Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"
****
Le lavage de voiture.
---- Semaine 1 — Mercredi ---
En arrivant à la maison il me faut un peu de temps avant que mon cerveau se remette à fonctionner. J'ai du mal à assimiler tout ce qui vient de se passer. L'arrogance et la désinvolture avec lesquelles Daniel m'a exhibée au centre commercial m'ont totalement choquée. Et je suis encore plus choquée de l'avoir laissé faire aussi facilement.
J'ai l'impression d'avoir franchi une ligne et de ne pas pouvoir revenir en arrière. Je sens que je perds complètement le contrôle de la situation. Il faut que je fasse quelque chose sinon il sera trop tard. Je ne peux plus attendre !
Je me sers un verre de vin pour me calmer les nerfs. Mes pensées se déchaînent dans ma tête. Il me faut bien deux verres avant que la tension s'atténue. J'ai toujours été intelligente. Je vais trouver une solution et je vais la trouver rapidement.
---- Semaine 1 — Jeudi ---
Le lendemain, je reçois un SMS de Daniel avant de quitter la maison. Il ne me lâche pas ! Il me donne des ordres pour emmener une tenue bien particulière au travail. Il veut que je mette dans mon sac, un haut court, un mini-short aussi, un bikini et une paire de talons assortie.
La lecture du message me remplit de colère. Je n'aime pas la façon dont il me commande. Je suis sur le point de refuser ses ordres. Mais je me suis jurée de prendre une décision aujourd'hui. A cet égard je dois me montrer intelligente. Cela ne m'aidera pas si je fâche Daniel. Donc, en final, je lui obéis.
Je fourre dans mon sac à main un petit haut blanc et fin qui laisse voir mon ventre ainsi qu'un jean déchiré par moi-même bien au-dessus des genoux. Ensuite je recherche dans mon placard un bikini qui pourrait aller. Je ne peux pas reprendre le rouge que j'avais quand j'ai rencontré Daniel. Il veut quelque chose de nouveau, quelque chose d'aussi petit.
Toutefois, je n'ai qu'un seul bikini répondant à ses exigences. Je l'avais acheté avec mon ancien copain lors d'une virée shopping pour pimenter notre vie sexuelle. Après les vacances, je ne l'avais plus porté, le trouvant trop suggestif à mon goût.
C'est un bikini doré avec des petites chaînes. Les bonnets du haut sont reliés par une petite tige dorée et les bretelles sont composés de deux petites chaînes dorées. Pour le bas, le tissu est tenu par deux chaînes aussi. Le tissu du bikini est de couleur or métallique avec des éclats argentés qui scintillent à la lumière du soleil. A ce maillot de bain, je prends des chaussures assorties, une paire de sandales dorés avec des talons de dix centimètres et des lanières entrelacées.
Cet ensemble, bikini et talons, est un vrai attrape-oeil. Il donne l'impression que je veux attire l'attention sur mon corps.
Mais au moins, je ne devrais pas porter cette tenue minimaliste au travail. Cette pensée me calme un peu. Ça ne devrait pas me porter préjudice non ? Aucun de mes collègues ne va voir cette tenue n'est-ce pas ?
Quand j'arrive au travail je laisse les talons dorés dans ma voiture et je prends mon sac à main avec moi. En entrant dans mon bureau, je reçois un autre SMS du jeune latino. Il me demande de poser mon sac à main juste à côté de mon bureau avec la fermeture éclair bien ouverte. De cette façon, mon sac est bien en vue dans mon bureau et toute personne y entrant pourra voir à l'intérieur. Tout le monde pourra voir le bikini s'il regarde attentivement.
Mes subordonnés pourront découvrir ainsi que je possède des vêtements sexy. Cette pensée me fait hérisser de rage. Il n'y a rien de plus important pour moi que ma réputation. Une fois de plus, Daniel sait comment me garder sous contrôle. Tout en travaillant, je ne peux m'empêcher de regarder le sac à main grand ouvert. C'est un rappel constant de la domination de Daniel et ça me rend terriblement nerveuse.
Avant le déjeuner, j'ai prévu de discuter d'un projet en cours avec Bill, un de mes subordonnés plus âgés. Comme d'habitude, la réunion doit se passer dans mon bureau pour ne pas perdre de temps. Cette fois-ci cependant, je regrette profondément cette décision. Je n'arrive pas à me concentrer sur la conversation. Tout en écoutant l'exposé de Bill, mes yeux sont sans cesse attirés par mon sac à main. C'est stupide car ça attire son attention. Et Bientôt, Bill s’intéresse à mon sac et commence à le regarder attentivement.
Je suis tellement tendue que je ne peux même pas décrire mon état. Chaque fois que mon collaborateur jette un œil sur mon sac à main, je suis sur le point de me jeter dessus et de le fermer. Je dois canaliser toute ma volonté pour rester immobile. Je sens la sueur se former sur mon front et je suis sûre que ça ne passe pas inaperçu. Je crois que je suis au summum de la nervosité quand je clôture la réunion.
Mais je me trompe. Après le déjeuner, d'heure en heure je redeviens très nerveuse. Je commence à penser à la « soirée après le travail ». Qu'est-ce que Daniel a pu prévoir pour la soirée. Pourquoi veut-il que je porte un bikini ?
Une heure avant de terminer, je ne peux m'empêcher de faire les cent pas dans mon bureau, jusqu'au moment où je reçois un nouvel SMS du stagiaire. Il me dit de mettre la tenue prévue et d'aller chez lui. Il me retrouvera là-bas. Avec un soupir, j'éteins mon ordinateur. C'est l'heure. Je suis prête à renoncer à tout contrôle sur moi-même pour la troisième fois.
Une fois de plus, je me retrouve dans les toilettes pour femme à me regarder dans le miroir. Je viens de me changer dans une des cabines. Maintenant, je porte le petit haut blanc avec de fines bretelles et la jupe en jean courte. Le haut est si fin que le maillot de bain avec ses chaînes dorées transparaît. Le jean coupé en mini-short est si court que les poches avant sont visibles. J'étais au collège la dernière fois que je l'ai porté et je ne pensais jamais le remettre.
Au moment où je me suis vêtue, tout sentiment de pouvoir m'a abandonné. Je ne me sens plus comme une femme d'affaires importante et respectée, mais plutôt comme une femme facile affichant ses charmes. Le minuscule haut blanc laisse voir mon nombril et mon ventre plat. Le mini-short est remonté et expose la courbe de mes fesses à chaque mouvement. Mes jambes lisses et bronzées sont bien montrées.
Au moment où j'ouvre la porte, je tombe presque sur ORTEGA. Je l'entends parler à quelqu'un alors qu'il monte les escaliers pour arriver dans le couloir. Immédiatement je me fige, la main sur la poignée de la porte. Il ne doit pas me voir comme ça ! C'est la faute qu'il attend ! Il ne laissera pas sa chance passer et il utilisera ma tenue contre moi pour prendre l'avantage.
Alors que mes jambes sont paralysées d'horreur, mon cœur bat aussi vite que les ailes d'un oiseau-mouche. ORTEGA approche de plus en plus. Il est occupé par sa communication téléphonique, mais après quelques marches supplémentaires, il sera près de moi. In ne peut pas passer sans me remarquer.
A la dernière seconde, je me libère de mon immobilité et je claque la porte des toilettes. Bien sûr, le bruit ne passe pas inaperçu. Je suis adossée à la porte, haletante, quand j'entends ORTEGA frapper :
- Tout va bien là-dedans ? Demande-t-il avec inquiétude.
Je veux crier pour qu'il parte, mais je me retiens. Je suis tellement tendue que je m'évanouis presque. Tout ce que je peux faire est d'attendre. ORTEGA frappe encore quelques fois avant d'abandonner et partir. Ouf, j'ai eu chaud !
Je n'ose pas sortir des toilettes pour femme après cette scène. O'BANNON, mon PDG, travaille toujours dans son bureau. Je ne peux prendre le risque de le rencontrer. Cela reviendrait au même que si je lui remettais directement ma lettre de licenciement. Je reste donc dans les toilettes, en passant nerveusement d'un pied sur l'autre, tout en écoutant les bruits dans le couloir. Je sais que je risque d'être en retard à « la soirée après le travail » de Daniel et de le mettre en colère. Mais j'ai trop peur pour bouger.
J'attends seulement quinze minutes avant d'entendre des pas dans le couloir qui s'éloignent. Mais ces quinze minutes me paraissent des siècles. Quand je n'entends plus la pas, j'attends encore cinq minutes de plus pour m'assurer que le PDG a quitté le bâtiment. Puis j'ouvre la porte. Le couloir étant vide, je me précipite dans les escaliers si rapidement que je manque trébucher. Mais je n'ai pas le courage de faire une pause. Je retiens mon souffle jusqu'au moment où je suis assise dans ma voiture. Le parking est vide, personne ne m'a vu. J'ai quand même l'impression d'avoir vieilli en quelques minutes.
Une bonne demi-heure plus tard, j'arrive devant la maison de Daniel. Cette fois-ci il n'y a personne assis sous le porche. Après avoir chaussé les sandales dorées à talons hauts, je me dirige vers la porte et je frappe. Personne ne répond. Pendant quelques instants, je reste là sans rien comprendre. Puis je vois Daniel venir de la cour derrière la maison. Je suis presque soulagée de le voir. Je veux pas rester dans ce quartier sans lui à mes côtés.
- Tu es en retard salope ! Remarque le latino.
- Je suis désolé Monsieur Daniel.
Je m'excuse en tombant instantanément dans un comportement soumis. J'ajoute :
- Je devais attendre que tout le monde soit parti.
- Et pourquoi Madame ADDAMS ?
Il ricane sarcastiquement et continue :
- Quelle faible excuse. C'est décevant mais bon… On ne peut pas s'attendre à plus d'une salope aussi stupide n'est-ce pas ?
Sans attendre de réponse il ajoute :
- J'ai promis à mes potes un moment d'enfer avec ma cougar bien chaude. Ne me déçois plus ! Sois un bon sac à foutre avec eux !
Je comprends la menace à demi-mot. Il dit encore :
- Tu t'es mal conduite, tu dois payer et tu dois te rattraper. Montre-moi que tu as suivi mes instructions salope !
Le jeune latino est devant moi, habillé d'un pantalon ample et d'un débardeur et il exhibe ses bras musclés et tatoués. Il les noue devant sa poitrine de façon arrogante en attendant que je réagisse. Je le regarde avec incrédulité et je sens le sang me monter à la tête. Est-ce qu'il s'attend vraiment à ce que je retire mes vêtements et que je reste en bikini devant sa maison ?
Bien sûr, il est très sérieux. Et je ne doute pas qu'il va le rester. La façon dont il m'a traité de salope est suffisant pour me convaincre. Il m'a également dit que j'avais oublié les règles. Je dois donc me conduire de cette manière très dégradante ou risquer de l'énerver davantage. Alors je balbutie en me sentant impuissante :
- Désolé Monsieur. Votre salope est désolée de vous avoir déçu Monsieur Daniel.
Mon Dieu, je déteste lui donner du « Monsieur ». Cependant je dois admettre que son attitude intransigeante m'a une fois de plus impressionné. Il ne discute pas, il n'hésite pas et il ne se montre pas indécis. Ce sentiment étrange de résignation et la fascination de mon impuissance me frappent de nouveau avec force. Ces derniers jours, j'ai été forcée de constater que ce genre de commandement dominant provoque en moi quelque chose que je ne comprends pas, quelque chose que je ne peux pas accepter.
Hier soir, je n'ai pu m'empêcher de réfléchir à une question : Pourquoi diable la façon impolie mais directe de Daniel de me commander m'oblige-t-elle à me comporter de manière si soumise ? Bien sûr, il me fait chanter. Mais ça ne suffit pas à expliquer. Pourquoi ce traitement brutal m'oblige-t-il à abandonner toute résistance intérieure ? Pourquoi ma colère s'estompe-t-elle si facilement ? Chaque fois que ce voyou macho arrogant élève la voix, la fière patronne que je suis devient un chaton docile. A chaque fois, j'ai ressenti une humiliation sans bornes mais néanmoins j'ai obéi consciencieusement.
- Quand je te dis que tu dois payer… Allez ! Dépêche-toi Miss Allumeuse ! Me dit Daniel calmement mais rudement.
Une fois encore, les mots et l'ordre du latino ont le même effet et me font activer. Je ne peux pas l'empêcher. Une mécanique à l'intérieur de moi conduit mes mains vers mon petit haut blanc. J'attrape le bord inférieur et je le soulève par-dessus ma poitrine. Ainsi je dévoile mes gros seins qui remplissent largement le minuscule bikini doré. Le haut qui appuie sur mes monticules de chair fait gonfler ma poitrine.
Je laisse tomber le haut et pose mes mains tremblantes sur mon mini-short. J'ouvre le bouton et je le laisse glisser jusqu'au sol, révélant ainsi mon bas de bikini doré. Je suis devant le porche de la maison crasseuse de Daniel dans un quartier mal famé et je tourne sur moi-même pour permettre à mon jeune stagiaire de m'inspecter avec arrogance. Le fait que je le fasse sans aucune protestation ne fait qu'augmenter ma dégradation.
Finalement, le latino macho dit :
- Bien ! Maintenant, montre-moi que ta chatte de salope est baisable ?
Cet ordre me coupe la respiration et me fait hésiter, mais je ne résiste pas vraiment. Je saisis le bas de mon maillot de bain et je tire le tissu sur le côté pour montrer ma chatte à Daniel. Elle est complètement rasée comme il aime. Mais cela ne lui suffit pas. Il m'oblige à écarter mes petites lèvres avec ma main gauche pour montrer ma chair rose. Me faire montrer mon sexe en plein jour presque dans la rue est une autre humiliation implacable. Je tremble de manière incontrôlable. Ma nervosité est palpable. En revanche, la joie du latino est tout aussi évidente. Il me laisse dans cette position, les jambes écartées et ma chatte exposée pendant des siècles.
TUUUT TUUUT !
- Miam, quel beau morceau !
- Waouu, qu'est-ce que c'est que cette pute ?
J'entends une voiture klaxonner et des hommes hurler dans mon dos. Je ne peux les voir ,mais la voiture passe. Daniel leur fait un signe avec un sourire triomphant sur le visage. J'ai envie de me retourner pour voir mais je me fige. Je ne peux quand même pas leur laisser voir ma chatte rasée. Les laisser admirer mon cul presque nu est déjà assez grave. Zut, je ne peux même pas décrire la honte sans fond que je ressens. Mon visage est si rouge qu'il en est presque bouillant.
- Tu vas commencer par te faire une réputation ici Miss Allumeuse. Tu vas devenir la plus belle salope hein ? Commente Daniel.
A sa plus grande joie, sa remarque ne fait qu'approfondir la couleur pourpre de mon visage. Je regarde le sol avec honte. Même la voiture partie, Daniel ne me laisse pas bouger. Je dois rester debout sur mes talons dorés devant sa maison pendant ce qu'il me semble une éternité. Il me laisse le temps de sentir pleinement mon embarras. Il me punit pour mon retard en me laissant exposer ma chatte en public, comme si c'est la chose la plus naturelle du monde.
- Il est temps de s'amuser ! S'exclame finalement mon stagiaire.
Sans rien dire de plus, il se détourne et descend l'allée qui mène à sa cour arrière. Il me laisse seule, debout devant sa maison. Il m'avait puni et j'avais appris la leçon. Je ne me conduirais plus mal. C'est une des raisons pour laquelle je devrais être rapide dans le futur. Encore quelques jours et il m'aura complètement plié à sa volonté. Je m'inclinerai devant chacun de ses ordres sans renâcler.
Avant qu'une autre voiture ne passe, je saisis rapidement mon mini-short sur le sol et je le remonte sur mes jambes. Ensuite je remets mon haut blanc. Puis je suis le jeune latino.
En entrant dans la cour arrière, mon cœur bat à tout rompre. Les trois colocataires de Daniel m'accueillent. Ils boivent des bières tout en mangeant des steaks. Bientôt ils se présentent. Le type maigre avec une barbiche et la tête chauve s'appelle Franco. Il porte un tee-shirt blanc qui fait trois tailles de trop et un pantalon Kaki taille basse. Le gars torse nu avec un bandana autour du front et de gros tatouages sur la poitrine s'appelle Garcia. Il est presque aussi petit que moi , mais trapu. Le dernier avec une barbe de trois jours et un chapeau sur la tête s'appelle Lucio. C'est un tas de muscle ressemblant à un lutteur. Il porte un maillot de basket-ball noir, un ample short noir, et des chaussettes blanches qui lui montent aux genoux.
Avec leurs multiples tatouages et leur visage sérieux, j'ai l'impression d'avoir à faire avec des gangsters. Je remarque que les trois ont le même tatouage que Daniel sur le haut de son bras : Les lettres « LGZ » gravées en vieux lettrage anglais. Ils m'expliquent que c'est le symbole de leur gang. Apparemment, ils appartiennent à un vrai gang, ce qui m'intimide encore plus. Daniel me présente :
- Bienvenue Miss Allumeuse à notre barbecue. Cette petite chatte a voulu être notre divertissement.
La façon dont il déforme les faits me met en colère. Je bous intérieurement. Je n'ai pas postulé pour ça ! Ses paroles m'humilient et me signifient que je vais vivre l'enfer. J'ai des crampes d'estomac. Daniel continue alors :
- Cette poupée veut devenir notre pute de gang. Mais ça dépend de vous les gars. Vous allez être les juges qui décideront si elle est assez bonne pour notre gang.
Arggghh ! Qu'il peut être arrogant ! Mon stagiaire veut transformer sa fière patronne en salope de gang. Son insolence me rend furieuse, bien que ma colère me semble déplacée. Après tout, je me tien dans sa cour, vêtue d'un haut révélateur, d'un mini-short qui ne cache presque rien et de hauts talons dorés. Toutefois, je fais la moue alors que les trois gars sourient. Je peux voir la luxure apparaître dans leurs yeux.
- Tu vas devoir les convaincre ! Et pour chaque vote positif, je supprimerai une photo. Me dit Daniel en me regardant fixement.
Ensuite il me montre un tuyau et un seau qu'il avait préparés puis il me montre sa voiture garée à l'arrière de l'allée, près du patio arrière. Ma tâche est claire. Il veut que je lave sa vieille guimbarde rouillée et ses copains jugeront si je le fais de manière assez sexy.
Mes épaules s'affaissent lorsque je réalise que je vais le faire sans hésiter. La perspective de faire supprimer trois photos est trop séduisante. Je suis déçue de mon comportement mais le résultat l'emporte sur l'humiliation. Au moins, tout se passait dans la cour fermée De Daniel et non dans un centre commercial.
J'attrape le seau rempli d'eau mousseuse, puis je me dirige vers la voiture de mon stagiaire. Les quatre hommes ne font même pas mine de regarder ailleurs. Je sens les quatre paires d'yeux fixés sur mon dos alors que je commence à asperger le véhicule avec le tuyau.
L'eau est projetée avec force par le tuyau d'arrosage et des éclaboussures tombent sur mon haut blanc, faisant instantanément des tâches transparentes. L'eau est tellement froide que mes mamelons se dressent et pointent à travers le fin tissu. Bientôt, mes vêtements sont trempés. Mon haut de bikini reste collé à mon petit haut blanc.
Je mesure seulement 1m62 et je dois donc me pencher pour atteindre le milieu du capot quand je veux le frotter avec une éponge savonneuse. En me penchant en avant, je sens mon mini-short en jean remonter sur mes fesses. Et chaque fois que je dois replonger l'éponge dans le seau, je dois me pencher profondément, ce qui remonte mon mini-short assez haut pour que la presque totalité de mes fesses soit exposée. Ces gestes sont accompagnés par les hurlements des mecs. Leurs remarques vulgaires m'obligent à tortiller du cul.
Je les entends discuter de mes fesses que je leur ai montrées avec tant d'empressement. Ils n'arrivent pas à se mettre d'accord sur la façon d’appeler mon cul. Ils hésitent entre « gros cul », « énorme popotin », « croupe de vache » et autres. Aucune de leurs propositions me semble particulièrement gentille.
- Rappelle-toi de tous ces noms Miss Allumeuse. Tu sais comment on va appeler ton cul maintenant. Dit Daniel.
Après avoir frotté le côté droit du capot, je contourne la voiture pour nettoyer l'autre côté. De cette façon, je présente mon devant mouillé aux latinos. A présent, je transpire sous l'effort, ce qui ne fait qu'ajouter à l'humidité de mes vêtements. Le haut blanc et le bikini doré sont tellement trempés qu'ils collent étroitement à mes seins et soulignent ainsi mes courbes voluptueuses. En me penchant en avant, les hommes ont une vue parfaite sur mes nichons. Mes tétons sont si durs et si dressés qu'ils semblent sur le point de se frayer un chemin à travers le tissu.
J'essaie de me concentrer sur la tâche à accomplir, mais leurs propos vulgaires m'ont affectée. Être exposée comme une salope ne m'aide pas non plus. Mon côté exhibitionniste apparaît et je sens mon jus humidifier ma chatte.
Après avoir terminé le capot, je me relève et je reçois une salve d'applaudissements qui provoque une décharge de fierté dans ma chatte. Pourquoi suis-je flattée par ça ? J'aurais dû être dégoûtée !
- Bon début petite chatte ! Mais ce n'est pas à moi de décider. Dit Daniel.
Puis il ajoute en s'adressant à ses copains :
- C'est l'heure des votes les gars. Dites à cette vieille si elle a ce qu'il faut pour devenir la pute de notre gang. Vous décidez.
Je suis nerveuse et excitée comme si je passais un examen important. C'est trop bête, je dois être maudite. De toute façon j'espère leur approbation. Garcia lève sa bouteille de bière pour indiquer son vote, mais les deux autres n'ont pas l'air vraiment impressionné.
Pendant un moment je suis déçue. Et inconsciemment, je serre les lèvres dans une moue dramatique qui fait rire les gars. J'ai travaillé dur pour leur offrir un lavage d'auto sexy. Mais apparemment, ça n'a pas suffi à les convaincre tous. Je pense amèrement que c'est injuste. Ils jouent avec moi. Ils ne me donneront pas tous leur vote, peu importe la qualité de mes performances. Ils sont là pour savourer le spectacle qu'une salope peut leur donner. Ils veulent utiliser et humilier une femme d'affaire fière et assurée.
Mais ça n'a pas vraiment d'importance de toute façon. J'ai eu un vote. Et ça signifie une photo en moins. Encore deux autres à récupérer ! Je me sens revigorée. Tu ne me briseras pas aussi facilement, espèce de bâtard arrogant. Je vais obtenir les trois photos l'une après l'autre. Mon petit triomphe me fait me sentir bien. Je me moque bien de comment je dois agir du moment que Daniel ne gagne plus. Mais intérieurement, je sens que je suis un peu trop naïve.
- Aieee ! C'est pas bon Miss Allumeuse. Rigole sarcastiquement Daniel.
Et pour m'enfoncer encore plus il ajoute :
- La décision doit être prise à l'unanimité. Ai-je oublié de te le dire petite chatte ? Moins de trois voix, pas de pute de gang « LGZ »… Et pas de photos supprimées. Dommage !
Je veux protester mais mes épaules se sont simplement baissées dans la défaite. Je suis dégoûtée. Mon sentiment de triomphe disparaît aussi vite qu'il est venu.
- T'inquiète ! On va te donner une autre chance. Qu'en pensez-vous les copains ?
Tous les gars acceptent cette suggestion, même si je sais bien qu'ils auraient aimé que je poursuive le nettoyage de la voiture plutôt que d'avoir une autre chance. Mais je me suis sentie soulagée même si je refuse ma situation. Je suis compétitive. Je me bats contre ORTEGA pour le poste de PDG de ma société après tout. Je ne supporte pas de perdre et ça n'a pas changé, peu importe l'humiliation de la tâche.
- Allez, réfléchis petite pute ! Me dit Daniel, une menace flagrante résonnant dans ses mots.
Il sait qu''il me tient. Il est clair qu'il veut m'exciter. Et en plus il est bien conscient que je veux absolument le vote des ses copains pour récupérer les photos. Il sait qu'il peut repousser mes limites et que je l’accepterais.
Mes pensées sont floues. Je deviens de plus en plus nerveuse. Comment puis-je faire mieux ? Je ne trouve qu'une solution.
Je commence à balancer mes hanches et à danser pour les gars alors que mes sandales à talons miroitent au soleil. Je lève la main et je saisis mon petit haut blanc. Il est tellement trempé et collant que je peux facilement le déchirer, ce que je fais lentement. Je le déchire par le milieu, révélant ainsi mon haut de bikini en or métallique scintillant et ses bretelles en chaînes dorées.
Ensuite je me retourne et je bombe mon cul ou plutôt ma « croupe de vache » comme je dois l’appeler maintenant. Je saisis le bas de mon mini-short en jean et je le relève le plus possible. Le tissu presse fortement ma chatte, mais ça ne me dérange pas. Ce qui importe, c'est que le tissu s'enfonce dans mon cul et que mes fesses bien rondes soient exposées. Je secoue mon « énorme popotin » pour bien faire bouger mes fesses. Ensuite je retire mon mini-short et je me retrouve dans la cour arrière de Daniel seulement vêtue d'un bikini doré et étincelant sur mes talons brillants.
Les gars ouvrent de nouvelles bières comme pour indiquer qu'il faut que je continue. Je me rapproche du coffre de la voiture et je commence à bien le savonner. Pour augmenter mon humiliation, Daniel me tend mon haut blanc déchiré pour que je l'utilise comme un chiffon. Je dois me pencher sur le coffre pour atteindre l'autre côté. De cette façon, mon mini maillot de bain entre dans mes fesses et mon cul se trouve exposé de façon obscène. Je reste dans cette position et je commence à serrer puis desserrer mes fesses en rythme. Ça doit un spectacle vraiment vulgaire alors que j'essaie de faire disparaître complètement le bas de mon bikini dans mon cul. Puis je remue mon derrière de manière provocante avant de remettre le bikini en place.
Les jeunes hurlent des mots vulgaires et rigolent alors que je continue de me montrer de plus en plus obscène. Je suis recouverte de savon. De la mousse s'accumule sur mes seins et coule le long de mon ventre. Mon corps brille de façon séduisante.
Les gars crient plus fort quand je me penche pour frotter les jantes de la voiture avec mon haut déchiré. Je garde bien les jambes tendues pour faire ressortir mon gros cul. Une fois de plus, le bas de mon bikini glisse entre mes fesses. Je fais tourner mon cul en rond avant d'écarter les jambes. Puis j'écarte le bas de maillot sur le côté pour laisser apparaître ma chatte rasée. Avec mon autre main que je passe dans mon dos, j'écarte mes fesses. Je montre ma chatte rose et je reste dans cette position pendant quelques secondes avant de remettre mon bas de maillot en place.
Quand je finis de laver le coffre de la voiture, je respire très fort et je transpire abondamment. J'ai donné tout ce que j'ai. Encore une fois, Daniel demande à ses copains de voter. Encore une fois, Garcia lève sa bière en signe d'approbation. Cette fois, Franco suit son exemple et me donne un vote positif. Mais Lucio ne semble pas convaincu. Il me paraît assez difficile à convaincre. Daniel annonce le résultat :
- Aie aie aie ! Mieux… Mais toujours pas assez Miss Allumeuse. Tu me déçois une nouvelle fois stupide salope. Je suis là à regarder un gros cul qui ne comprend rien.
Ce vote me bouleverse intérieurement. Je suis sur le point de pleurer. Je fais la moue et tapote le sol avec le pied, faisant ainsi tressauter mes seins. Merde ! J'ai encore échoué et je déteste perdre. Mais ce qui m'embête le plus c'est de ne pas réussir à faire supprimer de photos.
Cependant, Daniel m'offre un moyen de me rattraper. Il dit :
- Espérons que le troisième essai marchera. Toutefois, c'est moi qui fixe les règles maintenant.
Et il ajoute avec un rire moqueur :
- Nous avons bien vu que tu es trop idiote pour savoir que faire.
Ses copains éclatent de rire. Il vient de douloureusement souligner qu'il me considère simplement comme une bimbo idiote. C'est la pire insulte que je peux subir en tant que dirigeante d'entreprise fière et instruite. Une nouvelle fois, impuissante, je serre les poings de colère. Je sais qu'ils jouent avec moi. Mais ça me donne l'impression d'être une stupide femme incapable de séduire ces jeunes hommes.
- S'il vous plaît Monsieur Daniel, donnez une autre chance à votre salope idiote et stupide. Je ne vous décevrai pas Monsieur. Dis-je pour immédiatement sauter sur la dernière chance qu'il me donne.
Je suis tellement habituée à gagner que mes échecs m’embarrassent et ont fait disparaître mon orgueil. Je me fiche de l'humiliation que je dois subir. Il faut que je réussisse.
Daniel me répond :
- D'accord, si tu veux continuer, continuons stupide salope. Tu vas laver les vitres de la voiture. Mais pour cela tu n'utiliseras que tes gros nichons et ton gros cul. Compris petite chatte ?
Je hoche la tête. Je suis trop soucieuse de réussir pour être choquée par cette suggestion obscène. Il veut que j'utilise mes seins et mes fesses comme un chiffon à nettoyer. Cette pensée est aussi dégoûtante que vulgaire. Pourtant je n'hésite pas. Mon côté compétitif reprend le dessus. Je dois gagner ! Je dois faire supprimer des photos !
Une fois de plus, je me mets à balancer mes hanches et à danser au milieu de la cour. Je laisse mes doigts courir le long de mon corps et je les remonte jusqu'au petit lien doré entre mes deux seins. Je le tire et je le relâche brusquement. La chair de mes seins s'est mise à trembler dans les bonnets dorés. Ça me vaut une salve de cris des gars, alors je recommence deux fois de plus. A chaque fois, ma poitrine rebondit et tremble de plus en plus fort qu'avant.
Finalement, je passe mes mains dans le dos et je défais mon haut de bikini pour le laisser tomber au sol. J'entends des hoquets de surprise élogieux qui me font sourire involontairement. Je ne peux rien nier. Séduire ces jeunes malfrats m'excite et me fait mouiller. Chaque cri et applaudissement ravive le feu dans ma chatte. Après leur avoir tourné le dos et avoir descendu le bas de mon bikini, je me retrouve complètement nue à l'exception de mes hauts talons dorés et chatoyants.
Pour assister à un meilleur spectacle, les quatre latinos montent dans la voiture comme s'ils allaient dans un lave-auto. Daniel et Lucio sont à l'avant, Franco et Garcia à l'arrière. Tandis qu'ils me regardent avec espoir, je monte sur le capot de la voiture et je m'agenouille sur le côté. J'attrape l'éponge savonneuse et je la presse sur mes fesses. Le savon mousseux blanc refroidit mon corps excité. Je répète le processus jusqu'à ce que mon dos et mes jambes soient recouvertes de mousse. En regardant par-dessus mon épaule, je dois admette que le spectacle doit être vraiment bien.
Je me retourne et je me lève sur le capot de la voiture. Le dos au pare-brise, je m'accroupis, les jambes écartées. Lentement, j'abaisse mon « gros cul » savonneux sur la vitre jusqu'au moment ou mes fesses se pressent contre le verre. Je sens ma chair se déformer de tous les côtés quand je commence à glisser mon cul de haut en bas.
Ça doit être un spectacle incroyablement sexy de voir mes fesses qui se découpent sur le verre tout en étant déformées par la pression. Le capot est tellement glissant qu'il n'est pas facile pour moi de garder les pieds dessus. Néanmoins, je travaille dur à frotter le pare-brise avec la chair de mon cul, en procédant systématiquement de gauche à droite.
Quand j'en ai terminé avec cette vitre, je me retourne et j'envoie un baiser à Daniel et Lucio. Ils me regardent toujours, hypnotisés par ce spectacle sexy. Je me dirige ensuite vers la vitre arrière et je répète le même scénario. Cette fois ce sont Garcia et franco qui ont le droit de voir mon cul se déformer sur le verre.
Après en avoir fini avec le pare-brise arrière, je me positionne devant les fenêtres de droite. Je reprends l'éponge et je la tords. Je laisse le savon couler le long de mon décolleté et mon ventre plat. Il reste une longue traînée blanche entre mes deux globes bine ronds. Ensuite j'asperge chacun de mes nichons avec de la mousse blanche. Je ne m'arrête que lorsque mes tétons ne sont plus visibles.
Puis je me penche en avant et j'appuie mes gros seins laiteux contre la vitre latérale droite. Je vois la chair de mes seins se soulever de façon obscène sous le regard hypnotisé de Lucio. La silhouette de mes seins contre la vitre doit être un spectacle qui lui donne l'eau à la bouche.
Je garde mes nichons pressés contre le verre et je nettoie scrupuleusement la vitre avant de passer à la suivante. Mes mamelons sont si durs que j'ai eu peur qu'ils ne rayent le verre. En les poussant contre les vitres, ils durcissent tellement que je mouille de désir. Je deviens trop excitée, j'ai envie de toucher ma chatte.
Malgré tout, je continue à savonner ma poitrine avant de mettre mes seins en ventouse et de les presser sur les fenêtres jusqu'à ce qu'ils soient bien écrasés. Ensuite je frotte bien la vitre jusqu'à ce que chaque gars soit sur le point de baver la bouche ouverte.
La tâche accomplie, je laisse les quatre latinos sortir de la voiture et reprendre leur place sous le patio avant de m'approcher d'eux. Je suis en sueur, trempée et rouge de désir. Je méprise Daniel, ce macho arrogant et ses copains me font peur. Pourtant j'ai très envie de me faire baiser sur place. C'est une contradiction tellement humiliante qui ne fait que m'exciter davantage.
- Les votes les copains ! Déclare Daniel.
Cette fois-ci, les trois gars sont rapides et lèvent à l'unanimité leur bouteille de bière. Enfin, j'ai réussi à obtenir la totalité des votes. Je ressens un élan de fierté bien mal placé et je souris. Après tout, Daniel doit tenir parole et supprimer trois photos compromettantes en sa possession. Il l'a dit devant ses amis, il ne peut pas y échapper.
- Qu'est-ce que tu en dis poupée ? On dirait que la troisième fois est la bonne. Me dit mon stagiaire.
Puis je vois ses yeux s'allumer. Il doit avoir une autre idée vicieuse. Il dit alors :
- Toutefois, maintenant, mes copains sont bien excités. Tu ne vas pas les laisser dans cet état hein ? Qu'est-ce que tu en penses ? Tu nous fais tous jouir et je supprime une autre photo. Tu es d'accord ou pas petite chatte ?
Je suis épuisée par le long lavage de la voiture. Mais ma chatte me lance et me brûle à cette perspective. Avec un sourire séduisant sur les lèvres, je roucoule alors :
- Mmmmm ! La salope sera heureuse de vous servir Monsieur Daniel.
A suivre…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours