Le jouet sexuel du patron - récit érotique - soumission - dégradation - chantage
Récit de Wifelvrman traduit par Coulybaca (2007)Une épouse doit rattraper les malversations de son mari.
J'étais piégé.
J'avais du régler plusieurs factures dont l'hypothèque de la maison et, pour faire face j'avais détourné de l'argent de ma compagnie.
J'avais l'intention de rembourser d'une manière ou d'une autre, je ne m'en faisais pas pour cela, j'avais assaini notre situation, tous nos dettes étaient réglées, rien que des bonnes nouvelles.
C'est alors que mon patron découvrit le pot aux roses
Dan me passa un coup de fil un après-midi, me demandant de passer à son bureau.
Il n'avait jamais fait cela, aussi dès ce moment j'eus peur qu'il n'ait découvert mes malversations.
Et en fait, il les avait constatées.
Il me dit qu'il pourrait me faire arrêter, mais qu'il voulait me donner une chance, mais je devais rembourser la totalité des fonds détournés très rapidement.
Je n'avais aucun moyen de le rembourser intégralement sur-le-champ. Dan jubilait, il me renvoya à mon travail m'informant qu'il me rappellerait plus tard.
Il le fit une longue paire d'heures plus tard.
- "En rentrant chez toi ce soir, tu raconteras à ta femme ce que tu as fait! ... Je passerai vous voir à 19 heures et nous discuterons tous trois de la situation! ... J'ai un plan qui devrait nous satisfaire tous trois! ..."
Je rentrai chez moi vers 17 heures et demi, Déborah était déjà là, je lui racontais tout.
Elle était furieuse après moi, j'essayais de lui démontrer que c'était le seul moyen de garder notre maison, mais elle se contentait de crier.
Nous avions terriblement peur que je sois arrêté, que je perde mon boulot et que je me retrouve en taule.
Dan arriva à 19 heures pétantes. Il s'assit avec nous à la table du salon.
- "J'ai un plan..." commença-t-il
- "Cela te permettrait d'éviter la prison, de garder ton boulot si tu es l'acceptes et que tu suives désormais mes directives...
- "Bien sûr ! ... Nous ferons n'importe quoi pour... " avons-nous répondu tous deux en chœur.
- "J'adore cette attitude! ... Elle te permettra d'éviter de te retrouver en taule! .... J'ai de solides preuves contre toi! .. Je les transmettrai à la police demain matin si vous refusez mes conditions! ..."
Nous étions toutes oreilles, aussi Dan annonça alors :
- "Je rembourserai graduellement la somme totale que tu as détournée, mois après mois, jusqu'à ce que tout soit réglé... Je déciderai moi-même de la somme que je rembourserai chaque mois et tu déposeras la somme sur le compte de la compagnie, afin que rien ne puisse me relier à cette affaire! ... Je te rendrai toutes les preuves prouvant ton forfait lorsque tout sera remboursé! ...."
Au début nous ne parvenions pas à en croire nos oreilles, quelle chance nous avions.
C'est alors que survint la chute.
- "Bien sur, en contrepartie vous devrez faire certaines choses pour moi! ... Déborah tu devras m'obéir quoi que je te fasse faire! ...George t'aidera en s'occupant des enfants, ou en s'acquittant d'autres tâches selon mes désirs! ... Comprenez-vous ce que je dis? .... Avez-vous des questions? ..."
Déborah demanda :
- "Que veut dire tout ce que vous voulez? ...."
Dan s'approcha d'elle, posa une main sur son épaule et l'autre sur ses nichons lui expliquant :
- "Nous en reparlerons, mais si je dois repartir sans votre accord total, j'appellerai la police dès mon retour chez moi! ..."
On paniqua, on n'avait jamais envisagé qu'il fasse cela! ...
Déborah est une splendide femme de presque 50 ans, Dan a tout au plus 40 ans.
Cela fait de nombreuses années que nous sommes mariés, je l'avais épousée vierge, trois de nos enfants ont déjà quitté la maison, le dernier est au collège.
Déborah est une femme très conservatrice, je dirai même vieux jeu, pudique et assez guindée.
Nous en discutâmes quelques instants, elle me demanda :
- "Que faire? ..." pour conclure finalement :
- "Je suis bien obligée de lui obéir! ..."
J'avais récupéré mon calme, nous regardâmes Dan et Déborah avança :
- "Il semble bien que n'ayons pas grand choix! ...."
Dan se releva et commenta :
- "Bon cela me semble un bon marché! ..."
On se serra les mains pour sceller notre accord.
Puis Dan m'intima :
- "George, déboutonne le corsage de Déborah et enlève-lui son soutien-gorge... »
J'obéis docilement.
Déborah tremblait comme une feuille, cela lui semblait très dur de de devoir se laisser faire sans protester.
Dan se tenait devant Déborah, il lui roula une pelle et lui caressa les nibards. Il suça un de ses mamelons, puis l'autre.
Elle dut alors s'asseoir et dégrafer son pantalon.
Je savais ce qui allait se passer.
Je savais qu'elle ne voulait pas le faire.
Elle avait toujours refusé de me sucer, j'étais sûr qu'elle refuserait de le sucer.
Mais avait-elle la possibilité de refuser? .....
Elle sortit sa bite de son caleçon et lui demanda de la lécher, bien qu'à contrecœur elle obéit.
Elle lui mâchouilla ensuite les burnes, lécha sa hampe dardée, il lui intima alors de le prendre en bouche.
Elle hésitait.
- "Obéis ou j'appelle la police! ..." la menaça-t-il sévèrement.
Comme elle l'embouchait et entreprenait de le sucer, il réitéra ses menaces :
- "A la moindre hésitation, à la moindre protestation, j'appelle la police! ... T'as bien compris! ... Et ce jusqu'au règlement complet de votre dette! .... C'est bien compris, ou tu préfères voir ton mari en taule? ...."
Je voyais sa bite prendre de l'ampleur dans la bouche de Déborah, elle était bien plus grosse que la mienne! ...
Il tint sa tête en la prévenant :
- "Je suis sur le pont de jouir, tu ferais bien d'avaler mon foutre! ..."
J'aurai pu dire quand il jouit, il tenait fermement sa nuque et lui intimait de serrer les lèvres sur sa hampe tandis qu'il se vidait les couilles dans sa gorge.
Elle avala son foutre avec dégoût, quelques filets de semence s'étalèrent sur ses nichons, il me dit de les lécher.
- "Prends ta tenue de nuit, tu vas la passer avec moi, ma femme est absente pour la nuit! .... George te reprendra demain matin... "
Déborah se tenait debout, sidérée, comme en état de choc et se remit machinalement à enfiler son soutien-gorge.
Dan lui ordonna de le laisser là, ainsi que son corsage, d'enfiler quelque chose pour se couvrir et de se grouiller.
Quelques instants plus tard, ils étaient partis.
A suivre...
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