La Vengeance d'un intello - Chapitre 06 - récit érotique - inceste - domination - viol - soumission
Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur « Silkstockingslover »C'est maintenant le tour de sa tante.
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Résumé : Après avoir été licencié, Bruno, un jeune intello maigrichon a inventé un produit qui lui permet de prendre le contrôle de personnes. Cette drogue agit ainsi :
• La personne ne peut pas mentir.
• Le corps de la personne obéit aux ordres même si l'esprit conscient s'oppose à cette obéissance.
• La libido sexuelle de la personne augmente considérablement. (Bruno avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).
• La personne se sent enfermée dans des vêtements et elle voudrait être nue.
• L'impact du médicament est permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).
Bruno a testé avec efficacité son produit sur sa sœur et l'amie de celle-ci ainsi que sur son ennemi à l'école et la mère de celui-ci. Il a aidé son meilleur ami à avoir son jouet personnel. Et après avoir sauvé sa mère, il a avec elle des rapports sexuels endiablés.
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Après avoir éjaculé dans le cul de sa mère, Bruno dîne avec ses deux salopes.
Elizabeth, la maman, le cul un peu douloureux, le restant de sperme que sa fille Catherine n'a pas nettoyé coulant sur la chaise, reste assise en silence et médite sur sa journée surréaliste. Après réflexion elle demande à son fils :
- Tu as fait de ma fille une bimbo qui ne peut rien refuser à personne.
- Ouais. Répond Bruno en se sentant un peu coupable.
- Et ça ne peut pas être inversé? Demande la mère en regardant sa fille.
Elle appréciait la soumission de sa garce de fille qui était devenue incontrôlable au cours du temps. Mais elle ne voulait pas qu'elle reste un objet sexuel pour sa vie entière.
- Je suis en train de créer un remède. Ajoute Bruno.
- C'est vrai? Demande Catherine.
Son frère hoche la tête :
- Oui. Je ne pense pas pouvoir modifier l'obligation que tu as d'obéir mais je peux peut-être simplement le limiter au sexe. Et je pourrais peut-être supprimer certains ordres permanents que tu subis.
- Ça serait un début. Dit Catherine frustrée de ne pouvoir contrôler son corps mais espérant de récupérer un peu d'autonomie.
Elle est surprise quand sa mère dit :
- C'est de ta faute Catherine.
- Pardon? Demande la fille.
- Si tu n'étais pas devenue une petite garce égoïste, j'imagine que Bruno aurait testé son produit sur quelqu'un d'autre. Déclare sa mère.
- Ton fils m'a transformé en une putain de Bimbo et c'est moi qui suis la mauvaise. Dit Catherine immédiatement en colère.
- Tu étais déjà une salope. Et on te prenait déjà pour une Bimbo.
- Maman! Crie Catherine blessée et en colère, des larmes se formant dans ses yeux,
Bruno intervient, surpris par le comportement de sa mère :
- Maman, je crois qu'elle a compris la leçon.
- N'est-ce pas vrai Catherine? Demande Elizabeth à sa fille en la regardant dans les yeux.
- Oui maman.
Catherine hoche la tête, essayant d'agir comme une bonne fille.
- Et quoi que fasse ton frère pour te guérir, tu comprends que maintenant je suis ta mère et ta Maîtresse et que ton frère est ton Maître?
Bruno est impressionné par le changement soudain de personnalité de sa mère. C'est comme si elle se réveillait d'année de sommeil en bonne mère de famille et qu'elle retrouvait sa sexualité perdue.
Catherine est choquée par les paroles de sa mère mais elle hoche la tête :
- Oui Maîtresse.
- Bon approche-toi maintenant pour avoir du dessert. Déclare Elizabeth.
Elle aime l'idée d'avoir une soumise personnelle pour lui lécher la chatte.
- Oui Maîtresse.
Catherine est abasourdie par le comportement dominant de sa mère mais en même temps elle a faim de sexe.
Pendant que sa fille lèche sa chatte, Elizabeth dit à son fils :
- Nous avons besoin de mettre des règles en place.
- D'accord. Approuve Bruno, curieux de connaître la suite.
- Je suis toujours ta mère, et en public, cette relation doit rester la même. Dit-elle, ne voulant pas que son image souffre de ses rapports incestueux.
- Bien sûr. Sourit Bruno, voyant déjà où sa mère veut en venir.
- Mais quand nous sommes seuls dans cette maison tu es l'homme du foyer. Continue Elizabeth, excitée par l'idée d'avoir sa propre lécheuse de chatte mais aussi d'être soumise à une grosse bite.
Bruno répond :
- D'accord, mais j'ai quelques règles de base aussi.
- Qui sont?
- Tu seras toujours en bas.
- Je le suis déjà.
- Je vais dormir avec toi dans ta chambre.
- D'accord,
- Je pense que c'est tout pour le moment. Dit Bruno.
- Que dirais-tu que nous invitions ma sœur bientôt? Suggère Elizabeth.
Elle déteste sa sœur cadette et si elle peut utiliser le produit sur quelqu'un ce sera sur elle. Bruno lui demande avec un sourire vicieux :
- Veux-tu dire qu'il faut que je change ta sœur en bouffeuse de chatte esclave de toi?
- Est-ce mal? Demande-t-elle en posant sa main sur la tête de sa fille.
- Très, très mal! Acquiesce Bruno, sa bite commençant à le démanger.
- Est-ce un oui?
- Bien sûr que oui.
Bruno hoche la tête, se lève de table, passe derrière sa sœur et pénètre son cul violemment.
- Oh oui. Crie Catherine.
La tête dans la chatte de sa mère, le discours sur sa tante l'a instantanément transformée en salope. Bruno pilonne son cul tout en sachant qu'il va lui falloir du temps pour jouir après ces deux dernières heures éprouvantes. Elizabeth dit :
- J'invite Lisa ce week-end.
Catherine, son cul transpercé, léchant la chatte de sa mère demande alors :
- Est-ce que je pourrais être au-dessus de tante Lisa?
- Si tu continues à être une bonne fille. Répond Elizabeth.
- Comme si j'ai le choix. Dit Catherine en enfouissant son visage dans le sexe de sa mère.
- Gagné!
La mère se met à rire. Bruno dit alors :
- Espérons que j'arrive à fabriquer une nouvelle version de mon produit.
- Tu veux le modifier comment? Demande Elizabeth.
-Eh bien la partie contrôlant la soumission sexuelle d'une personne sera toujours là. Par exemple, une fois qu'on a donné l'ordre à un gars de sucer une bite, il pensera toujours à sucer une bite. Une fois que ce produit chimique sera dans la tête de la personne, elle deviendra à jamais un soumis sexuel. Mais je peux modifier la drogue de telle façon que cette personne n'obéisse qu'à une seule ou un groupe de personnes.
- Donc pour le moment Catherine obéit à tout?
- Oui.
- Donc si je lui dis de marcher à l'extérieur complètement nue, elle le fera.
- Oui. La seule restriction est qu'elle ne doit pas risquer sa vie.
- Donc si je lui dis de se poignarder, elle ne le fera pas.
- Exact. La partie du cerveau qui commande l'instinct de survie est toujours intact. Mais la partie qui commande la moralité est facile à manipuler.
- Comme pour les politiciens. Plaisante Elizabeth.
- Oui. Rigole Bruno.
- Donc c'est tout ce que fait ton produit. Demande sa mère sérieusement.
- Oui, il a le pouvoir de changer le monde.
- Ou de le détruire.
- Que veux-tu dire? Demande Bruno pensif.
- Penses-tu que si le gouvernement le possédait, il l'utiliserait à bon escient?
- Je l'espère. Déclare Bruno.
Puis, la révélation de ce que peut devenir sa drogue si elle tombe entre de mauvaises mains lui apparaît.
- Merde!
Elizabeth hoche la tête.
- Oui. Je pense que tu dois modifier cette drogue, en particulier pour que ta sœur ne termine pas dans les mains d'un trou du cul cinglé. Et tu devrais brûler tes documents de recherche et te débarrasser de tout le surplus de ce produit.
Je suppose que tu as raison.
Bruno se rend compte que cette drogue est trop dangereuse pour être mise dans la main de n'importe qui.
- Bien sûr, nous allons d'abord l'utiliser sur ma sœur et toi tu auras ta vengeance. Sourit Elizabeth.
- J'aime ce côté méchant en toi Maman.
- Tu vis maintenant avec une maman salope. Gémit-elle, la langue de sa fille faisant du bon travail.
- Une maman vide-couilles. Corrige Bruno tout en enculant sa sœur.
- Oui mon chéri.
Elizabeth crie alors qu'elle jouit tout en pensant qu'elle aura bientôt sa sœur entre ses jambes. Quelques minutes plus tard, quand elle est remise de son orgasme, elle dit :
- Je vais aller faire du shopping demain au sex-shop.
Catherine demande :
- Puis-je t'accompagner?
En jouant sur la mots, Bruno dit :
- Oui tu peux l'accompagner avec l'orgasme le plus intense que tu n'aies jamais eu quand tu sentiras mon sperme dans ton cul.
- Oh mon Dieu, encule moi bien grand frère.
Elle gémit en commençant à rebondir pour répondre à ses coups de reins.
- Tu veux mon sperme salope?
- Oui Maître, remplis le trou du cul de ta salope avec ta grosse bite.
Elizabeth regarde ses deux enfants baiser. Il y a un jour, elle aurait été mortifiée. Mais aujourd'hui, elle est excitée. « Que la vie est bizarre » pense-t-elle.
Après quelques minutes de sodomie intense, Bruno grogne :
- Mmmm, je viens...
- Ouiiiiiiiiiii....
Catherine crie instantanément sous l'orgasme qui la traverse en sentant le sperme de son frère inonder son cul. Dès que celui-ci se retire, la jeune fille s'effondre sur le sol dans une extase totale.
Bruno se rapproche alors de sa mère et lui fourre sa queue dans la bouche en ordonnant :
- Nettoie ma bite maman salope!
Elizabeth n'a jamais sucé de verge sortant d'un autre cul mais elle obéit comme une bonne chienne. Elle est à la fois excitée et dégoûtée par l'ordre.
Quand son fils se retire enfin, elle lui demande :
- Avec tes ordres tu peux faire en sorte que les orgasmes soient plus intenses?
- J'ai déjà fait.
- Merde, si tu peux faire en sorte que j'ai des orgasmes plus puissants, je veux bien essayer ta drogue.
- Je pense que je peux simplement concocter un aphrodisiaque pour les orgasmes.
- Fais-le alors. Dit sa mère en regardant sa fille trembler encore sur le sol, quelques minutes après son orgasme.
Bruno se rhabille et se dirige dans sa pièce servant de laboratoire pour tenter de modifier sa drogue. Si cela fonctionne comme il espère, il sera alors possible que le produit n'impacte que les pulsions sexuelles. Cela peut rendre la drogue inutile au gouvernement mais encore utile pour lui.
Il travaille toute la nuit. Le matin, il se sent proche de réussir mais il est trop fatigué pour continuer. Il quitte son laboratoire pour aller se coucher quand il entend sa mère gémir :
- Vas-y ma chérie, mange la chatte de ta maman.
Il entre dans la cuisine et voit sa sœur sous la table en train de lécher sa mère.
- Tu ne t'es pas couché? Demande Elizabeth.
Elle n'a pas l'air de se sentir coupable de commettre un inceste avec son fils ou sa fille. Et ça ne la dérange pas que sa fille soit obligée de lui brouter la chatte.
- J'ai travaillé sur la drogue toute la nuit. Répond Bruno, sa bite durcissant sous la vision de l'acte lesbien.
- Tu y arrives?
- je ne suis plus très loin.
- Moi aussi. Insinue de façon coquine sa mère tout en tirant la tête de sa fille contre son sexe humide.
Alors qu'il s'approche d'elle et sort sa bite, il dit :
- Je pense que je ferai mieux de participer à ce partage familial de fluides.
Levant un sourcil, et en gémissant car proche de l'orgasme, sa mère demande :
- Tu penses que tu peux mettre ta bite devant le visage de ta maman maintenant?
Bruno, confiant après la journée d'hier, fait glisser sa bite dans la bouche gémissante et dit :
- Et dans ta bouche.
Elizabeth ne peut nier qu'elle aime la position dominante de son fils même si elle ne devrait pas. Alors elle commence à sucer la queue raide.
En dessous de la table, léchant avec impatience la chatte de sa mère, Catherine entend les paroles de son frère et reprend espoir sur la modification du produit. Elle a compris la leçon et elle ne sera plus une garce.
Elizabeth recrache le sexe de son fils quand elle crie de jouissance :
- OH OUIIIIIIIII..... Lèche, lèche bien le jus de maman.
Catherine le fait avec enthousiasme, obtenant ainsi sa dose matinale de fluide corporel. Et Bruno ordonne tout en remettant sa bite raide dans la bouche de sa mère :
- Garde ma bite et suce maman!
Elizabeth obéit même si elle sait qu'elle aurait dû le gronder. Elle se dit qu'elle devrait être responsable mais c'est si bon de se faire lécher par sa fille ou baisé par son fils. Et le comportement dominant de son fils l'excite profondément.
Catherine finit de lécher chaque goutte de la jouissance de sa mère avant de sortir de dessous la table. Elle voit sa mère qui suce frénétiquement la queue de son frère. Elle ne peut nier qu'elle est jalouse de sa mère. Elle veut une bite, et de préférence dans sa chatte humide. Quand elle se redresse, Bruno lui dit :
- Bonjour sœurette.
- Salut! Répond-elle incapable de détacher ses yeux du sexe de son frère.
Sa mère étant une bonne suceuse, Bruno est près d'éjaculer. Mais une idée surgit dans sa tête. Il attend le dernier moment et sort de la bouche pour éclabousser de sperme le visage de sa mère.
Celle-ci a le souffle coupé lorsque le sperme tombe sur sa figure. Cela fait longtemps qu'elle n'avait pas subi cela. Elle s'exclame :
- Bruno!
Jets après jets, la semence frappe son visage surpris. Mais elle ne bouge pas comme une bonne salope. Une fois que le garçon a fini d'éjaculer il ordonne à sa sœur :
- Voilà ta dose du matin sur le visage de maman!
Catherine ne dit rien mais s'empresse de lécher et récupérer le liquide blanchâtre sur la figure abasourdie de sa mère. Lorsqu'elle lui touche les lèvres, celle-ci l'embrasse en glissant sa langue dans sa bouche. Bruno regarde ce moment chaud où deux femmes s'embrassent.
Quand Elizabeth rompt le baiser, elle se change en mode « mère sévère » et gronde son fils :
- Jamais tu n'éjacules sur mon visage sans avertissement.
Sans vraiment réaliser ce qu'elle dit, Catherine rajoute :
- Oui, quel gaspillage de sperme.
Bruno hausse les épaules et tente de garder le contrôle en précisant qu'il est l'homme de la maison :
- Maman, il faut que nous soyons clairs entre nous. Hiérarchiquement dans cette maison je suis au-dessus de toi. Et toi tu es au-dessus de Catherine.
Elizabeth reste choquée, sans voix. Une partie d'elle-même est soumise à la personnalité de son fils, une autre voudrait le frapper. Bruno se rend compte de la confusion de sa mère. Il sait qu'il ne peut plus reculer alors il ajoute :
- Est-ce clair maman?
Elizabeth, le corps prenant le pas sur l'esprit répond :
- Oui.
Bruno hoche la tête avec confiance, se sentant puissant.
- Bon, je vais me coucher. Tu as eu tes deux doses ce matin. Cette après-midi tu peux aller voir Éric.
- Qu'est-il arrivé à Michel? Demande Elizabeth.
- Bruno m'a dit de le quitter pour un bigleux à boutons. Répond Catherine ennuyée même si Éric a une plus grosse queue que son ancien petit ami Michel.
- De toute façon Michel était un trou du cul. Déclare la mère en se levant et en allant se préparer.
Soudain Bruno entend du bruit dans le garage. Il y va et voit Sharon, la voisine, qui attend à genoux. Il se met à rire :
- Nous vous avons oublié.
- S'il vous plaît, arrêtez ça. Dit Sharon avec une envie croissante de lécher une chatte.
Bruno retourne à la cuisine et dit à sa sœur :
- Catherine, si tu veux avoir un orgasme, va voir notre voisine au garage.
- Hein? Dit-elle surprise.
- Oui. Je devais me venger de Pierre et je me suis dit que je pouvais tester mon produit sur sa mère.
- Super! Dit la jeune fille en se dirigeant vers le garage.
Bruno rejoint sa chambre, s'allonge sur son lit et, en quelques secondes à peine, s'endort corps et esprit épuisés.
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Bruno se réveille vers deux heures de l'après-midi. Il attrape deux beignets et se rend à son laboratoire.
Vers quatre heures et demie, il pense avoir trouvé une solution temporaire : un mélange qui va permettre d'effacer certaines conditions à long terme. Cela ne supprimera pas l'obéissance sexuelle permanente mais il peut, espère-t-il, supprimer des ordres comme la dépendance au sperme.
Content de lui, il va à la cuisine et est surpris de remarquer que sa mère n'est pas encore rentrée à la maison. Il appelle alors :
- Catherine! Tu es à la maison?
Pas de réponse. Il se dirige vers la chambre de sa sœur et commence à entendre des gémissements et sa sœur qui dit :
- Plus fort! Baise-moi plus fort!
Il ouvre la porte et voit la jeune fille chevaucher Éric l'intello boutonneux de sa classe.
- Sors d'ici! Demande Catherine tout en se trémoussant sur la queue de son ami.
Elle l'a déjà fait jouir deux fois : la première à l'école quand elle l'a sucé et la deuxième fois après juste une minute de baise quand elle l'a dépucelé.
Bruno s'excuse en souriant :
- Désolé.
Puis il referme rapidement la porte. Il retourne à la cuisine, mort de faim. Soudain, son portable sonne :
- Salut Maman.
- Je vais acheter de la nourriture pour le diner. Que veux-tu?
- Ta chatte! Répond Bruno excitée/
- Tu es insatiable. Mais je pensais plutôt à du KFC. Dit Elizabeth.
- On va devoir se lécher les doigts. Plaisante Bruno.
- Ou autre chose. Répond la mère en continuant de jouer sur les insinuations sexuelles.
- Ok, KFC me va. Déclare Bruno.
- Bon. Je reviens bientôt. Dit Elizabeth en raccrochant.
Elle a l'impression d'avoir 19 ans et d'être encore au collège, attendant avec empressement le rendez-vous où elle serait baisée.
Quelques instants plus tard, Éric se rue hors de la maison en évitant Bruno. Catherine arrive en peignoir et demande :
- Alors tous les intellos ont une grosse bite?
Bruno hausse les épaules :
- En tout cas, tous ceux que je connais.
- Je viens de prendre sa virginité et il a jouis deux fois dans ma chatte. Révèle Catherine
- Bien, ça va me reposer car je crois que maman, à son retour, veut sa part.
Soudain, Bruno réagit à ce qu'il vient de dire. C'est assez incroyable. Catherine étonnée que sa mère se soit changée de femme prude en salope dit :
- Je n'arrive pas à croire qu'elle soit devenue aussi salope sans le produit.
- Des années de déni je suppose.
- Penses-tu qu'elle était une salope quand elle avait mon âge?
- Surement.
- C'est bien.
- alors Éric est devenu ton petit ami?
Catherine hoche la tête :
- Ouais. Et s'il continue à me baiser comme ça, je vais le garder toute ma vie.
- Il est plus performant au lit que Michel?
- Bien mieux à vrai dire. Et de plus, Éric m'a fait un cunnilingus.
- Tous les intellos aiment bouffer de la chatte. Dit Bruno.
- C'est vrai?
- Nous essayons toujours de faire plaisir.
- On dirait que c'est vrai. Admet Catherine.
- Bon, approche! Ordonne Bruno.
- Je croyais que tu te réservais pour maman?
- Je pense avoir réglé quelques problèmes de mon produit.
- Vraiment? Super! Dit-elle en s'approchant de son frère.
Bruno pulvérise sa nouvelle drogue sur son visage.
- Comment ça fonctionne? Demande-t-elle.
- Je dois pouvoir supprimer tous les ordres à long terme.
- Je ne serai plus accro au sperme?
- Si je le veux.
- Est que je pourrais aussi ne plus obéir à Béatrice? Elle est vraiment devenue une vraie garce.
Bruno passe plusieurs minutes à donner de nouveaux ordres à sa sœur. Une fois cela fait, ils testent quelques ordres et Catherine est soulagée de voir que son corps n'obéit plus automatiquement. Le garçon dit :
- Pour préciser, tu ne peux pas dire non à un ordre sexuel mais tout le reste a disparu.
- Merci. Dit Catherine en pensant qu'il y a peu de chance qu'un étranger lui donne un ordre sexuel.
- Oh je pense que tu devras me rembourser toute ta vie. Sourit Bruno alors que la porte d'entrée s'ouvre.
Elizabeth entre avec des sacs de commissions et dit :
- Venez manger!
Catherine demande alors avec un air espiègle :
- Le poulet ou ta chatte?
- D'accord, viens lécher la chatte de ta mère qu'elle soit prête pour ton grand frère. Déclare Elizabeth en posant les sacs de course sur la table et en s'asseyant sur le canapé.
Catherine, qui aime le goût de sa maman, se met à quatre pattes et commence à la lécher, pas surprise qu'elle soit déjà humide. Bruno dit alors :
- J'ai supprimé la plupart des ordres de Catherine.
- Alors elle n'est plus accro au sperme?
- Non. Mais bien sûr, elle ne peut toujours pas désobéir à un ordre sexuel.
Elizabeth hoche la tête :
- Bien. J'aime bien avoir ma lécheuse de chatte personnelle.
- Maman! Proteste Catherine avec un petit rire.
Bruno et sa mère mange le dîner pendant que Catherine mange sa maman. Une fois qu'ils ont fini de manger, Elizabeth dit :
- Maintenant, viens baiser maman!
- S'il le faut : Plaisante Bruno.
- Oui il le faut. Confirme la mère alors que Catherine se retire d'entre ses jambes en se léchant les lèvres.
Bruno pilonne sa mère pendant que Catherine mange son diner. Au bout de dix minutes, le garçon éjacule. Et dès qu'il se retire, sa sœur enterre rapidement son visage entre les cuisses de sa mère. Bruno lui demande alors :
- Pourquoi fais-tu ça? Parce que tu dois le faire ou parce que tu le veux?
- Parce que je le veux. Répond Catherine qui aime ce mélange de sperme avec le jus de chatte.
Une fois que la jeune fille est satisfaite, ils s'assoient tous les trois devant la télé. Quelque temps après, la sonnette de la porte d'entrée retentit. Bruno se lève et va voir. Il est surpris de découvrir Pierre sur le pas de la porte.
- S'il te plaît, arrête ça. Dit-il dès que la porte est ouverte.
- Tu ne profites pas pleinement de la vie? Demande Bruno avec un sourire.
- J'ai proposé à tous mes profs de les sucer. Et tout ce que j'arrive à penser c'est des bites. Explique Pierre furieux, mais ne le montrant pas pour ne pas être plus conditionné.
- Tu ne peux jamais me mentir. Ordonne Bruno.
Puis il ajoute :
- As-tu aimé sucer de la bite?
Pierre veut dire non, mais une fois passé le dégoût initial de sucer un homme de 50 ans au foyer des travailleurs, il en a profité pleinement. Alors il admet, honteux :
- Oui. Mais parce que tu as fait de moi un pédé.
- je ne t'ai pas obligé à aimer. Fait remarquer Bruno.
- Quoi qu'il en soit, peux-tu supprimer ces ordres?
- Non. C'est permanent. Tu seras toujours un pédé. Mais si tu es intelligent, personne d'autre ne saura que tu dois obéir à tous ordres donnés.
- Des ordres?
- Aboie comme un chien!
- Ouaf...Ouaf...Ouaf!
- Arrête!
- Pourquoi m'as-tu fait ça? Demande Pierre, mortifié.
- Parce que tu étais un despote pour moi au lycée. Et faire obéir ta mère est un bonus supplémentaire.
- Ma mère ne me regarde même pas.
- Et si tu me désobéis de nouveau, je te ferai sucer ton père.
- Mon Dieu non.
- Bien alors. Tu vas seulement rester un amoureux des bites et un avaleur de sperme. En as-tu envie en ce moment?
- Oui. Admet-il, une faim de sperme apparaissant dans sa tête. - Et prendre une queue dans ton cul?
- Oui. Admet-il de nouveau.
- Est-ce que tu sais qu'il y a trois « glory-holes » en ville?
- Non. Dit Pierre, instantanément excité.
- Un au 7ème étage du collège dans les toilettes de la bibliothèque, un aux toilettes du MacDo, et un troisième au sex-shop à l'ouest de la ville.
Bruno avait fait des recherches par curiosité. Pierre, essayant de contrôler sa faim demande :
- Est-ce que je peux sucer ta bite?
- Je ne suis pas un pédé. De plus si je voulais baiser quelqu'un ce serait le cul de ta mère. Dit Bruno souriant.
- Espèce de salaud, je... Commence Pierre mais s'arrêtant aussitôt de peur d'avoir des ordres ajoutés.
- Je vais te donner l'exemple d'ordres que je te donnerai si tu t'emportes encore. Tu devras sucer la bite de ton père tous les jours. Et tous les jours aussi tu devras te faire éjaculer sur le visage par trois hommes mais tu ne pourras te laver avant le lendemain.
- Désolé. S'excuse Pierre devant ses ordres terrifiants.
- Maintenant tu vas aller sucer cinq bites dans chacun des « glory-holes » et tu te feras enculé une fois dans chacun de ces endroits.
- S'il te plaît non! Plaide Pierre.
- Et tu te débrouilles pour avoir au moins six décharges de sperme sur ton visage avant d'aller voir ta petite amie pour lui dire que tu es un pédé qui suce des bites et se laisse enculer.
Pierre ne peut plus contrôler sa colère alors il explose :
- Putain, je vais te tuer!
Alors qu'il va frapper Bruno, celui-ci lui ordonne :
- Frappe-toi les couilles!
Pierre obéit instantanément et s'écroule au sol.
- Tu te frapperas les couilles toutes les heures dans les prochaines 24 heures. Et si tu me menaces encore j'en ferai un ordre permanent. Est-ce clair?
- Oui. Répond Pierre qui se tord sous la douleur.
- Et parce que je suis de bonne humeur, je ne rajouterai pas l'ordre de sucer ton père. Mais comme je dois te punir, tu vas envoyer, dans les deux heures, à ta petite amie ainsi qu'à moi, une photo de toi avec une bite dans chacun de tes trous, puis une avec du sperme sur ton visage. Ensuite tu achèteras un gode ceinture que tu offriras à ta petite amie pour qu'elle te baise avec. Enfin tu iras voir tous les anciens de notre classe qui vivent encore en ville, tu t'excuseras d'avoir été un trou du cul et tu leur offriras d'être leur suceuse pour la journée.
Pierre pense alors que l'humiliation ne finira jamais.
- Est-ce clair?
- Oui. Dit Pierre en se relevant sur les genoux.
- Alors amuse-toi bien. Dit Bruno.
- Ce n'est pas amusant. Fait remarquer Pierre.
Bruno ajoute alors :
- A partir de maintenant, tu n'as du plaisir que quand une bite se trouve dans un de tes deux trous.
Pierre hoche la tête en se rendant à sa voiture pour commencer la lourde tâche humiliante. Malgré lui, sa queue est aussi dure que de la pierre.
Bruno retourne dans le salon et demande à sa mère :
- Quand allons-nous tester le nouveau produit sur tante Lisa?
- Je veux que tu utilises le premier produit sur Lisa
- Tu es sure? Demande Bruno.
- Oui nous pourrons toujours lui donner l'autre plus tard. Est-ce que tu peux l'introduire dans son café? - Oui je peux facilement le transformer en liquide comme de la crème.
- fais-le s'il te plaît.
- D'accord.
Bruno est étonné de voir sa mère aussi vindicative mais cela lui permet de continuer ses recherches.
******
Bruno passe les trois prochains jours à travailler dur. Il crée une version liquide et une version qui rend la personne vaporisée incapable de se souvenir après une heure comment elle est devenue ainsi. De cette façon, le risque de se faire prendre est limité.
Il fabrique aussi un nouveau produit qui manipule l'esprit et intensifie les orgasmes, ceci pour faire plaisir à sa mère.
Bien sûr, au cours de ces trois jours, il baise sa mère tous les jours alors que sa sœur, à sa grande surprise, continue de fricoter avec Éric, l'amenant même à la maison pour dîner.
Puis vient le samedi.
Bruno donne la version liquide à sa mère qui le verse dans le café de sa sœur Lisa. Ensuite, il se met dans le couloir et écoute sa mère transformer sa tante en esclave soumise.
Elizabeth attend que le produit face effet tout en discutant avec sa sœur de chose insignifiantes comme la carrière de Lisa dont elle se glorifie en se moquant de la vie de la mère de famille. Enfin, impatiente de voir si la drogue fonctionne elle demande :
- Lisa, s'il te plaît, masse mes pieds!
- Quoi? Dit Lisa, trouvant la demande ridicule.
Pourtant elle se sent quitter sa chaise. Puis elle demande :
- Pourquoi portes tu des bas à la maison?
- Mon maître et amant de fils aime que j'en porte.
Tandis que Lisa tombe à genoux, elle demande en se moquant
- Ton maître et amant?
- J'ai aussi une fille esclave. En vérité j'ai deux amants et j'espère bien en ajouter un troisième bientôt, très bientôt.
Lisa prend le pied de sa sœur entre ses mains alors qu'elle écoute ses déclarations bizarres et qu'elle est lesbienne. C'est alors qu'elle se rend compte qu'elle a obéi et qu'elle masse le pied d'Elizabeth. « Pourquoi fais-je ça » pense-t-elle. Elle essaie d'arrêter mais ne peut pas.
Elizabeth sourit. Sa sœur a obéi à un ordre simple mais dégradant. Elle dit alors :
- Pourquoi ne sucerais-tu pas chacun de mes orteils tant que tu y es?
- Cesse d'être ridicule Eliz...Dit Lisa, coupée soudainement lorsque sa bouche commence à sucer les doigts de pied de sa sœur à travers le bas. « Qu'est-ce qui se passe? « Elle n'arrive pas à croire qu'elle obéit.
Elizabeth pourrait expliquer ce qui se passe mais elle préfère admirer l'air égaré de sa sœur. Elle apprécie que sa sœur soit ainsi dégradée.
Bien sûr, Lisa essaie de comprendre. « Pourquoi obéit-elle? pourquoi ne peut-elle s'arrêter? »
Une fois que les cinq orteils ont bien été sucés, Elizabeth ordonne :
- L'autre pied aussi petite sœur!
- Qu'est-ce que tu m'as.... Commence Lisa, bientôt interrompue quand sa bouche gobe le gros orteil de l'autre pied.
- Tu es bien sur tes genoux? Dit Elizabeth avant d'ajouter :
- J'imagine que tu as du souvent te retrouver dans cette position pendant ta carrière.
Lisa est furieuse pour deux raisons : la première est que sa sœur l'a surement droguée et la deuxième est qu'elle suppose qu'elle a couché pour arriver au sommet de sa carrière. Bien sûr, c'est un peu la vérité. Elle a sucé, elle a baisé et elle s'est même faite sodomisée à l'occasion. Mais cela fait partie de la hiérarchie sexuelle qui existe dans le monde des affaires. Toutes les grandes directrices d'entreprise ont couché pour arriver au sommet. Il n'y a pas vraiment d'égalité entre les femmes et les hommes jusqu'à ce que vous arriviez au sommet. D'ailleurs elle n'est pas loin du sommet en tant que vice-présidente.
Après avoir fin de sucer les cinq autres orteils, Lisa demande d'un ton venimeux :
- Qu'est-ce que tu m'as fait?
- Rien d'autre que mon esclave personnel. Dit Elizabeth en haussant les épaules.
Lisa se lève et dit :
- Ce n'est pas drôle.
Mais Elizabeth sourit :
- En fait c'est rigolo. Déshabille-toi!
- Qu'est-ce qui ne va pas chez toi? Demande la femme, ses mains obéissant à l'ordre.
- J'ai eu un réveil sexuel! Répond la sœur ainée.
Lisa baisse les yeux et se rend compte qu'elle est en train d'obéir. Dépitée en déboutonnant son chemisier elle demande :
- Mais pourquoi je ne peux pas arrêter ça?
- Je t'ai fait boire un produit qui te fait respecter tous les ordres que je te donne. Dit Elizabeth avec sérieux.
- Tu as fait quoi? Demande Lisa même si elle avait compris la réponse.
Sa sœur sourit :
Tu as toujours été un peu lente à comprendre. Je vais te le dire lentement. Je... t'ai... donné... un... produit... qui... te... fait... obéir... à... tous... les... ordres... que... je... te... donne.
- Vas te faire voir! Réplique Lisa, détestant qu'on la prenne pour une idiote.
Tandis qu'elle enlève son chemisier, Elisabeth poursuit :
- Ce produit t'empêche de refuser de suivre un ordre donné par quelqu'un.
- Tu n'es pas sérieuse? Dit Lisa, même si elle obéit contre son gré à chaque ordre donné par sa sœur.
Elle pense que si c'est vrai, ça peut ruiner sa carrière.
- Enlève ton soutien-gorge! Ordonne Elizabeth, répondant ainsi à la question.
- Ton fils est là. Argumente Lisa.
Elizabeth ignore cette réflexion et une fois que le soutien-gorge tombe et révèle une belle paire de seins, elle commande :
- Pince tes mamelons!
- Elizabeth, ça va.... AHHH. Déclare Lisa avant de crier sous la douleur du pincement qu'elle s'inflige.
Elizabeth décide alors de questionner sa sœur :
- Tu ne peux plus jamais me mentir. Penses-tu que tu es mieux que moi?
- Oui. Répond Lisa.
Elle continue à pincer ses tétons tout en pensant que sa sœur a loupé sa vie en ayant des enfants.
- As-tu déjà mangé une chatte?
- Oui.
Lisa répond en pensant que de temps en temps, pour élever sa situation, il faut faire face à des secrétaires ou à des femmes ayant des postes plus importants. Et Lisa est prête à tout faire pour arriver au sommet.
- Récemment?
- Il y a quelques semaines.
Elle se rappelle comment elle a conclu un gros contrat en servant toute une soirée, habillée en soubrette, une vieille femme de soixante ans. Ce ne fut pas agréable mais l'essentiel est qu'elle ait conclu l'affaire.
- Aimes-tu lécher des chattes?
- Ca ne me gêne pas.
Elle a toujours vu le sexe comme une fin, un moyen d'avancer. Elle n'en a jamais vraiment profité mais elle ne déteste pas non plus. Elle ne s'est jamais abandonné au plaisir que peut donner le sexe.
- A partir de maintenant tu aimes les chattes. Ordonne Elizabeth.
- Mais ça n'explique pas comment le produit fonctionne. Dit Lisa.
- Il fonctionne, tu vas voir.
La sœur ainée ricane en réalisant qu'elle commence à soumettre sa propre sœur. Elle demande :
- As-tu déjà trompé ton mari?
- Je viens de te dire que j'étais avec une femme récemment. Rétorque Lisa.
- Laisse-moi reformuler la question. As-tu trompé ton mari avec d'autres hommes?
- Oui. Répond Lisa même si elle veut dire non.
- Combien de fois?
- Beaucoup. Dit Lisa, gênée d'avouer son infidélité à sa sœur.
- Des hommes différents?
- Des dizaines... S'il te plaît arrête de poser toutes ces questions.
- Combien de dizaines?
- Six peut-être. Répond Lisa en pensant que soixante est un nombre approchant.
- Wow, tu es une vraie salope.
- Ne me traite pas de salope! Demande Lisa.
Elle hait ce terme dégradant. Si un homme fait l'amour à soixante femmes c'est un étalon, si une femme fait l'amour à soixante hommes c'est une salope. C'est des conneries. Le sexe c'est juste du sexe, et rien d'autre.
- Comment veux-tu que je t'appelle alors?
- Aventurière.
- Combien d'hommes as-tu baisé réellement?
- Quelle importance ça a?
- Oui après tout. Enlève ton jean!
- S'il te plaît Elizabeth, tu t'es assez amusée. Dit Lisa tout en déboutonnant son pantalon.
Mais la sœur ainée déclare :
- Je viens juste de commencer. Comment as-tu fait pour te retrouver dans la position professionnelle actuelle. Tu as couché pour y arriver?
- Non, oui, ce n'est pas aussi simple.
Lisa pense que oui elle a baisé beaucoup d'hommes, presque soixante, pour arriver à grimper au sommet mais son travail acharné ainsi que son intelligence y sont pour quelque chose aussi.
- Je pense que si.
Elizabeth exprime son désaccord et ignore les paroles de sa sœur :
- Tu t'es déjà faite enculer?
- Oui. Admet Lisa en baissant son jean.
- Aimes-tu avoir ton trou du cul pénétré?
- Parfois. Répond Lisa en pensant aux quelques fois avec des petites bites ou en étant ivre.
- Enlève ta culotte aussi. Ordonne Elizabeth.
- Pourquoi fais-tu ça? demande sa sœur en obéissant.
- Pour me venger des années où tu m'as traitée de haut.
- Es-tu jalouse de moi? demande Lisa en sachant qu'elle avait toujours été l'enfant préféré de ses parents, celle qui réussit.
Elizabeth se moque d'elle :
- Oh oui je suis super jalouse de toi, tes heures de travail interminables, ton mariage avec un nul, ta vie sans enfants et à penser toujours à l'argent.
- Vas te faire foutre! Riposte Lisa.
- Oui je prévois de te baiser ma sœur. A genoux maintenant.
Tandis qu'elle obéit et se met à genoux, Lisa se rend compte que sa situation devient plus difficile qu'elle ne l'a imaginé. Alors elle dit :
- S'il te plaît Elizabeth?
- Rampe vers moi! Ordonne Elizabeth qui se complait dans le pouvoir qu'elle a sur sa sœur.
Elle sait que ce qu'elle fait est moralement répréhensible mais ça ne la gêne pas.
- Elisabeth? Répète Lisa en rampant vers son ainée en commençant à craindre qu'elle ne lui fasse lécher sa chatte.
- Sois une bonne esclave obéissante et ta situation n'empirera pas. Dit Elizabeth en la regardant d'en haut.
- Que m'as-tu vraiment fait? Supplie Lisa.
Elizabeth appelle :
- Bruno?
- Oui? dit Bruno en sortant du couloir où il écoutait.
- Elizabeth? Crie Lisa, le souffle coupé alors qu'elle tente se de couvrir avec ses bras et ses mains.
Bruno explique en regardant sa tante nue à genoux :
- Le produit que tu as bu a modifié ton cerveau. Tu dois maintenant obéir à tout ordre donné par une personne.
- Tu n'es pas sérieux?
Lisa est mortifiée par ce qu'elle entend, pourtant ces mots explique pourquoi elle a obéi aux ordres ridicules de sa sœur.
- Aboie tantine!
- Ouaf...Ouaf...Ouaf...
Lisa obéit instantanément, la honte et la colère brulant en elle.
- Stop Tantine! Ordonne Bruno.
- Pourquoi m'as-tu fait cela? Demande Lisa.
- Parce que maman me l'a demandé.
- Pourquoi me fais tu ça? demande Lisa en regardant sa sœur.
- Parce que tu ne m'as jamais respectée. Maintenant tu vas le faire. Dit Elizabeth.
- Et plus tu désobéiras, plus on manipulera ton esprit pour te rendre la vie plus facile. Dit Bruno.
- S'il te plaît Bruno, je n'ai jamais fait de mal. Plaide Lisa en espérant que son neveu qui a créé le produit soit plus rationnel.
- je ne sais pas ma tante. Mais le produit a déjà transformé ton cerveau. Dit Bruno en haussant les épaules.
Puis il ajoute :
- Mais je dois insister sur le fait que toutes les salopes dans la maison doivent être en bas nylon. Catherine!
- Mon Dieu! toute la famille fait partie de ce jeu tordu? demande Lisa.
- Allez, viens manger ma chatte! Ordonne Elizabeth qui veut être la première à être servie par sa sœur.
- C'est pas... Essaie de protester Lisa avant que son visage soit enfoui entre les jambes de sa sœur.
Elle lèche la chatte avec dégoût, choquée par sa situation.
- Tu aimes manger des chattes. Tu veux plaire à toute femme qui t'offre sa chatte. Ajoute Elizabeth aux ordres déjà implantés.
Instantanément, sa sœur commence à aimer de lécher et elle devient plus agressive. Elle veut goûter le doux nectar de sa sœur. Elle ne peut croire à quel point elle en a envie même si elle sait que son cerveau est manipulé.
- Oui? Demande Catherine en entrant et voyant sa tante manger la chatte de sa mère.
- Vas chercher pour notre nouvel animal de compagnie une paire de bas. Demande Elizabeth.
- Bien sur maman.
Catherine hoche la tête, excitée d'avoir son propre animal de compagnie.
- Tu aimes ma chatte petite sœur chérie? Demande Elizabeth.
- Oui. Reconnait Lisa, incapable de mentir.
Puis elle retourne lécher sa sœur. Elle est choquée mais ne peut s'arrêter de lécher la chatte délicieuse de sa sœur.
- Tu veux que Bruno te baise? demande Elizabeth en regardant son fils se déshabiller.
- Mon dieu non! dit Lisa le souffle coupé.
Alors Elizabeth rajoute des ordres :
- L'inceste t'excite. A chaque fois que tu vois un membre de la famille, tu es excitée et tu veux le baiser.
- Attention. Rappelle Bruno à sa mère, ne voulant pas que les ordres soient trop extrêmes.
- Ne t'inquiète pas, je fais attention. Rigole sa mère, pas vraiment inquiète pour les conséquences à long terme sur sa sœur.
Catherine revient et Elizabeth lui dit :
- Mets les bas à ta tante, nouvel animal de compagnie.
- Oui maman! répond Catherine avec impatience.
- Mets-toi sur le dos sœurette. Et à partir de maintenant, quand nous sommes seuls tu m'appelles Maîtresse. Ordonne la sœur ainée.
Lisa obéit, s'allongeant sur le dos dans le silence. Une partie d'elle est déçue car elle n'a pas eu le temps de finir de lécher sa sœur. « Merde, pourquoi je ne peux plus penser correctement? »
- Lève tes jambes tata! Demande Catherine.
Lisa ne peut qu'obéir alors elle supplie à nouveau :
- Elizabeth, s'il te plaît, pas plus...
- Mais tu ne veux pas continuer à me manger la chatte?
- Si Maîtresse. Lisa répond à contrecœur, le mot « Maîtresse » l'humiliant encore plus.
- Et pour ma chatte? Demande Catherine en enfilant le premier bas sur une jambe de sa tante.
-Ummm. Dit Lisa.
Elle est encore confuse par tous les ordres donnés. Elle regarde sa nièce et tout d'un coup la trouve sexy et belle. Elle se demande quel goût a sa chatte.
- Tu veux me lécher ma tante? ajoute la jeune fille.
- Attention Catherine! Dit Bruno en se caressant la queue.
- Mais elle est mon animal de compagnie non? Demande Catherine.
- Oui ma chérie! Elle va déménager ici et elle vivra dans ta chambre.
- Quoi? demande Lisa éberluée.
Elizabeth révèle alors :
- Aujourd'hui, tout change ma chérie. Tu vas être notre bonne salope à tous, tous les jours. Tu peux garder ton emploi mais tu divorceras. De toute façon tu n'aimes pas ton mari. Et tu viendras vivre ici.
- Oh non mon Dieu, S'il te plaît Elizabeth, je ferai tout...
- je sais que tu le feras. Approuve en souriant la sœur ainée.
Catherine a terminé de mettre le premier bas. Elle demande :
- Veux-tu manger ma chatte ma tante?
- Oui. Répond Lisa, la bouche salivante tout d'un coup.
- Demande moi alors! Ordonne Catherine en enfilant le deuxième bas.
Lisa n'arrive pas à croire que les mots suivants sortent de sa bouche :
- S'il te plaît Catherine, laisse ta tante faire du bien à ta chatte avec sa langue.
- Nous allons devoir lui apprendre à mieux parler. Rigole Bruno.
- Oui. Dit Elizabeth en se mettant à rire et en se déshabillant.
Une fois que le deuxième bas est mis, Catherine se met au-dessus de la tête de sa tante et abaisse son sexe sur son visage :
- Lèche ma tante!
Lisa obéit car elle n'a pas le choix mais surtout parce qu'elle en a soudainement envie. Insatiable elle mange la chatte de sa nièce alors que le désir de plaire l'emporte sur la honte de sa situation. Elle n'a jamais aimé son mari. Elle l'a épousé seulement pour sa situation et le fait qu'il pouvait l'aider à gravir les échelons. De plus il avait une petite bite et aucune ambition. Pourtant le divorce est mal vu dans le monde des affaires.
Bruno se rapproche de sa mère nue à l'exception du gode ceinture qu'elle vient de fixer à sa taille. Il glisse sa queue dans la bouche de sa mère. Elizabeth suce son fils afin qu'il soit prêt pour la double pénétration qu'ils ont prévu pour Lisa.
Après une minute ou deux, elle arrête sa fellation et demande à son fils :
- Va te coucher sur mon lit.
Bruno hoche la tête et entend sa mère dire :
- Catherine et Salope, nous allons continuer dans la chambre.
- D'accord maman. Dit Catherine sachant que le plan est de prendre sa tante en double pénétration pendant qu'elle lui mangerait la chatte. Elle se lève et dit à sa tante :
- Viens ma salope.
Lisa se lève aussi, son visage recouvert de l'humidité de la chatte de sa nièce. Elle voit sa sœur avec le gode ceinture. Celle-ci lui ordonne :
- Rampe jusqu'à ma chambre salope!
- Oui Maîtresse!
Lisa répond tout en tombant à genoux et elle se met à ramper, l'humiliation, la colère et la luxure tourbillonnant à l'intérieur de sa tête.
Elizabeth regarde sa sœur ramper devant elle. Elle sourit, c'est trop beau pour être vrai.
Un fois arrivée dans la chambre, Lisa voit que Catherine suce la queue de son frère Bruno. Les deux enfants commettent un inceste devant elle. Elle s'exclame :
- Catherine mais que fais-tu?
La jeune fille arrête sa fellation, se tourne vers sa tante et répond :
- Je suce la bite de mon frère. Viens me remplacer.
- C'est mal Catherine. Proteste Lisa en rampant vers le lit et en montant dessus.
- Fais-moi confiance, quand sa bite sera enterrée en toi tu n'y penseras plus. Réplique Catherine.
Quand Lisa est sur le lit et qu'elle voit la grosse bite bien raide de son neveu, elle salive. Elle sait que ce ne sont que des conditions implantées dans son esprit mais tout d'un coup elle veut cette queue dans sa bouche et dans sa chatte. Elle attrape rapidement le sexe de son neveu et le met dans sa bouche. Elle sait qu'elle est une bonne suceuse. Faire de fellation est le meilleur moyen pour grimper dans l'entreprise. Elle a appris à utiliser sa langue et créer de la salive pour une expérience unique. Ella a aussi appris comme une star du porno à avaler comme une salope quand les hommes déposent leur semence dans sa gorge. Elle est également prête à tout recevoir sur son visage.
Bruno gémit quand sa tante commence à le sucer. Au bout de quelques minutes il peut dire qu'elle a de l'expérience. Elle avale toute sa bite et fait des choses avec sa bouche qu'il n'a jamais connu. Il ne sait pas s'il va pouvoir tenir longtemps et il se demande où il va se vider : dans la gorge ou sur le visage?
- Oh merde, elle sait vraiment y faire! Constate Catherine.
- Salope un jour, salope toujours! Dit Elizabeth.
Lisa ignore les commentaires et se concentre sur la grosse bite dans sa bouche.
Bruno demande alors :
- Maman, je dois éjaculer où? dans sa bouche ou sur son visage?
- Remplis son ventre, la prochaine fois tu recouvriras son visage.
- D'accord. Gémit Bruno en sachant qu'il va bientôt jouir.
Lisa peut dire aux gémissements ainsi qu'aux mouvements du corps quand un homme est près de jouir. Elle sait que son neveu va éjaculer dans une seconde. Elle continue de la branler et elle n'est pas surprise quand des jets de sperme glissent dans sa gorge. Elle avale avec impatience chaque goutte de semence de son neveu.
- Oh ma tante, c'est bon. Gémit Bruno de s'être fait sucer comme jamais.
- Enjambe sa queue Lisa! Ordonne Elizabeth.
Lisa laisse la bite glisser hors de sa bouche, sa chatte brulante d'envie de ce qu'elle doit faire. En général, pour elle, le sexe est juste du sexe. Généralement l'homme jouit mais rarement elle. Mais à ce moment, elle a un furieux besoin de jouir. Alors elle ne proteste pas et baisse sa chatte fiévreuse sur la bite toujours dure de son neveu.
- Oooooohhh. Gémit-elle en s'empalant complétement.
- Penche toi en avant salope! Ordonne Elizabeth.
Elle a lubrifié le gode ceinture et elle est prête à enculer sa sœur. C'est une chose sur laquelle elle a fantasmé depuis que l'idée de faire de sa sœur une esclave soumise a germé dans sa tête.
Même si Lisa a baisé des dizaines d'hommes, même si elle s'est faite prendre par des femmes dominantes avec des godes, même si elle a sucé des centaines de bites, elle n'a jamais subi de double pénétration. Elle a déjà sucé une queue alors qu'une autre pénétrait sa chatte mais elle n'a jamais eu une bite dans sa chatte et dans son cul en même temps.
- Tu veux que je t'encule ma petite salope de sœur? demande Elizabeth en frottant le gode entre les fesses de Lisa.
Probablement parce qu'elle est manipulée mais aussi parce qu'elle est soudainement curieuse de connaitre une double pénétration elle dit :
- Oui.
- Oui quoi? demande la sœur ainée.
Elizabeth profite de son pouvoir et elle sourit en pensant que la volonté d'être enculée de Lisa ne vient pas de la drogue.
La sœur cadette gémit, complétement excitée :
- S'il te plaît grande sœur, fourre cette grosse bite dans mon trou à merde et agrandis-le.
Lisa sait depuis longtemps que parler vulgairement lui permet d'obtenir ce qu'elle veut.
Elizabeth est trop impatiente pour continuer à jouer alors elle enfile durement le gode dans le trou du cul de sa sœur.
- AHHHH! Crie Lisa quand son cul est transpercé sans cérémonie.
Elizabeth se met à rire tout en pilonnant sa sœur.
- Oh mon Dieu!
C'est tout ce que peut dire Lisa quand la douleur la traverse. Catherine, excitée devant cette double pénétration se déplace devant sa tante et se met à cheval sur son visage en ordonnant :
- Allez, lèche tata!
Lisa obéit même si son corps brule de douleur.
Bruno réfléchit et ajoute une condition qui ne peut nuire à sa tante :
- Quand quelque chose te pénètre le cul, tu ne ressens que du plaisir.
Lisa pense que cet ordre est ridicule. Elle a souvent profité d'une bite dans son cul mais jamais d'un aussi gros objet froid. Pourtant, instantanément, comme par magie, la douleur s'éloigne et un plaisir émerge. Elle commence à gémir tout en léchant la chatte de sa nièce :
- Ohhh mon Dieu oui.
- Oui quoi? Demande Elizabeth.
- Oui j'aime que tu me sodomises. Répond Lisa.
Pendant quelques minutes, le quatuor baise sans dire un mot.
Finalement, Catherine jouit sur le visage de sa tante qui, avec impatience, avale et lèche tout le jus de chatte de sa nièce.
Lisa, elle, a trois orgasmes pendant le double pilonnage surtout quand Bruno se cabre en rythme avec les coups de reins de sa mère. Elle n'a jamais ressenti un tel plaisir intense.
Quand Catherine se déplace de dessus la tête de sa tante, Elizabeth retire le gode du cul et ordonne à sa sœur :
- Viens sucer le gode salope!
Lisa obéit. Bruno se lève alors et fait glisser sa queue dans le trou béant de sa tante. Il a été stimulé par la longue baise et il sait qu'il ne va pas tenir encore longtemps.
- Oui oui, baise moi avec ta grosse bite. Gémit Lisa, aimant la sensation d'une vraie bite dans son cul.
Malheureusement pour elle, Bruno ne peut continuer indéfiniment. Il enduit bientôt l'intérieur du cul de quelques décharges de sperme.
Elizabeth, satisfaite de la domination complète de sa sœur sourit et dit :
- J'espère que tu as apprécié?
Lisa, sur le dos, du sperme s'échappant de son cul hoche la tête faiblement :
- je n'ai jamais autant joui.
Bruno ajoute alors :
- je peux te donner un produit qui rend chaque orgasme intense.
Lisa rit faiblement, la dernière heure étant surréaliste. Pourtant, elle est inquiète pour son avenir alors elle demande :
- Mon état est permanent?
- Oui. Acquiesce Bruno.
- Donc, il faut que tu sois gentille avec les gens. Déclare Elizabeth qui dégrafe son gode ceinture.
- Et rappelle-toi que tu viens vivre avec nous. Dit Catherine.
Les yeux de Lisa s'écarquillent :
- Vous n'étiez pas sérieux à ce sujet?
Elizabeth répond :
- Si. Catherine a toujours voulu un chien mais je suis allergique. Maintenant elle a toi comme animal de compagnie.
- Et à la maison, tu seras toujours à quatre pattes. Ajoute Catherine.
- Sauf indication contraire. Dit Bruno rapidement, pour rendre l'ordre moins sévère et protéger sa tante.
Lisa essaie d'argumenter :
- Mais je suis mariée.
- Avec un nul.
- Et ma carrière? Demande Lisa en sachant qu'elle ne peut nier que son mari est nul.
- Tu peux garder ton travail aussi longtemps que tu veux tant que ça ne gêne pas ton rôle ici. Est-ce clair? Dit Elizabeth.
- Ai-je le choix? Demande Lisa vaincue mais étonnamment un peu excitée aussi.
Elizabeth rigole :
- Pas vraiment.
Bruno ajoute pour protéger cette situation :
- Tu ne peux jamais rien dire à personne de tout cela : l'inceste, la soumission, ton état ou la drogue.
- Qui me croirait de toute façon? Demande Lisa en se relevant.
- Tu ne dis rien. Répond Bruno en pensant qu'il est temps pour lui d'avoir sa vengeance avec son ancienne patronne.
Lisa regarde sa sœur et sent sa bouche saliver. Alors elle demande :
- Maîtresse, puis-je manger ta chatte à nouveau?
- Peut-être que les ordres sont trop intenses. Rigole Elizabeth.
Elle pousse sa sœur sur le dos dans le lit et se met à califourchon sur son visage.
- Oui, l'ordre d'être excitée lorsqu'un membre de la famille est là pourrait devenir problématique. Dit Bruno.
- Je ne pense pas. Dit Elizabeth alors que sa sœur commence à lui lécher la chatte.
A suivre...
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