lundi 23 octobre 2023

Les tribulations de Béatrice Ch. 08

Texte de Xmaster.
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Son mari est de plus en plus dégoûté.

Sur le téléviseur on peut maintenant voir la femme qui porte sa main droite à son sexe et commence à y faire pénétrer trois doigts en fixant l'objectif...
 
- Ouais, comme ça... Ouvre-toi bien la chatte salope. 

La femme écarte ses doigts et dilate sa chatte. Un homme lui soulève les jambes, lui écartes les fesses, puis applique l'extrémité du plug contre la rosette.
 
- Fais nous un gros plan sur son trou qui pète... 

En moins de deux secondes, l'objet est planté dans l'anus. Un cri d'effroi puis un bruit sourd.
 
- Quand elle supportera ça sans gueuler, elle pourra se faire enculer par un éléphant !
 
- Fin psychologue ton ami arabe, il a senti qu'après les arabes, tu passerais au animaux... Putain ! Mais qu'est ce que j'ai fais au ciel pour avoir une telle traînée ! Merde ! 

Et Richard commence à avoir les yeux embrumés par des larmes.
 
- Je ne sais plus comment te demander pardon... Mais je t'assure que c'est toi que j'aime... Je suis sûre qu'il m'ont droguée...
 
- Ben tiens ! L'excuse de l'alcool ne te suffit plus maintenant ? Ferme ta gueule ou je t'en remets une, salope... 

Ne sachant plus comment réagir, la pauvre femme fixe les images qui passent sur le petit écran, elle se revoit ainsi attrapée par les bras et descendue de la table...
 
- Marche un peu dans la pièce qu'on voit comment tu t'en tires.
 
- Non, je ne veux...
 
- Ta gueule pouffiasse, quand on te faisait le cul pour ton petit plaisir de vieille bourge, tu faisais moins la fière...
 
- Mais vous n'avez...
 
- Ferme ta gueule, sinon on te fout une de ces raclée, que tu t'en souviendras toute ta vie de pute... 

Un homme lui fait glisser sa robe. Elle se voit marcher à petits pas vers le canapé...
 
- Reviens ici maintenant vieille chienne. 

Elle revient vers la caméra... Un homme tire une chaise en arrière.

- Viens t'asseoir ici... 

Béatrice s'assoit... Encore quelques mots en arabes...
 
- Tu vas nous laisser ton numéro de téléphone fixe ma pute...
 
- Mais...
 
- Pas de "mais" qui tienne, tu nous donnes ton téléphone, un point c'est tout. 

Un stylo et une feuille de papier sont posés sur la table devant elle.
 
- Voilà, tu nous laisses ton numéro qu'on puisse t'appeler quand on aura envie de se vider les couilles.
 
- J'm'en souviens plus...
 
- Attention! On vérifie tout de suite, et si ce n'est pas le bon numéro, on t'attache et te fouette jusqu'à ce que tu finisses par donner le bon... Te voilà prévenue pauvre conne... 

Elle note son numéro sur le papier. Des paroles en arabe puis quelques instants de blancs sonores.
 
- Bien, une vieille bourge comme toi ça doit avoir un portable, allez, tu le notes aussi. 

Elle note à nouveau...
 
- Pour le cas où il faudrait venir te chercher, tu vas nous noter également ton adresse exacte. 

Elle note encore...
 
- Et le code de la carte bleue ? 

Cette fois la voix de Richard est terrible. Il attend quelques secondes, puis poursuit : 

- Tu me diras, ils auraient eu plus de mal à tirer dix mille Euros avec la carte ! 

Le film continue :
 
- Parfait ! Nous on a bien mérité un bon whisky, tu vas nous le servir.
 
- Mais !

- Dans le bar du meuble, allez, magnes toi le cul ! 

Des phrases en arabes...
 
- Je peux avoir ma robe ?
 
- Non, je la garde en souvenir, on te ramènera chez toi, mais nue.
 
- Mais !
 
- J'ai dit non connasse ! 

Une grande claque sonore.

- Mets-toi à genoux devant moi salope. 

La femme s'agenouille. Des paroles en arabe... L'homme fait boire la femme...
 
- Bois pétasse, comme ça, quand on te lâchera devant chez toi, nue comme la grosse pute que tu es, tes voisins pourront se rendre compte que tu es aussi une poivrote... 

Béatrice est violemment repoussée et tombe par terre.
 
- Va chercher les capotes qui traînent sur la table vieille pute. 

L'objectif suit la femme qui se déplace en faisant un gros plan sur l'anus et le plug qui s'y trouve enfoncé. Rires... Elle revient avec les préservatifs.
 
- Mange-les ! Je veux que tu les gardes en bouche jusqu'à ce qu'on te ramène chez toi, ainsi, tu auras la véritable haleine des putes en fin de soirées...
 
- Non !
 
- Ta gueule, sinon t'en prends une, et une bonne encore... Si ça se trouve, ça excitera ton mari !
 
- Pitié...
 
- Pas de pitié pour les vieilles putes qui trompent leur mari ! tu restes debout devant nous, tu gardes les capotes en bouche et tu la fermes, les hommes boivent, toi tu trinques, compris ?
 
- Oui...
 
- Salope ! c'est donc ça que tu crachais quand je t'ai recueillie ! 

Béatrice est prise de convulsion tant ce qu'elle voit la choque, pourtant, elle sait pertinemment que tout ce qu'elle a vu, tout ce que son mari a vu, n'est que réalité. Dans une longue plainte elle balbutie encore :
 
- Si tu savais... Comme je regrette...
 
- Bouffer les capotes ! J'y crois pas ! 

Les images se remettent à défiler après un léger blanc indiquant qu'il y a eut arrêt de la prise de vue. Gros plan sur l'entre-jambe de Béatrice en plan fixe. Elle pisse pendant une bonne minute, puis finit par se pisser dessus. Nouveau blanc, le caméscope a été coupé puis rallumé. Nouvelles séquence, Béatrice en train d'éponger sa propre urine. Gros plan sur son visage.
 
- Ouvre la bouche que je vois que tu as toujours tes capotes... 

Elle se remet debout.
 
- Tourne-toi et penche-toi en avant que je vois une fois encore si le plug est bien en place. 

Elle se tourne et se penche en avant.
 
- Je suis sûr que ton mari va apprécier de te retirer ton plug tout à l'heure. Remarques, ça lui donneras peut être quelques idées neuves pour te dresser... Bon, allez les gars, on ramène cette vieille pute chez elle, j'ai envie de me coucher et de dormir un peu. 

Béatrice se redresse et se dirige vers la table, elle est bloquée.
 
- A poil ! je t'ai dis que je te ramène à poil, t'as pas encore compris ce que veux dire : A poil ?
 
- pitié... 

Une grande gifle.
 
- Tu voulais te faire des arabes, bon, on t'a fait jouir, bon alors ! maintenant ce sont nos conditions, un point c'est tout !
 
- Mais je ne peux pas... 

Une nouvelle gifle.
 
- A poil comme la vieille pute que tu es ! 

Fin du film. Richard ne peut décrocher son regard de l'écran noir zébré de fins traits blanchâtres. Il reste perdu dans ses pensés à se demander comment la femme, avec qui il vit depuis presque trente ans, a pu se laisser aller à de tels actes ? Comment cette femme fière et orgueilleuse a pu être humiliée de la sorte ? Comment cette femme réfléchie habituellement a bien pu mettre ainsi en péril leur couple ? Comment cette femme a pu aller jusqu'à oublier ses propres enfants ? Et si les images qui défilaient sur l'écran lui amenaient une haine et une violence dont il ne se serait jamais cru capable envers son épouse.

Maintenant, cette haine a fait place à un dégoût, un profond dégoût. Il se relève et va sortir la cassette du magnétoscope. Béatrice pleure. Quand elle voit son mari reprendre la vidéo et se diriger vers la porte, elle supplie encore :
 
- Pardon mon chéri, ne me laisse pas je t'en prie, je suis trop mal là...
 
- Tu me dégoûtes...
 
- Non ! Pitié ! Comment puis je réparer mes fautes ? Pitié !
 
- Je ne sais pas, je ne sais même pas si c'est possible en fait...
 
- Oh si ! Il le faut... Je t'aime et je veux réparer, je t'en supplie, crois moi. 

Mais l'homme n'écoute déjà plus et sort de la chambre. il se rend dans son bureau et range précautionneusement la vidéo. Il prend un roman policier et commence à lire. Son esprit est ailleurs, le livre ne le captive pas. il entend sa femme pleurer à nouveau et se demande si effectivement elle pourrait racheter ses fautes, et comment. Les images qu'il vient de visionner tournent dans sa tête, et chaque image est une source d'humiliation pour lui. bientôt, cette haine sourde revient le hanter. Il pose son livre, se relève et retourne dans la chambre.
 
- Je ne sais plus comment te demander pardon. Implore l'épouse avec sa voix cassée par les pleurs et ses yeux rougis.
 
- Pour commencer, je veux voir ton trou du cul...
 
- hein !
 
- Tournes-toi et montre-moi ce trou du cul ! 

Ne voulant pas envenimer une situation qu'elle a tout de même provoquée, Béatrice replie le drap et se tourne sur le ventre.
 
- Écarte les jambes. 

Docilement, Béatrice tend ses jambes et les écarte, dévoilant ainsi impudiquement son anus brun légèrement fripé et encore ouvert suite au traitement du plug de l'avant veille.
 
- Hum ! 

Le ton est ironique. Quelques secondes s'égrainent puis Richard enchaîne : 

- Je te signale que tu as encore le cul ouvert !
 
- Je m'en doute, je le sens encore.
 
- Finalement, ce sont tes amis qui avaient raison, un trou bien ouvert entre tes petites fesses flasques, ça fait tout de suite plus pute !
 
- Oh non ! Pas toi, pitié ne me traites pas de pute mon chéri.
 
- Dis donc ! Qui est-ce qui s'est fait filmer l'autre nuit ? Toi ou moi ?
 
- Aide-moi, je t'en supplie !
 
- Bien sûr... Et comment va-t-on faire pour payer cette somme ?
 
- Je vais prendre un crédit à mon nom, je te promets de faire des heures supplémentaires pour le rembourser... Toute seule.
 
- Là c'est clair ! Il n'est pas question que toute la famille paye tes turpitudes !
 
- Non bien sûr, je me rends bien compte...
 
- Tais-toi! on n'est pas là pour parler gros sous, tu veux pouvoir me demander pardon, c'est bien ça ?
 
- Oui chéri...
 
- Hé bien pour commencer, tu vas dormir avec le gode dans le cul.
 
- Oh non ! Pas ça !
 
- Tu préfères le divorce pour faute ?
 
- Non ! 

Cette fois c'est un véritable cri de désespoir qui sort de la gorge de la pauvre femme.
 
- Bon alors, à partir de ce soir, tu dormiras tous les soirs avec le gode dans le cul...
 
- Oh non !
 
- Ferme la ! Vieille pouffiasse en chaleur... 

Sa culpabilité est telle que Béatrice finit par se taire et par accepter ce que son époux exige. L'homme va prendre le plug dans l'armoire, là même où il l'a caché le dimanche matin. Il le jette sur le lit juste à côté de la tête de son épouse, et annonce :
 
- Tu vois, je suis moins dégueulasse que tes amis arabes, moi je vais aller chercher un peu de vaseline pour que tu ne souffres pas trop. 

Puis il sort de la chambre. La pauvre femme se sent salie à nouveau, comme lorsqu'elle a été obligée d'uriner devant ces monstres. Elle pense aussi beaucoup à cette fichue cassette, à tout le mal qu'on pourrait lui faire à elle en la diffusant, mais aussi à sa famille, pour son mari, c'est déjà fait. Elle se rend compte de la douleur qu'il éprouve, elle sait pertinemment qu'elle l'a trompé au-delà de tout ce qu'il aurait pu imaginer, et cette idée lui est insupportable. Elle entend la porte de la chambre s'ouvrir.
 
- Voilà, je vais m'occuper de ton cul de putain...
 
- S'il te plaît ! Pas ce mot là...
 
- Si ! Justement ! Et peut être même que cela te manquait que je ne te traite pas de pute ! 

L'homme s'approche du lit, ouvre le tube de vaseline et prend le gros plug en main. Il dépose le produit sur le bout de l'objet, puis sur sa partie la plus enflée. Béatrice ne bouge pas et ferme ses yeux. Se souvenant parfaitement de la douleur qu'elle a ressentie deux jours auparavant lorsqu'elle fut plugée pour la première fois de sa vie, elle essaye de se calmer et de se persuader que cette fois, son anus étant encore ouvert, elle ne ressentira pas la même brûlure. 

Maintenant que le jouet de caoutchouc est bien enduit de vaseline, il se baisse pour être à la hauteur du lit, prend la base de l'objet de sa main droite et écarte les fesses plates de son épouse. Richard présente le bout du plug sur le sphincter, puis dit :
 
- Rappelle toi ton tournage. 

A ce moment, il appuie fortement sur l'objet pour le faire entrer.
 
- Aie ! Tu me fais mal là !
 
- Cambre-toi salope, cambre-toi bien... 

Puis il appuie à nouveau, mais cette fois de toutes ses forces et le plug rentre en entier dans l'anus. La pauvre femme ne peut s'empêcher de pousser un cri de douleur à l'introduction de ce corps étranger qui lui déchire les entrailles.
 
- Ne crie pas! Franck va se demander ce qui se passe ici !
 
- Mais ça me brule... Ça me brûle !
 
- Ta gueule putain... Samedi soir tu faisais bien moins de simagrées.
 
- J'ai mal là Richard... Pitié, ne sois pas aussi pervers que ces salopards s'il te plaît mon chéri, implore encore la blonde.
 
- Ferme la et essaye de dormir, moi je vais dans mon bureau, j'ai pas vraiment envie de dormir avec une mangeuse de capotes usagées. 

Terriblement humiliée par ces dernières paroles, Béatrice se remet à pleurer une fois encore. Bientôt elle entend la porte de la chambre s'ouvrir, puis se refermer. Et comme la vive brûlure qu'elle vient de ressentir commence à s'estomper, elle n'ose pas faire ressortir le plug, de peur d'avoir à nouveau très mal. Elle reste ainsi, sur le ventre, les fesses à l'air, le cul rempli par le gros jouet de caoutchouc à attendre le retour de son mari. Une bonne demi-heure plus tard, alors que l'époux n'est pas revenu dans le lit conjugal, elle s'endort.
 
A suivre...

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