Quand je suis rentré chez moi, ma femme était assise sur le canapé en train de regarder un film. Je m'approchai de la télé pour l'éteindre. Puis je dis à mon épouse :
- Tu as des choses à me dire. Veux-tu savoir comment va Bob?
Je criai presque. Pendant les quinze minutes qui suivirent, elle écouta, le visage pâle, pendant que je lui racontai ce qu'on m'avait dit.
- Bon, je veux connaître la vraie version! Pas les conneries que tu m'as déjà dites. Je connais beaucoup de détails et ils sont mieux que les tiens.
Elle commença à pleurer. Je ricanai :
- N'essaie pas de m'attendrir, ça ne marchera pas.
Il est difficile de vous transmettre l'ambiance et l'atmosphère de ce qui s'est passé ensuite. Ma femme était coupable, honteuse, embarrassée. Elle avait peur que ses mensonges augmentent ma colère. Je lui indiquai clairement que je voulais tout savoir, chaque petit détail. Ce fut le temps de la confession. Je dis :
- Commençons par quelque chose de facile. Réponds-moi par oui ou non. As-tu eu des relations sexuelles avec les ouvriers?
- Oui. Sanglota-t-elle.
- Avec plus d'un?
- Oui.
- Dans la même pièce au même moment?
- Oui.
Elle baissa la tête.
- Parfois ils ont amené d'autres hommes et tu leur as donné ce qu'ils voulaient?
- Oui.
Bon sang, ma bite était vraiment dure maintenant.
- Tu en as branlé certains pendant que les autres regardaient, puis ça a été leur tour?
Elle fit un léger signe de tête.
- Et c'était toujours dans la cuisine?
- Non.
- Où alors?
- Dans la chambre à coucher, ou dans le salon. Parfois dans la salle de bain ou les toilettes du bas.
Oh putain, ces paroles m'ont abasourdi. « Ne va pas trop vite, tu reviendras sur ce sujet plus tard.» pensai-je.
- Est-ce que c'est la première fois où tu as été infidèle?
- Non.
- Plus d'une fois auparavant?
- Oui.
Purée, il faudra que je revienne sur ça aussi.
- Tu aimes tant que ça le sexe?
- Oui... Enfin pas vraiment.
- Explique!
- J'ai toujours rêver d'obéir aux hommes. Pas d'être attachée ou des choses comme ça, juste leur faire des choses qu'ils demandent. Mais je ne pouvais pas sortir et chercher des étrangers, j'avais trop peur. Ce que je veux dire, c'est quand j'étais infidèle, ça ne me dérangeait pas de ne pas être baisée. C'était juste la situation qui me faisait sentir sexy et désirable.
- Mais tu as aimé toutes ces bites en toi?
- Oui.
- Est-ce que le moment où tu as passé du temps avec les ouvriers est la première fois où tu as baisé avec plus d'un homme à la fois.
Elle hésita.
- Non, mais c'était avant que je te rencontre. M'expliqua-t-elle comme si ça importait peu.
- Alors, est-ce que tout a commencé comme tu me l'as raconté? Lui demandai-je en sachant que ça allait être un enfer pour moi.
- Oui, je me penchais dans le jardin, sauf que ça allait un peu plus loin que ce que je t'ai dit. Je ne suis jamais allée faire des courses sans bas ou collants. Mais une fois, quand je me suis penchée, j'avais gardé mes collant mais j'avais enlevé ma culotte. J'avais vérifié dans un miroir ce qu'il pouvait voir d'une fenêtre des maisons d'à côté. Je n'étais pas assez courageuse pour me mettre complètement nue sous ma robe. J'avais aussi l'habitude de pincer mes tétons pour qu'ils pointent. Tu as remarqué que j'avais acheté des hauts très serrés et des chemisiers très fins pour montrer ma poitrine. J'étais excitée à attendre leur apparition. Parfois je me caressais devant le miroir de la chambre, et au moment de sortir, j'avais envie de sexe.
- Donc tu n'avais pas de culotte quand ils regardaient par-dessus la clôture?
- Oui quelques fois, mais j'avais mes collants. Je leur tournais le dos et je me penchais le plus possible. S'il te plaît, fais quelque chose pour moi, embrasse-moi.
Je lui obéis, elle était très passionnée.
- Continue! Dis-je en m'écartant.
Je lui versai un grand verre pour la détendre.
- Eh bien un jour, je leur parlais par-dessus la clôture en les laissant admirer ma poitrine quand Bob me dit que j'étais trop belle. Sans vraiment réfléchir, je leur demandai s'il voulait prendre une tasse de café. Je pensais seulement à lui. Donc une fois à la maison, j'ai défait un bouton de mon chemisier et j'ai pincé très fort mes tétons. Mon soutien-gorge était transparent. Lorsque la porte s'ouvrit, ils sont entrés tous les trois.
- Tu espérais que Bob te baise alors?
- Oui je suppose. J'étais excitée en le regardant. Je me demandai à quoi ressemblait sa queue jusqu'au jour où il la sortit de son pantalon. L'histoire de l'eau coupée n'est pas vraie. C'est moi qui les ai invités. Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu la bite d'un autre homme et cette pensée m'excitait.
- Mais tu en as vu d'autres? Même après notre mariage?
- Oui parfois ça arrivait et je ne pouvais pas résister à cette chance. Pour en revenir aux ouvriers, ils ne pouvaient pas me quitter des yeux, surtout quand je m'asseyais et que je laissais ma jupe remonter. La suite, tu la connais déjà. Un jour, je m'assis sur leurs genoux et je les laissai aller plus loin. Ils étaient très timides à sortit leur bite et me toucher devant les autres alors parfois je montais avec un dans notre lit. Et quand je redescendais, parfois, je n'avais plus de soutien-gorge ou culotte. Et parfois un autre homme remontait avec moi.
Je lui verse un autre verre et je lui demande :
- Et qu'as-tu fait sur le lit?
- Parfois ils s'allongeaient sur le lit puis me tripotaient pendant que je les branlais. Ou ils enlevaient leur jean et leur caleçon, et me déshabillait...
Elle regarda le sol et continua :
- Je les laissais me baiser ou je les suçais.
- Ont-ils joui dans ta bouche?
Elle acquiesça.
- Dis-moi, est-ce qu'ils t'ont déjà pris en levrette?
- Oui parfois. Murmura-t-elle.
- Tu t'es agenouillée et mise à quatre pattes sur le lit?
- Oui, ou alors debout et penché sur une chaise ou sur le lit.
Ma main descendit vers ma braguette. Ses yeux rétrécirent quand elle vit ma bite bien raide apparaître.
- Est-ce qu'ils sont tous montés?
- Un jour alors que j'étais en haut avec un, les autres sont entrés et ont éclaté de rire. Dit-elle en me regardant caresser ma queue.
- Qu'est-ce qu'ils ont vu?
J'étais agenouillée sur le sol et l'homme était assis sur le bord du lit. Je suçais sa queue. Je portais juste un chemisier, rien d'autre. Ils sont restés et je me suis assise avec eux sur notre lit. Ils m'ont baisé et je les ai sucés. J'avais perdu toute inhibition avec ces trois-là. Puis l'un est parti en vacances et je ne l'ai plus jamais revu. Il avait quitté son poste. Les deux autres continuèrent à venir et nous montions dans la chambre ou nous baisions dans la cuisine ou le salon. Mais pas très souvent dans le salon car il y avait plus de chance que l'on nous voit. Je m'assurais toujours qu'ils ferment la porte pour que personne ne nous surprenne.
Ma femme avait l'air plus détendue maintenant, la boisson faisait son effet.
- Que faisiez-vous de plus dans la cuisine?
- Ils me faisaient me pencher par-dessus une chaise et ils me baisaient par derrière. Une fois, ils m'ont étendue sur la table, les jambes en porte-à faux, et après qu'ils m'aient léché la chatte tous les deux, l'un a mis sa queue en moi et j'ai sucé l'autre.
Ce souvenir lui fait remuer les fesses dans le fauteuil.
- Pourquoi ne te caresserais-tu pas? Ce souvenir t'excite non?
Elle acquiesça.
- Bien alors, soulève ta jupe!
Elle m'obéit et continua son récit.
- Parfois j'enlevais le bas et j'en chevauchais un. Je mettais sa queue à l'intérieur de ma chatte et l'autre s'approchait de moi pour que je le prenne dans ma bouche. Ils ont essayé de reproduite toutes les positions qu'ils avaient vu dans des magazines. Une fois, alors que je marchais dans la cuisine pendant qu'ils buvaient leur café, bob se leva, me saisit par derrière et me demanda de me pencher au-dessus de son ami qui avait déjà sorti sa queue. Je dus le sucer. Pour cela il fallut que je me penche très bas tout en restant debout. Alors Bob a descendu ma culotte et a planté sa bite en moi pendant que son ami enfonçait sa queue dans ma bouche.
- Aimes-tu avoir le sperme d'un homme dans ta bouche?
- Hmmm, j'aime regarder le sperme sortir et le goûter alors qu'il est chaud. Oui j'aime le liquide qui sort de la bite d'un homme.
On aurait dit qu'elle pensait à haute voix. Il fallait que je la ralentisse sinon j'allais jouir. Elle était un peu saoule je pense et excité aussi.
Profitant de son honnêteté, je m'approchai et je passai mon bras autour d'elle. En embrassant son cou, je murmurai :
- Tu parles de liquide. Que veux-tu dire?
Mon cœur battit plus fort. Qu'allait-elle dire?
- Nous étions dans la cuisine un jour et nous buvions simplement un café quand l'ami de Bob se leva et dit qu'il avait besoin de pisser. Bob rigola et me dit que je pouvais peut-être aller avec lui pour l'aider. Son ami dit que je n'oserais jamais. Bob m'embrassa et me dit : « vas-y, fais-le c'est un défi ». Je suivis son compagnon aux toilettes du rez-de-chaussée. Il passa son bras autour de moi et m'attira vers lui quand il sortit sa bite. Puis il me dit que ça n'allait pas, qu'il avait du mal à faire pipi. Je fus déçu car l'idée m'avait excitée, je voulais voir son urine sortir de sa queue et peut-être mettre ma main dans le jet. Il me demanda alors de l'aider. Je savais ce qu'il voulait, mais au lieu de le branler, je me suis assise sur la cuvette et je l'ai sucé. Il a joui dans ma bouche et quand il a débandé, je me suis levé et j'ai tenu sa queue. J'entendais Bob derrière la porte et j'espérais que ça lui donne envie. Son ami commença à pisser. Je tenais sa queue pour regarder le liquide sortir. Puis je mis un doigt sous le jet et ça éclaboussa ma main. J'étais trop excitée.
Elle se caressa plus rapidement à l'idée de cette perversion que je ne connaissais pas.
- Je me suis penchée un peu pour regarder de plus près, puis quand il a fini, j'ai mis mes lèvres autour de son sexe et j'ai léché les dernières gouttes. Mais il en restait un peu et ça coula sur ma langue.
- Et qu'est-ce que tu as fait? Demandai-je en me masturbant plus fort.
- J'ai fermé ma bouche sur sa queue et ma langue l'a nettoyé. C'est comme si je lui en demandais plus. J'étais encore plus excitée.
Puis elle me demanda :
- Suis-je si vicieuse? Peux-tu me pardonner de laisser un homme pisser dans ma bouche et en aimer chaque goutte?
- Tu as avalé? demandai-je le souffle coupé.
- Oui, je l'ai laissé tourner dans ma bouche puis j'ai avalé. Il laissait couler des petits filets. Certains tapaient le haut de ma bouche. Tu ne me pardonneras jamais non?
Elle continua son histoire :
- Bob a ouvert la porte et a vu ce que nous faisions. Personne n'a rien dit, nous étions tous un peu choqués. Puis nous sommes retournés dans la cuisine. Nous avons échangé avec l'homme des regards de connivence. Il me sourit pour me faire comprendre qu'il avait apprécié. Avant de partir, Bob m'a embrassé passionnément, j'ai compris que ça l'avait excité.
Je ne pus plus me retenir. Je baissai le visage de ma femme jusqu'à ma bite et je giclai dans sa bouche. Puis je passai mon bras autour d'elle pendant qu'elle se faisait jouir.
Le lendemain, dans la froide lueur du jour, je dis à ma femme :
- Hier soir tu étais un peu saoule, tu te souviens de ce que tu as dit?
Elle me regarda dans les yeux et me répondit :
- Tu m'as dit de ne plus mentir, je ne l'ai pas fait.
- Alors laisse moi l'entendre maintenant que tu es sobre. Tu as laissé un homme pisser dans ta bouche?
- J'ai aimé qu'un homme pisse dans ma bouche. Ça m'a excité. Si tu ne veux plus de moi, je comprendrai.
Le reste de la journée, nous n'avons plus parlé de sexe. Nous avons continué notre vie habituelle. Le soir, vers 21 heures, nous lisions. Je me sentais mal à l'aise sans trop savoir pourquoi. Je ne trouvai pas correct de lui demander de poursuivre son histoire. Mais ma femme fit le premier pas.
- Je suppose que tu veux que je t'en dise plus sur ce que j'ai fait? Ça ne te dérange pas si je commence maintenant, il est tard et je suis fatiguée. Mais comme je crois que je devrai tout te dire un jour.
Je posai mon livre et dit :
- Je vais nous servir un verre.
- Non, pas pour moi, merci.
Je n'étais pas vraiment sûr de vouloir entendre la suite. Je dis alors :
- Tu n'es pas la personne timide et naïve que tu sembles être n'est-ce pas?
-Oui... Mais je n'aurai pas pu sortir hors de la maison et me comporter comme ça. Comme je t'ai dit, c'est comme un monde séparé de la vie réelle, moi seule à la maison. C'était un monde fantastique dans lequel je pouvais entrer ou sortir. Mais les ouvriers étaient hésitants quelques fois. Ce n'était pas juste « on monte en haut et on baise ». Parfois nous bavardions et peut-être ils posaient une main sur moi ou ils s'asseyaient et me mettaient sur leurs genoux. Parfois ils demandaient s'il fallait fermer la porte à clé et parfois ils disaient qu'ils ne pouvaient pas rester longtemps ce jour-là. Nous ne parlions pas toujours de sexe.
- D'accord. Dis m'en plus. Tu ne veux pas un verre?
- Si tu veux. Autant se mettre à l'aise. Avant de commencer, veux-tu que nous nous séparions?
- Je t'ai dit que ce sont les mensonges qui ont provoqué des dégâts, pas ce que tu as fait. Quand je t'ai demandé tu aurais dû être honnête.
- « Pas ce que j'ai fait »? Tu n'as pas encore entendu le reste de l'histoire.
- Est-ce que ça va être pire que ce que tu m'as déjà dit? Ai-je demandé.
- ça dépend de la façon dont tu vas le prendre. On verra. Mais ce n'est pas facile à raconter.
A suivre....
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