vendredi 3 mars 2023

Comment j'ai gagné mes galons de pute Ch. 04

 Texte de Verovidecouilles 

L'apprentissage de pute continue.

Comme je m’y attendais et l’espérais, Rémy m’a copieusement rempli tous les orifices durant le reste du week-end. Et moi, je me suis comportée comme une bonne petite bonniche bien docile. D’ailleurs, Rémy m’avait acheté une tenue de soubrette sur internet, pour « que je m’imprègne bien de ma condition » avait-il dit. Il ne s’agissait plus de chantage : même s’il m’avait rendu les photos compromettantes, j’aurais continué dans ma débauche. Ça me ravissait que Rémy veuille faire de moi sa poupée. Pour le remercier, j’ai joué mon rôle à plein et j’ai tenu mes trous à sa disposition. Du coup, j’ai reçu du foutre à profusion dans chacun d’eux.

Ça a commencé dès le samedi matin. Au réveil, Rémy m’a ordonné d’aller me laver et de m’habiller pour la journée. Il est vrai que j’avais du sperme séché partout dans les poils de ma toison et dans les replis de ma chatte et qu’une douche me ferait le plus grand bien.

Après m’être lavée et pomponnée, j’ai trouvé mon uniforme de soubrette sur une chaise. La panoplie complète ! Une robe noire ultra-courte, un petit tablier et un serre-tête blancs. Il y avait aussi un porte-jarretelles et des bas noirs, ainsi qu’une petite culotte de tulle noire fendue en son milieu, de sorte que mon vagin et mon anus étaient directement accessibles.

J’ai réalisé que Rémy avait prévu de longue date de me traiter de la sorte et ça m’a violemment excité. J’ai passé ma tenue avec plaisir et je suis retournée dans la chambre où Rémy m’attendait, nu et étalé sur les draps. Je me suis installée à quatre pattes sur le lit et j’ai commencé à effleurer les couilles de mon amant avec ma langue. J’ai senti quelques poils et j’ai demandé en minaudant à Rémy s’il voulait que je les lui rase. Il a dit que ce n’était pas une mauvaise idée et je l’ai emmené dans la salle de bain où je l’ai fait asseoir sur le rebord de la baignoire. Là, j’ai rasé ses bourses avec mille précautions, mais sa belle bite bandée me déconcentrait. Pour me calmer, je faisais des pauses pendant lesquelles je la suçais un peu. Une fois rincées, j’ai de nouveau léché ses couilles toutes douces avec tendresse. Rémy a savouré pendant quelques minutes. Ensuite, il m’a demandé de m’appuyer contre le lavabo et de lui présenter mon cul. Debout derrière moi, il a commencé à se servir tout doucement de ma « trayeuse à sperme ».

- Ce qu’on est bien dans ta chatte ! M’a-t-il soufflé.

Il a continué à touiller mon orifice avec sa queue puis, après quelques mouvements de bassin, il a éjaculé à l’intérieur, engluant un peu plus mon vagin déjà rempli de mouille. J’ai eu bien sûr interdiction de me nettoyer. Pendant que Rémy prenait sa douche, j’ai eu l’ordre de rester à côté de lui et c’est moi qui aie dû lui savonner la bite et les couilles. Comme il me l’avait dit, ça faisait partie de mon boulot. Moi, ça me faisait mouiller comme une folle.

Dès que nous sommes sortis de la salle de bain, il m’a ordonné de me mettre à quatre pattes sur le canapé du salon, les avant-bras posés sur le siège et les jambes bien écartées sur l’accoudoir avec la croupe offerte. Je suis restée plus de trois heures dans cette position. Pendant ce temps, Rémy vaquait à ses occupations, il jouait à la console ou bouquinait en buvant des cafés.

Régulièrement, il interrompait ses activités et venait mettre — avec un mépris étudié — sa queue dans ma bouche, ma chatte ou mon cul. Il les fouillait une minute ou deux, me traitait de garage à bites puis se retirait. Par contre, il revenait très régulièrement. Quel pied ! Rémy prenait son plaisir dans tous mes trous, j’aimais qu’il profite de moi comme ça et mon ventre était en feu.

Au bout de ces trois heures, c’est encore dans ma chatte qu’il a choisi de se vider. J’ai été un peu contrariée, car j’avais envie de sentir son sperme chaud dans mes deux autres trous, et en particulier dans celui de derrière. J’avais adoré cette sensation inédite pour moi et j’avais hâte qu’il me la fasse connaître à nouveau. J’en avais tellement envie que je me suis alors promis de tout faire pour que, la prochaine fois, il m’éjacule dans le cul. Je me suis dit que, au besoin, je le lui demanderais…

L’occasion n’a d’ailleurs pas tardé à se présenter. Après m’avoir juté dans la chatte, Rémy m’a ordonné de shampouiner (toujours à quatre pattes, bien sûr) la partie du tapis qui avait été souillée la veille par son sperme. Pendant que je m’activais, Rémy lorgnait sur mon vagin tout poisseux en astiquant sa queue à demi molle. Quand elle a de nouveau été bien tendue, il est venu se mettre à genoux derrière moi, mais sentant que c’était de nouveau ma chatte qu’il voulait investir, j’ai gémi :

- Non, s’il te plaît ! Dans le cul ! Je la veux dans mon cul !

- Tu réclames déjà ? C’est beaucoup plus tôt que je ne le pensais!  Tu es vraiment la reine des salopes ! M’a-t-il répondu en ricanant.

Je ne pouvais pas nier : il lui avait suffit de m’enfiler l’anus une seule fois pour que je sois déjà pressée qu’il me le remplisse une deuxième fois. Rémy a pointé sa queue contre mon trou plissé, mais vu qu’à l’époque, j’étais encore très rigide de cet endroit, il s’était déjà refermé depuis que Rémy l’avait visité alors que j’étais sur le canapé. Son gland épais n’a pas réussi à me pénétrer (il est vrai que maintenant mon anus, après s’être fait ramoner des centaines de fois, a beaucoup perdu de son élasticité, mais au début, une sodomie avec Rémy ne s’improvisait pas). Mon amant a donc dû préparer le passage avec ses doigts, ce qui m’a rendu ivre d’impatience. Quand finalement son gland a ouvert mon sphincter, je l’ai encouragé :

- Haaaan ! Comme ça ! C’est bon… enfonce-toi… encore… bourre-moi bien le cul…

- Ca te manquait déjà, hein, sale chienne !

- Oh oui ! Si tu savais…

Rémy m’a enculé sans ménagement. Je sentais des ondes de plaisir envahir mon bas-ventre et je vagissais comme une chienne. Au bout de quelques minutes, le souffle court, Rémy m’a annoncé :

- Putain de salope… Je vais te juter dedans…

- Non, attends ! Laisse-moi d’abord te lécher les couilles…

Je savais que Rémy adorait ça et je voulais me montrer la plus soumise possible. Cette sodomie m’avait mise dans tous mes états. Je me suis retournée pour aller embrasser les bourses de mon amant. Au bout de quelques instants, j’ai murmuré :

- Viens, maintenant, vide-les dans mon trou du cul, il est à toi…

Rémy a remis sa bite au chaud dans mon anus à présent bien ouvert, puis il a refait quelques va-et-vient avant de balancer sa purée dans mon boyau. J’ai joui sans me toucher et j’ai su alors que j’allais définitivement raffoler de cette pratique encore nouvelle pour moi. Rémy s’est relevé et m’a dit:

- C’est ta chatte de pute que je voulais remplir, moi, mais t’as de la chance, j’avais envie de te faire plaisir… Remercie-moi…

Moi, toujours à quatre pattes, j’ai répondu doucement en le regardant dans les yeux :

- Merci de m’avoir juté dans le cul, mon amour.

Rémy m’a enculée à deux autres reprises au cours de week-end, et à chaque fois le plaisir a été plus intense. Mais il ne s’est pas contenté de ça: il s’est encore délesté de son foutre à deux reprises dans ma chatte (dont une dans la nuit de samedi à dimanche durant laquelle j’ai dû dormir avec mes bas et mon porte-jarretelles) et bien sûr deux fois dans ma bouche (une fois le samedi avant de se coucher, une fois le dimanche au réveil. Ainsi que le dit Rémy, une ration de foutre par jour est un minimum vital pour une pute comme moi. Je peux vous dire qu’il a toujours pris soin d’appliquer sans pitié ce précepte toutes les fois où cela a été possible. Un jour, il est même venu se branler au-dessus de ma bouche pour me faire avaler son sperme alors que, atteinte d’une grippe, j’étais au lit avec presque 40°C de fièvre! 

Il est vrai que j’y ai mis du mien pour obtenir toutes ces giclées! J’ai passé mon temps à provoquer Rémy, les jambes bien écartées lorsque j’étais assise et me déplaçant uniquement à quatre pattes. A tout instant, je passais ma main sur ses couilles pour les dorloter et je lui demandais en geignant comme une salope qu’il me donne ma gâterie. J’invitais aussi Rémy à venir branler ma chatte visqueuse, et puis j’ai déjà mentionné ma nuit passée en porte-jarretelles. Au final, je crois qu’il était dans un état d’excitation quasi-permanent ! J’étais sa bonniche docile, comme il l’avait souhaité. Au début de la soirée de dimanche, les couilles de mon amant étaient à sec. Sa dernière jouissance a été très longue à venir, à tel point que j’ai eu très peur qu’il ne parvienne pas à m’arroser la chatte avant que son père ne revienne. J’aurais été très déçue !

Au final, j’avais l’entrejambe et la culotte amidonnés de sperme séché, et j’ai juste eu le temps de prendre une douche et de me changer avant que Guy n’arrive. Je l’ai accueilli joyeusement, le vagin encore dilaté par la récente pénétration de son fils. J’étais enchantée du week-end de débauche que je venais de passer, même si je me sentais crevée. Guy avait lui aussi les yeux cernés, mais sans doute pas pour les mêmes raisons que Rémy et moi ! 

Nous avons dîné tous les trois. Pendant que mon mari racontait son grand prix, je songeai aux grosses couilles de Rémy que j’avais réussi à tarir complètement. Je me suis sentie fière d’avoir correctement remplie ma fonction de vide-couilles et j’étais pressée d’avoir l’occasion de recommencer. 

Dans un avenir plus proche, je savais également que mon boulot de fourreau à bites reprenait dès le lendemain matin. J’avais une autre paire de couilles à essorer, et j’étais enchantée de cette perspective. Ma mentalité de pute se forgeait petit à petit et je commençais à n’envisager les hommes que comme des réservoirs à foutre qu’il s’agissait de vider. Je suis allée me coucher tôt avec l’intention de récupérer de mon week-end et d’être en forme pour le lendemain.

Effectivement, au réveil, j’ai constaté que j’étais bien reposée car, rien qu’à imaginer ma journée, je bavais déjà de la chatte ! Je me suis levée et me suis préparée: j’ai mis un tailleur assez strict gris perle sur des dessous en dentelles blancs et des bas clairs. J’étais assez contente de ma tenue et j’ai regretté de ne pouvoir aller la montrer à Rémy: sans doute m’aurait-il donné mon petit-déjeuner de pute… J’ai pris la voiture avec la vulve en feu. Mince! Il fallait que ça s’arrête, car mon mini-string n’était pas en mesure d’absorber autant de mouille et il allait bientôt dégouliner ! Mais je ne pouvais quand même pas me branler au milieu de la circulation… Je suis arrivée à l’hôpital avec le vagin tout glaireux et je me suis dirigée directement dans le bureau de mon patron sans passer par le mien. J’avais une grosse envie de me faire fourrer et je n’ai pas été déçue ! Quand je suis entrée, Pierre a relevé la tête de ses documents et m’a dit :

- Ah! Véronique… Tu tombes bien ! J’ai les couilles pleines et j’avais justement envie de me faire pomper le nœud !

Eh ben! Ca contrastait pas mal avec le langage châtié que je lui connaissais. Pierre m’a ordonné de relever ma jupe. Il a admiré mes dessous pendant quelques instants, il m’a félicité, puis j’ai dû passer sous le bureau. Quelle surprise quand j’ai découvert qu’il n’avait ni pantalon ni caleçon ! Par contre, il avait sa belle verge bien érigée. Je l’ai embouchée immédiatement avec avidité. Mais il m’a tiré par les cheveux et, comme vendredi soir, il m’a obligé à renifler ses couilles et à lécher sa bite. Ensuite, il me l’a enfournée dans le bec. Il s’est enfoncé dans ma gorge à plusieurs reprises avant d’éjaculer contre mon palais un flot de sperme épais et salé. Ma dernière giclée de foutre remontait à 24 heures (pour une gourmande de sperme comme moi, c’est long !) et j’ai donc accueilli celle-ci avec soulagement en prenant soin de savourer. J’ai avalé lentement et je me suis régalée. Sur l’ordre de mon patron, je me suis ensuite relevée. Il a massé ma chatte recouverte de mon petit string transparent et a vite constaté que ce dernier était imprégné de mon jus :

- Dis donc, salope, c’est plus une culotte que t’as là, c’est une serpillière ! Va falloir me nettoyer tout ça… 

Aussitôt dit, il a retiré le bout de tissu humide d’entre mes cuisses et me l’a fourré dans la bouche. Mon string était tellement minuscule qu’il est rentré tout entier sans peine. Le goût de mes secrétions vaginales a alors envahi ma bouche, masquant celui du sperme que je venais de recevoir. Ca m’a un peu frustré, mais j’ai quand même aspiré bien fort comme me l’a demandé Pierre, tandis que ses doigts s’insinuaient dans mon intimité. Il a rebandé assez rapidement en me regardant mâchouiller ma petite culotte. Avec deux doigts dans chacun de mes orifices, il m’a dit : 

- Maintenant je vais t’enculer, sale chienne ! T’es bien venue pour ça, non ? 

La bouche toujours bâillonnée, j’ai fait oui de la tête. Pierre s’est levé, il m’a mis le buste contre son bureau après avoir ouvert mon chemisier et malaxé les seins au travers de mon soutien-gorge. La jupe troussée, je devais dans cette position offrir une vue imprenable sur ma fente et mon cul. Un peu anxieuse, j’ai attendu servilement que Pierre me sodomise avec sa longue queue. Mais il a d’abord préféré visiter ma chatte gluante. Pas longtemps, juste le temps de lubrifier sa queue avec ma mouille, mais assez pour me faire avoir un premier orgasme. Heureusement que ma culotte a étouffé mes gémissements de salope, sans quoi j’aurais rameuté tout l’étage.

Pierre s’est retiré de ma chatte et dans la foulée, sa queue s’est enfoncée dans mon cul. Même si elle était moins épaisse que celle de Rémy, je l’ai quand même sentie passer, croyez-moi ! J’ai mordu dans ma culotte et j’ai attendu que Pierre finisse de m’introduire sa queue dans le rectum. Elle était si longue que j’avais l’impression qu’elle allait me ressortir par la bouche (à cette pensée, j’ai senti mon vagin dégouliner de plaisir). Pierre m’a enfilé jusqu’aux couilles puis il m’a limé sauvagement. Encore une fois, mon bâillon improvisé s’est révélé bien utile pour assourdir mes râles de bonheur. Pierre ayant joui peu de temps auparavant, il lui a fallu me défoncer le cul pendant une bonne vingtaine de minutes avant de m’inonder les intestins avec son sperme. Quand il s’est retiré, j’ai eu la sensation d’un grand vide en moi. En bonne salope, ça m’a donné immédiatement l’envie de me faire fourrer à nouveau et j’ai regretté qu’une deuxième bite ne soit pas là pour prendre le relais.

Mais pour l’heure, il n’en était hélas pas question. Pierre a ôté mon string plein de bave de ma bouche et il s’en est servi pour « nettoyer » sa queue et mon cul souillés de foutre. Evidemment, je ne pouvais pas le remettre dans cet état et j’ai donc dû passer le reste de la journée nue sous ma jupe, à l’exception de mes bas et de mon porte-jarretelles, cela va de soi… Pierre m’a renvoyé dans mon bureau pour que je me remette au travail. J’ai regardé ma pendule. Il était 9h30 et j’avais donc économisé une heure, tout ça pour sucer et me faire enculer par mon patron. Le « deal » m’a paru très intéressant. En plus, pendant ce temps, j’étais payée ! C’était la première fois que l’idée de me prostituer me venait, et ce ne fût pas la dernière, mais bien des mois d’orgies ont été nécessaires avant que cela ne devienne une réalité…

J’ai essayé de me concentrer sur mon travail afin de ne pas trop penser à mon envie de bites qui faisait suinter mon vagin et risquait de tâcher ma jupe. Ce n’était pas facile ! J’ai été au supplice jusqu’au milieu de l’après-midi, moment où mon patron m’a fait venir pour — avait-il dit — « se soulager dans ma chatte de traînée » avant de partir à un rendez-vous, ce qui fut fait. Pierre m’a dit de m’allonger et il s’est introduit d’un seul coup dans ma moule trempée.

- Aaaah! Je te l’avais bien dit que je t’enfilerai par tous les trous, salope !  M’a chuchoté Pierre.

Il m’a baisé très vite et à grands coups en missionnaire sur la moquette de son bureau, en ne songeant qu’à son plaisir. Pendant qu’il me défonçait la chatte, Pierre m’insultait copieusement, ce qui achevait de me faire jouir intensément. Au moment d’éjaculer en moi, il m’a traité de pute et de sac à sperme. A peine a-t-il eu fini de jouir qu’il s’était déjà rhabillé et avait quitté la pièce en ouvrant grand la porte alors que j’étais toujours allongée sur le sol, les cuisses écartées. Heureusement, le couloir était vide… J’ai pris un mouchoir pour essuyer mon con tout poisseux et je suis sortie du bureau, direction chez moi.

Lorsque je suis rentrée, Rémy m’attendait.

- Alors, petite pute, tu t’es bien faite défoncer par tous les trous ?  m’a-t-il interrogé.

- Oui, par les trois…  Ai-je répondu.

- Viens me montrer… 

Je me suis approchée de lui, j’ai relevé ma jupe et il a pu constater que je ne portais plus de culotte. Il a souri et il a passé ses doigts dans les poils de ma chatte: ils étaient humides du foutre de Pierre. Puis il a caressé mon anus encore tout endolori de ma sodomie du matin et j’ai frissonné en pensant à ce qui m’attendait. Rémy voulait lui aussi profiter de mon cul (c’est d’ailleurs pour ça qu’il m’avait confiée aux bons soins de mon directeur…). J’avais hâte ! Avant même qu’il ne me le demande, je me suis penchée sur la table du salon et j’ai ouvert le passage de mon cul avec mes mains. Rémy m’a fait mettre une jambe sur la table, mais comme Pierre le matin même, il m’a d’abord baisé un peu par le vagin, ce qui m’a fait onduler la croupe d’impatience. Il a ensuite bien pris le temps de me dilater avec ses doigts, il m’a léché le cul puis il m’a garni le fion avec sa belle pine. Son gland est passé tant bien que mal, mais j’étais heureuse de pouvoir le recevoir. Une fois au fond, il a commencé par me pilonner doucement. Huuumm ! Quel délice ! Je me sentais déjà proche de la jouissance et je maintenais mes fesses bien ouvertes afin que mon amant puisse s’enfoncer au plus profond des entrailles de sa pute. En même temps, je serrais au maximum mon sphincter autour de sa tige en l’implorant de tout me juter à l’intérieur. Excité, Rémy m’a fait confirmer :

- Tu veux tout mon jus, salope ?

- Oui mon amour, je t’en prie, donne-moi tout…  

Rémy a émis un râle et, pour la deuxième fois de la journée, j’ai reçu un bon paquet de foutre chaud dans mon cul. Ca m’a fait un bien fou ! Après, pour couronner le tout, Rémy m’a fait découvrir ses talents en me faisant un super cunnilingus : il a léché mes lèvres intimes et l’intérieur de mes cuisses, il a fourré sa langue dans mon vagin odorant, il a aspiré mon clito entre ses lèvres et j’ai eu deux orgasmes terribles en un rien de temps ! J’étais encore un peu flageolante quand mon mari est rentré de son travail et il m’a fallu prendre sur moi pour redevenir la parfaite épouse que j’étais censée être.

Dans les deux ou trois semaines qui ont suivi, les choses ont continué sur la même lancée. Entre Rémy et Pierre, j’étais enculée deux à trois fois par jour et à ce rythme, je n’ai pas tardé à avoir l’anus plus accueillant, sans que pour autant il ne cesse d’être bien serré (à ce sujet, il est temps pour moi de vous parler du surnom de mon cul : mes hommes avaient remarqué que j’avais beau avoir le cul plein de sperme, il n’y en a que peu qui ressortait, tellement mon petit trou était prompt à se refermer après chaque pénétration. C’est pourquoi Rémy a baptisé mon cul « éponge à sperme », pour sa capacité à absorber le foutre). 

Mon vagin n’était pas en reste, surtout grâce à Rémy qui semblait prendre un plaisir particulier à me remplir par ce trou. Heureusement que je portais un stérilet, sans quoi mes baiseurs n’auraient pas manqué de m’engrosser, et j’aurais été bien incapable de savoir qui était le père ! Pas Guy, en tout cas, à qui je refusais systématiquement l’entrée de ma chatte: elle était trop irritée, et surtout trop pleine de semence…

Naturellement, j’avais droit aussi à ma ration de jus de couilles que Rémy ou Pierre se chargeaient de me faire avaler quotidiennement. Ces deux-là se tenaient d’ailleurs mutuellement au courant de mes activités par le biais du téléphone. Ainsi, quand Rémy avait envie de ma chatte, après m’avoir bien sûr sodomisée dès que je rentrai du travail (ce qui fut le cas tous les jours pendant ces trois semaines), il téléphonait toujours à Pierre pour lui demander s’il avait « donné à manger à la chienne ». La réponse était souvent positive, ce qui avait pour résultat d’exciter Rémy qui me baisait alors bien à fond en me couvrant d’insultes. 

Du coup, c’est le cul et la chatte dégoulinants de sperme que je recevais presque tous les soirs mon mari. Quand je servais à table, parfois, le foutre qui s’était accumulé dans ma culotte débordait et je le sentais couler le long de mes cuisses jusqu’au revers de mes bas. Je trouvais mon mari pitoyable de ne s’apercevoir de rien, je le méprisais et je mouillais en m’imaginant lui faire nettoyer les dégâts avec sa langue. Ces envies d’humiliation sont vites devenues si fortes que, un soir, je n’ai pas pu me retenir et jouant avec le feu, je me suis fait baiser par Guy sans m’être douchée. J’ai guetté avec appréhension sa réaction quand il m’a pénétrée, mais il s’est simplement contenté de me dire : 

-  Ouuuah! Ce que tu es mouillée, petite salope… 

Il ne croyait pas si bien dire ! Soulagée — et très excitée par la situation — j’ai laissé mon imbécile de mari barboter dans le sperme de son fils tant qu’il a voulu…

Quelquefois, Pierre avait préféré consacrer sa jute à mon cul ou à ma chatte, ou plus simplement il avait été absent de toute la journée. Rémy ne manquait alors jamais de décharger dans mon « récipient à sperme », pour mon plus grand plaisir. J’étais d’ailleurs parfois tentée de prétendre n’avoir pas eu droit à ma ration de foutre (j’aime tellement ça !), mais le fait que Rémy puisse vérifier à tout instant cette information auprès de Pierre m’en empêchait.

Il se trouve que la plupart du temps, c’est Pierre qui se chargeait de me nourrir, Rémy préférant se réserver pour mes deux trous du bas. De plus, c’était malheureusement une période où Guy était souvent présent et Rémy ne pouvait donc pas me donner mon « petit-déj ». En gros, je ne le suçais plus que le week-end. Comme il fallait s’y attendre, le goût du foutre de Rémy a fini par me manquer. J’ai fini par protester, à ma façon : un soir, tandis que Rémy m’enculait pour la deuxième fois de la soirée, j’ai eu l’envie irrépressible de boire son foutre. Quand Rémy a grogné, je me suis dégagée vivement, et sans me soucier de l’état de sa queue, je l’ai gobée, avide de recueillir sa jouissance au fond de ma gorge. Mais Rémy n’a pas éjaculé. Il s’est retiré et j’ai gémi :

- Oh! S’il te plaît… jute-moi dans la bouche…

- Je fais comme bon me semble! Et puis, Pierre t’en a déjà donné aujourd’hui, il me semble…

- C’est pas pareil ! Tu sais à quel point j’adore le jus de tes couilles, mon amour ! Parfois ça me manque…

- Je vois, la pute fait son caprice…

- Oui… Ai-je admis.

Je pensais qu’il allait se montrer sévère envers l’affamée de sperme que je suis, mais en fait il a été adorable puisqu’il m’a redonné sa queue à sucer. Je l’ai tétée fiévreusement jusqu’à ce qu’elle crache sa sauce dans ma bouche de salope. J’ai tout ingurgité en couinant de satisfaction, puis j’ai embrassé ses couilles en le remerciant. Quelle pute je fais ! Par la suite, afin que je ne sois pas en carence de son foutre, Rémy a promis de s’appliquer à se finir plus souvent dans ma bouche (que je tiens grande ouverte dans ces moments-là). En fait, depuis ce jour, il y a très peu de ses éjaculations que je n’avale pas. Quand il me jute dans la chatte, il me donne souvent son sperme à manger en allant le récupérer dans mon vagin avec une cuillère en plastique flexible que l’on trouve dans les rayons de puériculture. J’avale alors les trois ou quatre cuillérées (voire beaucoup plus quand les amis de Rémy m’ont aussi giclé dedans) de foutre chaud avec gourmandise. Quelquefois, quand il veut vraiment me faire plaisir, il me baise ou m’encule avec une capote dont il me permet ensuite, après avoir joui, d’ingurgiter le contenu blanchâtre. Ainsi, je ne perds rien. Le port du préservatif étant moins agréable pour lui — j’en ai conscience — je lui suis d’autant plus reconnaissante pour ces petites attentions… 

Je précise que les capotes sont d’ailleurs pour Rémy l’occasion d’inventer de nouveaux jeux pervers : un jour par exemple, profitant que son père soit parti très tôt, Rémy m’a baisé comme une chienne au milieu du salon. Mais au lieu de me donner la capote bien crémeuse, il a fait un nœud et me l’a mise dans la chatte en me donnant l’ordre de la garder au chaud dans mon vagin toute la journée. Ce n’était guère évident avec mes muqueuses archi-lubrifiées. Pourtant, en bonne soumise, j’ai consacré mon temps à aller aux toilettes pour remettre au fond de ma chatte la capote qui, alourdie par le foutre, ne cessait de descendre vers l’entrée de mon orifice. Ceci dit, il valait mieux pour moi : Pierre a débarqué sans crier gare à plusieurs reprises dans mon bureau pour vérifier avec ses doigts que je respectais bien les consignes de Rémy… 

En rentrant du travail, Rémy est allé chercher la capote tout au fond de ma conasse mielleuse (par vice, j’avais pris soin de bien la replacer juste avant d’entrer dans la maison). Rémy a palpé le caoutchouc pour vérifier qu’il était tiède, puis il a exigé (et obtenu) que je fasse la belle comme les chiens, en haletant avec la langue tirée. Il a passé la capote sur ma langue et sur mon visage, puis il m’a laissé mordre dedans. En crevant, le préservatif a enfin laissé s’échapper dans ma bouche avide le sperme matinal de Rémy. Une vraie douceur ! Une autre fois, il a mis sa capote souillée dans le congélateur et le lendemain j’ai dû décongeler le sperme en la suçant. Quand Rémy a estimé que le foutre était à bonne température, il a retourné la capote et me l’a vidée dans la bouche.

Au demeurant, j’ai rapidement eu l’opportunité d’avaler plus souvent le jus de Rémy. En effet, Pierre a eu envie un matin que je le branle. Je flattais la bite et les couilles de mes amants avec les doigts, certes, mais je ne m’étais jamais encore livrée à ce genre d’exercice que ni Rémy ni aucun autre ne m’avaient jamais réclamé. Et apparemment, ma première ne fut pas une réussite. Au bout de quelques instants seulement, Pierre m’a interrompue :

- Bon allez, ça suffit ! Suce-moi puisque t’es bonne qu’à ça ! 

Il est vrai que je me suis tout de suite sentie plus à l’aise. J’ai arrondi mes lèvres autour de sa tige et j’ai commencé à le pomper bien fort. Tout en se faisant sucer, Pierre a pris son téléphone qu’il a mis sur haut-parleur.

- Allô, Rémy ? Ta pute ne sait pas branler une queue ! Une vraie catastrophe !

- Merde ! C’est vrai que je ne me suis jamais penché sur cette question…

- Eh oui ! De grâce, fais quelque chose !

- Ok, je m’en occupe dès ce soir… 

Quand je suis rentrée, Rémy m’a fait mettre en travers de ses genoux et après avoir relevé ma jupe sur mes reins, il m’a flanqué une bonne fessée, au motif que je lui avais fait honte. Puis il a entamé mon éducation dans « l’art de branler une queue comme une pute ». La croupe encore rougie et la jupe toujours troussée, j’ai dû m’accroupir, les fesses touchant mes escarpins à talons hauts. Ensuite, j’ai eu pour instruction d’ouvrir mes cuisses au maximum, de poser le bout du gland sur ma langue et de branler la bite d’une main en caressant les testicules de l’autre, le tout sans jamais quitter Rémy des yeux. Rémy me guidait par des « plus lentement ! » ou des « serre ma queue plus fort ! ». En fait, le plus dur pour moi, c’était de me retenir de gober le gland. Si vous saviez ce que j’en avais envie. Quand j’ai pris le bon rythme Rémy a marmonné :

- Voilà, salope… comme ça, c’est bien… branle-moi bien la queue… Continue… je vais te donner ta friandise de vide-couilles… Han ! Tiens, bouffe !

Sa bite épaisse a aussitôt déversé un flot de sperme tiède contre ma langue. Sans le quitter des yeux, j’ai attendu que Rémy finisse de me remplir la bouche de sa purée puis j’ai avalé le tout. Pour finir, j’ai pressé le bout de son gland pour faire sortir les dernières gouttes et j’ai léché le méat. J’ai répété l’exercice tous les soirs de la semaine ainsi que le week-end.

Du coup, puisque Rémy n’avait plus guère la possibilité de visiter mon « éponge à sperme » (le temps nous manquait et ce cochon préférait souvent m’asperger le vagin. Il le faisait même quand j’avais mes règles ! La première fois, j’avais eu quelques réticences, mais Rémy m’avait dit que je devais toujours me tenir disponible par tous les trous, qu’il avait envie de ma chatte maintenant et qu’il ne comptait pas s’arrêter à ce genre de détail), Pierre a eu pour instruction de m’enculer au moins deux fois par jour, afin d’être sûr que je reste bien ouverte du cul durant mon apprentissage de masturbatrice. 

Le lundi, Rémy a estimé que j’étais prête et que « j’avais fait des progrès notables dans mon apprentissage de pute », selon ses propres mots. Il en avait informé mon patron qui s’est empressé de vérifier par lui-même dès que je suis entrée dans son bureau. J’ai appliqué soigneusement les règles que Rémy m’avait apprises. Je crois que Pierre a adoré la position, et surtout le fait que je le fixe dans les yeux pendant que je l’astiquais.

- Putain! Quelle salope! Et elle me regarde, en plus ! Ce que tu m’excites… T’aimes ça bouffer du sperme, hein ? Ooooooh ! Je sens que ça monte… attends, ferme la bouche, salope, je vais te faire un joli maquillage de pute… 

Sa bite s’est contractée et un jet puissant de foutre s’est écrasé contre ma joue, bientôt suivi par deux ou trois autres tout aussi forts. Pierre a saisi sa queue et a lâché le reste de son jus sur mes paupières. J’ai consciencieusement recueilli avec mes doigts le foutre répandu sur ma figure et je les ai léchés pendant que Pierre appelait Rémy pour le complimenter sur l’instruction qu’il m’avait prodiguée, mais qui était loin d’être terminée…

A suivre...

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