dimanche 29 octobre 2023

Croisière en enfer

 Texte de Elko (Géronimo)

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Les vacances avaient pourtant bien commencé. Nous étions partis depuis déjà 15 jours pour une croisière en Afrique. Nous avions déjà fait escale dans plusieurs ports dont celui de Nairobi. Nous venions de quitter le Kenya et faisions route vers le Golfe d'Aden, direction l'Egypte en contournant l'Ethiopie et le Yémen qui n'étaient pas vraiment des pays touristiques. Et surtout, nous voulions nous éloigner le plus possibles des côtes somaliennes réputées pour leurs actes de pirateries... 

Le Morvan, splendide voilier trois mâts de 88 mètres filait à la vitesse de 12 nœuds dans l'océan Indien. Nous étions cinq à bord plus les membres d'équipage qui étaient tous des hommes. Je m'appelle Pierre, j'ai 50 ans, je suis médecin. Ma femme, Chantal a le même âge que moi. C'est encore une belle femme, très sexy. Quand elle se promène dans cette ville très bourgeoise où nous habitons en France, il est fréquent qu'on la drague. Elle est toujours en jupe et en talons. Je l'adore.

Coté sexe, elle a de l'imagination à revendre. Je me suis toujours demandé si elle n'était pas un peu salope... 

Ma fille, Sophie vient d'avoir 27 ans et surtout elle vient de se marier avec Franck. Sophie a le même corps que sa mère en plus jeune, c'est dire... Franck est un gentil garçon, très grand, des yeux bleus et un sourire ravageur. Il est avocat. Ma fille travaille dans une société de recouvrement, société qui appartient à la mère de mon gendre, Eliane, 62 ans. Grâce au sport et à une bonne hygiène de vie et aussi quelques retouches données par des chirurgiens plasticiens de renom (mais ça, il ne faut pas le dire) elle avait encore un corps de rêve... 

C'est Eliane qui nous offre cette croisière. Elle est riche, très riche, son mari brutalement décédé lui ayant laissé un très bel héritage. 

Accoudé au bastingage, je regardais l'horizon. Le soleil tapait dur mais une petite brise marine le rendait supportable. J'entendis des rires et je jetai un œil sur le pont. Ma femme et ma fille, en bikini, bronzaient en papotant sous le regard concupiscent des deux membres d'équipages qui faisaient de leur mieux pour ne pas trop regarder ces deux superbes femmes à peine vêtus. Ce n'était pas la première fois que je remarquais qu'ils mataient soit ma femme soit ma fille mais curieusement, je ne leur en voulais pas.

Je sentis mon sexe durcir dans mon maillot de bain en repensant à hier soir quand ma femme et moi avions fait l'amour, le hublot de notre cabine ouvert. J'étais presque sûr d'avoir vu un des membres d'équipage en train de nous mater pendant que je prenais Chantal en levrette. Je souris en repensant à ce moment agréable. J'étais loin de me douter que la croisière de rêve allait se transformer en cauchemar....

Le Skipper a vu la petite embarcation arriver vers nous et nous a prévenu mais nous n'avons pu éviter l'abordage et l'assaut des pirates. Les six hommes, des Somaliens venus de Mogadiscio sans doute, montèrent à bord sans aucune résistance de notre part. Ils étaient tous armés de fusils d'assaut et de pistolets. Une lueur mauvaise dans leurs regards, ils visitèrent toutes les cabines en criant. Quelques coups de feu furent tirés mais personne ne fut blessé. 

Nous sommes tous rassemblés sur le pont. Les femmes pleurent, paniquées. Celui qui parait être le chef des pirates, un grand black au crâne rasé donna un ordre et les hommes furent solidement attachés au mât. Impuissant, je craignais pour les femmes. Chantal et Sophie me jetaient des regards désespérés. Dans un mauvais anglais, le chef des pirates nous expliqua que nous étions leurs otages et qu'une rançon allait être demandée. Il entraîna ma femme et ma fille dans la cabine de pilotage et j'entendis des cris qui me glacèrent le sang. Mon Dieu, qu'allait il leur faire ?

Sophie et Chantal revinrent et mon épouse m'expliqua qu'elle avait du passer, sous la contrainte, un appel radio à Djibouti pour expliquer notre situation à un représentant des français en Afrique. Le chef des pirates lui donna une claque sur les fesses. Rouge de honte, elle balbutia :

- Pendant que je passais l'appel, il a mis ses doigts dans mon string et m'a tripoté...

Je serrais les poings de rages et d'impuissance. Le chef lança:

- Continue !

- Il m'a enfoncé ses doigts dans ma chatte et m'a tripoté le cli... Clitoris...

Les hommes du chef étaient morts de rire. Plusieurs pirates s'emparèrent des femmes et les emmenèrent dans leurs cabines respectives.

Ils revinrent rapidement. Ils les avaient obligé à mettre des mules à talons, ce qui les rendaient encore plus sexy. Eliane avait du se changer et mettre un bikini emprunté à ma fille ce qui fait qu'il était beaucoup trop petit pour elle. Ses seins débordaient littéralement du soutien-gorge.

Les pirates sortirent une grande table qu'ils installèrent sur le pont. Le chef expliqua qu'ils avaient faim et que les femmes aller leurs faire à manger. Tous les pirates éclatèrent de rire. Les femmes firent le service. A chaque passage, les pirates pelotèrent ma femme ou ma fille. Les mains remontèrent sur les jambes, s'introduisirent dans le string. On malaxa des seins notamment ceux d'Eliane sous le regard de son fils qui gémit.

Le repas fut bien arrosé. On obligea les trois femmes à boire de l'alcool fort. Le chef claqua des doigts et les pirates disposèrent à genoux devant eux Eliane, Chantal et Sophie. Le chef et deux de ses hommes sortirent leurs sexes tendus en pleine érection. 

Les femmes voulurent détourner la tête mais on les obligea à se pencher en avant. Leurs bouches s'approchèrent des queues des pirates. Eliane engouffra la première le sexe dans sa bouche en poussant un gémissement, le pirate appuya fermement sur la tête de la mère de Franck. Celle-ci commença sa fellation, sa tête montant et descendant sur la bite dressée. 

Le chef, lui, releva ma fille et la courba sur le bastingage. Il lui baissa son slip et lui caressa la vulve, lui enfonçant ses doigts dans sa chatte. Sophie tenta de se débattre mais le chef lui donna une violente fessée. Il s'accroupit et lécha la fente de ma fille. Je voyais sa langue s'enfoncer dans l'intimité de ma petite fille chérie. 

Ma femme poussa un grognement étouffée par les deux énormes queues que deux pirates tentaient d'enfoncer dans sa bouche. Un autre lui malaxait les seins. Le chef, sa queue dure comme du bois, se masturba un peu et s'enfonça dans la chatte de ma fille qui poussa un cri. Les mains crocheté sur les hanches, il donna de violents coups de reins besognant ma fille. Il grognât en s'agitant. Ma fille gémissait.

Chantal était prise à partie par trois pirates. Debout, en équilibre sur les talons de ses mules, elle subissait les attouchements d'un d'entre eux qui lui enfonçait le goulot d'une bouteille dans la chatte, la faisant coulisser rapidement. Un autre lui suçait les seins. Le troisième la courba en avant et lui enfonça sa queue dans la bouche. Celui qui faisait coulisser la bouteille éclata de rire et lança quelque chose en somalien qui fut traduit par le chef qui besognait toujours ma fille.

- Elle mouille ta femme, elle a l'air d'aimer ça...

Effondré, je ne répondais pas.

Eliane, allongée sur le dos, les jambes relevés à la verticale se faisait ramoner par une queue luisante qui rentrait et sortait de son con... Elle tournait la tête de droite à gauche en gémissant.

Je commençais à entendre des commentaires dans les rangs des hommes d'équipage qui traitaient Eliane,  ma femme et ma fille de salopes. C'est vrai que ma femme et ma fille n'avait plus vraiment l'air terrorisé. A quatre pattes, Chantal se faisait prendre en levrette devant moi. On l'avait positionné de façon à ce qu'elle me regarde. Je voyais ses yeux exorbités. Elle ouvrait la bouche haletante sous les coups de boutoir du pirate. Ses gros seins ballottaient hors du soutien-gorge. 

On traîna Eliane devant son fils et elle dut lui administrer une fellation malgré ses supplications. On baissa le short de Franck qui à ma grande stupeur bandait comme un âne. Sa mère lui lança un regard trouble mais chargé de reproches. Sous la pression de la main du pirate elle avala la bite de son fils. Elle le pompa doucement d'abord puis de plus en plus vite salivant sur la bite, lui malaxant les couilles.

Le chef se retira de ma fille et la mettant à genoux, se masturba en grognant. Il lâcha des traînées de sperme sur le visage de ma fille. Aussitôt, deux pirates traînèrent Sophie devant les hommes d'équipage qu'elle dut sucer à tour de rôle. Faisant le tour du mât, une bite dans chaque main, elle les pompait avec un empressement qui me faisait douter de sa réticence...

Le pirate qui baisait ma femme explosa en grognant et un autre le remplaça aussitôt.

Franck éjacula aspergeant le visage de sa mère de son foutre poisseux.

On obligea Eliane et Chantal à suivre ma fille et à pomper les hommes d'équipage. Plusieurs éjaculèrent dans la bouche d'Eliane qui avait du mal à avaler le sperme tant la quantité était importante. Elle le recrachait discrètement mais ça ne plaisait pas aux pirates qui lui claquait les fesses à chaque fois.

Ma femme, elle, reçut quantité de foutres sur son visage. Elle en eut dans les cheveux et sur le front, autour de la bouche, littéralement remaquillée au foutre...

Sophie fut placé devant moi et horrifié, je compris qu'on lui donnait l'ordre de me sucer aussi. Elle me regarda et me masturba. Ma queue devint vite dure et grosse entre ses mains. Elle m'avala, me suçant avec application. Je sentais sa langue me titiller le gland. Elle me caressait les couilles en même temps. Elle enfonçait ma bite au fond de sa gorge, puis la ressortait, me masturbant de nouveau. Je ne pus tenir longtemps. Je jouis en poussant un cri, mon sperme gicla dans sa bouche éclaboussant son palais, se répandant au fond de sa gorge.

Les pirates libérèrent les hommes d'équipage et ce fut une véritable orgie. Ils se ruèrent sur Eliane, ma femme et ma fille et les baisèrent comme des chiennes devant moi et Franck toujours attachés au mât.

Eliane, empalée sur une bite, enculée par une autre et suçant une troisième haletait. Son corps secoué violemment par les coups de bites et sous les rires des pirates. 

Ma femme et ma fille durent s'embrasser sous les applaudissements des pirates et hommes d'équipage devenus complices maintenant. Horrifié, écœuré, je vois leurs langues s'entremêler. On allongea ma femme, et ma fille dut lui sucer la chatte, sa langue lui titillant le clitoris. Ma femme donna des coups de reins et gémit. Pendant que Sophie suce sa mère, un des hommes d'équipage la pénétra et la baisa en levrette. 

Cela dura des heures. On humilia ma femme et ma fille de toutes les façons. Ma femme, à genoux, se faisait enculer pendant qu'elle devait sucer deux bites en même temps. Ma fille, déjà une bite dans sa chatte, dut accepter une queue dans son anus ce qui la fit crier. Les yeux hors de la tête, je regardais les 25 cm de bite s'enfoncer dans l'anus de ma fille qui poussa un cri horrible. Puis les deux hommes bougèrent baisant ma fille qui poussa de petits cris... Mais plus de douleur...

La pauvre Eliane se retrouva avec une main enfoncé dans sa chatte. Son corps s'arquait sous les aller et retour de la main. Eliane criait de jouissance et de douleur...Tout le monde voulut lui enfoncer sa main dans sa chatte puis après, pour faire une variante, dans son cul. Elle se retrouva fistée par la chatte et le cul... Elle eut un orgasme qui la fit hurler et elle s'effondra...

Ils éjaculèrent tous, arrosant ma femme et ma fille de leurs spermes.

Cela dura plusieurs jours où Chantal, Sophie et Eliane devinrent les objets sexuels des pirates et des hommes d'équipage. Les négociations menées par le quai d'Orsay aboutirent rapidement et la rançon fut payée. Les pirates partirent aussitôt nous abandonnant aux mains des hommes d'équipage qui nous ramenèrent à Nairobi. Bizarrement, une fois les pirates partis, les hommes redevinrent sérieux, certains s'excusèrent même. Je pensais à porter plainte et à les accuser de viols un fois rentré en France mais un dernier événement me fit changer d'avis...

Nous étions presque arrivé à Nairobi et je me disais que cette croisière en enfer était enfin terminée quand des cris me firent sursauter... Je me précipitais prêts à sauver ma femme des griffes de ces pervers quand j'arrivais dans ma cabine. Mon gendre baisait ma femme pendant que ma fille fistait sa belle mère qui se tordait en gémissant...

J'entendais leurs cris de plaisir et ma femme, m'apercevant me lança :

- Viens mon chéri, viens baiser cette salope, me lança t'elle en désignant Eliane.

- Oui papa, renchérit ma fille, ma belle mère est une vraie chienne...

Elle prit soudain un air coquin et s'approcha de moi.

- Ou tu préfère que je te suce comme la dernière fois ?

Vous auriez fait quoi à ma place ? Franchement ?

FIN

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