mercredi 15 janvier 2020

Une journée pas comme les autres.

8h30, mon réveil sonne. Je sors de mon sommeil qui fut très agréable. Ce matin je dois aller travailler.

Comme à mon habitude, je prends ma douche, une douche brûlante, puis je me sers un bol de céréale et je vais m’installer devant mon ordinateur. Mon copain est parti travailler à 7h00. Lorsqu’il rentre, vers 15h00, je suis déjà partie depuis longtemps.

Sur l’ordi, je peux lire un icône : « à lire avant de partir.txt ». C’est pour moi, je le sais, on a l’habitude de se laisser des petits mots le matin.

J’ouvre le document et je commence à lire : « Bonjour chienne, J’espère que tu as bien dormi. Tu dois te demander pourquoi je t’appelle chienne alors que je suis pas la et que tu n’as pas ton collier.
Et bien j’ai bien réfléchi cette nuit et je t’ai préparé une petite surprise. J’ai téléphoné à ton travail en disant que tu avais eu un petit accident cette nuit et que tu étais en arrêt maladie aujourd’hui. J’ai laissé une enveloppe sur le bureau…. »

Je regarde et en effet une enveloppe kraft est posée là, juste sous mes yeux, je continue à lire :
« …dans cette enveloppe tu trouveras de l’argent et une liste d’objets que je veux que tu ailles acheter à l’adresse indiquée. Tu es obligée d’y aller, si tu refuses de le faire tu seras punie. En revenant du magasin, tu feras une toilette. Tu te raseras le sexe, je veux qu’il soit vierge de tout poils, puis tu te pareras d’une jupe et d’un soutien-gorge, de ton collier, de ta laisse et tu mettras les bracelets à tes poignées. Tu ne toucheras à aucun objet que je te demande d’acheter sous peine de sanctions. Lorsque je rentrerai, je veux que la maison soit impeccable et que tu sois à genoux, les cuisses écartées, les mains sur la tête et ta laisse dans ta bouche. Bonne matinée, à cet après midi, je rentre vers 15h00.
Je t’aime
Ton Maître »

Je relis la lettre plusieurs fois. Je suis énervée après lui car je ne domine pas la situation, mais bien sur, cela m’excite énormément car j’aime quand je suis sa chienne.

J’ouvre alors l’enveloppe et en sort une liasse de billets. Puis je commence à lire la liste des objets qu’il veut que j’achète :
-Vibromasseur taille moyenne
-bâillon anneau (qu’est que c’est que ce truc ??)
-bâillon boule
-ceinture gode intérieur taille moyenne
-petit plug
-2 barres d’écartement
-Une tenue de soubrette
-5m de corde.

Puis je lis l’adresse qui est indiquée en dessous, je l’aurais parié, c’est un magasin SM à Père-Lachaise.

Je ne pourrais jamais faire ça, il sait que j’aime être sa soumise mais la il m’en demande trop. Et puis je décide de prendre mon courage à deux mains par peur de la punition. Je finis mon petit-déjeuner et je pars.

Trente minutes plus tard je suis au magasin. Un endroit sombre et lugubre, j’ai un peu peur, mon estomac est noué. Cependant, la vendeuse qui s’approche de moi doit avoir l’habitude de ce genre de clients car elle est très douce et moins vulgaire que je l’aurais imaginée.

- Je peux vous aider mademoiselle ?

- Euh…oui, je cherche tout ça.

Je lui tends ma liste.

Elle s’affaire dans tout le magasin et reviens avec plusieurs boites.

- C’est pour vous ?

Je rougis.

- euh…oui.

- Bon alors on vas prendre cette taille, ça sera plus adapté. Voila mademoiselle, si c’est tout, ça vous fera 400 euros.

Je paie et je rentre à la maison. Je me détends en fumant une cigarette. « Bon, une épreuve de passé » songeai-je à cet instant.

Il était maintenant 11h00. Mon Maître rentrera dans 4 heures…ce qui me laisse un peu de temps devant moi. Je relis la lettre laissée sur l’ordi, il veut maintenant que je range la maison, je déteste faire le ménage et il en profite !

Je m’affaire alors à ma tache, cela me prend 2 heures pour tout ranger et laver. Il ne me reste que 2 heures, je décide de reprendre une douche, et contre ma volonté, je me rase le sexe. La sensation est particulièrement douce et je l’apprécie. Je sens mon clito se durcir et je mouille.

C’est bizarre de ne plus avoir de poil, j’ai l’impression d’être une petite fille. Je crème mon sexe avec du lait hydratant. Je finis de me nettoyer puis je me sèche, m’habille comme il l’a souhaité et me maquille pour être encore plus séduisante à ses yeux.

Il me reste une demi-heure avant qu’il ne rentre. Je décide de me reposer sur le divan. A 14H55, je vais mettre mon collier, les bracelets, et j’attache ma laisse à l’anneau de mon collier. J’entends alors l’ascenseur, je sais qu’il arrive. Je m’agenouille alors dans le salon, je mets ma laisse dans ma bouche, mes mains sur la tête.

La clef rentre dans la serrure et la porte s’ouvre. Mon Maître, souriant, est dans l’encadrement de la porte. Il la referme et s’approche de moi, il me tapote la tête.

- Bonjour chienne.

- Bonjour Maître.

- Je vois que la maison est bien rangée, as-tu fais tout ce que je t’ai demandé ?

- Oui Maître.

- C’est bien chienne, je vois que tu as été obéissante. Va maintenant mettre la tenue de servante que t’ai offerte. Et reviens vite en m’apportant à boire.

- Oui Maître.

Malgré mon appréhension, je suis très excitée. Je mets ma tenue le plus vite que je le peux et je vais remplir un verre pour mon Maître. Je pose le verre sur la table basse du salon et je reste là à attendre un ordre de mon Maître. Celui-ci attrape ma laisse et tire brutalement ce qui m’oblige à tomber à genoux.

- Sale chienne, tu n’as pas encore compris que tu dois toujours être plus basse que moi ?

- Si Maître.

- Ta gueule esclave, de toute façon tu seras punie pour ça !

Puis il prend son verre et le boit. Il m’entraîne dans la chambre, mes genoux râpent contre le sol et j’en souffre mais je ne dis rien, j’ai envie que mon Maître soit fier de moi.

- Enlève ta tenue et allonge toi.

Je m’exécute en silence. Lui, il rigole, il doit penser à ce qu’il va me faire subir. Il m’attache les mains à la sangle, me bande les yeux puis je l’entends qui trifouille dans le sac que j’ai ramené du magasin. Il en sort une barre d’écartement qu’il attache entre mes pieds, je ne peux maintenant plus serrer les cuisses.

- Qu’allez vous faire Maître ?

Une claque sur mes cuisses me surprend.

- La curiosité n’est pas un privilège d’esclave, de plus je ne t’ai pas demander de parler, il faut croire que tu aimes être punie.

Deux pinces viennent prendre place sur mes tétons et je ne peux retenir un petit cri de douleur. Je sens entre mes jambes ma mouille couler vers mon anus et la barre d’écartement m’empêche de retenir la coulée, Maître rigole :

- Alors petite chienne en chaleur, tu aime ça hein ? Tu es toute mouillée. Dis le !

- Dire quoi Maître ?

Une nouvelle claque plus appuyée celle-la s’abat sur ma cuisse.

- Dis que tu es une petite chienne en chaleur, que tu es mon esclave et que je fais de toi tout ce que je veux.

- Oui Maître, je suis une petite chienne en chaleur, je suis votre esclave et vous pouvez faire de moi ce que vous voulez Maître. Mais…

Et avant que je puisse ajouter un mot, une boule vint remplir ma bouche. Puis la sangle est attachée derrière ma tête.

- Ta gueule, tu n’es pas autorisée à dire autre chose que ce que je souhaite.

- Mphhhhhh

Il me caresse, m’embrasse, descend le long de mon corps. Je mouille honteusement.

Il se lève et sort de la pièce avec le sac plein d’ustensile.

- Je te laisse réfléchir un moment à ce que tu as fait de mal.

Je reste là, seule dans le noir. Ma chatte ne cesse de couler. Je me sens honteuse et je suis frustrée. Je ne peux pas bouger. Je commence à somnoler lorsque une claque me réveille.

- T’ais-je autorisé à dormir sale chienne désobéissante ?

Je fais « Non » de la tête.

- Décidément, tu en redemandes.

Un éclair de froid s’abat sur mon cou, je comprends que c’est un glaçon lorsqu’il me le fait glisser le long du corps, sur les seins, mon ventre (je tressaille), puis ma chatte, l’écoulement de ma mouille s’arrête instantanément. Il fait glisser le glaçon sur ma raie puis remonte. Lorsque le glaçon a bien diminué, il le fourre dans ma chatte. Je me tortille dans tous les sens pour faire sortir ce corps de mon vagin, le froid me tire et me fait mal. Mon Maître rigole, je ne trouve pas ça drôle.

-La prochaine fois tu réfléchiras avant de me désobéir, sale esclave.

Lorsque le glaçon a fini de fondre, je sens un peu de salive tomber sur mon clito et mon Maître commence à le lécher, doucement puis de plus en plus vite. Je suis contente, j’adore ça ! Il s’arrête et je me demande ce qu’il fait. Il a une nouvelle idée, je le sens. Il me détache les mains, me retourne sur le ventre puis m’écrase la tête contre l’oreiller.

- Reste comme ça, sale chienne, je vais t’apprendre à te faire baiser comme une chienne.

Je veux dire mon désaccord, c’était la chose que je redoutais, mais cette boule dans ma bouche ne laisse sortir que des légers gémissements.

- Ta gueule.

Un claque me fait taire. Il met du lubrifiant, puis il rentre doucement un doigt dans ma rosette, puis deux. Je sens alors un objet métallique prendre la place de ses doigts, il me fait mal mais ça reste supportable.

- Ceci est un plug, sale chienne. Tu vas le garder toute la soirée afin que ton cul reste ouvert !

Une sensation de peur m’envahit. Encore une fois il me retourne, me rattache les mains et me lèche. Il apprécie de ne pas avoir tous ces poils qui lui piquent le visage. Il me lèche encore et encore. Il s’arrête juste avant l’orgasme.

- Je t’interdis de jouir sale chienne ou tu seras punie encore une fois.

Malgré ses dires, je ne peux résister et il le savait. Et je me laisse aller.

- Salope je t’avais ordonné de ne pas jouir.

- Mphh.

-A mon tour de jouir en toi.

Je sens alors son gros pénis caresser l’entrée de mon vagin. Puis il rentre, fait des aller-retours de plus en plus rapides, et laisse son sperme se déverser en moi. Il se retire et va se laver. Il ne va pas me laisser comme ça, toute pleine de sperme et dégoulinante.

Puis je l’entends qui revient. Il me rentre un truc dans le vagin qui rentre tout seul, je pense savoir que c’est le vibromasseur mais je me trompe. Mon Maître me fixe une ceinture autour de la taille.
J’ai maintenant un truc fourré dans mes deux parties les plus intimes.

Il me détache les mains, les pieds, me débande les yeux, et m’enlève les pinces, mais il me laisse mon bâillon qui est à présent plein de bave. Il m’aide à me mettre à quatre pattes, attrape ma laisse et m’emmène dans le salon. J’ai du mal à avancer, avec ses ustensiles dans mon ventre.j’en souffre et mon Maître le voit.

- Tu as désobéi et tu es punie, et ce n’est pas fini. Pour l’instant, va te rhabiller en servante et va faire à manger, et dépêche-toi, j’ai faim.

Chaque pas est un supplice pour mon vagin et mon anus. Je m’habille, puis vais à la cuisine. Au menu, pâtes à la bolognaise. Lorsque tout est prêt, je viens servir le repas. Je mets deux assiettes et je sers mon Maître puis moi. Puis je m’agenouille devant lui. Il me retire enfin mon bâillon, et je me décontracte la mâchoire. Il prend mon assiette et la pose par terre sur une serviette.

- Tu vas manger comme une chienne, et n’en mets pas trop à coté !

Le repas terminé, je m’essuie et demande à mon Maître si je peux boire.

- Pas maintenant, mais ne t’inquiète pas, tu vas boire de tout ton saoul tout à l’heure.

Il me caresse la tête et m’autorise à fumer une cigarette. Malgré mes trous qui me torturent, j’arrive enfin à me relaxer.

Quelques minutes plus tard, mon Maître va chercher un nouvel objet, c’est une sangle avec un gros anneau au milieu. Il me demande d’ouvrir la bouche. Je comprends que c’est ça, un bâillon anneau. Je ne peux pas parler et il m’oblige à garder la bouche grande ouverte. C’est très désagréable. Puis il repart pour revenir avec un entonnoir…j’ai peur, j’ai très peur. Il me tire les cheveux en arrière ce qui m’oblige à lever la tête. Il met l’entonnoir dans la bouche et prend la bouteille d’eau pleine qui est sur la table. Puis il commence à verser dans ma bouche.

- Surtout n’en mets pas à coté sale chienne !

Je suis obligée de déglutir. Au début, j’aime bien car je peux enfin boire, bon, certes dans des conditions pas très agréables mais au moins je peux boire. Mais au bout de quelques instants, je n’ai plus du tout soif, et pourtant mon Maître continue de déverser doucement la bouteille dans ma bouche. J’en recrache un peu pour lui montrer que je n’en peux plus.

- Avale esclave.

Alors j’avale encore et encore. Lorsque la bouteille est finie il s’arrête, je viens de boire un litre d’eau. Il m’enlève mon bâillon anneau. Je peux enfin me calmer. Mais une grosse envie d’uriner me prend.

- Maître laissez moi aller aux toilettes s’il vous plaît.

- Non chienne, tu as été très désobéissante alors tu es punie, remercie moi de te dresser avec autant de patience.

- Mais Maître…

- Ta gueule chienne, remercie moi !

- Merci Maître.

Je ne peux plus me retenir, et je me rends compte que le plug et le gode m’empêche d’évacuer quoi que ce soit. Je souffre et je supplie mon Maître de me laisser uriner mais ce dernier ne veut rien entendre.

-Tu urineras quand je te demanderais d’uriner.

Quelque minute plus tard, mon Maître m’emmène dans la salle de bain, me déshabille, me met dans la baignoire et me retire la ceinture avec le gode. Sans même que je m’en rende compte, je ne peux plus me retenir.

- Sale chienne je ne t’ai pas autorisée à pisser.

Il accroche la laisse en haut de la douche et me lave à l’eau froide, rapidement mais il me lave la chatte si doucement que je ne peux qu’éprouver du désir. En sortant de la douche il me serre dans ces bras et me câline.

- Je t’aime.

- Moi aussi Maître.

Puis il m’emmène dans la chambre, s’allonge et me demande de lui faire une fellation.

- Tu as 5 minutes pour me faire jouir chienne. C’est parti.

J’y mets tout mon cœur car je n’ai pas envie de subir ses idées en tant que punition. Lorsque il sent qu’il va jouir il m’ordonne d’avaler son sperme. J’ai un haut le cœur, mais je l’avale quand même.
Puis de nouveau, il me bâillonne, m’attache les mains et les jambes écartées, puis me lèche, me doigte, je tremble.

- Tu peux jouir chienne si tu le désires.

Mes sens sont en éveil, j’aime ce qu’il fait et je tremble de plus en plus. Jusqu'à l’orgasme, je me laisse aller mais je ne peux crier comme je le voudrais. Mon Maître me caresse.

-Je vais te laisser un peu toute seule ici puis je reviendrai et je regarderai l’état de ton cul de chienne.

- Mphh

Dès que ça parle de mon cul, je ne peux pas !

Quelques minutes plus tard, il me détache les mains et me retourne. Il met du lubrifiant autour du plug puis l’enlève doucement, je me sens libérée mais presque immédiatement, ses doigt prennent sa place. Il met une tonne de lubrifiant. Il met 3 doigts, puis 4, j’ai mal ! Puis il se masturbe, se lubrifie et force l’entrée de mon cul. Ce dernier oppose résistance. Mon Maître écarte mes fesses.

- Détends toi salope !

Puis en forçant encore un peu il rentre.

- Mphh

- Ta gueule, je ne veux pas que tu dises un mot.

Je me sens violée mais bizarrement je sens que je mouille. Il fait des aller-retour, la sensation de douleur laisse place à la sensation de plaisir. Puis il éjacule en moi, dans mes intestins. Il me détache les mains et les pieds et me retire mon bâillon.

- Va aux toilettes chienne et lave toi bien.

- Oui Maître, Merci Maître.

Je reste une heure sous la douche pour me décontracter. Mon Maître m’autorise à prendre une cigarette et me demander de lui en allumer une.

- Tu as eu mal ?

- Oui Maître, très mal.

- Tu as eu du plaisir ?

- Oui Maître, beaucoup de plaisir.

- C’est bien chienne.

Puis il m’enlève mon collier.

- Fais ce que tu veux, tu es libre maintenant, jusqu’à la prochaine fois …

FIN

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