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Liliane est la femme du notaire du village de 5000 habitants. Son mari est aussi le maire depuis 20 ans.
Un jour, elle s'est faite surprendre par Maurice et Robert les deux cantonniers en train de sucer un jeune étudiant dans un chemin de campagne. Depuis ce jour, afin de garder son secret et ne pas déshonorer son mari, elle est devenue la soumise des deux employés du village.
Tous les jours de la semaine ou presque, elle prend sa petite fiat 500 et va rejoindre les deux hommes qui aiment bien l'humilier. Dès qu'elle descend de voiture elle entend
- Tiens, voilà la grosse pouffiasse qui vient nous vider les couilles ! Dit l'un.
- A poil et dépêche-toi, ton connard de mari nous a donné plein de boulot ! Ordonne l'autre.
Elle s'empresse d'obéir puis se met à genoux pour sucer les deux hommes afin de les faire bander.
Bientôt Maurice et Robert vont la relever et la faire s'appuyer sur le capot de la voiture. Puis ils vont la baiser rudement. Liliane ne peut que gémir sous les coups de reins des deux homme. Robert adore l'enculer et lui faire pousser des cris de douleur.
- Tu l'aimes ma bite dans ton cul la bourgeoise ? Tu es moins fière que quand tu es avec ton époux à la mairie.
- Oui Monsieur ! Répond-elle.
Elle sait qu'elle doit être docile sinon ils risquent de prendre une branche pour lui fouetter le cul. La dernière fois elle n'a pu s'asseoir de trois jours.
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Sylvette est femme de préfet. Elle a 65 ans et il y a très longtemps que son mari ne l'a pas touché. Il faut dire qu'elle est moche, son seul attrait étant qu'elle descend de l'aristocratie, ce qui a bien aidé l'ambition de son mari.
Afin s'assouvir ses besoins de sexe, elle avait l'habitude de se payer un gigolo. Elle avait espérée rester anonyme, mais l'homme a découvert qui elle était et depuis il la fait chanter.
Les soirs où son mari est absent, elle doit prendre sa voiture et se rendre dans une petite clairière ou l'attend Eric, son maître-chanteur et d'autres hommes.
Des sa descente de la voiture, elle doit ouvrir son chemisier et sortir ses gros seins de son soutien-gorge. Ensuite elle doit lever sa jupe pour montrer son string. Eric annonce alors le début des festivités :
- Voilà Messieurs, cette vieille pute de bourgeoise est à vous. Vous lui faîtes ce que vous voulez, vous pouvez prendre ses trois trous. je vous rappelle qu'elle doit vous remercier de vous vider les couilles sur ou en elle. Si elle ne le fait pas, je la punirai.
Les hommes s'avancent alors sur Sylvette. ils la tripotent tout en sortant leurs queues de leurs pantalons. Ils l'agenouillent et se font sucer. A chaque fois que l'un d'eux éjacule dans sa bouche ou son visage, on entend Sylvette dire :
- Merci Monsieur de m'avoir permis de récolter votre foutre !
Puis un homme la relève et la penche sur le capot de la voiture. Sans précaution, il enfonce sa bite bien raide dans la chatte de la femme du préfet et commence à la labourer violemment avant de se vider en elle. Sylvette gémit et dit :
- Merci Monsieur de m'avoir baisée et de m'avoir rempli de votre foutre !
Un vingtaine d'hommes vont se relayer pour profiter de cette snobinarde friquée. Ils prendront plaisir à l'humilier et à la baiser avec force. Elle rentrera chez elle avec des douleurs dans tout le corps en se demandant combien ils seront la prochaine fois.
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Annie est soumise depuis toujours à son mari. Elle l'aime tellement qu'elle obéit à tous ses ordres et fait tout ce qu'il lui demande.
Paul, son conjoint, est un vicieux qui adore la voir se faire baisée par d'autres hommes.
Donc, même si elle apprécie modérément, il l'emmène une fois par mois dans un coin tranquille connu des habitués.
Annie a l'habitude de montrer ses seins et de relever sa robe sur sa chatte nue, avant de se pencher sur le capot de la voiture familiale. Les hommes s'empressent de faire la queue pour baiser cette femme offerte.
Deux heures plus tard, Paul aidera Annie à revenir dans la voitures. Du sperme s'échappe de sa chatte et de son cul. Elle est épuisée mais son mari est content de sa prestation.
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A 50 ans, Brigitte est célibataire et comptable dans une grosse entreprise. Quelques années plus tôt, ayant volé un peu d'argent dans les caisses de l'entreprise pour s'acheter des objets de luxe, son patron, Pierre, lui a laissé le choix :
- C'est simple Madame B. , soit vous m'obéissez, soit c'est la prison ? que décidez-vous ?
- Je vous obéirai Monsieur ! Dit ce jour-là Brigitte en pleurant.
Si elle avait su ce que lui réservait son patron elle aurait peut-être choisi la prison.
- Bon vous êtes célibataire, mais ça ne m'étonne pas vu que vous être grosse et moche. Mais je sais comment vous allez pouvoir rembourser vos dettes.
Depuis ce temps-là, Brigitte se présente tous les dimanches chez son patron. Elle doit se déshabiller et se mettre à quatre pattes avant que l'homme ne lui attache un collier autour du cou. Il la traîne ensuite vers son gros SUV et la fait monter dans le coffre où il attache la laisse.
Il se rend ensuite dans une chasse privée où l'attendent ses amis.
- Alors Pierre, toujours avec ta grosse chienne ? demandent-ils.
- Oui, à disposition de ceux qui veulent. Répond Pierre en ouvrant le coffre.
Brigitte passera la journée à quatre pattes à sucer, se faire baiser ou enculer par ceux qui veulent. A l'heure du déjeuner, elle reste avec les chiens des autres chasseurs et elle a bien du mal à les empêcher de venir lécher sa chatte et son cul qui débordent de foutre.
Elle rentrera tard le soir chez elle. Mais son patron, bienveillant, lui donne toujours congé le lundi pour qu'elle se remette.
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Diane, 45 ans et sa fille Anne, 25 ans, vivent dans un appartement de quatre pièces. Diane est divorcée et sans emploi et sa fille est encore étudiante. Comme elle ne reçoit pas de pension alimentaire et que sa fille ne travaille pas, elles ne peuvent plus payer le loyer.
Patrice, entrepreneur immobilier et propriétaire de l'appartement où elles vivent ne leur a pas laissé le choix, soit elle se soumettent à lui soit il les expulse.
Pour ne pas se retrouver à la rue, elles sont devenues ses esclaves sexuelles.
Depuis ce temps, il les baisent à sa guise. Il a fait percer Anne sur ses petites lèvres et la mère sur les tétons.
Malgré l'esprit vicieux de Patrice, la vie ne serait pas trop difficile pour les deux femmes s'il n'y avait pas les fins de chantier.
En effet, à chaque fois qu'il termine un chantier, il emmène les deux femmes dans sa camionnette, les fait mettre à quatre pattes sur une couverture sale puis ouvre le coffre en annonçant à ses ouvriers :
- Voilà la prime de fin de chantier les gars !
Elles sont alors baisées par tous les ouvriers qui parfois, ne se sont pas lavés de plusieurs jours. Elles avalent des litres de sperme, sont sodomisées sauvagement. Leurs chattes et leurs cul débordent de foutre.
Elles rentreront chez elle, la mâchoire douloureuse, la chatte et le cul distendus, tout en se disant qu'elles gardent un toit sur leurs têtes.
Rien de mieux que de mettre une soumise nue et exposée dans son coffre de voiture.
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