dimanche 29 octobre 2023

Croisière en enfer

 Texte de Elko (Géronimo)

 ****

Les vacances avaient pourtant bien commencé. Nous étions partis depuis déjà 15 jours pour une croisière en Afrique. Nous avions déjà fait escale dans plusieurs ports dont celui de Nairobi. Nous venions de quitter le Kenya et faisions route vers le Golfe d'Aden, direction l'Egypte en contournant l'Ethiopie et le Yémen qui n'étaient pas vraiment des pays touristiques. Et surtout, nous voulions nous éloigner le plus possibles des côtes somaliennes réputées pour leurs actes de pirateries... 

Le Morvan, splendide voilier trois mâts de 88 mètres filait à la vitesse de 12 nœuds dans l'océan Indien. Nous étions cinq à bord plus les membres d'équipage qui étaient tous des hommes. Je m'appelle Pierre, j'ai 50 ans, je suis médecin. Ma femme, Chantal a le même âge que moi. C'est encore une belle femme, très sexy. Quand elle se promène dans cette ville très bourgeoise où nous habitons en France, il est fréquent qu'on la drague. Elle est toujours en jupe et en talons. Je l'adore.

Coté sexe, elle a de l'imagination à revendre. Je me suis toujours demandé si elle n'était pas un peu salope... 

Ma fille, Sophie vient d'avoir 27 ans et surtout elle vient de se marier avec Franck. Sophie a le même corps que sa mère en plus jeune, c'est dire... Franck est un gentil garçon, très grand, des yeux bleus et un sourire ravageur. Il est avocat. Ma fille travaille dans une société de recouvrement, société qui appartient à la mère de mon gendre, Eliane, 62 ans. Grâce au sport et à une bonne hygiène de vie et aussi quelques retouches données par des chirurgiens plasticiens de renom (mais ça, il ne faut pas le dire) elle avait encore un corps de rêve... 

C'est Eliane qui nous offre cette croisière. Elle est riche, très riche, son mari brutalement décédé lui ayant laissé un très bel héritage. 

Accoudé au bastingage, je regardais l'horizon. Le soleil tapait dur mais une petite brise marine le rendait supportable. J'entendis des rires et je jetai un œil sur le pont. Ma femme et ma fille, en bikini, bronzaient en papotant sous le regard concupiscent des deux membres d'équipages qui faisaient de leur mieux pour ne pas trop regarder ces deux superbes femmes à peine vêtus. Ce n'était pas la première fois que je remarquais qu'ils mataient soit ma femme soit ma fille mais curieusement, je ne leur en voulais pas.

Je sentis mon sexe durcir dans mon maillot de bain en repensant à hier soir quand ma femme et moi avions fait l'amour, le hublot de notre cabine ouvert. J'étais presque sûr d'avoir vu un des membres d'équipage en train de nous mater pendant que je prenais Chantal en levrette. Je souris en repensant à ce moment agréable. J'étais loin de me douter que la croisière de rêve allait se transformer en cauchemar....

Le Skipper a vu la petite embarcation arriver vers nous et nous a prévenu mais nous n'avons pu éviter l'abordage et l'assaut des pirates. Les six hommes, des Somaliens venus de Mogadiscio sans doute, montèrent à bord sans aucune résistance de notre part. Ils étaient tous armés de fusils d'assaut et de pistolets. Une lueur mauvaise dans leurs regards, ils visitèrent toutes les cabines en criant. Quelques coups de feu furent tirés mais personne ne fut blessé. 

Nous sommes tous rassemblés sur le pont. Les femmes pleurent, paniquées. Celui qui parait être le chef des pirates, un grand black au crâne rasé donna un ordre et les hommes furent solidement attachés au mât. Impuissant, je craignais pour les femmes. Chantal et Sophie me jetaient des regards désespérés. Dans un mauvais anglais, le chef des pirates nous expliqua que nous étions leurs otages et qu'une rançon allait être demandée. Il entraîna ma femme et ma fille dans la cabine de pilotage et j'entendis des cris qui me glacèrent le sang. Mon Dieu, qu'allait il leur faire ?

Sophie et Chantal revinrent et mon épouse m'expliqua qu'elle avait du passer, sous la contrainte, un appel radio à Djibouti pour expliquer notre situation à un représentant des français en Afrique. Le chef des pirates lui donna une claque sur les fesses. Rouge de honte, elle balbutia :

- Pendant que je passais l'appel, il a mis ses doigts dans mon string et m'a tripoté...

Je serrais les poings de rages et d'impuissance. Le chef lança:

- Continue !

- Il m'a enfoncé ses doigts dans ma chatte et m'a tripoté le cli... Clitoris...

Les hommes du chef étaient morts de rire. Plusieurs pirates s'emparèrent des femmes et les emmenèrent dans leurs cabines respectives.

Ils revinrent rapidement. Ils les avaient obligé à mettre des mules à talons, ce qui les rendaient encore plus sexy. Eliane avait du se changer et mettre un bikini emprunté à ma fille ce qui fait qu'il était beaucoup trop petit pour elle. Ses seins débordaient littéralement du soutien-gorge.

Les pirates sortirent une grande table qu'ils installèrent sur le pont. Le chef expliqua qu'ils avaient faim et que les femmes aller leurs faire à manger. Tous les pirates éclatèrent de rire. Les femmes firent le service. A chaque passage, les pirates pelotèrent ma femme ou ma fille. Les mains remontèrent sur les jambes, s'introduisirent dans le string. On malaxa des seins notamment ceux d'Eliane sous le regard de son fils qui gémit.

Le repas fut bien arrosé. On obligea les trois femmes à boire de l'alcool fort. Le chef claqua des doigts et les pirates disposèrent à genoux devant eux Eliane, Chantal et Sophie. Le chef et deux de ses hommes sortirent leurs sexes tendus en pleine érection. 

Les femmes voulurent détourner la tête mais on les obligea à se pencher en avant. Leurs bouches s'approchèrent des queues des pirates. Eliane engouffra la première le sexe dans sa bouche en poussant un gémissement, le pirate appuya fermement sur la tête de la mère de Franck. Celle-ci commença sa fellation, sa tête montant et descendant sur la bite dressée. 

Le chef, lui, releva ma fille et la courba sur le bastingage. Il lui baissa son slip et lui caressa la vulve, lui enfonçant ses doigts dans sa chatte. Sophie tenta de se débattre mais le chef lui donna une violente fessée. Il s'accroupit et lécha la fente de ma fille. Je voyais sa langue s'enfoncer dans l'intimité de ma petite fille chérie. 

Ma femme poussa un grognement étouffée par les deux énormes queues que deux pirates tentaient d'enfoncer dans sa bouche. Un autre lui malaxait les seins. Le chef, sa queue dure comme du bois, se masturba un peu et s'enfonça dans la chatte de ma fille qui poussa un cri. Les mains crocheté sur les hanches, il donna de violents coups de reins besognant ma fille. Il grognât en s'agitant. Ma fille gémissait.

Chantal était prise à partie par trois pirates. Debout, en équilibre sur les talons de ses mules, elle subissait les attouchements d'un d'entre eux qui lui enfonçait le goulot d'une bouteille dans la chatte, la faisant coulisser rapidement. Un autre lui suçait les seins. Le troisième la courba en avant et lui enfonça sa queue dans la bouche. Celui qui faisait coulisser la bouteille éclata de rire et lança quelque chose en somalien qui fut traduit par le chef qui besognait toujours ma fille.

- Elle mouille ta femme, elle a l'air d'aimer ça...

Effondré, je ne répondais pas.

Eliane, allongée sur le dos, les jambes relevés à la verticale se faisait ramoner par une queue luisante qui rentrait et sortait de son con... Elle tournait la tête de droite à gauche en gémissant.

Je commençais à entendre des commentaires dans les rangs des hommes d'équipage qui traitaient Eliane,  ma femme et ma fille de salopes. C'est vrai que ma femme et ma fille n'avait plus vraiment l'air terrorisé. A quatre pattes, Chantal se faisait prendre en levrette devant moi. On l'avait positionné de façon à ce qu'elle me regarde. Je voyais ses yeux exorbités. Elle ouvrait la bouche haletante sous les coups de boutoir du pirate. Ses gros seins ballottaient hors du soutien-gorge. 

On traîna Eliane devant son fils et elle dut lui administrer une fellation malgré ses supplications. On baissa le short de Franck qui à ma grande stupeur bandait comme un âne. Sa mère lui lança un regard trouble mais chargé de reproches. Sous la pression de la main du pirate elle avala la bite de son fils. Elle le pompa doucement d'abord puis de plus en plus vite salivant sur la bite, lui malaxant les couilles.

Le chef se retira de ma fille et la mettant à genoux, se masturba en grognant. Il lâcha des traînées de sperme sur le visage de ma fille. Aussitôt, deux pirates traînèrent Sophie devant les hommes d'équipage qu'elle dut sucer à tour de rôle. Faisant le tour du mât, une bite dans chaque main, elle les pompait avec un empressement qui me faisait douter de sa réticence...

Le pirate qui baisait ma femme explosa en grognant et un autre le remplaça aussitôt.

Franck éjacula aspergeant le visage de sa mère de son foutre poisseux.

On obligea Eliane et Chantal à suivre ma fille et à pomper les hommes d'équipage. Plusieurs éjaculèrent dans la bouche d'Eliane qui avait du mal à avaler le sperme tant la quantité était importante. Elle le recrachait discrètement mais ça ne plaisait pas aux pirates qui lui claquait les fesses à chaque fois.

Ma femme, elle, reçut quantité de foutres sur son visage. Elle en eut dans les cheveux et sur le front, autour de la bouche, littéralement remaquillée au foutre...

Sophie fut placé devant moi et horrifié, je compris qu'on lui donnait l'ordre de me sucer aussi. Elle me regarda et me masturba. Ma queue devint vite dure et grosse entre ses mains. Elle m'avala, me suçant avec application. Je sentais sa langue me titiller le gland. Elle me caressait les couilles en même temps. Elle enfonçait ma bite au fond de sa gorge, puis la ressortait, me masturbant de nouveau. Je ne pus tenir longtemps. Je jouis en poussant un cri, mon sperme gicla dans sa bouche éclaboussant son palais, se répandant au fond de sa gorge.

Les pirates libérèrent les hommes d'équipage et ce fut une véritable orgie. Ils se ruèrent sur Eliane, ma femme et ma fille et les baisèrent comme des chiennes devant moi et Franck toujours attachés au mât.

Eliane, empalée sur une bite, enculée par une autre et suçant une troisième haletait. Son corps secoué violemment par les coups de bites et sous les rires des pirates. 

Ma femme et ma fille durent s'embrasser sous les applaudissements des pirates et hommes d'équipage devenus complices maintenant. Horrifié, écœuré, je vois leurs langues s'entremêler. On allongea ma femme, et ma fille dut lui sucer la chatte, sa langue lui titillant le clitoris. Ma femme donna des coups de reins et gémit. Pendant que Sophie suce sa mère, un des hommes d'équipage la pénétra et la baisa en levrette. 

Cela dura des heures. On humilia ma femme et ma fille de toutes les façons. Ma femme, à genoux, se faisait enculer pendant qu'elle devait sucer deux bites en même temps. Ma fille, déjà une bite dans sa chatte, dut accepter une queue dans son anus ce qui la fit crier. Les yeux hors de la tête, je regardais les 25 cm de bite s'enfoncer dans l'anus de ma fille qui poussa un cri horrible. Puis les deux hommes bougèrent baisant ma fille qui poussa de petits cris... Mais plus de douleur...

La pauvre Eliane se retrouva avec une main enfoncé dans sa chatte. Son corps s'arquait sous les aller et retour de la main. Eliane criait de jouissance et de douleur...Tout le monde voulut lui enfoncer sa main dans sa chatte puis après, pour faire une variante, dans son cul. Elle se retrouva fistée par la chatte et le cul... Elle eut un orgasme qui la fit hurler et elle s'effondra...

Ils éjaculèrent tous, arrosant ma femme et ma fille de leurs spermes.

Cela dura plusieurs jours où Chantal, Sophie et Eliane devinrent les objets sexuels des pirates et des hommes d'équipage. Les négociations menées par le quai d'Orsay aboutirent rapidement et la rançon fut payée. Les pirates partirent aussitôt nous abandonnant aux mains des hommes d'équipage qui nous ramenèrent à Nairobi. Bizarrement, une fois les pirates partis, les hommes redevinrent sérieux, certains s'excusèrent même. Je pensais à porter plainte et à les accuser de viols un fois rentré en France mais un dernier événement me fit changer d'avis...

Nous étions presque arrivé à Nairobi et je me disais que cette croisière en enfer était enfin terminée quand des cris me firent sursauter... Je me précipitais prêts à sauver ma femme des griffes de ces pervers quand j'arrivais dans ma cabine. Mon gendre baisait ma femme pendant que ma fille fistait sa belle mère qui se tordait en gémissant...

J'entendais leurs cris de plaisir et ma femme, m'apercevant me lança :

- Viens mon chéri, viens baiser cette salope, me lança t'elle en désignant Eliane.

- Oui papa, renchérit ma fille, ma belle mère est une vraie chienne...

Elle prit soudain un air coquin et s'approcha de moi.

- Ou tu préfère que je te suce comme la dernière fois ?

Vous auriez fait quoi à ma place ? Franchement ?

FIN

vendredi 27 octobre 2023

Au camping Ch. 03

Récit de Bayle (2013)

*****

Baisée contre un ballot de paille.

Sur le coup des vingt et une heures trente, nous rejoignons nos nouveaux amis à leur emplacement pour nous promener sur le bord de mer. J’avais enfilé une robe légère à bretelles, bleu imprimée de petites fleurs blanches, un string et pas de soutien-gorge, ma poitrine malgré mon 90 D n’en souffrait pas trop, ni mon apparence. Nous passâmes devant le restaurant des Fontaines et contournâmes un petit bassin avant de longer la côte vers le port ostréicole de Taussat. Ensemble nous marchions de front à discuter des vacances.

- On va aller prendre un verre ? Proposa Greg.

On fit demi-tour, Greg et Sabine marchaient côte à côte et à quelques pas, Romain et moi les suivions. Nous nous laissions distancer, et plutôt que de suivre le bord de mer, Romain prit une rue sur la droite.

- On prend un chemin buissonnier ? L’interrogeai-je.

- Tu n’en n’as pas envie ? Moi j’y pense depuis cet après midi !

Il me prit par la taille et m’embrassa dans le cou. Au fur et à mesure que nous marchions, le bras m’enserrant remonta pour caresser le côté de mon sein. La braguette de son short avait pris du volume, nous nous arrêtâmes sous un arbre, et c’est à pleine bouche que nos langues se mélangèrent tandis que ses mains pétrissaient amoureusement mes seins par-dessus ma robe. Je sentais la boursoufflure de son sexe plaqué contre mon ventre, je le pressais fortement en l’enserrant de mes mains plantées sur ses reins.

- Viens, j’ai vu un champ un peu plus loin.

Nous ne fîmes que tout juste cent mètres avant de franchir un fossé et se retrouver dans un champ bordé d’arbres, où des rouleaux de pailles y étaient disséminés. Nous allâmes au premier rouleau venu, à l’opposé de la route. Romain me prit dans ses bras pour réitérer un baiser fougueux tout en glissant une main sous ma robe puis me caressa l’entre cuisses, ses doigts s’insinuèrent sous le tissu de mon string pour fouiller ma vulve humide. Il me faisait jouir de ses phalanges expertes alors que son autre main faisait glisser la bretelle de ma robe pour découvrir mon sein. Sa bouche abandonna la mienne pour se délecter de ma mamelle au téton turgescent. 

De tant de caresses habiles, je me mis à gémir pour mon premier orgasme. J’étais à lui, des personnes auraient pu nous voir, que je ne les aurais pas vues tant j’étais enivrée de cette luxure. Je me laissai glisser contre son corps pour m’agenouiller. Je déboutonnai sa braguette pour en extraire une verge tendue dont je ne pris pas le temps de contempler tant mon envie de sexe prenait le dessus. Je la pris jusqu’au fond de ma gorge avant de la lécher sur sa longueur, puis jouer de ma langue sur son gland. Il me prit par la nuque et commença à baiser lentement ma gorge. Des effluves de sperme se mélangèrent à ma salive et suintèrent aux commissures de mes lèvres.

- Relève toi, et tourne-toi contre le ballot de paille !

Je m’exécutai. Il retroussa ma robe sur mes reins et me débarrassa de ma culotte. J’appuyai mes mains sur la paille et je me cambrai. Romain s'accroupit, m’écarta mes fesses pour se fourvoyer dans ma vulve à coup de langue, en n’omettant pas d’honorer mon anus offert. 

Après avoir bien lubrifié mes lèvres pourtant déjà humides, il se redressa et plaça sa verge tendues entre mes cuisses pour se masturber, de ma main je la plaquai contre ma vulve déjà ruisselante de désir. N’y tenant plus, je guidai son gland entre mes lèvres et je perçus la douce sensation du membre me posséder.

Je me mis à haleter et à gémir de plaisir. Me tenant par les hanches il me baisait du plus profond qu’il pouvait, ses testicules battaient contre mes cuisses à chaque assaut. Tout en me prenant comme une chienne lubrique, son pouce glissa le long de ma raie et vint s’insinuer dans mon anus pour décupler ma jouissance. Je l’encourageai en me cambrant davantage et en le suppliant par des « encore », « prends-moi plus fort »… 

J’avais des orgasmes répétés qui secouaient mon corps de soubresauts. Puis Romain se raidit, il se retira de mon ventre et dans un râle retenu, son sperme éclaboussa mes fesses, et ruissela dans ma raie puis dégoulina entre mes cuisses. L’aliénation de luxure qu’avait déclenché la jouissance de Romain et de sentir sa semence sur ma peau, fit que toujours dans cette position d’offrande, je me mis à me masturber en enduisant ma vulve de son sperme qui perlait à mon périnée. 

Il s’enduisit deux de ses doigts du sperme qui maculait mes reins, et me les enfonça dans ma rosette violacée. Je ne pus retenir mes cris de jouissance sans doute trop sonores. Anéantie, je tombai à genoux, haletantes.

Je repris mes esprits, et je m’aperçus avec un certain effarement que je n’avais pas pris mon sac à main, que je n’avais sur moi que ma robe et mon string ! Je sacrifiai ma culotte pour essuyer mes reins et mes cuisses, mais l’abondance de sperme à ôter par rapport à ce cache-sexe, fit que je repartais nue sous ma robe, poisseuse de liqueur séminal et surtout répandant une odeur qui ne laissait aucun doute.

Dans cet état, je décidai de rentrer prendre une douche plutôt que de rejoindre mon mari, bien que j’appris plus tard que Sabine lui ait donné ses faveurs. Romain s’en retourna seul, prétextant que nous nous étions égarés et que souffrante j’étais rentrée. 

A suivre...

mercredi 25 octobre 2023

Changements de vie pour Jessica Ch.06

Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

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Leur plaisir pour ma récompense.

Daniel me rend mon sourire et me détaille alors que je suis complètement nue au milieu de sa cour avec seulement mes sandales à talons dorés.

- Tu es excitée Miss Allumeuse ? N'est-ce pas ? Rigole-t-il.

- Oui Monsieur. Dois-je avouer complètement penaude.

- En fin de compte, tu n'es qu'une femme d'affaires assez âgée qui aime bien l’exhibitionnisme devant n’importe quel homme. Pas vrai ?

Il continue de se moquer de moi alors que je ne peux rien faire d'autre que regarder le sol fixement tout en étant honteusement émoustillée.

- Montre-nous combien tu es excitée petite chatte !

ll veut me faire mourir de honte. Je voudrais disparaître alors que j'écarte les jambes et que je tends la main. Je passe mes doigts dans ma chatte humide et brûlante. Puis je lève la main et montre mon jus de chatte qui scintille sur mes doigts. J'ai l'impression que mes genoux vont me lâcher. Je suis réduite à une flaque de désir devant ces jeunes latinos.

- Tu veux jouir Miss allumeuse ? Tu veux jouir pour nous tous ? Demande Daniel.

Je sais à quel point mon stagiaire se réjouit de me dégrader de la sorte. Mais je suis trop excitée pour me mettre en colère. A ma grande consternation, il a raison. Je suis dans le besoin, je veux désespérément jouir. 

- Oui Monsieur Daniel, s'il vous plaît, faites défoncer votre salope comme une pute. Dis-je d'une voix étouffée.

- AAAAAAAHHHH ! Crié-je la seconde suivante.

Daniel a pris le tuyau d'arrosage et l'a dirigé vers mon « gros cul ». Il m'arrose d'eau froide. Il me fait pencher en avant, le dos face à ses copains pendant qu'il continue à rincer mon cul. Je dois écarter mes fesses, puis les petites lèvres de ma chatte afin qu'il puisse atteindre les moindres recoins avec l'eau. Il m'oblige à montrer mes parties les plus intimes au groupe de latinos. Bizarrement, l'eau froide qui tombe sur la chair rose et douce de ma chatte ne fait qu’accroître le feu qui brûle en moi.

Puis je dois me retourner et me mettre à genoux, les mains derrière la tête. De cette façon mes gros seins fiers ressortent de manière attrayante. Daniel arrose ma poitrine abondamment, en prenant grand soin de mes mamelons. Un simple coup d’œil sur mes tétons dressés révèle mon état d'excitation avancé.

- Oh ! … Oh ! … Oh !

Je gémis à chaque fois que le jet frappe un mamelon.

- OOOOHHHHH !

Je gémis encore plus fort quand Daniel baisse le jet vers le bas et le dirige sur ma chatte. Je sens l'eau froide picoter mon sexe comme si c'était de l'eau gazeuse. Mes jambes tremblent comme si des courants électriques les traversaient. Des soubresauts de plaisir explosent dans mes reins. Et puis, tout d'un coup, le jet a disparu. Je grogne de désespoir.

- Tu veux jouir Miss allumeuse ? Me provoque encore Daniel.

- Ouuuiiii Monsiiieeuur, s'il vous plaîîîît, Monsieur daniiiieeel ! Le supplié-je d'une voix presque incohérente.

Ma supplication se transforme en un long gémissement lorsque le jet d'eau froide frappe ma chatte de nouveau avec force. Chaque fois qu'il touche mon clitoris sensible, mon gémissement monte dans les aigus. Je ne peux plus m'empêcher de gémir.

En me penchant en arrière, les mains toujours jointes derrière la tête, je pousse ma chatte en avant pour bien sentir le jet d'eau. Puis je remue mes hanches sous le jet de liquide. Je suis sûr que j'ai l'air d'une vraie salope, mais je ne peux pas me contrôler. Je pousse ma chatte vers le jet de liquide aussi loin que je peux.

Avec ses copains excités, Daniel s'amuse avec sa salope désespérée. Pendant quelques secondes, il dirige le tuyau sur ma chatte, pour l'enlever quand j'avance frénétiquement mon bassin. Quand je reviens en place, il remet le jet sur ma chatte pour me faire gesticuler.

- OH ! Putain ! OOOHHHHHH !

Après trois allers-retours, mes yeux roulent dans ma tête et tout mon corps se met à trembler de manière incontrôlable.

L'orgasme m'envahit comme de la lave chaude. Ça commence par une éruption au niveau des reins qui me fait claquer des dents et qui s'étend à toutes les fibres de mon corps. Je jouis, agenouillée dans l'herbe, Daniel pointant le jet d'eau froide sur mon clitoris.

Lorsque finalement ma jouissance s'éteint, je m'effondre dans l'herbe, épuisée comme si je venais de terminer un marathon. Mon cœur bat très fort dans ma poitrine et ma respiration est lourde et difficile après cet effort. Portant, je suis applaudie par la bande de latinos. Daniel en profite pour se moquer de moi :

- Hé bien ! Hé bien ! Jouir dans ma cour devant les yeux de mes potes, ça fait quoi de toi, petite chatte ?

- Ça fait de moi une grosse salope et une pute Monsieur. Une salope qui jouit en public et une pute qui veut profiter de l'attention de vos copains. Réponds-je en rougissant.

La honte me ronge alors que j'avoue être une salope. Daniel et ses copains continuent de m'humilier et me dégrader Pourtant, au lieu de préserver ma fierté et mon honneur, j'avais eu un orgasme. J'avais joui devant eux tous comme une vraie salope.

- Ouais une pute à gros seins, voila exactement ce que tu es ! Se réjouit Daniel.

- je crois que cette salope a prouvé qu'elle pouvait être la meilleure pute de gang avec son gros cul de vieille. Vous n'êtes pas d'accord ? Plaisante Garcia.

Les autres gars se sont joints à lui pour continuer de se moquer de moi. Ils mettent à chanter en chœur : « C'est la meilleure pute du quartier ».

Quand leurs rires cessent enfin, Daniel me dit :

- Allez poupée, agis comme une bonne pute et remercie mes copains pour l'attention qu'il te porte.

Après mon orgasme, la brume qui avait envahi mon cerveau commence à se dissiper. Je suis plus motivée par la possibilité de supprimer une autre photo que de dire merci à ces bâtards. Toutefois je ne dis rien et je me lève. Ma peau brille sous le soleil couchant alors que je me dirige vers les trois latinos.

Ils sont tous assis sous le patio, la bite à l'air. Au moment où je me place devant eux, de la musique forte démarre. Daniel a allumé une grosse radio et de la musique hip hop en sort. Il me jette :

- Allez Miss allumeuse ! Montre à mes copains que tu mérites ton nom.

Son ordre me met en mouvement. Après le lavage de la voiture, il m'est facile de quitter ma posture fière et impertinente. Je commence à faire les cent pas devant les trois jeunes intimidants. Je m'applique à avancer en plaçant un talon doré directement devant l'autre tout en cambrant ma poitrine et en relevant la tête.

Finalement je m'arrête devant Lucio. Je balance mes hanches d'un côté à l'autre au rythme de la musique. Puis en faisant rouler mon cul lascivement, je visualise mentalement un huit et je laisse mes hanches en dessiner les contours. Puis je me retourne et refait les mêmes mouvements devant la tête du gars musclé. Je pousse mon derrière jusqu'à ce que mes fesses le touchent presque. Mais je fais demi-tout avant que ça ne se produise.

Face à lui à nouveau, j'écarte les jambes et je m'avance au-dessus de ses genoux. Puis je bouge mes hanches tout en pliant lentement mes genoux. Juste avant que ma chatte nue ne touche son ample short noir, je me redresse. Puis je mets mes mains sous mes seins pour les soulever et je les pousse contre son visage pour lui permettre de sentir ma peau douce.

Au moment où il lève les mains pour toucher ma poitrine, je me redresse et je m'éloigne. Quand je me dirige vers Garcia, Lucio me donne une claque sur le cul qui fait trembler mes fesses.

- Cette salope à un vrai cul à baiser ! Miss Allumeuse est un nom parfait pour cette pute. S'exclame-t-il.

Je ne sais pas si je dois être fière ou dégoûtée par sa remarque qui encense ma prestation de danseuse. Quoi qu'il en soit, je répète mes mouvements pour Garcia et Franco. Ma danse devient de plus en plus réussie et de plus en plus effrontée. Lucio a raison. Je me sens comme une vraie allumeuse qui taquine les hommes comme une pro. Je me sens obscène et vicieuse mais tellement excitée. La puissante femme d'affaires est devenue une strip-teaseuse pour des jeunes latinos grossiers afin de récupérer des photos qui pourraient mettre fin à sa carrière. Je sais que c'est un mal nécessaire. Mais ça me laisse quand même un arrière-goût amer dans la bouche.

Après avoir attisé la concupiscence de chaque latino, je me replace devant Lucio. Je regarde sa longue queue dure. Sa taille est impressionnante. Merde, je commence à baver. Me conduire en salope a réveillé mon désir. C'est embarrassant de sentir à quel point je veux son membre à l'intérieur de moi. C'est embarrassant de sentir à quel point je veux désespérément jouir à nouveau.

J'écarte les jambes et je me replace au-dessus des genoux de ce voyou intimidant qui porte toujours son ridicule chapeau. Cette fois, je saisis sa queue et je m'abaisse dessus. Ma chatte est si humide que la bite de Lucio glisse facilement à l'intérieur de mon ventre. Sentir ma chatte s'étirer autour de la chair de son poteau est une sensation merveilleuse qui me fait gémir.

Je chevauche le gros membre bien raide de ce gars musclé et je le laisse tripoter mes gros nichons. Il les malaxe grossièrement, déformant la chair de mes seins dans toutes les directions. Il est tellement concentré sur ma poitrine qu'il me laisse faire tout le travail.

Je monte et descend sur sa queue au rythme des battements de la musique hip hop. En raison du tempo élevé, mes jambes sont vite fatiguées. Comme il faut que je les repose pendant une seconde, je laisse mon corps tomber complètement sur ses genoux. Son membre s'enfonce totalement dans ma chatte. Lucio n'est pas loin de jouir. Il a été tellement excité par le spectacle du lavage de voiture ainsi que ma danse lascive qu'il ne peut plus tenir. Il me soulève pour sortir sa queue et il me pousse sur mes genoux.

Il attrape rudement mes longs cheveux châtains et me fait lever les yeux. Comme au ralenti, je vois une énorme décharge de sperme sortir de sa bite et je la regarde voler dans les airs en formant une large arche. La semence visqueuse et épaisse tombe sur mon front. L'impact me fait tressaillir. Plusieurs autres éclaboussures de sperme s'abattent sur moi, recouvrant mes joues avant que les couilles du jeune homme soient vides.

Beurk, quelle quantité de sperme ! J'ai l'impression d'être tellement collante que j'en frissonne.

- N'ose pas toucher le cadeau que l'on te fait, pute de quartier ! Tu l'as mérité, alors porte-le fièrement salope ingrate ! Ordonne Daniel quand je tends la main pour enlever le foutre gluant de mon front. 

- Oui Monsieur ! Dis-je à la hâte en baissant la main.

Puis je remercie Lucio :

- Merci Monsieur de m'utiliser comme un sac à foutre.

Les gars applaudissent. Merde, pourquoi que je me traite de manière aussi vulgaire. Ça m'est venu comme ça ! Sac à foutre ! Où diable avais-je appris ce terme ? Je crois qu'il vaut mieux que je n'y pense pas.

Tandis que les rires moqueurs de la bande résonnent dans mes oreilles, je m'approche de Garcia. Je lui tourne le dos et je secoue mes fesses de façon vicieuse. Je fais bouger mon cul jusqu'à ce qu'il me tapote la fesse droite. Je prends ce geste comme une demande urgente et je recule au-dessus de ses genoux. Saisissant sa queue, je la guide vers ma chatte humide et envieuse. Je la remplis avec son gourdin de chair.

Cependant, Garcia ne me laisse pas faire le travail. Au lieu de ça il agrippe mes cuisses et me soulève du sol. De cette façon je me tiens impuissante dans les airs pendant qu'il pilonne ma chatte avec sa bite. Il me frappe violemment encore et encore, faisant trembler mes jambes impuissantes alors que mes seins rebondissent et que le sperme épais et gluant de Lucio coule lentement de mon front sur l'arête de mon nez et sur mes joues.

- Oh… Ahhhh…. Ooooaaaahhh ! 

Je ne peux m'empêcher de gémir au rythme de ses coups de boutoirs.

Garcia me baise avec une telle vigueur et puissance que sa queue commence à fatiguer. Il lâche mes cuisses et me pousse en avant. Je suis presque tombée le nez sur le patio, mais le latino me rattrape par ma longue chevelure. Il me retourne.

Une fois de plus, je m'agenouille devant une queue qui vient de me baiser et je vois une épaisse charge de sperme s'en échapper. Garcia a dirigé sa bite vers le bas et arrose ma grosse poitrine avec son sperme blanc et gluant. Chacun de mes seins est recouvert par l'épais liquide. Mon corps tressaute sous l'impact. Il pulvérise les dernières gouttes entre mes nichons.

Je n'ai pas besoin que Daniel me dise quoi que ce soit cette fois. Je ne touche pas le sperme sur mon corps. Il est évident que les gars veulent recouvrir de semence leur nouvelle pute de quartier. Ma peau gluante me donne l'impression d'être un gâteau avec un glaçage.

- Merci Monsieur d'utiliser cette salope comme un sac à foutre.

Je remercie Garcia avant de me diriger vers le dernier latino.

- On dirait une pute de chantier. Remarque Franco tandis que je me tiens devant lui, du sperme collant coulant de mon front et pendant de mes seins en gros fils blancs.

Pendant une seconde, une boule se forme dans ma gorge. Il ne va pas me baiser ! Je suis trop sale pour qu'il me touche ! Je n'arriverai pas à faire supprimer une autre photo ! L'idée de ne pas me faire baiser par ce voyou me bouleverse. C'est ridicule non ? Mais à ce moment, je suis perdue.

- Je ne veux pas que mes vêtements soient salis, Allonge-toi là-bas la pute ! Me demande Franco en tendant le doigt.

Je suis son doigt qui me montre la table de jardin. Je me souviens alors du plombier me poussant sur ma propre table de jardin et m'enculant. Instinctivement, je serre les fesses.

Toutefois, je m'approche de la table et je m'allonge sur le dos. L'humiliation que m'a fait subir ce jeune voyou en me disant que je suis trop sale pour être touché imprègne toujours mon esprit. Pourtant, je ne suis que plus disposée à lui plaire qu'auparavant. Je replie mes jambes jusqu'à ce que mes genoux touchent presque mes gros nichons. Mes talons dorés sont dans les airs. Je pose mes mains sur mes cuisses pour me stabiliser.
Ma pauvre chatte est totalement exposée devant le latino.

Franco se lève lentement de sa chaise et se dirige tranquillement vers moi. Pendant quelques instants, il regarde ma chatte exposée. Je me sens tellement impuissante. Je suis allongée là, les jambes écartées, du sperme séchant sur mon visage et sur mes seins. Je ne peux rien faire d'autre qu'attendre le bon vouloir de franco qui m'inspecte comme il inspecterait un morceau de viande dans une boucherie.

Doucement il pose un doigt sur mon clitoris. Il commence à frotter mon bouton sensible, me faisant ainsi gémir et trembler. Ça ne fait qu'augmenter mon sentiment d'impuissance. Finalement, il pose sa bite sur ma fente scintillante et humide. Il la frotte de haut en bas sur les petites lèvres de ma chatte, me faisant encore gémir. Je ressens le besoin de pousser mes hanches et d’engloutir le gros gourdin de chair avec mon sexe. J’ai tellement envie d’une bite !

D’un seul coup, Franco s’avance et enfonce son engin tout au fond de mon ventre. L’idée récupérer les photo compromettantes sort momentanément de mon esprit. Je ne peux plus que gémir sous les coups énergiques du latino. Il martèle ma chatte violemment en s’aidant de la totalité se son poids à chaque coup de rein. Il passe mes chevilles au-dessus de la tête pour obtenir une meilleure pénétration. 

- Cette chatte est complètement inondée, les gars. Dit Franco en claquant ma chatte.

Je rougis profondément quand il ajoute :

- Tu as vraiment trouvé une grosse pute Daniel. Je crois qu’elle aime bien être la pute de notre gang. Dans quelques semaines elle sera la pute du quartier. Elle nous suppliera pour que les voisins la baisent. Ah ah ah !

Je déteste la façon dont il me traite verbalement. Toutefois, comme pour approuver ses dires, des bruits de succion sortent de ma chatte à chacune de ses entrées dans ma chatte. Je sens mon jus couler le long de mes cuisses et un autre orgasme se construit dans mes reins. Mais avant ma jouissance, le jeune voyou retire sa queue. Il tire sa charge de sperme sur ma chatte rasée et mon ventre. Maintenant je suis complètement couverte de foutre.

Daniel contemple mon visage, ma poitrine et ma chatte couverts de sperme et de sueur. Il dit alors :

- C’est un moyen génial d’initier une pute de gang. Maintenant nettoie-toi Miss Allumeuse.

Tandis que Franco se laisse tomber sur une chaise, je commence à récupérer le sperme froid et gluant sur mon visage. Il a un goût horrible. Alors je me dépêche d’y ajouter le foutre sur mes seins et ma chatte avant que ça ne sèche. J’ai du mal à tout avaler, mais je le fais en trois fois.

Alors que je m’assieds sur la table de jardin, Daniel s’approche de moi avec son téléphone portable à la main. Il me montre quatre photos : Moi agenouillée devant la piscine avec un verre d’eau, moi dans la même position mais avec l’eau éclaboussant mes seins, moi plongeant mes seins dans la piscine tout en exhibant ma chatte et moi à genoux devant le plombier, sa bite entre mes seins.
Après avoir effacé les photos, Daniel laisse le portable glisser dans la poche de son pantalon.

Je sens une énorme vague de soulagement m’envahir. Tout ce que je viens de faire a porté ses fruits. J’ai réussi à faire supprimer quatre photos. Même si mon plan n’est pas complètement réussi, la journée n’est pas perdue.

La vue du téléphone de Daniel me redonne courage. J’ai encore une mission à accomplir. Je me force de ne pas tenir compte des fourmillements dans ma chatte pour me concentrer sur la tâche. J’élabore un plan que je vais mettre en pratique.

Les copains de mon stagiaire sont rentrés dans le salon et ont allumé la télévision. Il y a un match de foot qui attire toute leur attention. Jouant les bonnes salopes, je vais dans la cuisine pour aller chercher trois bières. Mon esprit de femme d’affaires intelligente et cultivée me gronde. Ils viennent de me baiser et, en remerciement, je vais leur chercher des bières comme une esclave dévouée. Toutefois, je repousse ces pensées en rationalisant mes actions dans le cadre de mon plan. Je n’ai pas le temps de m’appesantir sur les émotions contradictoires qui me traversent l’esprit. J’ai un plan à mettre en route.

Je remets à chacun des trois copains de Daniel une bouteille de bière et je reçois trois claques sur mon gros cul. Je prends ça comme une façon de dire merci à leur pute de gang. En tout cas, plus ils sont concentrés sur la télévision, mieux c’est pour moi.

Donc, après avoir distrait les trois latinos, je me tourne vers Daniel qui va chercher un paquet de chips à la cuisine.

- Votre salope ne vous a pas encore fait jouir Monsieur Daniel. Dis-je avec un sourire enjôleur sur mes lèvres.

Puis je me jette carrément sur lui pour l’embrasser à pleine bouche. Tout en entrant agressivement ma langue dans sa bouche, je passe mes mains sur sa poitrine et son dos. C’est la partie la plus importante de mon plan. Je dois prendre le dessus. Je ne peux permettre à Daniel de reprendre la main mise.

Je tire sur sa chemise encore et encore, et si fort que je manque presque de la déchirer en morceaux. Pendant tout ce temps je continue à embrasser mon stagiaire langoureusement. Après avoir enlevé sa sa chemise, je me baisse et je passe ma langue sur sa poitrine musclée sans poils.

J’agis comme une chienne en chaleur, mais ce n’est pas très difficile pour moi étant donné la tension sexuelle insatisfaite qui gronde dans mes reins. Bien sur, Daniel ne repousse pas mon approche agressive. Au moins il me laisse faire ce que je veux pour l’instant. Quand ma langue atteint son nombril, je me laisse tomber à genoux. Je peux voir sa queue dure essayer de transpercer son jean. Et je pense aussi à son téléphone portable dans la poche gauche de son pantalon.

j’attrape sa ceinture et je l’arrache complètement. Une seconde plus tard, j’abaisse son jean et je libère sa bite. Celle-ci est debout et bien raide. Je donne un coup espiègle de langue à son gland avant de lever les yeux sur le jeune homme.

- Mmmmmmm ! Enlevez votre pantalon, laissez-moi m’occuper de votre bite.

Mon plan fonctionne parfaitement car le latino n’hésite pas une seconde. Il retire ses baskets et enlève son jean. Je prends celui-ci de ses mains et je le jette dans un coin de la cuisine.

Avant que Daniel puisse dire un mot, je m’attaque à sa queue. J’attrape sa grosse bite à la base et je tire la langue pour lécher toute la longueur de sa hampe. Mon Dieu, j’adore la taille de cette magnifique queue veinée. Puis je lèche ses couilles. Enfin, je mets son gourdin dans ma bouche et je suce le gland.

Je fais une bonne fellation à mon stagiaire comme une gentille fille. Je ne me force même pas car sa queue me fait baver de convoitise. J’alterne constamment entre lécher sa tige, sucer en faisant tournoyer ma langue autour de son gland et bouger ma bouche de haut en bas sur sa bite. Je le suce comme une vraie championne. Les grognements de ce macho me font comprendre qu’il apprécie clairement mes efforts. Il est temps de commencer la prochaine phase de mon plan. Je relâche sa bite en lui donnant un dernier baiser.

- Suis-moi ! Roucoulé-je.

Je me lève, je me retourne et je pars. A chaque pas, je balance mes hanches afin de détourner le voyou de la cuisine. Je suis tellement excitée que mon côté vicieux apparaît. Enjôleuse, je pénètre dans une chambre et m’arrête devant le lit. Je ne sais même pas à qui est la chambre et ça n’a pas d’importance.

Toutefois, je ne m’allonge pas sur le lit. Au lieu de cela, je me mets à genoux sur le sol et je pose ma poitrine sur le lit. Et tout en tenant mes gros seins sur le lit, je lève mes genoux jusqu’à ce que je sois sur la pointe des pieds. De cette façon, tout mon corps n’est soutenu que par mes pieds sur le sol et ma poitrine sur le lit. Mon cul est complètement suspendu dans les airs.

Il s’agit d’une posture de soumission. Je ne sais pas d’où me vient cette attitude servile. L’idée est venue subitement et j’ai agi sur un coup de tête. Je continue même dans ma soumission en mettant mes mains derrière moi pour écarter mes grosses fesses. Ainsi mon trou du cul et la chair de ma petite chatte rose sont bien visibles.

J’entends un soupir derrière moi. Daniel est entré dans la chambre et regarde ma chatte exposée. Visiblement il aime ce qu’il voit. Ça l’incite à se dépêcher de venir entre mes jambes. La seconde suivante, il plonge sa grosse bite dure dans ma chatte envieuse. Il me pénètre si durement que mes gros nichons s’enfoncent dans le matelas.

Daniel n'est pas doux. Il commence à me pilonner rudement. Sa queue entre et sort de ma chatte rapidement pendant que je gémis la tête sur le matelas. Mes mains écartent toujours mes fesses afin de lui tenir mes trous ouverts. Je suis dans une situation où je suis impuissante. Avec le poids de mon stagiaire sur moi, je suis dans l'incapacité de bouger.

Houlala ! C'est la séance de baise la plus intense que j'ai jamais eu dans ma vie. Ma chatte est martelée avec une grande force. Le matelas est comprimé par mon corps et l'assaut violent du latino. J'ai presque peur que le lit s'effondre sous les coups de boutoirs de Daniel.

- Tu es une sacrée salope excitée hein ? Me lance-t-il.

- Oui… Ohhhh… Ouiiiii ! Continue…. Baise-moi… Est ma seule réponse.

Je suis complètement étourdie par l'assaut rude du Latino sur ma chatte. Je sens une explosion de plaisir monter en moi.

- Enfin, tu acceptes ton statut de vraie salope n'est-ce pas ? Continue Daniel pour m'humilier encore plus.

Il a raison. J'agis comme une vraie femme soumise. Mon comportement servile ne fait qu'alimenter mon excitation. Faire cela volontairement est nouveau pour moi, mais c'est incroyablement passionnant. Je me sens comme une vraie dévergondée. Je laisse ce garçon me baiser comme il le veut et j'en suis heureuse. Je crois que mes fantasmes les plus refoulés se réalisent. Inconsciemment, je balbutie :

- Ouiiii… Prends-moi comme tu veux ! Ohhhh… Fais de moi ta salope ! Oooohhh… Fais de moi ta pute !

Puis j'ai le souffle coupé. Mon stagiaire arrête de me baiser et sort sa queue de ma chatte. Instantanément, l'air froid frappe la chair sensible de mon sexe et me fait frissonner. Toutefois, je n'ai pas le temps de me plaindre. Daniel attrape ma longue chevelure châtain et tire dessus pour me remettre sur mes pieds. Mes jambes flageolent à cause du traitement reçu précédemment. Je tombe presque.

A la dernière seconde, le garçon saisit mes bras et me tient droite. Ensuite il tire mes bras en arrière et me fait pencher en même temps. Donc je me retrouve les jambes tendues et écartées, le torse penché en avant dans un angle de 90 degrés. Mes seins pendent lourdement et mes bars sont tirés dans mon dos. Daniel les tient solidement comme s'il tenait des rênes.

Encore une fois, je suis dans une position dans laquelle je suis complètement impuissante, incapable de bouger. Je suis complètement sous le contrôle de ce macho. Avec une traction sur les bras, il tire mon corps en arrière et ma chatte dégoulinante s'empale sur sa queue bien raide. Il glisse facilement à l'intérieur et s'enfonce profondément jusqu'à ce que ses couilles frappent ma chatte.

- Oohhhhh… Mmmmmm… Recommencé-je à gémir.

Daniel tient mes bras l'un contre l'autre par les poignets avec sa main droite. Il l'utilise pour tirer mon corps d'avant en arrière. C'est comme s'il utilise mon corps pour se branler. Je me sens complètement utilisée. J'ai l'impression d'être un objet, un simple morceau de viande. Et ça m'excite encore plus.

- Ouais, tu es une vraie chienne en chaleur ! Dit Daniel pour commenter mon gémissement.

CLAC !

Il vient d'utiliser sa main gauche pour déposer une grande claque sur mon gros cul. Je crie :

- Ouuuuuhhhh ! Mmmmm !

Mais ce cri se transforme vite en gémissement lorsque Daniel accélère le rythme de la pénétration. Il bouscule mon corps d'une façon si rapide que mes seins commencent à rebondir en rythme. Je voudrais tellement saisir mes mamelons et jouer avec, mais mes mains ne sont pas libres.

CLAC !

- Ouuuuuhhhh ! Mmmmm !

Daniel commence à me frapper les fesses à chaque fois que mon arrière-train vient heurter son entrejambe. Je peux sentir la chaleur envahir mes fesses. Je peux  les imaginer en train de changer de couleur pour un rouge bien vif. Mais je sens aussi que chaque claque envoie une décharge électrique dans mes reins.

Ma tête commence à tourner sous toutes les sensations qui m'assaillent. Ma chatte fourmille, mes fesses me brûlent, mes seins rebondissent et mon corps est bien tenu. Je ressens des picotements partout, qui me rendent folle de désir.

Et puis je jouis. Je jouis si fort que mon jus noie la bite de Daniel.

- AAAOOOOOOAAAAHHHH ! Crié-je de toute la force de mes poumons pour libérer le plaisir qui submerge mon corps.

Ma chatte tremblante serre la bite de Daniel. Mais celui-ci lâche mes bras et retire sa queue. Je suis tellement surprise par ce changement que je perds mon équilibre et que je tombe par terre tout en criant sous mon orgasme. C'est exactement dans cette position que me veut le latino. Je suis couchée sur le dos et je respire lourdement. Mes gros nichons se soulèvent lentement tandis que mon stagiaire s'agenouille près de mon visage.

Une seconde plus tard, il éjacule abondamment. Son sperme épais tombe directement dans ma bouche et étouffe mes gémissements. La quantité de foutre est si impressionnante que je manque m’étouffer quand il remplit ma gorge. Bientôt ma langue est noyée sous son liquide visqueux et blanc.

Après avoir fini, Daniel se laisse tomber sur le lit. Je reste allongée sur le sol, respirant difficilement. Mon orgasme avait été très puissant. Mais une petite partie de mon cerveau fonctionne toujours. Il faut que je rassemble mes idées. Je dois exécuter mon plan. Alors je me lève et dit au latino.

- Vous avez l’air épuisé Monsieur. Restez au lit. Voulez-vous boire quelque chose ? Je vais le chercher.

Je n’attends pas sa réponse et je sors précipitamment de la chambre en me dirigeant vers la cuisine. Le jean de Daniel est toujours là. Je l’attrape et je sors le téléphone portable de la poche du pantalon. J’ai de la chance, le téléphone est allumé et n’a pas de mot de passe. En parcourant la galerie d’images se trouvant dans l’appareil, je trouve les photos compromettantes. Toutefois, je n’ai pas le temps de les regarder en détail. Les copains de Daniel regardent le match dans le salon. Pour le moment ils sont occupés, mais ils pourraient entrer dans la cuisine à tout moment. Je me contente de supprimer les photos une par une. Puis je m’assure que les photos n’aient pas été enregistrées ailleurs sur le portable. Enfin, je remets l’appareil dans la poche gauche du pantalon.

Quelques minutes plus tard, j’entre dans la chambre avec deux canettes de soda à la main. Daniel ne soupçonne rien. Il reste quelques minutes supplémentaires sur le lit avant de rejoindre ses copains pour regarder le match. Il ne prête plus attention à moi.

Après avoir servi d’autres bières aux latinos, je ramasse mes vêtements dans la cour. Je laisse mon haut blanc qui est complètement déchiré. Vêtue seulement d’un haut de bikini dorée, d’un mini-short en jean et de talons hauts, je dit au revoir et je rentre à la maison.

Mon plan a fonctionné. Toutes les photos ont disparu. Daniel ne peut plus me faire chanter. Ça a été dur pour y parvenir et ces voyous m’ont vraiment humiliée. Pourtant je ne peux pas nier avoir pris du plaisir et avoir joui plusieurs fois.

A suivre...

lundi 23 octobre 2023

Les tribulations de Béatrice Ch. 08

Texte de Xmaster.
****

Son mari est de plus en plus dégoûté.

Sur le téléviseur on peut maintenant voir la femme qui porte sa main droite à son sexe et commence à y faire pénétrer trois doigts en fixant l'objectif...
 
- Ouais, comme ça... Ouvre-toi bien la chatte salope. 

La femme écarte ses doigts et dilate sa chatte. Un homme lui soulève les jambes, lui écartes les fesses, puis applique l'extrémité du plug contre la rosette.
 
- Fais nous un gros plan sur son trou qui pète... 

En moins de deux secondes, l'objet est planté dans l'anus. Un cri d'effroi puis un bruit sourd.
 
- Quand elle supportera ça sans gueuler, elle pourra se faire enculer par un éléphant !
 
- Fin psychologue ton ami arabe, il a senti qu'après les arabes, tu passerais au animaux... Putain ! Mais qu'est ce que j'ai fais au ciel pour avoir une telle traînée ! Merde ! 

Et Richard commence à avoir les yeux embrumés par des larmes.
 
- Je ne sais plus comment te demander pardon... Mais je t'assure que c'est toi que j'aime... Je suis sûre qu'il m'ont droguée...
 
- Ben tiens ! L'excuse de l'alcool ne te suffit plus maintenant ? Ferme ta gueule ou je t'en remets une, salope... 

Ne sachant plus comment réagir, la pauvre femme fixe les images qui passent sur le petit écran, elle se revoit ainsi attrapée par les bras et descendue de la table...
 
- Marche un peu dans la pièce qu'on voit comment tu t'en tires.
 
- Non, je ne veux...
 
- Ta gueule pouffiasse, quand on te faisait le cul pour ton petit plaisir de vieille bourge, tu faisais moins la fière...
 
- Mais vous n'avez...
 
- Ferme ta gueule, sinon on te fout une de ces raclée, que tu t'en souviendras toute ta vie de pute... 

Un homme lui fait glisser sa robe. Elle se voit marcher à petits pas vers le canapé...
 
- Reviens ici maintenant vieille chienne. 

Elle revient vers la caméra... Un homme tire une chaise en arrière.

- Viens t'asseoir ici... 

Béatrice s'assoit... Encore quelques mots en arabes...
 
- Tu vas nous laisser ton numéro de téléphone fixe ma pute...
 
- Mais...
 
- Pas de "mais" qui tienne, tu nous donnes ton téléphone, un point c'est tout. 

Un stylo et une feuille de papier sont posés sur la table devant elle.
 
- Voilà, tu nous laisses ton numéro qu'on puisse t'appeler quand on aura envie de se vider les couilles.
 
- J'm'en souviens plus...
 
- Attention! On vérifie tout de suite, et si ce n'est pas le bon numéro, on t'attache et te fouette jusqu'à ce que tu finisses par donner le bon... Te voilà prévenue pauvre conne... 

Elle note son numéro sur le papier. Des paroles en arabe puis quelques instants de blancs sonores.
 
- Bien, une vieille bourge comme toi ça doit avoir un portable, allez, tu le notes aussi. 

Elle note à nouveau...
 
- Pour le cas où il faudrait venir te chercher, tu vas nous noter également ton adresse exacte. 

Elle note encore...
 
- Et le code de la carte bleue ? 

Cette fois la voix de Richard est terrible. Il attend quelques secondes, puis poursuit : 

- Tu me diras, ils auraient eu plus de mal à tirer dix mille Euros avec la carte ! 

Le film continue :
 
- Parfait ! Nous on a bien mérité un bon whisky, tu vas nous le servir.
 
- Mais !

- Dans le bar du meuble, allez, magnes toi le cul ! 

Des phrases en arabes...
 
- Je peux avoir ma robe ?
 
- Non, je la garde en souvenir, on te ramènera chez toi, mais nue.
 
- Mais !
 
- J'ai dit non connasse ! 

Une grande claque sonore.

- Mets-toi à genoux devant moi salope. 

La femme s'agenouille. Des paroles en arabe... L'homme fait boire la femme...
 
- Bois pétasse, comme ça, quand on te lâchera devant chez toi, nue comme la grosse pute que tu es, tes voisins pourront se rendre compte que tu es aussi une poivrote... 

Béatrice est violemment repoussée et tombe par terre.
 
- Va chercher les capotes qui traînent sur la table vieille pute. 

L'objectif suit la femme qui se déplace en faisant un gros plan sur l'anus et le plug qui s'y trouve enfoncé. Rires... Elle revient avec les préservatifs.
 
- Mange-les ! Je veux que tu les gardes en bouche jusqu'à ce qu'on te ramène chez toi, ainsi, tu auras la véritable haleine des putes en fin de soirées...
 
- Non !
 
- Ta gueule, sinon t'en prends une, et une bonne encore... Si ça se trouve, ça excitera ton mari !
 
- Pitié...
 
- Pas de pitié pour les vieilles putes qui trompent leur mari ! tu restes debout devant nous, tu gardes les capotes en bouche et tu la fermes, les hommes boivent, toi tu trinques, compris ?
 
- Oui...
 
- Salope ! c'est donc ça que tu crachais quand je t'ai recueillie ! 

Béatrice est prise de convulsion tant ce qu'elle voit la choque, pourtant, elle sait pertinemment que tout ce qu'elle a vu, tout ce que son mari a vu, n'est que réalité. Dans une longue plainte elle balbutie encore :
 
- Si tu savais... Comme je regrette...
 
- Bouffer les capotes ! J'y crois pas ! 

Les images se remettent à défiler après un léger blanc indiquant qu'il y a eut arrêt de la prise de vue. Gros plan sur l'entre-jambe de Béatrice en plan fixe. Elle pisse pendant une bonne minute, puis finit par se pisser dessus. Nouveau blanc, le caméscope a été coupé puis rallumé. Nouvelles séquence, Béatrice en train d'éponger sa propre urine. Gros plan sur son visage.
 
- Ouvre la bouche que je vois que tu as toujours tes capotes... 

Elle se remet debout.
 
- Tourne-toi et penche-toi en avant que je vois une fois encore si le plug est bien en place. 

Elle se tourne et se penche en avant.
 
- Je suis sûr que ton mari va apprécier de te retirer ton plug tout à l'heure. Remarques, ça lui donneras peut être quelques idées neuves pour te dresser... Bon, allez les gars, on ramène cette vieille pute chez elle, j'ai envie de me coucher et de dormir un peu. 

Béatrice se redresse et se dirige vers la table, elle est bloquée.
 
- A poil ! je t'ai dis que je te ramène à poil, t'as pas encore compris ce que veux dire : A poil ?
 
- pitié... 

Une grande gifle.
 
- Tu voulais te faire des arabes, bon, on t'a fait jouir, bon alors ! maintenant ce sont nos conditions, un point c'est tout !
 
- Mais je ne peux pas... 

Une nouvelle gifle.
 
- A poil comme la vieille pute que tu es ! 

Fin du film. Richard ne peut décrocher son regard de l'écran noir zébré de fins traits blanchâtres. Il reste perdu dans ses pensés à se demander comment la femme, avec qui il vit depuis presque trente ans, a pu se laisser aller à de tels actes ? Comment cette femme fière et orgueilleuse a pu être humiliée de la sorte ? Comment cette femme réfléchie habituellement a bien pu mettre ainsi en péril leur couple ? Comment cette femme a pu aller jusqu'à oublier ses propres enfants ? Et si les images qui défilaient sur l'écran lui amenaient une haine et une violence dont il ne se serait jamais cru capable envers son épouse.

Maintenant, cette haine a fait place à un dégoût, un profond dégoût. Il se relève et va sortir la cassette du magnétoscope. Béatrice pleure. Quand elle voit son mari reprendre la vidéo et se diriger vers la porte, elle supplie encore :
 
- Pardon mon chéri, ne me laisse pas je t'en prie, je suis trop mal là...
 
- Tu me dégoûtes...
 
- Non ! Pitié ! Comment puis je réparer mes fautes ? Pitié !
 
- Je ne sais pas, je ne sais même pas si c'est possible en fait...
 
- Oh si ! Il le faut... Je t'aime et je veux réparer, je t'en supplie, crois moi. 

Mais l'homme n'écoute déjà plus et sort de la chambre. il se rend dans son bureau et range précautionneusement la vidéo. Il prend un roman policier et commence à lire. Son esprit est ailleurs, le livre ne le captive pas. il entend sa femme pleurer à nouveau et se demande si effectivement elle pourrait racheter ses fautes, et comment. Les images qu'il vient de visionner tournent dans sa tête, et chaque image est une source d'humiliation pour lui. bientôt, cette haine sourde revient le hanter. Il pose son livre, se relève et retourne dans la chambre.
 
- Je ne sais plus comment te demander pardon. Implore l'épouse avec sa voix cassée par les pleurs et ses yeux rougis.
 
- Pour commencer, je veux voir ton trou du cul...
 
- hein !
 
- Tournes-toi et montre-moi ce trou du cul ! 

Ne voulant pas envenimer une situation qu'elle a tout de même provoquée, Béatrice replie le drap et se tourne sur le ventre.
 
- Écarte les jambes. 

Docilement, Béatrice tend ses jambes et les écarte, dévoilant ainsi impudiquement son anus brun légèrement fripé et encore ouvert suite au traitement du plug de l'avant veille.
 
- Hum ! 

Le ton est ironique. Quelques secondes s'égrainent puis Richard enchaîne : 

- Je te signale que tu as encore le cul ouvert !
 
- Je m'en doute, je le sens encore.
 
- Finalement, ce sont tes amis qui avaient raison, un trou bien ouvert entre tes petites fesses flasques, ça fait tout de suite plus pute !
 
- Oh non ! Pas toi, pitié ne me traites pas de pute mon chéri.
 
- Dis donc ! Qui est-ce qui s'est fait filmer l'autre nuit ? Toi ou moi ?
 
- Aide-moi, je t'en supplie !
 
- Bien sûr... Et comment va-t-on faire pour payer cette somme ?
 
- Je vais prendre un crédit à mon nom, je te promets de faire des heures supplémentaires pour le rembourser... Toute seule.
 
- Là c'est clair ! Il n'est pas question que toute la famille paye tes turpitudes !
 
- Non bien sûr, je me rends bien compte...
 
- Tais-toi! on n'est pas là pour parler gros sous, tu veux pouvoir me demander pardon, c'est bien ça ?
 
- Oui chéri...
 
- Hé bien pour commencer, tu vas dormir avec le gode dans le cul.
 
- Oh non ! Pas ça !
 
- Tu préfères le divorce pour faute ?
 
- Non ! 

Cette fois c'est un véritable cri de désespoir qui sort de la gorge de la pauvre femme.
 
- Bon alors, à partir de ce soir, tu dormiras tous les soirs avec le gode dans le cul...
 
- Oh non !
 
- Ferme la ! Vieille pouffiasse en chaleur... 

Sa culpabilité est telle que Béatrice finit par se taire et par accepter ce que son époux exige. L'homme va prendre le plug dans l'armoire, là même où il l'a caché le dimanche matin. Il le jette sur le lit juste à côté de la tête de son épouse, et annonce :
 
- Tu vois, je suis moins dégueulasse que tes amis arabes, moi je vais aller chercher un peu de vaseline pour que tu ne souffres pas trop. 

Puis il sort de la chambre. La pauvre femme se sent salie à nouveau, comme lorsqu'elle a été obligée d'uriner devant ces monstres. Elle pense aussi beaucoup à cette fichue cassette, à tout le mal qu'on pourrait lui faire à elle en la diffusant, mais aussi à sa famille, pour son mari, c'est déjà fait. Elle se rend compte de la douleur qu'il éprouve, elle sait pertinemment qu'elle l'a trompé au-delà de tout ce qu'il aurait pu imaginer, et cette idée lui est insupportable. Elle entend la porte de la chambre s'ouvrir.
 
- Voilà, je vais m'occuper de ton cul de putain...
 
- S'il te plaît ! Pas ce mot là...
 
- Si ! Justement ! Et peut être même que cela te manquait que je ne te traite pas de pute ! 

L'homme s'approche du lit, ouvre le tube de vaseline et prend le gros plug en main. Il dépose le produit sur le bout de l'objet, puis sur sa partie la plus enflée. Béatrice ne bouge pas et ferme ses yeux. Se souvenant parfaitement de la douleur qu'elle a ressentie deux jours auparavant lorsqu'elle fut plugée pour la première fois de sa vie, elle essaye de se calmer et de se persuader que cette fois, son anus étant encore ouvert, elle ne ressentira pas la même brûlure. 

Maintenant que le jouet de caoutchouc est bien enduit de vaseline, il se baisse pour être à la hauteur du lit, prend la base de l'objet de sa main droite et écarte les fesses plates de son épouse. Richard présente le bout du plug sur le sphincter, puis dit :
 
- Rappelle toi ton tournage. 

A ce moment, il appuie fortement sur l'objet pour le faire entrer.
 
- Aie ! Tu me fais mal là !
 
- Cambre-toi salope, cambre-toi bien... 

Puis il appuie à nouveau, mais cette fois de toutes ses forces et le plug rentre en entier dans l'anus. La pauvre femme ne peut s'empêcher de pousser un cri de douleur à l'introduction de ce corps étranger qui lui déchire les entrailles.
 
- Ne crie pas! Franck va se demander ce qui se passe ici !
 
- Mais ça me brule... Ça me brûle !
 
- Ta gueule putain... Samedi soir tu faisais bien moins de simagrées.
 
- J'ai mal là Richard... Pitié, ne sois pas aussi pervers que ces salopards s'il te plaît mon chéri, implore encore la blonde.
 
- Ferme la et essaye de dormir, moi je vais dans mon bureau, j'ai pas vraiment envie de dormir avec une mangeuse de capotes usagées. 

Terriblement humiliée par ces dernières paroles, Béatrice se remet à pleurer une fois encore. Bientôt elle entend la porte de la chambre s'ouvrir, puis se refermer. Et comme la vive brûlure qu'elle vient de ressentir commence à s'estomper, elle n'ose pas faire ressortir le plug, de peur d'avoir à nouveau très mal. Elle reste ainsi, sur le ventre, les fesses à l'air, le cul rempli par le gros jouet de caoutchouc à attendre le retour de son mari. Une bonne demi-heure plus tard, alors que l'époux n'est pas revenu dans le lit conjugal, elle s'endort.
 
A suivre...

samedi 21 octobre 2023

Bizutage à la Fac - 5ème partie

Bande dessinée de Chris.

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A suivre...

jeudi 19 octobre 2023

Otages des Emeutiers

Texte de Elko (Géronimo)

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Je m'appelle Alain, je suis surveillant-chef à la prison de Saint-Quentin dans l'Isère. Une prison modèle qui « héberge » des criminels très dangereux. Aujourd'hui est un jour particulier car nous accueillons la Commission d'enquête parlementaire nommée par l'Assemblée Nationale et chargée de se rendre compte sur place des conditions de détentions dans les prisons françaises.

Curieusement, cette Commission est composée de femmes. Elles sont arrivées accompagnées par la Directrice de la Maison d'arrêt, Edith Mercier, ma patronne. Elle a la cinquantaine, blonde, plutôt pas mal. Ses longues jambes gainées de bas noir émergent de sa jupe anthracite classique. Les talons de ces dames résonnent dans les couloirs de la prison. Nous passons devant les détenus qui hurlent des injures à travers la porte de leurs cellules. Ce qui met mal à l'aise les membres de la Commission.

- Ne pourrait-on les faire taire ! Lance, agacée, Madame la députée Chantal Maraud.

Blonde également, veste blanche, jupe noire, bas clairs et talons aiguilles blancs, elle est plutôt sexy et je mate ses jambes pendant qu'elle avance dans le couloir.

- C'est vrai, c'est intolérable ! Renchérit Laurence Petit, juge d'instruction à la Cour d'Appel.

Moins sexy que la Députée, pensai-je. Petite, brune, jupe longue qui s'arrête aux mollets, chaussures à petits talons.

La troisième, une psychologue, Séverine, jupe courte sur des bottes à talons ne dis rien visiblement impressionnée par l'univers carcéral qui l'entoure.

Nous arrivons dans le quartier réservé aux délinquants sexuels et autres proxénètes. Edith présente à ces dames de la Commission, les deux autres membres du personnel pénitentiaire, Carlos et Franck, mes collègues. 

Madame la Députée demande à interroger des détenus. J'ouvre la porte d'une cellule au hasard. Il s'agit de Radovan et Stefan, deux proxénètes Albanais, tombés après que les flics aient démantelé leur réseau. Je reste bouche bée devant le spectacle qui s'offre a moi. Les membres de la Commission poussent des cris offusqués.

Radovan et Stefan, debout, sexe sorti de leur pantalon, se font tailler une pipe par des filles, à genoux entre leurs cuisses. Je comprends immédiatement ce qui c'est passé. Il est fréquent qu'en échange de bakchich, on fournisse des filles, des putes donc, aux prisonniers qui le demandent pour qu'ils puissent se soulager les couilles. C'est de la corruption, d'accord mais il faut bien vivre. 

Suite a un très mauvais concours de circonstances, certains de mes collègues n'ont pas du être prévenus de la visite de la Commission. Je jette un regard noir à mes collègues, je suis sûr que ce sont eux les coupables.

Dans le couloir, c'est le délire complet. Radovan et Stefan, aussi surpris que nous, reste les bras ballant et surtout la bite à l'air tandis que les deux putes que je connais bien, Douchka et Anouchka, des russes, se relèvent un peu énervées.

- C'est vrai quoi, on peut plus bosser tranquille ?

Le ton monte et ca dérape. Edith me foudroie du regard :

- Qui est responsable de ça ? hurle-t-elle, toute rouge.

- J'exige des explications ! hurle encore plus fort la Députée.

Les deux putes s'en mêlent.

- ça va arrêter de hurler les pétasses mal baisées !

Cris du coté des dames de la Commission, outrées. Un mot malheureux sort.

- Vous les deux putains, on vous a rien demandé !

Les deux putes sortent immédiatement et s'approchent de la Juge. La tension monte d'un cran. Les trois femmes se font face et la juge regarde Anouchka avec dédain. Elles s'injurient et soudain la juge gifle Anouchka.

La réplique ne tarde pas. Anouchka s'empare d'un sein a travers l'étoffe de sa robe grise et le lui tord méchamment ce qui arrache un cri à Madame la juge.

Je me précipite avec Carlos pour les séparer. Laurence et Anouchka se crêpent le chignon comme dans une cour de récré. Laurence tombe a terre et Anouchka, folle de rage, arrive à lui retrousser sa jupe longue découvrant des jambes magnifiques gainées de bas blanc accrochées à un porte-jarretelles. Je reste un instant déstabilisé par cette vision et Carlos s'arrête net aussi. Qui aurait pu se douter que Mme la juge sous sa jupe longue si austère était vêtue d'un attirail aussi affriolant ? Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences.

J'entends crier. Edith est au prise avec Douchka qui lui a arraché son chemisier en satin découvrant sa poitrine difficilement contenue dans un soutien-gorge en dentelle. Les deux proxénètes sifflent et faisant le tour derrière elle, s'empare de ses seins commençant a les malaxer. Edith rue, gesticule, se décoiffant. Radovan triture ses grosses loches en soufflant comme un bœuf pendant que Douchka s'agenouille et retrousse la jupe. Des bas noirs auto-fixant apparaissent. D'un geste preste, elle écarte le string et plonge ses doigts dans la vulve de Mme la Directrice qui ouvre la bouche sur un cri muet.

Toujours à terre, Anouchka et Laurence continue de se battre. J'ai renoncé à les séparer. Mme la juge se retrouve à quatre pattes, jupe troussée et Anouchka lui claquent violemment les fesses qui deviennent rouge et Laurence crie puis gémit. La situation semble changer d'un coup. D'ailleurs, aucun de nous ne songe plus à intervenir. Edith pousse un cri étouffé, un grognement plutôt. Douchka lui lèche la vulve avec entrain tout en la traitant de salope pervers.

La psy n'est pas en reste. Stefan la coince contre la porte de la cellule et il lui force les lèvres avec sa langue pour l'embrasser tous en tentant de lui remonter sa jupe. On entend plus maintenant que des cris, des gémissements, des supplications. J'ai une trique d'enfer et rien qu'a regarder Carlos et Franck, je comprends qu'ils sont aussi excité que moi par cette situation et nous pensons tous les trois la même chose.

Pourquoi ne pas en profiter ?

Stefan a réussit à relever la jupe. Il s'énerve sur le collant de la psy qu'il déchire d'un coup. Elle ne porte rien en dessous !!! Le proxénète la traite de grosse cochonne et il s'empare de son clito commençant à la branler. Bientôt les gémissements de Séverine rejoignent ceux de Laurence, toujours à quatre pattes furieusement branlé par Anouchka qui lui enfonce ses doigts dans sa chatte dégoulinante.

J'en peux plus. Fébrilement, je me défais, libérant ma bite, et m'approche de la bouche pulpeuse de la Juge qui me regarde, échevelée. J'agrippe ses cheveux et m'enfonce brutalement dans sa bouche. Elle me regarde par en dessous et derrière elle, Anouchka lui lance :

- Suce-le salope ! Suce-le !

Madame la juge obtempère et sa langue commence à me titiller le gland.

Edith aussi se retrouve agenouillée devant Radovan. Sa tête monte et descend sur le membre dressé. Il donne des coups de reins pour s'enfoncer totalement dans la bouche de la Directrice de la prison...Quel pied il doit prendre à avilir cette femme si prétentieuse avec les détenus habituellement.

Mme la Députée se débat dans les bras de Franck qui lui retrousse sa jupe en ricanant. Chantal se retrouve en bas clairs. Il écarte le string, plongeant ses doigts dans la chatte de la députée. Il plonge sa main dans l'échancrure de la veste de son tailleur malaxant ses seins.

Je m'enfonce avec régularité dans la bouche de la juge qui s'active sur ma bite avec entrain maintenant. Elle me lèche les couilles, replonge sur ma bite, m'aspire comme une furie, sous le regard mauvais d'Anouchka qui lui pince le clito lui arrachant des gémissements. Carlos s'est approché d'Edith toujours en train de pomper Radovan et lui présente sa bite qu'elle empoigne. Elle commence à le branler furieusement de sa main manucurée. Séverine, elle, se retrouve à quatre pattes sur le sol et elle gémit sourdement sous les coups de boutoir de Stefan tout en suçant Franck.

J'ai allongé Laurence sur le sol, je lui relève les jambes à la verticale et la pénètre d'une brusque poussée. Je commence à la besogner pendant qu'Anouchka lui suce les seins ou la contraint à l'embrasser sur la bouche. Les cris se joignent aux halètements. Edith, empalée sur la bite de Radovan monte et descend rapidement faisant ballotter ses gros seins dans tous les sens. Ses cris sont étouffés par la bite de Carlos qu'elle continue de pomper.

Les autres prisonniers poussent des hurlements à travers la porte de leur cellule... Radovan me demande de les libérer mais j'ai peur d'être débordé... Je crains une évasion. Radovan a de l'imagination. Il a positionné Edith a quatre pattes et Chantal a du l'enjamber légèrement courbée en avant. Il s'enfonce un coup dans le con de Chantal un autre dans la chatte d'Edith, alternant les coups de bites. Carlos s'est allongé devant Edith et celle-ci le suce pendant que Franck, debout, enfonce sa queue dans la bouche de Chantal dans un concert de gémissements. Voyant cela, je relève Mme la juge et la mettant a quatre pattes, je pointe mon gland vers l'ouverture de ses reins. Elle me supplie d'y renoncer mais fou de désir, je m'enfonce dans son trou du cul lui arrachant un cri de douleur.

Agrippant ses hanches, je lui donne des coups de queues de plus en plus violents. Elle ne crie plus maintenant, elle gémit. Anouchka s'est allongée devant elle et écartant ses cuisses, elle force Laurence à lui sucer la chatte.

Séverine se fait prendre en levrette par Franck, son ventre va claquer contre les fesses de la psy qui pousse des petits cris à chaque coup de piston.

Edith gueule de plaisir sous les coups de bites de Radovan qui lui claque les fesses par moment. Carlos se branle au dessus du visage de Mme la Directrice. Il éjacule lançant des traînées de sperme sur son visage. Les filaments coulent jusqu'à son menton.

Radovan se retire et force son anus tout comme je le fais pour Mme la juge qui, le visage souillé par la cyprine d'Anouchka, est affalée sur le sol.

Radovan se retire et lâche des traînées de sperme sur le dos de Mme la Directrice. Je retourne Laurence et ma semence gicle, allant s'écraser sur le front et les seins de Mme la juge.

Séverine et Chantal, côte à côte, beuglent en prenant des coups de pines dans leur con, leurs seins gigotent, elles sont en sueur. Franck et Carlos les bourrent en haletant, les défonçant comme des brutes. Ils se dégagent et éjaculent sur leurs visages les souillant de leur semence.

Ce n'est pas terminé pour autant. Radovan et Stefan parviennent à me convaincre que les autres prisonniers devraient en profiter. J'ouvre donc les cellules. Malgré les protestations et les supplications de ces dames de la Commission et de la Directrice qui s'imaginent bien ce qui le attend.

C'est l'horreur, une véritable orgie. On pousse chaque femme dans une cellule. Elle doivent sucer, pomper, salivant sur les bites avec entrain pour que cela aille plus vite. Edith est prise en levrette sur le lit d'une cellule qui abritent deux hommes qui sont là depuis 10 ans. ils la besognent pendant des heures... Pendant ce temps Mme la juge est livrée à 3 jeunes qui ont commis des tournantes. Elle est baisée comme une chienne et ses hurlements quand elle jouit sous les coups de queues de ces délinquants résonnent entre les murs de la prison. Chantal est accaparée un temps par Anouchka et Douchka qui la gouinent devant les autres détenus qui se branlent comme des fous. Ils l'arrosent de leur foutre. Séverine est jetée en pâture à un obèse qui lui défonce le cul, la faisant hurler. Elle gueule encore plus quand un papy bien pervers lui léche la cramouille pendant de longues minutes la faisant jouir un nombre incalculable de fois.

Le GIGN donna l'assaut et nous enfuma avec du gaz lacrymogène. Le calme revint assez vite et les prisonniers rejoignirent leurs cellules. Evidemment, il fallut expliquer aux gendarmes du groupe d'intervention, un commando de quinze hommes, pourquoi les otages étaient à moitié déshabillés. Les hommes lorgnaient sur les appâts avantageux de ces dames, dévoilés par leurs vêtements déchirés,  Chantal et Edith, uniquement vêtues de leurs bas et de leurs talons aiguilles, Laurence, un de ses bas filé, l'autre tirebouchonné sur sa cheville.

Séverine, elle, attire le regard avec ses bottes et son collant en lambeaux. Mais surtout c'était le sperme qui les souillaient toutes les quatre qui détonnaient un peu, il faut bien le reconnaitre... Les quatre femmes supplièrent les hommes du GIGN de ne rien dire à personne, le scandale serait énorme. Les quinze hommes se regardèrent et sans un mot sortirent leurs bites déjà en érection de leurs uniformes.

FIN