mercredi 22 janvier 2020

Ecole privée Ch. 06

Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique

13 -- Une chance de jouir.

- Alors salope, es-tu prête à jouir?

MAURICE la regardait alors qu'elle était à genoux dans sa petite chambre dans le dortoir. Était-elle prête à jouir?

- Oui oui M. MAURICE, je le suis.

Elle était si excitée après quatre semaines sans orgasme. Sa chatte lui rappelait constamment, si bien qu'elle avait peur que son jus ne coule sur ses cuisses en classe. Sans culotte, rien ne pouvait l'arrêter. Elle leva les yeux sur son bourreau avec espoir.

MAURICE libéra lentement sa queue de son pantalon et dit :

- Eh bien, il ne s'agit plus vraiment d'une question n'est-ce pas? La vraie question est de savoir ce que tu peux faire pour le mériter? Pendant que tu y réfléchis, tu peux nettoyer ma bite, je viens de passer quelques moments délicieux avec Belinda dans la salle de gym.

Comme si elle n'avait pas remarqué qu'ils avaient traîné après le cours de gym et avaient disparu dans la pièce des équipements. Elle avait même entendu leurs grognements et gémissements tandis que MAURICE baisait la jeune fille debout.

Elle se pencha en avant et commença à lécher. Le goût de la sueur mêlée à son sperme et au jus de la fille lui était bien connu maintenant. Mais ça la rendait encore plus douloureusement consciente de son manque de bite en elle. Elle essaya de se concentrer et de penser à quelque chose à répondre, quelque chose qui le pousserait à lui donner l'orgasme dont elle avait tant besoin. Elle sentit la bite réagir à ses soins et grandir dans sa bouche. Elle essaya de l'exciter encore plus pour qu'il la baise. Mais il recula.

- Alors, des suggestions chienne?

Elle dit la première pensée qui lui vint à l'esprit :

- Vous pouvez me baiser comme vous le voulez M. MAURICE.

Il gifla son visage violemment.

- Stupide chatte, Quand comprendras-tu que tu dois mériter le privilège que je te baise? Et en plus je te l'ai dit, j'ai de meilleures proies. Penses-tu que, alors que je peux baiser Belinda, je pourrais être intéressé par une grosse vache comme toi.

Il baissa les yeux pour la faire reculer. Il désigna la chaise et la força à se précipiter dessus. Elle dut s'asseoir face au dossier et pour cela, elle dut écarter les jambes pour s'adapter aux accoudoirs. Le garçon attacha ses pieds à ceux de la chaise. La position était très inconfortable avec son poids reposant sur ses cuisses sur les accoudoirs en bois dur. Mais le pire était que sa chatte était grande ouverte et en l'air. Elle pouvait déjà sentir son jus se former. Bientôt il goûterait sur le siège.

- Bon, je vais dîner maintenant. Je suis sûr que tu es prête à manquer le repas pour avoir la chance de penser à quelque chose qui pourrait être récompensé par un orgasme. Amuse-toi chienne.

Il passa sa main dans son entrejambe et titilla son clitoris pendant quelques secondes. Un instant, Anne pensa qu'elle allait jouir, mais il fit attention et la laissa juste au bord de l'orgasme. Souriant, il ferma la porte derrière lui.

Dans la position où elle se trouvait, Anne sentait très bien sa chatte excitée. Elle savait que la chaise allait être recouverte de son jus. Elle se surprit à rêver de bites et découvrit qu'elle essayait de frôler la chaise pour se caresser. Elle essaya désespérément de penser à quelque chose qu'elle pourrait offrir à son bourreau pour qu'il lui permette de jouir. Mais tout ce qu'elle avait comme idées, il le faisait déjà ou ne le voulait pas. Elle se sentit devenir folle.

Lorsque MAURICE revint une heure plus tard, elle n'avait toujours pas trouvé quoi lui offrir. Le garçon se dirigea vers le siège, et passa un doigt dessus. Ensuite il le nettoya en le frottant sur le nez de l'enseignante. L'odeur de sa chatte devint insupportable et elle dut se battre pour ne pas se lécher la lèvre supérieure et le nez.

- Alors salope? Des suggestions qui pourraient me divertir suffisamment pour que je t'accorde un orgasme?

Anne essaya de rassembler ses pensées.

- Pour être honnête, Monsieur, je ne vois pas ce que je pourrais vous proposer qui vous satisferait. Alors, s'il vous plaît, ne pouvez-vous pas simplement me dire ce qui vous divertirait?

- Tu essaies de te simplifier la tâche, salope. Laisse-moi t'expliquer. Cette année, tu va faire tout ce que je veux, tu as raison sur ça. Pourquoi devrais-je t'accorder un orgasme? Si tu veux jouir tu dois le gagner et faire une suggestion toi-même. Et tu sais pourquoi? Parce que je veux que tu admettes que tu es juste une chienne en chaleur, que tu fais n'importe quoi pas seulement parce que je le dis, mais parce que ta chatte dégoulinante a besoin de bites. Pas parce que j'ai des photos compromettantes, mais parce que tu es une pute. Donc, à moins d'admettre cela et de te comporter comme tel, tu resteras excitée sans pouvoir te satisfaire. Crois-tu que tu pourras rester sans un seul orgasme pendant une année, salope? Et souviens-toi que je peux savoir si tu te masturbes. Si tu le fais sans ma permission, toutes ces belles images seront diffusées un peu partout. Alors quel est le plus important : l'estime de toi ou le besoin de jouir?

Une année? Ça ne faisait que quelques semaines et sa chatte commençait à couler à la moindre idée de sexe. Elle essaya de se forcer à le nier, mais elle savait qu'elle n'arriverait pas à tenir aussi longtemps. Putain, elle voulait jouir.

- S'il vous plaît, M. MAURICE, j'avoue que je suis une pute, une salope et que je veux jouir. Si vous ne voulez pas me donner un ordre, ne pouvez-vous pas au moins me faire une suggestion? Je ferai n'importe quoi pour gagner des orgasmes. N'importe quoi Monsieur.

- N'importe quoi?

Il fit une pause avant d'ajouter :

- N'importe quoi pour avoir de la bite? tu es juste une chienne en chaleur.

- Oui Monsieur, je suis une chienne en chaleur qui a besoin d'être montée.

Le garçon réfléchit une minute, les yeux d'Anne suspendu à son visage, espérant et détestant le faire.

- Très bien salope. Voilà le marché : tu peux demander pour un orgasme quand tu veux. Si je pense que tu le mérites, je te donnerai le choix entre trois choses à faire et tu en choisiras une. Mais si tu ne le fais pas après que j'ai autant réfléchi tu seras punie. Et je ne parle pas d'une petite fessée, je veux dire que tu auras vraiment mal au cul. Laisse-moi réfléchir à quelques tâches pour toi.

Il partit sans lui laisser le temps de répondre. Quand elle regarda autour d'elle, elle remarqua qu'il avait laissé la porte légèrement entrouverte. Un petit courant d'air et elle serait exposer à tous les garçons passant dans le couloir. Ils la verraient attachée sur une chaise, la chatte dégoulinante. Anne se trouvait d'humeur curieuse. Elle craignait ce qu'il allait proposer, mais ne pouvait s'empêcher de rêver d'avoir un orgasme sous peu. MAURICE prit son temps et il était presque 22 heures quand il revint avec une cravache.

- Prête pour un super orgasme, salope?

Il sourit et éclate de rire quand elle fit un signe de tête enthousiaste.

- D'accord, tu vas avoir le choix entre trois tâches. Et juste au cas où tu songes à n'en choisir aucune...

Anne cria quand la cravache tomba sur son cul exposé et laissa une ligne rouge en travers.

- Tu auras 25 coups, dix sur ton cul, 10 sur te mamelles et 5 autres sur ta chatte affamée. Compris?

- Oui M. MAURICE, quelles sont les tâches? Demanda-t-elle.

- La première est assez simple : supplie Belinda et moi de t'utiliser comme toilettes privées et de pisser dans ta bouche chaque fois que tu veux jouir.

Anne écarquilla les yeux et pâlit. Il ne pouvait pas être sérieux. Le garçon la regarda avec un sourire ironique.

- Tu as dit « n'importe quoi » tu te souviens, salope? Tu veux entendre le deuxième choix?

Elle acquiesça silencieusement.

- La deuxième est que tu te baises toi-même alors que je te regarde. Mais tu le fais dans les toilettes avec la brosse à chiotte.

Anne s'arrêta de respirer. Pas question qu'elle fasse ça.

- Pas à ton goût non plus? Alors c'est le troisième choix ou les 25 coups de cravache. Peut-être que la punition te fera jouir. Pour le troisième choix, tu dois te faufiler dans le couloir, entrer dans une chambre et implorer quiconque est à l'intérieur de te baiser.

Le mot « baiser » envoya une secousse à travers son corps. Elle essaya de réfléchir. S'offrir à l'un des garçons de cette façon était humiliant. Mais ils semblaient avoir tous accepté son comportement jusqu'à présent. Et ils étaient jeunes et sûrement virils. Elle acquiesça.

- Je vais faire ça M. MAURICE.

Sans un mot, il la détacha de la chaise. Elle se leva et frictionna ses membres pour rétablir la circulation. Puis elle s'approcha timidement de la porte. Elle entendit des pas dans le couloir et attendit qu'ils disparaissent. Son cœur battait très vite. Elle essaya de se rappeler qui partageait sa chambre avec qui et où. Elle ne voulait pas marcher trop longtemps sans le couloir, nue et excité. Elle avait donc intérêt à choisir la chambre la plus proche, donc celle de MAURICE. Il n'y aurait que David GRIFFON, le colocataire de son bourreau, à l'intérieur. Bien qu'elle ne sente pas particulièrement attirée par David, il était assez beau. Elle jeta un coup d'œil par la porte, puis prit une profonde inspiration.

Suivie de MAURICE, elle se précipita dans le couloir. La première porte n'était qu'un placard de rangement mais la deuxième était la bonne. Elle hésita encore une fois, mais craignant qu'une autre porte s'ouvre et que quelqu'un la voie ainsi, elle poussa la porte et pénétra dans la chambre.

Cinq paire d'yeux fixèrent son corps avidement. Elle déglutit et resta figée. Davis avait visiblement invité les occupants des deux chambres suivantes. Tom LIERE était assis sur le lit de MAURICE avec Thomas VIEILLE. Charles LAVIE et Guillaume BETON étaient assis par terre. A la vue de son corps nu, Thomas se pourlécha les lèvres et Charles changea de position pour tenter de se sentir mieux avec l'énorme érection qui poussait dans son jean. Pendant une minute, personne ne parla et Anne sentit son cœur battre à mille ç l'heure. Finalement MAURICE rompit le silence.

- Eh bien Mme POISTOUT, je pense que vous devriez expliquer ce qui vous amène ici dans cette tenue inhabituelle.

Elle manqua presque de reconnaître son nom comme le garçon ne l'avait pas utilisé depuis plusieurs semaines. Il se tut et la laissa se débrouiller. Sa bouche fonctionnait mais elle n'arrivait pas à sortir un mot. Dans la panique, elle essaya de se retourner et de fuir dans sa propre chambre. Mais MAURICE bloquait la porte, et, hors de la vue des autres, secoua la cravache. La signification était évidente : si tu fuis tu seras fouettée. Elle se retourna lentement et fit face aux cinq jeunes hommes. Essayant d'empêcher son cœur de s'emballer, elle prit une grande inspiration et commença :

- Je... je voulais demander si...

Sa détermination flancha et elle dut se ressaisir. Elle finit par dire :

- Je voulais demander si l'un de vous voulait me baiser.

Quelques regards s'élargirent. Thomas devint rouge betterave, mais elle pouvait voir des sourires s'étaler lentement sur leur visage. Seul celui de David s'assombrit. Il dit lentement :

- Il y a un problème Mme POISTOUT...

Ses yeux passèrent de son corps à MAURICE. Elle réalisa alors qu'il devait être impliqué dans l'affaire et qu'il cherchait un signal de son ami.

- Vous savez, je crois que nous voudrions bien vous baiser tous les cinq. Et ce sera difficile pour les quatre restants de ne pas la faire, vous ne croyez pas?

Le regard d'Anne se déplaça d'un visage à l'autre quand elle réalisa ce que ça signifiait. Elle était coincée alors elle fit le plongeon.

- Alors pourquoi ne me baiseriez vous pas tous? Dit-elle hésitante.

Un lent sourire se répandit sur le visage de GRIFFON.

- Qu'est-ce que vous en dites les gars? Allons-nous rendre ce petit service à Mme POISTOUT?

Il y eut des hochements de tête enthousiastes, mais personne ne bougea. Un silence gênant s'ensuivit. Anne sursauta lorsque MAURICE chuchota à son oreille.

- Dis leur que tu veux être traitée comme une salope, être juste baisée.

La pointe de la cravache tapa son derrière. Anne murmura alors :

- S'il vous plaît ne soyez pas timide. Prenez-moi comme vous le voulez, j'aime ça.

Elle se détesta d'avoir prononcé ces mots, mais elle savait que c'était vrai. Elle avait juste besoin d'être baisée. MAURICE la poussa dans la chambre et dit :

- Vous pouvez utiliser mon lit les gars. Pourquoi n'attendriez-vous pas là-bas pendant qu'ils décident qui va commencer, Mme POISTOUT.

Adossée au mur, Anne attendit avec impatience pendant que David demandait aux autres d'écrire leur nom sur un bout de papier. « Je suis le prix d'une loterie » pensa-t-elle amèrement. Les regards affamés qu'elle sentait sur son corps auraient dû la faire reculer, mais au contraire ils l'excitaient encore plus. Sans surprise, elle remarqua que MAURICE ne mettait pas son nom dans le pot, mais qu'il allait tirer l'ordre de passage. Il le montra aux garçons mais ne lui dit pas à elle. La pensée de cinq queues se suivant dans sa chatte fit trembler tout le corps d'Anne. Elle sentit une vague de plaisir envahir son corps.

- Hé, je t'ai dit de venir ici!

Anne se rendit compte qu'elle n'avait probablement pas entendu David la première fois. Se secouant, elle se dirigea vers le lit. Tom et Thomas lui firent de la place et David lui fit signe de s'allonger. Il haussait les épaules pour ôter sa chemise.

- Elle a dit qu'elle ne voulait pas de préliminaires, alors pourquoi ne pas l'ouvrir pour moi. Je vais lui donner ce dont elle a besoin tout de suite.

Anne se sentit poussée dans le lit et quand elle souleva ses jambes, Thomas les a saisies et écartées pour donner aux quatre autres garçons une vue parfaite sur sa chatte et son cul.

- Mecs, regardez cette chatte, elle dégouline déjà. Pas étonnant qu'elle soit venue pour supplier d'être baisée.

Guillaume sourit :

- Ça ne vous dérange pas que l'on parle un peu vulgairement? N'est-ce pas Mme POISTOUT?

- je pense qu'elle pourrait même aimer ça. Et il n'est pas normal d'appeler une femme qui vous supplie de la baiser « Mme POISTOUT », n'est-ce pas? Pourquoi ne nous diriez-vous pas comment nous devons vous appeler Mme POISTOUT?

Les yeux de MAURICE brillaient.

- Appelez-moi salope ou putain, mais baisez-moi, s'il vous plaît. Gémit-elle en se tortillant pour se rapprocher de la queue qui l'attendait.

GRIFFON la regarda dans les yeux.

- Ok. Alors putain, prépare-toi à être baisée comme tel.

Il se pencha en avant et saisit durement son sein droit. Il sembla la tirer vers lui et il la pénétra d'un mouvement rapide et fluide. Elle put vois ses yeux s'écarquiller tandis que l'humidité soyeuse de sa chatte l'engloutissait. La sensation de ce membre bien raide à l'intérieur d'elle lui fit perdre tout contrôle de soi.

- Oh oui, bien fort. BAISE-MOI!!!

Les derniers mots se changèrent en gémissements quand GRIFFON commença à la marteler. Il ne fallut pas plus de dix secondes avant qu'elle ne crie sous l'effet d'un orgasme devant les six garçons. Ce fut la jouissance la plus intense qu'elle ait jamais connue, et ça lui sembla durer éternellement.

Elle se foutait de qui l'entendait ou la voyait. Elle vivait juste pour le plaisir qui se répandait de sa chatte à tout son corps. Finalement quand l'orgasme passa, elle resta aussi excitée qu'avant. Le jeune garçon continua à l'utiliser jusqu'à ce qu'il gicle sa graine profondément dans son ventre. Elle cria de déception quand la queue quitta sa chatte. Elle sentit qu'elle était retournée et un autre corps se pressa par derrière sur le sien. Un instant plus tard, Tom pénétra sa chatte par derrière et elle gémit de reconnaissance. Il la pilonna sans hésiter. Elle perdit le contrôle et n'était plus qu'un corps en détresse. Elle sentait le prochain orgasme arriver quand Tom se retira, haletant.

- Waou, c'était la meilleure baise que je n'ai jamais eue. Dit-il d'une voix basse.

Elle ne l'avait même pas senti jouir en elle. Mais avant qu'elle ne puisse se plaindre, elle entendit Charles lui demander de se mettre à quatre pattes. Avec empressement, elle obéit et écarta les jambes. Le garçon s'agenouilla près d'elle, poussa sa bite dans son sexe et commença à la ramoner. Encore une fois, elle perdit le contrôle, se tordit et gémit jusqu'à ce qu'un deuxième orgasme la traverse. Une autre charge de sperme se déversa dans son ventre en même temps. Elle s'effondra sur le lit.

Mais elle n'eut pas de répit. Guillaume la poussa brutalement sur le côté et commença à la baiser plus violemment que les autres. Tout son corps tremblait sous la force des coups de rein. Elle se sentait comme une poupée gonflable en train de se faire malmener. Mais l'excitation est peu à peu revenue, et quand il eut fini avec elle, elle avait encore envie de bites. Elle voulait un autre orgasme.

- Viens ici sur le sol!

Au début, elle n'avait pas reconnu la voix de Thomas VIEILLE. C'était un ordre si imposant que ça ne semblait pas venir du jeune garçon timide qu'elle connaissait. Docilement elle se laissa tomber du lit, sans faire confiance à ses jambes pour la porter. Il la fit ramper dans la bonne position devant lui et il attrapa brutalement ses cheveux.

- Je vais te montrer comment une salope comme toi devrait être baisée. Cria-t-il avant de fourrer sa bite dans sa chatte.

Anne ne se souvint pas de beaucoup de choses après, si ce n'est qu'elle avait joui à nouveau et qu'il l'avait baisée si fort que sa chatte fut douloureuse toute une journée. Finalement quand il s'arrêta, elle resta simplement sur le sol, haletante, complètement épuisée et repue. Elle entendit les garçons parler autour d'elle mais elle ne les écouta pas. Ça avait été si intense. Alors qu'elle réalisait ce qui s'étais passé et à quel point elle avait été humiliée et dégradée, elle savait aussi qu'elle en avait encore besoin. Encore et encore.

- Salope, je pense qu'il est temps de tout expliquer à ces messieurs.

La voix de MAURICE brisa sa rêverie.

- Puisque que tu sembles être épuisée, je vais le faire et tu pourras confirmer. Tu écoutes chienne?

- Oui. Parvint-elle à murmurer.

- Bon, alors voilà le marché. Notre Mme POISTOUT est une salope naturelle. Elle a besoin de bite, elle a soif de bite. Et elle fera tout pour avoir de la bite. Mais elle sait aussi que ce genre de comportement est dangereux et doit être contrôlé. Alors elle m'a fait une proposition inhabituelle. Elle m'a demandé de la contrôler. Et j'ai accepté. Donc effectivement notre Mme POISTOUT est ma propriété. C'est bien vrai, salope?

Comment pouvait-il déformer autant les faits? Mais elle savait qu'elle n'avait pas le choix. Et après ce soir, elle devait peut-être admettre qu'il avait raison.

- Oui M. MAURICE.

Les garçons devaient la regarder avec incrédulité, mais Anne garda la tête baissée sur le sol.

- Alors voilà le contrat les gars. Nous pourrons avoir toute la baise que l'on veut, mais cela ne sort pas de ce groupe à moins que je le dise. Et cela ne doit pas affecter le travail scolaire. D'accord? Nous voulons tous avoir notre diplôme. Cependant nous pouvons nous amuser un peu en attendant, alors ne gâchez pas cette occasion. Elle s'occupera de tout le monde quand vous le voudrez. Allez dans sa chambre et dites-lui ce que vous voulez. Mais elle peut avoir un orgasme seulement si je lui ai permis, alors ne vous laissez pas emporter. D'accord?

Il y eut un cœur de « oui » tout autour et Anne marmonna également son assentiment.


- Je ne t'ai rien demandé salope. Tu n'as rien à dire. Tu es juste une pute pour nous. Oh, souvenez vous les gars, elle aime qu'on soit brutal et vulgaire avec elle.

Il y eut quelques éclats de rire jusqu'à ce que David dise :

- Vous savez quoi? Je crois que je pourrais bien me la taper une seconde fois.

MAURICE rigola.

- Quel est le problème? tu veux la baiser? Mais dépêche-toi un peu, il est tard et je veux me coucher.

Une minute plus tard, Anne chevauchait GRIFFON et était de nouveau pilonnée.

- Je bande de nouveau, je suis le prochain. Sourit Tom.

- Non, j'ai dit que je voulais dormir. Si tu as besoin de te vider les couilles, fais-toi sucer.

Et tout en étant martelée par GRIFFON, Anne fit sa première pipe en public.


A suivre...


La déchéance de ma mère Ch. 05

La déchéance de ma mère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Lesbiennes en furie.

Nous étions le vendredi soir et lundi étant un jour férié, maman et moi nous préparions à avoir un week-end prolongé. J'étais assis dans le canapé et je regardais la télé. Mon père était encore à l'étranger pour son travail mais il devait rentrer samedi soir. Un claquement de talons me fit lever la tête, maman traversa le salon. Elle était, comme à son habitude, très élégante dans une robe grise sur des bas gris. Je pensais à tout ce qu'elle avait vécus ces derniers jours. Nous en avions parlé plusieurs fois et nous étions partagés entre porter plainte ou continuer à subir les humiliations de ces pervers. Je n'osais avouer à ma mère que cette situation m'excitait au plus haut point. Moi qui d'habitude allait lire ce genre d'histoire sur un site d'histoires érotiques....Seulement la, c'était en vrai! J'avais réellement vu ma mère se faire baiser comme une chienne dans une cave. J'avais vu ma mère se faire enculer par le gardien et son fils...Et elle m'avait raconté son aventure dans le sex-shop. Et je bandais comme un fou chaque fois que j'y pensais. Et je pense que cela excitait aussi maman. Je la trouvais quand même étrangement passive la plupart du temps...

Un coup de sonnette me tira de mes pensées. Maman se dirigea vers la porte. J'entendis immédiatement des cris et des insultes!

Je me levais au moment ou Farida rentra dans le salon, tenant ma mère par les cheveux, suivi d'un groupe de filles. Je comptai rapidement qu'elles étaient huit!! Elles étaient déchainées et criaient, houspillant maman, l'entourant, tentant de luis soulever le bas de sa robe...Quatre furies se jetèrent sur moi et me poussèrent vers ma mère.

- C'est lui le sex-toy? demanda une des filles, hilare...

Farida me jeta un regard mauvais...

- Et elle c'est sa salope de mère!

Maman pousse un cri. Trois filles ont réussi à soulever la robe dévoilant le porte-jarretelles. Elles poussent des cris et introduisent déjà leurs doigts dans la fente de maman qui se débat comme elle peut. Je subis le même sort, deux filles m'enlèvent mon pantalon et je me retrouve en caleçon que je dois enlever. Je me retrouve la bite à l'air pendant que maman, robe troussée, se fait fesser le cul et se fait doigter par ces furies....On la force également à les embrasser sur la bouche. On lui dégage les seins et ils sont triturer sans ménagement par des mains qui les palpes sans douceur...

Trois filles ont jeté leur dévolu sur moi et elles manipulent ma bite, me branlant violemment. J'ai une érection d'enfer...

Sylviane se retrouve en sous-vêtement et Farida lui ordonne d'enlever soutien-gorge et string. Elle obéit ne gardant que les bas et le porte-jarretelles. Farida tend un sac qu'elle avait avec elle à une des filles...

- Sors les godes et met lui le corset!

Maman blêmit en entendant le mot « gode»....

Elle est contrainte d'enfiler le corset qui a été choisie dans le sex-shop. Il lui laisse les seins dégagées ainsi que la fente. Le collier-minerve est fixé autour de son cou. Une sangle relie le collier au corset en passant entre les seins de ma mère. Ses poignets sont attachés à des bracelets qui sont fixés sur les cotés du corset. Je ne suis pas épargné. Je dois mettre un collier autour du cou et on y accroche une laisse. Tenue en laisse par une des filles, je dois, sous les rires des autres filles, faire le tour du salon à quatre pattes. Pendant ce temps, Farida a enfourné un gode dans la bouche de maman et elle le fait coulisser rapidement l'étouffant à moitié.

On me bâillonna à l'aide d'un harnais fixé sur ma tête sur lequel était fixé un mors qu'on plaça sur ma bouche.

- File-moi la queue de cheval! lança Farida à sa copine...

Elle me montra un gode qui représentait une queue de cheval, l'agitant devant moi...

- Devine ou ça se met? me lança-t-elle sur un ton goguenard...

Je poussais un hurlement étouffé par le mors, je tentais de me débattre mais je fus vite immobilisé par six filles qui me maintenaient solidement. Je sentis le gode effleuré mon anus et j'eu une coulée de sueur froide le long de mon dos...

- On va le préparer...

Farida enfonça son index puis son majeur et les tourna dans mon cul. Je grognai, des larmes aux yeux...On a forcé maman à venir voir l'opération et elle est devant moi, un gode dans la bouche et un autre dans sa chatte qu'une des filles fait coulisser. Elle a les yeux exorbités et elle émet aussi des grognements. Je sentis que Farida m'enfonçait le gode. Je ressenti une brûlure et je poussais un gémissement. Les filles poussèrent des hurlements et applaudirent quand je me retrouvai avec la queue de cheval dépassant de mon cul.

Je dus de nouveau faire le tour du salon sous les hués de nos geôlières. Maman a été allongée sur la table et 6 filles la godent sans arrêt. Elle n'a jamais un trou de libre. On lui enfonce un gode dans sa chatte, dans son cul, dans sa bouche. Continuellement, elle est godée. On ne lui laisse aucun répit. Elles travaillent à la chaîne d'ailleurs. Une fille prend un gode dans le sac, elle le tend a sa copine qui l'enfonce dans la bouche de maman en lui criant de le sucer. Ainsi humidifier, le gode est tendue a une autre fille qui l'enfonce dans sa chatte ou son cul et elle ramone ma mère avec. Sylviane donne des coups de reins, son corps se soulève. Ses cris se transforment en gargouillement vu qu'elle a toujours un gode dans la bouche. Quand le gode est bien recouvert de mouille, on oblige ma mère à le nettoyer en le suçant et en donnant des petits coups de langues.

Les huit filles sont entièrement nues maintenant et elles ont toutes fixés un gode-ceinture autour de leurs tailles. Farida s'avança vers ma mère, lui releva les jambes a la verticale et la pénétra. Une autre fille monta sur la table et s'accroupit lui enfonçant son gode dans la bouche. Je regardais Farida défoncer maman à grand coups de reins. Je fus tiré par les cheveux vers la table Et courbé en avant, à moitié couché sur maman. Une des filles me retira la queue de cheval et m'encula avec son gode. J'ai poussé un hurlement mais cela n'impressionna pas la fille, qui les mains sur mes hanches, me baisa sauvagement. Je sens le gode coulisser en moi, la brûlure du début fais place maintenant à une douce chaleur. Et pendant que la fille me donnait de violent coup de reins, une autre passa sous moi et me suça la bite...

Je suis enculé de nombreuses fois par ces lesbiennes dominatrices perverses...On me masturbe et on me suce sans toutefois permettre que j'éjacule. Maman est baisée comme une chienne elle aussi. Nous ne sommes plus que des objets sexuels entre leurs mains. Nous sommes humiliés de toutes les façons. On crache dans la bouche de maman, on l'oblige à venir à quatre pattes me sucer la bite. Deux filles prennent un plaisir sadique à l'étouffer en lui enfonçant deux godes dans sa bouche. Sylviane est maintenant au milieu de notre salon. Empalée sur un gode, enculée par un autre. Les deux filles alternent leurs coups de reins. Une des filles arriva avec un gode monstrueux en rigolant.

- Ouvre ta bouche salope! Si t'arrive à avaler celui la, t'es la championne.

Le gode était noir et faisait au moins 50 cm de diamètre! Maman protesta et tourna la tête dans tous les sens.

- Non....Non ...Je vous en prie...

Deux filles vinrent aider l'autre en maintenant la tête de ma mère. La fille lui enfonça l'énorme gode dans la bouche forçant comme une malade. Ma pauvre maman a la mâchoire complètement distendue, elle a des hauts le cœur. Les yeux hors de la tête, elle a la bouche complètement déformée. Elle émet des sons indistincts.

Mmmpfpff....

Elle prit une goulée d'air quand on lui retira le gode mais elle poussa de nouveau un hurlement quand la fille voulut le lui mettre dans sa chatte.

Centimètre par centimètre, le gode fut introduit dans le vagin de ma mère qui hurla sans discontinuer.

- Tais-toi poufiasse! Sinon on te l'enfonce dans le cul!

Tous le monde applaudit quand le gode fut quasiment entrée....

La sonnerie du téléphone nous fit tous sursauté. Farida poussa Sylviane vers le téléphone.

- Fais gaffe à ce que tu dis!

- Allo?

Farida brancha le haut parleur.

- Sylviane, c'est Claudine.

Claudine, c'est ma tante, la sœur de ma mère. Elle était partie faire des courses avec ma sœur Charlotte....

- On est pas loin de chez toi avec Charlotte, on peut monter te montrer ce qu'on a acheté?

Horrifiée, ma mère voulut dire non, mais Farida lui lança un regard noir et elle comprit...

- Oui, Oui, Bien sur, vous pouvez monter. Répondit-elle d'une voix blanche.

Elle raccrocha anéanti...

Farida regarda les autres filles :

- On a deux nouvelles salopes qui se pointent!


Les filles attendent la venue de ma sœur et ma tante. Ils nous ont humiliés une dernière fois : je suis assis sur une chaise, les chevilles liées aux pieds, les poignets attachés dans le dos. Bâillonné avec un harnais, une boule enfoncé dans la bouche. Je suis empalé sur un gode fixé à la chaise. On a forcé ma mère à s'asseoir sur une chaise à coté de moi et on a fixé un vibromasseur, puissance maximale, sur le clitoris de maman qui gémit sans discontinuer en secouant la tête. Elle est également bâillonnée avec un bâillon-boule. On a enfoncé la queue de cheval dans le cul de maman. Elle a également les chevilles liées aux pieds de la chaise et ses poignets sont toujours menottés au corset. C'est dans cet humiliante position que ma tante et ma sœur vont nous découvrir....Mon Dieu, que vont-elles subir de la part de ces furies?

A suivre...

Éducatrices Ch. 02

Educatrices - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Une visite à domicile.

La soirée s'était terminée calmement, bien que Françoise soit légèrement nauséeuse, vaguement insatisfaite et surtout l'esprit encombré de pensées contradictoires :

Pourquoi elle? En quoi avait-elle bien pu les provoquer ?

Comment avait-elle pu ressentir un certain plaisir de se faire ainsi maltraiter, car c'était indéniable, elle devait se l'avouer, elle avait frôlé l'orgasme dévastateur. Comment cela se terminerait-il?

Pourvu qu'ils se taisent!!

Jamais... Plus jamais elle ne se laisserait traiter de la sorte!!

Son service terminé Françoise rentra chez elle vers 20 h 30, sa collègue qui la relayait pour la nuit bien qu'ayant remarqué son air troublé n'avait pas fait plus de remarques.

Une bonne nuit la dessus et, du moins l'espérait-elle, le souvenir de cette ignoble soirée s'estomperait.

A son retour, Frédérique et Marc, ses enfants l'attendaient pour lui souhaiter son anniversaire, et oui cela lui faisait maintenant 34 ans .

Son mari en tournée d'inspection sur ses chantiers n'était pas encore rentré, après avoir fêté l'événement dans la plus pure tradition, gâteau et bougies, elle souhaita une bonne nuit à ses enfants, se relaxa longuement dans son bain, puis se coucha après avoir longuement massé d'une crème adoucissante ses fesses meurtries .

Heureusement, aucune trace des sévices subis ne subsistait, hormis une vague rougeur qui passerait facilement pour un léger échauffement ; elle n'aurait donc pas à justifier de l'état de sa croupe auprès de son mari, sûr des traces quelconques auraient éveillé ses soupçons .

Avec un tel jaloux, elle ne risquait pas de se plaindre de son aventure... Lui aussi l'en aurait rendu responsable... L'aurait discréditée auprès de ses enfants et qui sait... Peut-être même aurait-il réclamé le divorce!

Allons, pas de traces pas d'aveu encombrant et tout en resterait là cherchait-elle à se convaincre .

Tard dans la nuit, elle entendit la porte de l'entrepôt qui servait de garage et de magasin pour le matériel de chantiers s'ouvrir puis se refermer avec fracas, ce bruit provoqua un partiel émergement du sommeil dans lequel elle se croyait enlisée, elle remarqua alors de drôles de bruits, des halètements,... des soupirs... Et mit quelques instants , avant de comprendre que ces manifestations émanaient de sa propre gorge .

Comme lorsqu'elle était ado, la main égarée dans les plis de sa vulve elle se branlait avec ardeur dans son sommeil.

A l'état de son con, gluant et collant, lèvres largement ouvertes elle comprit que cette branlette durait déjà depuis quelque temps... Vraiment cette aventure l'avait perturbée bien plus qu'elle ne voulait se l'avouer!

La porte de la chambre s'ouvrit, elle n'eut que le temps de se retourner vers le mur et feignit un sommeil profond, elle ne se sentait pas de taille à évoquer sa journée avec son mari.

Son esprit encore enfiévré risquait de la trahir, elle risquait alors de révéler ce qu'elle voulait désormais enfouir au fin fond de sa mémoire.

André, son mari, s'allongea à ses cotés, la croyant endormie profondément il se blottit contre elle et s'endormit rapidement la laissant maintenant toute éveillée, remâchant sa mésaventure.

Avec le recul, elle pouvait maintenant, en toute lucidité, se la remémoré, elle ne se reconnaissait pas dans cette femelle orgasmant sous les coups... Jusqu'ici elle s'était toujours crue parfaitement équilibrée, sexuellement épanouie dans la normalité et voilà que les coups assénés par ce jeune voyou l'avaient émue hors de propos, finalement heureusement que Christophe était arrivé...

Qui sait comment se serait terminé cette expérience sinon?

Elle était consciente que, malgré ses efforts l'image d'elle même qu'avait dégagée cette soirée serait peut-être plus longue à s'estomper qu'elle ne l'espérait.

Cette pseudo jouissance arrachée à son corps malmené ne s'effacerait pas si facilement de son esprit!

Les jours suivants, pris en repos compensateur, lui permirent d'endormir peu à peu ses souvenirs .

Le vendredi elle se rendit à l'IME pour son service de départ, elle devait vérifier le trousseau de ces demoiselles, surveiller leur toilette et veiller à la prise en bon ordre du car qui les ramènerait chez elles .

Seuls quelques cas particuliers, dont Miloud et Stephan demeuraient le week-end au domaine, faute de familles d'accueil.

Elle réussit à les éviter, s'acquitta de son service puis rentra chez elle, elle reprendrait le lundi au le retour des pensionnaires.

Elle assurait ainsi le début de semaine jusqu'au mercredi matin puis serait de congé et la semaine suivante reprendrait de la même façon, départ retour 2 jours et 3 nuits de service telle était son calendrier semaine après semaine.

Le lundi... Le mardi, se passèrent sans ennuis notables, elle sentait bien les regards concupiscents des trois jeunes sur elle, mais elle arrivait à les éviter ; les rares fois où elle n'avait pu se détourner, ils s'étaient cantonnés dans un silence pesant, lourd de convoitise, mais sans manifestations menaçantes .

Elle était parvenue à se convaincre que cet épisode fâcheux n'aurait pas de suite, ni de retentissements que ce soit dans son boulot, auquel elle tenait, ou dans sa vie familiale, elle en avait même oublié l'existence des photos, et se persuadait que finalement ils n'étaient pas aussi pourris qu'elle le craignait!

Certaine qu'elle était que si depuis cette fatidique soirée, elle avait réussi à ne pas les côtoyer, c'était aussi parce qu'ils n'avaient pas insisté, inconsciemment elle en concluait que pour eux aussi le chapitre était clos et bien clos .

Ce mercredi après midi, après avoir fait travailler ses enfants durant la matinée, elle leur avait accordé la permission de passer l'après-midi à la piscine, sous la surveillance de Francis, une grande perche dégingandée de 18 ans, fils de voisins et amis proches, qui leur servait parfois de chaperon .

La vaisselle expédié, uniquement vêtue d'une courte robe d'hôtesse, elle se prélassait dans son divan.

La sonnerie de la porte d'entrée la tira de sa douce somnolence .

Qui pouvait donc bien venir lui casser les pieds à 2 heures de l'après midi? pensa-t-elle se dirigeant vers la porte,

Encore des enquiquineurs!

Elle entrebâilla la porte et, se pétrifia, se retrouvant nez à nez avec Miloud et ses deux compères, immédiatement elle voulut reclaquer la porte.

Miloud du pied bloqua le vantail le lui interdisant.

- Que voulez-vous? demanda-t-elle d'une voix oppressée, ses frayeurs lui revenant toutes d'un bloc.

- Oh... Rien !  répondit Miloud, nouant le dialogue

- On revient de la piscine où on a rencontré tes gosses... Stephan voulait leur montrer les photos... Mais je me suis dit que tu voudrais peut-être en avoir la primeur...

- Les photos? Quelles photos? Mais celles où tu nous offres ton cul! Tu ne te rappelles pas... Mardi soir... Sous les ateliers... Tu nous as tout montré!

- Petits salauds! Voulez vous bien foutre le camp... N'avez-vous pas honte?

- Non seulement on n'a pas honte, mais toi... Auras-tu honte quand ton mari... Tes enfants verront tes exploits... Ça va barder, crois moi... Mais tu fais comme tu veux... Si c'est ce que tu préfères... Ou bien , on peut en discuter calmement .

Fouettée par le tutoiement, abasourdie, égarée, Françoise s'effaça les précédant au salon .

Là, d'autorité, Miloud et ses deux complices prirent place autour de la table basse, comme Françoise restait figée, les bras ballants, il enchaîna :

- Sers nous donc à boire, pendant que je les déballe.

Engourdie, sans réaction, elle obéit à l'injonction, sortant quatre verres et elle servit à chacun un whisky bien tassé, elle en aurait sans doute besoin .

L'attirant à ses cotés par le pan de sa robe, Miloud lui tendit les petits rectangles qu'il sortait d'une enveloppe de kraft.

C'était encore pire que tout ce qu'elle aurait pu imaginer, dès la première épreuve elle sut qu'elle ne pourrait pas s'en tirer .

Troussée jusqu'aux reins, son cul rougit par les coups, les mamelles malaxées par Stephan elle étalait ses charmes les plus secrets .

Aucune erreur possible, c'était bien elle, son visage tourné vers l'objectif permettait facilement son identification, elle remarqua d'ailleurs que sur toutes les photos, si on distinguait mal les trois garçons, son visage à elle était toujours bien reconnaissable.

Les autres photos haussaient encore le niveau d'obscénité, sur l'une le doigt de Miloud fiché dans son anus semblait aspiré par ses entrailles, la suivante montrait son sphincter béant, la corolle mauve qui le cerclait bien distendue suggérait le traitement qu'il venait de subir.

Elle vacilla sur ses jambes, le coup était trop fort, elle frisait le KO .

Miloud enfonça encore le clou :

- Alors... Qu'est ce qu'on fait... On les montre... Non... Non gémit-elle, Je ferai ce que vous voudrez... Mais donnez les moi... Je ne dirai rien à personne...

- Non seulement tu ne diras rien à personne, mais... Si tu veux vraiment qu'on se taise... Tu feras tout ce qu'on voudra... Quant à te les rendre, il n'en est pas question... Ce que je te promets c'est que tant que tu te montreras docile... Et disponible ni ton mari, ni tes enfants ne les verront.

- D'accord... Je... Je ferai... Tout ce que vous voudrez... Mais surtout ne dites rien à personne capitula-t-elle la voix tremblante.

Profitant de son désarroi, Miloud glissa sa main sous sa robe et entreprit d'escalader le compas de ses cuisses, traumatisée, elle se laissait faire, ne tentant même pas de refermer les jambes, ce qui par ailleurs aurait maintenant été bien inutile, ils avaient les arguments suffisants pour les lui faire écarter.

Tout de suite il se pointa au centre de la fourche, dans la vallée moussue, commentant pour ses copains :

- Eh les gars! elle est à poil sous sa robe! Tu nous attendais dis donc?

Françoise ne répondit même pas, dolente elle le laissa remonter sa robe, tendant les bras pour lui féliciter la tâche, il l'attira sur ses genoux alors qu'il précisait :

- Rappelles toi que dorénavant tu m'appartiens, tu devras aussi obéir à Stephan et Charles, mais c'est moi ton maître... Je ne tolérerai aucune désobéissance... Reprends quelques photos qu'on voit bien qu'elle participe! enjoignit-il à Charles .

Puis il la tourna vers lui, ses lèvres se portèrent sur les siennes et il entreprit de l'embrasser, elle s'efforçait de garder les lèvres serrées, résistance vaine, bientôt la langue du voyou envahit sa bouche, elle resta passive, inerte. Miloud, agacé, cessa son petit jeu, la gifla avec violence et lui commanda :

- Tu participes ma salope ou alors ça va être ta fête!

Et honteuse de sa veulerie, Françoise se vit pencher la tête et mêler sa salive à celle de son suborneur.

Les mains de Miloud exploraient maintenant son corps entièrement dénudé, soupesaient sa lourde poitrine, contournaient ses flancs, tâtaient ses fesses puis se faufilaient entre ses jambes palpant les lèvres disjointes.

Du doigt il força son anus, et commença quelques rugueux va et vients, puis introduisant le pouce son vagin il se mit à jouer à la pince chinoise tout en la questionnant crûment :

- T'es-tu déjà fait enculer par ton mari? Par un amant peut-être? Non? Nous les arabes c'est ce qu'on préfère... Eh les gars, interdiction de lui prendre son pucelage arrière... Il est pour moi!

- Oh Miloud , si tu nous la passais un peu, on en a marre de se branler en vous regardant. Dit alors Stephan qui depuis quelques minutes se secouait la pine à pleine main.

- Approche lui répondit Miloud, elle va te sucer, ça corsera un peu les photos .

Stephan s'approcha du couple, Miloud tourna la tête de Françoise vers le phallus qui se présentait à ses lèvres, Stephan n'eut pas à forcer, matée autant par la gifle que par le petit discours, elle entrouvrit la barrière de ses dents livrant un passage aisé au gland foncé qui s'inséra lentement entre ses lèvres la forçant jusqu'aux amygdales puis se retira pour mieux s'enfoncer à nouveau.

Elle sentait la queue de Stephan prendre encore du volume, Miloud ordonna :

- Suce le mieux que ça... Je veux voir ta gorge travailler... Caresse le de ta langue... Lèche lui les couilles... Bon dieu! Montre ce que tu sais faire!

Il ne semblait pas se douter que jusqu'ici, si les lèvres de Françoise s'étaient déjà posées sur le gland de son mari, jamais elle ne lui avait accordé, il ne lui avait d'ailleurs pas demandé, d'aller plus loin, elle faisait là son apprentissage et sur un rythme qui lui paraissait démesuré .

Démesuré comme la queue qui lui emplissait maintenant la bouche.

Pour s'accorder quelques secondes de répit, elle le désemboucha et obéissante, entreprit de léchotter la hampe, descendant jusqu'aux couilles velues, recrachant quelques poils, remontant, suivant de la pointe de la langue le frein qui frémissait, réembouchant à pleine gorge le gros bâton.

Stephan s'enfonça jusqu'à sa glotte, franchissant, sans se soucier de ses hauts le cœur la frontière de ses amygdales, et tandis que dans un dernier sursaut d'amour propre Françoise retenait son envie de vomir, la maintenant le nez enfoui dans sa toison, en longues giclées crémeuses il lui déversa sa semence dans l'arrière gorge.

Au bord de l'étouffement Françoise déglutit, avec difficulté, avala le sperme qu'elle crut sentir couler tout le long de son œsophage .

La queue se ramollit quelque peu, Stephan la lui ôta de la bouche, et servile comme elle n'aurait jamais crue l'être un jour, elle lécha la dernière goutte sur le méat et entreprit la toilette de la bite qu'elle venait de déguster.

- A toi de t'amuser... proposa Miloud à Charles Passe moi l'appareil, je prendrai les photos!

Stephan l'obligea à se relever, puis l'enlaçant il ordonna :

- Et si tu nous montrais ta chambre, ça changerait de décor les photos n'en seraient que plus variées...

Totalement soumise Françoise prit le chemin de son lit, la vue du jeté de lit rouge que venait de lui offrir son mari lui arracha un bref sanglot, Stephan profitait de sa position de suiveur pour lui palper les fesses, écartant les deux hémisphères, il lui planta deux doigts dans le vagin et la trouva ruisselante de désirs.

Effectivement ses sens durement sollicités répondaient maintenant et même si tout son être se révulsait, sa chatte elle s'était préparée au corps à corps qui l'attendait.

Sans plus de tendresse superflue, Stephan la poussa sur le lit, elle s'y étala à plat ventre, l'envie de Stephan était telle maintenant qu'il ne perdit pas de temps en préliminaires, il la retourna sur le dos et se jeta tout de suite, pantalon baissé sur les genoux, entre ses cuisses largement ouvertes.

Sa bite trouva tout de suite la fente de Françoise, la parcourut sur toute sa longueur avant de s'engouffrer dans le vagin dilaté, quelques va et vient dans son con ruisselant suffirent à le faire jouir et en bramant il gicla, lui emplissant le trou.

Un soupir de regret échappa à Françoise lorsque se relevant il abandonna son corps palpitant, ses sens insatisfaits protestaient, le rude assaut avait été trop rapide pour apaiser sa libido en ébullition.

Impatient Miloud l'attrapa par les chevilles, la retourna sur le ventre, et sans lui laisser le temps de respirer lui glissa un oreiller sous le ventre, faisant ainsi saillir sa croupe, sa position dégageant bien la minuscule rondelle de son anus.

Il lui écarta les fesses avec vigueur, plus calme pourtant que Stephan il prit le temps d'observer le sphincter annelé qui déjà se ridait d'angoisse .

Ne s'étant jamais fait enculer, Françoise appréhendait cette première, sûre qu'il allait maintenant réclamer le minuscule orifice qu'il s'était clairement réservé.

Miloud dirigea son gland sur l'anneau et entreprit de le forcer d'abord sereinement, puis devant son insuccès avec plus de rudesse.

Sa bite paraissait bien trop importante pour le petit trou de Françoise, elle doutait de ne jamais pouvoir l'absorber, sous les quolibets de ses copains Miloud n'arrivait pas à forer l'étroit orifice plissé.

Stephan après s'être éclipsé quelques secondes revint de la cuisine un paquet de beurre à la main :

- T'as déjà vu le dernier tango à Paris? dit-il le passant à Miloud qui, ricanant, enduisit largement son gland puis à deux doigts lui nappa l'entre fesse et le trou obscur.

La précaution était bonne, cette fois le gland franchit le goulot resserré, Françoise crut qu'on lui enfonçait un tisonnier rouge dans le fondement, Miloud avait du mal à se contenir, il dut rester quelques secondes immobiles afin de ne pas partir précocement .

Ce maigre temps de répit permit au cul de la belle odalisque de se faire à la taille de son envahisseur et à son esprit de se faire à l'idée de sa déchéance Miloud reprit son mouvement de bielle, à chaque poussée Françoise sentait son cul s'écarteler, à chaque fois elle craignait d'entendre se déchirer son périnée, enfin à force de persévérance, Miloud s'engloutit en entier dans le cul maintenant dompté, ses couilles vinrent battre les fesses.

A nouveau il reprit son souffle avant d'animer à nouveau son bas ventre de profonds mouvements alternatifs qui la firent geindre.

Miloud se foutait de ce qu'elle ressentait, il n'était pas là pour lui faire prendre son pied, mais bel et bien pour la foutre et la plier à tous ses désirs.

Un dernier coup qui lui sembla presque remonter jusqu'à la gorge et elle sentit des flots de sperme se répandre dans son cul, lorsque Miloud se releva, il lui en avait injecté une telle quantité qu'elle le sentit sourdre de son cul poissant le couvre lit.

Ce spectacle avait rechargé les acculs de Stephan. Il s'étendit sur le dos et l'attira à nouveau à lui.

L'esprit totalement vide, telle une marionnette, Françoise de la main guida son nouvel envahisseur, elle le présenta à l'orée de son trou plus du tout secret et s'empala lentement sur le membre qui l'envahissait de sa totalité .

Ainsi, le chevauchant elle se sentait remplie à ras bord, sa matrice en était comblée.

- Charles appela alors Miloud, prends la par le cul, on pourra terminer le documentaire!

- Non... Non... Pas ça, pas à deux... Ils vont me défoncer! Se plaignit Françoise .

Mais inflexible, Miloud lui faisait signe d'y aller, et sous les éclairs de flash, Françoise sentit d'abord Stephan lui agripper les fesses, les écarteler en grand pour son copain.

Ce dernier se présenta, l'anus béait encore de l'enculage précédent, les bourrelets mauves de l'intérieur étaient parfaitement visibles.

Contrairement à ce que craignait Françoise le gland s'enfonça sans mal dans le cul bien graissé.

Bien vite elle sentit les deux bites se frotter l'une contre l'autre tandis que les deux jeunes hommes commençaient à ruer en elle.

Ils la fouillaient de leurs verges, sans cruauté excessive mais pourtant douloureusement, se massant au travers du périnée.

Ces deux conduits, heureusement grassement lubrifiés semblaient pleins à craquer, malgré elle, les dents serrées à craquer, elle se noya dans un abîme de jouissance.

Tous ses freins avaient sautés, des étoiles explosaient derrière ses paupières, sa croupe montait et descendait sur les deux queues, c'était elle maintenant qui s'enculait et s'enconnait sur les deux phallus, qui les retenait en elles, qui s'accordait au rythme des deux queues ébranlant tout son être .

Elle vibrait de tout son corps, pleinement actrice de son coït.

- Viens nous rejoindre dit Stephan à Miloud, et ce dernier posant son appareil sur la table de nuit, la queue à la main se planta devant sa bouche.


Elle la happa voluptueusement, lui faisant de sa gorge un écrin soyeux, alignant sa tête de façon à permettre une intromission la plus profonde possible .

Ses trois orifices comblés, elle connaissait spasmes sur spasmes, orgasme sur orgasme, son vagin s'emplit le premier, elle continua de téter le chibre de Miloud, par mimétisme son cul se mit à l'œuvre, il trayait véritablement le vit de Charles.

Bientôt ils ne purent plus résister et simultanément ils se vidèrent à gros bouillons qui dans son cul, qui dans sa bouche.

Epuisés tous trois tombèrent sur le lit ou encore emmêlés ils restèrent dix bonnes minutes dans cette position à la recherche de leur souffle .

Enfin les trois voyous se relevèrent .

Comme Françoise fourbue restait allongée, Miloud l'invita à les raccompagner sur le pas de porte .

Là à poil et à genoux elle embrassa une dernière fois leurs queues luisantes tandis que Miloud lui fixait ses dernières recommandations :

- A l'avenir, au boulot, bas et porte-jarretelles, mais toujours cul nu, toujours disponible. Profite de ces deux jours pour te reposer, vendredi dès ton arrivée à l'IME tu viendras dans sa chambre que je vérifie ta tenue!

Sur ces derniers mots ils la quittèrent .

Il lui restait une petite heure pour remettre de l'ordre, laver le jeté de lit couvert de foutre, aérer pour chasser cette odeur lancinante de baise, prendre son bain, relaxer son corps et surtout réfléchir à ce qui lui arrivait et aux façons de s'en sortir au moindre mal .

Elle terminait à peine lorsque Francis ramena ses enfants.

- Fatiguée? Lui lança-t-il avec une pointe d'insolence tout à fait inhabituelle, au vu de ses yeux largement cernés de bistre.

Etonnée de cette familiarité soudaine de la part de ce grand dadais habituellement timide, elle rougit et soupira :

- Oui... Le travail... Les enfants... se promettant de se remaquiller rapidement.


Cette grande bringue de Francis, en toute innocence, avait mis le doigt sur un détail qui pourrait bien intriguer son mari plus soupçonneux, plus retors que ce jeune puceau, et ça, il ne le fallait à aucun prix.

A suivre...


mercredi 15 janvier 2020

Une journée pas comme les autres.

8h30, mon réveil sonne. Je sors de mon sommeil qui fut très agréable. Ce matin je dois aller travailler.

Comme à mon habitude, je prends ma douche, une douche brûlante, puis je me sers un bol de céréale et je vais m’installer devant mon ordinateur. Mon copain est parti travailler à 7h00. Lorsqu’il rentre, vers 15h00, je suis déjà partie depuis longtemps.

Sur l’ordi, je peux lire un icône : « à lire avant de partir.txt ». C’est pour moi, je le sais, on a l’habitude de se laisser des petits mots le matin.

J’ouvre le document et je commence à lire : « Bonjour chienne, J’espère que tu as bien dormi. Tu dois te demander pourquoi je t’appelle chienne alors que je suis pas la et que tu n’as pas ton collier.
Et bien j’ai bien réfléchi cette nuit et je t’ai préparé une petite surprise. J’ai téléphoné à ton travail en disant que tu avais eu un petit accident cette nuit et que tu étais en arrêt maladie aujourd’hui. J’ai laissé une enveloppe sur le bureau…. »

Je regarde et en effet une enveloppe kraft est posée là, juste sous mes yeux, je continue à lire :
« …dans cette enveloppe tu trouveras de l’argent et une liste d’objets que je veux que tu ailles acheter à l’adresse indiquée. Tu es obligée d’y aller, si tu refuses de le faire tu seras punie. En revenant du magasin, tu feras une toilette. Tu te raseras le sexe, je veux qu’il soit vierge de tout poils, puis tu te pareras d’une jupe et d’un soutien-gorge, de ton collier, de ta laisse et tu mettras les bracelets à tes poignées. Tu ne toucheras à aucun objet que je te demande d’acheter sous peine de sanctions. Lorsque je rentrerai, je veux que la maison soit impeccable et que tu sois à genoux, les cuisses écartées, les mains sur la tête et ta laisse dans ta bouche. Bonne matinée, à cet après midi, je rentre vers 15h00.
Je t’aime
Ton Maître »

Je relis la lettre plusieurs fois. Je suis énervée après lui car je ne domine pas la situation, mais bien sur, cela m’excite énormément car j’aime quand je suis sa chienne.

J’ouvre alors l’enveloppe et en sort une liasse de billets. Puis je commence à lire la liste des objets qu’il veut que j’achète :
-Vibromasseur taille moyenne
-bâillon anneau (qu’est que c’est que ce truc ??)
-bâillon boule
-ceinture gode intérieur taille moyenne
-petit plug
-2 barres d’écartement
-Une tenue de soubrette
-5m de corde.

Puis je lis l’adresse qui est indiquée en dessous, je l’aurais parié, c’est un magasin SM à Père-Lachaise.

Je ne pourrais jamais faire ça, il sait que j’aime être sa soumise mais la il m’en demande trop. Et puis je décide de prendre mon courage à deux mains par peur de la punition. Je finis mon petit-déjeuner et je pars.

Trente minutes plus tard je suis au magasin. Un endroit sombre et lugubre, j’ai un peu peur, mon estomac est noué. Cependant, la vendeuse qui s’approche de moi doit avoir l’habitude de ce genre de clients car elle est très douce et moins vulgaire que je l’aurais imaginée.

- Je peux vous aider mademoiselle ?

- Euh…oui, je cherche tout ça.

Je lui tends ma liste.

Elle s’affaire dans tout le magasin et reviens avec plusieurs boites.

- C’est pour vous ?

Je rougis.

- euh…oui.

- Bon alors on vas prendre cette taille, ça sera plus adapté. Voila mademoiselle, si c’est tout, ça vous fera 400 euros.

Je paie et je rentre à la maison. Je me détends en fumant une cigarette. « Bon, une épreuve de passé » songeai-je à cet instant.

Il était maintenant 11h00. Mon Maître rentrera dans 4 heures…ce qui me laisse un peu de temps devant moi. Je relis la lettre laissée sur l’ordi, il veut maintenant que je range la maison, je déteste faire le ménage et il en profite !

Je m’affaire alors à ma tache, cela me prend 2 heures pour tout ranger et laver. Il ne me reste que 2 heures, je décide de reprendre une douche, et contre ma volonté, je me rase le sexe. La sensation est particulièrement douce et je l’apprécie. Je sens mon clito se durcir et je mouille.

C’est bizarre de ne plus avoir de poil, j’ai l’impression d’être une petite fille. Je crème mon sexe avec du lait hydratant. Je finis de me nettoyer puis je me sèche, m’habille comme il l’a souhaité et me maquille pour être encore plus séduisante à ses yeux.

Il me reste une demi-heure avant qu’il ne rentre. Je décide de me reposer sur le divan. A 14H55, je vais mettre mon collier, les bracelets, et j’attache ma laisse à l’anneau de mon collier. J’entends alors l’ascenseur, je sais qu’il arrive. Je m’agenouille alors dans le salon, je mets ma laisse dans ma bouche, mes mains sur la tête.

La clef rentre dans la serrure et la porte s’ouvre. Mon Maître, souriant, est dans l’encadrement de la porte. Il la referme et s’approche de moi, il me tapote la tête.

- Bonjour chienne.

- Bonjour Maître.

- Je vois que la maison est bien rangée, as-tu fais tout ce que je t’ai demandé ?

- Oui Maître.

- C’est bien chienne, je vois que tu as été obéissante. Va maintenant mettre la tenue de servante que t’ai offerte. Et reviens vite en m’apportant à boire.

- Oui Maître.

Malgré mon appréhension, je suis très excitée. Je mets ma tenue le plus vite que je le peux et je vais remplir un verre pour mon Maître. Je pose le verre sur la table basse du salon et je reste là à attendre un ordre de mon Maître. Celui-ci attrape ma laisse et tire brutalement ce qui m’oblige à tomber à genoux.

- Sale chienne, tu n’as pas encore compris que tu dois toujours être plus basse que moi ?

- Si Maître.

- Ta gueule esclave, de toute façon tu seras punie pour ça !

Puis il prend son verre et le boit. Il m’entraîne dans la chambre, mes genoux râpent contre le sol et j’en souffre mais je ne dis rien, j’ai envie que mon Maître soit fier de moi.

- Enlève ta tenue et allonge toi.

Je m’exécute en silence. Lui, il rigole, il doit penser à ce qu’il va me faire subir. Il m’attache les mains à la sangle, me bande les yeux puis je l’entends qui trifouille dans le sac que j’ai ramené du magasin. Il en sort une barre d’écartement qu’il attache entre mes pieds, je ne peux maintenant plus serrer les cuisses.

- Qu’allez vous faire Maître ?

Une claque sur mes cuisses me surprend.

- La curiosité n’est pas un privilège d’esclave, de plus je ne t’ai pas demander de parler, il faut croire que tu aimes être punie.

Deux pinces viennent prendre place sur mes tétons et je ne peux retenir un petit cri de douleur. Je sens entre mes jambes ma mouille couler vers mon anus et la barre d’écartement m’empêche de retenir la coulée, Maître rigole :

- Alors petite chienne en chaleur, tu aime ça hein ? Tu es toute mouillée. Dis le !

- Dire quoi Maître ?

Une nouvelle claque plus appuyée celle-la s’abat sur ma cuisse.

- Dis que tu es une petite chienne en chaleur, que tu es mon esclave et que je fais de toi tout ce que je veux.

- Oui Maître, je suis une petite chienne en chaleur, je suis votre esclave et vous pouvez faire de moi ce que vous voulez Maître. Mais…

Et avant que je puisse ajouter un mot, une boule vint remplir ma bouche. Puis la sangle est attachée derrière ma tête.

- Ta gueule, tu n’es pas autorisée à dire autre chose que ce que je souhaite.

- Mphhhhhh

Il me caresse, m’embrasse, descend le long de mon corps. Je mouille honteusement.

Il se lève et sort de la pièce avec le sac plein d’ustensile.

- Je te laisse réfléchir un moment à ce que tu as fait de mal.

Je reste là, seule dans le noir. Ma chatte ne cesse de couler. Je me sens honteuse et je suis frustrée. Je ne peux pas bouger. Je commence à somnoler lorsque une claque me réveille.

- T’ais-je autorisé à dormir sale chienne désobéissante ?

Je fais « Non » de la tête.

- Décidément, tu en redemandes.

Un éclair de froid s’abat sur mon cou, je comprends que c’est un glaçon lorsqu’il me le fait glisser le long du corps, sur les seins, mon ventre (je tressaille), puis ma chatte, l’écoulement de ma mouille s’arrête instantanément. Il fait glisser le glaçon sur ma raie puis remonte. Lorsque le glaçon a bien diminué, il le fourre dans ma chatte. Je me tortille dans tous les sens pour faire sortir ce corps de mon vagin, le froid me tire et me fait mal. Mon Maître rigole, je ne trouve pas ça drôle.

-La prochaine fois tu réfléchiras avant de me désobéir, sale esclave.

Lorsque le glaçon a fini de fondre, je sens un peu de salive tomber sur mon clito et mon Maître commence à le lécher, doucement puis de plus en plus vite. Je suis contente, j’adore ça ! Il s’arrête et je me demande ce qu’il fait. Il a une nouvelle idée, je le sens. Il me détache les mains, me retourne sur le ventre puis m’écrase la tête contre l’oreiller.

- Reste comme ça, sale chienne, je vais t’apprendre à te faire baiser comme une chienne.

Je veux dire mon désaccord, c’était la chose que je redoutais, mais cette boule dans ma bouche ne laisse sortir que des légers gémissements.

- Ta gueule.

Un claque me fait taire. Il met du lubrifiant, puis il rentre doucement un doigt dans ma rosette, puis deux. Je sens alors un objet métallique prendre la place de ses doigts, il me fait mal mais ça reste supportable.

- Ceci est un plug, sale chienne. Tu vas le garder toute la soirée afin que ton cul reste ouvert !

Une sensation de peur m’envahit. Encore une fois il me retourne, me rattache les mains et me lèche. Il apprécie de ne pas avoir tous ces poils qui lui piquent le visage. Il me lèche encore et encore. Il s’arrête juste avant l’orgasme.

- Je t’interdis de jouir sale chienne ou tu seras punie encore une fois.

Malgré ses dires, je ne peux résister et il le savait. Et je me laisse aller.

- Salope je t’avais ordonné de ne pas jouir.

- Mphh.

-A mon tour de jouir en toi.

Je sens alors son gros pénis caresser l’entrée de mon vagin. Puis il rentre, fait des aller-retours de plus en plus rapides, et laisse son sperme se déverser en moi. Il se retire et va se laver. Il ne va pas me laisser comme ça, toute pleine de sperme et dégoulinante.

Puis je l’entends qui revient. Il me rentre un truc dans le vagin qui rentre tout seul, je pense savoir que c’est le vibromasseur mais je me trompe. Mon Maître me fixe une ceinture autour de la taille.
J’ai maintenant un truc fourré dans mes deux parties les plus intimes.

Il me détache les mains, les pieds, me débande les yeux, et m’enlève les pinces, mais il me laisse mon bâillon qui est à présent plein de bave. Il m’aide à me mettre à quatre pattes, attrape ma laisse et m’emmène dans le salon. J’ai du mal à avancer, avec ses ustensiles dans mon ventre.j’en souffre et mon Maître le voit.

- Tu as désobéi et tu es punie, et ce n’est pas fini. Pour l’instant, va te rhabiller en servante et va faire à manger, et dépêche-toi, j’ai faim.

Chaque pas est un supplice pour mon vagin et mon anus. Je m’habille, puis vais à la cuisine. Au menu, pâtes à la bolognaise. Lorsque tout est prêt, je viens servir le repas. Je mets deux assiettes et je sers mon Maître puis moi. Puis je m’agenouille devant lui. Il me retire enfin mon bâillon, et je me décontracte la mâchoire. Il prend mon assiette et la pose par terre sur une serviette.

- Tu vas manger comme une chienne, et n’en mets pas trop à coté !

Le repas terminé, je m’essuie et demande à mon Maître si je peux boire.

- Pas maintenant, mais ne t’inquiète pas, tu vas boire de tout ton saoul tout à l’heure.

Il me caresse la tête et m’autorise à fumer une cigarette. Malgré mes trous qui me torturent, j’arrive enfin à me relaxer.

Quelques minutes plus tard, mon Maître va chercher un nouvel objet, c’est une sangle avec un gros anneau au milieu. Il me demande d’ouvrir la bouche. Je comprends que c’est ça, un bâillon anneau. Je ne peux pas parler et il m’oblige à garder la bouche grande ouverte. C’est très désagréable. Puis il repart pour revenir avec un entonnoir…j’ai peur, j’ai très peur. Il me tire les cheveux en arrière ce qui m’oblige à lever la tête. Il met l’entonnoir dans la bouche et prend la bouteille d’eau pleine qui est sur la table. Puis il commence à verser dans ma bouche.

- Surtout n’en mets pas à coté sale chienne !

Je suis obligée de déglutir. Au début, j’aime bien car je peux enfin boire, bon, certes dans des conditions pas très agréables mais au moins je peux boire. Mais au bout de quelques instants, je n’ai plus du tout soif, et pourtant mon Maître continue de déverser doucement la bouteille dans ma bouche. J’en recrache un peu pour lui montrer que je n’en peux plus.

- Avale esclave.

Alors j’avale encore et encore. Lorsque la bouteille est finie il s’arrête, je viens de boire un litre d’eau. Il m’enlève mon bâillon anneau. Je peux enfin me calmer. Mais une grosse envie d’uriner me prend.

- Maître laissez moi aller aux toilettes s’il vous plaît.

- Non chienne, tu as été très désobéissante alors tu es punie, remercie moi de te dresser avec autant de patience.

- Mais Maître…

- Ta gueule chienne, remercie moi !

- Merci Maître.

Je ne peux plus me retenir, et je me rends compte que le plug et le gode m’empêche d’évacuer quoi que ce soit. Je souffre et je supplie mon Maître de me laisser uriner mais ce dernier ne veut rien entendre.

-Tu urineras quand je te demanderais d’uriner.

Quelque minute plus tard, mon Maître m’emmène dans la salle de bain, me déshabille, me met dans la baignoire et me retire la ceinture avec le gode. Sans même que je m’en rende compte, je ne peux plus me retenir.

- Sale chienne je ne t’ai pas autorisée à pisser.

Il accroche la laisse en haut de la douche et me lave à l’eau froide, rapidement mais il me lave la chatte si doucement que je ne peux qu’éprouver du désir. En sortant de la douche il me serre dans ces bras et me câline.

- Je t’aime.

- Moi aussi Maître.

Puis il m’emmène dans la chambre, s’allonge et me demande de lui faire une fellation.

- Tu as 5 minutes pour me faire jouir chienne. C’est parti.

J’y mets tout mon cœur car je n’ai pas envie de subir ses idées en tant que punition. Lorsque il sent qu’il va jouir il m’ordonne d’avaler son sperme. J’ai un haut le cœur, mais je l’avale quand même.
Puis de nouveau, il me bâillonne, m’attache les mains et les jambes écartées, puis me lèche, me doigte, je tremble.

- Tu peux jouir chienne si tu le désires.

Mes sens sont en éveil, j’aime ce qu’il fait et je tremble de plus en plus. Jusqu'à l’orgasme, je me laisse aller mais je ne peux crier comme je le voudrais. Mon Maître me caresse.

-Je vais te laisser un peu toute seule ici puis je reviendrai et je regarderai l’état de ton cul de chienne.

- Mphh

Dès que ça parle de mon cul, je ne peux pas !

Quelques minutes plus tard, il me détache les mains et me retourne. Il met du lubrifiant autour du plug puis l’enlève doucement, je me sens libérée mais presque immédiatement, ses doigt prennent sa place. Il met une tonne de lubrifiant. Il met 3 doigts, puis 4, j’ai mal ! Puis il se masturbe, se lubrifie et force l’entrée de mon cul. Ce dernier oppose résistance. Mon Maître écarte mes fesses.

- Détends toi salope !

Puis en forçant encore un peu il rentre.

- Mphh

- Ta gueule, je ne veux pas que tu dises un mot.

Je me sens violée mais bizarrement je sens que je mouille. Il fait des aller-retour, la sensation de douleur laisse place à la sensation de plaisir. Puis il éjacule en moi, dans mes intestins. Il me détache les mains et les pieds et me retire mon bâillon.

- Va aux toilettes chienne et lave toi bien.

- Oui Maître, Merci Maître.

Je reste une heure sous la douche pour me décontracter. Mon Maître m’autorise à prendre une cigarette et me demander de lui en allumer une.

- Tu as eu mal ?

- Oui Maître, très mal.

- Tu as eu du plaisir ?

- Oui Maître, beaucoup de plaisir.

- C’est bien chienne.

Puis il m’enlève mon collier.

- Fais ce que tu veux, tu es libre maintenant, jusqu’à la prochaine fois …

FIN

La nouvelle vie de Christine Ch. 17

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

De nouveaux clients pour la "faciliteuse de contrat".

Mercredi, lorsque je déposai Christine au bureau, Francis m'attendais pour me parler :

- Les caméras sont en place et fonctionnent. Voici l'adresse web et le mot de passe. Connectez-vous et vous aurez le flux en direct de toutes les caméras. Cela vous convient?

- Ok merci Francis.

En lui répondant, je me demandai si je devais mentionner le comportement d'Étienne JARSON et l'utilisation de son mobile pour enregistrer. Mais je me ravisai et décidai d'attendre de voir son comportement les deux prochaines semaines.

Francis, avec Christine à ses côtés, rajouta :

- Connectez-vous aujourd'hui, car j'ai des projets pour Christine. Donc elle sera assez occupée si vous voyez ce que je veux dire.

Je rentrai à la maison, allumai mon ordinateur et me connectai au système de surveillance du bureau de ma belle-mère. Je vis qu'elle avait déjà changé de vêtements. Elle portait un ensemble de sous-vêtements coordonnés rouges avec culotte en dentelle et soutien-gorge en demi-coupe. Ses seins étaient si gros qu'ils avaient du mal à rester dans le tissu. Lorsque Christine marchait, ils rebondissaient. Les auréoles sombres étaient parfaitement visibles. Des talons hauts et rouges terminaient sa tenue.

Francis avait fait installer plusieurs caméras. Il y en avait dans la salle de conférence où elle avait sucé sept bites. Les chaises entouraient aujourd'hui une grande table en bois. Son bureau n'avait pas changé. Il y avait une caméra dans une salle de bain. Je supposai qu'elle était utilisée par ma belle-mère pour se nettoyer entre les clients.

Ensuite, des caméras couvraient un grand espace ouvert qui avait l'air d'une salle d'attente. Elle était meublée de deux grands canapés de chaque côté d'une table basse ainsi que d'un fauteuil à une extrémité. Sur le mur, était accrochée une grande télé. Le long du mur, sous les fenêtres, il y avait une rangée de tabourets comme dans son bureau.

La dernière pièce couverte par le système vidéo était des toilettes. Sur le mur du fond, il y avait des WC suspendus. Sur la paroi latérale se trouvaient trois urinoirs.

Mais je ne vous ai pas dit que dans les grands canapés étaient assis trois hommes. Le plus vieux, installé dans le fauteuil était Bruno l'entrepreneur qui avait rénové le bureau à la demande de Francis. Je supposai que les deux autres hommes assis dans les canapés étaient ses ouvriers. Ils étaient tous les deux très jeunes, environ la vingtaine d'année, mais ils étaient grands et musclés et je ne doutai pas qu'ils aient de l'endurance.

Ils étaient vêtus de jogging, alors je compris qu'ils avaient été invités par Francis et qu'ils n'auraient pas une journée de travail normale.

A 9h30, Christine arriva par le couloir et se présenta aux trois hommes.

- Putain! Dirent les deux jeunes hommes en la voyant vêtue de lingerie, ses seins débordant presque.

- Bonjour. Je suis Christine la « faciliteuse de contrat ». Je crois que vous êtes ici pour conclure un marché avec M. MULLER.

Elle parla comme s'il s'agissait d'un simple jour de travail. L'entrepreneur répondit en regardant ses ouvriers :

- Oui, nous sommes ici pour parvenir à un accord.

- M. MULLER m'a expliqué les termes de l'accord. Je dois voir avec vous si tout est correct.

- Pas de problème, je sais que Francis tiendra parole mais vous pouvez le confirmer par vous-même.

Ma belle-mère hésita, déglutit puis parla :

- Chacun de vous va pouvoir me baiser individuellement. Ensuite vous pourrez me prendre tous les trois ensembles. Ce sont les propos de M. MULLER.

Elle était très embarrassée. Elle vit un des deux jeunes hommes taper dans la main de l'autre.

- Très bien Madame. Commençons....

L'entrepreneur se leva, indiquant qu'il serait le premier à utiliser Christine. Il fit le tour de la femme, caressa son cul devant ses gars, le serra avant de lui donner une grande claque en disant :

- Emmène ton cul dans ton bureau!

Il la suivit. A l'écran, je vis qu'il reluquait le cul qui s'agitait devant lui. Il commença même à défaire sa ceinture et les boutons de son jean.

Ils entrèrent dans le bureau, l'entrepreneur fermant la porte derrière lui.

Puis dans une posture d'attente il dit :

- Bien Christine. Maintenant, mets-toi à genoux et viens chercher ma bite.

Elle se dirigea vers lui, tomba à genoux devant lui et continua à défaire son pantalon. Experte, elle tira sur le caleçon et le jean pour les abaisser sur les chevilles de l'homme.

Le membre à demi dressé de Bruno ainsi que ses grosses boules poilues étaient à dix centimètres de son visage.

- Te souviens-tu de moi? Demanda l'homme en souriant.

- Oui je me souviens de vous. Répondit-elle.

- Suce ma bite! Ordonna-t-il en poussant sa bite sur le côté de son nez.

Christine se releva légèrement, ouvrit la bouche et accepta volontiers la queue de Bruno pour la deuxième fois en faveur d'un accord conclu avec Francis.

Elle suça l'entrepreneur en s'appliquant et en utilisant toutes ses techniques. Elle prit même une grosse couille velue dans sa bouche tandis qu'elle branlait la queue au-dessus de son visage. Bruno semblait aimer ce traitement. Il gémit constamment pendant cette fellation jusqu'au moment où il se retira et demanda à Christine de se mettre sur le canapé.

- Allonge-toi sur le dos et écarte les jambes. Maintenant enlève ta culotte et montre-moi ta chatte.

Tout en se mettant à genoux entre les jambes de la femme, il remarqua :

- J'avais oublié quelle jolie chatte vous avez. Elle est assez bonne pour être mangée.

Il abaissa sa bouche sur le sexe de Christine.

- Ohhhh oui, c'est bon!! Dit-elle en se tortillant.

Elle le remercia tandis que je regardais et entendais l'entrepreneur bouffer sa chatte avidement. Ses éloges augmentèrent quand il glissa une main le long de son corps pour sortir les deux seins du soutien-gorge. Et il commença à malmener les mamelons sensibles.

- OHHHH OUI Bruno. Léchez moi et tirez mes tétons. Ne vous arrêtez surtout pas. OHHHH...

Bruno brouta la chatte de Christine pendant dix bonnes minutes, sans vraiment reprendre son souffle. Finalement ses efforts furent récompensés.

- OHHHH Bruno ne vous arrêtez pas, je vais jouir sur votre visage.

Elle se souleva légèrement avec ses mains pour regarder l'entrepreneur, qui était le seul à la lécher. Elle dit en serrant les dents :

- OHHHH Merci Monsieur. Je vais jouiiiiirrrr.....

Bruno concentra ses efforts sur le clitoris et quelques instants plus tard, il fut couvert du nectar ambré de la femme.

- OUUUIIIIII JE VIENNNNNSSSS....

Christine ferma ses cuisses autour de la tête de l'homme pendant que l'orgasme la terrassait. Quelques secondes plus tard, elle desserra ses cuisses et regarda l'homme en souriant. Elle ne dit que deux mots :

- Merci Bruno.

Il se leva et se coucha sur elle afin de l'embrasser passionnément. Il serpenta sa langue dans sa bouche, lui laissant goûter son propre jus. Enfin il recula au bord du canapé et dit :

- Il est temps que tu prennes de la bite. Retourne-toi sur tes genoux, je veux te prendre en levrette.

Il attendit que Christine se mette en place. Ma belle-mère se retourna et se mit à quatre pattes. Elle tortilla son cul en lui souriant par-dessus son épaule. Elle semblait plus impatiente que d'habitude de prendre une bite. Elle poussa ses fesses en arrière, recherchant le membre de l'homme. Je me demandai si son comportement venait du fait qu'il l'avait fait jouir par un cunnilingus.

Toujours en tortillant son cul à la recherche d'une bite, elle supplia :

- Remplissez-moi Bruno. Baisez-moi avec votre grosse queue.

Elle cessa de bouger lorsque l'entrepreneur posa ses deux mains sur ses hanches pour bien la tenir. Dans un mouvement rapide, l'homme enfonça sa queue dans la chatte humide. Tout en baissant sa tête sur les coussins afin que son cul se cambre, Christine dit :

- Oui, voilà ce que je veux. Voilà ce que je dois faire pour vous.

L'homme n'hésita pas à la pénétrer de toute la longueur possible. Il la baisa dans cette position aussi longtemps et aussi fort que possible. Il la fit jouir une fois de plus avant de la tirer sur lui et la tenir complétement empalée sur sa bite pour cracher sa semence en elle.

- Merci Bruno. Dit-elle à nouveau quand il se retira, la laissant vide et pleine à la fois.

Il lui donna sa culotte avant de se rhabiller.

- Suis moi et voyons voir lequel de mes ouvriers va être le prochain.

Il lui tint la porte ouverte et la regarda alors qu'elle essayait de remettre ses seins dans son soutien-gorge. Il l'arrêta :

- Laisse tes gros nichons comme ça.

Elle renonça, laissant sa grosse poitrine à l'air. L'homme la suivit jusqu'à la salle d'attente sans lâcher du regard le cul qui se balançait.

Un fois arrivé dans la pièce où ses deux ouvriers attendaient avec enthousiasme, il arrêta Christine. Placé derrière elle il attrapa les deux seins par les mamelons puis les tordit en les soulevant.

- HUMMMMM.

Ma belle-mère gémit profondément, incapable de résister à la douleur sur ses tétons sensibles.

- Qui sera le prochain à utiliser cette salope à gros seins? Demanda Bruno en lâchant ses seins et en claquant son cul avant de s’asseoir dans le fauteuil.

- Jacques a remporté le tirage au sort Patron. Dit le plus petit des deux gars.

- Allez Jacky, montre à cette vieille salope ce que vaut un jeune. Dit Bruno en riant.

Le jeune homme se leva et se dirigea vers Christine avec un grand sourire sur son visage. Celle-ci le prit par la main et lui dit :

- Suis-moi!

Elle l'emmena à travers le couloir jusqu'à son bureau. Un fois à l'intérieur, elle le dirigea vers un des tabourets. Elle se mit en face de lui et elle lui baissa son pantalon de survêtement ainsi que son boxer sur les chevilles. Jacques l'aida en secouant ses jambes pour éloigner les vêtements puis il enleva son haut.

Il avait un corps solide avec des pectoraux qui montraient qu'il avait effectué beaucoup de travaux de force. Je regardai ma belle-mère frotter sa main sur la poitrine et l'estomac du jeune homme.

- Vous avez un corps merveilleux...

Elle le complimenta pendant qu'il s'assit sur le tabouret, laissant ses jambes ouvertes.

- Oh mon dieu!

Christine roucoula, incapable de cacher son désir de cette jeune bite. Elle avança sa main et souleva le membre avec quatre doigts afin de l'inspecter de plus près. Quand elle eut fini et qu'elle retira sa main, la bite se dressait fièrement, 20 centimètres de chair debout. Ce n'était pas la queue la plus épaisse qu'elle eut prise mais une des plus longues surement. Elle la regarda, la faim dans les yeux.

- Quel âge avez-vous Jacques?

Elle lui posa la question tout en laissant courir son index sur la longueur de la bite ainsi que sur les couilles rasées.

- Dix-neuf. Répondit-il.

- Hummmmm...

Christine gémit tout en prenant dans la paume de sa main la jeune bite. Elle la serra, pelant le prépuce vers le bas de son arbre.

- Les jeunes queues sont mes préférées. Dit-elle.

Elle baissa sa bouche sur le sexe et l'enfourna complètement.

- Oh merde.

Jacques jura dès que les lèvres se fermèrent sur sa verge. C'était surement la première fellation qu'une femme mature lui faisait.

Ma belle-mère le suça comme elle ne l'avait jamais fait auparavant. Elle s'appliqua pour faire plaisir au jeune homme, engloutissant son sexe au plus profond de sa gorge, à la limite de l'étouffement. Après cinq bonnes minutes, Jacques montra des signes d'un homme prêt à éjaculer. Christine, beaucoup plus expérimentée qu'il y a quelques temps, le sentit. Elle leva la tête et dit :

- Ne vous inquiétez pas Jacques, vous pouvez éjaculer. De toute façon vous ne me quitterez pas avant de m'avoir baisée avec votre grosse bite. Dites-moi seulement où vous voulez éjaculer quand vous êtes prêt.

Elle retourna à sa fellation appliquée. Deux minutes plus tard le garçon n'en pouvait plus. Il demanda :

- Je vais jouir. Puis-je le faire sur vos seins?

Christine recracha son sexe et se mit sur ses genoux afin que Jacques puisse se tenir au-dessus d'elle. Elle branla sa bite jusqu'au moment où il grimaça et cria :

- OHHHHHHHH Putain.

Il lâcha cinq charges épaisses de sperme sur les gros seins de ma belle-mère. Une fois qu'il eut fini d'éjaculer, elle reprit le sexe dans sa bouche pour continuer à le sucer et pour le nettoyer, dégustant la jeune semence. Elle le suça pendant cinq minutes. La jeune queue n'ayant pas débandée, elle décida qu'il était temps de l'avoir en elle.

Elle se lava et se dirigea vers le canapé opposé. Puis elle saisit sa culotte pour la faire rouler doucement sur son cul, se penchant tandis que le bout de tissu descendait le long des jambes. Elle garda la pause un moment, ouvrant les jambes pour montrer ses orifices matures à un garçon avec une grosse queue qui pourrait être son fils.

Elle se retourna et s'assit sur le canapé en regardant Jacques qui branlait son sexe en attendant qu'elle l'invite.

Elle s'adossa et écarta les jambes, exposant sa chatte au jeune homme Tout en ouvrant sa fente avec ses doigts, elle roucoula :

- Viens me baiser avec ta grosse queue bien dure.

Le garçon rejoint rapidement Christine. Et sans finesse, il poussa sa bite à l'intérieur du trou humide.

- Ohhhh mon dieu, que c'est bon Jacques. Baise-moi fort.

- Pas de problème. Dit-il en commençant à coulisser dans la chatte.

Il la fourra durement et rapidement, plus fort et plus vite que toutes les bites qu'elle avait prises auparavant. A dix-neuf ans, son rythme ne ralentit pas et ses coups de boutoir ne diminuèrent pas. Si bien, que Christine se tordait sous lui en gémissant.

Les efforts du jeune homme furent bientôt récompensés. Christine lui dit qu'elle allait jouir. Ce qui fit accélérer Jacques. Et ma belle-mère jouit. Elle passa ses jambes autour du dos du garçon afin de l'enfoncer complétement en elle pendant que l'orgasme secouait son corps.

Une fois qu'elle eut récupéré, elle indiqua à Jacques ce qu'elle désirait :

- Maintenant, remplis ma chatte avec ton sperme.

Elle retira ses jambes de son dos pour qu'il recommence à la pilonner. Trois minutes plus tard, l'homme éjacula au fond du vagin de ma belle-mère, au grand plaisir de celle-ci qui sentit le liquide chaud en elle.

Jacques se rhabilla et commença à partir quand il vit Christine sur le point de remettre sa culotte. Il lui dit :

- Laissez donc votre culotte, vous n'en aurez pas besoin pour le reste de la journée.

Il ouvrit la porte et sortit, laissant la femme suivre le onzième baiseur qu'elle avait eu depuis qu'elle était devenue ma pute. Le douzième l'attendait dans la salle au bout du couloir.

Christine sentit le sperme fuir de sa chatte pendant qu'elle marchait. Elle avait l'air d'une vraie salope. Elle l'admit devant moi, le soir lorsqu'elle fut à la maison. Elle se sentait sale et salope tandis qu'elle marchait vers la salle d'attente, du sperme couvrant ses seins et coulant de sa chatte.

- Hé Jacky, c'était bon? Cria Bruno en rigolant.

Christine arriva sur ses talons hauts, nue à l'exception du soutien-gorge baissé sous sa poitrine. Elle attendit Régis, l'autre garçon.

Bruno la regarda avec un sourire salace :

- Allez, au dernier!!

Régis était déjà levé et s'approchait de Christine. Il tapota la fesse nue en la poussant dans le couloir. Il suivit la femme tout le long du retour au bureau et ferma la porte derrière eux. Au moment où Christine se retourna, le garçon finissait de se déshabiller en enlevant son tee-shirt. Son corps était aussi musclé et tonique que son collègue.

Christine regarda vers le bas du corps de Régis. Ses yeux s'arrêtèrent au niveau de l'aine. Son regard resta fixe et un silence s'installa dans la pièce.

- Aimez-vous ce que vous voyez Salope?

Régis posa la question tout en marchant avec assurance vers ma belle-mère.

- Oui. Répondit-elle tout en gardant son regard sur l'entrejambe du jeune homme.

Je ne pouvais voir le membre de ce jeune car il était dans un angle mort des caméras. Mais, à voir le regard hypnotique de Christine, je me doutais qu'il devait être spécial.

Régis passa devant ma soumise et se dirigea vers les tabourets. Il sauta sur le plus proche et se retourna.

Alors je pus voir son sexe et je compris pourquoi il gardait l'attention de ma belle-mère. Il était un peu plus long que son ami mais le plus important était son épaisseur. Fièrement il se branlait, son pouce et ses doigts ne se touchant pas sur cette énorme tige. Pas étonnant qu'il soit si assuré avec cette chose dans son pantalon. Il fut un des plus chanceux lorsque Dieu distribua les portions de bites.

Christine avait suivi Régis comme un petit chiot et se tenait humblement devant lui, le regardant se masturber et se demandant quand il lui permettrait de toucher l'engin.

- Quel âge avez-vous? Demanda-t-elle sans quitter le membre des yeux.

Il répondit avec un grand sourire sur le visage :

- Dix-huit.

Puis, en prenant sa queue à la base et en la balançant devant Christine il rajouta :

- Pas mal Hein?

Elle chuchota :

- Non, elle est impressionnante.

- Et vous, quel âge avez-vous?

En posant la question, il tendit le bras, posa sa main derrière la tête de la femme pour la tirer vers sa bite engorgée.

- 39 ans. Répondit-elle.

Elle ouvrit la bouche aussi large que possible et permit à régis d'abaisser sa tête le plus bas possible jusqu'à ce que son gland tape au fond de la gorge. Puis il la libéra afin qu'elle puisse retrouver son souffle.

- Vous n'êtes pas la plus vieille salope que j'ai baisée mais je veux que vous me prouviez que vous êtes la meilleure.

Il étendit les bras le long du comptoir sur le mur pendant qu'elle lui répondit en le regardant dans les yeux :

- Je ferai de mon mieux.

Elle abaissa de nouveau sa bouche sur le sexe du garçon.

- Assurez-vous de le faire.

Il aida Christine en plaçant une main sur sa tête afin qu'elle avale complétement sa bite.

- C'est une bonne façon de commencer. Dit-il en se penchant en arrière, profitant de la sensation de cette bouche sur sa queue.

Comme pour Jacques, ma belle-mère s'appliqua à sucer le jeune garçon. Elle savoura chaque morceau de cette jeune bite jusqu'à ce qu'il soit prêt à éjaculer.

- Mets-toi à genoux, je vais baptiser ton visage.

Précipitamment, il la repoussa sur ses genoux et se leva :

- Ouais, je vais arroser ton joli visage.

Il branla son énorme bite devant le visage de Christine, agenouillée et attendant sa charge.

- Ne bougez pas surtout, ne bougez pas lorsque je gicle.

Il accéléra son mouvement. Une minute plus tard, il sursauta et cria lorsqu'il jouit. Sa queue cracha, non pas une seule fois mais six fois sur le visage de ma belle-mère. Et lorsqu'il eut fini, il engouffra de nouveau son sexe dans la bouche de Christine afin qu'elle la nettoie.

Lorsqu'il considéra son membre assez propre, il se retira, attrapa Christine pour l'asseoir en face de lui sur le tabouret, le cul près du bord.

J'eus une bonne image du visage de ma soumise. Il l'avait littéralement plâtré du front au menton avec des amas de sperme blanc.

Il demanda à ma belle-mère de tirer ses jambes en arrière et de les tenir derrière ses genoux.

- Oh mon dieu Régis.

Elle gémit quand la bite écarta les lèvres de sa chatte, révélant son clitoris.

- Baise-moi Régis, Baise-moi avec ta grosse queue.

Elle le supplia, ne cachant pas son besoin de bite. Il fit glisser son membre de deux centimètres en demandant :

- C'est ce que vous voulez Salope?

- Oui Régis, vas-y.

Il commença à pousser son bassin lentement vers l'avant de sorte que la moitié de sa verge entra dans la grotte humide.


- Est-ce assez? demanda-t-il.

- Ummmm, oui.... Non.... Plus.....

Elle exhorta son partenaire tout en essayant de pousser sa chatte en avant pour en obtenir plus.

- Voulez-vous tout cela?

Il poussa encore de deux à trois centimètres. Les gémissements de Christine devinrent des grognements alors qu'elle serrait les dents tandis qu'il élargissait le passage.

- Oh qu'il est gros! merde!

Elle jura en sentant cette queue coincée dans sa chatte. Elle se pencha en avant pour voir ce membre l'empalant. Se repositionnant en arrière, elle dit :

- Oh mon dieu, il y en a encore. Donne-moi tout Régis, enfonce la complétement.

Le garçon lui obéit et entra toute sa bite en elle. Ce qui la fit instantanément jouir. Elle cria, la tête en arrière, donnant un coup de ses hanches pour obtenir encore plus de bite.

- Quel orgasme. Dit le jeune homme, appréciant la sensation des muscles de la chatte enserrant son membre.

Quand elle fut remise de sa jouissance, sa chatte étant bien lubrifiée pour pouvoir accueillir plus facilement l'énorme bâton, elle lui demanda de façon non équivoque :

- Régis, baise-moi durement et profondément afin que je jouisse une fois de plus sur ta fantastique bite.

- Je vais te donner le plus gros orgasme de ta vie Salope.

Il se retira avant de revenir brutalement au fond de son vagin.

- Argghhhh, voilà de quoi j'ai besoin. Réussit à dire Christine tandis qu'il la baisait avec des coups violents et profonds.

Je regardai ma belle-mère être baisée par ce jeune garçon. Et de la façon dont elle gémissait sur le tabouret, je réalisai que j'avais créé une pute affamée de grosses bites. Plus elle était utilisée et abusée, plus elle en voulait. Alors que je la regardai avoir un second orgasme, je sus que je pouvais faire d'elle ce que je voulais si je lui promettais de la bite.

Régis la tourna sur le tabouret et enfila sa chatte par derrière. Il la martela durement et rapidement en veillant que son membre entre complètement à chaque fois.

Christine jouit une fois de plus et quelques minutes après, Régis se vida dans son ventre.

- Suis-je la meilleure salope que vous n'ayez jamais baisée Régis? demanda-t-elle en regardant par-dessus son épaule, cherchant l'approbation d'un jeune de dix-huit ans.

- Vous n'êtes pas la pire. Dit-il en se retirant avec un gros « plop ».

Christine descendit du tabouret et s'agenouilla devant lui pour sucer et nettoyer son sexe. Elle lui lécha même les couilles.

Enfin il s'habilla et partit. Christine le suivit, consciente du sperme qui coulait de sa chatte et de celui qui recouvrait son visage. Régis l'amenait comme un trophée pour montrer à ses collègues sa puissance de baise.

- Regardez-moi le gâchis que vous avez fait de son visage Régis. Et jetez un œil à ce qui coule le long de sa jambe. Souligna Bruno.

Christine, un peu honteuse de sa tenue, avait son travail de « faciliteuse » à faire. Alors elle expliqua au trois hommes qu'ils pouvaient aller se restaurer gratuitement à la cantine au rez-de-chaussée.

- Mais si vous ne voulez pas aller manger, j'irai me doucher et me nettoyer pour la dernière partie de l'accord.

Ils se regardèrent tous le trois et décidèrent qu'ils n'avaient pas faim. Ils l'attendraient pendant qu'elle se nettoie.

Christine retourna dans son bureau, choisit des sous-vêtements propres et rejoignit sa nouvelle salle de bain entièrement conçue pour des moments comme celui-là.

Elle posa les dessous sur le côté du lavabo et passa derrière une grande cloison de verre. La salle d'eau était carrelée avec des matériaux coûteux. Cinq grandes têtes de douche étaient positionnées autour de cette salle. Elles giclèrent lorsque Christine alluma le commutateur.

Dans le coin le plus éloigné de la zone de douche, était positionné un banc plat d'un mètre sur cinquante centimètres de large.

Ma belle-mère resta au milieu et laissa l'eau cascader sur son corps pendant quelques minutes.

Elle se savonna sur tout le corps et le visage, ainsi que ses cheveux. Elle finit par son entrejambe, nettoyant le sperme et apaisant sa chatte bien utilisée afin d'être prête à se mettre au travail.

Elle finissait de rincer le savon de ses cheveux, la tête en arrière, les yeux fermés, n'entendant pas l'entrepreneur et ses deux ouvriers entrer dans la douche.

- Oh merde... Vous m'avez fait peur! Cria-t-elle.

Elle ne s'était pas rendue compte que les trois hommes étaient entièrement nus.

- Que se passe-t-il?

Elle posa la question pendant que les trois hommes l'entourèrent.

- Nous sommes venus pour conclure l'affaire. C'est un bon endroit ici.

Après avoir prononcé ces paroles, Bruno s'approcha du distributeur de savon douche pour en prendre une bonne quantité dans ses mains. Puis il vint en face de Christine, posa ses deux mains sur les seins et les massa.

Ses deux ouvriers suivirent son exemple.

Ma belle-mère se tenait au milieu de la douche, laissant masser son corps par les trois hommes avec de l'eau chaude savonneuse. Les six mains passaient sur ses seins, son ventre, ses jambes, ses fesses. Elles frottaient sa chatte et excitaient ses mamelons.

En même temps, trois bites se dressaient et caressaient ses cuisses ou son cul. Instinctivement, elle attrapa les deux premiers membres à sa portée : celles de Bruno et Régis.

- Voilà une bonne idée. Dit Bruno en la laissant branler sa verge savonneuse.

Avec Régis, ils se déplacèrent pour se positionner de chaque côté de Christine, légèrement en arrière afin qu'elle puisse jouer correctement avec leur bite. Jacques se mit devant elle et concentra son attention sur son clitoris.

Après une minute, l'entrepreneur prit sa tête et la tira vers le bas. Il fourra sa queue dans la bouche de la femme. Dans cette position, elle présentait son arrière-train à Jacques qui dit :

- Ne faites pas attention à moi!

Rapidement, il enfila son sexe dans la chatte de ma belle-mère. Même si elle avait voulu crier, elle ne l'aurait pu car Bruno tenait sa tête en lui baisant le visage.

Après que Jacques l'eut pilonné pendant cinq minutes, Régis prit sa place avec sa grosse bite épaisse. Bruno lutta pour tenir sa tête quand elle sentit le membre et essaya de regarder Régis qui l'empala complètement.

Il la baisa si violemment que son patron dut libérer son emprise sur la nuque de ma belle-mère qui se mit aussitôt à crier :

- Baise moi, baise moi, encore.......

Elle grogna tandis que régis la labourait avec des poussées violentes qui faisaient trembler son corps et vaciller sa grosse poitrine.

- Amène la par ici Régis! Demanda Bruno assis sur le banc dans le coin.

Tout en continuant de la pilonner, il la poussa vers l'entrepreneur. Arrivée à sa portée, il lui baissa la tête sur sa queue. Elle le suça avidement tout en massant ses couilles pour lui procurer plus de plaisir. Apres quelques minutes de ce traitement, le patron demanda à son ouvrier de poser ma belle-mère sur le siège.

Cela fait, Bruno lui souleva les jambes et les repoussa presque sur sa tête. Il la pénétra avec facilité, ses jambes sur sa poitrine.

Pendant les vingt prochaines minutes, les trois hommes se relayèrent pour la baiser. Tandis que l'un d'eux la prenait, les autres se branlaient, attendant leur tour. Elle jouit deux fois quand ce fut le tour de Régis, au grand dam de Bruno qui regardait ce jeune apporter du plaisir à cette femme plus âgée.

Une nouvelle fois, l'entrepreneur donna des ordres. Il demanda à Christine de se lever, de se tourner et de s'appuyer avec ses mains sur le banc. Il lui fit écarter les jambes puis il la pénétra et commença à la baiser.

Au bout de deux minutes, il sortit son sexe et éjacula sur le cul de ma belle-mère. Enfin, il laissa ses deux jeunes employés donner à la femme ce dont elle avait besoin.

Les deux garçons la baisèrent alternativement pendant plus de trente minutes, chacun essayant de la bourrer plus durement que l'autre. Si bien que Christine gémissait constamment sur ce pilonnage concurrentiel :

- OOOOHHHHH, je.... Viens......OHHHH.... Je....jouiiiiiiis...

Elle fut terrassée par un quatrième orgasme.

Les deux jeunes étaient prêts à jouir eux aussi. Ils assirent Christine sur le banc et ils se mirent de chaque côté, prêts à couvrir son visage de leur sperme.

- Poussez-vous les petits gars. Laissez-moi gicler sur cette chienne.

Bruno s'inséra entre ses deux employés si bien qu'il fut directement en face de ma belle-mère.

Maintenant, trois bites étaient simultanément branlées au-dessus de Christine, qui regardait tout en se léchant les lèvres et caressant sa chatte. Jacques éjacula le premier. Elle ne recula pas ni ne tourna sa figure. Les giclées de sperme tombèrent sur le côté gauche de son visage et sur ses seins. Elle se pencha pour sucer le reste sur la bite puis elle se remit en position pour les autres.

Bruno fut le second. Il avança légèrement pour que son membre touche le visage. Son sperme aspergea la lèvre supérieure ainsi que le menton. Christine n'eut pas le temps de faire un geste que Régis couvrit sa figure de sperme pour la deuxième fois.

L'entrepreneur demanda :

- Je pense que l'accord est scellé, n'est-ce pas?

Avant d'ouvrir la bouche et accepter sa bite pour la nettoyer et faire de même avec Régis, elle approuva :

- Oui c'est fait.


(pour le prochain épisode, j'emmènerai ma belle-mère au restaurant pour fêter sa promotion.)

A suivre...