La Vengeance d'un intello - Chapitre 05 - récit érotique - inceste - domination - viol - soumission
Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur « Silkstockingslover »Son plus gros fantasme devient réel.
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Résumé : Après avoir été licencié, Bruno, un jeune intello maigrichon a inventé un produit qui lui permet de prendre le contrôle de personnes. Cette drogue agit ainsi :
• La personne ne peut pas mentir.
• Le corps de la personne obéit aux ordres même si l'esprit conscient s'oppose à cette obéissance.
• La libido sexuelle de la personne augmente considérablement. (Bruno avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).
• La personne se sent enfermée dans des vêtements et elle voudrait être nue.
• L'impact du médicament est permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).
Bruno a testé avec efficacité son produit sur sa sœur et l'amie de celle-ci ainsi que sur son ennemi à l'école et la mère de celui-ci
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Après avoir quitté, triomphant, Madame LEVIS, Bruno envoie un message à son ami Corentin et lui demande s'il est libre pour déjeuner. Il veut lui montrer son produit. Comme lui, Corentin a subi moqueries et humiliations à l'école. Mais cet été son ami travaille à la banque avant de reprendre l'université.
Ils se retrouvent au restaurant pour manger. A la fin du repas, Bruno demande à son ami :
- Y a-t-il des femmes au travail qui te traite mal?
- Est-ce que le ciel est bleu? Répond Corentin.
Bruno rigole :
- Il est gris pour le moment.
Corentin hausse les épaules :
- Toutes les femmes quasiment et certains mecs prétentieux. Mais la responsable des prêts est une vraie garce.
- Quel est son nom?
- Tara. Pourquoi? Demande Corentin.
- J'ai réussi.
- Réussi quoi?
Corentin est intrigué par le comportement étrange de son ami.
- La drogue. Murmure Bruno.
- Enfoiré! Crie Corentin.
Depuis qu'ils se connaissaient, il avaient parlé de ce produit.
- Je suis sérieux. Veux-tu la tester sur cette responsable des prêts?
- Oh mon Dieu. Dit Corentin, excité.
- Est un « oui »?
- Bien sûr mais comment ça marche?
- Je fais toujours des tests dessus mais en gros il modifie la capacité de dire non.
- C'est permanent?
Bruno hoche la tête :
Jusqu'à présent oui. J'espère pouvoir faire différentes versions du produit. Mais pour le moment un petit « pschiitt » et la fille ou le mec obéit à tous mes ordres.
- C'est incroyable. Dit Corentin en tremblant d'excitation.
Bruno hoche la tête mais n'ose pas dire qu'il a expérimenté sur sa sœur alors il dit :
- Je viens de voir Pierre. Je l'ai transformé en pédé et sa mère est devenue ma salope.
- C'est pas vrai? Questionne Corentin en se rappelant combien il déteste Pierre et comment sa mère était peu aimable.
- C'était génial. Répond Bruno.
Corentin hoche la tête, étourdi. Bruno lui demande :
- Alors, tu veux l'essayer? Je te dois bien une salope soumise à tes désirs.
Corentin rigole :
- Si je peux choisir, je veux Cristal.
- ça ne m'étonne pas. Dit Bruno.
Cristal était une des plus belles étudiantes dans leur lycée il y a quelques années. C'est le stéréotype de la blonde avec ses yeux bleus, et ses gros seins.
- Elle travaille dans le cabinet d'avocats de son père. Déclare Corentin.
- Tu la suis? Demande Bruno tout en connaissant la réponse qu'il avait vu sur facebook.
Corentin hausse les épaules.
- Peut-être un peu...
- Bon c'est pas tout mais il faut que tu retournes au travail. Ou alors tu peux prendre ton après-midi?
- Merde, je ne peux pas manquer le travail.
Bruno lui suggère alors :
- Eh bien allons voir la responsable des prêts, nous en ferons une salope pour toi. Et quand tu en auras marre d'elle, nous irons voir Cristal.
- Super! Dit Corentin.
Vingt minutes plus tard, Bruno est assis dans le bureau de la responsable des prêts alors que Corentin attend derrière la porte après avoir annulé deux rendez-vous.
- Que puis-je faire pour vous?
Madame Calentine pose la question en essayant de feindre de l'intérêt pour ce client qui, à première vue, n'obtiendra pas de crédit. « Il vit probablement chez sa mère » pense-t-elle.
- Que pensez-vous de Corentin? Demande Bruno.
- Pardon? Répond-elle surprise par la question.
- Que pensez-vous de mon ami Corentin? Répète Bruno.
- Je ne parle pas des autres employés avec des clients.
En vérité, elle se soucie peu de Corentin. Il travaille beaucoup mais il est transparent et socialement inintéressant. Malheureusement pour lui, la personnalité est importante dans le monde bancaire.
Bruno sort le spray de sa poche et voit le masque de dégoût sur le visage de la banquière. Il commence :
- Bon Tara....
- C'est Madame Calentine. Corrige-t-elle, incapable de cacher son ennui.
Ignorant le ton hautain de la femme, Bruno ajoute :
- Il a dit que vous étiez une salope...Tara.
- Quoi? Dit-elle en se mettant debout, énervée.
- Une salope, une femme prétentieuse qui croit être meilleure que tout le monde.
- Partez maintenant! Ordonne la responsable des prêts.
Bruno pulvérise son produit sur son visage.
- Qu'est-ce que vous faites?
Elle est en colère et s'apprête à appuyer sur le bouton sous son bureau pour appeler la sécurité mais Bruno est plus rapide. Il dit :
- Ne bouge plus!
Elle s'arrête net et pense « Pourquoi je ne peux plus bouger? »
Bruno commence ses instructions :
- Je viens de pulvériser un produit qui prend le contrôle de ton esprit. Je t'ai enlevé tous tabous moraux. Désormais tu obéiras à chaque ordre que l'on te donnera.
- Va te faire voir! Répond-elle.
- Retire ton chemisier! Ordonne Bruno.
- Il n'en est pas question. Commence la femme.
Mais elle sent son corps obéir. Tandis qu'elle se regarde déboutonner son chemisier elle dit :
- Que se passe-t-il?
Mais Bruno continue :
- Tu ne parleras à personne de Corentin ou moi et pourquoi tu es devenue une vraie salope.
- S'il vous plait, arrêtez ça. Demande-t-elle alors qu'elle enlève le dernier bouton.
- Je ne peux pas revenir en arrière. Mais si tu es une bonne salope bien obéissante, je n'aggraverai pas ton état. Dit le garçon en haussant les épaules.
Tara enlève son chemisier mais réagit au mots « salope obéissante » :
- Sors de mon bureau, espèce de petit con!
Bruno se met à rire :
- Les femmes n'apprennent jamais. A partir d'aujourd'hui tu dois recevoir du sperme sur le visage tous les jours. Approche que l'on commence salope!
- Jamais je ne ferai ça. Proteste-t-elle tandis qu'elle sent son corps approcher de l'homme.
- Et bien sûr tu adoreras mon sexe comme un bonne salope. Mais avant, enlève ton soutien-gorge que je puisse voir tes gros seins.
Elle était prête à lui mettre une claque mais au lieu de cela, elle met ses derrière son dos et dégrafe le soutien-gorge. Elle pense à nouveau « mais pourquoi je ne peux pas me contrôler? ». Quand son soutien-gorge tombe au sol elle comprend qu'il fait qu'elle sorte de cette situation alors elle commence à crier :
- AID...
Son cri est de courte durée car Bruno ordonne :
- Tais-toi!
Et il ajoute :
- Si tu me désobéis de nouveau, je te fais sortir de ta banque toute nue et je te fais demander à tous les hommes si tu peux les sucer gratuitement. C'est clair salope?
Les yeux de la femme s'élargissent. Elle balbutie :
- Ou... Oui.
- Maintenant mets-toi à genoux, sors ma bite et suce-la.
En priant qu'il ne lui demande que ça et qu'ensuite il la laisse tranquille elle obéit. Chose qu'elle a rarement fait à son mari, elle se met à genoux et sort la bite de Bruno qu'elle trouve imposante. Elle la prend dans sa bouche et commence à le masturber. Elle espère qu'il éjaculera rapidement comme quand elle était au lycée et qu'elle suçait son petit ami.
Bruno sourit et profite de la fellation. Il prend son téléphone dans sa poche et tape rapidement « Entre. »
Corentin qui attendait derrière la porte, entre rapidement et pousse un cri d'étonnement quand il voit la femme sucer son ami.
Tara veut tourner la tête mais Bruno lui dit :
- Continue de sucer salope.
Même si à l'intérieur d'elle, elle est très en colère, elle est obligée d'obéir. Elle se dit que sa carrière est menacée.
- Génial, Tu l'as vraiment fait. Dit Corentin en fermant la porte.
- Salope, tu es maintenant l'animal de compagnie de Corentin. Tu es excitée à chaque fois que tu le vois. Tu as envie de le sucer et d'avoir sa bite en toi. Déclare Bruno en ajoutant des ordres à son conditionnement.
Tara rit intérieurement. Il n'est pas possible qu'elle soit excitée par un minus comme Corentin même si sa bite est aussi énorme que celle qu'elle suce.
Corentin demande :
- je peux la baiser?
Les yeux de tara s'agrandissent mais elle ne peut rien dire car sa bouche est occupée. Bruno répond :
- Ses trois trous sont à ta disposition.
Tara veut implorer et supplier. Elle n'a jamais été sodomisée encore et elle ne le veut pas. Mais tout ce qu'elle peut faire c'est de continuer à sucer la bite.
- A quatre pattes Madame Calentine! Ordonne Corentin timidement.
Bruno ajoute :
Je pense qu'elle va aimer ça cette salope. En tout cas, ne retire pas ma bite de ta bouche pendant que tu obéis aux ordres de Maître Corentin.
Elle voudrait mordre le sexe. Mais son cerveau est conditionné à satisfaire. Alors elle obéit aux ordres et se met sur ses mains et ses genoux tout en continuant sa fellation. Elle sent les mains de Corentin soulever sa jupe, déchirer son collant à l'entrejambe et glisser un doigt dans sa chatte étonnamment humide.
- Elle mouille! Déclare Corentin.
- Des chiennes comme elles sont toujours humides lorsqu'elles apprennent leur place. Déclare Bruno, humiliant encore plus la banquière.
Tara ne peut comprendre pourquoi elle réagit. C'est humiliant et dégoûtant. Pourtant elle gémit pendant que Corentin fouille son vagin. Elle sent peu à peu un orgasme monter.
Bruno retire sa bite de la bouche chaude et ordonne :
- Salope, regarde Corentin et dis-lui ce que tu veux.
Elle aurait bien voulu avoir le choix. Mais dès qu'elle se retourne et qu'elle voit son collègue, elle sent monter en elle une excitation qu'elle ne peut expliquer. Alors que son corps tremble de plaisir, elle est choquée par les mots qui sortent de sa bouche :
- S'il te plaît, baise moi Corentin.
Celui-ci n'arrive pas à y croire. Cette drogue a changé une garce sans cœur en une salope affamée de sexe. Heureux de l'ascendant qu'il a sur elle maintenant, il dit :
- Supplie moi poliment salope!
L'esprit de la femme la fait répondre instantanément :
S'il vous plaît Corentin, baisez ma chatte avec votre grosse bite.
Juste après avoir dit ces mots, elle prie pour qu'il ait vraiment une grosse queue. Bruno dit alors :
- Allez, amuse-toi et profite bien de cette grosse pute.
L'envie d'avoir la bite de son collègue la pousse à se déplacer rapidement devant lui. Elle sort l'engin qui est moins long que celui de son ami mais plus large et le prend dans sa bouche. Elle suce comme une professionnelle. Elle veut sa bite. Elle veut son sperme.
Bruno range sa bite en pensant qu'il va baiser sa sœur quand il rentrera à la maison. Il dit à son ami :
- je l'ai conditionné pour qu'elle prenne chaque jour une décharge de sperme sur le visage.
- Je vais pouvoir l'aider alors. Rétorque Corentin sur le point de jouir.
- Amuse toi avec ton jouet. Dit Bruno.
Puis il ajoute à l'attention de la femme :
- Tu aimes que l'on éjacule sur ton visage. Et dès que le sperme éclabousse ta figure, tu as un orgasme, n'importe où que ce soit.
Tara grimace sur cet autre ordre mais elle continue de sucer avec avidité l'autre garçon.
- Merci mon ami. Dit Corentin en sortant sa bite et en giclant sur le visage de sa responsable.
Tara a toujours détesté avoir le visage couvert de sperme. Elle trouve cela dégradant. Pourtant, lorsque le premier jet de sperme s'écrase sur son nez et son front, son corps tout entier tremble et elle se met à gémir. Elle est choquée mais elle ne peut retenir l'orgasme qui la submerge. Elle crie :
- Oh mon Dieu, je jouis...
- Wow, c'est incroyable. Dit Corentin pendant qu'il finit de se vider sur la femme.
- Elle ou moi? Demande Bruno avec un sourire.
- Les deux! Mais pour des raisons différentes. Rit son ami en remettant sa bite dans la bouche de Tara.
- On reste en contact. Dit Bruno.
- Bien sûr. Répond son ami en pensant qu'il va baiser le cul de sa patronne sur le beau bureau en acajou.
Bruno s'en va et réfléchit sur le moyen de faire que son produit ne soit pas permanent.
Il rentre à la maison, excité. Il a eu une révélation soudaine, une idée, s'il a raison, qui lui permettra de modifier la drogue simplement. Bien qu'il veuille aller au bout de sa vengeance, il veut être en mesure de pouvoir contrôler complètement les effets de son produit. Il se sent un peu mal de l'avoir d'abord testé sur sa sœur. C'est vrai qu'elle avait toujours été garce avec lui et qu'elle méritait une leçon. Mais il préfère expérimenter sur des gens dont il n'a que faire comme Madame LEVIS ou la responsable des prêts à la banque.
Tout en réfléchissant, il passe le seuil de son domicile et entend soudain une voix qui le stoppe immédiatement :
- Hé l'idiot, bienvenue à la maison! Dit Madame LEVIS souriante.
Bruno regarde dans le salon et se fige. Sa mère est complétement nue, bâillonnée et attachée à une chaise de la cuisine. Elle a un concombre dans sa chatte et un autre objet dans son cul. Malgré lui, il ne peut s'empêcher de regarder les gros seins de sa mère.
- Quoi? Pas de commentaires? demande Mme LEVIS.
Elle est contente de sa revanche. Elle a pris beaucoup de photos sur son téléphone, surtout de la mère de Bruno se baisant avec un concombre.
Elizabeth regarde son fils avec confusion. Sharon lui a dit que son fils l'avait droguée et violée. Comme elle n'a pas cru sa voisine, elle a été dominée par elle et obligée de se déshabiller sous la menace d'un couteau. Craignant pour sa vie, elle a écouté sa voisine débiter des idioties : son fils qui aurait créé une drogue pour prendre le contrôle des gens. Après avoir été attachée avec son collant, elle a vu avec stupéfaction sa voisine s'accroupir entre ses jambes et commencer à lui lécher la chatte. Elle a essayé de ne pas prendre de plaisir mais Sharon l'a léchée encore et encore jusqu'à ce qu'elle jouisse. Ce fut son premier orgasme depuis quatre ans et la mort de son mari dans un accident de voiture.
Ensuite elle a dû se baiser avec un concombre et insérer une longue et mince carotte dans son cul tandis que Sharon lui expliquait :
- Ton fils m'a sodomisée, je te rends la pareil.
Elizabeth, bien que n'étant pas une salope, avait toujours apprécié le sexe anal. Elle avait même dans sa chambre des godes. Si bien que la carotte dans le cul ne lui a pas causé la douleur qu'elle a fait semblant d'avoir.
Cependant elle est mortifiée de savoir que l'autre femme a pris des photos dans des positions aussi compromettantes.
Bruno se sent coupable de voir sa mère dans une aussi mauvaise position. Alors il dit :
- Tu n'apprends pas vite. Sors le concombre du sexe de ma mère et enfonce le dans ton cul tout de suite.
Elizabeth ne reconnait pas son fils qui, habituellement, est si doux. Celui-ci ajoute :
- Et tu baises ton gros cul avec jusqu'à ce que tu jouisses.
Mme LEVIS est surprise. Tout en se déplaçant pour aller prendre le concombre elle agite son téléphone et dit :
- Si tu ne m'enlève pas cette drogue, j'envoie les images de ta mère sur internet.
Bruno se met à rire. Il se rend compte qu'il peut encore réparer les choses :
- Tu ne les a pas encore envoyés? Donne-moi ton téléphone.
- Merde. Répond la femme tout en retirant le concombre d'Elizabeth.
Elle tend le téléphone au garçon et remonte sa jupe pour mettre le légume dans son cul. Elle se rend compte qu'elle s'est faite avoir. Elizabeth ne peut le croire, tout ce qu'a dit Sharon est vrai.
- Quelles belles photos. Dit Bruno en regardant les images sur le téléphone.
Elisabeth est gênée de ce qui s'est passé. Elle a honte que son fils puisse voir des photos d'elle dans des positions compromettantes. Elle essaie de parler avec sa culotte dans sa bouche. Bruno lève les yeux et s'excuse tout en allant vers sa mère et en lui retirant le bout de tissu de la bouche :
- Désolé maman.
Quand enfin elle peut parler, elle dit :
- Peux-tu me délivrer?
- Bien sûr. Dit Bruno en hochant la tête, les yeux toujours posés sur les seins de sa mère.
- Et arrête de regarder mes seins. Gronde-t-elle-même si elle est flattée.
- Désolé maman. S'excuse son fils en se sentant à la fois coupable et excité.
Une fois libérée, Elizabeth se lève, retire la carotte de son cul et avec colère se dirige vers Sharon, met la carotte dans sa bouche et lui dit :
- Mange tout salope.
- Mme LEVIS n'a pas d'autre choix que d'obéir à cet ordre dégoûtant.
Elizabeth sort du salon. Bruno se demande ce qu'il doit faire. Il regarde avec amusement la femme debout, baisant son cul avec le concombre. C'est un spectacle assez rigolo. Il décide de tenter sa mère alors il ordonne :
- Viens sucer ma bite sale chienne mais garde le concombre dans ton cul.
Sharon le regarde mais ne peut qu'obéir. Elle se déplace vers lui, tombe à genoux et sort sa queue. Elle la suce en se maudissant d'être aussi idiote de ne pas avoir envoyé les photos. Bruno, lui, se demande quelles sont ses chances de pouvoir baiser sa mère sans utiliser son produit.
Quelques minutes plus tard, Elizabeth revient dans le salon. Elle est choquée par deux choses : la première, que sa voisine suce son fils, la deuxième, que son fils fasse cela dans le salon alors qu'il sait qu'elle est à la maison.
Bien que Bruno n'ait pas regardé derrière lui, il sent que sa mère est revenue. Il ordonne alors :
- Plus vite salope. Les bonnes putes savent comment bien sucer une queue. Et tant que je n'aurai pas gicler sur ton visage tu vas titiller ton clitoris mais tu ne jouiras pas alors que tu en as envie.
Mme LEVIS ne peut qu'obéir. Alors elle commence à tripoter son clito tout en essayant d'engouffre encore plus de la grosse queue.
Une minute plus tard, Bruno grogne :
- Implore moi pour que je recouvre ton visage de sperme.
Tout en continuant de pincer son clito et près de l'orgasme, la femme supplie :
- S'il vous plaît, éjaculez sur mon visage.
- Parce que tu es une salope idiote?
- Oui je suis la plus stupide.
Elle aurait accepté de dire n'importe quoi pourvu qu'elle puisse jouir et enfin se libérer même si c'est dégradant.
Elizabeth regarde la personnalité imposante de son fils. Elle écoute la discussion humiliante et ne peut s'empêchée d'être excitée. Son fils lui rappelle son mari et sa présence dominante.
Bruno grogne et éclabousse la figure de Mme LEVIS. Instantanément, dès que le sperme touche sa peau, celle crie alors que l'orgasme la secoue.
La mère de Bruno, maintenant habillée, après avoir attendu deux bonne minutes, sa chatte la démangeant, demande en essayant d'être ferme :
- Qu'est ce qui se passe ici?
Bruno se tourne, la bite toujours raide et fait semblant d'être surpris :
- Oh maman...
- Range ton pénis. Ordonne Elizabeth.
Elle essaie de ne pas regarder le sexe impressionnant de son fils. Il semble même plus gros que celle de son défunt mari. Bruno obéit à sa mère en remettant son caleçon et son pantalon. Elizabeth rajoute à l'attention de Sharon :
- Quant à toi stupide salope, garde ce concombre dans ton cul jusqu'au souper, puis découpe-le et sers-le à ta famille.
- S'il vous plaît non. Dit Sharon.
- Maintenant sors de chez moi avant que l'on ajoute des ordres.
Mme LEVIS part à contrecœur, la tête baissée, regrettant ses actions.
Puis Elizabeth demande à son fils :
- Alors c'est vrai tout ce qu'a dit Sharon?
- Qu'est-ce qu'elle a dit?
- Que tu as créé un médicament qui contrôle l'esprit des gens.
- Oui. Dit Bruno timidement en hochant la tête.
- Ce n'est pas vraiment une réponse. Déclare sa mère.
- Oui. Et j'avais besoin de sujets pour le tester.
- Mais c'est méchant.
- Je ne l'utilise que sur des personnes qui le méritent.
- Qui le méritent? Questionne Elizabeth en se demandant pourquoi Sharon le méritait.
- Toutes les mauvaises personnes. Répond Bruno.
- Alors tu joues à Dieu?
- Non je ne l'ai jamais pensé comme ça.
- Tu dois t'arrêter. Déclare Elizabeth.
Elle dit ces mots à la fois pour son fils et pour elle-même.
- Je suppose. Répond Bruno en pensant qu'il n'a pas l'intention de le faire.
Mais en voyant que son fils n'écoute pas vraiment, elle ajoute :
- Tu sais qu'elle a fouillé toute ta chambre?
Bruno est soulagé d'avoir mis le reste de son produit ainsi que toutes ses études dans un coffre-fort. Alors il répond :
- Tout est enfermé.
- Alors, tu l'as vraiment violée?
Elizabeth l'accuse violemment. Elle est encore choquée par l'attitude calme de son fils ainsi que par les picotements dans ses reins.
La culpabilité ainsi qu'un sentiment de déception s'affiche sur le visage de Bruno. Il dit :
- Ce n'est pas si simple.
- Mais tu l'as bien baisée non? Insiste-t-elle-même si elle a la réponse.
- Oui. Répond Bruno en hochant la tête.
- Etait-elle consentante?
- Euh oui... Le produit rend tout le monde incapable de dire non aux instructions.
- Des instructions?
Elizabeth essaie de comprendre, de voir la portée de la drogue. L'idée d'être contrôler, un peu comme avec son mari il y a quelques années, l'excite. Bruno hoche la tête :
Oui. Elle est un cas d'essai.
Il oublie sciemment de dire que sa sœur est son premier cobaye.
- Pourquoi elle? Demande sa mère, même si elle a toujours détesté sa voisine.
- Son fils m'a maltraité toutes mes années de collège et elle n'a jamais rien fait pour l'arrêter.
- Alors tu te venges sur les personnes qui t'ont maltraité?
- Oui. Cette drogue est conçue à l'origine pour les policiers et les interrogatoires. Mais comme elle n'était pas au point j'ai été licencié.
- Oh. Dit Elizabeth compatissante.
- Je savais que j'étais proche du résultat alors j'ai travaillé à la maison jusqu'à avoir un meilleur produit.
- Mais tu n'as pas pensé aux dommages collatéraux. Souligne-t-elle en se montrant du doigt.
Bruno comprend qu'elle parle de Sharon qui l'a attachée puis violée. Il dit :
Je m'assurerai que ça ne se reproduise plus.
- Tu ferais mieux.
Elizabeth se force à se conduire en mère au lieu de penser à une vengeance ou à la grosse queue de son fils. « Mon dieu, je serai prête pour un interrogatoire mené par lui. Ça fait si longtemps que je n'ai pas eu une aussi belle bite en moi » pense-t-elle tout en disant :
- Mais je veux que tu me promettes d'arrêter. C'est dangereux...
Soudain Sharon est de retour dans la pièce. Elle a oublié ses clés de maison sur la table.
- Pourquoi reviens-tu? Demande Elizabeth.
- J'ai oublié mes clés. Répond Sharon.
- Aboie comme un chien. Ordonne Elizabeth pour tester la drogue.
Immédiatement la voisine commence à aboyer.
- Cours après ta queue! Ordonne encore la mère de Bruno, amusée.
Sharon commence à courir en cercle en aboyant. Bruno regarde sa mère qui s'amuse et se demande si elle apprécierait d'avoir son propre animal de compagnie. Elizabeth admire le travail de son fils et lui demande :
- Alors elle obéira à tout ordre?
- A tout ordre! Acquiesce Bruno en hochant le tête, amusé lui aussi.
- arrête! Ordonne Elizabeth, les aboiements devenant ennuyants.
Sharon obéit instantanément et s'arrête avec le tournis. Bruno se tourne vers elle pour corriger sa précédente erreur :
- Tu ne feras rien pour révéler la vérité. Tu n'essaieras jamais de nuire à ma famille. Sinon je fais de la tienne des acteurs de porno. Est-ce clair.
- Oui. Répond Sharon complétement épuisée et vaincue.
- Bien. Dit Bruno.
Puis il se tourne vers sa mère et lui demande :
- Veux-tu ajouter quelque chose à son conditionnement?
Elizabeth, qui n'avait pas joui depuis longtemps, avait apprécié l'orgasme suite au léchage de sa chatte. Alors, choquant sa voisine et son fils elle dit spontanément :
- Oui. Tu viendras dans mon garage tous les matins à 7h30 pour me donner un orgasme avant que je ne parte travailler.
Sharon se fige et Bruno a un hoquet de stupéfaction.
Elizabeth, jouissant de son pouvoir, demande :
- Il y a un problème?
- Non. Dit la voisine en secouant la tête et en pensant que, comme ça, elle pourra satisfaire l'ordre de lécher une chatte par jour.
Bruno dit alors :
- Tu lui rends service.
- Comment? Demande sa mère.
- Un de ses ordres est de lécher une chatte tous les jours.
Elizabeth sourit en se rendant compte qu'elle vient d'ordonner un acte sexuel lesbien devant son fils. Elle dit :
- Eh bien, considère que je suis ton quota quotidien salope.
- D'accord. Acquiesce Sharon, reconnaissante que sa tâche journalière lui soit facilité.
- Maintenant, sors de chez nous et rappelle-toi ce que je t'ai ordonné. Sinon ton mari et ton fils feront des films pornos gays. Dit Bruno.
- Oui Maître. Répond Sharon, comprenant que sa situation est hors de son contrôle.
Une fois qu'elle fut partie, Bruno dit à sa mère :
- Tu es folle?
Elizabeth, aimant l'idée d'avoir sa propre soumise répond :
- J'ai toujours détesté cette salope. Mais ça n'excuse pas ce que tu as fait.
- Je sais maman. Mais cette drogue offre de nombreux avantages.
- Ouais... Comme de baiser qui tu veux.
- Oui. Dit Bruno tout en se sentant excité par sa mère.
- Tu n'oserais pas? Demande Elizabeth en remarquant le changement d'état de son fils.
- Maman, je ne l'utiliserai jamais sur toi. Je ne l'ai utilisé que sur des personnes dont je voulais me venger.
Bien que l'idée pour Elisabeth ne soit plus autant tabou qu'auparavant, elle dit quand même :
- Bien. Mais je ne veux pas que tu continues à l'utiliser.
- Mais maman, je ne veux pas te mentir. J'ai l'intention de m'en servir pour retrouver mon travail.
- Et tu y arriveras?
Elizabeth regarde l'entrejambe de son fils qui ne peut masquer son engin en train de grossir dans son pantalon.
- J'espère. Dit Bruno.
Elizabeth secoue la tête, incapable s'ôter l'idée de baiser son fils et pensant que lui le veut aussi.
- Je n'arrive pas à croire que j'ai demandé à Sharon de venir me lécher la chatte demain.
- Tu as surement un peu de sadisme en toi.
- Surement moins que mon fils.
Elizabeth hausse les épaules, essayant de redevenir une mère, même si elle voit son fils d'une autre manière maintenant.
- Qu'est ce qui se passe? Demande Bruno en voyant que sa mère fixe son entrejambe.
- Je suis curieuse. As-tu déjà pensé utiliser ton produit sur moi?
Le garçon est surpris pas la question. Après quelques secondes il dit :
- Honnêtement?
- Non, mens moi. Plaisante-t-elle.
Il se met à rire, sentant quelque chose se passer :
- Tu es la première femme avec qui j'ai eu envie de faire l'amour.
- Vraiment? demande-t-elle surprise et flattée.
- Maman, tu es absolument magnifique. Tous mes amis rêvent de toi.
- Vraiment? redemande-t-elle encore plus flattée.
- Et je suis fou des bas que tu portes tous les jours.
- Tout comme ton père.
- Ah bon? Demande Bruno.
- Il voulait tous le temps que j'en porte, il m'en achetait pleins, surtout des autofixants. Tu vois ce que je veux dire?
- Non pas trop. Ment Bruno.
- Mais si tu sais...
- Non Non. Répond Bruno, content de ce petit flirt entre eux.
- Ce sont des bas qui tiennent tout seuls en haut des cuisses.
- Ah oui, c'est très excitant.
- Très oui.
Elizabeth hoche la tête en regrettant de ne pas porter actuellement ce genre de bas pour pouvoir les montrer. Mais quand elle a été se rhabiller elle a mis de simple collant.
- Alors tu vas laisser Mme LEVIS venir te voir tous les matins? Demande Bruno, voulant que la conversation se poursuive.
Sa mère ne sait pas trop que répondre. Alors elle décide de dire la vérité :
- Ca fait de nombreuse années que je n'ai pas eu un orgasme avec une autre personne.
Après une pause, elle ajoute :
- Je dois admettre que j'ai aimé. J'avais presque oublié la sensation de jouir.
- Oh. Tu n'as jamais connu d'autres hommes depuis la mort de papa.
- Non, je me suis occupée de Catherine et de toi.
- Eh bien, ce n'est pas juste que tu ne puisses pas profiter de la vie à cause de nous. Dit Bruno en se rapprochant.
- Eh bien maintenant j'ai mon propre jouet.
Elizabeth hausse les épaules et regarde les yeux de son fils. Il a le même regard que son mari lorsque celui-ci avait envie d'elle.
Bruno prend son courage à deux mains. Il se penche et embrasse sa mère. Elle est surprise et confuse. Ses sentiments sont mitigés. Alors elle ne répond pas immédiatement, elle est partagée entre la mère et la femme excitée. Bruno continue à l'embrasser tendrement jusqu'à ce qu'elle réagisse.
Elle n'a pas embrassé d'homme depuis des année si bien que sa résistance morale s'effondre et elle retourne le baiser de son fils avec passion. Elle oublie complétement que c'est son fils et qu'elle est sa mère. Elle cède au désir sexuel enterré en elle.
Bruno, espérant qu'elle obéisse, casse le baiser, pose ses mains sur ses épaules et la pousse document à genoux.
Elle est surprise et excitée par la puissance qui émane de son fils. Alors elle se laisse guider et se met à genoux. Puis elle lève les yeux vers lui et, curieuse, lui demande :
- Sors mon sexe. Ordonne-t-il.
Son fils l'a excitée et de transgresser le tabou de l'inceste ne fait que renforcer son envie mais elle demande :
- Tu veux que ta mère suce ta bite?
- Oui.
Il hoche la tête en espérant qu'elle le fasse. Il essaie de rester confiant et il dit :
- Sors la maintenant.
C'est le grand moment. Elle peut mettre fin à cet acte incestueux ou alors donner à son corps le plaisir qu'il demande. Elle ne met pas longtemps à prendre sa décision. Elle bouge la main et défait le pantalon de son fils. Elle veut son gros sexe dans la main, dans sa bouche et dans sa chatte... et peut-être même dans son cul. Elle sourit en pensant que ça peut peut-être choquer son fils.
Bruno regarde sa mère réaliser son plus grand fantasme. Elle sort sa queue et la caresse.
- Wow, elle est beaucoup plus grosse et grande que celle de ton père.
- Et je parie que la sienne te manque n'est-ce pas? demande Bruno, tenté de la traiter de salope mais il se retient.
Sa mère n'hésite pas à répondre :
- Mon Dieu oui.
- Suce maman. Fais qu'elle soit grosse et dure pour ta douce chatte. Ordonne-t-il.
- Est-ce que tu viens de demander à ta mère de sucer ta bite? Dit-elle en souriant malicieusement et en continuant de le caresser.
- Si tu veux être vraiment précise, je t'ai demandé de me sucer pour préparer ma queue à te baiser. Corrige Bruno.
- Qu'est-ce qu'il te prend? Ronronne-t-elle impressionnée par la forte personnalité de son fils.
- Je sais ce que je veux. Rétorque le garçon en poussant son sexe dans la bouche ouverte de sa mère.
« Oh mon Dieu » pense-t-elle pendant que son fils l'utilise comme une salope. La bite dans sa bouche, l'acte d'inceste consommé font d'elle la salope soumise qu'elle aime être. Elle commence sa fellation en ne prenant que la moitié de la queue de son fils. Apparemment, sucer une bite est comme faire du vélo, peu importe s'il y a longtemps que l'on n'a pas pratiqué, la pratique revient vite.
Bruno gémit, excité lui aussi par cet inceste :
- Oui maman suce bien.
Le mot « maman » l'émoustille encore plus alors elle demande :
- Veux-tu que ta mère prenne ta bite toute entière dans sa bouche?
- Tu pense que tu peux?
- Est-ce un défi?
- Bien sûr.
Il hausse les épaules en regardant sa mère le lécher.
Elizabeth remet la queue dans sa bouche et commence à la branler entre ses lèvres. A chaque fois, elle prend de plus en plus de la bite longue et épaisse.
- Oh oui maman... gémit Bruno.
Elle est déterminée à prendre tout le membre dans sa bouche alors elle se concentre sur sa respiration et évite les réflexes nauséeux.
Bruno regarde disparaître sa bite mais il craint pour sa mère. Heureusement que plus tôt il a pu jouir dans Mme LEVIS sinon il ne pourrait se retenir.
Finalement Elizabeth réussit à mettre le sexe de son fils entièrement dans sa bouche. Un frisson la parcoure.
Après une minute de plaisir au fond de la gorge de sa mère, Bruno veut aller plus loin alors il ordonne :
- Penche toi sur le canapé maman!
Elle laisse la bite sortir de sa bouche et lui demande :
- Tu veux baiser ta mère?
- C'est ce que je veux depuis longtemps.
Elizabeth se lève, marche vers le canapé et se penche en disant :
- Eh bien il est temps de réaliser ce fantasme. Viens baiser ta maman mon bébé.
- Ce sont des mots que je rêve d'entendre depuis des années. Dit Bruno en se dirigeant vers elle et en posant ses mains sur ses hanches.
- Vas-y, ta maman en a besoin.
Bruno ne se fait pas prier et enfonce sa queue dans la chatte chaude et humide de sa mère. Il gémit du bonheur de pouvoir concrétiser son fantasme. Elizabeth gémit elle aussi :
- Oh oui...Remplis la chatte de ta maman avec ta grosse queue.
D'entendre sa mère parler ainsi l'excite de plus en plus. Il commence à la baiser lentement tout en l'écoutant dire des mots qu'il ne croyait pas possible dans sa bouche. Euphorique Elizabeth dit :
- Oui, oui, oui...baise la chatte de ta maman. Continue... Ta bite est si bien dans le vagin de ta mère... elle est si grosse... baise moi... Ohh je vais jouir...
Puis elle se tait alors qu'un orgasme la traverse. Bruno continue son va-et-vient pendant que sa mère jouit. Il sent que lui aussi va venir. Elizabeth, entendant les gémissements de son fils, comprend qu'il est proche de jouir alors elle dit :
- Oh oui salaud, tu vas éjaculer dans ta maman?
Ironie du sort, il se demande où il doit décharger son sperme. Jusqu'à présent, il ne pensait qu'à humilier le femme qu'il baisait : sa sœur, l'amie de sa sœur ou Mme LEVIS en lâchant son sperme sur leur visage ou leur gorge. Mais là c'est différent, alors il demande :
- Puis-je éjaculer en toi?
- Mes trois trous sont à ta disposition mon fils. Tu peux me remplir de ton sperme. Dit-elle.
Entendre sa mère offrir son trou du cul fait éclater Bruno. Instantanément il éjacule au fond de son vagin.
- Remplis moi bien. Gémit-elle.
Elle a toujours aimé cette sensation de recevoir ce liquide chaud dans sa bouche, sa chatte ou son cul. Ça ne la dérange pas que l'on éjacule sur son visage ou ses seins mais elle préfère que ce soit à l'intérieur d'elle.
- Putain c'est bon. Gémit Bruno en finissant de se vider.
Une fois qu'il a arrêté tout mouvement, sa mère, voulant montrer à son fils qu'elle peut se conduire en salope, se retourne et tombe à genoux. Puis elle reprend sa queue dans sa bouche. Elle a toujours aimé sucer une bite qui venait d'éjaculer. D'ailleurs elle suçait les godes qu'elle utilisait après avoir eu un orgasme.
Elle branle lentement son fils qui bande à moitié.
- Oh mon Dieu!!!!
C'est la voix de Catherine qui rentre plus tôt à la maison dans l'espoir d'avoir une décharge de sperme de son frère, elle en a tellement envie.
Bruno n'a pas vu sa sœur mais il sait qu'il doit reprendre le contrôle de la situation tout de suite alors il dit :
- Bonjour salope, viens lécher mon sperme dans la chatte de ta mère.
Elizabeth arrête sa fellation et lève un regard choqué sur son fils.
Catherine se dirige vers sa mère pour obéir et récupérer le liquide qui lui permettra, elle l'espère, d'assouvir sa faim. En même temps elle dit :
- Tu as drogué maman aussi?
- C'est une longue histoire mais non. Répond Bruno.
Catherine, pressée de lécher le sperme et curieuse de connaitre le goût de sa mère lui demande :
- Sur le dos s'il te plaît maman.
Elizabeth obéit tout en levant une tête confuse vers son fils :
- Tu as testé ta drogue sur ta sœur?
- Malheureusement ce fut mon premier test. Admet le garçon.
Pendant ce temps, sa sœur enfouit son visage dans la chatte de leur mère dont s'évade un filet de sperme.
- Tu ne l'as pas...?
Elizabeth gémit quand la langue de sa fille touche son sexe.
- Si je pouvais remonter dans le temps, j'aurais surement choisi quelqu'un d'autre. Mais tu sais, elle a toujours été méchante avec moi.
- Elle n'est pas très gentille avec moi non plus. Gémit sa mère.
Elle pense à sa fille qui est devenue une vraie peste lorsqu'elle a eu 15 ans. Celle-ci continue à lécher la chatte de sa mère bien qu'elle ait été rassasiée par le sperme.
- Donc Catherine obéira à tout ce que je lui demande? Interroge Elizabeth.
- Elle ne peut pas refuser. Acquiesce Bruno.
- C'est trop beau pour être vrai.
Elle sourit, attrape la tête de sa fille et tout en pensant qu'elle peut bien commettre un deuxième pécher incestueux, elle lui ordonne :
- Lèche bien la chatte de ta maman Catherine.
Bruno regarde les deux femmes. Emoustillé, sa bite reprend de la vigueur.
Catherine lèche avec impatience car elle ne peut pas faire autrement et elle aussi est excitée.
Pendant quelques minutes, Bruno regarde sa mère et sa sœur gémir de concert. Une fois que sa queue est de nouveau raide, il se déplace derrière sa sœur et dit qu'il va les enculer toutes les deux. Pendant ce temps, Elizabeth crie :
- Oh oui ma fille je jouis, lèche bien tout.
Catherine obéit, profitant du goût sucré du jus de sa maman. Puis elle sent la queue de son frère rentrer dans son cul :
- Oui grand frère, encule-moi.
Toute de suite, Elizabeth est jalouse. Elle veut elle aussi une bite dans son cul. Alors, même si elle n'est pas encore totalement remise de son orgasme, elle se met à quatre pattes et supplie :
- N'oublie pas le cul de maman.
Bruno sourit en pensant que c'est la journée parfaite. Il sort du cul de sa sœur et glisse sa bite dans celui de sa mère en disant :
- Prends tout maman!
Contente, Elizabeth ordonne à sa fille :
- Vas faire le souper Catherine. Ton frère et moi avons un peu de rattrapage à faire.
- Maman! Gémit la fille, voulant que son cul soit rempli.
- Maintenant Catherine! Ordonne avec une voix ferme Elizabeth tout en poussant son bassin pour que la bite de son fils la pénètre bien.
- Très bien. Soupire la jeune fille, incapable de désobéir.
- Maintenant, pilonne mon cul mon fils. Gémit la mère.
- Tu veux que j'encule ma mère? Demande Bruno.
- Oui je veux que tu la baises par ses trois trous. Plaisante Elizabeth.
- C'est un jour parfait. Déclare Bruno à haute voix en regardant sa maman empaler son cul sur sa bite.
- Je suis d'accord. Gémit sa mère.
A suivre....
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