Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.
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Jessie devient consciente de son statut d'esclave.
Lorsque le réveil sonne à 6H00, Julie est déjà réveillée et son corps est toujours excitée. Elle pleure de frustration, mais sa main dérive vers le vibromasseur et elle l'enfonce lentement et profondément dans son sexe. Elle arrive à rester ainsi dix minutes sans jouir. Et comme elle n'arrive pas à retrouver le sommeil, elle se lève et se dirige vers la salle de bain pour prendre une douche. Elle prie pour que l'eau froide diminue ses envies.
Julie n'a pas pris de vêtements avec elle et elle espère rencontrer quelqu'un pour compléter les ordres qu'elle a reçus. La dernière chose qu'elle souhaite, c'est que son Maître lui refuse tout soulagement parce qu'elle n'aura pas suivi les ordres.
Julie se tient sous la douche et laisse l'eau froide descendre en cascade le long de son corps. Toutefois, les flammes au fond d'elle font toujours rage malgré sa chair glacée. Après les derniers jours, peu importe ce qu'elle fait, son corps est toujours en feu et ses envies ne font que s'amplifier à chaque mouvement. Finalement Julie ferme l'eau et attrape une serviette pour se sécher. Toutefois, dès que le tissu en éponge doux touche ses mamelons, ses jambes la lâchent et elle tombe à genoux, retenant avec peine un orgasme.
Julie craque et se met à pleurer. Jamais de sa vie elle n'a connu de telles envies et de tels besoins. Elle pense à mettre des vêtements, mais cette pensée lui envoie des décharges électriques de haut en bas de sa colonne vertébrale. Elle se résigne et se lève lentement. Elle sort de la salle de bain et s'engage dans le couloir. L'air frais qui sèche son corps nu lui envoie des frissons d'excitation qui rendent difficile chaque pas. Elle passe devant sa chambre et descend les escaliers pour se rendre à la cuisine. Il est hors de question pour elle de porter quoi que ce soit.
Marcus se réveille. Il regarde sa femme nue encore endormie à côté de lui. Son visage est encore recouvert de la semence de son fils. Son corps réagit alors qu'il souhaite que ce soit sa propre figure qui soit recouverte de sperme. Il se glisse hors du lit et se rend aux toilettes pour se soulager et se brosser les dents. Il est nu et ne pense même pas à s'habiller. Il ne pense qu'à son fils et où il va devoir trouver une bite à sucer ce matin.
Marcus quitte la salle de bain et se dirige vers sa chambre. En passant devant celle de Kévin, il s'arrête. Une pensée lui traverse l'esprit et il se tourne pour ouvrir lentement la porte de son fils. Il jette un œil dans la pièce et est récompensée par la vue de son fils, nu sur le lit, sa magnifique bite allongée sur son ventre. Tout en sachant qu'il risque d'être puni, son envie et ses ordres l'emportent et il ne continue pas vers sa propre chambre.
Il se glisse dans la chambre de son fils et se dirige sur la pointe des pieds vers le lit. Plus il approche, plus il salive. Quand il arrive à côté du lit, il sait qu'il ne va pas pouvoir résister à son envie de bite.
Il se glisse aussi silencieusement que possible dans la couche de Kévin. Il ne veut pas le déranger dans son sommeil. Il ne veut que la queue et son nectar. Marcus se lèche les lèvres et baisse la tête. Il ouvre la bouche et lèche légèrement la tige. Quand il atteint le gland, il fait tourner sa langue autour. Il le sent frémir. A chaque coup de langue, le sexe s'allonge et devient plus dur. Quand il est presque complètement en érection, il ouvre la bouche et l'avale totalement. Un gémissement s'échappe de ses lèvres quand le sexe de Kévin touche le fond de sa gorge. Marcus est en extase, il fait glisser ses lèvres de haut en bas sur la bite la plus parfaite qu'il n'ait jamais goûtée.
Kévin s'est réveillé quand son père a commencé à lui lécher le membre. Mais il fait semblant de dormir tandis que sa lope de père lui prodigue une bonne fellation. Lorsque Marcus enfouit la bite au fond de sa gorge, Kévin ne peut plus faire semblant de dormir. Il attrape la tête de son père et commence à lui baiser la bouche. Après seulement quelques minutes, le jeune garçon explose et envoie jet après jet de sperme dans la gorge de Marcus.
Mais Kévin ne peut s'empêcher d'humilier à nouveau son paternel. Il décide de sortir sa bite et couvrir de sperme le visage de Marcus. Lorsque finalement il a fini d'éjaculer, il pousse son père sur le côté et lui ordonne :
- Tu es une vraie salope papa! Je crois que maintenant, chaque matin ; je veux que tu sois ici pour me soulager avant que je commence ma journée.
Marcus est à genoux, les mains dans le dos. Il hoche la tête et son corps s'enflamme, car il pourra sucer la bite de son fils chaque jour où il sera à la maison.
Kévin continue :
- Tu n'as pas le droit de laver ton visage. Je veux que maman et Julie voient le genre de lopette que tu es. Maintenant va t'habiller. Aujourd'hui je veux que tu sois en robe et talons.
Marcus gémit, non pas de l'humiliation, mais de désir. Il aime la sensation de la lingerie sur sa peau, car les injections qu'il reçoit font ressortir de plus en plus son côté féminin.
Kévin se moque de son père, sort de la chambre et descend à la cuisine. Il sourit en voyant Julie qui fixe son petit déjeuner complètement nue. Il avance derrière elle, tend ses mains et saisit les seins bien fermes. Julie perd son souffle et ses genoux se referment. Son excitation ne fait qu'augmenter à chaque contact.
- Tu sais frangine, je n'aurais jamais imaginé que tu sois une salope. Je suppose que je me trompais vu que tu es ici nue. Dit Kévin pour humilier et faire rougir Julie.
Le garçon ne porte qu'un slip de bain. Il poussa sa bite contre le cul de s sœur en disant :
- Ne t'avise pas de jouir petite salope, ou je t'enverrai avec maman chez M. ASH.
Julie gémit, mais réussit à garder le contrôle de son corps.
Marcus est le prochain à entrer dans la cuisine. Les réactions de ses enfants sont complètement différentes. Kévin éclate de rire et se moque de son père humilié. Julie hoquette et pleure presque quand elle le voit debout, en robe avec talons hauts et maquillé. Si son père est homosexuel, elle n'a aucune chance de pouvoir le séduire. L'idée de ne pas être en mesure de suivre les ordres qu'on lui a donnés signifie seulement qu'elle ne va obtenir aucun soulagement.
Kévin agit comme si ce n'était pas lui qui avait ordonné à son père de s'habiller ainsi. Il sourit et dit :
- Bon sang papa, qui aurait pensé que tu aimes te travestir? Pourquoi maintenant?
Marcus, qui ne sait trop que dire, bafouille :
- Je ne savais pas que vous étiez déjà levé, alors j'ai juste enfilé ça. Je suis désolé si vous êtes mal à l'aise. Je vais me changer.
Kévin glousse et ajoute :
- C'est peut-être mieux, on ne sait jamais qui pourrait te voir.
Il fait signe à son père de monter à l'étage pour se changer.
Kévin regarde l'expression du visage de Julie. Il sait qu'elle est désespérée. La jeune fille regarde son père partir, s'assoit sur une chaise et baisse la tête. Kévin saisit d'une main le menton de sa sœur et il lui relève la tête. Puis il se penche et donne à la jeune fille un baiser passionné. Julie fond et sa chatte dégouline. Si seulement ses ordres étaient de séduire son frère.
- Monte à l'étage salope et habille-toi! Un seul exhibitionniste dans la maison suffit.
Julie hoche la tête et obéit en sortant de la pièce.
Le reste de la matinée est assez normal, Si on peut appeler normal les occupations d'une famille d'esclave. Julie gémit encore et encore à chaque pas qu'elle fait. Marcus court dans la maison pour nettoyer et ramasser. Kévin reste assis dans la salle à manger comme un roi dans son château. Il est juste quelques minutes avant onze heures quand Jessie apparaît. Kévin la voit se diriger vers la cuisine.
- Où vas-tu esclave? Demande-t-il.
Jessie est surprise, elle n'avait pas vu son fils assis.
- Je suis désolé Maître, je ne vous avais pas vu. Je vais dans la cuisine puis je vais me préparer à aller chez le voisin. Répond-elle.
- Je crois plutôt que tu te caches pour éviter ta famille. Je pense qu'il est temps que tu apprennes où est ta place.
Kévin se lève et se dirige vers sa mère qui reste figée. Il lui attrape le bras, la tire vers le salon et la penche sur le canapé. Jessie grogne lorsque la première claque tombe sur son cul. Kévin attend un peu entre le premier coup et le suivant. Il savoure le sentiment de pouvoir, d'invincibilité et son contrôle sur tous les membres de la maison. Il sourit et chuchote à l'attention de Maître X :
- Bon sang, que j'aime ça!
Il lève de nouveau la main et gifle de nouveau le cul de sa mère. Il aime la façon dont les fesses tremblent à chaque coup. Le garçon donne une cinquantaine de claques avant de s'arrêter.
Jessie pleure hystériquement et supplie son fils d'avoir pitié. Elle sait que si son cul est douloureux maintenant, son voisin M. ASH ne fera qu'empirer les choses.
Après avoir arrêté, Kévin lui lance un collier rose et se dirige vers la cuisine pour prendre un café. Quand sa mère passe devant lui, il a une idée.
Jessie n'hésite pas, elle enlève sa culotte et la donne à Kévin. Quand elle se tourne pour sortir de la maison, le garçon lui donne une nouvelle claque sur son cul douloureux et dit :
- Tu as un beau cul maman. Sa couleur rouge va bien avec ton collier. Je crois qu'il devrait toujours être rouge.
Jessie sort de chez elle et traverse la petite bande d'herbe entre les deux maisons. Son cul la brûle et son corps doit être aussi rouge que son arrière-train. Le collier rose la serre à chaque pas. Elle déteste devoir aller chez son voisin. Elle ne peut pas le supporter. Il est gros, sent mauvais et il est vraiment vicieux. Son regard la fait toujours frissonner. Jessie n'est pas excitée et elle sait qu'elle ne le sera pas. Elle sait qu'il va lui faire faire des choses dégoûtantes. La dernière fois, c'était principalement des fellations, à part pour les neveux. Puis M. ASH lui avait fait lécher les planchers et ramper à ses pieds. Elle arrive à sa porte et remarque une note :
« Entre putain! Je serai au lit ou dans la salle de bain. Assure-toi d'être complètement nue! »
Le mot n'est pas signé, mais ça n'a pas d'importance pour une esclave. Jessie entre et enlève son peu de vêtements. Elle prend une profonde inspiration et monte à l'étage pour se soumettre.
Robert ASH attend que Jessie arrive. Il veut humilier complètement sa voisine. Il a toujours détesté la façon dont elle le regarde et fronce son nez. Il veut qu'elle sache quand il en aura fini avec elle qu'elle n'est plus rien. Elle est juste un insecte sous sa chaussure. Toute la nuit il a rêvé de ce qu'il allait lui faire. Intentionnellement il ne s'est pas douché après la séance de hier. Il veut être particulièrement odorant pour sa visite.
Lorsqu'il l'entend monter les escaliers, Robert se lève du lit et se dirige vers la porte. Le timing est parfait, car lorsqu'il ouvre la porte, Jessie est devant, nue comme ordonné.
Il attrape son bras et la tire vers la salle de bain.
- C'est parfaitement chronométré, je suis sur le point de me laver et tu vas m'aider.
Il ricane quand il voit l'expression de la femme. Il sait qu'il sent mauvais et il peut voir à quel point quand il la regarde.
Jessie s'étouffe presque lorsque son voisin ouvre la porte de sa chambre. L'odeur envahit son nez et elle lutte pour ne pas vomir. Quand il la traîne vers la salle de bain elle pousse un soupir de soulagement en espérant qu'il prenne une douche. Une fois à l'intérieur, l'homme verrouille la porte. Jessie est prise au piège dans la petite pièce sans ventilation. Elle essaie de respirer par la bouche mais l'odeur a un goût âcre.
Robert rigole intérieurement, il est trop excité. Il veut qu'elle pense qu'il va prendre une douche, mais son plan est plus sournois.
- Il est temps de bosser esclave! Je veux pisser, alors amène ton cul ici et tiens ma bite. Tu ferais mieux de te débrouiller pour bien viser ou je te garantis que tu le regretteras.
Il la pousse à genoux vers la cuvette des WC et il met sa main sur sa queue. Jessie déteste toucher cette bite à l'odeur désagréable au niveau de son visage. Portant elle enroule ses doigts autour et pointe le bout vers les toilettes.
Mais Robert a une autre idée. Soudainement il pisse en pulvérisant partout sauf dans la cuvette. Jessie est surprise et essaie de bien viser, mais la bite glisse de sa main et l'arrose sur le visage et ses seins.
-- ESPÈCE DE SALOPE STUPIDE! JE T'AI DIT QUE TU LE REGRETTERAIS SI TU NE VISAIS PAS BIEN! Crie Robert.
Jessie se précipite pour reprendre la bite et viser la cuvette. Finalement elle réussit juste au moment où il finit. Robert attrape une paire de menottes qui se trouve sur le lavabo, et tire les bras de la pauvre femme derrière son dos pour les attacher ensemble.
- Maintenant nettoie ma bite et assure-toi qu'il ne reste pas de pisse.
Jessie est mortifiée à l'idée de sucer cette queue sale. Elle n'est pas sûre de contrôler son envie de vomir. C'est déjà difficile pour elle d'être si proche de lui. Lorsque Robert la voit hésiter, il la gifle sur une joue, puis sur l'autre.
- Allez sale pute! Crache-t-il.
Jessie prend une grande inspiration et se penche en avant pour lécher la bite odorante. A chaque coup de langue son estomac se retourne. Enfin, quand elle est sûre que la bite est propre, elle dirige sa langue vers l'aine, puis le ventre poilu.
Robert regarde la salope lécher son corps. Il sait que c'est dégoûtant. Il sourit, la repousse et se met à rire. Il se retourne, s'assoit sur les toilettes et commence à déféquer. Jessie toujours agenouillée à côté de la cuvette ne peut s'empêcher d'avoir des hauts le cœur. A chaque fois qu'elle lèche la bite, elle retient son souffle. Elle est soulagée de rien avoir mangé avant de venir sinon elle aurait vomi sur ASH. Elle espère que son calvaire dans la salle de bain est bientôt terminé. Elle prie pour que la douche soit la prochaine étape. Robert lui sourit. Il sait qu'elle n'a aucune idée de ses plans. Il reste assis pendant une bonne dizaine de minutes pour terminer ses affaires. Puis il se lève et se dirige vers le lavabo.
Jessie est choquée de voir que son voisin dégoûtant ne prend même pas la peine de s'essuyer le cul. Elle comprend pourquoi il sent si mauvais. L'homme s'appuie sur le lavabo et commence à se brosser les dents. Comme Jessie ne bouge pas, il se tourne et crache :
Jessie a le souffle coupé, mais elle sait qu'elle n'a pas le choix. Elle se penche et enfonce son visage entre les grosses fesses poilues de l'homme. Robert lui ordonne de lui lécher le cul jusqu'à ce qu'il ait fini de se brosser les dents. Il n'y a plus aucune forme de résistance en Jessie. Sa soumission et tout ce qu'elle traverse lui ont enlevé toute estime de soi et n'ont laissé qu'une esclave, une esclave qui servirait sans aucun doute n'importe quel homme ou femme dominant.
Robert aime torturer sa voisine. En fait, il aime torturer les femmes. Pour lui, les femmes ne sont bonnes qu'à répondre à ses besoins. Il tend la main et repousse Jessie pour aller dans la douche. La professeure est soulagée. Si elle doit obéir à cet être dégoûtant, lui donner une douche doit être probablement le plus agréable.
Jessie sent maintenant aussi mauvais que son voisin détesté. Elle est impatiente de pouvoir prendre sa douche avec lui. Au moins son urine sera lavée. Jessie le suit alors qu'il tourne les robinets, mais quand elle fait mine d'entrer sous la douche il la repousse.
- Qu'est-ce que tu croire faire sale pute? Je ne veux pas de ton cul dégueulasse dans ma douche. Vas nettoyer les toilettes et assure-toi bien de lécher toute la pisse sur le sol. Quand je sortirai, je veux qu'il n'y ait plus aucune trace.
Robert sourit quand il voit son expression désappointée. Il attend qu'elle rampe lentement jusqu'à la cuvette et qu'elle commence à lécher le bord. Il lui claque le cul plusieurs fois avant de se tourner et de prendre sa douche.
Jessie commence par le bord de la cuvette. C'est difficile pour elle avec les mains liées dans le dos. Elle doit donc s'asseoir par terre et écarter les jambes. C'est désagréable, car le sol est couvert de pisse et la salit encore plus. Elle essaie de se dépêcher et de terminer avant que son tourmenteur ne sorte de la douche. Mais il y a trop à faire. Quand Robert tire le rideau et sort, Jessie vient juste de terminer la cuvette. L'homme grogne, attrape ses cheveux, la remet debout, la tire hors de la salle de bain et dans le couloir. Il s'arrête finalement quand ils arrivent au sous-sol. A la surprise de Jessie, plusieurs hommes sont là.
Robert la pousse sur un banc, attache ses chevilles aux pieds, fixe une laisse à son collier et l'attache de l'autre côté. Elle se retrouve maintenant complètement impuissante, ses mains toujours liées dans son dos, ses jambes et son cou fixés au banc.
- Bon les gars, vous avez deux heures pour vous amuser. Vous pouvez la baiser dans n'importe quel trou et autant de fois que vous le voulez. Mais ne lui laissez pas de marques permanentes. Désolé si elle sent mauvais, mais cette chienne ne sait pas viser.
Robert ASH se tourne pour partir et commence à monter l'escalier du sous-sol. Il regarde par-dessus son épaule et voit six hommes impatients entourer la salope impuissante.
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Kévin est toujours assis dans la cuisine quand Marcus finit enfin son nettoyage. Il sait que son esclave de père est soumis et prêt à lui sucer la bite. Kévin est au courant de l'ordre qui lui a été donné de sucer une bite toutes les douze heures. Et ça fait déjà six heures que son père l'a sucé ce matin. Il sait bien que si Marcus n'y pense pas encore, ça ne devrait pas tarder.
Maître X parle à Kévin à travers l'oreillette pour lui dire que Julie va descendre dans une minute environ et qu'elle va essayer de séduire son père à nouveau. Il demande à Kévin de s'éloigner et de la laisser essayer.
Le jeune garçon sourit et se dirige vers la porte de derrière en disant :
- Papa, pour le reste de la journée, tu n'as pas le droit de jouer avec ta petite bite. En fait, tu ferais mieux de la garder dans ton pantalon. Si j'apprends que tu exposes ta bite pour une raison quelconque, tu ne porteras plus jamais de vêtements d'hommes, JAMAIS!
Kévin ouvre la porte et sort. En jetant un coup d'œil derrière lui, il voit Julie entrer dans la cuisine. Il ne peut s'empêcher d'apprécier la beauté de sa sœur presque nue.
Ce n'est que quelques secondes après être entrée dans la cuisine qu'elle voit son père debout en train de regarder la porte arrière. Elle ne voit personne d'autre et elle sait qu'elle a l'opportunité de suivre ses ordres. A l'étage, Jason lui a ordonné de se changer et de prendre un des maillots de bain dans laquelle il l'a photographiée la semaine précédente. Ce n'est juste que quelques petits bouts de tissu avec de fines ficelles. Elle se sent plus nue en le portant que si elle était vraiment nue. Julie pense qu'elle devrait être dégoûtée à l'idée de baiser son père ou son frère. Mais depuis le début de son cauchemar, elle n'a plus le contrôle, sur son corps du moins. Et il lui semble que c'est la même chose pour son esprit. La seule pensée qui la travaille c'est qu'elle veut jouir à tout prix. Elle sourit à son père et lui dit :
- Hé papa, peux-tu m'aider? Je vais bronzer au soleil et je ne voudrais pas brûler. Tu peux me mettre de la crème solaire?
La mâchoire de Marcus tombe quand il regarde sa petite fille devant lui nue ou presque. Il déglutit difficilement et veut sortir de la pièce. Cependant, il se rappelle de ses instructions quand il lève les yeux et voit la caméra.
- Bien sûr ma chérie, je serai ravi de t'aider. Répond-il.
Elle lui tend la lotion en passant, ses hanches se balançant et ses seins tremblotants. Marcus suit sa fille presque nue dans la cour arrière et il la regarde s'allonger sur une chaise longue. Elle le regarde avec des yeux de biche et son cœur fait un bond. Sa fille est la parfaite réplique de sa femme Jessie vingt ans plus tôt, la femme dont il est tombé amoureux, la femme avec qui il a passé la majeure partie de sa vie d'adulte.
Le corps de Marcus réagit comme avant que tout ne commence. Son sexe reprend vie et immédiatement tend son pantalon en stretch. Julie le remarque tout de suite et en profite. Elle se retourne et met son cul en l'air. Elle prie pour que ce soit suffisant à pousser son père à la baiser.
Marcus tombe à genoux et commence à étendre la lotion sur son dos. Son esprit est partagé entre obéir à son Maître ou baiser sa fille. Il passe de la lotion de haut en bas jusqu'à ce que son corps scintille au soleil. Plus il la touche, plus il a envie de lui arracher son peu de vêtements et de fourrer sa bite dans sa petite chatte. Julie halète et essaie de remuer pour que les mains touchent son sexe. Elle est hors de contrôle. Julie sait qu'elle n'est pas autorisée à jouir, mais elle s'en fiche. Jason pourra faire ce qu'il veut, elle acceptera la punition. Son corps réclame d'être soulagé et son père est sur le point de le lui donner.
Marcus essaie bien de garder ses mains à l'écart du cul et du sexe de sa fille, mais ses efforts sont vains. Elle arrive toujours à bouger de façon à ce que ses doigts touchent son intimité. Donc à un moment il renonce et touche ses petites lèvres.
Julie a le souffle coupé quand son père touche enfin sa chatte.
- Oh merci papa! Ne t'arrête pas! Continue de me toucher papa, j'en ai tellement besoin. s'il te plaît, fais-moi jouir! Supplie-t-elle.
Marcus est fasciné par sa fille qui se tord devant lui. Il fait glisser le peu de tissu sur le côté et enfonce grossièrement deux doigts dans sa chatte. Le cri de la jeune fille lorsqu'il la pénètre est si fort qu'il peut être entendu de la rue. Marcus est surpris alors il commence à retirer ses doigts et voit Julie le regarder. Le regard de sa fille est exactement le même que celui de sa mère lors de l'une de leurs premières aventures. C'est un regard de luxure, le regard d'un animal sauvage prêt à sauter sur sa proie.
- N'ose pas sortir tes doigts de ma chatte, espèce de poule mouillée! Baise-moi avec tes doigts et fais-moi jouir esclave!
Marcus n'a jamais vu sa fille dans un tel état auparavant. Il remet ses doigts dans la chatte inondée et en ajoute deux autres.
Julie laisse échapper un gémissement guttural et son corps commence à convulser. Elle ne peut penser à rien. Elle est esclave de son corps et elle ne se soucie plus de savoir si quelqu'un le sait. Le sexe de Julie happe les doigts de son père et les tient fermement. Son envie d'être satisfaite lui donne de la force.
Les doigts sont enterrés plus profond en elle et elle refuse de les laisser partir. Quand elle les sent bouger, elle a un orgasme plus puissant que ceux qu'elle a pu connaître.
Marcus regarde avec étonnement sa fille jouir. Il enfonce encore plus ses doigts et les remue. Le corps de la jeune fille réagit instantanément et des vagues de plaisir le traverse et provoque des spasmes musculaires.
Le père n'a jamais ressenti autant d'amour pour sa fille qu'à ce moment-là. Il continue à bouger sa main et prolonge l'orgasme. Julie n'est plus cohérente. Seul du charabia sort de sa bouche et du fluide de sa chatte.
Finalement, lorsque l'orgasme commence à décliner et que Julie réussit à reprendre le contrôle de son corps, elle lève les yeux vers son père et lui murmure :
- Je t'aime papa.
Marcus ne peut rien dire, sa concentration étant fixée sur sa fille. Il n'a jamais rien vu d'aussi érotique. Sa bite est dure et le devant de son pantalon a une grande tâche humide. Il doit avoir éjaculé sans même le remarquer.
Il regarde sa fille s'effondrer dans la chaise longue. Il retire alors ses doigts de sa chatte, se lève et retourne à la maison. Il est un peu choqué par ce qui vient de se produire. Sa famille n'est plus celle qu'il connaît. Elle sombre dans la dépravation, il ne reconnaît plus sa femme et ses enfants. Kévin son fils est un dominant et son Maître. Jessie sa femme est une prostituée pour son voisin et la moitié de la ville. Julie sa fille est une salope excitée qui supplie d'être baisée par n'importe qui. Et lui-même ne peut s'arrêter de penser à des bites, il est excité pat n'importe quel homme dominant et il les suce sans protester.
Marcus se laisse tomber par terre au milieu de la cuisine. Il comprend tout. C'est Maître X qui contrôle tout. Maître John, Janice, Kévin ne sont que des pions dans le plan de Maître X. Les autres ne sont que des distractions pour le garder lui et sa femme occupé pendant qu'il arrange tout. Maintenant, toute sa famille est sous son contrôle et il n'y a pas de porte de sortie. Ce qui a commencé pour Jessie comme une façon de vivre ses fantasmes est devenu un véritable cauchemar. Maître X pourra et fera probablement tout ce qu'il veut d'eux, et personne ne l'empêchera. Il possède tout, leur argent, des vidéos et des photos de leurs exploits sexuels, assez de chose pour ruiner leur vie à jamais. Ils peuvent perdre leur emploi, leur maison et vivre l'enfer. Ils peuvent même aller en prison pendant un moment. Marcus frissonne en pensant aux alternatives.
Il reste sur le sol de la cuisine pendant près de vingt minutes. Julie a dû s'endormir et Kévin est parti. Le corps de Marcus semble peser des tonnes alors qu'il rampe sur le sol vers le couloir. Il voudrait s'évader, mais il n'a nulle part où aller. Maître X peut voir chaque centimètre de la maison et aller voir Maître John est hors de question. Il a entendu dire que hier, après son départ, Gladys avait fait une scène et personne n'avait revu son mari dans la soirée. Marcus les avait brièvement vu sortir de leur allée ce matin. Et plus tard dans la journée, un panneau marqué « A VENDRE » était apparu sur leur pelouse. Marcus se dirige vers sa chambre et s'effondre sur son lit. Il est épuisé et pourtant il n'est que 14 h 00.
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Kévin a juste descendu la rue pour passer du temps au pub local. Maître X lui a dit d'attendre pour rentrer chez lui. Il boit une bière en écoutant le récit de ce qu'il se passe dans son oreillette. Finalement, maître X lui dit qu'il peut rentrer chez lui. Il est presque 14 heures. Il donne un pourboire à la serveuse et repart à la maison. Il veut être présent quand sa mère soumise va rentrer.
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Jessie est utilisée par les six hommes à maintes reprises. C'est d'abord sa bouche, puis sa chatte et enfin son cul. Jessie déteste chaque seconde de cette violence envers elle, mais son corps la trahit encore et encore. Les bites entrant et sortant de son corps dans toutes les directions réduisent son monde à ses trous complètement remplis. Son esprit est consumé par le plaisir alors qu'elle s'enfonce dans une torpeur sexuelle. Elle sait qu'en dépit de l'humiliation de chaque expérience, elle est là où elle voulait être. Elle est une esclave dont le but est de faire plaisir. Elle frissonne alors qu'un orgasme massif explose dans son corps.
Jessie n'a aucune idée de l'heure. Son monde est réduit au six queues qui lui apportent tant de plaisir. Quand les hommes s'arrêtent tous et retirent leurs engins, elle gémit et elle les supplie de continuer à l'avilir. Le plus vieil homme, dans la soixantaine probablement, gifle son visage avec sa bite. Jessie, toujours sous l'influence de son orgasme, suit le sexe avec sa bouche, essayant de le capturer pour le sucer profondément. Les hommes se moquent de cette femme affamée de bites qui chasse la queue du vieil homme avec sa bouche alors que son corps est couvert de sperme et de pisse. Finalement le vieux cesse de la taquiner et enfonce sa bite demi-bandante dans sa gorge. Jessie gémit alors que le membre remplit sa bouche. Elle commence à le sucer pour avoir son jus.
A 13 H 45, l'un des hommes appelle Robert ASH qui se trouve à l'étage.
- Hé Bob, nous avons fini avec ta salope, elle nous a bien vidés. Qu'est-ce qu'on en fait?
Robert sourit. Il a regardé sur la vidéo qu'il a installé sa voisine se faire baiser. Il a adoré quand elle s'est complètement soumise et qu'elle a encouragé les hommes à la baiser plus fort. Il sait qu'avec un bon montage, il pourra vendre des milliers de cette vidéo.
- Envoyez-la dans les toilettes et dites-lui de terminer son nettoyage. Répond-il.
Les hommes détachent Jessie et l'ont pratiquement porté dans les escaliers jusqu'à la salle de bain. Là, ils la jettent par terre et lui ordonnent :
- Tu ferais mieux de te dépêcher si tu veux partir d'ici.
Jessie ne peut pas tenir debout après avoir été attachée aussi longtemps. Son esprit ne peut plus penser et son corps ne peut plus bouger sans aide. Elle entend l'ordre et rampe sur le ventre pour finir de nettoyer autour des toilettes la pisse séchée du matin.
Elle lèche la cuvette et par terre. Peu importe ce qu'elle lèche, elle obéit juste aux ordres. Ses deux dernières semaines de formation annihilent toutes pensées de protestation. Elle continue de lécher le sol sale jusqu'à ce que Robert vienne, la tire dans les escaliers et la mette à la porte.
- A demain salope, même endroit même heure!
Il rit et ferme la porte.
Jessie atterrit à genoux, nue, entre les deux maisons. Ses jambes ne peuvent toujours pas la soutenir, alors elle rampe sur la bande d'herbe jusque dans sa cour arrière. Après avoir passé le portail, elle voit sa fille endormie, presque nue, allongée sur une chaise longue. Elle voit du liquide sur la chaise et entre ses jambes. Il est évident qu'elle a été baisée ou qu'elle a eu un gros orgasme. Comme Jessie ne veut pas que sa fille la voit, elle passe rapidement.
Après avoir ouvert la porte et avoir rampé dans la cuisine, elle s'effondre sur le sol et s'évanouit. Elle est épuisée d'avoir été baisée à plusieurs reprises par les hommes d'à côté. Elle a utilisé ses dernières forces pour rentrer chez elle.
Kévin regarde sa salope de mère s'effondrer sur le sol. Il pense à la faire se lever tout de suite, mais comme il veut qu'elle soit cohérente le reste de la journée, il la laisse récupérer pendant un moment. Il monte à l'étage et passe quelques coups de téléphone. Il veut s'assurer que tout est prêt.
Trente minutes plus tard, il retourne à la cuisine et tape le coude de sa mère avec son pied.
- Lève-toi esclave et va prendre une douche. Nous avons encore beaucoup à faire aujourd'hui. Quand tu seras lavée, va dans ma chambre et agenouille-toi au bout du lit. Je te rejoindrai là-bas et t'expliquerai ce qui t'attend.
Il la pousse encore du pied jusqu'à ce qu'elle commence à se lever.
- Oui Maître. Marmonne-t-elle en se dirigeant vers la salle de bain, les jambes tremblantes et l'esprit embrumé.
Il faut près de quarante-cinq minutes à Jessie pour se nettoyer et retrouver ses esprits. Elle se brosse les dents plusieurs fois et utilise près d'une demi-bouteille de rince-bouche. Finalement, elle sort de la salle de bain et entre dans la chambre de son fils. Elle prend position, s'agenouillant en bout de lit. Elle écarte les jambes et met ses mains derrière sa tête. Puis elle attend Kévin.
Celui-ci attend vingt minutes avant d'entrer dans sa chambre. Il sait que les genoux de sa mère vont lui faire mal et il veut ça.
Il s'accroupit devant elle et sourit. Il détaille son corps et trouve qu'il correspond à une femme de moitié d'âge. Ses seins sont fermes et ne s'affaissent pas d'un centimètre. Elle est agenouillée devant lui, la tête baisée et les yeux levés vers lui. Son cou porte le collier rose qu'il lui a donné plus tôt. Kévin sait que son début de journée a été difficile et que son estime de soi est au plus bas niveau. Cependant, il trouve que ce n'est pas assez. Il veut que quand il lui donnera quelque chose, aussi dégradant ou humiliant que ce soit, qu'elle le chérisse comme un cadeau céleste. Il veut être son dieu.
- Tu es une pute maman! Tu suces n'importe quelle bite se trouvant devant ton visage. Tu suces n'importe quelle bite que tu peux trouver. Tu n'es rien de plus qu'une esclave, mon esclave. Maintenant, je vais prendre le contrôle total de ton esprit et de ton corps. Je vais te dicter quelques règles à suivre.
- Tu dois porter ton collier d'esclave toute la journée sans trouver d'excuses pour l'enlever. Si quelqu'un te demande quelque chose, tu diras que ton fils, ton Maître, t'a ordonné de le porter.
- Tu ne dois rien porter d'autre que ce que j'ai approuvé. Si je ne t'ai pas dit quoi porter, alors tu restes nue.
- Ton cul doit être tout le temps rempli.
- Tu devras me demander la permission pour aller aux toilettes.
- Aujourd'hui, je vais t'acheter un bracelet de cheville qui indiquera que tu es ma propriété. Tu le porteras fièrement et tu le montreras à quiconque voudra le voir.
- Je veux que tu t'habilles avec les vêtements que j'ai laissés sur ton lit. Nous sortons pour rencontrer quelqu'un. Je veux modifier ton corps pour que quiconque sache que tu es une salope. Maintenant va t'habiller, tu as cinq minutes.
Kévin finit son discours en giflant le sein gauche exposé.
- Oui Maître! Dit Jessie.
Elle se lève et va dans sa chambre. Sur le lit, se trouve une robe d'été avec des motifs blancs. Le corsage est très échancré et montre beaucoup de décolleté. Jessie sait, qu'avec ses gros seins, elle va devoir faire attention ou ils vont sortir de la robe. Son dos est nu presque jusqu'à son cul. Sans sous-vêtements, elle sait qu'elle va être exposée. Elle s'habille, enfile les hauts talons et prend une profonde inspiration.
« Mon Dieu, Kévin est mon Maître maintenant? Et Maître X? Pourquoi ne nous a-t-il pas contacté? Je ne peux pas porter ce collier au travail, sinon je serai virée rapidement? Que veut dire Kévin en parlant de modifier mon corps? Je comprends rien. Qu'est ce que je vais faire? Kévin doit comprendre que je ne peux pas perdre mon emploi. Oh mon Dieu, qu'est-ce que je vais faire? Je peux peut-être le faire changer d'avis? » Pense Jessie en retournant vers son fils.
Elle se glisse dans sa chambre. Kévin est assis sur son lit et l'attend. Jessie garde la tête baisée, l'estomac noué. Après la formation reçue de Maître X ces dernières semaines, tenir tête à un dominant est effrayant.
- Maître? Demande-t-elle.
- Oui salope?
- S'il vous plaît Maître, je vous en pris, je ne peux pas porter le collier à l'école sinon je serai licenciée. Je vous supplie Maître, en tant que mère je vous supplie de ne pas me faire faire ça. Plaide Jessie.
- Donc salope, tu penses que parce que tu m'as mis au monde, je devrais avoir pitié de toi. Que tu peux essayer de marchander avec moi, que tu peux essayer de m'émouvoir pour avoir ce que tu veux? TOI, la mère qui rentre à la maison nue et couverte de sperme! TOI qui te fais payer tes services dans notre maison par le voisin! Tu es mon esclave et tu feras ce que je veux. Crache Kévin au visage de sa mère.
Jessie pleure de façon incontrôlable alors que les mots de son fils la déchirent. Chacune de ses paroles s'enfouit profondément dans son esprit, éliminant tout respect de soi. Ses mots brûlent tout le tissu de son être, ne laissant plus que la coquille de la femme forte qui l'occupait autrefois.
Kévin attend que l'impact de ses paroles atteigne sa mère puis il continue :
- Penses-tu que je me soucie que tu perdes ton emploi? Je peux vendre ton cul dans la rue et gagner plus que ce que tu gagnes à l'université.
S'il est possible à une personne de se désintégrer en elle-même, Jessie le fait. Son corps s'est effondré et son esprit s'est rendu. Elle n'est plus une personne, mais un objet, une possession, Une chose à posséder, contrôler et avilir. Alors que des larmes coulent sur ses joues, elle hoche la tête et répond :
- Oui Maître, comme vous le souhaitez...
Maître X est heureux de voir comment son protégé commande sa mère avec facilité. Non seulement, il a pris le commandement, mais il a aussi annihilé sa volonté. Il est maître de son corps et de son âme. Maître X commence à parler puis se retient, attendant de voir la suite.
Kévin sent le changement chez sa mère. Jusqu'à ce moment, sa mère avait encore un certain contrôle et pouvoir. Mais ça vient de disparaître. Kévin lui a tout arraché, la laissant sans rien. Sa mère sera toujours son esclave. Elle fera tout ce qu'il voudra. Maintenant, il doit la modeler, lui donner une petite récompense pour qu'il soit son Maître aimant.
- Esclave, je vais te donner le choix juste une fois. Tu vas avoir l'opportunité de choisir ton chemin à partir de maintenant. Tu peux faire ce que je veux et porter le collier 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, ou tu peux le porter seulement à la maison et quand tu te feras baiser. Mais tu l'auras avec toi à tout moment et je pourrais t'envoyer un texto pour que tu le mettes immédiatement. Toutefois la deuxième option a un coût. Tu porteras à ta cheville le bracelet indiquant que tu es ma propriété tout le temps. Ton corps va être amélioré au cours des prochains mois. Je déciderai des modifications. Tu coopéreras et tu suivras toutes les instructions pour terminer ce processus. Et enfin, parce que je te donne le choix de porter ton collier d'esclave, tu prendras rendez-vous pour faire percer tes mamelons et y insérer des petites bagues. Tu feras ça dans les deux prochaines semaines. Il faut que ce soit un homme qui te le fasse. Tu lui diras que ton maître est absent et qu'il t'a ordonné de le faire. Je veux que ça soit filmé et que tu sois nue. Je veux cette vidéo dans deux semaines.
C'est comme s'il avait fait plaisir à un chiot. Jessie va garder son emploi et ne se retrouvera pas à la rue comme une pute. c'est comme si son maître lui avait jeté une bouée de sauvetage. Jessie tombe à genoux et serre les jambes de son maître.
- Oh merci Maître, vous êtes très généreux et votre esclave vous remercie. Votre esclave fera comme ordonné et vous rendra fier Maître. Merci!
Jessie se met à pleurer alors que le soulagement traverse son corps. Elle pleure, mais ce sont des larmes de joie.
Maître X est assis, étonné, devant son ordinateur. Le jeune maître est un vrai chef d'orchestre conduisant une symphonie. Il a arraché l'âme de sa mère, puis, dans un coup de génie, il lui a donné une petite chose pour qu'il s'affirme comme son Maître pour toujours. Il sait que tout cela ne s'apprend pas, c'est inné.
Kévin se penche et relève sa mère.
- Il est temps de devenir mon esclave. Je veux te marquer. Dit-il en sortant de la pièce, Jessie le suivant de près.
Ils se dirigent tous les deux vers le garage, prennent la voiture et reculent dans l'allée. Kévin conduit et Jessie est tranquillement assise à côté de lui.
- Ne reste pas sans rien faire esclave. Je veux que tu remontes ta robe et que tu te touches jusqu'à ce que nous arrivions.
Jessie n'hésite pas un instant et a bientôt deux doigts enfouis dans sa chatte. Elle sait qu'elle devrait être dégoûtée ou humiliée de se masturber dans la voiture avec son fils assis à côté d'elle. Mais ce n'est pas son fils, c'est son Maître. Et plaire à son Maître est son objectif, elle ne va pas échouer.
Ils roulent pendant une quinzaine de minutes avant que Kévin entre dans un parking et stationne la voiture. Jessie est tellement occupée qu'elle n'a même pas remarqué où ils sont. Lorsque Kévin sort de la voiture et ouvre sa porte, elle descend simplement et suit son Maître. Peu importe où ils vont, ce n'est pas à elle de décider. Elle est juste une esclave. Ils marchèrent sur une courte distance jusqu'à une porte à côté d'une charcuterie, Kévin en tête et Jessie suivant comme un petit chien.
Après la porte, se trouve des escaliers qu'ils montent. Puis une autre porte que Kévin ouvre. Il entre. Jessie suit de près et est surprise de trouver une salle d'attente propre avec un guichet d'accueil et plusieurs chaises contre le mur. Elle voit trois personnes assises lisant des magazines ou jouant sur leurs téléphones. Il y a une odeur distincte d'antiseptiques dans l'air.
Kévin se dirige vers le guichet et dit quelques mots à la personne se trouvant derrière. Puis il se tourne pour s'asseoir. Jessie s'apprête à le rejoindre, mais elle s'arrête quand son fils pointe le sol. Elle rougit comme c'est sa première sortie en tant qu'esclave. Elle ne rougit pas d'embarras, mais du fait de ne pas connaître sa place. Un esclave ne s'assoit jamais sur des meubles. Elle s'agenouille à côté de son Maître et écarte les jambes, baisse la tête et pose ses mains sur ses cuisses.
Quelques minutes plus tard, ils sont appelés dans une autre pièce. Il s'agit d'un petit bureau blanc avec des tableaux sur les murs. Il y a un bureau, une chaise blanche et une autre chaise face au bureau. Jessie regarde Kévin serrer la main d'un homme assez frêle habillé d'une blouse blanche. Les deux hommes parlent pendant quelques minutes alors que Jessie reste sans bouger derrière eux.
Elle essaie d'écouter, mais ils parlent doucement et elle n'arrive pas à comprendre que qu'ils se disent. Bientôt son Maître se tourne vers elle et commande :
- A poil esclave! Il est temps de commencer. Je te présente le docteur WILLIAMS. Il va modifier ton corps pour qu'il soit à mon goût. Tu devras faire tout ce qu'il te dit aujourd'hui et à chacune de tes visites.
Jessie ne comprend pas trop, mais en entendant son fils, elle passe rapidement la robe par-dessus sa tête et reste immobile, nue. Le médecin tourne autour d'elle plusieurs fois, malaxant ses seins et tâtant son cul. Il lui pince les cuisses et doigte sa chatte. Jessie n'est pas surprise quand il retire son doigt et qu'il voit qu'il brille de son jus. Il sent le liquide et fourre son doigt dans la bouche de la femme. Jessie réagit comme il faut et suce son propre jus pour nettoyer les phalanges du docteur. Celui-ci attrape ensuite son bras et la tire dans le couloir vers une autre porte. Il lui sourit et lui dit d'une voix forte et claire :
- Esclave, tu es là aujourd'hui pour que je prenne tes références afin que ton Maître et moi-même discutions de comment tu seras dans quelques mois. Maintenant, je veux que tu restes debout ici, les jambes écartées et les mains derrière la tête. Tu ne dois pas bouger un muscle pendant les trente prochaines minutes. Je vais scanner ton corps dans mon ordinateur. Lorsque nous aurons terminé, nous pourrons te montrer à quoi tu ressembleras quand nous aurons terminé les traitements.
Jessie reste parfaitement immobile et regarde le docteur quitter la pièce. Elle se concentre pour plaire à son Maître de fils. Elle sait qu'elle n'échouera pas.
Au bout de trente minutes, elle transpire abondamment. Elle n'avait jamais eu l'idée de la difficulté à rester parfaitement immobile. Toutefois, lorsque Kévin entre avec un sourire sur son visage, elle rayonne de bonheur. Elle avait réussi. Il lui caresse la joue et chuchote « Bonne fille » avant de la ramener au bureau du médecin.
Jessie est trop contente d'entendre ces mots et de savoir que son Maître est satisfait.
Une fois de retour dans le bureau, Kévin pointe le doigt vers le sol à côté de la chaise du docteur. Ainsi elle va pouvoir voir le moniteur de l'ordinateur. Kévin veut qu'elle sache ce qui va lui arriver.
Jessie s'agenouille, écarte les jambes et met ses mains derrière sa tête. Kévin prend l'autre chaise. Le médecin travaille sur l'ordinateur et bientôt apparaît une série de photos de Jessie nue et exposée.
La professeure regarde les photos et perd son souffle. Sur l'image à droite, c'est elle telle qu'elle est maintenant. Mais sur toutes les photos qui suivent son corps est changé. Progressivement ses seins grossissent, tout comme son cul. Sa taille change , mais n'est pas augmentée. Sur chaque image elle est sensiblement plus petite. Sur la dernière photo, elle est avec des seins énormes, une petite taille et un cul gonflé qui supplie d'être baisé. Sa nouvelle apparence indique qu'elle est une salope et s'assure que tout le monde le sache.
Kévin est ravi du résultat. Il adore l'apparence de son esclave et il demande :
- C'est exactement ce que je voulais, dans combien de temps pouvons-nous commencer?
Le médecin sourit et dit :
- Vous avez de la chance, un rendez-vous a été annulé et la salle de traitement est libre. Nous pouvons commencer maintenant. Cependant j'aurai besoin de visites bihebdomadaires dans les prochains mois pour terminer le processus. Est-ce un problème?
Kévin rit et répond :
- Absolument pas! Vous me donnerez la date des rendez-vous et je l'assurerai qu'elle soit là.
- Super! Suivez-moi!
Le docteur repart dans le couloir. Il ouvre une autre porte. Jessie suit son Maître et le médecin dans la pièce. Elle est toujours nue et tremble légèrement. Le docteur la conduit sur un lit en métal avec dans les quatre angles des tiges avec des brassards réglables pour s'adapter à chaque corps. Jessie s'installe et elle est bientôt immobilisée, les bras verrouillés au-dessus de sa tête et les jambes écartées.
Elle est impuissante et tremble encore plus quand elle voit l'homme approcher avec une grosse seringue remplie de liquide. Elle est prise au piège et attend l'inévitable. Le médecin lui caresse la joue et l'avertit :
- CA fait un peu mal , mais ça passe presque instantanément. Tu vas remarquer le changement presque immédiatement. Tes seins et tes fesses vont te brûler pendant quelques instants, mais la sensation changera. Quand tu rentreras chez toi, tes seins et tes fesses seront non seulement un peu plus gros, mais aussi infiniment plus sensible. C'est l'un des effets secondaires de ce médicament. Il stimule la croissance de ton corps partout où il est injecté, mais rend également ta peau plus sensible au toucher. Chaque contact envoie des signaux à ton cerveau et à ta chatte. Quand nous aurons terminé, tu pourras peut-être jouir sur un seul toucher.
Jessie reste muette et regarde attentivement l'homme lui injecter le produit dans un sein. Elle tressaille lorsque l'aiguille s'enfonce. Puis lorsqu'il pousse lentement le piston de la seringue, elle ressent une brûlure immédiate commencer à se former dans son sein. Il continue à injecter le produit et son nichon commence à grossir, la peau se tire et la brûlure se propage à toute sa poitrine. Au moment où il ressort l'aiguille, Jessie respire fort et une goutte de sueur apparaît sur son front.
Elle regarde son maître. Il sourit et se lèche les lèvres. Elle ferme les yeux et attend la prochaine injection. Il n'attend pas longtemps pour que l'homme enfonce la seringue dans son autre sein. Jessie ne bronche pas, elle sait à quoi s'attendre. Alors que la chaleur du produit chimique se propage dans ses seins et sa poitrine, elle a l'impression que tout le haut de son corps brûle. Elle gémit et referme les yeux. La chaleur du médicament n'est pas douloureuse mais étrangement excitante. Lorsque le médecin prend ses seins en coupe, les yeux de Jessie s'ouvrent brusquement alors qu'une décharge d'excitation parcoure son corps.
Maintenant elle transpire abondamment et halète comme un chien un jour d'été. Ses yeux ont un regard sauvage et elle savoure chaque contact sur sa poitrine.
Le docteur va chercher deux autres seringues tandis que Jessie profite de l'effet du traitement. Alors que la chaleur se dissipe lentement, elle a l'impression que ses seins sont en train de gonfler juste sous son nez. Au moment où l'homme est prêt avec ses seringues, la poitrine de Jessie a enflé et grossi de presque une demi-taille de bonnet. Elle a les yeux et la bouche grand ouverts. Toutefois les sensations dûes au contact du docteur persistent. C'est comme si quelqu'un la baisait et qu'elle allait avoir un orgasme. Le médecin jette un coup d'œil à Kévin et dit :
- Je sais que ses seins sont plus gros, mais c'est simplement parce le produit n'a pas encore été absorbé. La croissance réelle se produira dans 24 à 48 heures et elle sera permanente. La sensibilité va disparaître dans quelques heures. Mais après chaque visite, elle durera de plus en plus longtemps. Elle s'accumule à chaque traitement. A la fin, cette sensibilité devrait être permanente.
Le docteur WILLIAMS s'agenouille et injecte le produit de la prochaine seringue au bas de la hanche, très près de la chatte dégoulinante. Jessie crie quand le liquide commence à se répandre, chauffant sa chatte et son cul. Il lui semble que tout son corps est en feu et que tous ce qui la touche lui envoie des ondes de choc.
L'homme continue à injecter son produit dans l'esclave sans défense. A chaque piqûre, le corps de Jessie rougit et elle est de plus en plus excitée. Quand le docteur finit, elle est sur le fil du rasoir, son corps va exploser au moindre contact. L'homme sourit et dit à Kévin :
- Elle est au point. Si nous la touchons elle aura un orgasme. Nous pouvons la laisser ici pendant quelques heures, mais si vous voulez vous amuser, vous pouvez être sûr qu'elle fera n'importe quoi pour jouir maintenant.
Kévin regarde sa mère et lui chuchote à l'oreille :
- Est-ce vrai? Es-tu prête à faire n'importe quoi pour jouir?
Jessie ne peut pas parler, son esprit est incapable de trouver des mots et de composer une phrase encore moins. Tout ce qui sort de sa bouche est une série de grognements et de charabia, sa tête acquiesçant furieusement.
Kévin sourit et continue :
- Je pense que tu dois remercier le docteur qui modèle ton corps en salope. Et si tu lui faisais une fellation?
La bouche ouverte, Jessie bave sur sa poitrine. Elle halète et son corps est tout rouge. Ses yeux se fixent sur la bosse sous la blouse du docteur. Finalement son esprit s'éclaircit légèrement et elle peut dire :
- S'il vous plaît!
A suivre...
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