mercredi 29 mars 2023

Maryline - Ch. 01

 Texte de Xmaster.

 ****

Le correspondant anglais de sa fille.

Maryline est une femme de 41 ans, 1m60, les cheveux mi-courts, châtain, des seins normaux sans être trop menus. Elle est mariée, a 2 enfants, et est infirmière. Sa fille a un correspondant anglais chez lequel elle a passé quelques jours et, en juste retour des choses, elle le reçoit à son tour.

Son mari et ses 2 filles devant revenir de province le lendemain, Maryline va chercher à l'aéroport le jeune homme. Elle a une photo et elle le reconnaît aussitôt. Il s'appelle Kevin, il a 18 ans et elle ne l'imaginait pas aussi grand et aussi beau.

Elle l'accoste, ils s'embrassent un peu gênés. Sur le trajet de retour, elle lui explique que toute la famille doit rentrer le lendemain, elle s'en excuse et elle est très troublée lorsqu'il lui dit :

- Ce n'est pas grave ! Ce sera un grand plaisir de rester avec une femme aussi belle que vous !

Maryline rougit de plaisir.

- Oh Kevin ! N'exagère pas ! Je peux te tutoyer ?

Kevin sourit.

- Bien sûr madame ! Et je vous le répète, je vous trouve absolument superbe !

Il ajoute, en regardant ses jambes que la robe dévoile à moitié :

- Vous avez de belles jambes ! Elles ont l'air douces...

Maryline se sent de plus en plus troublée.

- Appelle-moi Maryline ! J'aimerai aussi que tu me tutoies... 

Et elle ajoute :

- Tu ne te moques pas de moi ? Je ne suis plus si jeune.

Et avec un accent anglais qu'elle trouve adorable, il lui dit :

- Je ne dis pas que tu es belle par politesse ! Je te trouve vraiment, vraiment sublime ! J'aime ton visage, j'aime tes jambes ! J'aime... J'aime... 

Comme elle le sent hésiter à continuer, elle l'encourage :

- Tu aimes quoi ?

Il hésite encore :

- Non Maryline ! Je ne peux pas ! Je ne veux pas vous choquer…

Elle lui sourit :

- Je t'en prie ! Dis-moi… 

Et, pour le décider, elle pose brièvement sa main sur sa jambe avant de la ramener au volant. 

- Et bien... Et bien ! Ta robe laisse deviner de jolis seins et... de... de jolies fesses... bien remplies ! Tu ne fais pas mentir la réputation !

Maryline est de plus en plus troublée, elle est étonnée de sentir sa chatte se mouiller de plus en plus, alors qu'elle n'a jamais été très attirée par le sexe jusqu'à présent, même avec son mari. Essayant avec beaucoup de mal de garder son calme, elle lui demande :

- Et quelle est cette réputation ?

- C'est très cochon, hésite-t-il encore.

- Je t'en prie ! Dis le moi ! insiste-t-elle.

Et toujours avec le même accent qui la déstabilise un peu plus encore :

- Que les françaises sont les meilleures pour la fellation et qu'elles adorent se faire sodomiser…

Maryline ne s'attendait pas à cela, elle rit nerveusement et, regardant Kevin brièvement, elle voit une bosse énorme qui déforme la braguette du jeune homme. Heureusement, ils arrivent et n'ont plus le temps d'être gênés. Ils dînent ensuite, parlent de choses et d'autres, et Kevin est si galant que Maryline se sent de plus en plus à l'aise.

Après le repas, ils vont sur le canapé, la chaîne diffuse de la musique, Kevin évoque son pays. Entendant un slow, il demande à son hôtesse si elle veut bien danser. Elle accepte, ils dansent doucement. Un deuxième slow suit et, insensiblement, ils se rapprochent. Elle sent alors contre son ventre la queue dure du jeune homme et, au lieu de s'écarter tant qu'il en est encore temps, sa tête se niche sur l'épaule de Kevin. Le jeune anglais prend cela pour une invite. Il frotte alors sa bite de plus
belle et, comme cela n'a pas l'air de déplaire à la mère de sa correspondante, il glisse les mains sur ses fesses. Il constate alors qu'effectivement, elle a une croupe bien remplie et il ne se prive pas de la malaxer. Il sent contre sa poitrine les seins s'écraser dessus, les tétons sont durcis par l'excitation que ressent Maryline. 

Kevin lui relève doucement la tête, il l'embrasse et, comme on se jette à l'eau, elle lui dévore subitement la bouche. Ils se roulent ainsi un long patin qui durent plusieurs minutes et les laissent haletants. Maryline s'agenouille ensuite doucement. Elle ouvre la braguette, fait descendre le pantalon et libère la queue de Kevin qui a paru lui jaillir au visage tant elle est raide. Elle contemple un instant, d'un regard admiratif, la bite dressée et si tendue qu'elle en vibre, elle la trouve incroyablement dure, comparée à celle de son mari. Puis, elle s'approche et ses lèvres se referment sur le gland qu'elle lèche et suce longuement. Elle l'avale lentement ensuite et, alors que ses lèvres touchent le pubis de Kevin, il s'exclame :

- Ohhh ! Les françaises ! Vous êtes formidables ! Toute la bite ! Tu m'avales toute la bite ! C'est si bon...

Maryline repense alors à la réputation que les femmes françaises ont soit disant. Et les commentaires du jeune homme la survoltent encore plus. Elle retire la queue jusqu'au gland, le gardant en bouche, le léchant par en dessous, puis elle avale toute la hampe. Elle inflige ce terrible traitement à Kevin qui n'arrête pas de gémir de plaisir. Sous les assauts de la langue et à cause de l'onctuosité de la bouche et de la gorge accueillante, la bite paraît grossir encore et Maryline a l'impression d'avoir la bouche pleine.

Il contemple émerveillé la jolie tête aller et venir, joues alternativement gonflées et creusées par la succion, le long de sa queue toute luisante de salive. Il a l'impression que la jolie femme mariée est une femme d'expérience en la matière, qu'elle prend son temps, et il a la certitude qu'il ressortira sa bite de la bouche brûlante aussi flasque qu'un pneu crevé. Maryline le pompe toujours en l'avalant jusqu'à la racine, chose qu'elle n'a jamais faite avec son mari, faire une pipe étant même une pratique qu'elle n'aimait pas trop réaliser.

C'est si bon que cela ne dure pas aussi longtemps que Kevin l'aurait souhaité. Il décharge soudain en poussant des gémissements, sans prévenir. Dès la première giclée, Maryline est surprise par la violence du jet, par la chaleur du sperme et par son goût. Elle avale le liquide épais qui fuse sans relâche, les lèvres serrées autour de la hampe, de façon à ne rien laisser perdre. Elle est impressionnée par la quantité de foutre qu'il décharge et, consciencieusement, elle le boit. Il a l'impression qu'elle lui pompe des litres de sperme. Sa gorge gargouille, alors qu'elle se remet à sucer la bite toute entière. Elle boit le foutre, tout le foutre.

L'engin diminue de volume petit à petit et perd toute sa rigidité. Lorsque Maryline se lève, elle se sent excitée comme jamais. C'est la première fois qu'une queue gicle dans sa bouche, qu'elle a bu le liquide épais et salé et, cela ne lui a pas déplu du tout. Ils s'embrassent longuement.  Les yeux brillants, Maryline demande au jeune anglais :

- Alors ? Que penses tu des françaises ?

Kevin se serre contre elle en répondant :

- Vous êtes incroyables, formidables ! Jamais on ne m'a sucé comme ça Jamais une femme n'a avalé mon sperme !

Il l'embrasse langoureusement et ajoute :

- Caresse-toi ! Masturbe-toi... Là, dans le canapé…

Maryline est au-delà de toute retenue, elle s'assoit, ses mains glissent le long de ses jambes en remontant en même temps sa robe sur son ventre. Elle porte une jolie culotte noire et, sans aucune honte, elle frotte sa fente à travers le tissu d'un doigt.

Au bruit que cela fait, Kevin comprend qu'elle mouille abondamment. La jolie femme châtain se caresse peu à peu avec plus de vigueur, s'exhibant sans aucune gêne tant elle est en confiance, alors qu'elle s'est d'une part rarement masturbée et d'autre part, jamais devant une autre personne, et encore moins son mari. Elle voit Kevin qui recommence à bander et elle écarte d'une main sa culotte pour se planter deux doigts à fond dans la chatte. Maryline se masturbe ainsi quelques secondes, puis elle ajoute un troisième doigt. Elle regarde fixement la queue de Kevin qui grossit à vue d’œil et elle jouit dans cette position, les cuisses écartées, à 41 ans, devant un jeune homme qui pourrait être son fils.

A peine reprend-t-elle ses esprits, qu'il s'assoit à côté d'elle, l'enlace pour l'embrasser, tout en glissant une main sur la culotte. Il constate, à travers le sous-vêtement, que Maryline mouille incroyablement. Il lui murmure alors qu'elle répond à ses baisers :

- Déshabille-toi…

Sans aucune hésitation, elle se lève, glisse ses mains sous sa robe et enlève sa culotte. Puis il déboutonne sa robe et la retire lentement. Il lui reste juste un beau soutien-gorge noir qui moule bien ses deux seins. Maryline vient à côté du jeune anglais, saisit sa queue d'une main et la branle doucement. Elle sent sa liqueur imbibée sa chatte. Elle serre fort la bite tant elle en a envie. Elle s'installe de part et d'autre d'une jambe de Kevin et, tout en l'embrassant à pleine bouche, elle frotte sa vulve sur la cuisse du jeune homme, l'engluant carrément. Elle finit par monter sur lui, elle est tellement échauffée qu'elle veut être baisée à tout prix. Elle tient la queue raide, la frotte sur sa fente. Et, brutalement, elle s'empale en poussant un cri, tant son plaisir est grand. Elle s'est emmanchée à fond et, déjà, elle l'entraîne dans une cavalcade, elle se donne entièrement, jetant aux orties toute dignité de femme mariée, de femme respectable. 

Kevin apprécie d'être chevauchée par une telle cavalière. Il n'aurait jamais imaginé baiser une telle femme. Il la laisse faire, prenant garde à ne pas jouir, ayant une autre idée en tête. Pendant qu'elle s'empale, il saisit ses fesses, les écarte, les malaxe et chatouille d'un doigt mouillé le petit trou. Il l'enfonce doucement et le fait aller et venir au même rythme que Maryline lui impose. Elle gémit soudain plus fort et elle est saisie par un orgasme dévastateur, qui la laisse pantelante quelques secondes.

Kevin se lève alors et, debout, il lui présente sa bite toujours raide. Maryline l'avale d'un trait, jusqu'à ce que son nez bute sur le pubis du jeune mâle. Elle le suce comme une friandise. Elle ne se reconnaît pas. Elle qui n'a jamais trompé son mari, elle pour qui se faire baiser une seule fois est suffisant pour le mois, là, elle n'arrête pas de jouir et d'avoir envie de recommencer.

- Mets-toi à quatre pattes ! Lui demande t-il.

Elle se doute de ce qu'il désire. Mais elle s'installe comme il le souhaite, la tête dans les bras, la croupe haut levée. Le jeune homme voit en gros plan son cul et cela ne la gêne pas. Elle sent son regard et cela la brûle, cela la fait mouiller encore plus. Il s'agenouille derrière elle et glisse un doigt dans son petit trou. Il l'enfonce vite à fond, puis il en met un second. Maryline a une petite grimace, mais elle le laisse faire et les deux doigts la pénètrent vite à fond. Kevin les retire, guide son gland dans la raie et le glisse sur son anus entrouvert. Il pousse doucement, à petits coups.

Le fin anneau cède le passage peu à peu, il s'assouplit bien que Maryline soit crispée par l'appréhension. Dire qu'elle n'a jamais voulu que son mari la sodomise. Elle imagine la tête qu'il ferait s'il voyait la queue de ce gamin lui pénétrer son anus. Quant à Kevin, si elle lui disait que c'est la première fois qu'elle avale du sperme, que c'est la première fois qu'elle se fait enculer, à 41 ans, il ne la croirait pas. Elle se répète qu'elle est une salope et les craintes qu'elle peut encore avoir à se faire dépuceler le petit trou, diminuent d'autant, d'autant que le jeune anglais est très doux. Maryline pousse un cri en sentant le gland franchir l'obstacle de son sphincter. Elle grimace, mais serre les dents et ne se dérobe pas.

Toujours en petites poussées, Kevin l'emmanche et il l'encule enfin jusqu'aux couilles. Elle a un peu mal, son rectum lui paraît être en feu, elle a la sensation d'une énorme présence dans ses reins. Le jeune homme commence à la sodomiser, retirant son manche à chaque fois un peu plus. Il est fasciné par la bague distendue qui enserre sa queue, par les fesses qu'il fend en deux. Il saisit la jolie française par les hanches et commence à la limer plus vite. Il voit Maryline gémir de douleur et il a la présence d'esprit de glisser une main sur sa chatte. Il lui caresse le bouton, le titille et elle apprécie visiblement cette initiative. Kevin n'hésite alors plus. Il commence à l'enculer à grands coups de reins. Sa bite prend de plus en plus d'ampleur et il la sort jusqu'au gland, pour l'enfoncer jusqu'aux couilles.

C'est Maryline qui se masturbe à présent, de deux doigts bien plantés dans sa chatte. Son cul la brûle toujours autant, mais elle éprouve aussi un énorme plaisir à cet acte, dont elle n'aurait jamais cru être capable le matin même.

Il la sodomise à toute vitesse, lui bombarde les reins. Son petit trou est à présent bien assoupli et la douleur est moins forte. Maryline est moins crispée et, lorsque elle sent les couilles buter sur sa chatte, la bite entièrement enfoncée dans son cul, elle a dans la tête l'image qu'elle doit donner et cela lui procure un énorme plaisir. Maryline s'habitue de mieux en mieux à la grosse présence dans ses reins et, bien qu'il l'encule avec vigueur, elle entreprend de petits mouvements de va-et-vient.

Le jeune anglais a du mal à croire à sa chance. Il a la sensation que sa queue est aspirée, malaxée, le petit trou est tendu à craquer. La mère de sa correspondante, une jolie femme mariée, qui a l'âge d'être sa mère, s'empale pour mieux se faire bourrer l'anus sur sa bite, comme une chienne. Il l'entend gémir sans discontinuer, il la voit grimacer.

Elle se sodomise un peu plus vite, la queue ressortant de ses reins presque toute, pour revenir dans son fondement avec un claquement lorsque le pubis de Kevin frappe ses fesses avec violence. La jolie femelle est secouée de longs frissons. Kevin a l'impression de lui remplir le trou du cul, à le lui faire éclater. Sa bite est incroyablement serrée. Il répond aux coups de croupe avec plus de force encore, faisant gémir de plus belle Maryline qui, ayant perdue toute retenue, exprime le plaisir qu'elle ressent :

- Oui, comme ça ! Plus loin, plus fort ! Dans mon cul... 

Le jeune anglais est comme fouetté par les paroles qu'il entend. Il lui saisit les seins à travers le soutien-gorge et, tout en les malaxant vigoureusement, il se met à pilonner le cul de Maryline plus fort encore. Sa bite sort brusquement du petit trou et Kevin, fasciné, reste immobile à la vue de l'anus  incroyablement ouvert et qui met quelques longues secondes avant de se refermer. Il est tiré de sa contemplation par les fesses de la belle salope qui se trémoussent, par la croupe qui se tend vers sa bite. Il ne peut résister et il plonge brutalement son engin tout au fond des reins de Maryline qui pousse un long cri de plaisir et de douleur mêlés.

Déjà, il ressort, fasciné par le trou béant et replonge dedans. Une vingtaine de fois, il recommence ce petit jeu qui arrache à chaque fois le même long cri à son amante :

- Il est beau ton cul Maryline ! Ton trou du cul est tout ouvert ! Écarte tes fesses ! Ouvre-moi ton cul encore plus... 

La jolie femme mariée glisse les mains sur ses fesses et, sans aucune honte, ni pudeur, elle les ouvre à se les décrocher. Elle se retrouve à quatre pattes, la tête dans les coussins, le cul haut levé et complètement offert et, cette vision est tellement fabuleuse, que Kevin s'exclame :

- Les françaises, quelles salopes ! Je n'aurai jamais pensé que vous soyez aussi salopes !

Maryline est brutalement surexcitée par les propos de son jeune amant et, alors qu'il vient de l'empaler une nouvelle fois, elle rugit :

- Oui salaud ! Encule-moi ! Défonce-moi le cul ! Plante-moi ta grosse bite dans le cul ! Oui, comme ça ! Plus fort ! Plus loin !

Maryline se tord, elle rue afin de mieux sentir la queue au fond de ses intestins.  L'anglais ne peut plus se retenir, il explose en gémissant. Son sperme n'en finit pas de gicler arrosant les boyaux de la belle quadragénaire. La tête de Maryline est sans dessus dessous, elle jouit comme une démente. Jamais cela ne lui était arrivé avec une telle force.

Lorsque sa queue faiblit, Kevin la retire toute gluante. Du foutre s'échappe du petit trou de Maryline qui palpite, coule le long de ses cuisses. Au bout de quelques minutes, elle se redresse et s'assoit à côté
du jeune homme. Ils s'enlacent. Elle lui demande en l'embrassant :

- Alors, tu les trouves comment les françaises ?

Avec un merveilleux sourire, il répond :

- Incroyable ! Vous êtes vraiment des cochonnes ! Vous êtes merveilleuses !

Ils sont épuisés et Maryline l'invite à dormir avec elle dans le lit conjugal.

A suivre...

lundi 27 mars 2023

J'ai livré mon épouse à deux vigiles en rut.

 Texte de Didier.

*****

Je me présente, Didier, trente deux ans, brun. Je suis marié à une jolie femme de vingt-huit ans, Chantal, brune, un joli corps et surtout une superbe poitrine. Elle a de très gros seins qui attirent les regards, et j'avoue que ça me plaît. 

Je vous écris pour vous raconter comment j'ai mis ma femme dans les bras de deux hommes. J'ai un grave problème : dans les magasins, je ne peux m'empêcher de voler. Je me suis déjà fait pincer et emmener chez les flics. On m'a dit qu'à la prochaine récidive, je risquais de graves ennuis. J'ai arrêté un moment, puis un jour j'ai replongé: dans une grande surface, j'ai volé des disques compacts. Deux surveillants m'ont emmené dans leur bureau où je leur ai remis les disques. Alors qu'ils allaient appeler la police, je fus pris de panique et sans espoir, je les suppliai de me relâcher. Je n'avais pas assez d'argent sur moi pour payer, mais je leur montrai mes papiers en leur disant qu'ils les gardent et que j'irai chercher l'argent pour payer les disques. En ouvrant mon portefeuille, je fis tomber quelques photos au sol. Sur l'une, on voyait ma femme en tee-shirt et minijupe. Son maillot contenait avec peine son opulente poitrine, et je vis l'un des vigiles la regarder avec intérêt. Il dit à l'autre:

- Regarde un peu ces seins, j'adore les gros nichons, et elle a l'air d'avoir un joli cul !

Ce type m'agaçait mais je préférai me taire. Il était bedonnant et laid. Son collègue était plus jeune et mieux physiquement. Il regarda la photo de Chantal et me dit que lui aussi aimait les gros nichons. Ils me demandèrent si c'était ma femme, je leur dis que oui, et que j'avais une photo d'elle en maillot de bains, prise cet été, dans le portefeuille. Je la leur montrai en espérant gagner leur clémence. Chantal, sur cette photo, était dans l'eau jusqu'aux genoux. Elle portait un maillot de bains deux-pièces et ses seins débordaient généreusement du maillot. Elle était super bandante. Les deux types furent d'accord à ce sujet. Je leur dis alors:

- Gardez la photo et laissez moi partir !

Ils se mirent à rire en disant qu'il leur en fallait plus.

- Si ta femme se montre à poil devant nous et qu'elle nous suce, alors d'accord ! me dit le gros vigile.

Sans savoir s'il plaisantait ou non et sans réfléchir, je leur dis:

- OK, je téléphone à ma femme pour lui expliquer et nous allons chez moi.

Les vigiles me dirent alors qu'ils remplissaient une fiche de renseignements réglementaires suite au vol, fiche où figure mon identité, et que si tout allait bien, ils me la donneraient, sinon ils la transmettraient aux flics. 

J'appelai alors Chantal. Le gros prit l'écouteur. J'expliquai à Chantal que je m'étais fait épingler et ce que souhaitais d'elle. Elle refusa d'abord. Je lui dis alors qu'étant fiché et récidiviste, je risquais gros. Je lui promis que si elle faisait un strip-tease ça suffirait, les deux types me firent signe que non, alors je lui dis :

- Chérie, fais ça pour moi, je risque de perdre mon boulot et qui sait, peut-être le tribunal et plus. Je te promets que jamais je ne le referai !

Chantal aime faire l'amour. Elle n'est pas spécialement prude, car je sais qu'elle apprécie les regards sur sa poitrine. Elle m'a déjà avoué que plus jeune, elle en était complexée, mais que maintenant elle la met exprès en valeur pour exciter un peu les types que nous croisons dans la rue. Mais jamais nous n'avons connu autre chose que l'amour entre nous. Je sais que je lui demandais beaucoup. Elle me dit :

- Je t'aime, mais tu mériterais que je te laisse à ton sort, c'est la première et dernière fois que tu me fais faire cela. Et puis après tout, ce sera une punition pour toi aussi !

Le gros me murmura alors:

- Dis-lui qu'elle mette des bas, j'adore cela et qu'elle s'habille sexy.

En rouspétant, elle me répondit:

- D'accord, je vais me transformer en pute, et cela à cause de toi. J'espère seulement que tu ne me le reprocheras jamais car là, ce serait vraiment trop ! Je vais les exciter, ces types, et j'espère qu'au moins ils tiendront parole !

Je restai une demi-heure avec les vigiles et à leur fin de service, je les emmenai chez moi, inquiet et soulagé à la fois. Chantal nous ouvrit la porte et me murmura avec dégoût :

- Le gros, qu'il est laid !

Apparemment, le deuxième lui convenait mieux. Je remarquai alors qu'elle portait son déshabillé noir et dessous sa nuisette, noire également, qui lui arrivait sous les fesses et elle avait mis dessous des bas coutures et des hauts talons. Elle me dit alors :

- Ça te va ainsi ? Je vous fais bander, j'irai plus vite à me déshabiller et vous partirez plus vite !

Je réclamai le papier aux vigiles qui me dirent :

- Tu l'auras après.

Ils mataient Chantal comme des fous. Il s'assirent sur le canapé et moi dans le fauteuil. Chantal leur dit :

- Alors je fais quoi ?

Le gros répondit:

- Déshabille-toi pour commencer.

Chantal retira son déshabillé. Sa nuisette ultra courte et transparente ne cachait ni ses gros seins nus, ni son string. Le gros lui dit de tout retirer sauf les bas. Chantal obéit et se retrouva nue face à nous, son cul rebondi, ses deux gros seins et sa chatte à la fourrure noire abondante, offerts à nos yeux. Je bandais et les deux vigiles aussi. Ils avaient ouvert leur braguette et se branlaient doucement. Leurs bites étaient très grosses, surtout celle du gros. Chantal me dit :

- Branle-toi aussi, chéri, au point où nous en sommes !

J'en avais envie et je le fis. Le gros attira alors Chantal et l'assit entre lui et son ami. Chantal protesta mais à ma demande, se laissa faire. Ils la caressaient sur le corps en s'attardant sur ses seins, ils en suçaient chacun un. Le gros caressa ensuite la chatte de ma femme, le jeune lui caressant les fesses.

Chantal changeait peu à peu d'attitude. Elle semblait y prendre du plaisir. J'étais trop excité pour protester en voyant les deux types ôter leurs pantalons et leurs slips. Leurs queues étaient énormes, j'en étais envieux. Ils s'assirent à nouveau, faisant mettre Chantal à genoux sur le sol face à eux. D'où j'étais, je voyais le cul de Chantal tout rebondi. Il remuait lentement, et je savais qu'elle mouillait à cet instant. Les types lui prirent les mains et y déposèrent leurs queues. Chantal caressa alors ces deux bites. C'était fou, je me branlais, mon cœur cognait ! Voir ces deux gros sexes dans ses mains m'excitait.

Le gros lui prit alors la nuque et Chantal se retrouva avec sa bite à l'entrée de sa bouche. Elle ne fit pas d' histoire et la suça en l'enfournant profondément. Chantal sait très bien me sucer, et là, elle se surpassa. La queue, pourtant énorme, du gros, entrait presque entièrement dans sa bouche. Il la tenait par les cheveux et lui disait:

- Vas-y, salope, avale ma bite, suce mes couilles, elle te plaît ma grosse queue ?

Chantal était comme folle, car pendant ce temps l'autre type la branlait en lui suçant les seins. Puis il se mit derrière elle. A quatre pattes, elle se laissa manipuler tout en continuant de pomper le gros. Alors le jeune approcha sa longue queue de la chatte de ma femme et, sans ménagements, la pénétra. Elle ne put crier, la queue qu'elle tenait en bouche l'en empêchant, mais elle remuait sa croupe, prenant un vif plaisir à être pénétrée par cette queue qui allait et venait dans son vagin. Pendant ce temps, de ses deux mains il lui malaxait les seins en disant:

- Si tu en as plein la chatte de ma grosse bite, j'en ai plein les mains de tes nichons ! Ils sont gros, il a du pot, ton mari ! Je suis sûr qu'il se branle souvent dedans, c'est peut-être à force de te les faire peloter qu'ils sont si gros ? Tu dois être une drôle de salope !

Leurs propos m'excitaient et apparemment, Chantal aussi. La situation me dépassait et pourtant je n'avais pas envie que ça cesse, au contraire. Le gros dit alors à son collègue :

- Viens te faire sucer par cette salope, j'ai envie de lui mettre ma bite dans le cul, elle doit aimer cela, cette pute. 

Puis s'adressant à moi : 

- Tu l'encules souvent ta femme ? Je vais l'enculer devant toi avec ma grosse bite, quand tu l'enculeras, ça rentrera comme dans du beurre !

II m'arrive parfois de sodomiser Chantal, elle y prend du plaisir, mais devant la taille de sa queue, je pris peur qu'il ne lui fasse mal. Je lui dis :

- Tu es trop gros, tu vas lui faire mal !

Mais ébahi, je vis Chantal se retourner, les cheveux hirsutes, et retirant de sa bouche la queue du jeune qui venait de remplacer l'autre, elle me dit :

- Tu l'as voulu, chéri ! Alors laisse le me la mettre dans le cul !

Malgré mon excitation, j'allai dans la salle de bains où je pris un tube de vaseline, dont je me sers lorsque je sodomise Chantal. Le gros n'avait pas encore pénétré Chantal, il lui pelotait à son tour les seins d'une main, et de l'autre lui titillait l'anus. Chantal se trémoussait en gloussant et suçant le jeune. Ce dernier dit alors:

- Je vais te jouir dans la bouche, salope ! Avale tout !

Je le vis maintenir Chantal et éjaculer dans sa bouche une énorme quantité de foutre, car elle eut un haut-le-cœur et je vis du sperme couler de ses lèvres. Le jeune se servit de sa queue pour lui en étaler sur la bouche et le visage. Elle en avait plein la figure. Il me dit alors : 

- Viens galocher ta salope de femme, si tu veux ton papier !

Je m'avançai alors et sans réfléchir, j'embrassai Chantal qui me donna sa langue, et par la même occasion le sperme qui y restait. Le jeune, nous tenant la tête, nous dit alors :

- Allez, mes salopes, nettoyez ma bite !

Il mit sa queue humide et molle entre mon visage et celui de Chantal. Cela m'excita, et Chantal la reprit dans sa bouche. Puis soudain elle guida cette bite sur ma bouche et me dit :

- Suce le, chéri, vas-y, je veux te voir, ça m'excite !

Je pris cette queue et la suçai, étonné d'y prendre plaisir. On se la partagea avec Chantal et elle devint à nouveau dure. Le gros riait et dit :

- Tu es une salope comme ta femme, mets-lui donc de la vaseline sur le cul que je l'encule, et mets en sur ma queue !

Je mis une noisette de vaseline sur l'œillet de Chantal et une dans ma main, sans me soucier de ses rires, j'en étalai sur sa grosse bite, prenant un plaisir inouï à le branler. Il me repoussa et me dit :

- Arrête, c'est dans le cul de ta femme que je vais jouir !

Je le regardai alors pointer sa queue sur l'œillet de Chantal, et après un léger tâtonnement, il l'encula d'une traite. Elle poussa un cri de douleur, qui devint rapidement du plaisir. Il me dit alors de me branler et de jouir sur Chantal. Je ne me fis pas prier, et je n'eus que le temps de m'approcher de son visage pour exploser, lui balançant à mon tour un flot de sperme au visage. Elle attrapa ce qu'elle put avec sa langue. Le jeune rebandait et me dit :

- Je vais te faire comme à ta femme, suce-moi ! 

A nouveau, Chantal guida sa queue dans ma bouche. Je l'enfournai alors et le pompai en lui pelotant les couilles. Jamais je n'aurais pensé y prendre plaisir. Il se retira au bout d'un moment et, pointant son dard sur mon visage, éjacula en me balançant son foutre en pleine figure. Il dit à Chantal :

- Salope, lave-le avec ta langue !

Chantal me lécha le visage en avalant le sperme s'y trouvant. Le gros l'enculait, lui donnant des claques sur les fesses. Son cul rougissait mais elle y prenait plaisir. Il se retira et dit à Chantal :

- Suce ma queue sortie de ton trou à merde !

Je le vis alors retirer sa queue du cul de ma femme, pénétrer sa bouche et jouir immédiatement. Il lui dit :

- Avale et suce ta merde !

J'enculai alors Chantal. Le passage était agrandi, mais elle y reprit plaisir et acheva de nettoyer la queue du gros avec sa langue. Soudain, je sentis un doigt titiller mon anus, et le jeune dit :

- Vous êtes deux enculés, ta femme par ta queue, et toi par mon doigt !

Il m'encula avec son doigt et j'y pris plaisir. Ils nous insultaient, mais je jouis alors dans le cul de Chantal qui me la suça à nouveau.

Je m'allongeai alors près de ma femme et l'embrassai. Le gros se leva et, pendant que j'embrassais Chantal, nous pissa dessus en visant nos visages. Sa dernière condition était que nous avalions son urine. Je ne pus le faire, ayant des haut-le-cœur, Chantal en pleine jouissance, accepta, elle ouvrit la bouche et reçut le dernier jet d'urine. Malheureusement, le jeune exigea la même chose, pointa sa queue et pissa dans la bouche de Chantal qui se caressait en criant et en avalant la pisse.

Les types se rhabillèrent, nous jetèrent le papier et partirent. Nous restions étendus, Chantal soudain honteuse, le visage couvert de foutre et de pisse, moi honteux d'avoir sucé une bite. Nous en avons reparlé quelques jours plus tard avec Chantal, sans regret, au contraire, en en riant car Chantal a eu mal au cul pendant quelque temps: jamais elle ne s'était pris un tel calibre dans le fion ! Elle m'a avoué qu'elle ne m'en voulait pas du tout, mais elle m'a fait promettre que si je voulais recommencer à chaparder dans un magasin je le fasse obligatoirement dans le même car ainsi nous serions sûrs que je ne risque pas d'aller chez les flics. Elle avait un sourire égrillard en disant ça et j'ai, bien sûr, promis.

Je pense que d'ici quelques semaines, le démon de la cleptomanie va me reprendre..!!!!

FIN 

samedi 25 mars 2023

La Descente aux Enfers de Jessie - Ch. 14

Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.

 ****

La mère biologique de Kévin entre en jeu.

Jessie, le corps en feu, halète comme un chien. Elle ne sait pas ce qu'il lui a été injectée, mais elle ne se souvient pas d'avoir été aussi excitée. Lorsque Kévin et le docteur WILLIAMS commencent à discuter de la possibilité qu'elle fasse une pipe au médecin, elle ne sait pas que faire pour supplier. Son esprit est tellement embrumé par le désir qu'elle ne peut pas parler. Ses yeux se fixent sur la bosse sous la blouse du docteur et elle dit difficilement :

- S'il vous plaît!

Kévin rigole de voir sa mère aussi excitée. Elle bave en regardant l'entrejambe du médecin.

- Allez-y docteur, enfoncez votre bite dans sa gorge. Je ne peux rien faire avec elle dans cet état. Peut-être que si elle jouit, nous pourrons y aller.

Kévin les regarde pendant quelques secondes lorsque son portable sonne. Il ne reconnaît pas le numéro , mais il répond quand même. Ça pourrait être Maître X ou un de ses amis.

*****

Environ une semaine plus tôt, Brenda STEVENS était assis dans la salle d'attente du salon de coiffure et d'esthétique. Elle était là pour se coiffer et se faire faire les ongles. Comme d'habitude, elle était en avance et attendait que sa coiffeuse finisse le précédent client. Elle parcourait un magazine quand elle voit entrer Marcus GRABAS avec un gros homme dégoûtant. Son sang commence à bouillir quand elle le voit. Mais pour ne pas se jeter sur lui et l'étriper elle choisit de s'en aller. Mais alors qu'elle commence à se lever, elle remarque comment il est habillé.

Marcus se tient à quatre mètres de lui et porte un haut blanc très serré, un minuscule pantalon serré qui laisse voir sa bite à travers et des chaussures avec talons. Brenda éclate presque de rire. Elle écoute les esthéticiennes se moquer aussi de son ex-mari. Quand elle était mariée à cette merde, il l'a humilié et il a tout pris. Maintenant elle se rend compte qu'il est devenu une lopette, dominé par l'homme le plus dégoûtant qu'elle n'a jamais vu. Elle regarde avec étonnement les employées emmener Marcus dans l'arrière-boutique en lui tapant le cul en chemin.

Brenda se rassoit pour réfléchir. Son esprit fonctionne à toute allure. Il lui a fallu des années pour se remettre de son divorce. Marcus et Brenda étaient mariés depuis environ deux ans quand elle tomba enceinte. Kévin est arrivé neuf mois plus tard. Ce fut une grossesse très difficile. Ce qu'elle ne savait pas à l'époque, c'est que Marcus voyait Jessie pendant sa grossesse. Juste après la naissance de Kévin, Brenda fit une grosse dépression postnatale, prit trop de calmants et fit une overdose. Ce fut tout ce dont avait besoin Marcus pour divorcer, prendre Kévin et la laisser sans rien.

Brenda voulut se battre, mais son mari avait de meilleurs avocats. Finalement, elle ne reçut aucune pension alimentaire, aucun droit de visite et elle perdit l'argent qu'elle avait économisé pour sa retraite dans le procès. Les frais juridiques ne lui ont rien laissé et l'ont poussé à déménager.

Et aujourd'hui, se trouve devant elle, son ex-mari, habillé comme une femme et dominé par un autre homme.

Brenda ne veut rien de plus que prendre sa revanche. Elle reste assise pendant quelques minutes avant de trouver le courage d'aller voir le gros homme dégoûtant qui s'appelle John. Celui-ci est devant le salon, appuyé sur sa voiture.

John et Brenda parlent pendant près d'une heure. Elle lui raconte le divorce et les conséquences pour elle. Et lui parle de la nouvelle vie de Marcus et de ses nouvelles préférences sexuelles. Quand celui-ci sort du salon après son épilation, Brenda est déjà sur le chemin de retour chez elle en train de téléphoner à Maître X.

Il faut à Brenda un certain temps pour avoir le courage d'appeler son fils, mais là elle est décidée.

- Bonjour Maître X! Répond Kévin.

La seule personne qui l'appelait était Maître X. mais il ne reconnaît pas le numéro.

- Non ce n'est pas Maître X. répond Brenda.

Puis elle continue :

- Tu ne me connais pas Kévin, mais moi je te connais. Enfin... Je ne te connais pas vraiment, mais je t'ai donné naissance.

Kévin reste immobile. Son esprit essaie de comprendre ce que la voix vient de dire.

- Je ne pense pas Madame. Ma mère n'est pas loin de moi. Comment avez-vous obtenu ce numéro?

- Kévin, je m'appelle Brenda STEVENS. Je suis ta mère. Ton salaud de père a divorcé de moi juste après ta naissance. Il m'a tout pris et ne m'a pas laissé garder contact avec toi. Il baisait cette salope de Jessie pendant que j'étais enceinte de toi. J'ai eu quelques problèmes pendant la grossesse et après l'accouchement j'ai fait une grosse erreur. Ton père en a profité pour tout prendre et me quitter.

Brenda prend son courage.

- S'il te plaît Kévin, on peut se rencontrer? S'il te plaît, juste une demi-heure et je te prouverai mes dires.

Elle a besoin que Kévin écoute son histoire. Maître X lui a dit que c'est à Kévin de décider de sa vengeance.

- Écoute Kévin, je ne veux pas m'immiscer dans ta vie. Ce que je veux c'est pouvoir me venger, de préférence sur le cul de ton père. Et le bonus serait de pouvoir m'occuper aussi du cul de la briseuse de ménage.

Brenda prie pour arriver à convaincre Kévin de la rencontrer.

- D'accord, j'ai encore quelques courses à faire, mais on peut se rencontrer dans une heure au café au coin de la 5ème rue et de Main street. Je vous écouterai pendant trente minutes. Dit Kévin.

- J'y serai, tu ne le regretteras pas! Répond Brenda.

Kévin raccroche et appelle Maître X. Il veut savoir ce qu'il se passe. Ils parlent ensemble pendant près de quinze minutes. Ils se quittent quand Jessie titube hors du bureau du médecin. Son visage est tout rouge et ses yeux à peine ouverts. Ses jambes peuvent à peine la soutenir. Elle trébuche vers son fils qui l'attrape par le poignet et la tire jusqu'à la voiture. Il doit se dépêcher s'il doit être au café à l'heure.

Heureusement, le prochain arrêt n'est qu'à quelques pâtes de maisons. Kévin achète une bouteille d'eau sur le chemin et demande à sa mère de la boire pour se ressaisir. Au moment où il trouve une place pour se garer et qu'ils descendent de la voiture, Jessie va mieux. Son corps demande toujours à être libéré de la tension, mais elle arrive à marcher.

Quand ils tournent au coin de la rue, il y a un marché. Et à côté se trouve une porte qui mène dans une bijouterie éclectique.

Jessie suit son Maître dans le magasin. Elle est surprise, car il y a très peu de choses à l'intérieur. Les murs sont lambrissés et l'éclairage au néon. An fond, il y a un grand bureau avec une caisse enregistreuse dessus. Derrière le bureau, un homme chauve parle au téléphone. Il leur fait signe d'attendre pendant qu'il termine son appel.

- Que puis-je faire pour vous? Demande-t-il.

- Je suis Kévin, j'ai appelé un peu plus tôt cette semaine et pris un rendez-vous pour Jessie GRABAS.

- Ah oui, je vous attendais. J'ai ce que vous avez commandé ici.


L'homme se tourne et ouvre un tiroir dont il en sort un petit sac en velours. Il verse le contenu sur le bureau et l'examine attentivement. Il lève les yeux vers Jessie et sourit d'un air narquois.

- J'aime ça, c'est pour elle. Demande-t-il en hochant la tête vers Jessie.

- Ouais! C'est ma salope de mère et mon esclave. Je veux que le monde sache qu'elle m'appartient.

L'homme fait glisser le bracelet sur le bureau vers Kévin. Jessie rougit et baisse la tête. Elle regarde le bracelet et lit son inscription.

Kévin ramasse le bijou et sourit :

- Je veux le mettre à sa cheville et qu'il n'en bouge plus.

- Très bien! Suivez-moi! Dit l'homme.

Il se dirige vers une porte sur le côté de la pièce avec Kévin et Jessie derrière lui. Il s'approche d'une grosse enclume et s'assoit sur un tabouret en bois.

- Mettez son pied sur l'enclume et le bracelet sera définitivement posé.

Jessie regarde son fils. Elle est nerveuse à propos de ce bijou. Elle sait qu'elle est un esclave, mais le faire savoir au monde est une autre histoire. Comment va-t-elle l'expliquer au personnel de l'école? Ils savent tous que Kévin est son fils, mais même si ça va être embarrassant, ça sera toujours mieux que de se retrouver dans la rue. Elle lève la jambe et pose son pied sur l'enclume comme indiqué. L'homme tend la main et touche légèrement sa jambe du genou à la cheville. Il sourit en voyant la réaction de la femme.

Jessie est encore sous l'effet de la drogue. Des éclairs d'électricité montent de sa jambe dans toutes les parties de son corps dès que la main touche sa jambe. Alors que l'homme glisse lentement sa main vers la cheville, Jessie ne peut s'empêcher de gémir. Ses yeux se ferment et sa bouche s'ouvre. Le bijoutier regarde Kévin pour voir s'il a exagéré, mais quand il rencontre le sourire du garçon accompagné d'un hochement de tête. Enhardi, il remonte sa main jusqu'à la cuisse et se retrouve à quelques centimètres de la chatte de la femme visiblement excitée.


Jessie ne fait plus attention à rien, elle est perdue dans son excitation. Son corps change à chaque seconde alors que le médicament se propage dans chacune de ses cellules. Elle ne sent pas le contact lorsque le bijoutier soude le bracelet sur sa cheville. Mais quand l'homme retire ses mains, Jessie est prête à s'effondrer sur le sol. Son corps est complètement consumé par le désir.

Kévin regarde l'ouvrage du bijoutier et sourit :

- C'est génial! Combien vous doit-elle?

L'homme sort une note et répond :

- Le bracelet est à 500 dollars, la gravure à 40, plus les taxes ça vous fait 583,20 dollars. Nous prenons les espèces ou les cartes de crédit.

- Maman, paie cet homme et fais vite! J'ai un rendez-vous! Ordonne Kévin.

Jessie peut à peine parler alors elle hoche la tête. Elle sort sa carte de crédit et règle la facture. Cinq minutes plus tard, ils sont dans la voiture. Kévin conduit et se dirige vers l'autoroute. Jessie est tranquillement assise à côté de son Maître et elle repense à il y a quelques semaines. Tout était normal, l'école allait débuter et la vie était belle. Elle se souvient d'avoir lu les histoires érotiques. C'est alors que sa vie a changé. Maintenant elle se retrouve comme esclave et son Maître est son propre fils.

Kévin sort sa mère de ses pensées lorsqu'il éteint le moteur et sort de la voiture. Jessie se précipite pour le suivre, elle ne veut pas le mettre en colère. Ils remontent le trottoir jusqu'à une grande porte double d'un immeuble de trois étages. Kévin l'emmène le long d'un couloir jusqu'à une sorte de SPA. Jessie s'en fiche. La seule chose qu'elle a dans la tête c'est de savoir comment gratter les démangeaisons au fond de son corps. Bientôt, elle se retrouve nue sur un lit en acier, mais elle ne se soucie pas si quelqu'un la voit.

Jessie n'avait rien entendu, elle avait simplement obéi mécaniquement. Bientôt un homme en blouse blanche entre et commence à l'attacher. Puis deux autres femmes arrivent et tous les trois travaillent sur le corps de Jessie. Celle-ci ne pense à rien d'autre qu'à ces touchers qui la rendent folle

Kévin quitte le SPA et se dirige vers le café où il a rendez-vous. Il entre et regarde tout autour. Il y a environ une douzaine de personnes éparpillées, mais une seule femme assise toute seule. Il la regarde et remarque sa robe et ses tatouages. Elle a l'âge pour être sa mère et il voit quelques ressemblances, mais il a encore des doutes.

Il s'approche d'elle et demande :

- Es-tu Brenda?

- Bonjour Kévin, oui c'est moi. J'attendais ça depuis si longtemps.à Je sais que c'est difficile pour toi, mais laisse-moi t'expliquer. Veux-tu boire quelque chose? Répond-elle.

- Non ça va, je vais bien. Mais raconte ton histoire, j'ai du mal à te croire.

Kévin pense au fond de son esprit que c'est peut-être la raison pour laquelle il est si différent de ses parents.

Brenda sort les papiers du divorce et commence son récit. Plus elle parle, plus l'esprit de Kévin travaille. « Si cette femme est dure et veut juste torturer papa et maman, ça pourrait le faire quand je suis à l'université » pense-t-il.

La femme termine son histoire et attend que son fils réagisse. Kévin ne bouge pas, il lit tranquillement les papiers du divorce et il apprend comment Brenda a été forcée de renoncer à tout droit parental. Il relit les lettres de Marcus lui disant qu'il ne voulait plus jamais la revoir et que si elle s'approchait, il demanderait une ordonnance de restriction à son encontre.

Il parcourt ensuite le reste des documents qu'elle a apportés et finalement il la regarde à travers la table dans les yeux.

- Donc si je comprends bien tu étais mariée à mon père qui s'est foutu de toi. Il a mis Jessie enceinte, il a divorcé et a exigé ma garde exclusive. Donc il a détruit ta vie. Tu l'avais perdu de vue jusqu'au jour où tu l'as vu au salon de beauté. Maintenant tu me demandes si tu peux exercer ta vengeance sur mes esclaves. Est-ce que j'ai bien compris?

Brenda baisse les yeux sur la table, prend une profonde inspiration et répond lentement :

- Oui c'est exactement ce que je veux. Quand j'ai parlé à Maître X et Maître John, ils m'ont tous les deux dit que tu prendrais la décision. Je t'en supplie, s'il te plaît, laisse-moi avoir ma vengeance. Je déteste Marcus et Jessie. Ils ont ruiné ma vie et je veux retrouver ma dignité. Je ferai tout ce que tu me demanderas, laisse-moi seulement avoir ma vengeance.

Kévin attend quelques minutes. Brenda attend qu'il réponde. Mais plus elle attend et plus elle est nerveuse. Au bout de cinq minutes, elle est certaine qu'il ne va pas lui donner sa chance de se venger. Au bout de dix minutes, elle n'est pas loin de paniquer. Au bout de quinze minutes elle laisse échapper :

- S'il te plaît Kévin, je ferai tout pour me venger de Marcus. Je ferai n'importe quoi!

C'est ce que Kévin attendait, il voulait qu'elle se soumette. Il lui sourit et tend la main à travers la table. Il lui prend ses mains dans les siennes et les caresse doucement :

- Si tu le veux vraiment, alors va dans les toilettes, enlève tes sous-vêtements et ramène-les moi.

Brenda n'hésite pas une seconde. Elle se lève, remonte sa robe, met ses pouces dans sa culotte et la descend. Puis elle abaisse le haut de sa robe et défait son soutien-gorge qui rejoint bientôt la culotte devant Kévin.

- Maître Kévin, si vous voulez m'humilier pour voir si je le veux vraiment, alors vous devrez mettre la barre plus haute avant de dire non.

Elle le regarde directement dans les yeux et ajoute :

- C'est la première fois que j'ai l'occasion de pouvoir me venger de cet enfoiré. Alors je dis que je ferais n'importe quoi et je le pense.

Elle pousse sa culotte et son soutien-gorge sur la table vers Kévin.

Celui-ci sourit à sa mère toujours assise dans le café, les seins toujours à l'air, ses sous-vêtements sur la table.

- Couvre tes seins et donne-moi ton numéro de téléphone. Je veux que tu viennes à l'adresse que je vais te donner à 20 heures ce soir. Tu suivras mon exemple et tu feras exactement ce que je te dis. Si tu peux le faire alors tu auras ta vengeance.

Kévin attrape la culotte et le soutien-gorge, note l'adresse sur une serviette en papier et sort du café.

Pendant qu'il va récupérer Jessie il parle avec Maître X. Il lui parle de sa rencontre avec sa mère biologique et de ce qu'il a décidé. Maître X lui dit que Brenda peut être une option pour être une maîtresse pour Jessie et Marcus quand il est absent. Kévin met fin à la conversation quand il entre de nouveau dans le SPA.

La tête de Jessie est débarrassée des drogues, mais son corps est encore très excité. Elle est assise dans l'arrière-salle, toujours nue, quand Kévin arrive.

Le garçon s'assoit sur une chaise et ordonne à son esclave de venir devant lui, les mains derrière la tête. Jessie s'exécute rapidement en essayant de lui faire comprendre qu'elle a besoin de jouir.

Kévin sourit et commence à passer ses doigts sur son corps.

- Tu es épilé du cou aux pieds. Tous les hommes aiment les femmes sans poils. Et ça te rajeunit. J'ai hâte de voir Julie à côté de toit nue et épilée. Deux salopes prêtes à être baiser.

Il regarde le bracelet à sa cheville et le tourne pour montrer l'inscription. Il se met à rire :

- Je me demande ce que vont dire les étudiants quand ils verront à qui tu appartiens.

Il saisit les vêtements de sa mère et lui les jette en ordonnant :

- Habille-toi esclave et paie la facture. Assure-toi de donner un gros pourboire. Et retrouve-moi à la voiture quand tu auras fini.

Kevin se lève et sort. Jessie attrape sa robe et ses chaussures pour s'habiller. Puis elle sort de la pièce et se dirige vers le comptoir. L'homme en blouse blanche qui se tient derrière lui tend l'addition. Le montant est de plus de deux mille dollars. Jessie grogne, mais lui tend sa carte de crédit.

- Ajoutez un pourboire au total! Suggère-t-elle.

- Non, nous n'acceptons pas les pourboires par carte de crédit. Toutefois, je sais que tous ceux qui ont travaillé sur vous vous ont trouvée ravissante. Je pense que vous pouvez trouver autre chose comme pourboire.

Jessie hoche la tête et laisse tomber sa robe par terre. Elle se met à genoux et dit :

- S'il vous plaît, laissez-moi vous sucer vous et votre équipe pour vous remercier.

- L'homme sourit et dit :

- C'est mieux comme ça. Suis-moi esclave!

Il se retourne et part dans un couloir avec Jessie à quatre pattes derrière lui.

Kévin attend dans un bar pas loin de la voiture. Il sait que son esclave va en avoir pour un petit moment. Il boit une bière et consulte sa messagerie jusqu'à ce qu'il voie son esclave chanceler dans la rue. Quand elle arrive, il voit que son visage est couvert de sperme et elle rougit. Kévin lui donne une grosse claque sur le cul et lui dit de monter dans la voiture.

Le retour à la maison est très calme car tous les deux pensent à la suite des évènements. Dès qu'ils sont entrés à la maison, Kévin ordonne à Jessie de prendre une douche et de mettre ma tenue qu'il lui a laissée sur le lit. Il est 19 heures et il veut réunir tous ses esclaves avant la surprise.

Alors que sa mère monte les escaliers, il lui dit :

- Ne prends pas trop de temps esclave, et amène la lopette avec toi quand tu auras fini, j'ai des choses à vous dire.

Jessie répond :

- Oui Maître, votre esclave va se dépêcher.

Jessie entre dans sa chambre et trouve son mari Marcus en train de se branler sur le lit.

- Marcus, si Kévin t'attrape, il va y avoir des punitions. Arrête ça, je ne veux pas être punie à cause de toi. Il veut que nous soyons en bas dès que j'aurai fini de me laver et de m'habiller. Tu ferais mieux de te mettre en bas et talons. Dit-elle avant d'entrer dans la salle de bain.

Vingt minutes plus tard, Jessie et Marcus se tiennent devant Kévin, leur maître et fils.

- Regardez-vous tous les deux. Maman tu es une salope et une pute, tu baises n'importe quelle bite qui se présente devant toi. Et toi papa, je parie que si je laisse tomber mon pantalon, tu vas te jeter sur moi. Dis-moi papa, combien de bites as-tu sucé? Et je vois que tu aimes porter des vêtements de femme. Comment peux-tu être mon père? Et d'ailleurs, comment as-tu pu être ma mère Jessie?

Le couple reste debout, les yeux rivés au sol pendant que Kévin continue sa diatribe.

- Vous êtes tous les deux des esclaves sans valeur : Des esclaves à utiliser comme je l'entends. Maître X vous a donné pour que je vous entraîne jusqu'à quand nous déciderons de vendre vos culs. Ou je connais votre histoire avec Maître X. Comment avez-vous été si stupide pour tomber si bas, je ne comprends pas. Mais maintenant vous êtes mes esclaves. Et ne vous inquiétez pas pour Julie, c'est pareil et bientôt elle vous rejoindra, nue et esclave.

Kévin les humilie en paroles pendant près de trente minutes avant d'annoncer qu'un visiteur spécial allait bientôt arriver. Jessie écoute son fils, pas son maître. Chaque parole la blesse. Elle est une pute, elle suce et baise n'importe qui. Elle pense : « Comment en est-elle arrivée là? Je n'ai jamais voulu ça, Kévin est mon fils. Comment puis-je me soumettre à mon fils? Il va nous former? Qu'est-ce que ça veut dire? Oh mon Dieu, je vois que Marcus bande. Il est excité et Kévin va le dresser aussi. Comment notre famille est-elle devenue si vicieuse?

Jessie est encore plongée dans ses pensées lorsque Kévin leur ordonne d'aller chercher deux tabourets et de les placer de chaque côté de la cheminée.

Les deux parents esclaves se dépêchent d'obéir, ils ne veulent pas être punis. Les derniers jours ont été assez durs. Et maintenant, non seulement le couple est complètement soumis, mais bientôt leur fille va les rejoindre.

Dès que les tabourets sont en place, Kévin ordonne à ses deux esclaves de s'agenouiller dessus et de mettre leurs mains dans le dos. Le couple obéit et attend d'autres instructions. Quelques minutes après, la sonnette retentit. Le visage de Kévin s'éclaire et un grand sourire apparaît.

- Notre invitée est arrivée. Je m'attends à ce que vous la traitiez avec le plus grand respect. Vous la traiterez de la même façon que vous traitez Maître X et moi. Si j'entends l'un ou l'autre refuser de lui obéir, je vous punirai tous les deux. Maintenant, la tête droite! Ordonne Kévin en se dirigeant vers la porte.

Il ouvre à sa mère biologique Brenda. Elle a l'air très différente de la femme du café, mais il ne la regarde pas vraiment. Les seins de la femme le distraient. Mais il se reprend. Maintenant, à la lumière il voit à quel point elle est belle et bien constituée. Son visage s'est durci après des années de lutte, mais elle a conservé sa beauté. Ce soir, elle porte un short en cuir noir moulants attachés à des cuissardes en cuir. Elle porte des talons de dix centimètres. Son débardeur est en cuir comme son short et il moule ses formes. Ses tatouages complètent la tenue et lui donne un look de dominatrice. Sa figure reflète la joie d'être là. Et Kévin peut voir la colère retenue pendant des années remonter à la surface.

- Ravi de te voir maman! Dit Kévin en se penchant pour lui donner un baiser sur la joue.

Brenda sourit à son fils. Elle attendait ce jour depuis dix-neuf ans. Maintenant elle va se venger de l'homme qui a ruiné sa vie. Elle murmure à l'oreille de Kévin :

- Sont-ils ici? Que pourrais-je leur faire?

Kévin rit :

- Oui ils sont là, et attends tu verras. J'ai hâte de voir leur visage.

Il se tourne et se dirige vers le salon avec Brenda sur ses talons.

Kévin regarde ses esclaves, qui essaient de voir furtivement qui est chez eux. Aucun des deux ne s'attendait à voir la personne qui suivait Kévin.

Brenda rit en voyant Jessie et Marcus. Ça fait plus d'une semaine qu'elle a vu Marcus. Aujourd'hui il fait plus féminin. Brenda peut jurer qu'il se fait pousser des seins.

Jessie devient rouge betterave dès qu'elle voit Brenda. Elle se souvient du moment où Marcus l'avait quitté pour emménager avec elle. Ça avait été moche et un peu lâche. Et aujourd'hui elle se trouve à côté de Kévin qui avait précisé qu'ils devaient lui obéir. Kévin fait signe de s'asseoir sur le canapé à Brenda et il s'assoit à côté.

- Ici esclaves, à genoux devant nous. Je vais vous énoncer les nouvelles règles. Dit Kévin

Jessie s'agenouille devant Brenda et Marcus devant son fils. Jessie a compris que son mari ne voulait pas être devant son ex.

- Bon esclaves, voilà les nouvelles règles! Brenda va peut-être emménager ici. Si elle le fait, elle prendra la chambre principale ou plutôt la chambre de la Maîtresse de maison. Je vais retourner à l'université demain. Mais j'ai encore des choses à régler. Papa, si Brenda est d'accord tu l'aideras à déménager. Si tu ne peux pas, va faire une pipe à un de tes nouveaux copains et demande leur aide. Oh, encore une information, Maître John ne viendra plus. Il semble qu'il ait été surpris de se faire sucer par la lopette. Maintenant sa femme a tout pris et il essaie de retrouver grâce à ses yeux. Il ne reviendra pas. Donc, lui parti, l'autre choix est M. ASH pour vous surveiller. Mais nous avons pensé que Brenda voudrait peut-être avoir l'occasion d'être votre nouvelle maîtresse quand je suis à l'université. Je vais vous laisser le choix.

Jessie écoute son fils et sait exactement ce qu'elle veut. M. ASH est la pire personne qu'elle ait jamais rencontrée. Elle ferait n'importe quoi pour être loin de lui.

Marcus a le souffle coupé. Si Brenda devient sa maîtresse, sa vie est foutue. Même le dégoûtant M. ASH est mieux qu'elle.

Les deux esclaves sont perdus dans leurs pensées alors que Kévin continue de parler. Ce n'est que lorsque Brenda ouvre la bouche qu'ils redeviennent attentifs.

- Merci Kévin, j'apprécie vraiment cette opportunité. Je sais que j'ai manqué à ce cher Marcus depuis longtemps. Dit-elle avec un énorme sourire sur son visage.

Puis elle fixe son ex-mari et dit doucement :

- Viens ici putain de pédé et enlève ta culotte!

Le visage de Marcus tourne au blanc, mais il rampe lentement vers son ex-femme en faisant glisser sa culotte le long de ses jambes pour l'enlever. Brenda garde son souffle alors que son ex-mari se rapproche. Elle fouille dans son sac et sort un objet en plastique. Lorsque l'homme s'arrête devant elle et baisse la tête, Brenda tend la main et attrape les cheveux de l'esclave.

- Assieds-toi esclave! Je veux que tu voies ce qui va se passer. Je veux voir tes yeux alors que je t'humilie lentement et que tu ne peux rien y faire.

Brenda rigole sinistrement pendant que Marcus s'assoit et se tient droit. Elle tire ses cheveux pour qu'il se penche en arrière.

- Maintenant, écarte les jambes que l'on en profite bien.

Marcus obéit. Brenda se penche et glisse un dispositif en plastique autour du sexe et des couilles de Marcus. En moins de vingt secondes, Marcus a une cage de chasteté et Brenda en détient la clé.

L'homme baisse les yeux vers l'objet qui entoure sa virilité. Cette cage est blanche et volumineuse. Elle sera difficile à cacher sous ses vêtements. Son esprit tourne à une vitesse folle. Son vrai Maître, Maître John est parti et remplacé par la pire personne au monde. Mais malgré ses craintes, son corps réagit tout autrement. Malgré ses efforts pour se calmer, son sexe commence à durcir. Il ne se passe qu'une seconde ou deux avant que la douleur le frappe. Ce qu'il ne savait pas, c'est que cette cage avait un mécanisme secret. Dans des conditions normales, elle se borne juste à enserrer son sexe et ses couilles, mais dès qu'il commence à être excité et que sa bite commence à enfler, le tube intérieur coulisse et fait apparaître uns centaine d'aiguilles pointues qui tapissent le tube extérieur. Donc il ne faut que quelques secondes avant que Marcus hurle de douleur et pose ses mains sur son sexe et la cage. Et immédiatement, sa bite rétrécit à presque rien.

Brenda se met à rire :

- Qui aurait cru que tu bandes d'être humilié. C'est dommage que je ne l'ai pas su avant. Maintenant mets tes bras derrière ton dos et profite du spectacle.

Brenda se détourne de son ex et se tourne vers Jessie.

- Je suis ravie de te revoir petite pute. Je crois que Marcus me doit une revanche. Mais ce serait sûrement plus agréable s'il n'était pas une lopette. Ça fait très mal quand ton conjoint te baise.

Brenda met ses pouces dans la ceinture de son pantalon pour le baisser. Elle se tient devant Jessie agenouillée. Son haut moulant et ses tatouages la rendent très intimidante.

Kévin s'assoit et regarde sa mère biologique dominer ses parents. Son père est déjà enfermé dans une cage de chasteté et Jessie, qui est devenue maintenant sa belle-mère, est à genoux en attente d'instructions. Kévin regarde Brenda dont le visage fait ressortir ses émotions et son sentiment de puissance.

Celle-ci s'approche du canapé, s'assoit et écarte les jambes :

- Rampe jusqu'ici putain! j'ai rêvé tellement de fois de te voir à genoux devant moi. Et voilà c'est un espoir qui prend vie.

En vérité Brenda ne parle à personne. Elle est pensive. Puis tout d'un coup elle change complètement. Toute douceur la quitte et son visage se durcit tandis que ses lèvres lâchent :

- Viens ici et adore ta Maîtresse, esclave.

Jessie pâlit et regarde la transformation de Brenda. Elle ne peut pas désobéir, elle est formée à l'inverse. Rapidement, elle se place aux pieds de l'ex femme de son mari et elle baisse la tête. Elle ouvre la bouche, tire la langue et lèche les talons aiguilles de Brenda en s'assurant de passer sur chaque centimètre.

- Je vois que tu as eu une bonne formation d'esclave. Voyons à quel point tu sais te servir de ta langue. Viens me lécher la chatte, salope! Grogne Brenda.

Elle regarde Jessie se mettre en place et commencer à lécher son sexe. Elle sourit et regarde Marcus. Elle s'attendait à ce qu'il souffre, sa bite voulant sortir de sa prison. Mais étonnamment, il reste là à regarder sa femme brouter son ex-femme. Brenda grogne, elle ne se soucie pas d'avoir un orgasme mais seulement de torturer Marcus. Elle pensait pourtant que le fantasme de chaque homme est de regarder des femmes faire l'amour. Sa colère commence à monter, puis en regardant son ex-mari, elle réalise ce qui ne va pas.

- Maître Kévin, seriez-vous assez aimable de sortir votre grosse bite et la montrer à votre père? Roucoule Brenda.

Kévin regarde dans les yeux de sa mère biologique et sait ce qu'elle veut. Il se lève et se tourne pour faire face à sa lopette de père. Il ouvre sa braguette et sort sa queue semi-dure juste devant le visage de Marcus. L'effet sur celui-ci est dramatique. Ses paupières se baissent, sa bouche s'ouvre et c'est le drame. Marcus hurle alors que son sexe durcit et que la douleur explose dans son sexe. Chaque millimètre de sa bite devient douloureux. Il lutte pour rester à genoux, les mains dans le dos pendant que sa bite ramollit pour échapper aux aiguilles de la cage de chasteté. Brenda atteint presque l'orgasme alors qu'elle regarde son ex-mari pris au piège et presque émasculé.

- Merci Maître Kévin. S'il vous plaît, amusez-vous et prenez un trou de cette pute. Dit Brenda en souriant.

Kévin rigole en voyant que son père avait été excité en voyant sa bite. Il se tourne vers Jessie, écarte ses jambes et enfouit sa queue au fond du cul de sa belle-mère. Bientôt il la pilonne alors que la langue de la soumise s'active sur la chatte de Brenda.

Kévin et Brenda utilisent Jessie comme le jouet esclave qu'elle est maintenant. Ils leur importent peu qu'elle en tire du plaisir, ils utilisent son corps pour se satisfaire. Lorsque Kévin se retire finalement du cul de Jessie, il présente sa queue recouverte de sperme à Marcus en lui disant :

- Suce!

Marcus ouvre la bouche et avale agressivement la bite de son fils, appréciant cela. Il faut environ trois secondes pour que la douleur éclate dans son sexe. Kévin aime voir le visage de la poule mouillé qu'est devenu son père grimacer de douleur pendant qu'il baise sa bouche avec vigueur.

Marcus passe de l'excitation intense à une douleur insoutenable et vice-versa. Son corps ne lui appartient plus. Son fantasme de sucer son fils est devenu réalité, mais chaque fois que son excitation fait grossir son sexe, la cage de chasteté lui rappelle douloureusement qu'elle est là. Plaisir, douleur, plaisir, douleur, pendant que Kévin lui baise la bouche. Bientôt son corps et son esprit n'en peuvent plus et il s'écroule sur le sol.

Kévin fait signe à Brenda de le suivre et il ordonne à Jessie d'aller s'asseoir au salon jusqu'à ce qu'on l'appelle. Le fils et sa mère biologique se dirigent vers le bureau, puis Kévin branche l'ordinateur et démarre un dialogue vidéo avec Maître X.

- Maître X, je vous présente Brenda STEVENS. Mais je crois que vous vous êtes déjà parlés.

- Ravi de vous voir Brenda. Dites-moi, avez-vous apprécié ce moment avec les esclaves? Demande Maître X.

- Oui Monsieur. Répond Brenda.

- Avez-vous entendu ce que Maître Kévin leur a dit à propos de vous?

- Oui Monsieur. Répond encore Brenda en pensant qu'il faut qu'elle en dise le moins possible.

- Est-ce que le fait de pouvoir être leur Maîtresse vous intéresserait? Continue Maître X.

- Oui Monsieur, je crois que rien ne me ferait plus plaisir que ça, mais que voulez-vous en échange? Demande Brenda.

- Stop! Je ne sais pas encore si tu en es digne. Déshabille-toi et mets tes mains derrière ton dos!

Brenda reste immobile quelques secondes. Elle sait qu'elle a atteint le point crucial des négociations. Si elle se déshabille, elle aura le pouvoir. Et avoir Marcus et Jessie sous sa domination est tout ce qu'elle désire. Elle croise les bras et tire son haut par-dessus sa tête. Ensuite, elle croise les bras dans le dos et elle écarte les jambes. Ainsi elle donne une vue imprenable sur son corps à Kévin et Maître X.

Son fils sourit, car il trouve que les tatouages couvrant son corps lui donne un air sauvage. Maître X dit alors :

- Je ne sais pas Maître Kévin. Je pense qu'il va y avoir beaucoup de travail avant qu'elle réponde à mes normes. Je pense que le voisin d'à côté nous prendrait moins d'efforts.

Kévin se lève et fait face à sa mère avant de lui ordonner :

- Tourne-toi et éloigne-toi puis reviens!

Brenda s'éloigne fièrement la tête haute, puis tourne et reviens. Elle s'est toujours appliquée à garder un corps parfait. C'était la seule chose qui lui restait, Marcus lui avait tout pris et elle voulait se venger.

Kévin fait un clin d'œil à Maître X quand Brenda s'éloigne. Maître X comprend et dit alors :

- Non je pense que c'est une mauvaise idée, elle n'y arrivera pas.

Brenda ne peut plus se retenir :

- Comment ça je n'y arriverai pas? Je me suis débrouillée toute seule toute ma vie et il n'y a rien

que je ne peux pas faire pour y arriver. Alors, que voulez-vous?

Kévin reprend la parole :

- D'accord maman, voici le marché : Si tu veux pouvoir commander les deux esclaves, les diriger et assouvir ta vengeance, tu devras accepter d'être l'esclave de Maître X tout comme moi.

Brenda pâlit à ces mots. « oh mon Dieu, ils veulent que je sois leur esclave. Je ne peux pas faire ça. Mais je veux me venger de Marcus » pense-t-elle.

Kévin sait tout de suite qu'ils la possèdent. En vérité ce n'était pas une négociation pour savoir si elle allait le faire, mais seulement pour lui faire croire qu'elle négociait les termes.

- Vous serez marquée comme mon esclave et vous le serez pour toujours. Je vous utiliserai comme je le souhaite et quand je le souhaite. En retour, vous aurez le contrôle sur les esclaves et pourrez vivre comme leur Maîtresse. Vous les formerez jusqu'à ce qu'ils soient vendus. Cette formation sera de votre responsabilité et ce qui vous arrivera après leur vente dépendra de la façon dont vous avez fait votre travail. Nous vous donnerons des tâches à faire accomplir aux deux esclaves. S'ils les réussissent vous aurez une bonne note. S'ils échouent ou ne terminent pas, vous serez punie , vous recevrez une mauvaise note. Et si vous avez trop mauvaises notes, vous les rejoindrez dans l'esclavage. Des notes positives m'indiqueront que vous êtes apte à former d'autres esclaves. Voici les conditions, les acceptez-vous? Demande Maître X.

Brenda reste immobile quelques secondes avant de fixer l'écran d'ordinateur et de dire d'une voix claire :

- Oui Maître X, j'accepte.

Brenda fixe le sol et ne voit pas Kévin et Maître X afficher de grands sourires. Celui-ci répond :

- Bien, je t'accepte comme esclave, mais pour finaliser ton engagement tu devras aller chez le tatoueur dans la rue principale demain. Je l'avertirai et je te donnerai l'heure du rendez-vous. J'ai besoin que chacun de mes esclaves ait un code à barre tatoué sur le poignet droit. Une fois ceci fait, tu seras autorisée à prendre la formation des deux esclaves sous la direction de Maître Kévin. Il te donnera toute liberté pour accomplir les tâches données, mais tu devras les exécuter ou tu seras punie. Comprends-tu?

Brenda lève les yeux et hoche la tête.

- JE N'ACCEPTE PAS LES SIGNES DE TÊTE COMME RÉPONSE, TU DOIS RÉPONDRE EN PARLANT. Crie Maître X.

Brenda sursaute, mais répond rapidement :

- Oui Maître X, je comprends et je suis d'accord.

Kévin se dirige vers le bureau et tend à sa mère biologique une pile de papiers :

- Tu dois signer là. Dit-il.

Brenda s'assoit et commence à signer. Malheureusement, elle aurait dû prendre le temps de bien lire le document. Mais son désir de vengeance obscurcit son cerveau et elle signe tout ce que Kévin place devant elle.

A suivre...

jeudi 23 mars 2023

Comment j'ai gagné mes galons de pute Ch. 06

 Texte de Verovidecouilles 

Les copains de Rémy.

J’avais attendu le jeudi avec une impatience digne d’une adolescente avant son premier flirt. Il faut dire que je supportais de moins en moins la présence de Guy. Ne pas pouvoir baiser quand je le voulais avec son fils me pesait énormément et ça jouait beaucoup sur mon humeur. Je devenais odieuse avec mon mari: je lui cherchais des noises pour tout et rien, je ne manquais aucune occasion pour lui faire des reproches, ou pour me moquer de lui. Bref, une vraie peste. Mais ça ne me calmait pas. Combien de fois ai-je pensé à lui jeter au visage tous les détails de ma relation perverse avec Rémy ! En finir avec les caresses furtives (même si j’adorais les mains baladeuses de Rémy sous mes jupes quand Guy était dans la pièce à côté), les baises rapides en rentrant du travail, et pouvoir enfin assouvir tous les caprices de mon maître ! Projet séduisant au premier abord, mais qui aboutirait fatalement à diviser mon train de vie par 3, au bas mot… Et je n’étais pas prête à ça, j’aimais trop mon petit confort.

Et puis aussi, qui aurait payé ma lingerie ? Certainement pas moi, (je gagnais trop peu au regard des fortunes que je dépensais dans ces petits bouts de tissu) et encore moins Rémy, qui était sans le sou et qui dépendait financièrement de son père. Du reste, je ne me lassais pas de ce petit plaisir méchant d’aller acheter des bas et des tenues affriolantes avec la carte bancaire de mon mari, pour ensuite en faire profiter son fils.

Ce petit jeu m’excitait tellement qu’en la matière mon imagination devenait fertile: j’avais par exemple demandé à Rémy de « baptiser » mes strings de dentelle. Une fois rentrée de ma journée de shopping, après avoir procédé à l’essayage de mes achats (chose que Rémy adorait par-dessus tout), je lui demandais d’éjaculer dans mes culottes neuves, puis je les rangeais dans mon placard. Quel bonheur au moment de les porter pour la première fois avec mon mari de sentir le sperme séché de Rémy contre ma toison ! 

Justement, le jeudi en question, j’avais mis une de ces culottes. Le matin, je l’avais enfilée en mouillant déjà à la perspective de la soirée qui m’attendait. Mauvaise idée d’ailleurs, car j’avais eu beau me faire baiser à trois reprises comme une chienne par mon patron, dès que je remettais ma petite culotte, le contact du tissu imprégné de la semence de Rémy sur ma vulve faisait affluer le sang dans mon clito, ce qui fait que j’ai passé mon temps à me tripoter sous mon bureau afin d’apaiser ma chatte en chaleur.

Rémy était dans le couloir lorsque je suis entrée. J’avais pris l’habitude de ne dire bonjour à Rémy qu’en embrassant et en léchant ses couilles. Dans le meilleur des cas (c’est-à-dire, à l’époque, quand mon mari nous foutait la paix pendant au moins 24 heures, et désormais tous les jours depuis que je vis avec Rémy) c’est trois fois par jour: le matin au réveil, en rentrant du travail et le soir avant de dormir. J’adore ça, parce que souvent Rémy s’abandonne à mes caresses buccales et il me laisse lui pomper la queue et avaler son sperme sans faire d’histoires. Je dis « sans faire d’histoires » car Rémy se plaint fréquemment de ne pas pouvoir profiter assez de ma chatte et de mon cul. Mais que voulez-vous, j’aime tellement qu’il me nourrisse avec son gros biberon…

Donc, après un rapide baiser baveux, je me suis agenouillée pour cajoler ses testicules lourds du foutre accumulé au cours de la journée. Quand j’ai vu que sa bite se mettre au garde-à-vous, j’ai embouché sa queue. Il a eu un soupir de bonheur quand mes lèvres ont commencé à lui téter délicatement le gland.

-« Ooooh! Doucement, petite pute, tu vas me faire gicler… »

C’est vrai que je sais m’y prendre avec lui : à croire que je suis née pour lui traire les couilles ! Pour toute réponse, j’ai creusé mes joues pour le téter un peu plus fort. Il s’est retiré brusquement 
:
-« Ce que tu es gloutonne ! Attends un peu ! J’ai invité quelques amis… Viens, je vais te les présenter… »

J’ai miaulé: 

-« Non! Ton jus d’abord…

- T’inquiète pas, tu vas en avaler, du foutre !

- C’est vrai ?

-Mais oui, je le promets ! A vrai dire, tu n’auras même rien d’autre à manger jusqu’au retour de mon père…»

A cette phrase, j’ai frissonné de bonheur. Rémy m’a relevée et m’a roulé un énorme patin tandis que je sentais ma chatte se liquéfier, puis il m’a prise par la main et m’a entraînée vers le salon. Sa bite était bien trop gonflée d’excitation pour qu’il puisse la remettre dans sa braguette, et c’est donc la queue à l’air qu’il m’a conduite dans le salon où 6 types de l’âge de Rémy étaient assis. Quand nous sommes rentrés, les 6 paires d’yeux se sont braquées sur moi.

-« Voilà! Je vous amène ma belle-mère, mon vide-couilles personnel ! » 

Les copains de Rémy ne devaient pas croire à leur chance. L’un d’eux a dit :

-« C’est pas croyable, tu te fous de notre gueule…

- Pas du tout! Soulève ta jupe, salope… » a ordonné Rémy en me donnant une tape sonore sur les fesses.

J’ai piqué un fard en sachant ce qu’il y avait dessous. Maladroitement, j’ai relevé ma jupe sur ma taille, découvrant mes bas noirs maculés de sperme. En plus, je ne portais plus de culotte: Pierre me l’avait confisquée (souiller mes dessous était quelque chose que lui aussi aimait bien. Cela concernait aussi bien mes culottes que mes soutien-gorge. Il me les rendait le lendemain souvent encore humides de son sperme, et je devais les porter le reste de la journée et me caresser la chatte et les seins au travers du tissu, assise devant lui sur son bureau, entre autre…). Un murmure a parcouru le salon.

-« Son patron et moi, on la défonce par tous les trous; ils sont très accueillants comme vous allez pouvoir le constater ! Vous avez vu la dose de foutre que ma pute ramasse en une journée ? D’habitude, ça part dans ses trois trous, mais je tenais à vous montrer… Maintenant, la petite souillon va aller se changer, pour bien nous donner envie de la bourrer, n’est-ce pas ?

- Que veux-tu que je mette ? » demandai-je timidement.

-« Tu le sais… Et puis bien sûr, tu gardes tes bas sales ! »

Je savais en effet à quoi Rémy faisait référence… Guy m’avait très gentiment offert il y a deux semaines (oui, offert, vous avez bien lu: en plus des fortunes que je dépensais en lingerie avec son argent, il trouvait encore le moyen de m’en offrir !) un sublime déshabillé de soie noire transparente dont le col et les manches étaient agrémentés de duvet. Il était extrêmement sexy, le voile était si fin qu’il ne cachait rien du tout de mon corps, mais je n’avais pas encore eu l’occasion de l’étrenner : lorsque j’avais ouvert le paquet, j’avais aussitôt feint le mécontentement en disant à mon mari que quand même, il ne fallait pas exagérer, que je n’étais pas une pute, et sous ce prétexte, j’avais refusé de l’essayer ! En fait, je savais que cela plairait beaucoup à Rémy et je voulais le réserver pour lui seul. Mon pauvre mari, tout penaud devant ma réaction, n’a pas insisté, et il s’est même excusé pour sa faute de goût, ce qui m’a beaucoup fait rire lorsque je l’ai raconté à Rémy.

J’ai complété ce « vêtement » par mon porte-jarretelles et mes bas tâchés; pour les chaussures, une paire de très hauts talons vernis avec une bride de cheville ferait l’affaire. J’ai fait sensation quand je suis revenue dans le salon ! Je m’étais remaquillée, coiffée, parfumée, et mon déshabillé ne cachait rien de ma lingerie, pas plus qu’il ne masquait mes seins lourds ou le triangle de poils de ma chatte… 

J’étais très angoissée par les réactions: je me sentais ridicule d’être vêtue comme une pute de bas étage devant eux, mais heureusement les invités de Rémy m’ont immédiatement rassurée en poussant des sifflements d’admiration qui — l’alcool aidant — ont rapidement laissé la place aux commentaires salaces.

-« pas mal !

- pas mal ? Tu veux dire que c’est une superbe femelle !

- une superbe pute, d’après ce que dit Rémy…

- va falloir qu’on vérifie !

- on va lui en mettre plein le cul, à cette salope… » 

En dépit des commentaires injurieux, j’ai osé lever les yeux sur mes spectateurs. Ben… Je devenais folle, ou quoi ? Tout à l’heure, ils étaient bien six ! Pourquoi est-ce que j’en comptais huit à présent ? D’un air faussement assuré, j’ai demandé à Rémy :

-« Tout le monde est là, où t’attends encore des gens ?

- petite insolente ! » m’a répondu Rémy, « tu feras ce que je te dirai de faire ! Mais puisque tu es si curieuse, sache qu’il manque encore mes copains du hand qui avaient un match ce soir et qui arriveront un peu plus tard… ». 

La sonnette a retenti. 

- « …plus deux ou trois autres personnes… »

Mince! Une équipe de hand-ball, c’est combien de joueurs, au fait ? Je ne savais plus très bien, mais il ne fallait pas compter moins de six autres bonhommes. J’ai de nouveau jeté un regard vers la réunion masculine. Ces 8 là, plus les handballeurs, plus celui ou ceux qui arrivaient, plus Rémy, ça faisait au moins à 16 ! Soudain, j’ai eu la trouille.

Quand Rémy est revenu près de moi après avoir été ouvrir, je lui ai murmuré discrètement :

-« Rémy, je ne veux plus… »

16 hommes — au moins — pour un premier gang-bang, c’est un peu excessif, convenez-en ! Déjà qu’avec Pierre et Rémy, je finissais sur les rotules, alors là… Et puis surtout j’avais honte. Honte de savoir que j’allais sans doute adorer d’être à leur totale disposition, honte de savoir que j’allais sans doute jouir à n’en plus finir sous leurs assauts, et ma dignité de femme refaisait surface une dernière fois. Le chant du cygne quand on voit la pute que je suis devenue…

En tout cas, j’ai dû avoir l’air drôlement convaincante, car pour toute réponse, Rémy a rigolé, il m’a embrassé tendrement tout en me caressant la joue et m’a répondu, assez fort pour tous puissent entendre :

-« Ne fais pas ta timide… Tous mes amis savent que tu aimes le sperme ! Ne t’inquiète pas, ils ne seront pas du tout choqués de te voir te goinfrer de leur semence ! Je suis même sûr que si tu leur demandes gentiment, ils veilleront à t’en donner plein… Pas vrai les gars ? »
 
L’assistance a approuvé.

-« Te voilà rassurée ? Allez, dépêche-toi d’aller les sucer, je suis sûr que t’as le ventre qui gargouille d’impatience… » m’a-t-il dit en passant sa main sur mon estomac.

J’ai tout de suite senti des ondes de plaisir parcourir mon bas-ventre. Il sait y faire, ce petit salaud et il n’en fallait pas plus pour que je cède ! Je me suis avancée au milieu de la pièce en me déhanchant et en me caressant la chatte comme une salope, j’ai ouvert les pans de mon déshabillé pour faire apparaître ma vulve poilue et mes seins dont les tétons pointaient durement. En jetant des œillades à l’assistance, j’ai posé une jambe sur la table basse et j’ai ouvert avec mes doigts mes lèvres intimes, qui étaient brûlantes et toutes collées par ma mouille. Sentir tous ces regards sur moi, savoir que ces mâles étaient venus pour me sauter moi et moi toute seule, ça me rendait dingue d’excitation. Un copain de Rémy, le plus téméraire ou le plus excité par la scène, je ne sais pas, a sorti sa bite bandée à bloc et a commencé à se branler doucement. Il s’est adressé à Rémy :

-« Elle accepte tout, tu disais ?

- absolument tout ! » a confirmé Rémy. «Vous pouvez l’enculer, la baiser, vous faire sucer ou branler, seuls ou à plusieurs. Et n’hésitez pas à lui gicler dans les trous, elle adore ça ! Hein traînée ?

- J’avale aussi… » ai-je précisé, soucieuse qu’ils n’oublient pas ma gorge assoiffée… 

-« Ah ! Ah ! Viens me montrer ça ! » s’est exclamé le copain de Rémy. 

La vue de cette queue prête à cracher son jus a achevé d’anéantir ma maigre résistance. Sur un signe de tête de Rémy, je suis allée m’installer entre les jambes du jeune homme, je l’ai débarrassé de son pantalon et de son caleçon et, en bonne élève appliquée, j’ai commencé par lécher ses bourses poilues.

-« Eh, les mecs ! Z’avez-vu ça ? Cette salope me bouffe les couilles ! » a-t-il commenté.

Des ricanements et des insultes ont fusé. S’il ne fallait que ça pour les impressionner, ils n’allaient pas être déçus du reste ! Après quelques instants, j’ai englouti la bite qui s’est mise aussitôt à gonfler et à tressauter. Bon signe ! Tout de suite, je me suis mise à saliver comme une chienne car je savais que c’était le signe précurseur d’une bonne rasade de foutre chaud au fond de ma gorge ! Elle est arrivée, abondante, un peu liquide et presque sucrée. J’ai dégluti sagement puis je suis passée à la bite d’à côté. Celle-là non plus n’a pas été longue avant de m’envoyer sa purée. Cette fois, c’est un jus très âcre et très épais qui a empli ma bouche. Surprise, je découvrais que tous les spermes n’avaient ni le même goût, ni la même consistance. Du coup, je me suis ruée sur une troisième queue alors que j’avais à peine fini d’avaler le sperme de la deuxième, tellement j’étais pressée de tous les goûter. 

Toujours à genoux, Rémy m’a ordonné de me mettre en levrette en écartant bien les cuisses. Pendant que je continuais ma pipe, les autres sont passés derrière moi et ont admiré l’intérieur de ma fente que Rémy maintenait ouverte avec ses doigts. J’ai senti d’autres doigts s’introduire dans mon vagin ou titiller mes petites lèvres et mon clitoris, et je coulais comme une fontaine. Des mains ont caressé mes seins au travers de mon déshabillé; parfois, on me pinçait mes tétons raides d’excitation, ce qui me faisait grogner de contentement. Deux autres types ont encore gratifié ma bouche du contenu de leurs testicules puis, dans ma position de chienne, avec une bite dans la gueule, j’ai pris ma première queue de la soirée dans le vagin. 

Un des copains de Rémy venu se placer contre mes fesses et il m’a enfilée d’un seul coup. J’ai poussé un soupir de soulagement d’avoir la chatte enfin remplie: ça commençait sérieusement à me gratter l’intérieur du con ! Hélas, mon baiseur n’a pas pu résister très longtemps aux contractions et à la chaleur de mon vagin qu’il a inondé de sa jute au bout de quelques instants seulement. Il a été suivi de près par celui que je suçais. Farcie par les deux bouts, j’ai quand même eu un orgasme fantastique ! Le type que je suçais a fini de se vider, il s’est retiré et un autre l’a aussitôt remplacé. Mon vagin non plus n’est pas resté vacant très longtemps avant qu’une autre queue vienne le combler. Celui qui me baisait m’a traitée de vide-couilles en éjaculant en moi. Ce terme m’a électrisée et je me suis mise à hurler :

-« Ouiiii ! Je suis un vide-couilles ! Je veux que vous veniez tous décharger dans mes trous de pute… Aaah ! Tout ce foutre dans vos couilles ! Je ferai tout ce que vous voudrez… remplissez-moi à ras-bord... »

Je crois que les copains de Rémy ont été sur le moment un peu surpris, car c’est le silence qui a accueilli mes cris de chienne en rut. Heureusement, l’un deux a tout de même fini par dire :

-« T’inquiète, on va t’en donner !

- Regardez les gars, elle a la chatte qui déborde… » a ajouté le type qui venait de se vider tout au fond de ma matrice.

Je sentais en effet que ma moule commençait à dégorger les giclées que l’on venait à peine de lui administrer. Le sperme s’écoulait le long de ma vulve et venait noyer mon clitoris avant de tomber sur le sol. Instinctivement (je parle d’un instinct de putain), j’ai porté la main à mon entrejambe pour récupérer le foutre que j’ai ensuite léché avec gourmandise. Ce que c’est bon d’avoir le vagin plein de sperme ! Les garçons ont applaudi mon initiative de salope, puis l’un d’eux a pris place pour me baiser encore. Au total, tous les copains de Rémy me sont passés dessus une première fois, jouissant ou dans ma bouche, ou dans ma chatte.

A la fin, Rémy m’a demandé de m’allonger sur le tapis, les cuisses bien écartées pour exhiber ma chatte engluée de foutre. Je ne me suis pas faite priée et j’ai même tiré sur mes lèvres vaginales en relevant mon bassin pour qu’ils puissent mieux voir ! Je me sentais bien dans mon rôle de salope et je voulais les exciter pour jouir encore. Puis Rémy, qui était le seul à ne pas m’avoir encore juté dedans, m’a dit:

-« je t’aurais bien fait du broute-minou, mais vu l’état de ta chatte, va falloir songer à autre chose… »

Les invités ont pouffé tandis que Rémy m’a fait me remettre à quatre pattes. Je m’interrogeais sur le trou qu’il allait choisir. J’ai vite eu la réponse quand il a enduit mon anus de sperme ! Après quelques efforts, mon cul déjà bien entraîné a absorbé sa queue épaisse jusqu’à la garde et j’ai émis de petits glapissements de chienne quand Rémy a entamé son va-et-vient.

-« écoutez la petite chienne comme elle est heureuse quand elle a une bite dans le cul ! T’aimes ça, hein, salope ?

- Oui, mon amour, encule-moi bien, j’adore ça…

- moi aussi j’adore ça, enculer une pute avec du sperme plein la chatte… »

Rémy a continué, il prenait son temps et jouait vicieusement avec mon cul. A chaque mouvement, il veillait à bien faire ressortir sa queue de mon anus pour me la remettre aussitôt en s’enfonçant le plus loin possible. Cette sodomie exquise, en public de surcroît, me rendait lascive au plus haut point. Je bougeais mes fesses pour aller à la rencontre de la bite de mon amant et je gémissais en cadence, c’est-à-dire à chaque fois qu’elle était bien au fond de mon trou. Soudain, Rémy s’est retiré de mon cul et il m’a pénétré le vagin en éructant :

-« Tiens, prends aussi mon sperme dans ta chatte de pute ! »

J’ai joui en sentant sa semence asperger mon utérus. Je suis restée un moment à quatre pattes, abasourdie, puis j’ai regardé autour de moi et j’ai pu constater avec ravissement que les premiers à qui j’avais servi de déversoir étaient prêts pour m’accorder d’une deuxième tournée de jus de couilles. En attendant, Rémy a collé trois doigts dans ma chatte visqueuse puis les a retiré en disant :

-« Bien fécondée, la femelle… Heureusement qu’elle est sous stérilet : si elle tombait enceinte, cette pute ne saurait pas qui est le père ! On va la vider un peu… » 

Rémy m’a relevée et m’a faite asseoir sur un fauteuil dans sa position favorite: les jambes bien écartées et posées sur les accoudoirs ! Avec la cuillère souple dont il se servait de temps en temps (et dont je vous ai déjà parlé), il est allé récupérer le foutre qui baignait au fond de ma chatte pour le porter à ma bouche avide. Il s’y est repris à six ou sept fois tellement j’étais pleine ! Je me suis régalée d’autant plus que ma chatte avait conservé le foutre bien au chaud (même si je suis une bouffeuse de sperme insatiable, je déteste quand il a refroidi; hélas pour moi, Rémy s’en moque éperdument…). Mes baiseurs ont assisté à la scène complètement médusés. J’étais très fière de mon effet, et j’ai décidé de continuer à leur en mettre plein la vue.

Une fois la jute passée de ma chatte à mon estomac, deux gars à la queue dressée se sont approchés pour se mettre de part et d’autre de mon visage, et l’orgie a repris. Je crois que pendant les trois heures qui ont suivi, ma bouche n’est pas restée vide plus de cinq secondes, car il y avait toujours une bite à téter ou une paire de couilles à dorloter. Quant à mes cuisses, je n’ai pas pu les refermer un seul instant à cause des queues qui occupaient en permanence ma chatte ou mon cul. Assise sur le fauteuil, ma bouche passait alternativement de la bite de gauche à celle de droite pendant que face à moi, un homme me défonçait un des mes orifices, le plus souvent mon cul. Bien vite, je me suis aussi retrouvée avec une queue dans chaque main, puis comme Rémy a estimé que ce n’était pas très pratique pour qu’ils puissent profiter de moi correctement, il a étalé une couverture sur le tapis et je suis allée m’allonger dessus.

Aussitôt sur la couverture, la ronde des doubles pénétrations (voire des triples, si on compte également ma bouche…) a débuté. J’ai dû m’allonger sur un type qui a fourré illico sa bite dans mon cul dilaté et un autre s’est introduit dans mon vagin tandis deux compères me maintenaient les jambes bien ouvertes. J’étais traitée comme une vraie poupée à sperme, docile et accueillante ! Dans la mesure où ils avaient déjà tous joui une fois, la deuxième série de pénétrations a été autrement plus longue que la première. Mes muqueuses, avec toutes ces queues qui me limaient, commençaient à être à vif, mais je savais qu’il était inutile de demander grâce car je n’aurais pas eu droit à d’autres réponses que : « ferme-là et suce, salope ! ». 

Ils m’ont utilisée à leur guise et la soirée a été orgiaque: j’ai encore sucé, j’ai été baisée et enculée, jusqu’à ce que leurs burnes soient à sec. Entre-temps, l’équipe de hand était arrivée. A un moment, deux potes de Rémy ont eu l’idée de me fourrer le vagin tous les deux en même temps. Il était tellement lubrifié par le sperme qu’il a laissé passer les deux queues sans difficulté. J’ai adoré être ainsi remplie, et j’ai poussé de petits halètements de chienne pendant tout le temps où ils m’ont besognée ! Rémy, très excité, s’est approché pour se faire sucer. Quand les deux mâles ont joui dans mon orifice, j’ai abandonné la queue de Rémy pour lui murmurer :

-« Oh, mon dieu, ils me jutent dedans… ta pute est remplie de sperme, Rémy chéri, c’est si bon… »

Ces deux salauds m’ont tellement dilaté la chatte que les autres ont estimé qu’elle n’était plus bonne à rien. Du coup, ils se sont concentrés sur mon petit trou qui, malgré le passage incessant des bites, restait plus serré. Au bout du compte, j’ai joui par le cul à n’en plus finir ! Lui aussi a eu sa dose de foutre ! Quand tous eurent bien profité de moi, je me suis effondrée comme une masse à même la couverture, suintante de sperme par tous les orifices. Hélas pour mes pauvres orifices endoloris, ce repos a été de courte durée. Je n’ai pas tardé à être réveillée par une bite qui cherchait l’entrée de mon conduit vaginal. J’ai d’instinct écarté les cuisses pour faciliter sa pénétration et tous les hommes présents me sont encore repassés dessus, dont deux fois pour certains !

Au petit matin, Rémy a estimé que cela suffisait. Mon déshabillé était luisant de sperme, tout comme mes bas dont les attaches de porte-jarretelles étaient défaites, ou mes orifices endoloris qui suintaient de jus. Les derniers participants sont partis et nous sommes allés nous coucher. Enfin, je devrais dire que Rémy est allé se coucher, parce que moi, j’ai dû dormir sur la couverture souillée de foutre. Je m’en fichais, j’étais tellement épuisée que je me suis endormie rapidement, après avoir savouré pendant quelques instants les effluves de sperme qui se dégageait de ma couche.

Vers midi, mon portable m’a réveillée. C’était mon mari qui m’annonçait que sa réunion était annulée et qu’il rentrait. Celle-ci devant, d’après mes souvenirs, se passer à Rouen, il lui faudrait environ une heure avant d’être à la maison, et vu le bazar qui y régnait, la panique m’a vite envahie. Je suis allée précipitamment alerter Rémy qui a aussitôt bondi de son lit pour me donner un coup de main, tout aussi affolé que moi. Nous avons fait le plus gros, mais quand mon Guy est arrivé, je n’avais pas encore eu le temps de me doucher. Je puai le sperme, mais mon mari n’a pas semblé s’en apercevoir. En revanche, une tâche de sperme maculait son fauteuil préféré, celui sur lequel son épouse s’était faite enfiler à la chaîne la veille au soir, et il l’a remarquée. Devant son étonnement, j’ai bafouillé que c’était une tâche de crème glacée. « t’aurais pas pu trouver plus con ? » ai-je immédiatement pensé. Pourtant, c’est passé. Guy a râlé contre ma maladresse, puis il s’est assis en poussant un long soupir. Quant à moi, je décidai de ne pas tenter le diable plus longtemps et je suis allée prendre ma douche. 

Rémy, qui était censé être à la fac, s’était éclipsé peu avant le retour de son père. En rentrant, il était un peu inquiet de la réaction de son père. Quand il m’a demandé, j’ai été prise d’un violent fou rire, et c’est avec beaucoup de mal que je suis parvenue à lui raconter l’épisode de la tâche de « crème glacée »… 

-« ton père est le roi des cons ! » ai-je conclu, rieuse, tandis que je m’agenouillai devant Rémy. J’ai pris un plaisir infini à lui pomper la bite avec amour et j’attendais impatiemment qu’elle me crache son onctueuse purée.

-« Alors, salope, on oublie les règles ? »

Zut ! Je ne pouvais pas me faire gicler dans un de mes orifices si je ne portais pas de bas, je le savais. Son père était dans le salon, et il y avait peu de risques qu’il monte à l’étage. J’ai lâché la queue de Rémy pour enfiler une paire bas auto-fixants noirs (dans ces circonstances, mon maître les tolérait). Je l’ai rejoint dans sa chambre. Là, je me suis lovée contre sa jambe, ma bouche à bonne hauteur, et j’ai pompé son gland comme un veau pompe le pis de sa mère, malaxant ses couilles recouvertes de ma salive. Sa décharge est arrivée, abondante, et j’ai tout englouti en gémissant de bonheur. Un instant après, mon mari m’appelait du salon pour savoir à quelle heure le dîner serait servi. C’est vrai, manger, je n’y pensais plus! Rémy ne m’avait pas menti, je n’avais rien avalé d’autre que du sperme depuis les dernières 24 heures, et je n’avais même pas eu faim !

A suivre...