Texte de Claire de ma lune
Avec une nouvelle copine.
Je pense m’être faite désirer depuis quelques mois, mais ma situation a quelque peu changé. Effectivement, deux événements important sont venus perturber ma vie, Hussein a été arrêté pour situation irrégulière sur le territoire et Khaled a disparu sans laisser d’adresse. Me voilà donc sans mes deux amants, ne me restant que Serge qui vivant en foyer, ne me laisse pas beaucoup de latitude pour mes joyeuses parties de jambe en l’air.
Avec beaucoup de prudence, un soir je l’ai accompagné dans le foyer en prenant bien soin d’être la plus discrète possible. On a pu donc baiser dans sa chambre, mais je n’y ai pas pris un pied exceptionnel, alors pour me donner le frisson, il m’a emmené dans la douche à l’autre bout du couloir. Il était certes près de deux heures du matin, mais on était dans un bâtiment avec plus de 120 bonhommes qui n’avaient certainement pas eu l’occasion de voir une femme depuis un moment.
Il m’a sodomisé sous la douche avec la main sur le visage pour m’empêcher de réveiller quelqu’un et là j’ai vraiment pris mon pied. Avec une petite anecdote qui va vous faire sourire, car pendant qu’il me travaillait le derrière, je m’étais introduit un savon entier dans la chatte pour corser la pénétration, et c’est surtout à ne pas faire car c’est très agréable pendant l’acte mais irritant au possible au bout d’une quinzaine de minutes. Et malgré de multiples rinçages, je suis resté plus d’une journée avec l’entrejambe toute irritée.
Je n’ai pas voulu renouveler l’expérience, et comme Serge n’était pas d’une grande imagination, c’est moi qui lui ai demandé s’il ne connaissait pas quelqu’un chez qui on pourrait se rencontrer. Il m’a laissé une dizaine de jours sans nouvelles, avant de me dire qu’il avait trouvé un appartement où l’on pourrait se voir l’après midi.
Je l’ai donc rejoint à l’adresse indiquée dont effectivement il avait les clefs. La seule chose qu’il avait oublié de préciser, c’est ce n’était pas un, mais une amie qui occupait l’appartement et quelle ne fut pas ma surprise la troisième fois où j’y suis allé, de voir entrer cette femme alors que j’étais en 69 sur mon grand black.
Je ne l’ai pas vu tout de suite, et c’est seulement quand elle a ouvert la bouche pour commenter mon enthousiasme à le sucer.
- houa, elle l’aime ton gros machin !
Je me suis relevée brutalement en entendant cette voix, me demandant encore comment je ne lui avais pas cassé le nez et je me suis caché les seins avec les mains.
- T’inquiètes pas madame, continue et laisse-m’en un morceau quand t’auras fini !
Serge m’a attrapé par les hanches et comme une poupée de chiffon m’a renvoyé à mon ouvrage. Et j’entendais la femme derrière moi faire des commentaires.
- Tu lui as mis ton machin dans les fesses, c’est encore tout ouvert !
Bizarrement, ça ne m’excitait pas vraiment, mais ça me faisait rire. Elle s’est déshabillée, et le plus simplement du monde, elle est venue le sucer avec moi. Je me suis relevée pour lui laisser la place et surtout voir à quoi elle ressemblait. Elle devait avoir une dizaine d’années de plus que moi, une paire de fesse énorme et des mamelles de vache. Je n’avais encore jamais vu une noire nue et qui plus est, avalant goulûment l’éclair au chocolat de mon amant. Elle n’était pas vraiment belle, mais elle aimait le cul sans fioriture, car elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et a demandé à Serge de venir la lui mettre dans la chatte qu’elle s’écartait avec les doigts. Il lui a tout mis d’un coup, et je regardais la scène devant moi, ne réalisant même pas que j’étais en train de me masturber.
Cela a bien duré une vingtaine de minute, il faut dire que c’était quand même pour lui la troisième fois de l’après midi et ce n’était pas pour déplaire à sa partenaire qui couinait bruyamment. J’ai joui aussi, bien que n’étant que spectatrice de la scène.
On est resté plusieurs minutes à reprendre notre souffle et j’ai commencé à discuter avec elle. Je vous passe son accent que je n’arrive pas à retranscrire à l’écrit, mais alors que Serge s’était déjà rhabillé pour partir et que moi j’allais faire de même, elle me demanda si je voulais bien rester discuter un peu avec elle. Je n’étais pas très à l’aise, mais je suis tout de même resté. Elle a enfilé un peignoir et s’est rendu dans la cuisine pour nous préparer un café. Bien qu’étant venu plusieurs fois, j’ai pris le temps de regarder un peu son intérieur, qui certes ne respirait pas la richesse, mais qui était très propre.
Devant une tasse de café elle m’a demandé depuis combien de temps je connaissais Serge, si c’était du sérieux. Elle eut l’air satisfaite quand je lui ai répondu que c’était juste pour le sexe et que j’étais mariée.
- Toi au moins t’es franche et j’aime bien !
Bien sûr c’est le sexe qui est resté au centre de la discussion, et elle m’avoua qu’elle aimait beaucoup ça, mais qu’avec les années et son physique, ce n’était plus franchement souvent fête. De fil en aiguille, elle me fit une proposition qui me plut beaucoup. Elle me proposa si j’étais d’accord de me mettre en contact avec des hommes qu’elle connaissait, mais en me demandant de pouvoir aussi en profiter un peu. Je lui précisais que j’avais prise l’habitude d’en avoir plusieurs en même temps et cela eu plus l’air de lui plaire que le contraire.
La première fois ce fut seulement avec Serge, mais il avait déjà du mal avec moi toute seule, alors je ne vous dis pas avec deux affamées. Le seul truc original que j’ai vu ce jour-là, c’est qu’elle lui mettait le doigt dans le cul quand elle le suçait et cela n’avait pas l’air de lui déplaire.
Elle me présenta ensuite à quelqu’un à qui elle dit le plus simplement du monde que je voulais juste me faire sauter par un noir. Je fus un peu déçu, car bien que bel homme d’une cinquantaine d’année, il était un peu cours physiquement et bien que ce fût agréable, on ne peut pas dire que j’ai pris mon pied. Je n’ai pas eu besoin de faire de commentaire, elle comprit de suite que c’était autre chose que je cherchais.
Elle me fit donc revenir la semaine suivante en m’annonçant qu’elle avait une surprise pour moi. Quand je suis arrivé, il n’y avait encore qu’elle et elle me demanda d’aller me déshabiller et de m’allonger sur le lit. J’ai entendu frapper à la porte et des voix d’hommes se sont élevées dans l’entrée. Elle les a fait rentrer dans la chambre, pour leur montrer qu’il y avait une petite bourgeoise blanche qui les attendait pour se faire sauter.
- Elle est pas bien grosse, mais elle a le feu au cul !
Ils se sont plutôt vite déshabillés et comme c’est souvent le cas, ce fut une séance de pipe en règle. Malgré la taille tout à fait normale de leur sexe, j’y pris un grand plaisir car cela faisait de longues semaines que je ne m’étais pas offerte ce genre de plaisir.
J’ai eu droit à une belle partie de baise dans les règles avec mon amie Annie (ce n’est pas son vrai prénom) qui se chargeait de les remettre en forme quand ils avaient le pavillon en berne. Là elle a réalisé ce que j’aimais vraiment, elle m’a d’ailleurs demandé clairement combien il m’en fallait pour me satisfaire, elle n’en revenait pas de l’ardeur que j’y avais mis.
J’ai recommencé deux autres fois avec les mêmes hommes en ajoutant toutefois des dessous provocants, car l’expérience aidant, je savais que cela motivait largement mieux les ardeurs. C’est vrai que je les ai trouvés plus pervers de s’envoyer la petite blanche en porte-jarretelles et mon petit cul s’en est trouvé bien récompensé, ainsi que celui de ma copine qui a adoré sa première double pénétration. Finalement avec une autre femme, c’était devenu beaucoup plus drôle et moins sordide.
Je trouvais d’ailleurs vraiment excitant, quand l’une des deux encourageait les hommes à en faire toujours plus, quand la complicité s’installe, deux femmes sont finalement plus perverses que ces messieurs. L’amalgame de la planche à pain au petit cul tout pale et la doudou noire toute en rondeur faisait fureur.
Cela faisait à peine un mois que nous nous connaissions, quand elle me demanda si je voulais l’accompagner danser au « Coconuts », une boîte créole à l’autre bout de la ville. J’étais d’accord bien sûr, mais il fallait attendre que j’aie une opportunité avec mon mari pour pouvoir sortir le soir, quand il était absent.
J’ai dû attendre quatre semaines avant d’avoir enfin cette opportunité, qu’il parte faite un stage de cinq jours au Luxembourg. Ce soir-là, c’était sortie sans culotte et c’est moi qui devais servir d’appât pour la fin de soirée. A l’intérieur, hormis une des serveuses, j’étais la seule blanche au milieu de tous ces noirs et bien que ma jupe m’arrivait à mi-cuisse, je la trouvais tout à coup ridiculement minuscule.
La musique était sympa, le punch était bon et Annie connaissait plusieurs personnes qui nous tenaient compagnie. Finalement, s’il n’y avait pas eu l’alcool et la chaleur, je crois que cela aurait été une soirée tout à fait normale. Mais ma faible résistance à l’alcool m’a rendu toute joyeuse et a fait gentiment s’envoler toutes mes inhibitions.
Je me suis donc retrouvée pour le plus grand plaisir de ma copine, au milieu de la piste de danse, à me faire draguer par tout ce qui passait à ma portée. Pour le coller serrer, on peut dire que j’y ai vite pris goût au point de me retrouver bien souvent la jupe remontée sur mes fesses à l’air au milieu des danseurs. Si Annie n’était pas intervenue, je crois que je me serais faite sauter au milieu de la foule.
Elle a discuté avec l’un d’entre eux qui nous a proposé de venir finir la soirée avec ses amis chez lui. J’ai laissé mon amie prendre le volant de ma voiture, car je n’étais plus en état de conduire et on les a suivis jusqu’à une résidence plutôt pas mal. On était deux femmes pour neuf hommes au début et trois autres de plus qui les ont rejoints plus tard.
Même si ma copine avait plus de forme, c’était moi qui passais au pelotage en règle et quand j’ai passé la porte de l’appartement, j’avais déjà les nichons à l’air. Je me suis dégagée pour demander à tous de s’écarter pour que je puisse finir de me déshabiller ce qui ne fut vraiment pas long, et que mon amie puisse sortir les rouleaux de capotes de son sac.
- Maintenant je vous veux tous à poil et que vous déshabillez ma copine !
J’ai commencé à danser toute seule, mais très vite je fus entourée de partout par des sexes bien dur que je sentais se frotter contre mon ventre et mon dos. J’ai fait le premier zouk de ma vie, embrochée devant et derrière et sans toucher le sol. En moins de trente secondes, je criais mon premier orgasme, et ce ne fut pas le dernier. Je suis passée de bras en bras, debout, couchée, assise, et je me faisais emboîter comme un lego.
Annie elle étant un peu plus difficile à manipuler se faisait prendre les trois trous allongé par terre. Elle a tenu ainsi une bonne heure et demie, et moi une petite heure de plus, mais on a fini toutes les deux fourbus et saoules. On a dormi chez le propriétaire de l’appartement qui a eu le droit à l’exclusivité au petit matin de nos bouches, unique orifice qui pouvait encore servir.
En partant, Annie a pris son numéro de téléphone en lui promettant de le rappeler, et nous sommes rentrés en piteux état, mais heureuse de notre petite soirée.
On l’a rappelé quelques jours plus tard, mais à l’heure où j’écris ce texte, nous n’y sommes pas encore retournées.
FIN
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