Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"
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Le centre commercial.
Finalement nous arrivons devant la maison de Daniel. C’est dans un quartier défavorisé. La maison est si petite et le bois est si vieux qu’elle paraît décrépite et sur le point de s’effondrer d’une seconde à l’autre. Il y a trois types assis sur le perron, en train de fumer. Ce sont tous des latinos comme Daniel. De toute évidence, ils partagent la maison avec lui dans une sorte de colocation.
- Allez salope !
Il s’adresse à moi juste après avoir garé la voiture sur la pelouse à côté de sa maison.
- J’ai tellement parlé de Miss Allumeuse à mes copains qu’il faut que je te présente à eux.
Je le regarde avec incrédulité. Je ne veux pas sortir de ma voiture dans ce quartier mal famé. Et je veux encore moins être présentée comme une salope aux amis de Daniel qui doivent être aussi voyous que lui. Mais je ne peux pas prendre le risque qu’il me traîne dehors.
Donc je sors de la voiture avec mon soutien-gorge noir bien visible au-dessus de mon chemisier blanc et mon nombril exposé. En marchant vers le porche, j’ai l’occasion de jeter un coup d’œil aux trois gars. Ils ressemblent à des membres typiques de gangs latinos, tatoués sur les bras, des pantalons kaki et des tee-shirts impeccables. Immédiatement je suis intimidée par leur seule présence. Daniel crie à ses amis :
- Quoi de neuf les potes ? Que pensez-vous de cette chaudasse ?
- Salut mon ami. Quelle belle salope !
Les amis du jeune latino répondent en sifflant et criant. Ça me fait rougir, je voudrais m’enfoncer sous terre. Puis, je vois le regard insistant de Daniel. Je comprends qu’il veut que je me présente.
- Bonjour les gars. Je suis la nouvelle salope de Monsieur Daniel. Dis-je honteusement.
L’un des jeunes tape dans la main tendue de Daniel en disant :
- Bravo poto ! Où as-tu trouvé ce vieux cul bien baisable ?
Daniel rit de la remarque de son copain alors que j’essaie de trouver un trou dans le sol pour me cacher. Je suis trop gênée pour regarder ces jeunes.
- C’est Madame Importante au boulot ! Toutefois c’est une petite allumeuse. Elle me drague au travail comme une salope facile.
Il se vante et pervertit les faits.
- Cette petite chatte aime toute l’attention qu’on peut lui apporter.
Puis il s’adresse à moi :
- Miss allumeuse est une vraie pute qui en redemande n’est-ce pas ?
La façon dont il me décrit me met en colère. Quel bâtard présomptueux ! Je ne suis pas loin de lui crier dessus, mais j’essaie de me retenir et de rester calme. Puis je remarque qu’il attend mon approbation. Il faut que je me force à regarder ses amis et à hocher la tête pendant qu’ils rient de moi. Je suis une fière dirigeante d’entreprise, et pourtant ici, j’affiche timidement mes appâts dans un quartier mal famé où des jeunes voyous me narguent. J’ai une crampe à l’estomac.
- J’aide cette salope à avoir toutes les bites qu’elle peut gérer. Dit Daniel, continuant ses vantardises.
Pour aggraver les choses, il sort son smartphone de la poche de son pantalon et il leur montre la photo qu’il est sur le point de supprimer. Pendant tout ce temps, je reste debout devant le porche, écoutant leurs commentaires salaces et leurs sifflets :
- Quelle sale pute !
- Waouw, ces gros nichons bien laiteux !
- Bon Dieu, ça c’est un gros cul blanc !
- Hé hé ! Devinez qui a un fan club maintenant ? Dit Daniel pour me provoquer en voyant mon indignation.
Le téléphone fait le tour. Tous ses copains regardent longuement la photo sur laquelle je suis en train de me faire défoncer le cul, où mes gros seins tombent sous moi et mes mamelons frottent la table de jardin.
- Oooooohhhh
Une ronde de ricanements déçus venant de ses amis accompagne l’effacement de l’image par Daniel.
A présent, tous ces rires, sifflements et cris ont attiré l’attention du voisinage. Certains voisins sont sortis de leur maison et se tiennent sur leur porche pour nous regarder. Les hommes me détaillent de façon flagrante, lorgnant ma poitrine gonflée à peine retenue par mon soutien-gorge noir. Je suis plus qu’embarrassée. Je veux simplement rentrer chez moi. C’est alors que, après avoir effacé la photo, Daniel s’exclame :
- Il est temps de boire une bonne bière ! A demain Miss Allumeuse !
Ensuite il pénètre dans sa maison après m’avoir fait signe de partir d’un seul geste. Sous les regards lubriques de ses voisins, je retourne à ma voiture et je repars. J’ai la chair de poule jusqu’à ma maison. Toute la soirée je repense aux évènements de la journée et j’ai du mal à dormir durant la nuit.
**** Semaine 1 – Mercredi ****
Le lendemain, j’essaie de rester le plus possible dans mon bureau. Je ne veux pas rencontrer Daniel, cependant je ne peux pas complètement l’éviter non plus. Étonnamment, il n’a pas de réaction déplacée lorsque je le croise. Il fait comme si je suis seulement une autre employée.
J’ai beaucoup de travail. Avec la crise financière, les affaires ne sont plus aussi bonnes qu’avant. Nous devons procéder à des restructurations. Les licenciements semblent inévitables et les indicateurs de performance de tous les employés sont étudiés. Il avait déjà été décidé que le nombre d’assistants serait réduit de moitié.
Une heure avant de partir, je pénètre dans mon bureau après une réunion fatigante avec ORTEGA et M. O’BANNON. A ma grande surprise, un colis est posé sur mon bureau. Comme je n’attends pas de livraison, je soupçonne immédiatement Daniel de l’avoir déposé ici. Je l’ouvre, les doigts tremblants. j’y trouve une lettre et une boite emballée dans du plastique. Le contenu de la lettre m’assomme : « Profitez bien de votre réputation de femme d’affaires hautaine, mais nous savons tous les deux que vous êtes très vicieuse. Je parie que tu es pressée de quitter le bureau parce que ta chatte nécessite de l’attention. Tu as sûrement rêvé toute la journée de servir la bite de ton homme n’est-ce pas ? Amusons-nous ce soir ! Je t’envoie un cadeau pour le faire. Avant de quitter le bureau, enlève ton soutien-gorge et ta culotte et utilise le cadeau à la place ».
Ce courrier me fait trembler. Daniel n’a pas l’air prêt de s’arrêter et je ne peux rien faire contre ça. Je n’ai pas fait beaucoup de progrès pour récupérer les photos compromettantes. La seule bonne nouvelle, c’est que j’aie été assez performante hier pour lui faire supprimer une des images.
Après avoir ouvert la boite, je suis choquée. A l’intérieur se trouve un œuf vibrant qui fonctionne avec une télécommande. Il veut que je mette un œuf vibrant dans ma chatte avant de quitter le bureau.
Je suis sur le point de tout abandonner. Je suis prête à aller voir le directeur de la société, M. O’BANNON et de lui dire tout au sujet de ma situation. Mais ça n’arrangera rien. Je perdrais toute chance d’être son successeur. Et cette révélation me hantera pour le reste de ma carrière.
Rapidement je me reprends et j’efface de mes pensées cet instant de désespoir. Je n’ai jamais abandonné aucun projet auparavant. Je me suis mise dans cette situation et je dois m’en sortir. Il ne me reste plus que quelques semaines à souffrir avant que le cauchemar se termine. Il faut que je serre les dents et que je supporte ces humiliations. La question n’est pas de savoir si je peux le faire. La question est de savoir si je vais pouvoir garder confiance en moi et ne pas perdre ma fierté dans cette épreuve.
M’envoyer un tel cadeau est un moyen efficace et perfide de s’assurer que je ne pense à rien d’autre qu’à la « soirée privée après le travail » avec Daniel.
A chaque seconde ma nervosité augmente. J’essaie de ne pas sombrer dans la panique en essayant d’avoir une approche rationnelle de ma situation. Je réfléchis encore et encore. Finalement il est temps. Mon cœur bat la chamade et j’ai du mal à respirer en entrant dans les toilettes pour femme. Je m’enferme dans une cabine et j’ôte mon soutien-gorge et ma culotte. Puis je pousse l’œuf vibrant dans ma chatte.
Le cœur battant, je m’examine dans le miroir. Je porte un chemisier rouge soyeux avec une veste de costume noire à rayures, une jupe crayon à rayures qui m’arrive aux genoux, et des bas noirs. La veste cache ma poitrine sans soutien-gorge sous mon chemisier. Ça me calme un peu les nerfs.
Je n’ai jamais été aussi consciente de mon corps qu’au moment où je me suis précipitée dans les escaliers pour sortir de l’immeuble. Sans ma culotte, je me sens si exposée. Le fait de sentir l’air froid sur ma chatte sensible me fait me sentir complètement nue. Et à chaque pas je pense à l’œuf qui se trouve dans mon intimité.
J'ai comme une impression de déjà-vu lorsque je sors de l'immeuble. Je retrouve Daniel debout près de l'entrée en train de fumer. Heureusement Ortega n'est pas dans les parages. Le jeune latino me salue avec un sourire sournois, mais il ne dit rien. Je sais ce qu'il attend.
- La pute est prête à servir Monsieur Daniel ! Récité-je pour démarrer la « fête après le travail ».
Ensuite, volontairement, je lui remets les clés de ma voiture. Je lui laisse ainsi tout contrôle sur le reste de la soirée. Comme c'est une idée et le terrain de jeu de Daniel, c'est lui qui prend toutes les décisions. Ça fait partie de notre marché même si je n'aime pas ça. Il prend mes clés, mais continue de tendre la main jusqu'à ce que je lui remette la télécommande de l’œuf.
- Montre-toi Mademoiselle Allumeuse ! Dit-il quand nous sommes enfin assis dans la voiture.
Je lutte contre mes émotions et je dois me forcer à ne pas fuir. De toute façon ça ne servirait à rien et demain je retrouverai Daniel au travail. Donc je fais glisser ma veste à rayures de mes épaules et je déboutonne mon chemisier pour prouver que je ne porte pas de soutien-gorge. Après avoir défait ces boutons, je saisis ma jupe à fines rayures et je la fais rouler sur mes hanches.
Je me retrouve assise cul nu sur le siège en cuir, le chemisier complètement ouvert. Il couvre à peine mes mamelons et me laisse une large bande de peau nue visible. Mon décolleté est profond et bien exposé. On aurait dit que je portais une paire de bretelles. Une fois la veste enlevée et le chemisier ouvert, il ne reste plus grand-chose du costume de femme d'affaire conservatrice
Et pendant tout ce temps, nous restons sur le parking devant notre immeuble de bureau. A tout moment, un de mes collègues peut passer et me voir dans cette situation. Je retiens mon souffle de peur. Néanmoins, je ne peux pas nier que j'ai également ressenti un frisson traverser mon corps pour cet exhibitionnisme.
- Ohhhhhhh…
Je gémis soudainement. Avant de démarrer le moteur, Daniel a activé l’œuf pour le faire vibrer dans ma chatte. Mon corps réagit immédiatement et mes jambes s'ouvrent puis se ferment. Les vibrations sont si puissantes qu'elles font instantanément palpiter ma chatte.
- Bien, tu as passé le premier test. Dit le jeune latino après s'être assuré que l’œuf vibrant est bien implanté dans mon sexe.
Puis il démarre ma petite voiture de sport et quitte le parking. Une fois de plus, nous traversons la ville en voiture alors que j'ai les seins à l'air. J'espère de tout mon cœur que ça ne va pas devenir une habitude. Cependant le jeune garçon ne me demande pas de lui faire une fellation comme l'autre fois. Au lieu de ça il a en tête un nouveau petit jeu idiot. Il me dit soudainement :
- Je suis prêt à parier que tu vas faire une tâche humide sur ton siège, salope.
- Sûrement pas ! Dis-je précipitamment avec un air de dégoût.
- Si tu le dis ! Faisons un quiz alors, jouons à deviner des chansons.
Il m'explique alors les règles de son jeu :
- Nous allons essayer de deviner les titres des chansons. Si je devine le premier, je mettrais en marche l’œuf vibrant jusqu'au début de la prochaine chanson. Si tu devines la première, tu pourras remettre un bouton de ton chemisier. Si tu parviens à refermer tous les boutons, je supprimerai une autre photo.
Il m'offre une autre chance d'effacer une autre photo. C'est une vraie chance pour moi et je dois la saisir à tout prix. Donc je décide de jouer à son jeu. Daniel bascule sur une radio jouant des chansons assez populaires afin que nous ayons les mêmes chances tous les deux.
Je prends un bon départ en devinant correctement les deux premières chansons. L'un après l'autre, je ferme deux boutons de mon chemisier rouge. Toutefois ça ne change pas grand-chose, ma poitrine étant encore bien exposée.
La chanson suivante commence alors que nous nous arrêtons à un feu rouge. Pendant une seconde, je suis distraite, car je jette un coup d’œil à la voiture s'étant arrêtée à côté de nous, à droite. Le chauffeur me regarde. Il a une vue parfaite sur mon sein gauche. Tout d'un coup, j'ai la chair de poule et mes mamelons deviennent durs. Ça ne fait qu'empirer les choses, car mes tétons pointent contre le tissu du chemisier et le soulève encore plus, ce qui permet à l'inconnu d'en voir plus.
Et pendant ce temps, Daniel exploite ma distraction et devine le titre de la chanson avant moi. Au même moment où il dit le titre, je me plie en deux. Il a démarré l’œuf à mi-puissance et celui-ci vibre sans merci dans ma chatte.
- Ooooooohhhhhh… Commencé-je à grogner.
J'essaie de faire de mon mieux pour rester immobile, mais je n'y peux rien. Je ne peux pas m'empêcher de me tortiller sur mon siège. Tout mon corps commence à trembler et mes épaules se balancent d'un côté à l'autre. J'éprouve le besoin impérieux de toucher ma chatte. Je veux désespérément frotter mon clitoris et faire rouler mes mamelons entre mes doigts. Mais je me retiens. Je ne donnerai pas cette satisfaction à Daniel.
- Ohhhhhhhh… Aaaaaaahhhhhh… Oooohhh… Continué-je à gémir sans complexe.
Quand je tourne mon visage sur le côté, je remarque l'étranger dans la voiture à côté qui me surveille attentivement. Il a bien vu ma bouche ouverte de convoitise. Il m'a vu gémir de plaisir. Il vient d'avoir un superbe spectacle. Alors je ferme les yeux pour essayer de l'oublier avant que la honte me submerge. Je me concentre sur le tourbillon de sensations qui traversent ma chatte et mon corps et je n'ouvre les yeux qu'après que la voiture se soit remise en marche.
Ensuite, je devine la prochaine chanson, ce qui me permet de fermer un troisième bouton. Mais ce n'est pas une aussi bonne idée que ça. Avec trois boutons fermés, le chemisier rouge n'est plus lâche. Au contraire, il se resserre et le tissu se plaque fermement contre mes seins, faisant pointer mes mamelons à travers le fin matériau. Et ça ne rend que plus évident que je ne porte pas de soutien-gorge.
Une nouvelle chanson démarre et Daniel est rapide et annonce le titre. Une fois encore il allume l’œuf vibrant. Mais cette fois il le règle au niveau maximum. Mes jambes s'animent sous la force des vibrations. Elles s'ouvrent et se ferment comme un porte lors d'une tempête.
- Oooohhhhahahahhhhhaaaaahhhh ! Gémis-je à pleins poumons.
Je me contorsionne sur mon siège. Mes mouvements sont si brusques que mon chemisier glisse de mes épaules. Mes deux gros globes de chair bien ronds sortent de leur prison et pendent au-dessus de mon chemisier à moitié fermé. Je n'en peux plus ! J'ai besoin de me toucher ! Saisissant chaque mamelon avec mes mains, je les roule entre le pouce et l'index.
Je sens le jus de ma chatte couler le long de mes cuisses et je sais ce que ça veut dire. Je suis complètement consternée. J'ai échoué, car je fais une tâche humide sur mon siège en cuir. Daniel ne supprimera pas une autre photo.
Je me mords les lèvres de frustration, car je déteste perdre. Même si c'est un jeu vulgaire et dégradant, je ne peux pas supporter de perdre face à ce jeune latino. Sans y faire attention, je continue à faire rouler mes mamelons entre mes doigts, m'excitant de plus en plus. Je peux sentir un gros orgasme se construire au plus profond de moi. Mais tout à coup, les vibrations ont cessé et la voiture s'est arrêtée.
Je réalise que Daniel est en train de reculer sur une place de stationnement. Il n'est pas revenu chez lui mais m'a emmené dans un centre commercial qui ne se trouve pas loin. Ce centre ressemble au reste du quartier, il est minable et délabré avec beaucoup de magasins fermés. Il est assez petit avec un parking au milieu, des restaurants sur la droite et divers magasins sur la gauche.
Rapidement, je regarde tout autour. Heureusement il n'y a personne dans les voitures garées à côté de nous. Saisissant les pans de mon chemisier rouge, je commence à le remonter sur ma poitrine, Mais Daniel m'arrête :
- Tsss Tsss Mademoiselle Allumeuse, la prochaine chanson n'a pas encore démarré. Le jeu n'est pas terminé.
Je le regarde en l'implorant du regard, mais je ne peux me résoudre à le supplier. Après tout, je suis toujours une fière dirigeante d'entreprise, même si je ne ressemble pas à ça pour le moment. Je ne m'offrirai pas cette honte.
Nous sommes donc assis dans ma voiture de sport qui est stationnée lorsque la prochaine chanson démarre. Je l'ai déjà entendue auparavant, mais je n'arrive pas à me souvenir de son putain de titre. Heureusement Daniel ne le sait pas non plus. Je l'ai sur le bout de la langue. Quand le refrain démarre j'ai un déclic et je donne le titre. J'ai gagné le dernier tout.
Je ferme le quatrième bouton. C'est celui qui se trouve juste entre mes seins. De cette façon ils sont de nouveau recouverts par le tissu. Toutefois, avec les boutons ouverts au-dessus, mes gros nichons sont gonflés vers le haut. Ça me paraît bien trop révélateur à mon goût et je me maudis de ne pas avoir deviné les deux chansons qu'avaient trouvées Daniel.
Ce petit voyou macho sort de la voiture et je fais de même avec hésitation. En regardant tout autour de moi le centre commercial, je pousse un soupir de soulagement. Il est assez loin de mon quartier pour que les chances que je rencontre quelqu’un que je connais soient assez minces.
- Voyons voir le résultat ! S'écrie Daniel.
Comme je le connais déjà, je ne supporte pas que ce macho me le jette à la face. Une tache sombre est clairement visible sur le siège passager en cuir. C'est tellement visible que je suis mal à l'aise d'avoir fait un tel gâchis.
- Ah, le résultat est clair ! S'exclame le garçon après avoir inspecté le siège.
Il ne laisse pas passer l'occasion de me narguer :
- Alors, j'ai l'impression que tu as bien aimé mon petit jeu. Mais notre soirée n'est pas terminée. Alors, tout d'abord, nettoie ma voiture. Puis nous irons faire un petit tour.
Bien évidemment, le fait qu'il prétende maintenant qu'il s'agit de sa voiture ne passe pas inaperçu. Je ressens le besoin de lui faire remarquer, mais je décide plutôt de ne pas envenimer la situation pour le moment. Alors, sans un mot, j'ouvre mon sac à main pour y chercher des mouchoirs. Je veux en finir le plus vite possible.
- Attends salope ! Ce n'est pas comme ça qu'une pute nettoie ses dégâts.
Daniel me dit ces mots sur un ton de reproche comme si c'était quelque chose que tout le monde sait. Je me fige. Que veut ce sale macho maintenant ?
- Bon dieu ! Qu’elle est stupide ! Ta langue ! Sers-t’en comme d'un chiffon ! S'exclame-t-il quand il voit que je ne bouge pas.
- Ma… ma… langue… ?
Je suis complètement décontenancée par cette suggestion et je crie :
- Mais c'est dégoûtant !
Le jeune garçon rit devant mon visage outré.
- Hé hé ! Dégoûtant mais parfaitement adapté à une sale pute. Tu vas le faire ou tu préfères attendre là que les gens reviennent à leur voiture Mademoiselle Allumeuse ?
Il a raison. Il est clair qu'il ne va pas céder. Et attendre ne m'aiderait pas non plus. Qu'il parle des personnes qui pourraient apparaître me donne la motivation dont j'ai besoin. Je me place donc devant la porte passager ouverte.
- Et ne t'aide pas de tes mains ! Dit le voyou quand il voit que je les pose sur le siège.
Rapidement je les enlève. Ce sale macho joue avec moi en repoussant mes limites et en me forçant à m'exhiber dans un lieu public. Dans ma tête, tout est confus. Mon humeur oscille entre la colère, la frustration, l'embarras et l'humiliation. L'obscénité de la situation me terrifie. Mais d'un autre côté je suis excitée par mon côté exhibitionniste. Amèrement je pense qu'il sait bien s'amuser de son jouet.
Daniel saisit mes bras et les tient fermement derrière moi. Puis, en appuyant une main sur mon dos, il me force à me pencher. La façon dont il me traite me force à lui obéir. Il n'hésite pas, il ne tolère aucune objection et il ne me laisse pas le choix. Ce macho arrogant a un contrôle total de la situation. Il me montre qu'il obtiendra tout ce qu'il voudra.
Je sens ma jupe serrée remonter. Je dois me pencher profondément pour atteindre le siège avec mon visage. La jupe monte de plus en plus haut. En jetant un coup d’œil derrière moi, je remarque que le haut de mes bas noirs est bien visible maintenant. Je ressens de nouveau un tiraillement d'humiliation me traverser. Je ressemble à une vraie salope. Et en plus, j'ai l'impression d'être un animal de compagnie impuissant dans cette position, les mains dans le dos.
Lorsque Daniel pousse mon visage à quelques centimètres au-dessus du siège en cuir, j'ouvre la bouche et je tire la langue. Je ne veux pas faire ça mais le comportement exigeant et sans compromis du jeune latino me pousse à obéir. D'une certaine manière je suis soumise volontairement.
- Oui c'est ça salope ! Utilise ta langue, rends-toi enfin utile ! Dit-il pour me ridiculiser tout en me lâchant les bras.
Bien qu'il ne me tienne plus, je garde ma position penchée et je commence à lécher. Des tonnes d'émotions conflictuelles tournent dans ma tête. J'ai honte d'être un jouet dans un lieu public. J'ai honte de céder aussi facilement, de lui laisser l'autorité sur mon corps. Mais par-dessus tout, j'ai honte d'être aussi excitée par le traitement du jeune homme.
Je me sens si vicieuse en léchant mon jus de chatte sur mon siège auto. Je me sens si vicieuse de garder volontairement cette position avec mes fesses à l'air et le visage sur le siège. Je me sens si vicieuse de savoir que ma jupe est remontée si haut que la courbe de mes fesses est bien visible.
Une brise froide souffle sur mon cul. Et, à ma grande consternation, le jus de ma chatte continue de couler le long de mes cuisses, même si l’œuf vibrant est arrêté. Ce n'est pas possible ! Il faut que ça s'arrête ! Je vais me réveiller. Ce comportement pervers est un rêve. Je refuse de croire que c'est réel.
Tout en étant plongée dans mes réflexions et luttes internes, consciencieusement, je fais le tout de la zone humide. J'ai l'impression que des heures entières passent avant que je finisse de tout enlever le liquide collant du siège. Une fois le travail terminé, je me redresse. En regardant tout autour de moi je ne vois personne sur le parking.n Mais je ne sais pas si quelqu'un est passé pendant que j'étais occupé. Daniel lève simplement les sourcils lorsque je le regarde d'un air interrogateur. De toute façon, il ne me dira rien, préférant me laisser dans l'incertitude. Mais ne pas savoir ne fait que m'exciter encore plus.
- Allons manger un morceau ! Suggère finalement Daniel.
Le centre commercial n'est pas très attrayant pour aller dîner. Il y a plusieurs établissements de restauration rapide avec des tables et chaises placées devant les devantures. La plupart des gens sont assis à l'extérieur pour manger.
Toutefois, je ne peux rien faire d'autre que suivre Daniel vers un restaurant vendant des tacos. Debout derrière le comptoir, le vendeur a le regard braqué sur moi. Ses yeux suivent ma longue chevelure châtain qui coule le long de mes épaules jusqu'à mes seins bombés. Mes cheveux sont comme une flèche pointant vers ma poitrine sans soutien-gorge. Les yeux du vendeur se sont perdus dans mon décolleté profond.
Nerveusement je passe d'un pied sur l'autre. J'ai l'impression d'être seulement un morceau de viande inspecté par des acheteurs potentiels. Pendant ce temps, Daniel commande le repas. Mon Dieu ! Ce voyou sait comment m'humilier. Étrangement, je suis impressionnée par la façon dont il a transformé ma tenue puritaine de femme d'affaire en tenue sexy. Les regards lubriques me brûlent et m'excitent tellement que ça en est insupportable.
Après avoir acheté le repas, Daniel continue à vouloir me mettre dans l'embarras. Il suggère que nous allions acheter des boissons au café situé à l'autre bout de l'espace restauration du centre. Cela veut dire qu'il va falloir que je défile dans ma tenue moulante devant tout le monde. Merde, il s'amuse de moi !
Involontairement je me voûte un peu et je me dirige vers le café tandis que Daniel me suit, le repas dans ses mains. L'allée est assez étroite et je dois passer près des gens assis devant les différents restaurants. Je n'ai aucun moyen de me cacher.
J'ai l'impression qu'un projecteur est braqué sur moi. Tous les hommes me regardent quand je passe. Je sens leurs yeux détailler mon corps et remonter sur mes jambes et mes bas. Cette impression ne fait que rendre mes tétons un peu plus durs. Ils poussent le tissu fin de mon chemisier rouge. Mes mamelons durcis crient à tout le monde que je ne porte pas de soutien-gorge.
Je suis comme une vraie salope qui fait un défilé dans un centre commercial minable. Chaque regard envoie des picotements sur ma peau. J'ai envie de toucher ma chatte. Je suis désespérée après avoir presque eu un orgasme fulgurant dans ma voiture. Toute cette attention me monte à la tête… ou plutôt à la chatte. Je suis en colère pour ça, mais aussi complètement impuissante.
A mi-chemin du trajet, je suis obligée soudainement de m'arrêter. Les vibrations recommencent. Daniel a de nouveau activé l’œuf vibrant. Je dois saisir une chaise pour rester stable et ne pas m'écrouler sur le sol. Malheureusement, la chaise est occupée. Je bascule sur un homme d'âge moyen avec une barbichette. Mes gros seins se pressent sur sa poitrine quand il m’attrape les épaules pour me stabiliser. Puis il me tient fermement, mes nichons ronds et souples contre lui.
Dans cette position, un peu écroulée, je sens ma jupe moulante remonter. Involontairement mon cul commence à trembler, alimenté par les vibrations vigoureuses de l’œuf. Au fond de moi, je désire que l'homme sur sa chaise me caresse les fesses. Mais je me ressaisis et je me dépêche de me redresser. Il faut que je garde un peu de décence.
- Je suis désolé Monsieur ! C'est un accident, j'ai trébuché. M’excusé-je dans un souffle saccadé.
L'homme me réprimande en réponse :
- Regardez où vous allez ! Trop écervelée pour marcher avec ces talons hein ?
Ce reproche me fait sentir comme une gamine indisciplinée. Il faut que je me sorte de là. Mais je ne peux pas partir. Je suis là, au milieu, comme figée. Je n'arrive pas à faire un autre pas.
Au lieu de ça, mes jambes tremblent de façon incontrôlable. Je sens mes genoux faiblir. Maintenant, tout mon corps tremble. Involontairement, je serre les jambes et je pousse mon cul en arrière. Je dois vraiment avoir l'air d'une salope en frottant mes cuisses l'une contre l'autre et en exhibant mon cul dans des mouvements circulaires. Ça doit être un spectacle obscène, Augmenté par la tension de ma jupe qui montre chacune de mes courbes.
Tous les gens aux terrasses regardent chacun de mes mouvements. Ma respiration devient plus rapide alors que l’œuf continue à vibrer sans merci. Je lutte pour ne pas gémir. Je ne peux quand même pas jouir ici devant tous ces regards scrutateurs, ça serait trop embarrassant. Lentement j'avance un pied, puis l'autre, et je recommence…
Tout en suant de peur de tomber par terre, j'avance. Avec précaution, je reprends le trajet beaucoup plus lentement qu'auparavant. Mes hanches se balancent de façon exagérée et obscène d'un côté sur l'autre. Maintenant, je fais un vrai défilé de salope ridicule. A chaque pas j'ai l'impression que je vais tomber la figure en avant.
Les gens chuchotent entre eux. Ils parlent de moi pendant que je chancelle. Maintenant, je transpire si fort que mon chemisier devient collant, ce qui ne fait qu'ajouter à mon apparence de salope. Il me faut des siècles pour arriver au café.
Au moment où j'en franchis la porte, les vibrations cessent. Je m'arrête à la porte et je prends de grandes respirations avant d'aller passer commande. Le vendeur est plus que désireux de me servir deux cafés en regardant ma poitrine. Alors que je suis sur le point de le payer, il se penche sur le comptoir et murmure :
- Veux-tu savoir ce que je propose ? Tu me montres tes gros seins et tu as les cafés gratuitement.
Il me faut quelques instants pour réaliser ce qu'il vient de m'offrir. Quand je comprends, je souhaite que le sol m'engloutisse. Il a vu mon accoutrement et me prend pour une femme facile. Son offre est plus dégradante pour moi que tous les regards lubriques que je viens de subir. J'hésite. Je veux quitter le café en courant mais je sais que Daniel aimerait que j'accepte la suggestion du vendeur. Cependant c'est trop pour moi, je ne peux pas faire ça.
- Vous devez vous tromper !
Je lui dis ces mots d'un air contrarié et je jette l'argent sur le comptoir avant de saisir à la hâte les boissons et de sortir précipitamment du magasin.
Bouillonnant de colère sur cette offre indécente, je rejoins Daniel qui m'attend dehors. Devant le café, se trouvent plusieurs tables avec des chaises hautes. Quand finalement j'arrive à m'asseoir sur une chaise à la table choisie par Daniel, je suis vidée comme si je venais de faire un marathon. Ce jeune salaud sait me faire souffrir. Mais, à mon grand désarroi, mon corps réagit à ce traitement, me faisant perdre tout contrôle.
- Tu sais vraiment te pavaner Mademoiselle Allumeuse ! Dit le latino avec un petit rire.
Puis, pour ajouter à ma honte, il dit :
- Tous ces hommes n'en ont sûrement pas assez de regarder ton beau cul de vieille. Donne leur un beau spectacle. Écarte les jambes !
Soudain je comprends pourquoi il a choisi ce bar. C'est pour les chaises hautes. Nous sommes assis plus haut que toutes les autres personnes dans le centre commercial. Ceux-ci ont une vue parfaite sur ma jupe. Si j'écarte les jambes, ils pourront facilement voir ma chatte nue.
Je suis vraiment bouleversée par la façon dont il joue avec moi. Je suis tellement en colère que je ne peux trouver le moyen de l'arrêter. Je suis en colère de me sentir aussi impuissante. Toutefois, étant une personne réfléchie, je suis trop fière pour tout arrêter maintenant. Je n'avais pas réussi à gagner son jeu alors je dois en subir les conséquences. C'est le contrat non ?
Le dos à la devanture du café, j'écarte lentement les jambes. Être exposée d'une façon aussi obscène me fait rougir. Mon visage doit être d'une couleur rouge betterave pendant que mon corps tremble.
Assise, les jambes ouvertes, je surveille les personnes tout autour de nous. Un homme assis en face du café jette un œil sur ma jupe et me sourit. Embarrassée, je ferme les yeux. Puis soudainement j'ouvre les yeux en grand et j’agrippe la table pour m’empêcher de basculer. Daniel a rallumé l’œuf vibrant. Et il l'a réglé au plus haut niveau. Les vibrations m'ont frappée avec une telle force que mes dents se sont entrechoquées.
Puis l’œuf s'arrête aussi soudainement qu'il a commencé. Je jette un regard perplexe sur le jeune latino. A quoi joue-t-il encore ?
Tu as attrapé un regard, tu mérites une récompense. Déclare-t-il d'un ton neutre.
Je sens ma peau se recouvrir de chair de poule. A chaque fois que quelqu’un regarde mes jambes et ma jupe, Daniel allume l’œuf. Comment vais-je arriver à supporter cela ? Je jette un regard suppliant au jeune macho mais son air reste sévère. Alors je reste assise sur la chaise haute, les jambes bien écartées. J’ai l’impression d’être transpercée par des aiguilles à chaque fois que quelqu’un me regarde.
Sur le regard dégoûté d’une femme, l’œuf recommence à vibrer et mon excitation atteint son apogée. Je dois gémir à haute voix. J’ai besoin d’exprimer mon envie. Mais je ne peux pas faire ça, pas au milieu de l’espace restauration du centre commercial. Je serre désespérément les lèvres pour étouffer tout son qui pourrait sortit. Mais mon corps brûle comme si on y versait dessus de la lave.
Daniel grignote ses tacos pendant que je gigote nerveusement sur la chaise. J’ai droit encore à dix regards, des regards dégoûtés de femme et des regards lubriques d’hommes. A chacun des regards, l’œuf vibrant redémarre et à chaque fois, ça dure un peu plus longtemps.
La quatrième fois, je n’arrive pas à rester immobile. Lorsque les vibrations commencent, mes hanches commencent à bouger toutes seules. Je remue sur la chaise, soulevant légèrement mon cul pour sautiller en l’air. Je ne peux pas contrôler mes mouvements. Mon corps obéit à mon état d’excitation.
- Hhhhmmmmmm !
La sixième fois, des gémissements étouffés commencent à franchir mes lèvres. La sueur s’accumule sur mon front. L’œuf met le feu à ma chatte. Je ne suis pas loin de l’orgasme. Je suis sur le point de jouir en public ! En plein milieu d’un centre commercial miteux avec des dizaines de personnes aux alentours ! Je suis vraiment humiliée ! Mais toutes ces émotions ne font qu’alimenter mes envies.
A présent, le couple assis à côté de nous a pris conscience de mon comportement bizarre. Ils commencent à chuchoter tout en fronçant les sourcils devant mes mouvements ridicules. Je peux les voir rapprocher leur tête pour murmurer de la salope lubrique.
Ils savent ! Ils savent ce qu’il se passe ! J’ai tellement honte que je ne peux pas les regarder. Toutefois, je n’arrive pas à rester immobile sur ma chaise. Je suis à bout. Je voudrais désespérément toucher mon clitoris et le titiller. Mais je n’ose pas. Je garde mes mains sur la table. Je suis sur le point de jouir simplement à cause d’un œuf vibrant. Je suis vraiment une vraie salope.
- Hhhmmmm ! Hmmmm… HMMMMM !
Finalement, la douzième fois j’explose. En me tortillant sur la chaise, je laisse l’orgasme se produire. Vague après vague, l’extase parcoure ma colonne vertébrale. Je fais de mon mieux pour ne pas gémir et crier. J’oublie complètement le couple à côté. Je ne peux pas dire combien de temps dure ma jouissance, mais quand j’ouvre les yeux, le couple est parti.
Le visage souriant de Daniel me regarde. Visiblement il a apprécié mon show de salope débridée. Cependant j’ai encore beaucoup de mal à croire que c’est arrivé. Je viens de jouir au milieu d’un centre commercial. Avec lassitude je regarde autour de moi et je vois plusieurs hommes qui me fixent. Mon orgasme public n’est pas passé inaperçu. Encore une fois, mon visage prend des nuances de rouge très profondes. J’ai l’impression que le rouge de ma honte ne disparaîtra plus.
Et pendant que je jouissais sous les yeux d’un public, Daniel a fini ses tacos et son café. Il est prêt à partir et je suis plus que ravie de m’éloigner des tous ces hommes.
- N’as-tu pas oublié quelque chose Miss Allumeuse ? Me dit Daniel quand nous arrivons à ma voiture.
Au début, je ne comprends pas ce qu’il veut. Mais je réalise vite. L’objectif des « soirées après travail » de Daniel est de le faire jouir. Et il ne l’a pas encore fait.
- S’il vous plaît Monsieur Daniel, puis-je vous sucer ? Demandé-je automatiquement sur le parking.
Woah, j’ai même pas réfléchi. J’ai parlé comme une vraie pute. Comment puis-je être aussi stupide ? Mais ça ne semble pas être un problème pour lui. J’ai agi comme une vraie salope.
- Ces lèvres étaient déjà enroulées autour de ma bite hier. Dit-il pour rejeter mon offre.
Sa réponse me laisse là comme une idiote. Je viens de lui offrir mes services de la manière la plus vulgaire que je puisse imaginer. Et il l’a repoussé de manière arrogante et stupéfiante.
- Il est temps que je sente tes gros nichons. Dit-il.
Puis il ajoute :
- Allez petite chatte, sors tes gros melons bien mûrs et utilise-les à bon escient !
Involontairement, je souris à sa suggestion. Il ne me rejette pas, il veut simplement varier les plaisirs. Je ne regarde même pas autour de moi dans le parking. Je défais les boutons de mon chemisier rouge. Immédiatement mes gros seins jaillissent, libérés de leur prison. Mon Dieu, ce macho arrive à me faire faire n’importe quoi en un temps record.
Pendant ce temps, Daniel ouvre la porte conducteur et s’assoit sur le siège, les jambes hors de la voiture. Je me mets à genoux et je me penche entre ses jambes écartées. Je sens le béton du parking déchirer mes beaux bas noirs. Je prends en coupe mes seins moelleux et je les soulève comme si je présentais de la marchandise à un acheteur. Puis je frotte mes seins l’un contre l’autre pour faire bouger mes chairs.
J’allume le jeune latino comme si j’étais une de ses petites copines. C’est dégoûtant mais je suis bien trop excitée pour m’arrêter.
- Fais ça bien, mouille les, salope ! Ordonne Daniel d’un ton rugueux.
J’hésite. Son ordre est si vicieux et la situation bien trop obscène. Je regarde autour de moi. Nous sommes seuls mais ça ne m’aide pas à me sentir moins salope.
Mais Daniel trouve que mon hésitation dure beaucoup trop. Alors il saisit mes longs cheveux châtains et me baisse ta tête. Une fois de plus son comportement dominant et rude me pousse à me soumettre. Je me comporte comme une bonne chienne et je crache. Je frémis quand je sens mon crachat se poser sur l’intérieur de mon sein droit. Puis je continue à frotter ma poitrine avec ma salive.
- Crache encore sale pute ! Utilise tes doigts pour te faire saliver ! Demande le macho.
Il est vulgaire et pourtant si imposant. Je ne peux pas résister. Quelle honte, je suis comme du mastic dans ses mains. Et bien que je me maudisse pour cet aveu d’impuissance, je ne peux rien faire contre. A cet instant, je suis vraiment sa poupée obéissante.
Ouvrant la bouche, je mets trois doigts entre mes lèvres. Je continue à la pousser à l’intérieur jusqu’à ce que je m’étouffe. Faire entrer et sortir mes doigts de ma bouche me fait étouffer à plusieurs reprises. Je me baise la bouche avec trois doigts à genoux sur le sol crasseux d’un parking public. Je suis furieuse que ce connard m’utilise, de la façon dont je lui obéi et de la façon dont il me fait frémir.
Finalement je retire les doigts de ma bouche. Ils sont complètement recouverts de bave blanche et mousseuse. Une toile de salive s’est formée et relie mes doigts. Quand j’examine de près ma main, je suis dégoûtée. Mais en regardant Daniel, je vois à quel point mes actions le fascinent. Bon sang, sa réaction m’excite. J’essuie ma main sur mes gros nichons. Ils sont mouillés et brillent. Ils sont prêts à être utilisés.
Une nouvelle fois, je soulève mes deux seins en coupe et je les pousse sur la bite dressée du latino. Il ne bouge pas, s’attendant avec arrogance que je fasse tout le travail. En pressant mes deux globes, je forme un profond canyon pour sa bite. Puis je commence à faire glisser ma douce poitrine de haut en bas de son sexe. Je prends de la vitesse comme si je voulais poncer sa queue.
Après avoir été témoin de tous mes comportements indécents, ce macho est trop excité pour tenir bien longtemps. Il me faut que quelques minutes pour pomper sa queue avec mes deux gros globes de chair avant que je ne sente le latino se raidir.
Cependant, avant de cracher sa semence, Daniel saisit son membre de chair avec sa main droite tout en saisissant mes longs cheveux châtains avec sa main gauche. Il tire dessus pour pencher ma tête en arrière, juste à temps avant que le premier jet jaillisse de sa bite. Oh merde, c’est une salve qui ne semble pas vouloir s’arrêter. Le latino guide son jet sur mon visage qu’il repeint avec une pâte blanche épaisse. Il me semble qu’il n’y a eu qu’un seul long jet de sperme visqueux. Il a dessiné sur ma bouche quelque chose qui ressemble à une moustache en forme de U qui s’étend d’une joue à l’autre.
- Hé hé ! Joli look pour une pute ! Commente-t-il son travail.
Puis avant que je commence à me nettoyer le visage, il m’ordonne d’un ton sec :
- Laisse ça comme ça petite chatte !
Résignée à mon sort, je réagis mécaniquement. Je me relève du sol en gardant le sperme épais qui commence à sécher sur mon visage. Quand je monte dans ma petite voiture de sport, je remarque que mes jolis bas noirs ont été déchirés sur le béton du parking, ce qui rend encore plus vulgaire ma tenue.
En rentrant à la maison, j’essaie de garder le visage baissé afin d’éviter les regards. Mais, bien sûr, ça ne marche pas et quelques voitures ont klaxonné. A chaque fois que l’une d’elles klaxonne, je sursaute et je rougis, ma chatte palpitant en même temps.
- Allez salope, montre à mes potes les fruits de ton travail ! Demande Daniel quand nous arrivons devant sa maison.
Une fois encore, ses trois copains latinos traînent sur le perron, fumant et buvant de la bière. Je m’avance devant le porche et présente ma tenue. Ses copains aiment de la façon dont mon chemisier soyeux et rouge est à demi-ouvert et gonflé par mes seins sans soutien-gorge. Tout en montrant les trous dans mes bas noirs, ils s’amusent à me traiter de vieille salope. Mais surtout, ils adorent mon visage couvert de sperme.
- Quel visage de pute ! Dit un des trois gars.
- Hé hé hé, je suppose que nous sommes tous d’accord avec ça. Tu as un beau visage. Dit Daniel.
Ces propos dégradants me font sombrer dans une colère froide et impuissante, ce qui fait rire les gars quand ils me voient m’énerver et serrer les poings d’impuissance. Pour me mettre encore lus en colère, ils me font tourner plusieurs fois sur moi-même afin d’admirer les courbes de mon corps.
Je suis plus que contente quand finalement je suis autorisée à gratter le sperme séché de mon visage. Daniel me demande de le lécher sur mes doigts. Le goût est fort et j’ai du mal à avaler toute la substance. Mais ce n’est rien en comparaison du soulagement de voir enfin la semence dégoûtante disparaître et d’être autorisé à rentrer chez moi.
A suivre…
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