Texte de Verovidecouilles
Les copains de Rémy.
J’avais attendu le jeudi avec une impatience digne d’une adolescente avant son premier flirt. Il faut dire que je supportais de moins en moins la présence de Guy. Ne pas pouvoir baiser quand je le voulais avec son fils me pesait énormément et ça jouait beaucoup sur mon humeur. Je devenais odieuse avec mon mari: je lui cherchais des noises pour tout et rien, je ne manquais aucune occasion pour lui faire des reproches, ou pour me moquer de lui. Bref, une vraie peste. Mais ça ne me calmait pas. Combien de fois ai-je pensé à lui jeter au visage tous les détails de ma relation perverse avec Rémy ! En finir avec les caresses furtives (même si j’adorais les mains baladeuses de Rémy sous mes jupes quand Guy était dans la pièce à côté), les baises rapides en rentrant du travail, et pouvoir enfin assouvir tous les caprices de mon maître ! Projet séduisant au premier abord, mais qui aboutirait fatalement à diviser mon train de vie par 3, au bas mot… Et je n’étais pas prête à ça, j’aimais trop mon petit confort.
Et puis aussi, qui aurait payé ma lingerie ? Certainement pas moi, (je gagnais trop peu au regard des fortunes que je dépensais dans ces petits bouts de tissu) et encore moins Rémy, qui était sans le sou et qui dépendait financièrement de son père. Du reste, je ne me lassais pas de ce petit plaisir méchant d’aller acheter des bas et des tenues affriolantes avec la carte bancaire de mon mari, pour ensuite en faire profiter son fils.
Ce petit jeu m’excitait tellement qu’en la matière mon imagination devenait fertile: j’avais par exemple demandé à Rémy de « baptiser » mes strings de dentelle. Une fois rentrée de ma journée de shopping, après avoir procédé à l’essayage de mes achats (chose que Rémy adorait par-dessus tout), je lui demandais d’éjaculer dans mes culottes neuves, puis je les rangeais dans mon placard. Quel bonheur au moment de les porter pour la première fois avec mon mari de sentir le sperme séché de Rémy contre ma toison !
Justement, le jeudi en question, j’avais mis une de ces culottes. Le matin, je l’avais enfilée en mouillant déjà à la perspective de la soirée qui m’attendait. Mauvaise idée d’ailleurs, car j’avais eu beau me faire baiser à trois reprises comme une chienne par mon patron, dès que je remettais ma petite culotte, le contact du tissu imprégné de la semence de Rémy sur ma vulve faisait affluer le sang dans mon clito, ce qui fait que j’ai passé mon temps à me tripoter sous mon bureau afin d’apaiser ma chatte en chaleur.
Rémy était dans le couloir lorsque je suis entrée. J’avais pris l’habitude de ne dire bonjour à Rémy qu’en embrassant et en léchant ses couilles. Dans le meilleur des cas (c’est-à-dire, à l’époque, quand mon mari nous foutait la paix pendant au moins 24 heures, et désormais tous les jours depuis que je vis avec Rémy) c’est trois fois par jour: le matin au réveil, en rentrant du travail et le soir avant de dormir. J’adore ça, parce que souvent Rémy s’abandonne à mes caresses buccales et il me laisse lui pomper la queue et avaler son sperme sans faire d’histoires. Je dis « sans faire d’histoires » car Rémy se plaint fréquemment de ne pas pouvoir profiter assez de ma chatte et de mon cul. Mais que voulez-vous, j’aime tellement qu’il me nourrisse avec son gros biberon…
Donc, après un rapide baiser baveux, je me suis agenouillée pour cajoler ses testicules lourds du foutre accumulé au cours de la journée. Quand j’ai vu que sa bite se mettre au garde-à-vous, j’ai embouché sa queue. Il a eu un soupir de bonheur quand mes lèvres ont commencé à lui téter délicatement le gland.
-« Ooooh! Doucement, petite pute, tu vas me faire gicler… »
C’est vrai que je sais m’y prendre avec lui : à croire que je suis née pour lui traire les couilles ! Pour toute réponse, j’ai creusé mes joues pour le téter un peu plus fort. Il s’est retiré brusquement
:
-« Ce que tu es gloutonne ! Attends un peu ! J’ai invité quelques amis… Viens, je vais te les présenter… »
J’ai miaulé:
-« Non! Ton jus d’abord…
- T’inquiète pas, tu vas en avaler, du foutre !
- C’est vrai ?
-Mais oui, je le promets ! A vrai dire, tu n’auras même rien d’autre à manger jusqu’au retour de mon père…»
A cette phrase, j’ai frissonné de bonheur. Rémy m’a relevée et m’a roulé un énorme patin tandis que je sentais ma chatte se liquéfier, puis il m’a prise par la main et m’a entraînée vers le salon. Sa bite était bien trop gonflée d’excitation pour qu’il puisse la remettre dans sa braguette, et c’est donc la queue à l’air qu’il m’a conduite dans le salon où 6 types de l’âge de Rémy étaient assis. Quand nous sommes rentrés, les 6 paires d’yeux se sont braquées sur moi.
-« Voilà! Je vous amène ma belle-mère, mon vide-couilles personnel ! »
Les copains de Rémy ne devaient pas croire à leur chance. L’un d’eux a dit :
-« C’est pas croyable, tu te fous de notre gueule…
- Pas du tout! Soulève ta jupe, salope… » a ordonné Rémy en me donnant une tape sonore sur les fesses.
J’ai piqué un fard en sachant ce qu’il y avait dessous. Maladroitement, j’ai relevé ma jupe sur ma taille, découvrant mes bas noirs maculés de sperme. En plus, je ne portais plus de culotte: Pierre me l’avait confisquée (souiller mes dessous était quelque chose que lui aussi aimait bien. Cela concernait aussi bien mes culottes que mes soutien-gorge. Il me les rendait le lendemain souvent encore humides de son sperme, et je devais les porter le reste de la journée et me caresser la chatte et les seins au travers du tissu, assise devant lui sur son bureau, entre autre…). Un murmure a parcouru le salon.
-« Son patron et moi, on la défonce par tous les trous; ils sont très accueillants comme vous allez pouvoir le constater ! Vous avez vu la dose de foutre que ma pute ramasse en une journée ? D’habitude, ça part dans ses trois trous, mais je tenais à vous montrer… Maintenant, la petite souillon va aller se changer, pour bien nous donner envie de la bourrer, n’est-ce pas ?
- Que veux-tu que je mette ? » demandai-je timidement.
-« Tu le sais… Et puis bien sûr, tu gardes tes bas sales ! »
Je savais en effet à quoi Rémy faisait référence… Guy m’avait très gentiment offert il y a deux semaines (oui, offert, vous avez bien lu: en plus des fortunes que je dépensais en lingerie avec son argent, il trouvait encore le moyen de m’en offrir !) un sublime déshabillé de soie noire transparente dont le col et les manches étaient agrémentés de duvet. Il était extrêmement sexy, le voile était si fin qu’il ne cachait rien du tout de mon corps, mais je n’avais pas encore eu l’occasion de l’étrenner : lorsque j’avais ouvert le paquet, j’avais aussitôt feint le mécontentement en disant à mon mari que quand même, il ne fallait pas exagérer, que je n’étais pas une pute, et sous ce prétexte, j’avais refusé de l’essayer ! En fait, je savais que cela plairait beaucoup à Rémy et je voulais le réserver pour lui seul. Mon pauvre mari, tout penaud devant ma réaction, n’a pas insisté, et il s’est même excusé pour sa faute de goût, ce qui m’a beaucoup fait rire lorsque je l’ai raconté à Rémy.
J’ai complété ce « vêtement » par mon porte-jarretelles et mes bas tâchés; pour les chaussures, une paire de très hauts talons vernis avec une bride de cheville ferait l’affaire. J’ai fait sensation quand je suis revenue dans le salon ! Je m’étais remaquillée, coiffée, parfumée, et mon déshabillé ne cachait rien de ma lingerie, pas plus qu’il ne masquait mes seins lourds ou le triangle de poils de ma chatte…
J’étais très angoissée par les réactions: je me sentais ridicule d’être vêtue comme une pute de bas étage devant eux, mais heureusement les invités de Rémy m’ont immédiatement rassurée en poussant des sifflements d’admiration qui — l’alcool aidant — ont rapidement laissé la place aux commentaires salaces.
-« pas mal !
- pas mal ? Tu veux dire que c’est une superbe femelle !
- une superbe pute, d’après ce que dit Rémy…
- va falloir qu’on vérifie !
- on va lui en mettre plein le cul, à cette salope… »
En dépit des commentaires injurieux, j’ai osé lever les yeux sur mes spectateurs. Ben… Je devenais folle, ou quoi ? Tout à l’heure, ils étaient bien six ! Pourquoi est-ce que j’en comptais huit à présent ? D’un air faussement assuré, j’ai demandé à Rémy :
-« Tout le monde est là, où t’attends encore des gens ?
- petite insolente ! » m’a répondu Rémy, « tu feras ce que je te dirai de faire ! Mais puisque tu es si curieuse, sache qu’il manque encore mes copains du hand qui avaient un match ce soir et qui arriveront un peu plus tard… ».
La sonnette a retenti.
- « …plus deux ou trois autres personnes… »
Mince! Une équipe de hand-ball, c’est combien de joueurs, au fait ? Je ne savais plus très bien, mais il ne fallait pas compter moins de six autres bonhommes. J’ai de nouveau jeté un regard vers la réunion masculine. Ces 8 là, plus les handballeurs, plus celui ou ceux qui arrivaient, plus Rémy, ça faisait au moins à 16 ! Soudain, j’ai eu la trouille.
Quand Rémy est revenu près de moi après avoir été ouvrir, je lui ai murmuré discrètement :
-« Rémy, je ne veux plus… »
16 hommes — au moins — pour un premier gang-bang, c’est un peu excessif, convenez-en ! Déjà qu’avec Pierre et Rémy, je finissais sur les rotules, alors là… Et puis surtout j’avais honte. Honte de savoir que j’allais sans doute adorer d’être à leur totale disposition, honte de savoir que j’allais sans doute jouir à n’en plus finir sous leurs assauts, et ma dignité de femme refaisait surface une dernière fois. Le chant du cygne quand on voit la pute que je suis devenue…
En tout cas, j’ai dû avoir l’air drôlement convaincante, car pour toute réponse, Rémy a rigolé, il m’a embrassé tendrement tout en me caressant la joue et m’a répondu, assez fort pour tous puissent entendre :
-« Ne fais pas ta timide… Tous mes amis savent que tu aimes le sperme ! Ne t’inquiète pas, ils ne seront pas du tout choqués de te voir te goinfrer de leur semence ! Je suis même sûr que si tu leur demandes gentiment, ils veilleront à t’en donner plein… Pas vrai les gars ? »
L’assistance a approuvé.
-« Te voilà rassurée ? Allez, dépêche-toi d’aller les sucer, je suis sûr que t’as le ventre qui gargouille d’impatience… » m’a-t-il dit en passant sa main sur mon estomac.
J’ai tout de suite senti des ondes de plaisir parcourir mon bas-ventre. Il sait y faire, ce petit salaud et il n’en fallait pas plus pour que je cède ! Je me suis avancée au milieu de la pièce en me déhanchant et en me caressant la chatte comme une salope, j’ai ouvert les pans de mon déshabillé pour faire apparaître ma vulve poilue et mes seins dont les tétons pointaient durement. En jetant des œillades à l’assistance, j’ai posé une jambe sur la table basse et j’ai ouvert avec mes doigts mes lèvres intimes, qui étaient brûlantes et toutes collées par ma mouille. Sentir tous ces regards sur moi, savoir que ces mâles étaient venus pour me sauter moi et moi toute seule, ça me rendait dingue d’excitation. Un copain de Rémy, le plus téméraire ou le plus excité par la scène, je ne sais pas, a sorti sa bite bandée à bloc et a commencé à se branler doucement. Il s’est adressé à Rémy :
-« Elle accepte tout, tu disais ?
- absolument tout ! » a confirmé Rémy. «Vous pouvez l’enculer, la baiser, vous faire sucer ou branler, seuls ou à plusieurs. Et n’hésitez pas à lui gicler dans les trous, elle adore ça ! Hein traînée ?
- J’avale aussi… » ai-je précisé, soucieuse qu’ils n’oublient pas ma gorge assoiffée…
-« Ah ! Ah ! Viens me montrer ça ! » s’est exclamé le copain de Rémy.
La vue de cette queue prête à cracher son jus a achevé d’anéantir ma maigre résistance. Sur un signe de tête de Rémy, je suis allée m’installer entre les jambes du jeune homme, je l’ai débarrassé de son pantalon et de son caleçon et, en bonne élève appliquée, j’ai commencé par lécher ses bourses poilues.
-« Eh, les mecs ! Z’avez-vu ça ? Cette salope me bouffe les couilles ! » a-t-il commenté.
Des ricanements et des insultes ont fusé. S’il ne fallait que ça pour les impressionner, ils n’allaient pas être déçus du reste ! Après quelques instants, j’ai englouti la bite qui s’est mise aussitôt à gonfler et à tressauter. Bon signe ! Tout de suite, je me suis mise à saliver comme une chienne car je savais que c’était le signe précurseur d’une bonne rasade de foutre chaud au fond de ma gorge ! Elle est arrivée, abondante, un peu liquide et presque sucrée. J’ai dégluti sagement puis je suis passée à la bite d’à côté. Celle-là non plus n’a pas été longue avant de m’envoyer sa purée. Cette fois, c’est un jus très âcre et très épais qui a empli ma bouche. Surprise, je découvrais que tous les spermes n’avaient ni le même goût, ni la même consistance. Du coup, je me suis ruée sur une troisième queue alors que j’avais à peine fini d’avaler le sperme de la deuxième, tellement j’étais pressée de tous les goûter.
Toujours à genoux, Rémy m’a ordonné de me mettre en levrette en écartant bien les cuisses. Pendant que je continuais ma pipe, les autres sont passés derrière moi et ont admiré l’intérieur de ma fente que Rémy maintenait ouverte avec ses doigts. J’ai senti d’autres doigts s’introduire dans mon vagin ou titiller mes petites lèvres et mon clitoris, et je coulais comme une fontaine. Des mains ont caressé mes seins au travers de mon déshabillé; parfois, on me pinçait mes tétons raides d’excitation, ce qui me faisait grogner de contentement. Deux autres types ont encore gratifié ma bouche du contenu de leurs testicules puis, dans ma position de chienne, avec une bite dans la gueule, j’ai pris ma première queue de la soirée dans le vagin.
Un des copains de Rémy venu se placer contre mes fesses et il m’a enfilée d’un seul coup. J’ai poussé un soupir de soulagement d’avoir la chatte enfin remplie: ça commençait sérieusement à me gratter l’intérieur du con ! Hélas, mon baiseur n’a pas pu résister très longtemps aux contractions et à la chaleur de mon vagin qu’il a inondé de sa jute au bout de quelques instants seulement. Il a été suivi de près par celui que je suçais. Farcie par les deux bouts, j’ai quand même eu un orgasme fantastique ! Le type que je suçais a fini de se vider, il s’est retiré et un autre l’a aussitôt remplacé. Mon vagin non plus n’est pas resté vacant très longtemps avant qu’une autre queue vienne le combler. Celui qui me baisait m’a traitée de vide-couilles en éjaculant en moi. Ce terme m’a électrisée et je me suis mise à hurler :
-« Ouiiii ! Je suis un vide-couilles ! Je veux que vous veniez tous décharger dans mes trous de pute… Aaah ! Tout ce foutre dans vos couilles ! Je ferai tout ce que vous voudrez… remplissez-moi à ras-bord... »
Je crois que les copains de Rémy ont été sur le moment un peu surpris, car c’est le silence qui a accueilli mes cris de chienne en rut. Heureusement, l’un deux a tout de même fini par dire :
-« T’inquiète, on va t’en donner !
- Regardez les gars, elle a la chatte qui déborde… » a ajouté le type qui venait de se vider tout au fond de ma matrice.
Je sentais en effet que ma moule commençait à dégorger les giclées que l’on venait à peine de lui administrer. Le sperme s’écoulait le long de ma vulve et venait noyer mon clitoris avant de tomber sur le sol. Instinctivement (je parle d’un instinct de putain), j’ai porté la main à mon entrejambe pour récupérer le foutre que j’ai ensuite léché avec gourmandise. Ce que c’est bon d’avoir le vagin plein de sperme ! Les garçons ont applaudi mon initiative de salope, puis l’un d’eux a pris place pour me baiser encore. Au total, tous les copains de Rémy me sont passés dessus une première fois, jouissant ou dans ma bouche, ou dans ma chatte.
A la fin, Rémy m’a demandé de m’allonger sur le tapis, les cuisses bien écartées pour exhiber ma chatte engluée de foutre. Je ne me suis pas faite priée et j’ai même tiré sur mes lèvres vaginales en relevant mon bassin pour qu’ils puissent mieux voir ! Je me sentais bien dans mon rôle de salope et je voulais les exciter pour jouir encore. Puis Rémy, qui était le seul à ne pas m’avoir encore juté dedans, m’a dit:
-« je t’aurais bien fait du broute-minou, mais vu l’état de ta chatte, va falloir songer à autre chose… »
Les invités ont pouffé tandis que Rémy m’a fait me remettre à quatre pattes. Je m’interrogeais sur le trou qu’il allait choisir. J’ai vite eu la réponse quand il a enduit mon anus de sperme ! Après quelques efforts, mon cul déjà bien entraîné a absorbé sa queue épaisse jusqu’à la garde et j’ai émis de petits glapissements de chienne quand Rémy a entamé son va-et-vient.
-« écoutez la petite chienne comme elle est heureuse quand elle a une bite dans le cul ! T’aimes ça, hein, salope ?
- Oui, mon amour, encule-moi bien, j’adore ça…
- moi aussi j’adore ça, enculer une pute avec du sperme plein la chatte… »
Rémy a continué, il prenait son temps et jouait vicieusement avec mon cul. A chaque mouvement, il veillait à bien faire ressortir sa queue de mon anus pour me la remettre aussitôt en s’enfonçant le plus loin possible. Cette sodomie exquise, en public de surcroît, me rendait lascive au plus haut point. Je bougeais mes fesses pour aller à la rencontre de la bite de mon amant et je gémissais en cadence, c’est-à-dire à chaque fois qu’elle était bien au fond de mon trou. Soudain, Rémy s’est retiré de mon cul et il m’a pénétré le vagin en éructant :
-« Tiens, prends aussi mon sperme dans ta chatte de pute ! »
J’ai joui en sentant sa semence asperger mon utérus. Je suis restée un moment à quatre pattes, abasourdie, puis j’ai regardé autour de moi et j’ai pu constater avec ravissement que les premiers à qui j’avais servi de déversoir étaient prêts pour m’accorder d’une deuxième tournée de jus de couilles. En attendant, Rémy a collé trois doigts dans ma chatte visqueuse puis les a retiré en disant :
-« Bien fécondée, la femelle… Heureusement qu’elle est sous stérilet : si elle tombait enceinte, cette pute ne saurait pas qui est le père ! On va la vider un peu… »
Rémy m’a relevée et m’a faite asseoir sur un fauteuil dans sa position favorite: les jambes bien écartées et posées sur les accoudoirs ! Avec la cuillère souple dont il se servait de temps en temps (et dont je vous ai déjà parlé), il est allé récupérer le foutre qui baignait au fond de ma chatte pour le porter à ma bouche avide. Il s’y est repris à six ou sept fois tellement j’étais pleine ! Je me suis régalée d’autant plus que ma chatte avait conservé le foutre bien au chaud (même si je suis une bouffeuse de sperme insatiable, je déteste quand il a refroidi; hélas pour moi, Rémy s’en moque éperdument…). Mes baiseurs ont assisté à la scène complètement médusés. J’étais très fière de mon effet, et j’ai décidé de continuer à leur en mettre plein la vue.
Une fois la jute passée de ma chatte à mon estomac, deux gars à la queue dressée se sont approchés pour se mettre de part et d’autre de mon visage, et l’orgie a repris. Je crois que pendant les trois heures qui ont suivi, ma bouche n’est pas restée vide plus de cinq secondes, car il y avait toujours une bite à téter ou une paire de couilles à dorloter. Quant à mes cuisses, je n’ai pas pu les refermer un seul instant à cause des queues qui occupaient en permanence ma chatte ou mon cul. Assise sur le fauteuil, ma bouche passait alternativement de la bite de gauche à celle de droite pendant que face à moi, un homme me défonçait un des mes orifices, le plus souvent mon cul. Bien vite, je me suis aussi retrouvée avec une queue dans chaque main, puis comme Rémy a estimé que ce n’était pas très pratique pour qu’ils puissent profiter de moi correctement, il a étalé une couverture sur le tapis et je suis allée m’allonger dessus.
Aussitôt sur la couverture, la ronde des doubles pénétrations (voire des triples, si on compte également ma bouche…) a débuté. J’ai dû m’allonger sur un type qui a fourré illico sa bite dans mon cul dilaté et un autre s’est introduit dans mon vagin tandis deux compères me maintenaient les jambes bien ouvertes. J’étais traitée comme une vraie poupée à sperme, docile et accueillante ! Dans la mesure où ils avaient déjà tous joui une fois, la deuxième série de pénétrations a été autrement plus longue que la première. Mes muqueuses, avec toutes ces queues qui me limaient, commençaient à être à vif, mais je savais qu’il était inutile de demander grâce car je n’aurais pas eu droit à d’autres réponses que : « ferme-là et suce, salope ! ».
Ils m’ont utilisée à leur guise et la soirée a été orgiaque: j’ai encore sucé, j’ai été baisée et enculée, jusqu’à ce que leurs burnes soient à sec. Entre-temps, l’équipe de hand était arrivée. A un moment, deux potes de Rémy ont eu l’idée de me fourrer le vagin tous les deux en même temps. Il était tellement lubrifié par le sperme qu’il a laissé passer les deux queues sans difficulté. J’ai adoré être ainsi remplie, et j’ai poussé de petits halètements de chienne pendant tout le temps où ils m’ont besognée ! Rémy, très excité, s’est approché pour se faire sucer. Quand les deux mâles ont joui dans mon orifice, j’ai abandonné la queue de Rémy pour lui murmurer :
-« Oh, mon dieu, ils me jutent dedans… ta pute est remplie de sperme, Rémy chéri, c’est si bon… »
Ces deux salauds m’ont tellement dilaté la chatte que les autres ont estimé qu’elle n’était plus bonne à rien. Du coup, ils se sont concentrés sur mon petit trou qui, malgré le passage incessant des bites, restait plus serré. Au bout du compte, j’ai joui par le cul à n’en plus finir ! Lui aussi a eu sa dose de foutre ! Quand tous eurent bien profité de moi, je me suis effondrée comme une masse à même la couverture, suintante de sperme par tous les orifices. Hélas pour mes pauvres orifices endoloris, ce repos a été de courte durée. Je n’ai pas tardé à être réveillée par une bite qui cherchait l’entrée de mon conduit vaginal. J’ai d’instinct écarté les cuisses pour faciliter sa pénétration et tous les hommes présents me sont encore repassés dessus, dont deux fois pour certains !
Au petit matin, Rémy a estimé que cela suffisait. Mon déshabillé était luisant de sperme, tout comme mes bas dont les attaches de porte-jarretelles étaient défaites, ou mes orifices endoloris qui suintaient de jus. Les derniers participants sont partis et nous sommes allés nous coucher. Enfin, je devrais dire que Rémy est allé se coucher, parce que moi, j’ai dû dormir sur la couverture souillée de foutre. Je m’en fichais, j’étais tellement épuisée que je me suis endormie rapidement, après avoir savouré pendant quelques instants les effluves de sperme qui se dégageait de ma couche.
Vers midi, mon portable m’a réveillée. C’était mon mari qui m’annonçait que sa réunion était annulée et qu’il rentrait. Celle-ci devant, d’après mes souvenirs, se passer à Rouen, il lui faudrait environ une heure avant d’être à la maison, et vu le bazar qui y régnait, la panique m’a vite envahie. Je suis allée précipitamment alerter Rémy qui a aussitôt bondi de son lit pour me donner un coup de main, tout aussi affolé que moi. Nous avons fait le plus gros, mais quand mon Guy est arrivé, je n’avais pas encore eu le temps de me doucher. Je puai le sperme, mais mon mari n’a pas semblé s’en apercevoir. En revanche, une tâche de sperme maculait son fauteuil préféré, celui sur lequel son épouse s’était faite enfiler à la chaîne la veille au soir, et il l’a remarquée. Devant son étonnement, j’ai bafouillé que c’était une tâche de crème glacée. « t’aurais pas pu trouver plus con ? » ai-je immédiatement pensé. Pourtant, c’est passé. Guy a râlé contre ma maladresse, puis il s’est assis en poussant un long soupir. Quant à moi, je décidai de ne pas tenter le diable plus longtemps et je suis allée prendre ma douche.
Rémy, qui était censé être à la fac, s’était éclipsé peu avant le retour de son père. En rentrant, il était un peu inquiet de la réaction de son père. Quand il m’a demandé, j’ai été prise d’un violent fou rire, et c’est avec beaucoup de mal que je suis parvenue à lui raconter l’épisode de la tâche de « crème glacée »…
-« ton père est le roi des cons ! » ai-je conclu, rieuse, tandis que je m’agenouillai devant Rémy. J’ai pris un plaisir infini à lui pomper la bite avec amour et j’attendais impatiemment qu’elle me crache son onctueuse purée.
-« Alors, salope, on oublie les règles ? »
Zut ! Je ne pouvais pas me faire gicler dans un de mes orifices si je ne portais pas de bas, je le savais. Son père était dans le salon, et il y avait peu de risques qu’il monte à l’étage. J’ai lâché la queue de Rémy pour enfiler une paire bas auto-fixants noirs (dans ces circonstances, mon maître les tolérait). Je l’ai rejoint dans sa chambre. Là, je me suis lovée contre sa jambe, ma bouche à bonne hauteur, et j’ai pompé son gland comme un veau pompe le pis de sa mère, malaxant ses couilles recouvertes de ma salive. Sa décharge est arrivée, abondante, et j’ai tout englouti en gémissant de bonheur. Un instant après, mon mari m’appelait du salon pour savoir à quelle heure le dîner serait servi. C’est vrai, manger, je n’y pensais plus! Rémy ne m’avait pas menti, je n’avais rien avalé d’autre que du sperme depuis les dernières 24 heures, et je n’avais même pas eu faim !
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours