lundi 24 août 2020

Confession d’une femme au foyer Ch. 05

Son récit devient de pire en pire.

En sirotant mon verre et en essayant de me détendre, je demandai à ma femme :

- Combien d'hommes ont été impliqués dans cette histoire avec les ouvriers?

- Tu veux dire avec combien j'ai eu des relations sexuelles ou ceux devant qui j'ai fait de l'exhibitionnisme?

- Bon, voyant que tu fais la distinction entre les deux, je te laisse continuer ton histoire. Dis-je brusquement.

- Je pense que celui qui s'appelait Bob était plus excité à regarder qu'à participer. C'était toujours lui qui poussait les choses un peu plus loin. C'était un jeu entre nous de voir jusqu'où il pouvait me pousser. Mais il n'était pas autoritaire, mais plutôt rusé. D'ailleurs il ne venait jamais seul, il voulait toujours un ami avec lui. Il n'a jamais eu l'intention de me connaître en tête à tête. Parfois, j'étais un peu agacée de me sentir seulement comme un objet sexuel.

- Mais tu l'étais. Ce n'était pas vraiment romantique non? Quoi qu'il en soit, il semble que tu appréciais ça.

Elle soupira :

- Oui, je dois l'avouer. Montrer mon corps et les taquiner m'a toujours fait frémir. C'est comme ça qu'il m'a piégée et a fait une blague à deux autres de ses collègues de travail. Ça s'est retourné contre lui. Il a voulu me surprendre, mais ce fut lui qui fut surpris. Il aimait bien une de mes petites robes d'été, une qui était assez courte et transparente, une sous laquelle il fallait un string si vous ne vouliez pas montrer votre culotte. Elle avait une taille en moins et était très petite pour moi, si bien que j'avais l'air sexy dedans. Je n'avais pas vu les ouvriers depuis deux jours et Bob vint me dire qu'ils viendraient une heure plus tard. Je dois avouer que je les attendais avec impatience. Il me demanda de porter la petite robe et de prendre aussi des bas et un porte-jarretelle pour lui. J'ai ri et je lui ai dit que j'y penserai. C'était étrange qu'il me demande ça pour lui, je me suis posé des questions.

Ma femme reprit son souffle et continua :

- Anticiper leur visite m'avait réjouie, alors je suis montée et j'ai mis bas, porte-jarretelle, petite culotte noire et soutien-gorge assorti. Ça faisait un peu « salope », je n'aurais pas pu sortit comme ça. On distinguait très bien mes sous-vêtements noirs sous ma robe. Mes tétons pointaient à travers le soutien-gorge car la robe était vraiment serrée, une robe efficace pour attirer l'attention des hommes.

Elle sourit sur cette idée, puis elle dit :

- J'ai continué à faire mes tâches ménagères tout en étant très excitée d'être habillée ainsi. Même si je me penchais légèrement, on pouvait un bout de peau nue au-dessus de mes bas. J'étais dans la cuisine quand j'entendis la porte s'ouvrir. Je tournais le dos à l'entrée, légèrement penchée. Quand je me suis retournée, il n'y avait pas seulement Bob et son ami, mais deux autres ouvriers aussi. C'était deux gars dans la trentaine. Bob me dit que l'un d'eux était un vieil ami à lui et qu'il commençait à travailler avec eux. Il me dit qu'il espérait que ça ne me dérangeait pas qu'ils viennent prendre un café. J'étais agacée, et un peu déçue car rien ne se passerait avec d'autres personnes dans la maison. Je me sentais gênée et maladroite debout dans la cuisine. Bob souriait malicieusement et je compris qu'il avait tout préparé. Les autres hommes étaient ébahis, il était évident qu'ils ne savaient pas à quoi s'attendre. Ils se sont installés à la table de la cuisine.

- Et tu n'as jamais pensé à leur dire de partir?

- Non. J'étais en colère mais je leur ai quand même fait un café. Nous avons commencé une conversation polie mais l'atmosphère était tendue. Je sentais les regards posés sur moi, ou plutôt sur ma robe.

- Alors ils se sont assis et ils ont bavardé. Puis qu'est-ce que tu as fait?

- Eh bien je me suis occupée à essuyer le plan de travail de la cuisine, en faisant attention de ne pas trop me pencher. Bob demanda aux autres ce qu'ils pensaient de mon look. Quel enfoiré, j'avais envie de le tuer sur le moment. Puis il me demanda pourquoi je ne m'asseyais pas. Je lui répondis que ça allait, et que de toute façon il n'y avait plus de sièges. Alors il me tira sur son genou. J'ai compris qu'il voulait que je montre ma culotte. Il essayait de répéter ce qu'ils avaient fait il y a quelques semaines.

- Alors, ils auraient pu voir ta culotte? Demandai-je impatient.

- Bien sûr! Il s'était assuré que je leur fasse face et qu'ils aient un bon angle de vue. Mais sur le coup, j'ai décidé que je n'allais pas être utilisée comme ça alors je me suis relevée. Bob avait l'air embarrassé et dit qu'ils feraient mieux de retourner au travail. Je dis alors que ses amis pouvaient rester car ils n'avaient pas fini leur café.

- Pourquoi as-tu dit ça?

- Je ne sais pas vraiment. Je pense que c'était pour ennuyer Bob, lui faire savoir qu'il ne me contrôlait pas. Son ami habituel semblait aussi en colère. Quand il m'avait regardé il savait que nous voulions tous les deux la même chose.

- C'est-à-dire?

- Bien... Un peu de sexe. Dit-elle timidement.

Elle continua :

- Bob et son ami commencèrent à partir et un des deux nouveaux dit qu'ils feraient bien d'y aller aussi. J'ai répondu alors que non, qu'ils pouvaient finir leur café. Il a regardé Bob mais celui-ci et son ami était déjà loin. J'ai fermé la porte et je suis venir m'asseoir à la table.

- Qu'avais-tu en tête?

- Pas grand-chose en fait. Nous avons eu une conversation normale mais je pouvais sentir leurs yeux très pénétrants me détailler. Le deuxième homme ne disait pas grand-chose mais me regardait. Je lui demandai s'il était un bon ami de Bob ou s'il travaillait juste avec lui. Il me répondit : « Je suis un bon ami... et vous? ». Je dis que oui peut-être, qu'ils venaient beaucoup. Il a sûrement compris pourquoi en me voyant avec mes vêtements sexy. Je leur ai demandé s'ils voulaient un peu plus de café. Je suppose que je voulais les garder encore un moment.

- Tu étais de nouveau excitée?

- Oui. En tout cas, après les avoir resservis, je me suis assise et j'ai montré un peu plus de moi. Ils pouvaient voir le haut de mes bas. Un des hommes dit que la vue était superbe mais que c'était dommage que les boutons ne soient pas ouverts sur ma robe. Alors j'en ai déboutonné un. J'étais encore plus surprise qu'eux.

- Quel bouton? Demandai-je.

- Le dernier du bas! Ma robe s'est un peu plus ouverte et leur a montré le haut de mes cuisses et ma culotte. Ils ont eu le souffle coupé et leurs yeux sont presque sortis de leur tête. L'un me dit que j'étais trop sexy et que je le faisais bander. Il m'a demandé si je faisais ça pour Bob. Je dis que oui et pour son ami aussi. Ils ont tout compris.

Elle rigola avant de poursuivre :

- Il me dit alors que ça ne le dérangerait pas si j'enlevais quelques boutons de plus. J'en ai défait deux autre. Puis il me demanda si je ne pouvais pas m'asseoir un peu en arrière et écarter mes jambes. Je l'ai fait et ensuite j'ai détaché le reste de ma robe et je l'ai ouverte en grand. Je l'ai regardé en lui disant : « Comme ça? ». Ils pouvaient tout voir. Ma culotte et mon soutien-gorge étaient transparents. Il me demanda qu'est-ce que je ferais maintenant si Bob et son ami étaient toujours là et qu'eux n'y soient pas. Je lui répondis que je ne savais pas. Il me demanda si nous serions montés à l'étage. Je dis que peut-être? Il me sourit et me dit que je ne m'étais pas donné la peine de m'habiller comme ça pour rien. Ensuite il voulut savoir si je voulais monter. Je lui dis que je ne le connaissais pas vraiment et que quelqu'un pourrait venir ou que Bob pourrait revenir. Il me dit alors de ne pas m'inquiéter. Il s'est levé et m'a tendu la main. Je l'ai laissé m'aider à me relever et j'ai jeté un regard à son ami. Celui-ci était prêt à se jeter sur moi comme une bête sauvage.

- Est-ce que ça t'a fait peur?

- Oui, mais en même temps ça m'a excitée. Il avait l'air bizarre et sinistre.

- T'es-tu demandé si un seul ou les deux allaient monter avec toi?

- Non... je suis allée à la porte et je l'ai verrouillé. Puis je me suis dirigée vers les escaliers. Ils m'ont suivie tous les deux. Quand nous montions les escaliers, il a retiré la robe des mes épaules et m'a dit : « voyons mieux notre amie sexy ». Dans la chambre, son ami peu bavard s'est assis sur une chaise et continua à détailler mon corps. L'autre se mit devant moi et commença à me caresser. Il laissa ses mains courir sur mon ventre, mes seins à travers mon soutien-gorge, puis mes cuisses. Je regardai son ami qui avait sorti son sexe. Le membre était épais, pas particulièrement long, mais épais. Mes yeux étaient fixés dessus. L'autre homme remarqua mon regard et me demanda si j'aimai voir ça. Je crois que j'ai seulement hoché la tête. Alors il a ouvert son pantalon et a appuyé sur mes épaules. Je savais ce qu'il voulait. Je me suis assise au bord du lit et il présenta sa queue à ma bouche.

- Tu l'as prise ou c'est lui qui la tenait?

- Au début c'était lui, puis je l'ai prise.

- Tu l'as branlé dans ta bouche jusqu'à ce qu'il jouisse?

- Oui... C'est dur de le dire maintenant. J'ai honte de ce que j'ai fait. Je ne peux pas croire que je l'ai fait.

- Ça va! Je ne te juge pas. Tiens t'en aux faits! Dis-je.

- Oui, j'ai tenu sa bite dans ma bouche et je l'ai sucé. Il m'a dit de le branler et je l'ai fait. Et je l'ai laissé jouir dans ma bouche. Ensuite il m'a allongée sur le lit, il a retiré ma petite culotte, s'est agenouillé et a commencé à me lécher.

- Est-ce que ça t'a plu?

- Oui c'était trop érotique. Il a léché ma chatte pendant que je regardais son ami masturber son gros engin. Celui-ci me regardait être léchée, les jambes bien écartées et pendantes sur le lit, avec juste des bas. Oui ça m'a plu. Et encore plus quand l'ami est venu s'asseoir sur le lit à côté de moi. Il m'a pincé les tétons et m'a dit d'ouvrir la bouche. Il s'est placé au-dessus de moi pour que je le suce. Mais ça n'a duré qu'une minute. L'homme entre mes jambes s'est levé et l'autre a mis sa queue dans ma chatte. Il m'a baisé rudement, très fort et violemment.

- Tu n'as pas aimé?

- Oh si! J'ai enroulé mes jambes autour de lui et j'ai poussé mon bassin. Désolé de dire ça mais ce fut la meilleure baise que j'ai jamais eue, même si le gars était bizarre et pas très beau. Pour être honnête, il était même laid.

Elle ajouta, comme si elle pensait à haute voix :

- Mais il savait comment baiser une femme avec sa grosse bite. Après que nous ayons tous les deux joui, nous nous sommes allongés tous les trois pour nous embrasser et nous toucher.

- Et sont-ils revenus? Demandai-je.

Ma bite était dans ma main. Ma femme caressait sa cuisse, sa main remontant de plus en plus sa jupe.

- Oui. Ils sont venus plusieurs fois avant que Bob ne comprenne. Il avait été transféré dans une autre maison et il était vexé car c'était trop loin.

- Alors ils t'ont baisée plusieurs fois?

- Oui. Et ils n'étaient pas aussi hésitants que les deux autres.

- Que veux-tu dire? Questionnai-je.

Elle répondit nerveusement :

- Eh bien, ils ne perdaient pas de temps pour prendre leur pied!

- Explique moi correctement... et en détail. Dis-je sèchement.

Elle soupira :

- Oh mon Dieu... D'accord... Un jour, ils m'ont assise sur une chaise et se sont placés devant moi. Ils m'ont fait lécher leur queue en même temps puis j'ai dû les prendre toutes les deux dans la bouche. Avec mes mains je branlais leur bite.

Avant que je ne puisse dire quelque chose, elle poursuivit :

- Ensuite, ils m'ont jetée sur le sol de la cuisine et ils se sont couchés à tour de rôle sur moi pour baiser ma bouche avec leur bite.

Comme si ça ne suffisait pas, elle ajouta :

- Un jour, alors que je passais devant la maison où ils travaillaient, ils m'ont appelée pour que je vienne à l'intérieur. Ils m'ont montée à l'étage et ils ont commencé à me tripoter. Puis ils m'ont demandée de retirer ma culotte. Ils m'ont penchée au-dessus d'un établi, soulevée ma jupe et caressée mes fesses. Puis ils se sont relayés pour me baiser par-derrière.

Elle toucha sa culotte et commença à frotter son clitoris tout en parlant.

- J'étais complètement soumise à eux. J'aimais leur grosse bite en moi. Je les aurais laissés faire n'importe quoi. J'aimais me pencher et qu'ils me baisent par-derrière. Ils me pilonnaient très forts, et ils mordaient mes tétons. C'était bien, ça me plaisait, une queue dans chaque main et une bouche sur chaque sein. Nous ne perdions plus de temps avec le café. Soit nous allions directement à l'étage, soit ils baissaient ma culotte dans la cuisine pour mettre leur bite dans ma chatte. A chaque fois qu'ils venaient dans la maison, ils m'embrassaient et ma main descendait à leur braguette.

Ce fut assez d'histoire pour la nuit. Nous jouîmes en même temps. Puis nous allâmes nous coucher en silence.

Le lendemain, je bandai en permanence. L'image de ma femme se pliant docilement pour que deux hommes puissent la baiser par-derrière m'obligea à disparaître dans les toilettes du bureau pour me soulager solitairement. Le soir, lorsque nous fûmes de nouveau seuls, j'étais déjà excité. Je lui dis :

- Continue à me parler des ouvriers! Mais fais quelque chose pour moi d'abord. Va enlever ta robe et mets des bas avec un porte-jarretelle.

- Pourquoi? Demanda-t-elle surprise.

- Pourquoi d'après toi? Répondis-je en défaisant ma braguette et en sortant mon sexe.

Cinq minutes plus tard, elle était de retour. Elle portait des sous-vêtements noirs et des bas.

- Alors c'est ce qu'ils ont vu? Commentai-je.

- Oui. Répondit-elle.

Elle se versa un grand verre puis se dirigea vers le canapé. Elle s'assit devant moi en écartant les jambes et dit :

- C'est exactement ce qu'ils ont vu.

Maintenant elle me taquinait. Je dis :

- Continue!

- Je suppose que tu veux savoir si un jour les quatre hommes ont été ensemble dans la maison pour un moment de sexe. Eh bien oui... Un jour, alors que j'étais à l'étage avec les deux hommes, quelqu'un a frappé à la porte. J'ai enfilé ma robe de chambre et je suis descendu pour ouvrir.

- Vous étiez en train de faire quoi quand on vous a interrompu?

- Nous étions allongés sur le lit. J'étais nue et je jouais avec la grosse bite d'un pendant que l'autre frottait sa queue contre mes fesses.

Après cette explication, elle reprit le cours de son histoire :

- Quoi qu'il en soit, c'était Bob et son ami à la porte. Ils sont entrés et m'ont demandé si quelqu'un d'autre était là. Je leur dis que oui, il y avait quelqu'un en haut. Bob eut l'air agacé mais ne dis rien. Alors qu'ils allaient repartir, son copain qui était dans la chambre en sortit et resta en haut des escaliers. A ce moment-là Bob eut l'air très énervé, mais son ami lui demanda quel était le problème? Nous nous sommes réunis dans la cuisine et les hommes ont discutés. Celui avec qui j'étais en haut tira sur la ceinture de ma robe de chambre. Il dit que nous attendions tous cela et qu'ils savaient tous pourquoi ils étaient là. Je l'ai laissé ouvrir ma robe de chambre. Bob et son autre ami ont pu voir que je ne portais qu'une culotte. Immédiatement j'ai vu apparaître une bosse dans leur pantalon. Ils se sont souvenus de ce qu'ils avaient manqué. Ils ont été choqués aussi de se rendre compte que j'étais disposée à monter avec d'autres hommes. Ensuite nous sommes montés tous les quatre dans la chambre et ils se sont relayés pour regarder ou jouer avec moi.

- Quel genre de jeu? Demandai-je.

- Tu sais bien. Les branler, les sucer, les laisser m'écarter les jambes, me tripoter, regarder ma chatte, sucer mes seins...

- Et te sauter?

- Ben oui, ils ont fini par me baiser. J'en ai pris un dans ma bouche pendant que les trois autres me baisaient à quatre pattes. Ils m'ont vraiment pilonné durement.

- Si ça t'excite, mets la main dans ta culotte. D'ailleurs tu as dû le faire pour eux non? Les laisser regarder alors que tu te faisais plaisir toute seule?

Elle fit un signe de tête coupable et dit :

- Oui.

Ses doigts se posèrent sur son clitoris et elle le caressa doucement.

- Est-ce qu'ils ne sont jamais venus seuls?

Je sentais qu'elle évitait de me dire quelque chose. J'ajoutai :

- Et une fois tu m'as dit que ça s'était passé dans la salle de bain. Tu peux raconter?

- Je vais te dire. Mais d'abord, peux-tu me servir un grand verre s'il te plaît. J'en aurai besoin.

A suivre...

Cauchemar à la villa de campagne Ch. 02

Histoire de Méfistho

Où la maman revient des courses...

Le bruit de l'Espace familial alerte les quatre jeunes malfaiteurs qui s'empressent de nous pousser, ma sœur et moi, dans la cuisine. Le métis sort son couteau et nous fait signe de nous taire. Ma sœur renifle mais ne crie pas, trop consciente des risques.

Ma mère sort du véhicule, complètement ignorante de la situation dans laquelle nous, ses enfants, nous nous trouvons. Elle nous appelle tout en ouvrant le coffre, attendant que l'on vienne l'aider à sortir les courses. Elle est souriante, heureuse d'être en vacances dans sa maison de campagne. L'inconscience de ma mère fait sourire les trois jeunes cachés dans la véranda qui s'avancent vers la porte. Au moment où elle se retourne pour sortir deux sacs du coffre, les trois jeunes se jettent sur elle. Saisie par les bras et les jambes, elle prend peur. Elle crie en se débattant sous les rires de ses agresseurs. Elle perd ses tongs et se retrouve pieds nus.

- Regardez qui voilà! La maman!?

Ma sœur et moi sommes effondrés. Surtout en voyant maman dans cette situation aussi humiliante. Ils l'emmènent dans la maison. Ma mère nous voit. Liza est nue, serrée de près par le métis. Je suis toujours attaché à cette chaise. Ils ont reposé ma mère au sol. Elle est choquée.

- Que voulez-vous?

Le métis prend la parole :

- On est là pour s'amuser un peu!

- S'il vous plait, laissez-nous! Je vous en prie!

- Ah non, on va profiter! N'est-ce pas les gars?

Ils regardent ma mère d'un air explicite. Avant de partir, elle a enfilé un short noir sportif moulant et un tee-shirt orange. Cheveux bruns aux yeux noisettes, c'est une petite femme de 46 ans. Elle mesure 1m62. Son visage est resté très joli. Elle a des lèvres fines, un joli petit nez et des paupières toujours légèrement maquillées. A la différence de Liza, elle est un peu ronde. Ses grosses fesses sont moulées dans le short noir qui lui arrive à mi-cuisses. Elle n'a pas encore eu le temps de bronzer ; ses cuisses et ses jambes sont pâles. Son tee-shirt orange est déformé par ses deux gros seins lourds et pendants. Deux obus soumis à la pesanteur, pendants mollement, dont la masse est retenue par les fines bretelles noires du bikini qu'on devine par transparence. Elle sent les regards lubriques sur elle. Elle a honte.

- Allez, tu vas faire comme ta fille! vire ton short et magne toi!

Devant le refus de maman, le métis sort son couteau. Il ordonne à un des gars de saisir ma mère par les bras puis découpe le tee-shirt et le short en plusieurs endroits. Tétanisée, elle n'ose pas se débattre et elle se met à pleurnicher. Sa poitrine et son ventre se soulèvent en rythme. Le couteau menace à tout moment de la pénétrer. Le métis contemple son œuvre.

- On commence par quoi?

Ce dilemme semble lui plaire.

- Allez, le short!

Il tire sur les entailles faites dans les vêtements. Il arrache tout dans un bruit de tissu déchiré. Le short qui moulait les fesses et les cuisses part en lambeaux et ma mère se retrouve en slip bikini. Un slip trop petit et les gars s'en aperçoivent aussitôt.

- C'est quoi ça? C'est censé être un maillot de bain?

Honteuse au plus haut point, ma mère baisse les yeux.

- C'est une tenue de pute ça! tu fais quoi dans la vie?

- Je suis pharmacienne, avec mon mari. Pleurniche ma mère.

Je dois reconnaître que son maillot est trop petit. Son sexe et les lèvres sont plaqués contre le tissu. Ses grosses fesses n'étant plus retenue, pendent lamentablement.

- Je ne sais pas ce que tu cherches attifée comme ça, mais tu as trouvé!

Il déchire le tee-shirt orange qui ne résiste pas plus que le short. Ses grosses mamelles, compressées, débordent de façon obscène du haut de bikini.

- Regardez ça...!

Les commentaires sur sa grosse poitrine sont odieux.

- Là, je crois que t'es mal tombée! on va t'en faire baver!

Il lui claque un nichon.

- D'abord sers nous à boire et à bouffer!

Ma mère part leur chercher ce qu'il demande. Ses énormes seins ballottent comme des outres. Sa paire de fesse ondule sous le regard des hommes.

Après avoir bu, les regards deviennent plus chauds et les commentaires de plus en place salaces. Les mains se font baladeuses. Ils n'hésitent pas à lui claquer les fesses et lui tâter les nichons. L'un d'entre eux lui sort une mamelle qu'elle remet aussitôt. J'ai juste le temps de voir le nichon lourd et la grosse auréole brune autour du téton. Elle file à la cuisine mais on la somme de revenir s'exhiber.

Apparemment, ils éprouvent beaucoup de plaisir à l'humilier. Liza ne dit rien, assise sur les genoux du métis qui de temps en temps l'embrasse ou la pelote. Toujours ligoté, je suis impuissant face à la situation. Je ne peux qu'observer ma sœur et ma mère se faire humilier.

N'en pouvant plus, l'un des gars prend ma mère par le poignet et l'assoit sur lui. Il la tripote et s'excite surtout sur sa grosse poitrine. Ma mère se dégage et lui envoie une claque, un geste inconsidéré... Elle ne peut éviter la paire de gifles qui claque bruyamment. Furieux, j'essaie de me détacher mais peine perdue et je m'en prends une à mon tour.

Le gars, excité et énervé, entraîne ma mère dans la chambre parentale située dans un couloir près de la cuisine. Elle comprend et éclate en sanglot. Un autre se lève à son tour et les suit. Le métis sourit et pelote les seins ronds de ma sœur, excité par la situation. De ma chaise, je ne peux rien voir mais j'entends distinctement ce qui se passe. Maman essaye de se débattre mais ils sont deux sur elle. Ses cris sont étouffés, probablement par une main sur sa bouche. Elle se débat cinq bonnes minutes. Puis les bruits de lutte cessent et j'entends des claquements et des bruits explicites de va et vient. Les pleurs et les cris laissent place à des râles. Le bruit de la chair contre la chair continue. Les plaintes se transforment en gémissement de plaisir. Un plaisir mécanique car je n'oserai jamais penser qu'elle en éprouve à se faire violer. J'entends aussi des frottements comme des caresses, des mains qui palpent son corps et malaxent ses seins opulents. Je ne peux que me faire une idée de ce qui se passe à partir des bruits que je perçois. J'entends bouger comme si on changeait un corps de position. Les frottements sur les draps, les bruits répétitifs des ressorts, les gémissements de ma mère me font imaginer la scène. A chaque changement de position, les gémissements cessent quelques secondes puis reprennent.

Les deux hommes sortent au bout d'une demi-heure, exténués. Maman reste sur le lit, choquée sûrement, jusqu'à ce que les gars lui hurlent de revenir.

Elle a remis son bikini noir qui sans doute avait dû lui être enlevé pendant son viol. Elle avance lentement. Le bikini ne peut masquer son sexe ravagé et souillé de sperme. Son maquillage a coulé.

Plus j'observe le corps de ma mère, plus je me dis que ses nichons sont vraiment énormes, disproportionnés par rapport au reste du corps. Jamais de ma vie, je n'aurais pensé vivre une telle situation. Ma sœur, et maintenant ma mère, ont été violées.

Pendant qu'elle se dirige vers la cuisine, je regarde ses fesses ballotter et j'essaie de voir si son anus a été forcé. Visiblement elle n'a pas subi de sodomie. Les malfaiteurs s'assoient, sûrs d'eux, dans le canapé de la véranda. Le métis est parti avec ma sœur pour la baiser dans un endroit à l'écart. Les autres attendent la bouffe.

Vingt minutes après, le métis réapparaît tout souriant. Ma sœur s'est habillée et maquillée. Elle ressemble à une pute avec sa mini-jupe en jean et son débardeur blanc.

- Les gars, j'emmène la fille avec moi, on va en boite! Je vous laisse la mère. Vous aurez de quoi vous occuper avec elle.

Ils rient à cette remarque.

- Tu reviens quand?

- Demain soir! Elle me plait trop, j'ai envie de profiter d'elle tout seul.

- Et le fils?

Le métis me regarde :

- Détachez le. De toute façon, il sait qu'il n'a pas intérêt à faire l'abruti ou sa maman en subira les conséquences.

- Oui il va faire le serveur.

- Ah au fait les gars, j'ai passé quelques coups de fils! Ça va remonter de Marseille pour ici, alors vous étonnez pas si des potes débarquent avec tout ce qu'il faut pour s'amuser...

Ma mère manque de s'évanouir à ce que vient de dire le métis, horrifiée à l'idée que son calvaire est très loin d'être terminé.

A suivre...

Femme infidèle - Louise

Louise, 58 ans, est la femme de Joseph, 62 ans, chirurgien du cœur renommé. Ils s'aiment profondément,mais leur vie sexuelle est sur un rythme plat. Joseph, trop occupé par son travail, est souvent absent et ne couche pratiquement plus avec sa femme.

Joseph doit participer à un congrès mondial de médecine au Sénégal. Il va être un des principaux intervenants. Il essaie de dissuader sa femme de l'accompagner :

- Tu sais que ça va être barbant. je vais être complètement occupé et je ne pourrais pas être avec toi.

- Je sais mon chéri, mais je visiterai le Sénégal, je ne connais pas ce pays.

Devant l'insistance de sa femme, et ne voulant pas la peiner, il accepte qu'elle l'accompagne. Mais, afin qu'elle ne s'ennuie pas, il envoie un mail à l'organisation du congres afin qu'elle trouve un guide pour faire visiter le pays à sa femme.

Le jour où ils arrivent dans leur hôtel cinq étoiles, un homme noir assez costaud se présente :

- Bonjour Madame et Monsieur D., je suis Amin, un guide affecté par l’organisation du congrès pour vous servir

- Bonjour Amin, je vous charge de vous occuper de ma femme et de lui faire découvrir le pays. Répond Joseph.

Amin et Louise se regardent. Le noir se dit qu'il risque de passer une mauvaise semaine avec une vieille bourgeoise à traîner partout. Louise, elle, jauge l'homme noir, et bizarrement le trouve attirant, la grosse bosse dans son short l'attire.

Des le lendemain alors que le chirurgien va de réunion en réunion, Amin fait découvrir Dakar à Louise. La femme du chirurgien boit les paroles de son guide qui l'emmène à travers les ruelles. elle est surprise de voir qu'il est bien connu et que plusieurs femmes ont l'air de lui faire les yeux doux. Plus la journée passe, plus elle est attirée par son guide. Si bien que quand l'homme noir pose sa main sur son cul elle ne dit rien. Amin, voyant que la femme ne repousse pas sa main, se dit qu'il va pouvoir surement se vider les couilles. Alors il entraîne Louise dans une ruelle, la plaque contre un mur, retrousse sa robe, baisse sa culotte, sort sa queue et pénètre la chatte déjà humide.

Louis est surprise par la brusquerie de son guide. Elle devrait crier et essayer de s'enfuir. Mais son manque sexuel et l'autorité d'Amin ont raison d'elle. elle se contente de gémir de plaisir quand l'homme la pénètre sauvagement.

Il la laboure longuement et lui provoque trois orgasmes avant de se vider dans son ventre. Quand il la lâche, louis tombe au sol, le corps tremblant. Le guide attend qu'elle se reprenne avant de l'aider à se relever et de la conduire à l'hôtel. 

Arrivée devant la porte de sa chambre, Louise se tourne vers Amin pour lui dire :

- Mon mari n'est surement pas encore là, vous voulez entrer ?

Puis dans un chuchotement elle ose dire :

- J'ai encore envie de vous, s'il vous plaît !

le guide comprend qu'il tient à sa merci la femme du chirurgien. Il a l'intention de bien en profiter. Il répond :

- Non pas maintenant salope. C'est quand je veux et où je veux. Je crois que ton mari a des réunions tous les soirs. Donc je passerai te chercher à 19h00. Essaie de te faire belle.

- Oui Monsieur ! Se contente de répondre Louise.

A l'heure dite, Amin se présente devant la chambre de Louise. Il entre sans frapper. La femme l'attend dans une belle robe de soirée blanche. Il avance vers elle, attrape le devant de la robe et la déchire en disant :

- Ça ne va pas ! où sont tes affaires !

Louise lui montre du doigt sa valise. L'homme va fouiller dedans et en sort un petit dessous rouge sexy. Louise se rappelle qu'elle avait amené des vêtements sexy pour essayer de réveiller la libido de son mari. 

- Enfile ça ! Dit Amin.

Louise s'exécute, puis elle voir le noir sortir de sa poche un collier avec une laisse. Il attache le collier autour du cou de la femme en disant :

- Tu va m'obéir maintenant, nous allons dans une autre chambre que j'ai réservé.

Louise a un peu honte d'être traitée ainsi. elle a peur aussi d'être vu des collègues de son mari dans le couloir. Mais sa chatte la picote alors elle ne réfléchit plus. Amin la tire par la laisse dans le couloir. Louise est quasiment nue, la poitrine et la chatte à l'air. Son guide n'hésite pas d'ailleurs à passer sa main sur sa chatte palpitante.

L'homme la conduit jusqu'à une porte de chambre au bout du couloir. Il l'ouvre et alors que Louise veut entrer, il la retient par la laisse. Il sort sa bite d'ébène et ordonne :

- A genoux ! Suce-moi !

Louise est effarée. Elle, la femme de chirurgien ne peut pas sucer un homme noir dans le couloir d'un hôtel. Et si quelqu'un les surprenait. 

Pourtant elle ne réfléchit pas plus longtemps et s'accroupit pour prendre la grosse bite dans sa bouche. elle s'applique pour soulager l'homme le plus vite possible.

Bientôt Amin met sa main derrière la tête de Louise pour la tenir sur sa queue alors qu'il éjacule abondement. Louise est obligée d'avaler avant de pouvoir entrer dans la chambre.

Pendant deux heures elle est baisée sans modération par son guide. Elle a de multiples orgasmes. Amin s'amuse avec sa proie. il aime la voir crier de plaisir.

Louise se réveille le lendemain matin sans se rappeler comment elle est revenue dans sa chambre. Son mari est en train de s'habiller pour de nouvelles réunions. Il dit à sa femme :

- Tu étais profondément endormie hier soir quand je suis rentré. Les visites du pays ont du t'épuiser !

- Oui mon chéri, c'est ça ! se contente-t-elle de répondre ne pensant à la grosse bite noire de son amant.

Son mari parti, elle commande un petit déjeuner dans sa chambre. Sur le plateau il y a un petit mot qui dit : "Ce soir, 19 heures. Amin."

Elle est à la fois soulagée de ne pas le voir de la journée car elle est trop fatiguée, mais elle est aussi impatiente de le revoir.

Elle passe la journée au bord de la piscine de l'hôtel pour se reposer. A 17 heures, elle remonte dans sa chambre pour prendre une douche et se préparer. elle ne sait pas comment s'habiller, alors elle prend une autre des petites tenues osées qu'elle a ramenée pour son mari.

A 19 heures, Amin entre dans la chambre sans frapper une nouvelle fois et trouve Louise à genoux qui l'attend. Il est satisfait de sa tenue alors il attache le collier avec la laisse et la traîne encore dans les couloirs de l'hôtel à moitié nue.

Louise doit une nouvelle fois le sucer au détour d'un couloir. Elle s'applique sans plus penser à l'humiliation qu'elle éprouverait s'ils étaient surpris.

Quand ils arrivent à la chambre, elle se fige sur le seuil car un autre homme est à l'intérieur. Il s'agit du portier de l'hôtel. Amin lui met une grande claque sur le cul pour la faire avancer. Elle rougit et baisse la tête pour ne pas croiser le regard de l'homme.

- Tu vois, je te l'avais bien dit que j'avais une grosse salope blanche à ma disposition. Son mari va bien être absent jusqu'à 23 heures. A nous de profiter de cette chienne !

Amin s'allonge alors sur le lit et demande à Louise de venir le chevaucher. Il la tourne face à la porte avant de la laisser s'empaler sur sa bite. Louise, toujours les yeux baissés, a honte. Mais bientôt apparaît devant ses yeux la bite du portier qui vient de se déshabiller. Alors elle n'hésite pas et prend le gros membre en bouche.

Alors qu'Amin la tient par les hanches et la fait monter et descendre sur son sexe, le portier lui tient l'arrière de sa tête et lui baise la bouche.

Louise est baisée de toutes les façons possibles par les deux hommes. Elle va être enculée, prise en double, avaler des litres de foutre. Le lendemain matin, quand elle se réveille, elle a la mâchoire douloureuse, la chatte et le cul endoloris.

Pendant toute la semaine, elle est beaucoup plus baisée que dans toute sa vie. Elle a un nombre d'orgasmes incroyables. Dans l'avion du retour, à côté de son mari endormi, elle commence déjà à faire des projets pour le prochain congrès, en espérant qu'il se passe dans un pays d'Afrique.

FIN


samedi 15 août 2020

Les Infortunes de l'infirmière Ch. 06

 

Les Infortunes de L'infirmière - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Un nouvel avenir pour Cynthia.

Cynthia avait déambulé dans sa chambre le reste de la nuit. Elle avait bien essayé de dormir, mais chaque fois qu'elle fermait les yeux, elle revivait son épreuve depuis le moment où le patient du docteur James l'avait prise allongée sur la table d'examen jusqu'au gang bang qu'elle avait subi dans sa propre chambre.

Elle ne pouvait que supposer le nombre de fois qu'elle s'était faite baiser tout au long de cette interminable journée. Le fait qu'elle ait savouré chaque instant importait peu, elle était résignée au point de laisser tomber son boulot pour retourner chez ses parents. Finalement elle décida de se rendre au cabinet du docteur James pour déposer sa démission sur son bureau.

Eric revint au bâtiment médical peu avant midi. Le sort de la malheureuse infirmière le tracassait, quelqu'un l'avait-il libérée de ses entraves après qu'il l'eut abandonnée ancrée sur la table d'examen.

Il avait été rassuré en trouvant la porte du cabinet close, cela signifiait sûrement que Cynthia ne se trouvait plus dans l'immeuble. Il avait laissé ouvert la porte dans l'espoir que les deux jeunes ados prendraient leurs plaisirs avec elle.

Il retourna à sa voiture et s'assit derrière son volant, c'est alors qu'il vit une jeune femme descendre de sa voiture et déverrouiller la porte et s'introduire dans l'immeuble. Eric remarqua qu'elle n'avait pas refermé la porte dans son dos et décida de se risquer jusqu'au cabinet du docteur James pour s'assurer que Cynthia ne s'y trouvait plus.

Martina était revenue terminer son boulot. Lorsque le gardien leur avait ordonné à Brandi et elle de partir, elles avaient décidé de s'en aller sans même terminer le nettoyage du premier étage.

Eric était entré dans l'immeuble et gravissait les escaliers, trouvant le cabinet du docteur fermé, il s'en retourna sur ses pas. Cynthia rangea sa voiture et descendît lentement, elle gagna la porte et la trouva ouverte. Elle supposa, en voyant les autres voitures rangées dans le parking que quelques employés avaient repris le harnais.

Elle pénétra dans l'immeuble, et trouvant les ascenseurs hors d'emploi, prit l'escalier. Au second elle rencontra Martina s'engouffrant dans la cage d'escalier du hall.

- Mais, ne serait-ce pas la mignonne petite Cynthia ? Tu reviens te faire baiser ma jolie ? 

- Salope ! Cracha Cynthia se rappelant Martina pressant sa chatte sur ses lèvres.

- Tu ferais mieux de fermer ta grande gueule si je te revois traîner par ici ! 

Cynthia était sur le point de dire son fait à la femme de ménage lorsqu'elles entendirent gronder une voix masculine.

- J'aimerais bien voir ça. Les avisa Eric descendant les escaliers pour se mettre à leur niveau.

Les deux filles le regardèrent effrayées, Cynthia tourna les talons pour s'enfuir en le reconnaissant.

- Attrapez là ! Hurla Eric à l'adresse de Martina.

Fortement surpris, il vit la seconde jeune femme suivre ses instructions.

- Laisse moi partir salope ! Hurlait Cynthia alors que Martina lui empoignait le bras.

Elle se débattit cherchant à briser son emprise mais Eric s'avança et aida Martina à la maîtriser, la bloquant contre le mur.

- Salut Cynthia, je vois que tu t'es faite d'autres amies une fois que je t'ai quittée hier midi ! 

- Est-ce vous qui l'avez laissée ligotée sur la table d'examen ? Demanda Martina avec curiosité.

Elle le remercia vivement lorsqu'il hocha affirmativement la tête, elle lui décrivit alors rapidement comment, en compagnie de Brandi, elle avait profité des charmes de la jeune infirmière livrée à leur lubricité.

- Bien, nous pourrions peut être poursuivre nos ébats ! Avança Eric tout sourire.

- Non pas ça... je vous en supplie... Pleurnichait Cynthia affolée, incapable d'affronter l'idée de subir un nouveau viol.

Ils se mirent tous deux à la caresser lascivement. , Puis ils la dévêtirent. Cynthia cria une malheureuse fois, mais elle savait que personne ne pouvait entendre ses cris. Elle lutta un peu et se retrouva néanmoins totalement nue assez rapidement, elle gisait sans défense sur le sol alors que des doigts fureteurs exploraient à nouveau son corps.

- Qu'est ce que c'est que ce bordel ! Gronda une nouvelle voix, le cœur de Cynthia s'affola en reconnaissant la voix rauque de Sam.

Eric se trouva bien emmerdé à la vue de l'imposant gardien, mais Martina le rassura lui disant que tout allait bien. Sam commença à se déshabiller tout en s'approchant du trio.

- Bordel c'est vraiment mon week-end de chance ! J'ai une nouvelle chance de me faire cette jolie infirmière ! 

- Puisque c'est ainsi, faisons la fête ! S'exclama Eric ravi de voir la tournure que prenaient les événements.

Cynthia les supplia de la laisser partir, tout en sachant qu'elle n'avait aucune chance de les apitoyer. Elle se retrouva bientôt à genoux alors que Sam avait enfourné profondément sa grosse bitte dans sa petite chatte et Eric dans sa bouche. Comme elle était embrochée par les deux bouts Martina avait rampé sous elle et s'était mise à sucer ses tétons érigés.

Cynthia grommelait en dépit de la grosse bite qui étouffait ses gémissements. Bien que son corps soit douloureux et éreinté à force de se faire violenter le jour et la nuit précédents, elle sentait sa chatte s'émouvoir de leurs assauts.

La langue de Martina titillant ses mamelons rendait sa reddition inévitable, bientôt elle roula des hanches sous Sam qui martelait sa foufoune sans merci, elle grogna sourdement alors qu'il se vidait les couilles au fin fond de son utérus.

Lorsqu'il se retira, Martina se glissa en arrière et entreprit de lui lécher la chatte. Elle suçait la bite d'Eric avec passion alors que la femme de ménage lui broutait le gazon. Son corps tremblait sans contrôle alors qu'elle jouissait sur le visage de la jeune femme, au même instant Eric projeta de longs jets de foutre au fin fond de sa gorge.

Cynthia priait pour que son épreuve soit terminée. Mais ses trois suborneurs n'étaient pas totalement satisfaits. Eric l'attrapa et la serra étroitement contre lui. Il était étendu sur le sol Cynthia couchée sur lui, il l'empoigna par la taille la forçant à s'asseoir sur sa bite tendue. Sa chatte engorgée de foutre et de cyprine s'empala aisément jusqu'aux couilles de son agresseur. Elle sentit alors Sam qui se postait dans son dos

- S'il vous plait pas par l'anus ! C'est trop douloureux ! Les supplia-t-elle misérablement.

Mais Sam ignora totalement ses pleurnicheries. Il pointa son gros gland sur l'étroite ouverture de ses reins et pressa fortement. Ils se réjouirent tous trois de l'entendre hurler alors que son épaisse colonne frayait son chemin dans son anus meurtri.

Martina était trempée de cyprine, elle ne pouvait plus attendre plus longtemps son tour de se faire l'infirmière. Elle se plaça au-dessus d'Eric, la chatte à hauteur du visage de Cynthia. Il lui attrapa les cheveux et pressa son visage tout contre sa pilosité odorante de femme en rut.

- Lèche moi salope ! Lui ordonna-t-elle avec impatience.

Cynthia entreprit de lui lécher consciencieusement la chatte et le clito alors que les deux hommes lui ramonaient le con et le cul. Elle sentait des myriades d'ondes douloureuses parcourir son corps alors qu'ils la baisaient en sandwich. Mais, petit à petit des sensations plaisantes remplacèrent la douleur initiale.

Cynthia hurla des cris étouffés par la chatte de Martina lorsqu'elle succomba à un nouvel orgasme.

- Oh oui...... S'exclama Martina.

Elle pressa plus fermement sa moule sur les lèvres de Cynthia forçant l'infirmière à lui brouter furieusement le minou, espérant succomber à son tour à un orgasme fulgurant.

Cynthia montait et descendait sur les deux bites qui la perforaient sans pitié, tout en léchant de plus belle la chatte enfiévrée de Martina.

Les deux hommes grognaient et gémissaient exprimant leur exultation, Cynthia tremblait de tous ses membres, elle sentit bientôt Martina lui jouir dans la bouche, puis ce fut au tour des deux hommes d'exploser simultanément dans ses deux trous frémissant alors qu'un troisième orgasme s'abattait sur elle.

- Il semblerait que tu te sois payée du bon temps ma chère Cynthia... La félicita le docteur James railleusement.

Cynthia sauta sur ses pieds, elle tourna la tête vers le docteur James qui se tenait devant elle la regardant se faire baisser par le trio infernal, elle se demanda depuis combien de temps il surveillait leurs ébats.

- Ce n'est pas ce que vous pensez ! Commença-t-elle d'une voix faible.

- Je crois ce e que je vois... La coupa le docteur James.

- J'ai surpris mon fils relatant à l'un de ses amis une partouze à laquelle il avait participé hier soir avec une jeune infirmière nommée Cynthia. Il disait même qu'elle s'était fait baiser dans une salle d'examen médicale hier dans la journée. Et comme il n'y avait que toi dans l'immeuble hier ma chère Cynthia. Et voila qu'aujourd'hui je te trouve en train de te faire baiser dans l'escalier ! 

Cynthia restait muette de stupéfaction.

- Je pense que je vais pouvoir tirer avantage de tout ceci, n'est ce pas ma chère Cynthia ! Ajouta-t-il sarcastique.

Cynthia se demandait ce qu'il entendait par là, puis son cœur s'affola lorsque le bon docteur entreprit d'enlever son pantalon.

- Viens ici, entre mes cuisses et suce ma bite ! Lui commanda-t-il d'une voix autoritaire.

Cynthia ne parvenait pas à croire que ça continuait. Son patron se planta devant elle la bite en pleine érection. Comme elle n'avait pas d'autre choix, elle rampa vers lui et entreprit de lui faire une bonne pipe, sous le commentaire salace de Sam et Martina qui riaient de la voir si veule. 

Le docteur James s'appuyait du dos à la rampe alors qu'elle le suçait voracement. Il avait souvent fantasmé au sujet de Cynthia mais n'avait jamais osé entreprendre quoi que ce soit, et voila qu'il obtenait d'elle ce qu'il désirait le plus.

Cynthia sentait sa queue grossir dans sa bouche, cela ne dura plus longtemps avant qu'il crache son foutre chaud lui tapissant les amygdales.

- Et maintenant penche-toi en avant ! Lui ordonna-t-il sèchement.

Elle se releva et se pencha en avant s'appuyant à la rampe. Le docteur James prit place dans son dos et lui fourra la bite dans sa petite chatte se mettant tout de go à la baiser frénétiquement.

A nouveaux excités Sam, Eric empoignèrent Martina et l'étendirent sur le sol entre eux deux. La gouine commença par se débattre, elle ne voulait pas se faire prendre en sandwich par ces deux pervers. Mais bientôt sa résistance diminua alors que Sam l'enfourchait engouffrant sa bite dans sa foufoune détrempée, elle sentit alors Eric lui forer impitoyablement le trou du cul. Elle était embrochée par ses deux trous, ils se mirent à la baiser de concert tout en regardant l'ardent docteur marteler la cramouille de son infirmière dévouée.

Cynthia ne put résister plus longtemps, elle délirait sous les coups de boutoir du docteur James qui la ramonait sauvagement. Elle entendait Martina crier à coté d'elle alors qu'elle exultait entre les bras des deux vauriens. Elle était abasourdie de voir que le docteur James était si endurant, il continuait à la baiser imperturbablement sans juter une seconde fois.

A quelque pas d'eux Martina se faisait éclabousser les intérieurs par les jets de foutre que lui propulsaient les deux gaillards dans les tripes alors qu'elle se voyait emportée par un puissant orgasme. Puis les trois amants s'assirent dans l'escalier pour mieux regarder Cynthia qui se faisait ramoner avec constance.

Plusieurs minutes passèrent et Cynthia succomba à un troisième orgasme alors que le docteur James haussait le rythme de sa chevauchée. Cynthia en plein extase ne parvenait plus à contrôler sa respiration, elle haletait sourdement.

- Oh oui... Beugla le docteur James en projetant son foutre au fin fond de son utérus.

Cynthia s'effondra sur le sol et resta étendue alors que les autres participants se rhabillaient. Elle leva les yeux et vit le docteur James lire sa lettre de démission, elle avait du la laisser échapper alors qu'Eric et Sam l'avaient empoignée pour la sauter.

- Je suis désolé Cynthia, mais je refuse ta démission... La gronda-t-il comme on parle à une enfant.

- Que... que-voulez vous dire ? Larmoya-t-elle abasourdie.

Le docteur James la regarda droit dans les yeux et affichant un sourire diabolique.

- Tu viens de prendre trop de valeur à mes yeux pour que te laisse partir ma petite Cynthia ! Et après ce que j'ai vu, je suppose que tu vas m'obéir quoique je t'ordonne, quand je te l'ordonnerai ! Tu dois savoir tout d'abord que je peux te faire rayer définitivement de la liste des infirmières après tes petites séances sexuelles au cabinet que ce soit avec des patients ou des étrangers ! Mais j'ai un autre plan... Je suppose qu'il sera bien agréable de me prendre une petite récréation entre tes cuisses après tes heures de travail... De plus, je suis sûr que tes nouveaux amis seront très heureux de se joindre à nous !

Cynthia restait assise sans voix. Elle savait que désormais elle appartenait au docteur James. D'un seul mot il pouvait démolir ses espoirs de carrière. Elle apprit bien vite que le docteur James avait d'autres plans en réserve la concernant.

- Comme tu le sais ma chère Cynthia, je traite énormément d'hommes et de femmes qui ont des problèmes d'ordre sexuel, et j'ai plusieurs patients qui m'ont déjà dit qu'ils se masturbaient en t'imaginant nue pour me fournir des échantillons de leur sperme enfermés dans les toilettes... Imagine combien nous gagnerions en permettant à ces clients de te baiser... Je suis sûr que je pourrai soutirer pas mal de fric d'amateurs de ta chatte, de ton cul, et de ta bouche si tu participais activement à leur thérapie... Je pense que certaines femmes paieraient aussi pour disposer à leur guise de tes charmes...

Cynthia était abasourdie.

- Ne te tracasse pas ma chérie, je suis sûr que tu n'aurais pas à t'occuper de plus de 40 à 50 clients par semaine... De plus je leur ferai tous passer des tests de dépistage des maladies vénériennes auparavant ! Et tu prendras la pilule !

Cynthia était sur le point d'éclater en larmes, elle ne pouvait rien faire, elle serait désormais l'esclave sexuelle du docteur James, il l'utiliserait selon son gré et la prêterait à ses amis ; il la prostituerait à de nombreux patients qui n'hésiteraient à payer pour profiter de ses charmes. Et, le pire c'est qu'elle sentait déjà sa chatte brûler de d'impatience de voir se réaliser ses savoureuses perspectives...

Une fois de plus ses sens la trahissaient !

FIN

Souvenirs Ch. 03

Promenade du dimanche.

Je la suis dans la chambre en admirant son gros cul bien rond. Elle s'arrête et attend que je dise quelque chose. J'avance vers son armoire et je l'ouvre. Puis je lui dis :

- Va te laver pendant que je te trouve quelque chose à mettre!

Elle m'obéit et s'en va dans la salle de bain. Bientôt j'entends l'eau de la douche couler. Je farfouille dans ses vêtements pour essayer de trouver une tenue que je considère comme acceptable pour sortir. Je commence à sortir un soutien-gorge pigeonnant en dentelle qui mettra bien sa poitrine en valeur. Je prends aussi la culotte assortie. Je complète le haut avec un chemisier blanc presque transparent. Par contre je n'arrive pas à trouver une jupe qui me convienne. Alors je saisis une de ses jupes crayons et je pars avec dans la salle de bain pour trouver des ciseaux. Lorsque je reviens dans la chambre avec la jupe très écourtée, ma tante est effarée. J'ajoute à ces vêtements une paire de chaussure avec les plus hauts talons que j'ai pu trouver. Alors j'ordonne à ma tante :

- Habille-toi!

Elle m'obéit lentement, avec une mine apeurée. Lorsqu'elle a fini je lui dis que nous partons pour Lyon. Nous montons dans la voiture de ma tante et nous voila parti pour la grande ville. Nicole semble déboussolée, elle se demande ce qui l'attend. Tout en conduisant, elle ne cesse, avec sa main libre, de tirer sur sa jupe pour essayer de couvrir ses cuisses. Je la regarde, amusé. Puis au bout d'un moment je lui dis :

- Arrête donc ton manège, tes jambes sont magnifiques, elles méritent d'être exposées.

Obéissante, elle remet sa deuxième main sur le volant. Je sais qu'elle se pose beaucoup de questions alors je décide de l'avertir :

- Autant te le dire tout de suite, nous allons à un endroit où tu n'aurais jamais imaginé pénétrer auparavant. Mais maintenant que tu es ma soumise les choses vont changer pour toi et j'ai besoin de te faire comprendre ta nouvelle position. Compris?

Elle hésite un peu, mais finalement elle répond :

- Oui Monsieur.

Nous sommes sur l'autoroute. Je vois que quelques kilomètres plus loin il y a une aire de repos et ça me donne une idée. Je lui demande de s'y arrêter. Quand nous entrons sur l'aire, je lui ordonne d'aller stationner au fond du parking réservé aux camions. Il y a bien une trentaine de camionneurs. Ma tante m'obéit sans trop comprendre où je veux en venir. Après avoir garé la voiture, je lui demande de descendre. Elle s'exécute et attend que je la rejoigne.

Je m'approche d'elle et déboutonne deux boutons de son chemisier. Ainsi, on peut facilement voir sa poitrine opulente dans son soutien-gorge pigeonnant. Je lui dis alors :

- Tu vas traverser le parking jusqu'aux toilettes puis tu reviendras.

Je la vois hésiter. Le chemin est long et ça l'oblige à passer devant la rangée de camions stationnés. Elle me regarde, sûrement en espérant que je plaisante. Je gronde :

- Dépêche-toi salope!

Elle se détourne et commence à s'éloigner de moi d'un pas peu assuré, tout en tirant sur le bas de sa jupe. Il faut dire que cette jupe au ras des fesses, ses talons hauts et son décolleté vertigineux attirent les regards. Son cul se balance alors qu'elle avance sur le parking. Elle jette des coups d'œil de tous les côtés.

Il ne se passe pas beaucoup de temps avant que des chauffeurs l'aperçoivent. Ils n'en croient pas leurs yeux. Certains commencent à siffler. Ma tante accélère le pas. Malheureusement pour elle, sa jupe a tendance à remonter et sa poitrine rebondit. Elle n'a de cesse d'essayer de tenir sa jupe en place avec une main et de couvrir sa poitrine avec l'autre.

Bientôt les remarques fusent :

- Coucou ma belle!

- Ne cours pas, viens faire un bisou!

- C'est tout à toi tout ça?

- Viens visiter mon camion beauté!

- Tu dois avoir froid poulette! Viens, le vieux Raymond va te réchauffer...

Je sens que Nicole est effrayée. Elle se rue presque dans les toilettes. Après 10 bonnes minutes je la vois ressortir. Elle a une toute autre démarche, elle se tient droite, le menton relevé. Elle bombe la poitrine comme pour dire à tous ces hommes « Je ne suis pas pour vous ». C'est une vraie bourgeoise habillée en pute. Devant la nouvelle assurance de ma tante, les camionneurs sont un peu décontenancés et n'osent plus crier ou siffler. Un seul m'apostrophe lorsque Nicole me rejoint :

- Tu as de la chance petit, profites en bien!

Je me contente de sourire tout en remontant dans la voiture. Avant que Nicole redémarre, je lui demande :

- Que s'est-il passé? Tu étais bien fière sur le retour, pourquoi?

- Tous les hommes sont des dégueulasses, je vaux beaucoup mieux. Tous ces camionneurs sont des frustres, des malpolis. Je ne fais pas partie de leur milieu.

- Ah bon! Et si j'avais décidé de te laisser avec eux?

Ma tante décide alors de se rebiffer :

- Écoute moi Didier, jamais je ne me soumettrai à ce genre d'homme. Je t'obéis, car je ne peux faire autrement. Mais jamais je ne fréquenterai ces hommes.

Je sens qu'il faut que je reprenne les choses en main, ma tante reprend trop d'assurance. Je la regarde fixement d'un œil méchant et je dis d'une voix dure :

- TU VEUX LA PRISON ET LE DÉSHONNEUR DE TA FAMILLE ET LE CHÔMAGE ENSUITE? TU SERAS OBLIGÉE DE TE PROSTITUER POUR VIVRE PLUS TARD, C'EST-CE QUE TU VEUX?

Elle me regarde et baisse la tête, penaude. Puis elle dit doucement :

- Non Did... pardon, non Monsieur!

- Bien! Alors écoute-moi bien grosse chienne! Si je te demande d'aller dans toutes les cabines de ces camions pour sucer ou te faire sauter par tous leurs occupants, tu le feras. Si je veux que tu te mettes à genoux au milieu des pissotières homme pour satisfaire qui le veut, tu le feras. Si je veux que tu te mettes à poil au milieu du parking et que tu danses, tu le feras. C'EST BIEN COMPRIS SALOPE?

- Oui Monsieur!

Elle n'a pas hésité à répondre. Je crois qu'elle a vraiment peur. Mais je pense à autre chose. Je continue :

- Et puis peut-être que ton éducation et ton cerveau te font refuser cette situation, mais je parierai que ton corps dit le contraire. Écarte les jambes!

Elle m'obéit, une larme à l'œil. Je glisse une main entre ses cuisses, puis sous sa culotte. Mes doigts partent à l'exploration de sa chatte. Bientôt je les ressors luisant de son jus. J'ai raison, cette situation l'a excitée même si elle le nie. Je lui mets mes doigts sous le nez et je lui demande :

- C'est quoi ça?

- ...

- C'EST QUOI CA?

- Ma mouille Monsieur!

- Et pourquoi tu mouilles salope?

- ...

J'ai envie de lui mettre une claque pour qu'elle arrête de nier l'évidence, mais je me retiens. Toutefois d'un ton sans appel je répète :

- ET POURQUOI TU MOUILLES SALOPE?

- Parce que... parce mon corps est excité Monsieur.

Elle fond en sanglots alors qu'elle prend conscience de ce qu'elle vient d'avouer. Je la laisse s'épancher quelques minutes puis je lui dis :

- Allez, nettoie mes doigts, on ne va pas passer la journée ici! Ensuite démarre et partons de la!

Je ne sais pas si elle est soulagée que je ne lui impose pas plus d'humiliation sur ce parking, mais elle prend rapidement mes doigts dans sa bouche et les nettoie consciencieusement avec sa langue. Puis elle démarre et s'engage de nouveau sur l'autoroute.

Arrivé à Lyon, je lui indique un parking souterrain où se garer. Nous descendons de la voiture, sortons du parking et marchons dans la rue. Il y a très peu de passants pour un dimanche d'été. Toutefois, je remarque que tous les hommes qui nous croisent ne peuvent s'empêcher de se retourner. Il y en a même un qui nous suit pendant quelques minutes, il veut sûrement profiter de la vision du cul de ma tante qui se trémousse sous la mini-jupe.

Nous enfilons les rues jusqu'à notre destination. Je sens que Nicole a une hésitation quand nous entrons dans cette dernière rue. Des néons de toutes les couleurs invitent à entrer dans les sex-shops qui parsèment ce quartier.

- Avance! Dis-je à ma soumise.

Elle m'obéit. Ses yeux vont d'une vitrine à une autre, elle semble affolée. Je l'attrape par le coude et je la pousse dans une des boutiques dont l'enseigne indique « peep-show à toutes heures ». Elle entre et s'immobilise sur le seuil en voyant toute cette pornographie exposée. Il est évident qu'elle n'a jamais visité un tel lieu. Je lui dis alors :

- Donne-moi 20 francs!

Comme une zombie, elle fouille dans son sac et me tend deux billets de dix francs. Je la laisse sur place et je me rends au comptoir :

- Bonjour! Dis-je au caissier qui lorgne ma tante sans vergogne.

- Bonjour, que puis-je pour vous?

- Vous avez des cabines pour couples pour le peep-show?

- Oui bien sûr!

- Donnez-moi pour 20 francs de jetons alors!

- Voilà! Dites, elle est gironde votre amie. Un peu vieille peut-être mais sacrément bandante!

Je lui fais un clin d'œil et je me dirige vers ma tante qui attire tous les regards des hommes présents dans la boutique.

- Suis-moi! Dis-je.

Nous entrons dans une cabine double et nous nous asseyons sur une vieille banquette en skaï. Nicole renifle, l'odeur ne lui plaît pas. C'est vrai que ça sent le sexe, le sperme séché. Dans le coin, traîne une vieille poubelle remplie de mouchoirs blancs chiffonnés.

Je glisse les jetons dans le monnayeur et lentement le rideau se lève sur la glace sans tain. Devant nous, sur une scène avec un canapé rouge en skaï, une strip-teaseuse, pas de la toute première jeunesse, s'effeuille.

Je regarde ma tante qui, les yeux ébahis, semble fascinée et horrifiée par le spectacle. C'est alors que je lui dis :

- Je te verrais bien à sa place, tu ferais une strip-teaseuse bien bandante. Qu'en penses-tu?

Elle se tourne vers moi, de la peur sur le visage. Je crois qu'elle pense vraiment que je suis sérieux. Je reste stoïque et je la laisse mariner. Je la vois déglutir difficilement avant de me dire :

- N... non... non Monsieur, s'il vous plaît, pas ça. Je ferais désormais tout ce que vous voulez. S'il vous plaît Monsieur!

- Tu sais que j'ai différents choix, le plus simple étant de te dénoncer à ton patron ou à la police. Là tu es sûre d'aller en prison. Je peux aussi te faire embaucher ici. Je ne sais pas si tu sais, mais il y a des petits salons où l'on peut avoir des séances privées avec les filles. Tu peux éviter tout cela, mais il faut que tu te montres une bonne soumise, que tu m'obéisses au doigt et à l'œil, que tu fasses tout ce que je te dis, quand je le dis. Je ne veux plus te voir renâcler. Alors?.

Immédiatement, elle baisse la tête en signe de défaite. Je sais alors qu'elle est à moi, qu'elle a abandonné tout idée de rébellion. Je l'entends doucement dire :

- Je suis votre esclave Monsieur, je vous obéirai toujours, vous pouvez faire de moi ce que vous voulez.

- Bien salope, alors baisse ma braguette et suce-moi!

Avec empressement, toute idée de refus abandonnée, elle se dépêche de m'obéir. Après avoir sorti ma bite, elle s'applique à me faire une fellation digne d'une professionnelle. Il me faut peu de temps pour gicler mon foutre dans sa bouche, qu'elle avale rapidement avec une grimace qu'elle masque rapidement sous un sourire.

Nous sortons du peep-show et je décide de faire les rayons du sex-shop pour acheter du matériel qui me sera bien utile. Je dépose dans les bras de ma tante, godemichets, plug, chaînes, pinces, cravaches et autres que je compte bien tester sur elle. Nicole reste impassible, voulant ainsi me montrer sa nouvelle détermination d'être une bonne soumise. Et même lorsque je lui demande d'aller payer tous les articles, elle s'exécute sous le regard vicieux et moqueur du vendeur.

Alors que nous allions sortir du sex-shop, celui-ci me hèle :

- Dites! Je peux offrir un emploi à votre copine si vous voulez?

Nicole me regarde, suppliante.

- Merci, nous allons en discuter. De toute façon je garde votre proposition en tête.

Nous sortons du magasin et je demande à Nicole de retourner au parking en marchant dix mètres devant moi. Sur le chemin beaucoup d'hommes se retournent sur son passage. Un ou deux l'abordent sûrement pour lui demander de prendre un verre ou l'inviter. Mais elle répond négativement en secouant la tête.

Nous reprenons la voiture et nous rentrons rapidement chez ma tante. Il est déjà tard. En entrant dans la maison elle se met tout de suite en sous-vêtements sans que je sois obligé de lui rappeler. Je lui dis de préparer le dîner et nous mangeons en silence.

Le repas terminé et la vaisselle faite, je vais m'asseoir sur le canapé et je lui demande de se mettre à genoux devant moi, les mains sur la tête. Elle s'exécute en silence. Je sors alors plusieurs articles des sacs ramenés du sex-shop et je lui dis :

- Maintenant que tu as vraiment accepté le fait que tu es soumise, il faut que je te fasse comprendre quelque chose. Mais d'abord une question : comment une femme peut-elle faire plaisir à un homme?

- ... en ... en faisant l'amour Monsieur?

- Plus précisément?

- en le suçant ou en offrant sa chatte!

- Tu n'as pas oublié quelque chose?

- En offrant son cul?

- Bien! Oui les hommes fantasment sur ce petit trou souvent inaccessible. Je veux que tu t'habitues à être sodomisée, mais pour cela on va commencer en douceur. Je vais te faire porter un plug anal.

- Oui Monsieur. Me répond-elle l'air un peu inquiet.

- Mais auparavant il faut que tu aies le cul propre. Un homme t'ayant sodomisé et ayant éjaculé dans ton cul va automatiquement te demander de nettoyer sa queue. Tu te doutes de l'état de sa queue si ton cul n'était pas propre. Je me suis donc procuré un kit pour tu vas utiliser pour laver ton cul. A partir d'aujourd'hui je veux qu'il soit toujours propre. Pendant que je vais regarder la télé, tu vas pouvoir t'en servir. Va dans la salle de bain et lave-toi complètement!

Nicole se relève, prend ce que je lui tends et va dans la salle de bain.

Environ une heure plus tard, elle revient. Je lui demande de se tourner, de se pencher et d'écarter les fesses. Je prends un tube de lubrifiant et en prend un peu avec mon doigt. Je masse son petit trou doucement puis j'insère mon doigt. Ma tante grimace, mais je continue. J'enfonce mon majeur au maximum dans son cul et je le remue. Nicole gémit légèrement, mais elle n'ose pas se plaindre. Je joins bientôt l'index au majeur. Puis, après avoir bien lubrifié le tout, je retire mes doigts et prends le plug. Je le replace à l'entrée de son petit trou qui s'est refermé et je pousse. Je sens que ma tante force pour empêcher l'objet d'entrée. Alors je lui mets une grande claque sur la fesse.

- Ouille! Crie-t-elle en sursautant.

- Si tu ne te détends pas, ça va faire encore plus mal!

Je la vois se remettre en position et souffler. Je mets le plug à l'entrée de son cul et je pousse à nouveau. Malgré une légère résistance, il entre sans grande difficulté. Je le pousse complètement alors que la respiration de Nicole s'est accélérée. Je la regarde grimacer alors que j'ajuste le plug. Je suis maintenant sûr qu'il ne ressortira pas tout seul. Je tends le lubrifiant à ma tante en disant :

- Je veux que tu gardes ce plug le plus longtemps possible. Mais je vais te l'enlever pour dormir. Par contre demain matin tu le mets et le garde toute la journée jusqu'au moment où nous nous coucherons. Prends le lubrifiant il te sera utile.

Je saisis la base du plug et tire dessus. Il sort du cul de ma tante qui gémit. Je lui tends en disant :

- Va le laver et va te coucher!

Je regarde la télé, puis rejoint la chambre. Je me déshabille et m'allonge à côté de Nicole qui me tourne le dos. Je me plaque contre elle, ma queue contre son cul et ma main agrippe ses gros nichons. Je m'endors ainsi.

Plus tard dans la nuit, je me réveille avec une belle érection. J'ai l'impression que ma tante pousse son cul sur ma bite. Pourtant elle a l'air de dormir profondément. Je descends ma main entre ses jambes et explore sa chatte. Elle mouille. Je n'hésite pas, je guide mon membre et la pénètre. J'entends un gémissement étouffé. Je suis presque certain qu'elle fait semblant de dormir. Je la baise lentement, puis plus rapidement jusqu'au moment où j'entends un grand soupir et que je sens son corps trembler. Je jouis aussi et laisse mon sperme se répandre dans son vagin. Puis je m'endors, satisfait.

Le lendemain matin, nous devons retourner au travail. Je choisis la tenue de ma tante. Je prends une autre jupe que je coupe à mi-cuisse. Je lui donne des sous-vêtements sexy et je défais deux boutons du chemisier pour offrir un peu de sa poitrine au regard, une jupe assez courte Je lui recommande de revoir toutes ses jupes ce soir en rentrant. Moi je m'occuperai de toutes ses culottes et soutien-gorge trop moches pour être portés.

Bien sûr, elle me regarde d'un air suppliant en me disant :

- Mais Monsieur, c'est trop vulgaire, je ne peux pas porter ça...

Je la regarde d'un air sévère et elle baisse la tête, vaincue.

C'est ainsi que vont se passer les deux mois d'été chez ma tante. C'est maintenant ma chienne qui s'habille comme je le souhaite, que je peux baiser tant que je veux. Même au travail, quand le patron s'absente, je donne un prétexte quelconque à mes collègues et je monte dans son bureau et la baise rapidement ou me fait tailler une pipe.

Un soir, après le dîner, alors qu'elle retire le plug pour se coucher, je lui demande de ne plus bouger. Je sors ma bite et l'enfonce dans sa chatte. Après deux ou trois coups de rein, je la ressors, la présente sur son trou du cul et l'enfonce sans avertissement. Ma tante a un petit cri de surprise suivi d'une grimace. Mais ma queue coulisse bien et je l'encule avec force. J'éjacule dans ses intestins avant de lui demander de nettoyer ma bite, ce qu'elle fait sans rechigner. Après cette première fois, je la sodomise souvent. Elle n'a pas l'air de détester.

Je m'aperçois que son comportement évolue de jour en jour, j'ai l'impression qu'elle commence à apprécier sa condition de soumise. Plusieurs fois, je me réveille dans la nuit en la sentant se frotter contre moi. Je la surprends même, alors que je fais semblant de dormir, de prendre ma main pour la poser sur son sein. Elle me suce avec plus d'entrain et je la soupçonne même de faire exprès de m'exciter pour que je la baise. Elle est de moins en moins gênée de se promener en mini-jupe avec un joli décolleté. Elle me dit même un jour, emplie de fierté, que son patron vient la voir plus souvent pour lorgner ses jambes et ses seins.

A suivre...

Attendre le livreur ou le réparateur.

On attend un colis important et on est content de le recevoir. Il est donc normal de remercier le livreur. On attend une réparation et on est soulagé quand c'est fait. Donc il est normal de remercier le réparateur.

*****

Frédéric, le marie d'Amélie, femme au foyer de 42 ans, attend un colis important pour ses jeux SM. Il a donc ordonné à sa femme d'attendre en position de soumission la livraison et de donner un bon pourboire au livreur.

Bientôt un black passe le portillon de leur maison et s'arrête médusé en voyant Amélie.

- Euuuuhhhhh... Bonjour Madame.... j'ai un colis pour Monsieur M.

- C'est bien ici, je vous attendais.

- Bien... Juste une signature et je m'en vais.

Amélie signe le reçu, mais quand elle voit le livreur partir elle lui crie :

- Attendez ! Mon mari m'a demandé de vous remercier !

- Me remercier ? Comment ? je suppose que vous n'avez pas d'argent sur vous pour un pourboire. Ricane l'homme noir.

- Oui c'est vrai, mais je peux vous remercier autrement.

Sur ces mots, Amélie dégrafe le pantalon du black et va chercher une belle bite d'ébène déjà semi-dure. En bonne salope, elle salive déjà.

Elle prend le membre en bouche et s'applique à faire une fellation d’anthologie pour le jeune livreur. Comme elle l'entend gémir, elle sait que ça lui plaît. Cinq minutes après, il va lui tapisser le palais avec son foutre. Elle a du mal à avaler tellement le sperme est épais et en quantité.

Le black lui sourit, lui tapote la tête en rangeant sa bite et s'en va en disant :

- Merci Madame ! J'espère avoir à faire d'autres livraisons chez vous. !

Le soir, après être rentré son mari prendra le colis, demandera à sa femme si tout s'est bien passé. Elle acquiescera docilement. puis Frédéric dira :

- Allez salope, à la cave, je suis pressé d'essayer nos nouveaux jouets.

*****

Adeline, 45 ans, bourgeoise puritaine et délaissée par son mari qui est représentant en commerce et donc souvent absent, a rencontré Franck, célibataire endurci, libertin et patron de grosse entreprise. 

La stature et l'autorité naturel de Franck ont eu un tel effet sur Adeline qu'elle est devenue sa chose, son esclave. Quand son mari est absent, elle lui obéit en tout lieu et pour n'importe quoi.

Aujourd'hui, elle doit attendre quelqu'un chez elle. Elle a des ordres précis.

Tonio, portuguais, 50 ans, petit trapu et Jacques, 55 ans, avec une stature de camionneur arrivent devant une maison cossue. 

- Pourquoi on est là, rappelle-moi ! Demande Tonio à son collègue.

- Je sais pas ! Le patron m'a dit qu'il était content de notre travail et qu'on devait venir ici pour être récompensé.

Le portugais hausse les épaules et frappe à la porte. Une jolie bourgeoise, bien coiffée et bien parfumée, dans une robe bien taillée ouvre et avance sur le pas sans rien dire.

- Euhhhh.... Bonjour Madame. Nous... Nous sommes envoyés par M. D. Dit Jacques.

- Je vous attendais Messieurs.

Devant les deux hommes ébahis, Adeline soulève sa robe, dévoilant une paire de bas blancs et une chatte épilée. Elle ajoute alors :

- Je suis votre récompense. je vous en prie, entrez !

Les deux hommes complètement étonnés la suivent sans un mot dans la maison richement meublée. Elle les amène dans le salon. L'instant de stupeur étant terminé, Jacques demande alors :

- Comment ça notre récompense ?

- Hé bien, pendant toute la journée, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi !

Sur ces mots Adeline s'agenouille et défait les pantalons des deux hommes. Elle sort leur bite et commence à les sucer. Tonio et Jacques se regardent et se font un grand sourire. 

Les deux vont bien profiter de la journée. Adeline va bien leur vider les couilles. Les deux hommes vont la baiser et l'enculer sans ménagement. Heureusement que son mari ne rentre pas ce soir-là car il l'aurait retrouvée dans la salon dans un état semi-comateux, les seins à l'air, la robe retroussée aux hanches, le cul et la chatte béante, du foutre s'écoulant des orifices.

Tonio et Jacques vont remercier leur patron en travaillant avec plus d'acharnement. Ils espèrent bien recevoir une nouvelle récompense bientôt.

*****

Les livreurs de pizza se battent pour aller chez Stéphane et Valérie.

En effet, pour les soirées pizza devant la télé, Stéphane ordonne à Valérie de se mettre en tenue de salope pour recevoir les livreurs.

A 46 ans, la femme enfile un petit haut noué sur le devant qui ne cache rien de ses gros seins lourds. Elle enfile une petite culotte blanche et un genre de mini-jupe qui ne cache rien tellement elle est mini. Et elle complète avec des chaussettes blanches.

Comme toujours, l'heureux gagnant de la pizzeria qui a l'honneur de livrer le couple  bande des qu'il voit Valérie ouvrir la porte. Elle prend les pizzas et les emmène à la cuisine en balançant son gros cul sous les yeux du jeune homme.

Puis elle revient et le paie. Ensuite elle s'agenouille, défait sa braguette pour sortit sa bite qui menaçait de faire éclater le jean et elle commence à le sucer.

C'est une experte en fellation, Stéphane l'a bien dressée. Il ne faut pas longtemps pour que le livreur éjacule. Quand il a fini, Valérie ouvre la bouche pour lui montrer le foutre et elle avale. Ensuite elle donnera quelques coups de langue pour nettoyer la queue du garçon heureux.

Tout le personnel de la pizzeria attend avec impatience la prochaine commande du couple.

******

Alice, 39 ans, est totalement soumise à son mari Charles. C'est pourquoi elle n'est pas autorisée à avoir des habits à l'intérieur de la maison. 

Ce matin, alors que son mari est parti au travail, elle a une grosse fuite d'eau dans la salle de bain. Alice sait que si elle dérange son mari, elle sera punie plus tard. Alors elle prend l'initiative d’appeler le premier plombier qu'elle trouve dans l'annuaire.

Environ deux heures plus tard, Fernand, 60 ans, plombier depuis  42 ans, arrive devant la maison.

- 40, ça doit être là ! Dit-il en écrasant son mégot et en sonnant.

Alice entend la sonnette. Elle s'est demandée plus tôt si elle devait s'habiller pour accueillir le dépanneur, Mais son mari sera furieux s'il le découvre, donc elle ouvre la porte totalement nue.

Fernand n'est pas loin de la crise cardiaque quand il voit la femme nue  devant lui, mais il se ressaisit et demande en détaillant le corps nu de haut en bas:

- C'est bien ici la fuite ?

- Oui, Merci d'être venu si vite, suivez-moi s'il vous plaît. Répond Alice.

Fernand ne peut détacher ses yeux du cul qui se balance devant lui pour aller à la salle de bain. il commence à avoir une trique d'enfer.

Heureusement la fuite est réparée rapidement. Fernand remplit alors la facture et la tend à la femme en disant :

- Payable de suite ma petite dame !

Alice est affolée, elle n'a pas d'argent c'est son mari qui gère les finances du couple.

- Heuuuu... Mon mari pourra vous payer plus tard. je n'ai rien ici !

- Ah non ma petite dame, c'est tout de suite. débrouillez-vous !

Alice soupire, elle sait ce qu'elle doit faire. De toute façon ce petit vieux n'est pas pire que les hommes à qui son mari la livre parfois. Elle va le sucer, il va jouir vite et ça sera fini.

- Si je vous fais jouir ça ira ?

- Pourquoi pas ! Dit Fernand malin.

Il enlève alors sa ceinture et laisse tomber son pantalon. Alice voit apparaître une queue énorme. L'homme est peut-être vieux, mais il est bien équipé. Alice s'agenouille et commence à sucer l'homme. Elle est experte, mais elle n'arrive pas à le faire jouir.

Au bout d'un quart d'heure, elle fait asseoir le vieil homme sur une chaise et s'empale sur son gros membre. Elle pousse un gémissement tellement elle est remplie. Elle chevauche l'homme en essayant de le faire éjaculer, mais rien ni fait. Quand elle a son troisième orgasme, elle comprend qu'elle n'y arrivera pas. Alors elle capitule :

- Je ne sais plus comment faire pour vous faire jouir. Dites-moi !

Fernand, le sourire aux lèvres, soulève la femme de ses genoux, la tourne et la penche sur la table à manger. Il lui écarte les jambes et approche son gland de son cul. Alice n'arrive pas à le croire, il va la déchirer avec sa grosse bite. Elle a été souvent enculée, mais pas par un si gros calibre. Mais elle sait qu'elle n'a pas le choix, alors elle sert les dents.

Le plombier pousse doucement sa bite sur le petit trou de la femme. Bientôt celui-ci cède et le membre commence à entrer. C’est alors que Fernand donne un formidable coup de rein pour bien enterrer son engin au fond du cul ouvert. Alice pousse un grand cri de douleur et manque s'évanouir. Mais quand l'homme commence à faire des va-et-vient dans son cul, la douleur s'estompe doucement.

Il faudra cinq minutes à Fernand avant d'enfin se vider. Il inondera le cul d'Alice d'une grosse quantité de son foutre avant de se retirer. Il tapotera le cul et dira:

- Facture payée !

Alice l'accompagnera à la porte, du sperme s'écoulant de son cul. Elle lui dira "au revoir" en espérant ne plus avoir de fuites d'eau.

*****

vendredi 7 août 2020

Claudine soumise Chap. 10

Le dimanche au marché et à la chapelle.

Il est presque 2 heures du matin quand nous arrivons devant mon pavillon. Les pneus de la Mercedes font crisser les gravillons de l'allée pendant que Mehdi se gare. Nous sortons de la voiture et tout de suite Mehdi prend congé de nous. Il reprend son véhicule et retourne dans son sex-shop.

Nous entrons dans mon pavillon et je reste bouche bée devant le spectacle qui s'offre à nous. Anne-Sophie, ma fille, seins nus est vêtue d'un porte-jarretelles noir et des talons aiguilles qui m'appartiennent, ceux avec le talon en acier. Elle est allongée sur la table du salon, les chevilles attachées aux pieds de la table et Charles, à genoux devant elle, lui lèche la fente. Pierre, debout devant la table lui a enfourné son membre dans la bouche et elle lui administre une fellation.

Jessica nous pousse dans le salon, Sylviane et moi et nous ordonne d'enlever nos tenues de putes et d'aller prendre une douche. Nous nous exécutons, plutôt contente de pouvoir nous débarrasser du sperme qui colle nos cheveux et sèche sur notre corps. Nous arrivons dans la salle de bains et Jessica décide que nous allons nous doucher toutes les trois ensembles. Nous prenons donc notre douche sous la surveillance de Jessica qui s'amuse à nous branler de temps en temps. Elle prend un gant de toilette et nous le passe sur le corps, nous caressant les seins. Elle se penche et nous suce les mamelons en alternant. Elle me force à sucer la pointe des seins de Sylviane pendant que celle-ci doit m'enfoncer deux doigts dans ma chatte. L'eau coule sur nos corps et je commence à respirer un peu plus vite sous la caresse de Sylviane qui me titille le clitoris. J'halète comme une folle et Sylviane agite de plus en plus vite ses doigts dans ma fente. Un flot de mouille envahit ses doigts. Je lui suce toujours les seins lui mordillant les pointes ce qui la fait gémir de bonheur. Jessica nous passe le gant sur tout le corps pendant ce temps-là. Elle nous lave les fesses maintenant et insiste bien sur l'anus. Elle enlève son gant et enfonce son index dans le cul de Sylviane qui pousse un gémissement sourd.

- Je dois vérifier qu'il est propre vu que tu t'es comportée comme une chienne dans le sex-shop.

Elle retire son doigt et je dois le sucer. Puis, comme dans le sex-shop, Jessica nous ordonne de nous embrasser. Sylviane proteste et elle reçoit une claque sur ses fesses. Jessica m'agrippe par les cheveux et rapproche mon visage de celui de Sylviane et je dois poser mes lèvres sur les siennes. Nous nous embrassons de longues minutes pendant que Jessica guide nos mains et nous oblige à nous inspecter le vagin mutuellement.

Nous sortons de la douche et allons dans ma chambre pour nous habiller pour la nuit, lance Jessica en rigolant. Elle farfouille dans ma penderie et mon tiroir de lingerie pendant que nous devons attendre, nues, à côté d'elle. Elle choisit une nuisette transparente pour moi que j'enfile sur un collant noir satinée et une guêpière rouge pour Sylviane avec un porte-jarretelles et des bas noirs qu'elle a déniché dans mon tiroir. Nous devons enfiler toutes deux des talons aiguilles et nous retournons dans le salon.

Pierre et Charles en ont terminé avec Anne-Sophie et celle-ci est en train de s'essuyer la bouche pour enlever le sperme qu'elle a régurgité. Leila s'approche de ma fille et la courbe en avant. Elle lui attache les poignets à ses chevilles, lui enfonce le gode avec la queue de cheval dans le cul et lui ordonne de rester comme ça. Rachid et Bruce surgissent soudain et sifflent en nous découvrant. Ils se font raconter par Jessica notre expédition au sex-shop et Jessica lui montre les photos qu'elle a prit avec son téléphone portable.

- Super, lâche Bruce, on va pouvoir rajouter ça sur le site. On a fini de mettre les photos et le film qu'on a tourné tout à l'heure. Tu veux voir?

Nous suivons Bruce dans le bureau de mon mari et je réalise soudain que je ne l'ai pas encore aperçu. Bruce se connecte sur internet et mon site où, effectivement, on peut voir les photos de notre « partouze » de début de soirée. Ils éclatent de rire quand on voit en gros plan Sylviane en train de faire des pipes à tout ce joli petit monde. Jessica lui claque les fesses :

- Eh bien Mme la Conseillère municipale, vous n'avez pas honte de vous conduire comme une traînée?

Sylviane est rouge de honte et elle baisse les yeux. Nous retournons dans le salon. Rachid, les mains sur les hanches de ma fille, la besogne à grand coup de reins. Ses seins ballottent et elle pousse de longs gémissements. Rachid accélère son va et vient et éjacule sur le dos de ma fille en poussant un cri rauque. Bruce propose du champagne et Leila tout excitée d'un coup crie :

- Bonne idée, vous allez voir ma nouvelle soubrette!!!

Je reste interloquée. De qui veut-elle parler?

- Paulette! Apporte le champ'!

La porte de la cuisine s'ouvre et, horrifiée, je vois apparaître Paul mon mari. Leila l'a obligé à s'habiller en soubrette pour faire le service. Il est vêtu d'une robe noire qui lui arrive presque à l'aine et son sexe pend misérablement. C'est une robe qui m'appartient et je me demande comment il est rentré dedans. Il est d'ailleurs complètement boudiné. Mais le pire, le comble de la déchéance et de l'humiliation, du moins pour un homme, il porte des bas et des talons hauts. Il trébuche et manque de tomber à chaque pas.

Il porte un plateau avec des flûtes et fait visiblement un effort considérable pour ne pas le renverser. Il me regarde honteux et je me rends compte que Leila a poussé le vice à le maquiller. Elle lui a mis du rouge à lèvres.

Paulette fait le service et Leila, Jessica, Bruce et Rachid trinquent pendant que Sylviane et moi nous devons nous mettre à genoux devant eux. Paulette retourne dans la cuisine. Ma fille Anne-Sophie est toujours attachée courbée en avant. Pierre, lui, est attaché courbé en avant également sur un haut tabouret trouvé dans la cuisine, les mains liées derrière le dos, un bâillon-boule dans la bouche et ficelé sur le tabouret par une lanière sans doute trouvée dans les affaires SM que Mehdi avait ramené de son sex-shop et que Leila a gardé précieusement.

Nos tourmenteurs prennent le champagne autour de la table ronde de notre salon. Au bout d'un moment, on nous demande à Sylviane et à moi de passer sous la table. Rachid et Bruce ont sorti leurs bites de leurs pantalons et nous devons les sucer. Sylviane s'occupe de Rachid et moi de Bruce. Ma langue s'enroule autour de son gland, je le pompe en salivant dessus. Il me force à l'engloutir entièrement en m'appuyant sur la nuque et j'émets une protestation étouffée. Sylviane subit le même sort. Ma tête monte et descend sur le membre imposant de Bruce qui donne des coups de bassin comme pour s'enfoncer encore plus. Très vite, il éjacule en lâchant des traînées de foutre sur mon visage. Rachid éjacule également souillant le visage de Sylviane de son sperme poisseux.

Nous sortons de dessous la table et, à la demande de Jessica, nous devons nous nettoyer la figure en nous donnant de petits coups de langue, nous léchant mutuellement le sperme. Puis, de nouveau, nous nous embrassons. Nos langues s'enroulent. Rachid prend des photos et propose que nous nous allongions sur le sol. Leila me fesse le cul violemment et déchire mon collant. On nous force à nous mettre tête-bêche et je dois, sous la pression, mettre ma langue dans la chatte de Sylviane pendant qu'elle fait de même. Je sens sa langue m'agacer le clitoris et je lui introduis un doigt dans sa chatte dégoulinante. Sylviane pousse un gémissement et ondule du bassin. Je la masturbe de plus en plus vite, agitant mes doigts, lui pinçant le clitoris Rachid prend toujours des photos et Bruce filme la scène avec la caméra de mon mari. J'agite mon bassin de plus en plus vite, Je sens monter l'orgasme et je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Sylviane, elle, ne se retient pas. Elle pousse un cri en jouissant et je reçois sa mouille sur mon visage que j'avale en donnant de grands coups de langue. Je pousse un râle et je m'effondre sur le sol, exténuée. Il est 4h00 du matin et nous sombrons dans le sommeil Sylviane et moi. Nous pelotonnant l'une contre l'autre pendant que j'aperçois Paul mon mari devenue « Paulette la soubrette » aller se coucher avec Leila. On détache Pierre et Anne-Sophie et ils s'écroulent également sur le canapé, ivres de fatigue. Bientôt, le silence règne dans mon pavillon.

Je suis réveillée en sursaut par un cri qui provient de ma chambre où Leila et Paul ont été se coucher. Il fait jour et je jette un coup d'œil à ma montre : 10h00. Je me lève et me dirige silencieusement vers ma chambre. La porte est entrouverte et j'aperçois Paul, nu, en train de faire l'amour à Leila. J'en ressens une pointe de jalousie. Il a relevé les jambes de Leila à la verticale et sa bite s'enfonce dans sa chatte a une cadence infernale. Leila tourne la tête dans tous les sens, haletante, se tordant et suppliant qu'il la défonce encore plus. Mon mari agite son bassin en soufflant comme un bœuf. Je regarde Leila se faire prendre par mon mari et j'ai l'impression de n'avoir jamais été prise de cette façon, avec autant de fougue par Paul.

Un bruit derrière moi me fait sursauter. C'est Jessica qui a également entendu les cris. Elle ne dit pas un mot mais plaque sa main sur mon ventre à travers le collant et commence à me caresser. Elle descend le collant et introduit deux doigts dans ma chatte. Je me pince les lèvres. Je ne résiste plus à cette caresse et très vite je l'accompagne en ondulant du bassin et en poussant des gémissements plaintifs.

Leila pousse un cri de démente. Elle vient d'avoir un orgasme et Paul éjacule sur son ventre, lui déversant de longues traînées blanches. Cette scène me fait jouir et je pousse également un cri puissant ce qui fait retourner Paul qui s'apercevant de ma présence devient blême. Je remets mon collant et je retourne suivi de Jessica dans le salon.

Tout le monde est réveillé et nous prenons le petit déjeuner. C'est Sylviane et moi qui devons faire le service. Pierre et Anne-Sophie demande s'ils peuvent retourner chez eux car des amis à eux doivent venir les voir. Jessica et Leila hésitent mais finissent par se dire que leur absence pourrait sembler curieuse. Ils les autorisent donc à rentrer mais leur rappelle qu'ils possèdent des photos et des films et que Sylviane et moi nous restons ici.

J'assiste au départ de ma fille et mon futur gendre, une boule dans l'estomac. Rachid et Bruce se lèvent à leurs tours et prennent leur petit-déjeuner tout en nous tripotant Sylviane et moi à chaque occasion. Les seins de Sylviane dégagés des balconnets de la guêpière sont malaxés continuellement par Rachid ou Bruce et même Jessica. Leila, elle, masturbe Paul allongé sur la table du salon et de temps en temps nous demande à moi ou à Sylviane de venir lui téter le gland. Jessica lance l'idée qu'on pourrait aller faire un tour au marché de la ville puisque nous sommes dimanche. Sylviane en entendant cela devient blanche et supplie :

- Non, je vous en prie, le Maire est sur la place du Marché pour sa campagne pour les élections municipales, s'il me voit avec vous...

Bien entendu, personne ne tient compte de ses protestations et Jessica et Bruce nous demandent de nous habiller pour sortir. Nous retournons dans ma chambre, suivies de Jessica et c'est elle qui choisit nos vêtements, avec pour objectif bien entendu que nous soyons le plus indécente possible. C'est ce qui l'excite le plus : Nous contraindre à nous habiller de façons provocantes, nous les bourgeoises, les mères de familles respectables. Je dois enfiler la jupe droite d'un de mes tailleurs avec des bas gris et des sandales à talons roses. La jupe est trop courte et on aperçoit l'attache du porte-jarretelles. Un chemisier avec les trois premiers boutons ouverts complète la tenue et laisse apercevoir mes seins. Pour une fois j'ai eu le droit d'enfiler un soutien-gorge, rouge, donc très provocant.

Sylviane est contrainte d'enfiler un tee-shirt noir trop petit pour elle ce qui fait qu'on a l'impression que ses seins vont le déchirer et une mini-jupe en jean sur des bas blancs et des talons aiguilles rouge vif.

Nous sortons du pavillon et nous nous dirigeons vers la Mercedes pour nous rendre en centre-ville. Nous arrivons assez rapidement et nous nous garons. Nous commençons à nous promener dans le marché et, sournoisement, Jessica nous entraîne vers le Maire en train de serrer des mains tout en glissant un « votez pour moi » discret. Il reste bouche bée en apercevant sa conseillère municipale habillée de cette façon et plusieurs habitants de la ville nous connaissant restent interloqués tout en se demandant qui sont ces jeunes qui accompagnent ces deux femmes si « correctes » d'habitude.

Nous croisons l'épouse du Maire, une grande femme distinguée au visage fin. Elle a des origines aristocratiques me semble-t-il. Elle est vêtue d'un tailleur d'un grand couturier sur des bas noirs. Elle nous lance un regard méprisant en nous croisant et Jessica me souffle dans l'oreille.

- Madame ne voudrait pas voir cette pimbêche ramper à ses pieds, un gode dans le cul?

Je ne réponds pas, la scène vient de me traverser l'esprit et cela m'a excité. Nous continuons notre balade. Nous baissons les yeux souvent Sylviane et moi, honteuses de croiser des amis qui nous regardent les yeux ronds parfois avec un dégoût non dissimulé.

Nous arrivons près de l'hôpital. Juste à côté se trouve une Chapelle. Leila et Jessica se regardent et nous poussent vers celle-ci.

- Salopes comme vous êtes, vous devez ressentir le besoin de vous confesser.

Nous entrons dans l'édifice religieux. Il y fait froid et sombre. Dieu merci, c'est le cas de le dire, la messe est terminée et tous les fidèles sont partis. Sauf deux handicapés en fauteuil roulant que nous apercevons devant l'Autel en train de prier. Même le Curé est absent. Nous nous avançons poussées par Leila et Jessica vers l'Autel. Elles retroussent nos jupes et nous sommes culs nus dans ce lieux saint. Les deux paraplégiques nous aperçoivent et restent bouche bée en voyant s'approcher ces deux femmes, le cul à l'air. Leila et Jessica s'approchent d'eux et leur expliquent que ces deux salopes veulent leur offrir le cadeau de leur vie.

- Ça vous dirait de vous dégorger le poireau?

Les deux jeunes hommes hochent la tête, stupéfaits.

- Eh bien ces deux chiennes acceptent de vous faire une pipe gratuitement.

- Mais ici? balbutie un des jeunes, outré.

- C'est ce qu'il y a de plus excitant, le lieu. Lui murmure Jessica.

Sur un claquement de doigts, nous devons nous mettre à genoux entre les jambes de ces deux jeunes et sortir leurs queues de leurs pantalons. Elles sont déjà raides et dures. Sylviane plonge la tête et aspire la bite la première. Je fais de même, tétant le gland de ce jeune handicapé. On entend plus que nos bruits de succions dans la Chapelle silencieuse. La tête de Sylviane monte et descend sur le membre du garçon qui la guide en appuyant sur sa nuque. J'enroule ma langue sur le gland de mon « client », arrêtant parfois de le sucer pour le masturber et lui lécher la hampe.

Derrière moi, Jessica me masturbe, elle a enfilé deux doigts dans ma chatte et elle me branle. Leila fait de même avec Sylviane. Je m'active sur la bite du type, je salive, je lui lèche les couilles, replonge sur son sexe. J'halète, je gémis en sentant Jessica qui plonge ses doigts dans mon vagin. J'entends Sylviane couiner de bonheur, gémissements étouffés par le membre de son handicapé qu'elle pompe à toute vitesse maintenant. Il lui éjacule sur le visage, le sperme jaillit et va s'écraser sur ses lèvres, sa joue et ses cheveux. Le mien ne tarde pas non plus à suivre et, contrainte d'ouvrir la bouche par Jessica, il m'éjacule son sperme sur mon palais et je dois tout avaler. Un hurlement nous fait soudain sursauter. C'est le Curé qui, de retour, découvre ce spectacle de débauche dans sa Chapelle. Il s'écrie d'une voix de stentor :

- Qu'osez-vous faire dans la maison du Seigneur?

Les deux handicapés, honteux, partent sans demander leur reste. Jessica et Leila s'approchent du Curé et lui expliquent que ces deux femmes sont d'une perversité sans nom et qu'elles sont surement habitées par le Démon. Le curé reste perplexe devant cette explication d'autant qu'il reconnait Sylviane la collaboratrice du Maire. Il a soudain une lueur dans le regard et s'approche de Sylviane.

- Comment vous Madame, une paroissienne si assidue, vous vous vautrez dans le vice et la luxure?

Se tournant vers Jessica et Leila :

- Je peux tenter un exorcisme?

- C'est vous l'expert Mon Père. Répond perfidement Jessica.

Je reste stupéfaite d'entendre cela. Le Père va sans nul doute se livrer à des pratiques que la morale chrétienne réprouve au plus haut point. Lui! Un homme d'Eglise! Il s'approche de Sylviane et lui trifouille soudain la chatte.

- Vous dégoulinez cochonne! N'avez-vous pas honte?

Il l'emmène vers l'Autel en la poussant. Elle titube sur ses talons aiguilles et manque de tomber. Il la force à se courber dessus et lui remonte la jupe en jean. Il va prendre une badine dans la Sacristie.

- Vous devez expier vos péchés dans la douleur, ma fille!

Le premier coup s'abat sur ses fesses avec un claquement sec et Sylviane pousse un cri de douleur. Il y a un deuxième coup puis un troisième. Bientôt on entend plus que les cris de Sylviane dans la Chapelle. Puis ses cris se transforment en gémissements. Le Curé, avec un regard de fou, lui assène des coups de plus en plus violents. Elle a le cul tout rouge. Cela dure un bon moment jusqu'à ce que, n'en pouvant plus, Sylviane supplie qu'on la laisse en pleurnichant. L'homme de Dieu s'arrête et repose la badine, essoufflé.

- Je pense que cela suffira pour aujourd'hui. Dit-il d'un ton très sérieux, mais il se peut que l'exorcisme n'ai pas marché. Dans ce cas, n'hésitez pas à me ramener cette pécheresse pour une deuxième séance.

- Nous n'y manquerons pas Mon Père. Lance Jessica en nous poussant vers la sortie.

A suivre...