouche.

Bruno demande alors :

- Maman, je dois éjaculer où? dans sa bouche ou sur son visage?

- Remplis son ventre, la prochaine fois tu recouvriras son visage.

- D'accord. Gémit Bruno en sachant qu'il va bientôt jouir.

Lisa peut dire aux gémissements ainsi qu'aux mouvements du corps quand un homme est près de jouir. Elle sait que son neveu va éjaculer dans une seconde. Elle continue de la branler et elle n'est pas surprise quand des jets de sperme glissent dans sa gorge. Elle avale avec impatience chaque goutte de semence de son neveu.

- Oh ma tante, c'est bon. Gémit Bruno de s'être fait sucer comme jamais.

- Enjambe sa queue Lisa! Ordonne Elizabeth.

Lisa laisse la bite glisser hors de sa bouche, sa chatte brulante d'envie de ce qu'elle doit faire. En général, pour elle, le sexe est juste du sexe. Généralement l'homme jouit mais rarement elle. Mais à ce moment, elle a un furieux besoin de jouir. Alors elle ne proteste pas et baisse sa chatte fiévreuse sur la bite toujours dure de son neveu.

- Oooooohhh. Gémit-elle en s'empalant complétement.

- Penche toi en avant salope! Ordonne Elizabeth.

Elle a lubrifié le gode ceinture et elle est prête à enculer sa sœur. C'est une chose sur laquelle elle a fantasmé depuis que l'idée de faire de sa sœur une esclave soumise a germé dans sa tête.

Même si Lisa a baisé des dizaines d'hommes, même si elle s'est faite prendre par des femmes dominantes avec des godes, même si elle a sucé des centaines de bites, elle n'a jamais subi de double pénétration. Elle a déjà sucé une queue alors qu'une autre pénétrait sa chatte mais elle n'a jamais eu une bite dans sa chatte et dans son cul en même temps.

- Tu veux que je t'encule ma petite salope de sœur? demande Elizabeth en frottant le gode entre les fesses de Lisa.

Probablement parce qu'elle est manipulée mais aussi parce qu'elle est soudainement curieuse de connaitre une double pénétration elle dit :

- Oui.

- Oui quoi? demande la sœur ainée.

Elizabeth profite de son pouvoir et elle sourit en pensant que la volonté d'être enculée de Lisa ne vient pas de la drogue.

La sœur cadette gémit, complétement excitée :

- S'il te plaît grande sœur, fourre cette grosse bite dans mon trou à merde et agrandis-le.

Lisa sait depuis longtemps que parler vulgairement lui permet d'obtenir ce qu'elle veut.

Elizabeth est trop impatiente pour continuer à jouer alors elle enfile durement le gode dans le trou du cul de sa sœur.

- AHHHH! Crie Lisa quand son cul est transpercé sans cérémonie.

Elizabeth se met à rire tout en pilonnant sa sœur.

- Oh mon Dieu!

C'est tout ce que peut dire Lisa quand la douleur la traverse. Catherine, excitée devant cette double pénétration se déplace devant sa tante et se met à cheval sur son visage en ordonnant :

- Allez, lèche tata!

Lisa obéit même si son corps brule de douleur.

Bruno réfléchit et ajoute une condition qui ne peut nuire à sa tante :

- Quand quelque chose te pénètre le cul, tu ne ressens que du plaisir.

Lisa pense que cet ordre est ridicule. Elle a souvent profité d'une bite dans son cul mais jamais d'un aussi gros objet froid. Pourtant, instantanément, comme par magie, la douleur s'éloigne et un plaisir émerge. Elle commence à gémir tout en léchant la chatte de sa nièce :

- Ohhh mon Dieu oui.

- Oui quoi? Demande Elizabeth.

- Oui j'aime que tu me sodomises. Répond Lisa.

Pendant quelques minutes, le quatuor baise sans dire un mot.

Finalement, Catherine jouit sur le visage de sa tante qui, avec impatience, avale et lèche tout le jus de chatte de sa nièce.

Lisa, elle, a trois orgasmes pendant le double pilonnage surtout quand Bruno se cabre en rythme avec les coups de reins de sa mère. Elle n'a jamais ressenti un tel plaisir intense.

Quand Catherine se déplace de dessus la tête de sa tante, Elizabeth retire le gode du cul et ordonne à sa sœur :

- Viens sucer le gode salope!

Lisa obéit. Bruno se lève alors et fait glisser sa queue dans le trou béant de sa tante. Il a été stimulé par la longue baise et il sait qu'il ne va pas tenir encore longtemps.

- Oui oui, baise moi avec ta grosse bite. Gémit Lisa, aimant la sensation d'une vraie bite dans son cul.

Malheureusement pour elle, Bruno ne peut continuer indéfiniment. Il enduit bientôt l'intérieur du cul de quelques décharges de sperme.

Elizabeth, satisfaite de la domination complète de sa sœur sourit et dit :

- J'espère que tu as apprécié?

Lisa, sur le dos, du sperme s'échappant de son cul hoche la tête faiblement :

- je n'ai jamais autant joui.

Bruno ajoute alors :

- je peux te donner un produit qui rend chaque orgasme intense.

Lisa rit faiblement, la dernière heure étant surréaliste. Pourtant, elle est inquiète pour son avenir alors elle demande :

- Mon état est permanent?

- Oui. Acquiesce Bruno.

- Donc, il faut que tu sois gentille avec les gens. Déclare Elizabeth qui dégrafe son gode ceinture.

- Et rappelle-toi que tu viens vivre avec nous. Dit Catherine.

Les yeux de Lisa s'écarquillent :

- Vous n'étiez pas sérieux à ce sujet?

Elizabeth répond :

- Si. Catherine a toujours voulu un chien mais je suis allergique. Maintenant elle a toi comme animal de compagnie.

- Et à la maison, tu seras toujours à quatre pattes. Ajoute Catherine.

- Sauf indication contraire. Dit Bruno rapidement, pour rendre l'ordre moins sévère et protéger sa tante.

Lisa essaie d'argumenter :

- Mais je suis mariée.

- Avec un nul.

- Et ma carrière? Demande Lisa en sachant qu'elle ne peut nier que son mari est nul.

- Tu peux garder ton travail aussi longtemps que tu veux tant que ça ne gêne pas ton rôle ici. Est-ce clair? Dit Elizabeth.

- Ai-je le choix? Demande Lisa vaincue mais étonnamment un peu excitée aussi.

Elizabeth rigole :

- Pas vraiment.

Bruno ajoute pour protéger cette situation :

- Tu ne peux jamais rien dire à personne de tout cela : l'inceste, la soumission, ton état ou la drogue.

- Qui me croirait de toute façon? Demande Lisa en se relevant.

- Tu ne dis rien. Répond Bruno en pensant qu'il est temps pour lui d'avoir sa vengeance avec son ancienne patronne.

Lisa regarde sa sœur et sent sa bouche saliver. Alors elle demande :

- Maîtresse, puis-je manger ta chatte à nouveau?

- Peut-être que les ordres sont trop intenses. Rigole Elizabeth.

Elle pousse sa sœur sur le dos dans le lit et se met à califourchon sur son visage.

- Oui, l'ordre d'être excitée lorsqu'un membre de la famille est là pourrait devenir problématique. Dit Bruno.

- Je ne pense pas. Dit Elizabeth alors que sa sœur commence à lui lécher la chatte.

A suivre...