mardi 17 octobre 2023

Au camping Ch. 02

 Récit de Bayle (2013)

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Les vacanciers voisins.

Je me réveillai vers midi, le temps d’aller prendre une douche, ingurgiter un verre de jus d’orange et j’étais prête pour aller déjeuner dans une pizzeria avec mon mari. Nous emmenâmes nos serviettes, mots croisés, ambre solaire, pour filer ensuite directement la plage. En passant devant la réception du camping, j’aperçus le vigile qui trônait autour de trois jeunes. D’habitude il n’apparaissait que le soir, mais il devait être trop content de conter son aventure nocturne, lui qui ne devait connaître le plaisir qu’en solitaire. Les regards des quatre jeunes me déshabillèrent littéralement et furent accompagnés d’insinuations certainement indécentes à mon égard.

- Dis-moi, tu fais de l’effet à ce que je vois, me lança Greg que son candaulisme ravivait.

"Si tu savais !" Pensais-je. La chaleur était revenue, trente cinq degrés avaient-ils dit à la radio, à l’ombre bien sûr, et sur la plage, naturellement il n’y a pas d’arbre ! Le sable nous brulait la plante des pieds, et c’est avec un grand soulagement que nous allions nous baigner. Cependant, après une bonne heure d’exposition sous les rayons ardents du soleil, nous décidions de lever le camp. Après avoir pris une bonne douche nous nous installions dans des transats à l’ombre d’un pin près de notre caravane pour lire et somnoler. 

Je portais un maillot deux pièces dont le haut ne cachait que tout juste la moitié de ma poitrine, quand à la culotte, sans doute d’une taille trop petite, elle moulait mon sexe de façon provocante et découvrait comme ma poitrine une bonne partie de mes fesses, mais qu’importe puisque nous étions en retrait des regards indiscrets. 

Il faisait si chaud malgré l’ombrage, que Greg s’aspergeait d’eau de temps à autre, puis il en fit autant pour moi. Nous entendions des gens qui jouaient au Badminton dans l’allée. Au bout de quelques instants, un volant vint atterrir près de nos transats. Un homme d’une trentaine d'année vint le chercher en s’excusant. Greg engagea la conversation en parlant du beau temps des vacances… 

L’homme lui répondait sans trop le regarder, mais n’avait d’yeux que sur mon soutien-gorge mouillé dont mes tétons turgescents ne le laissaient pas indifférent. Sa vue se baissa sur mon entrecuisse où ma culotte mouillée moulait à merveille mon bas ventre comme un abricot. Sa femme qui s’impatientait vint nous rejoindre, et mon mari leur proposa de boire un rafraichissement, qu’ils acceptèrent. J’allais chercher les boissons dans la caravane suivit de Greg et aussi pour me changer afin d’être moins indécente.

- Tu es très bien ainsi, reste comme ça ! Me lança mon mari, d’ailleurs il t’a déjà bien maté, et je suis sûr qu’il serait déçu de te voir autrement !

Nous sirotions nos verres, et Romain, le joueur de Badminton en herbe, ne cessait de me regarder, sans pour autant être gêné que sa femme le voit me dévorer des yeux, quant à mon mari il s’en réjouissait. Pour ma part, qu’est-il de plus flatteur de voir le regard se poser sur moi ? Aussi j’entrais dans le jeu, et plutôt que de croiser mes jambes, je les écartais, et lorsque je prenais ou reposais mon verre sur la table basse, je prenais mon temps pour que Romain puisse se délecter de la profondeur de ma poitrine. Je me levais pour aller chercher des glaçons.

- Le transat a marqué de striures tes fesses ma chérie, tu aurais dû mettre un coussin !

- Je vais vous aider Margaux, annonça Romain tout en scrutant mes rondeurs.

Pour aller chercher des glaçons, avais-je besoin de son aide ? C’est dans une sorte de complicité que ni mon mari, ni sa femme ne relevèrent le bien fondé de cette aide. Dans la caravane, Romain vint derrière moi. Je sentis une main venir caresser délicatement la parcelle de mes fesses dévêtues. Voyant que sa câlinerie n’avait pas provoqué de réaction négative de ma part, il se pencha pour m’embrasser dans le cou, et sa main glissa sous ma culote, pour découvrir entièrement ma fesse. Il se mit à la masser, et à la masser, tandis que de son autre main, il dégagea ma poitrine de son carcan de soutien-gorge pour la cajoler langoureusement. 

Je me laissais tripoter, pensant que si mon mari venait à entrer, il n’y trouverait que son fantasme de candaulisme. Romain était collé à moi, torse nu, il poursuivit de me caresser les seins, jouant du bout de ses doigts à agacer mes tétons, alors que son autre main placée maintenant sur mon ventre, il tira sur ma culotte, faisant pénétrer l’entrejambe de celle-ci entre mes lèvres.

- J’ai envie de toi. Me murmura-t-il à l’oreille tout en continuant de m’embrasser.

- Moi aussi, lui répondis-je sincèrement, car il était bel homme, rien à voir avec ce lourdaud de vigile.

Je perçus sa verge gonflée au travers de son short se plaquer contre mes fesses, tandis que ses doigts se promenaient sur mon bas-ventre aussi lisse qu’une peau de bébé. Ma culotte était descendue à mi-cuisse, et ses doigts vinrent exaspérer mon clitoris, qui sous les caresses était sorti de son capuchon de chair. J’émis des gémissements de plaisir.

- Tout doux, ils vont nous entendre.

Cela ne l’empêcha pas de poursuivre son habile jeu de doigts, allant de mon clitoris enflammé, puis à s’insinuer entre mes lèvres déjà humides.

- On va être obligé d’y retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose.

- Tu ne crois pas que pour aller chercher des glaçons, depuis le temps, ils ne se doutent pas de quelque chose ?

Je me retournais vers lui et je l’embrassais sur la bouche, juste le temps que nos langues se goûtent.

- On pourrait se retrouver ce soir ?

-  Oui/ L lui répondis-je, et avant que je ne remonte ma culotte, il s’accroupit et posa sa bouche sur mon clitoris pour le couver de baisers et le gober dans une succion qui me donna des spasmes de désir dans le ventre.

- Vous en avez mis du temps, vous ne trouviez plus les glaçons ? Ironisa Greg.
- Ben dis donc, lança la femme de Romain en voyant la grosseur qu’arborait son short, c’est la transition de l’air chaud avec celui plus frais de la caravane qui te fait cette réaction ?

- Moi je dirais l’inverse, rajouta mon mari en faisant un clin d’œil à Sabine, je pense qu’il devait faire plus chaud à l’intérieur, non ?

- Sans vous offenser Greg, votre femme est très jolie et bien pourvue, et je n’en suis pas moins un homme.

Sur ces échanges emplis de complicité, nous continuâmes à bavarder, et nous nous donnions rendez-vous pour le soir après diner pour aller se promener. 

A suivre...

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