lundi 9 octobre 2023

Le centre de soins

 Récit d'Elisa (2005).

*****

"Entrez, madame"

Je pénètre dans ce centre qui vient d'ouvrir. Je m'attends à tout, un centre de soins, des "machines" amaigrissantes, des cabines de massage, des baignoires remplies d'algues... Mais pas du tout à ce que je vois. 

La personne qui m'a ouvert la porte est brune, sexy, elle porte une robe très courte, des cuissardes noires... Moi qui suis hétéro, je la trouve renversante. 

"C'est vous qui avez pris rendez-vous par téléphone ce matin ?"

"oui", réponds-je

"Bien, avant de vous emmener pour vos... soins, j'ai besoin de mieux vous connaître. Voulez-vous répondre à ces quelques questions ?"

Je m'empare du formulaire, m'attendant à des questions du type "avez-vous déjà bénéficié de massages corporels ? Quel est votre poids ? Quel est votre objectif ?  Bref, rien de bien nouveau, sous le soleil. Je soupire, en me disant que finalement, J'aurais mieux fait d'aller à la piscine que de perdre mon temps dans un centre dont les principes sont les mêmes que partout ailleurs.

A mon grand étonnement, les questions sont beaucoup plus intimes et personnelles: "êtes-vous homosexuel(le), hétéro, bi ? Avez-vous déjà songé avec envie à un acte sexuel à plusieurs ?, et j'en passe.

Ma curiosité s'aiguise, et un fourmillement bien connu parcourt mon ventre. J'ai envie de baiser. Je suis là, dans un centre un peu "spécial", et j'ai envie de me laisser aller à mes fantasmes.  

Dix minutes plus tard, je rends mon formulaire à l'hôtesse et j'entre dans une cabine où je me déshabille et je me douche. Je suis là, en train de me savonner, l'esprit en alerte, le désir chevillé au ventre, quand la porte s'ouvre. 

Deux magnifiques hommes entrent dans la cabine de douche avec moi. L'un des deux s'empare d'une éponge et me lave tout doucement le dos, l'autre fait de même côté pile. Leurs mains courent sur mon corps, je ferme les yeux. Deux hommes pour moi, c'est trop bon. De moi-même, je m'accroche à la sangle qui pend du plafond. je suis à eux. 

Celui qui est devant moi prend ma bouche, la fouille avec sa langue, tout en me caressant les seins. Des doigts s'attardent sur la pointe durcie de mes tétons. Sa main droite descend alors vers mon sexe. Son acolyte me pétrit les fesses. Ses doigts s'insinuent dans mon sillon, l'autre entre un doigt, puis deux dans ma chatte qui jute comme jamais. L'homme derrière moi rejoint le premier dans la grotte humide, puis ressort et enfonce alors violemment un doigt dans mon cul en feu. Je suis prise dans un concert à quatre mains, je vais devenir folle, je suis au bord de la jouissance. Leurs doigts fouillent ma chatte et mon cul. 

"C'est bon, hein ? t'en veux plus, pas vrai ? 

"ouiiiii , baisez-moi, défoncez-moi !!!"

J'en pleure presque.

Alors ils me soulèvent. Je suis toujours accrochée à la sangle, je ne la lâcherais pas pour un empire. L'homme qui me fait face enfonce alors son sexe bandé dans ma chatte. L'autre a laissé ses doigts dans mon cul. Je suis debout, coincée entre deux hommes qui fouillent mon corps, l'un de sa queue, l'autre de ses doigts. 

"Elle mouille ! C'est dingue ! limite trop facile !"

Ces mots me font vibrer encore davantage, je vais jouir, mais je sais que cela ne me suffira pas... Aujourd'hui, il m'en faut plus. 

"Encooooooooooore"

L'homme qui est derrière moi retire son doigt.

"- Ne bouge plus ! », m'ordonne-t-il

Il place son gland contre mon petit trou. C'est impossible, je n'ai jamais été sodomisée ! Je ne peux pas bouger, l'autre me tient toujours sur sa verge gonflée à bloc !

Doucement, l'homme de derrière se met à pousser et doucement, sa verge rentre dans mon cul. La sensation est immense ! La douleur me fait pleurer en silence, mais je n'ai pourtant pas envie que ça s'arrête. 

Les deux hommes ont repris un mouvement commun. Je suis prise de partout. J'ai mal, mais ça m'est égal. J'en veux encore... Ils s'activent, accélèrent le rythme, encore, encore, encore... Je retiens de justesse un hurlement phénoménal, je jouis comme jamais. 

Les deux hommes me reposent au sol. Ils reprennent l'éponge et terminent ma toilette. 

Un des fantasmes décrit dans mon formulaire vient de se réaliser... Mon cœur bat la chamade, cela sera-t-il le cas pour tous mes rêves érotiques ? 

Un troisième homme me sèche vigoureusement. 

"Alors, tu as été vilaine dans la douche, pas vrai ? 

Je n'ose pas répondre.

"Tu sais ce qu\'on fait aux femmes qui sont vilaines ?

"on les punit ?"

"oui, on les punit. Et toi, on va te punir !"

"Non !"

"Oh que si !"

Il m'entraîne vers un lit à barreaux, dans une pièce reculée. J'ai peur ! Je regrette mes écrits de tout à l'heure... L'homme me précipite sur le lit, à plat ventre. Il attache mes mains aux montants du lit. 

"Mets -toi à genoux !"

Je ferme les yeux, honteuse et impatiente à la fois. L'homme attache mes jambes écartées. 

"Ta punition ne va pas tarder !"

Je suis écartelée sur ce lit, la joue dans l'oreiller, les fesses en l'air, la chatte encore humide bien ouverte, dans ma tête défilent des milliers d'images fantasmatiques. La porte claque, quatre hommes s'approchent du lit. 

"Alors, voilà, la vilaine... Tu ne perds rien pour attendre"

Les quatre hommes sont nus, leurs verges sont immenses, tendues à l'extrême, raides comme la justice qu'ils ont l'intention d'appliquer sur moi. Soudain, une main claque mes fesses, un petit cri m'échappe. 

"Tais-toi ! » m'ordonne un des hommes.

"Les salopes comme toi, on leur fait payer le prix fort !» siffle un autre.

Clac ! Clac ! Régulièrement maintenant, deux hommes me fessent. Ils sont chacun d'un côté du lit et me frappent le cul, en alternance. Le troisième grimpe sur le lit, à genoux, face à moi.

"Redresse-toi, suce-moi, et bien !

Je me sens perdue, affolée. Alors il attrape mes cheveux, soulève ma tête et enfourne sa queue dans ma bouche. 

"Vas-y, suce ! SUCE !"

Je suce cette verge suintante, les coups pleuvent sur mes fesses. Les larmes coulent sur mes joues, mais mes bourreaux n'ont pas de pitié, ils ne font qu'assouvir mes fantasmes, tout est ma faute… 
Le quatrième encourage les trois autres. 

"Allez-y les mecs, elle demande que ça, regardez-la, une vraie chienne !" 

Ces mots me rendent folle. Je suis une chienne, je veux l'être ! J'ai encore envie qu'on me baise ! J'ai le cul en feu, la chatte qui dégouline, la bouche pleine d'une bite énorme qu'on m'enfonce jusqu'au fond de la gorge, je suis à la merci de ces quatre mecs à qui on a ordonné d'exécuter tous les souhaits du formulaire.

"Allez-y les mecs, fessez-la, elle adore !"

Des râles s'échappent de ma gorge à chaque goulée d'air. Je ne peux pas fermer mes jambes. Je suis écartelée, fessée. Soudain le quatrième se place derrière moi, à genoux aussi, les coups ralentissent. Il empoigne mes fesses, les écarte et plante sa queue dans ma chatte. Je suis foudroyée de plaisir, mais ce n'est pas fini. 

"Vous ne pouvez-plus la fesser, allez vous faire sucer. « 

L'homme dont je léchais goulûment la queue laisse alors la place à ses deux complices. Je me retrouve à devoir sucer deux bites, chacune leur tour. 

L'homme que je suçais auparavant s'allonge alors sous mon ventre. Sa langue me lèche le clito, je suis au bord du gouffre, mais je dois rester concentrée pour sucer les deux autres. L'homme qui est sous moi me lèche, me suce. L'homme qui est derrière moi bande davantage en sentant la langue de son complice frôler sa bite. Il me remplit bien la chatte, et j'ai envie de jouir. Je sais alors que cela sonnera la fin de mon merveilleux supplice, je tente donc de me retenir encore. J'ai trop envie de connaître la suite. 

Comme s'il avait lu dans mes pensées confuses, l'homme qui me baise sort de ma chatte. Il renvoie un des hommes que je suce. 

« Vas-y, pendant qu'elle me nettoie". 

Je suce alors la verge de celui qui, cinq secondes plus tôt, me pilonnait la chatte de toutes ses forces. Sous ma langue, je reconnais le goût de mon sexe, et cela m'excite encore davantage. L'homme sous mon ventre me mordille, m'aspire, me fouille de sa langue, c'est à mourir. 

Alors un des hommes que je suçais et qui m'avait fessée m'embroche sans prévenir. Sa queue me défonce la chatte, elle est plus grosse que celle de son acolyte. Je suis remplie à exploser. Je gémis sous la torture. L'homme que je suce dit alors :

" Allez chercher le gode, vous allez lui défoncer le cul !"

Je ne peux pas refuser, j'ai la bouche pleine. Il remarque ma peur, et au lieu de calmer le jeu, s'exclame tout à coup :

 "Allez chercher les deux godes, la vilaine n'a pas fini sa punition..."

L'autre est toujours sous moi, mais ma chatte est désespérément vide. Que se passe-t-il ? Pourquoi ? 

Soudain, la réponse me défonce la chatte. Un gode énorme vient de me remplir le ventre. l'un des hommes enclenche la fonction vibreur. C'est douloureux, mais merveilleux. Je ne peux pas le faire savoir, j'ai toujours une énorme queue dans la bouche. Son propriétaire dit alors :

" Elle suce mal, fessez-la !" 

Les deux hommes derrière moi recommencent à me fesser en cadence. 

"Encore, elle suce mal, cette salope !, elle va voir un peu !" 

Je suce du mieux que je peux, je sais que je suce bien, mais il me tient , je ne peux rien faire. 

" Défoncez-lui le cul avec l'autre gode, et continuez la fessée !"

L'homme qui était sous moi se retire alors et enfonce un gode dans mon cul. J'ai mal, je souffre, mais je l'ai voulu. Je ne sais pas comment faire pour que ça s'arrête et je ne veux pas que ça s'arrête. Les deux godes vibrent, je gémis, je pleure, mais je suce vaillamment. On me fesse. 

"Tu aimes ça, hein ? Tu as été vilaine, tu sais ce qui arrive quand tu es vilaine !!! Salope ! Chienne !"

Je suce maintenant trois queues, mais ça ne me suffit toujours pas. Le meneur, l'homme le plus cruel se place derrière moi et s'écrie :

"Suce ! Suce ! " 

Alors il s'empare des deux godes et les retire violemment de ma chatte et de mon cul, pour les y enfoncer aussitôt à nouveau. Il recommence, il me vide et me défonce, de plus en plus vite, je sens la douleur et l'extase qui arrivent, je suce, je suce, et je me fais défoncer la chatte et le cul par deux godes énormes animés par un monstre de cruauté sexuelle. 

Alors je hurle, je suis une furie du sexe :

"Défonce-moi ! Baise-moi !!!! Je suis une chienne !!!! Défonce-moi avec ces queues !!!! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!! »

Les trois autres ont profité de mon orgasme pour éjaculer sur mon visage et dans ma bouche. 

L'autre retire tout de mes orifices et me lèche langoureusement la chatte, accroupi derrière moi. Ses doigts s'égarent à l'intérieur. Je suis épuisée, mais j'en veux encore. Il le sait. Alors, d'un coup, il enfonce sa queue énorme dans ma chatte, ressort, l'enfonce dans mon cul en feu. revient dans ma chatte, puis dans mon cul. Le rythme s'accélère, encore et encore, et encore... les autres l'encouragent : 

"Vas-y, c'est une chienne, défonce -la !!!"

l'un deux en profite pour me pétrir les seins, et un autre retourne sous mon ventre pour me lécher. Cette fois, je vais exploser pour de bon…

"oui, c'est boooooooooooooooooooooon, défonce-moi ! lèche-moi, je suis à toi, baise-moi !!!!!!!!!!!!!!!!!! ouiiiiiiiiiiiiiiiiii encoooooooooooooooooooooooooooooooooooooore !!!!

Cette fois c'est fini. Je suis seule, sous une couverture, au chaud dans un lit douillet. L'hôtesse entre, me rend mes affaires et me dit : 

« On reprend rendez-vous pour la semaine prochaine ? »

FIN

1 commentaire:

  1. Dommage, j’aurais tellement aimé pouvoir découvrir le déroulement du prochain rdv. Un salon comme on aimerait en trouver plus souvent. C’est une idée formidable… Bravo

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