samedi 29 juillet 2023

Un soir au Bois

Texte de Astruc (2007)

*****

Je l'ai regardé partir, sanglée dans son long ciré noir luisant sous les lumières de la nuit. Je savais qu'elle partait vers ce que je lui avais demandé: s'offrir à quelques hommes, plus facilement qu'une pute, c'était gratuit. Ce n'était pas la première fois qu'elle allait au-devant d'inconnus, souvent nous avons fréquenté un club échangiste, quelques sex-shops où le vendeur la trouvait toujours prête, mais ce soir, je ne serai pas avec elle. Je ne sentirai pas sa main sur mon bras quand une main viendra se glisser sous sa jupe, je ne la verrai pas enlevée comme la première fois par trois hommes et emmenée dans un coin sombre d'une pièce pour y être prise debout comme cela ne lui était jamais arrivé. Je ne la tiendrai pas par les poignets, face à un couple très entreprenant…

Elle partait vers les camions garés le long de l'avenue du Bois, les mains dans les poches, plaquées sur son ventre pour que ne s'ouvre pas trop son ciré. Sa démarche imposée par ses hautes bottes vernies faisait crisser son imperméable fendu sur ses fesses et ses jambes. Bientôt, des mains se poseraient sur ses hanches, un sexe se frotterait sur ses fesses, sortirait d'une braguette et chercherait, par la fente du ciré à glisser vers la touffe de poils noirs pour aller s'ouvrir un passage entre les lèvres qui peut-être auraient du plaisir à accueillir pareil visiteur.

Je l'attendais dans la voiture, mais dans le rétroviseur je pus voir que rapidement un homme l'accostait et après une courte discussion l'entraînait vers un camion. La portière s'ouvrit, de l'intérieur de la cabine; un bras se tendit pour lui prendre la main, celui qui l'accompagnait en profita pour la prendre par les fesses afin de l'aider à monter et la suivit. La portière se referma. Quatre mains allaient s'occuper d'elle. Il ne me restait plus qu'à l'attendre. 

La soirée avait commencé par une visite dans un sex-shop pour acheter quelques vêtements. C'était souvent une bonne occasion de s'exciter. Nous avions trouvé dans le rayon vinyl deux articles bien à notre goût que le vendeur nous conseilla d'aller essayer. Sûrement par conscience professionnelle, il invita ma femme à le suivre dans la cabine du fond de la boutique où elle se déshabilla pour passer le soutien-gorge en vinyl noir relié par des chaînettes à un tour de cou de la même matière ce qui mettait fort agressivement sa poitrine en valeur. Pour le bas nous avions choisi un pantalon toujours en vinyl noir brillant genre pantalon gaucho donc découpé et laissant à nu son ventre, son sexe poilu et ses fesses. L'effet était impressionnant !

Ce fut l'avis du vendeur qui ayant suivi au doigt et à l’œil les opérations, conseilla pour compléter la tenue, un string toujours en vinyl noir. Il aida ma femme à retirer le fameux gaucho. Il se baissa et présenta le string. Ma femme glissa ses jambes bottées dans les ouvertures, il remonta le string tout au long de ses mollets, de ses genoux, de ses cuisses, avec lenteur, avec douceur, l'ajusta bien et baisa sa touffe au travers du vinyl. Je voyais des frissons sur la peau de ses cuisses, je voyais ses lèvres se retrousser et, comme il y avait caresses, je devinais qu'elle devait mouiller. Il l'aida à remettre son "gaucho" pour que la tenue soit complète, la regarda puis l'embrassa toujours avec délicatesse, mais je pus voir leurs langues se goûter. Il lui prit une main et la posa sur la bosse que formait son pantalon de cuir.

Elle commença quelques caresses puis fit craquer la fermeture éclair et glissa la main pour aller au contact de la queue et des couilles qui durcissaient sous le cuir du pantalon. Lui, avait sorti un sein et le suçait à pleine bouche, caressait l'autre sur le nylon, pendant que ma femme commençait à branler sa queue, dégageant un magnifique gland comme elle les aime, de ceux qui bien que le rouge leur soit monté au nez, n'ont aucune timidité et font vaillamment leur place. Je savais que le string allait être étrenné sous peu mais pas avant qu'une bonne sucée aille faire connaissance de la belle queue tout en branle qui sortait de la braguette de cuir.

Elle se pencha et avala jusqu'aux poils, d'un seul coup, toute la queue qu'elle fit ressortir de sa bouche gluante de salive. Elle le prit en main; sa queue glissait bien, le gland pointait la tête.

- Maintenant tu vas me suivre, c'est moi qui vais me la foutre bien profonde, à mon rythme, ça fait un moment que ma chatte en bave d'envie.

Mais, soit à cause de la main, à cause des paroles, ou des deux, n'y tenant plus et avant de la fourrer, il lui cracha plusieurs jets de foutre bien épais sur le ventre, le string, les cuisses.

- Salaud, il va encore falloir que j'attende pour donner à boire à ma chatte !

Un peu vexé, il rengaina son outil trop pressé et regagna sa caisse. Ma femme en profita pour étaler le foutre sur son ventre et les poils de son pubis, je dus essuyer son pantalon. Il allait falloir encore attendre pour offrir un vrai baptême au petit string noir. Comme la tenue était parfaite pour aller plus avant dans la soirée, elle renfila son ciré, serra la ceinture qui faisait saillir ses hanches, ses fesses et sa poitrine et nous partîmes dans la nuit. La voiture était à cinq cents mètres, dans cette rue chaude ma femme ne passa pas inaperçue, ça promettait ! 

Dans la voiture, elle plaqua ses mains l'une après l'autre sur ma bouche pour que je puisse mieux sentir l'odeur et le goût du sperme en lui léchant les paumes encore poisseuses du foutre qu'elle avait étalé sur son ventre.

Tout à mes pensées de nos chaudes soirées, essayant d'imaginer celle qu'elle devait vivre dans le camion, ma queue se régalait dans mon pantalon. Sois patiente !

Et puis je l'ai vue descendre du camion. Elle est arrivée, a ouvert la portière, a glissé les mains sur ses fesses pour bien tendre le ciré et s'est calée dans le siège, encore ailleurs. Elle a glissé les mains sur ses seins, sur son ventre. Elle n'a rien dit. Nous avons démarré pour rejoindre l'hôtel. Elle a pris ma main, l'a glissée sous les pans de son ciré, posée sur son string ruisselant de sperme. Cette fois, il savait ce qu'est la vie ! J'ai senti combien les queues avaient dû cracher tant le ciré, les cuisses de son pantalon, son soutien-gorge étaient constellés de gouttes et de coulées de sperme. ses cheveux étaient encore mouillés de sueur et de foutre. J'étais fou d'excitation. Bientôt ce serait mon tour et elle me raconterait. 

Dans la chambre, elle ne quittera pas sa tenue dont la couleur, le luisant, le bruit, le toucher m'excitent tant et la font si sûre d'elle, si belle. Elle tire de la valise un bandeau en vinyl noir :

- Pour tout à l'heure !

Elle plaque sa bouche sur la mienne, me remplit de sa langue au goût de foutre et de salive, me pince les seins. Ma queue n'avait pas besoin de tout ça pour vouloir sortir de mon pantalon. Elle le sent, y frotte son ventre, me serre les fesses. Je sens les siennes bien dures sous son ciré, j'ai envie de me planter en elle. 

- Ne t'énerve pas, il va falloir être patient. Je veux te voir baver d'envie. Ce soir j'ai eu ma ration de queues, je peux attendre pour me la fourrer bien comme il faut et te faire cracher toutes tes heures d'attente. Si tu ne m'écoutes pas, tu vas passer la nuit, attaché sur la chaise. J'ai ce qu'il faut, tu le sais? D'abord tu vas bien soigneusement nettoyer tous les crachats de leurs queues balancés par les deux autres salauds.

Elle dénoue la ceinture du ciré, l'entrouvre, me prend la tête et après un baiser bien profond me fait lécher sa poitrine, son soutien-gorge puis lentement c'est la descente sur le ventre. Déjà le ciré avait commencé à étaler le foutre sur sa peau.

- C'est bon ? Montre ta langue.

Elle ma la suce.

- Maintenant tu vas trouver de quoi te régaler, je sens que ça me coule par tous les trous. Et puis il faudra que reluisent les bottes et le ciré, je crois que mes bandeurs en ont mis un peu partout. Il faut dire que nous étions un peu à l'étroit. Allez, applique-toi et tu verras comment ta salope va s'occuper de ta queue. Fais la patienter.

Et elle me la frotte avec son genou, elle me presse les couilles. Dur, dur! Elle s'assoit, jambes écartées, face à moi, me ramène vers son ventre. Tout le string est poisseux du jus de leurs couilles, je l'écarte et sur ma langue je sens une grosse larme de jus sortir de ses lèvres toutes pleines du frottement de leurs sexes. Je la lèche avant qu'elle n'aille rejoindre le trop plein de son cul. Le string n'a pas fait grosse barrière, il a mariné dans le jus, demain, il sera blanc de foutre séché. Pour le moment, elle me force à introduire la langue au plus profond de sa chatte, bientôt viendra le tour de sa raie, mais je sens que la voila repartie à jouir en repensant à la sarabande du camion. Elle me coince la tête entre ses lèvres, la langue, le nez occupent ses trous, elle croise les cuisses sur mes épaules, frotte ses bottes sur mon dos. La queue me fait mal.

- Tu aimes ça? Tu te régales ? Si tu les avais vu jouir, comme des fous ils m'ont baisée, une danse comme je n'avais jamais dansée. Maintenant, tu vas profiter de mon cul, en douceur. Ils y sont allés un peu fort, je n'ai pas pu les retenir, mais une fois que le premier a eu fait le passage, il n'y a pas eu de problèmes pour la suite, c'est là qu'ils ont fini de se vider. A croire qu'ils sortaient d'un couvent. J'ai envie que ta langue me caresse comme une queue douce et fine.

Elle se retourne et s'agenouille sur le fauteuil, cuisses bien ouvertes, les pans du ciré plaqués sur les fesses. Bien vite sort une mousse blanchâtre qu'il ne me reste plus qu'à ramasser sur la langue. Les fesses, la fente sont aussi visqueuses que la raie. Je l'entends respirer fort, je sens son cul se pousser vers ma bouche, elle repart dans le plaisir. Sûrement qu'elle ferme les yeux et se retrouve entre les mains des deux camionneurs. Ma queue coincée dans le slip n'a pas beaucoup de place pour entrer dans la danse et pourtant elle battrait bien la mesure. 

Quand ma salive remplace la bave des deux mâles, elle se relève, referme son ciré, serre bien sa ceinture et me présente ses bottes, puis le bout des jambes du pantalon sur lequel avait coulé le trop plein de jute.

- Ensuite il faudra bien nettoyer le ciré et, bas-les-pattes, rien que la bouche, rien que la langue.

Le crissement, la brillance, le contact du ciré, ses fesses, ses hanches, ses seins qui frémissent sous cette enveloppe noire luisante me cassent la queue et m'endolorissent les couilles.

Elle m'écarte d'elle et me fixe le bandeau sur les yeux. Je ne sais ce qu'elle prépare, mais le premier contact de ses seins sous le ciré, de son ventre contre mon dos, mes fesses, m'électrise, puis ses mains viennent caresser les poils de ma poitrine, le bout de mes tétons très sensibles. Une main glisse vers ma taille, défait la ceinture, rentre sous le slip, presse couilles et queue, puis va gratter entre couilles et cul. Mon cœur va peut-être exploser.

- Tu vas encore attendre. La putain va te raconter. Ça serait dommage de faire deux choses à la fois.

Elle m’ôte le bandeau.

- Tu vas bien me regarder, peut-être verras-tu dans mes yeux les corps,les queues, les couilles de mes deux sauvages, comme je vais les revoir. Ils m'ont caressée, pétrie, écrasée, ouverte, ils m'ont fait mal, ils m'ont fait du bien, ils m'ont baisée comme jamais. Assieds-toi !

Elle s'agenouille entre mes jambes, me retire le pantalon; se recouvre bien de son ciré; frotte ses épaules, ses bras contre mes jambes. Ma queue va faire craquer le slip.

- Je suis sûre que tu m'as vue poussée au cul par le mec pour grimper dans la cabine. Son copain attendait à l'intérieur déjà en short et tee-shirt. Ils m'ont dit tout de suite que ma tenue les excitait et ça se voyait. Bien vite leurs mains sont parties à ma découverte, sur le ciré, sous lui. Je me suis vite trouvée entre les deux et j'ai cru qu'ils allaient manquer de patience et me baiser tout de suite, trop vite. Les caresses ont continué, une main est passée par la fente du ciré, a exploré ma chatte et mon cul. Une autre main pressait mon ventre pour bien coller mes fesses à sa queue. L'autre, toujours à presser mes seins comme pour les faire couler, a pris ma bouche que je ne lui ai pas refusée, trop contente de lui rouler une pelle qui l'a bien surpris. La mise en route était rapide et chaude. Qui allait s'en plaindre ? Quand celui de derrière a commencé à me titiller le lobe de l'oreille, à glisser la langue tout autour, dans mon cou, j'ai bien cru que j'allais me livrer tout de suite. Mais, j'avais envie de temps, pour eux, pour moi.

- On va se faire une belle partie, je sens que tu mouilles comme une vraie salope », m'a soufflé celui de derrière.
 
- Oui, mais soyez patients, les mecs, je vais m'occuper de vos affaires."

Je me suis assise entre les deux et j'ai commencé à caresser les gros paquets qui me faisaient bien envie entre leurs jambes. J'ai baissé la braguette de celui en jeans et je me suis régalée à glisser la main dans le short, entre cuisse et couilles, de l'autre. Ils ne perdaient pas leur temps non plus, leurs mains couraient dans le ciré, sous mon soutien-gorge pour bien caresser, pincer le bout de mes seins qui pointaient sans retenue comme s'ils cherchaient à se faire téter, sur mes cuisses, entre mes cuisses, sur mes lèvres qui ne pouvaient plus cacher combien elles se régalaient à sentir des doigts s'insinuer, prendre place là où leurs queues viendraient tout à l'heure, bien gorgées d'envie, donner quelques ruades. J'ai à peine eu le temps de sortir leurs queues , déjà fort vaillantes, de bien profiter de la vue de leurs glands tout violets, déjà gouttant, déjà prêts, que celui au short m'a prise par les cheveux et rudement m'a enfourné sa grosse queue dans la bouche, jusqu'au fond. Il n'a pas été déçu, j'en ai vu d'autres, mais il faut dire que celle-ci quand je l'aurai entre les jambes!... 

Et puis il a commencé à donner un rythme. J'aurais aimé lécher, sucer plus lentement pour bien en profiter, car son engin valait la peine de plus d'attention. Mais lui était comme un sauvage? Ça promettait de bonnes secouées. j'espérais bien que ses couilles allaient être à la hauteur de sa vivacité et de mes envies. L'autre, derrière moi, a profité de ma position pour écarter les pans de mon ciré qu'ils n'avaient pas voulu que j'enlève, excités par la matière, et à glisser sa langue entre mes fesses, léchant ma raie, d'un trou à l'autre. Je sentais sa langue, sa salive, se mêler à ma mouille qui déjà avait coulé le long de la raie. Il cherchait à m'ouvrir le cul; à y glisser la langue. Je suis allée vers lui, pour l'y aider. J'étais excitée en bouche et cul, prise d'une telle envie qu'ils me mettent que je me suis levée, me suis appuyée sur le rebord de la couchette. "Qui commence ?" 

Celui au short est venu s'asseoir devant moi pour que je continue à le sucer, il y avait pris goût. L'autre, par-derrière a posé ses mains sur mes hanches et j'ai senti sa queue chercher le passage dans la fente du ciré. D'une main il a écarté les bords de l'imper de chaque côté de mes fesses et sa queue cette fois est venue se poser sur ma fente, toute frémissante. Je suçais toujours, mais j'étais à l'écoute de ce qui se tramait dans mon dos. Il a écarté le string, m'a prise à la taille , m'a tirée vers lui et sa queue est rentrée dans ma chatte ne faisant qu'un bruit de bouche pleine de salive pour l'avaler. Cette fois, j'étais bien remplie jusqu'au fond, ventre contre fesses, sans bouger, ni lui, ni moi, goûtant la chaleur et les vibrations de son sexe dans mon ventre. Ses mains serraient ma taille, me tiraient vers lui comme pour aller plus profond encore. Et ont commencé des va-et-vient très larges, alternant glissements et grands coups profonds qui me faisaient presque désemboucher la belle queue de l'autre qui, pour que je ne laisse pas en route, s'agrippait à mes cheveux. Au bout de je ne sais combien de temps,j'ai senti dans ma bouche des soubresauts et j'ai compris que cette queue allait projeter son lait sur ma langue, dans ma gorge car j'étais bien décidée à tout avaler, comme une gourmandise. Un grognement a commencé au-dessus de ma tête, sa main a lâché mes cheveux, je l'ai regardé, il commençait à jouir, j'ai ralenti la sucée, me suis reculée pour voir ce gland cracher son jus et quand j'ai tendu la langue pour une autre léchée, il a envoyé son premier jet sur mon front, mes cheveux, tout seul, sans être secoué. Je n'allais pas laisser partir le reste et pour l'aider je l'ai repris en bouche et ne lui ai pas laissé l'occasion de revoir la lumière avant d'avoir avalé la première vidange. J'ai failli en recracher tant il avait de jus. Mais tu me connais ? Juste un revers de manche pour essuyer le bord de mes lèvres , le menton et j'étais prête à recevoir le foutre des ruades de l'autre qui ne me lâchait pas et m'en donnait tant et plus, m'écartant les fesses comme s'il allait m'ouvrir en deux. 

Je crois que je suis partie deux fois avant qu'il ne gicle à grands coups de foutre, le premier dans la chatte, le reste, tout le reste sur le dos du ciré, dans la raie de mon cul, j'ai même cru qu'il allait y rentrer, sur la main que j'ai tendue pour le caresser. Mon string n'en revenait pas d'une telle séance. J'étais aux anges, j'avais fortement joui, mes jambes tremblaient encore, les deux mecs s'étaient calmés. Je remettais en place ma tenue pour repartir mais celui qui avait bien profité de ma bouche n'avait pratiquement pas débandé et entendait bien " se fourrer dans mes trous" comme il dit. Dans mes trous ? Je n'aime pas trop, mais je n'avais peut-être pas le choix. Alors comme une légère caresse a eu le don de faire vibrer son nœud, on a repris position. Il m'a faite asseoir sur ses genoux, face à lui, et m'a directement emmanchée jusqu'à plus queue. Les boules de ses couilles s'écrasaient contre son cul. Le jus de l'autre sortait à chaque mouvement le long de son manche qui n'en demandait pas tant pour me défoncer. Ma poitrine était reprise en mains par celui de derrière venu se refaire le nœud sur le dos de mon ciré et c'était efficace : je sentais un bâton caresser mon dos, mes épaules. Il me suffit d'ouvrir la bouche pour une nouvelle sucée qui me permit de lui torcher les dernières gouttes de foutre qui perlaient encore. 

"On va la prendre chacun d'un côté, dit-il à son copain.

- Attends, je vais lui en mettre une bonne rincée tout seul. On fera ça après. Chauffe- lui le cul !"

Tu sais comme je fais des manières de ce côté-là et pourtant ils m'excitaient tellement ces deux cons que je n'étais pas décidée à refuser une autre tournée. Je tenais les bons bouts!

Pour une bonne rincée, nous étions sur la bonne voie! Ses mains sous mes fesses m'ouvraient la chatte même si elle n'avait pas besoin de ça. Son gros nœud entrait et sortait, accrochait parfois le bord du string, mais remettait un coup de tête pour que je retrouve aussitôt empalée. Mes seins suivaient le mouvement, les bouts frottaient contre la toile du ciré. L'autre est redescendu, a commencé à fourrer sa langue sur mon cul, mais ça n'a pas été bien commode vu le mouvement. J'ai senti s'approcher sa queue bien rebandée. J'avais arrêté de sauter sur la queue de l'autre, j'avais envie de les sentir tous les deux en moi. Comme il me tenait bien serrée par la taille, j'ai pris sa queue dans ma main pleine de salive et de jus de ma chatte, je l'ai pointée sur mon trou, il n'a plus eu qu'à pousser. Même mon cul s'est ouvert tout seul et quand le nœud a fait le passage, il est rentré d'un coup mais a craché presque aussi vite ne me laissant même pas le temps de jouir de sa présence. Une purée comme s'il n'avait pas baisé d'un mois! Il a dû arroser la queue de l'autre qui m'a expulsée pour venir s'installer dans mon dos, dans mon cul. La place était chaude, bien mouillée, aussi n'a-t-il eu aucune peine à rentrer et moi aucune à le recevoir. Son nœud plus gros que l'autre s'est glissé dans le jus qui coulait de mon cul le long de la raie. Comme il ne voulait rien laisser perdre, il a ressorti son engin, l'a frotté de la chatte au cul et m'a rebourrée jusqu'au fond. Ses mains agrippées à mes seins ne me laissaient pas le moindre mouvement. Je sentais son souffle court sur mon cou, son corps en sueur collait au dos de mon ciré, il me donnait de grands coups de queue. J'étais foutue de plaisir. 

L'autre se branlait encore à côté de moi, j'étais trop prise pour m'occuper de lui. Mon enculeur a interrompu ses coups de reins, s'est reculé, le ciré collé à ses cuisses, a laissé son gland dans le trou juste au bord, il m'a pris une main, l'a posée sur sa queue toute frémissante, a repris mes seins, roulant les tétons dressés entre ses doigts, puis un gémissement rauque est sorti de tout son être et il a déchargé sur et dans mon trou, sur mes fesses, a aspergé le dos du ciré, puis m'a retournée pour que je le prenne en bouche. Une régalade! L'autre qui se branlait a vidé le reste de ses couilles sur ma poitrine, laissant les traînées que tu as pu goûter. Et maintenant, c'est avec toi que va se finir la fête."

Pendant tout le récit elle n'avait pas cessé de me fixer sans jamais toucher ma queue, simplement me frôlant de son ciré, jouant de sa musique. 

" Tu vas passer tes bras derrière le dossier, sans me toucher, sinon je serai obligée de t'attacher les poignets. D'accord ?" 

Elle a posé ses mains sur mes épaules, s'est relevée, a écarté les cuisses, m'a enjambé, s'est placée au-dessus de ma queue. Quelques restes de foutre ont coulé de sa chatte, sont tombés sur ma queue et, très lentement, tenant son ciré écarté, elle est venue se poser sur le bout de ma queue qui s'est glissée, à son rythme, dans le chaud de sa chatte. Les mains posées sur ses hanches , elle me fixait, montant, descendant, s'arrêtant, écoutant battre en elle ma queue qui n'avait pas souvent participé à pareille fête. Et puis, une grande gifle est arrivée sur ma joue. 

"Tiens, c'est la pute qui t'en fait cadeau ! Je t'en avais préparé deux, mais tu n'en auras qu'une car j'ai vraiment joui de ma soirée." 

Je l'ai alors prise sous les fesses, l'ai portée sans démancher sur le lit et j'ai commencé une série de ruades tour à tour en chatte et en cul qui nous ont menés à une explosion de jouissance terminée par une dernière aspergée, bien sentie, bien léchée. 

Le matin pouvait se lever, nous allions profiter du lit jusqu'au plus tard. Le ciré, le string prendraient bien leur temps pour sécher avant une nouvelle sortie.

FIN

jeudi 27 juillet 2023

Les malheurs de Florence Ch. 03

Récit de Elko

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Gang-bang pour Florence.

Florence émergea d'un sommeil bien agitée. Elle avait mal dormi hantée par des cauchemars. Elle se rappela de la veille où Brahim et ses complices l'avait baisée comme une chienne dans quasiment toutes les pièces de son pavillon.

Elle commença à ressentir une douce chaleur dans son bas-ventre. Sa main descendit vers son mont de vénus. Elle souleva sa nuisette quasi transparente et commença à se masturber pensant au paroles de Brahim : Qu'ils allaient revenir, l'emmener en balade. Qu'est ce que cela signifiait ? Où comptait ils l'emmener ?

Madame Duval-Cochet avait peur. Peur mais aussi excitée, elle devait bien le reconnaître. Hier pendant que ces quatre jeunes la défonçaient comme jamais elle l'avais été, elle ne pouvait nier qu'elle avait eu trois orgasmes. Elle avait aimé être malmenée. Et ça la rendait honteuse. Elle la bonne épouse, bonne mère de famille, bourgeoise respectable, elle s'était comportée comme la dernière des chiennes.

Ses doigts s'activent brutalement sur son clitoris, elle se branle vigoureusement. Florence enfonce son index et son majeur dans sa fente dégoulinante en gémissant. Elle ne tarda pas à jouir en poussant un petit cri.

Florence reçut un texto de Brahim lui annonçant son arrivée. Angoissée, madame se regarde dans le miroir de sa chambre ; Elle s'est habillée selon les instructions de son tourmenteur. Sexy et bourgeoise.

Elle porte une jupe noir qui s'arrête largement au dessus du genoux laissant apparaître des jambes gainées de bas résilles. Les talons de ses escarpins noir vernis sont fin et élégant. Brahim a exigé qu'elle mette un porte-jarretelles. Elle enfila un fin blouson de cuir à même la peau et elle descendit au salon.

Les talons claquèrent sur le marbre du salon quand Florence alla ouvrir la porte, rouge de honte. Juste avant, elle a reçu un sms lui ordonnant d'aller ouvrir la jupe troussée. C'est donc en porte-jarretelles que madame ouvre la porte de son pavillon. Brahim ricana en la voyant, il entra lui flattant la croupe d'une main possessive. Une jeune fille de l'âge de Brahim entra. Elle était très belle. La jeune black la regarda avec un regard dur.

- Florence, je te présente Fatou. Bon c'est Fatoumata mais tout le monde l'appelle Fatou.

- Pour toi ca sera maitresse ! lança la jeune fille.

Comme Florence ne répondait pas, Fatou s'avança vers elle, elle l'empoigna par les cheveux et la contraignit à se mettre à genoux sur le sol. Madame poussa un couinement. Fatou lui donna une claque.

- Tu peux toujours protestée, j'ai vu les vidéos. On t'entends bien crier quand tu prends ton pied, sale bourge. Viens ici !

Fatou traversa le salon en tenant Florence par les cheveux, celle-ci trottinant derrière elle. Brahim s'est installé dans le canapé.

- Suce le, chienne ! Cria Fatou.

Terrorisée par cette fille qui semble être pire que les garçons, Florence d'une main tremblante dégagea le sexe de Brahim et plongea sa tête dessus l'avalant entièrement. Fatou appuya sur sa nuque pour qu'elle l'avale jusqu'à la garde lui provoquant un haut le cœur. Fatou plongea ses doigts dans la fente de Florence et les fit coulisser arrachant à la respectable bourgeoise un cri étouffé.

Brahim savourait la fellation de Florence. Madame lui suce le gland avec de petits coups de langue, replongeant dessus, lui léchant les couilles. Fatou continue de la masturber avec science. Lui pinçant le clitoris. Florence s'arrêta de sucer Brahim pour pousser un cri qui se répercuta dans le salon.

Brahim ne tarda pas à jouir. Il éjacula dans la bouche de Florence qui fut contrainte d'avaler le foutre du jeune homme. Elle déglutit avec peine en faisant une grimace de dégout.

La Mercedes Classe S roulait en direction du centre-ville de Nantes. Au volant, Brahim tout content de piloter une Mercedes pour la première fois de sa vie. A l'arrière, les gémissements de Florence emplissent l'habitacle. Depuis leur départ du pavillon, Fatou n'arrête pas de masturber Florence. Elle s'amuse à l'emmener au bord de la jouissance et à s'arrêter juste avant laissant madame Duval-Cochet frustrée et dans un état d'excitation intense. Le blouson de cuir est ouvert sur un soutien-gorge noir dont les balconnets sont baissées et Fatou triture les gros seins de Florence tirant sur les pointes, lui mordillant les tétons.

La Mercedes se gara sur un parking. Florence descendit exhibant ses cuisses. Fatou l'a autorisée à baisser sa jupe au grand soulagement de madame. Ils remontèrent une rue pas très fréquenté. Florence blêmit sous son maquillage en découvrant la boutique ou se rendait Brahim et Fatou. Un sex-shop.

Ils entrèrent. C'était la première fois que Florence mettait les pied dans un endroit pareil. Brahim salua le patron du sex-shop. Un jeune, la trentaine.

- Salut Mohamed.

- Salut Brahim, t'amène du beau monde, dis-moi.

- Je te présente Florence, c'est ma chienne.

Florence accusa le coup d'être traitée de chienne devant un parfait inconnu. Elle se sentit rougir jusqu'à la racine des cheveux. Fatou faufila sa main dans l'échancrure du blouson et lui pinça le téton d'un sein lui arrachant une grimace.

- Dis bonjour au monsieur !

- Bonjour monsieur balbutia Florence.

Brahim et Fatou entrainèrent Florence dans les rayons du sex-shop. Plusieurs clients dans le sex-shop, des hommes seuls qui sont stupéfait de voir une femme surtout aussi distinguée dans ce lieu sordide. Des DVD partout traitant de divers déviations. Gang-Bang, BDSM, Partouze... Des bandes dessinées, des livres. Brahim se dirigea vers le rayon qui l'intéressait. Les sex-toys.

Sournoise et voyant que les clients matent les jambes de Florence, Fatou baissa largement la fermeture Eclair du blouson exhibant les seins de Florence difficilement contenue dans le soutien-gorge. Elle ordonna à Florence de remonter un peu sa jupe dévoilant l'attache du porte-jarretelles qui retenait les bas résilles pour le plus grand plaisir des clients qui ne pensait pouvoir voir cette scène que dans un film porno.

Brahim et Fatou choisirent des godes de différentes tailles ainsi que des vibromasseurs. Fatou choisit pour elle un gode-ceinture en regardant Florence droit dans les yeux qui se sentit devenir blanche. Mais aussi un martinet et une paire de menottes. Florence s'inquiéta encore plus quand Brahim y ajouta un bâillon-boule.

Notre respectable bourgeoise protesta quand Fatou l'entraina vers une cabine d'essayage afin qu'elle enfile une robe en latex rouge laissant les seins apparent. Fatou rentra avec elle dans la cabine en profitant pour la doigter pendant qu'elle se déshabillait. Elle ressortit perchée sur ses talons aiguilles, la courte robe en latex la moulant de façon indécente. Laissant apparaître le porte-jarretelles et ses seins.

Les clients s'agglutinèrent comme un seul homme autour de la bourgeoise soudain très inquiète. Le gérant du magasin alla fermer son établissement.

- Allons messieurs, pour ceux qui veulent goûter à cette bourge des beaux quartiers,  faut payer !

Florence suffoquée d'entendre que Brahim allait la prostituer serait bien partie en courant mais elle était cernée par cette meute de mâles en furie complétement excité par la scène qu'ils voyaient.

Fatou avait troussé la robe en latex et elle la doigtais sans ménagements arrachant des plaintes à madame Duval-Cochet. Très vite, certains clients sortirent leurs portefeuilles. Après avoir déboursé quelques euros, ils se jetèrent sur leur proie. Et l'orgie commença...

Accroupie, Florence se battait contre quatre bites qui voulaient absolument rentrer dans sa bouche. Elle suffoquait pompant une queue en suçant une autre. Des mains palpent ses seins sans retenue. On enfonce une bite dans sa bouche la tenant par les cheveux la faisant coulisser rapidement et l'enfonçant jusqu'au bout.

Elle fut soudain relevée et courbée en avant suçant toujours un sexe. Des mains s'accrochèrent à ses hanches et un client la pénétra. Florence poussa un cri. L'homme la pilonne comme un fou pendant qu'elle suce des bites à la chaine. Son rimmel a coulé, elle bave en pompant deux bites qu'elle branle de ses doigts manucurées. Le client éjacula sur ses fesses et un autre le remplaça.

Brahim fait un film avec son portable. Florence à quatre pattes au milieu du sex-shop se fait défoncer par un black. La mère de famille dont le corps est secouée violement ouvre la bouche sur un cri muet. Le black sortit une queue impressionnante et la pointa en direction de l'anus de Florence qui poussa un cri.

- Non! Pas ca s'il vous pl....AAAAHHHHH

Le hurlement de Florence retentit dans le sex-shop. Sans aucune pitié, le Black venait d'enculer madame. Celle ci ahanait sous les coups de pines du Black qui élargissait son trou du cul. Pour l'empêcher de hurler, Mohamed le patron, lui enfonça sa bite dans la bouche...

Cela dura une bonne partie de l'après-midi. Florence fut baisée par les clients du sex-shop qui acceptèrent de payer pour pouvoir posséder cette belle bourgeoise mature. Ils éjaculèrent libérant des torrents de sperme sur les seins et sur le visage de la malheureuse qui se retrouve badigeonnée de foutre.

Florence, extenuée, titubante sur ses talons aiguilles, dut rejoindre la Mercedes toujours vêtue de sa robe en latex choquant les passants de la ville de Nantes.

David envoya un texto à sa mère pour lui demander si il pouvait passer la voir. Il reçut un sms lui disant qu'elle était occupée. Cela étonna David dont la maman ne refusait jamais de le voir...

Brahim avec un sourire ironique posa le portable de Florence. Il faut dire que celle ci aurait été bien incapable de répondre. La bouche obstruée par le bâillon-boule, toujours vêtue de la robe en latex tirebouchonnée autour de la taille et de ses bas résilles. Florence gémissait sous les coups de fouet que lui assenaient Fatou.

Madame Duval-Cochet, debout sur ses talons aiguilles, les mains attachées par les menottes à la table basse du salon, subissait depuis qu'ils étaient rentrés du sex-shop les pires humiliations. Fatou avait insisté pour tester tout de suite le matériel acheté par Florence. 

La jeune black arrêta de martyriser le cul devenu tout rouge de la bourgeoise. Elle pointa le gland du gode-ceinture qu'elle portait autour de la taille et l'enfonça dans le cul de Florence qui grogna. Elle entama un va et vient en la tenant aux hanches. Pas en reste, Brahim posa le vibromasseur sur le clitoris de Florence qui ne tarda pas à pousser des hurlements de jouissances dans tout le pavillon...

A suivre...

mardi 25 juillet 2023

La Descente aux Enfers de Jessie - Ch. 20

 Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.

 ****

Journée à l'université pour Jessie et Janice.

Janice se dirige lentement vers sa voiture. Cette journée a été la pire de sa vie. Elle a commencé par devoir satisfaire les ouvriers qui sont chez elle depuis deux jours. Le premier jour avait été dur, mais le deuxième était pire. Maintenant qu’ils savaient qu’elle était la salope de la maison, ils profitaient constamment d’elle. Janice déteste le plus grand. Elle n’a même pas appris leurs noms et se contente de les connaître simplement par leur description. Le grand a dû la baiser cinq fois dans la journée. Chaque fois a été plus brutale que la précédente. Pendant la pause du matin elle a dû lui faire une gorge profonde. Puis au déjeuner elle a dû lui lécher le cul et les couilles avant de se faire baiser la chatte. A la pause de l’après-midi il l’a enculé si violemment qu’elle s’est évanouie. Et avant de partir le soir, il l’a encore baisée dans la chatte et le cul.

Les autres gars l’ont baisée aussi, mais aucun n’a été aussi brutal que le plus grand. Janice pouvait à peine marcher lorsque elle est arrivée chez Jessie. Elle s’est tout de suite rendu compte que la suite allait être mauvaise à cause de l’expression sur le visage de Maîtresse Brenda quand elle entra. Quand Jessie est finalement revenue de l’université, Janice a prié pour que Maîtresse Brenda torture l’enseignant plutôt qu’elle.

Janice reste assise dans sa voiture en repensant à la compétition entre Jessie et elle. Elle se dit qu’acheter les préservatifs avait été humiliant, mais prostituer son corps aux clients du sex-shop était de loin la chose la plus humiliante qu’elle ait jamais fait. Contrairement aux rumeurs populaires, Janice n’était sortie qu’avec peu d’hommes au cours de sa vie. Ses aventures sexuelles pouvaient être comptées sur les doigts d’une main. Il y avait eu son mari bien sûr, et de brèves aventures au collège avec trois garçons. Aujourd’hui elle vient d’être baisée par une trentaine d’hommes. C’est six fois plus que tous les hommes qu’elle a connus dans sa vie.

Elle est assise dans sa voiture, le sac de préservatifs usagés sur le siège passager. Elle voudrait les jeter par la fenêtre, mais quelque chose lui dit que si elle le fait, elle pourrait perdre sa fille. Janice démarre la voiture et rentre chez elle.

Bientôt, elle se gare dans son allée. Saisissante le sac de préservatifs, elle sort de sa voiture. Plus elle s’approche de la porte d’entrée, plus elle se sent mal. Ses ordres sont de donner les préservatifs usagés à sa fille afin qu’elle lèche le foutre de tous les hommes qui viennent de baiser la mère. L’idée est dégoûtante. Chaque homme l’a baisée dans sa chatte ou dans sa bouche. VINGT-SIX PRÉSERVATIFS REMPLIS DE FOUTRE ! MERDE !

Janice reste devant l’entrée en se disant qu’elle ne peut pas faire ça. Rien ne pourra l’obliger à remettre ces choses dégoûtantes à sa fille. Elle ouvre le sac, sort un premier préservatif et verse le contenu dans sa bouche.

Janice se tient l’estomac alors que le sperme froid glisse dans sa gorge. Elle manque d’étouffer et de vomir, mais réussit à garder le foutre. Elle pense que quelqu’un risque de vérifier si les préservatifs sont propres alors elle le met dans sa bouche et le suce afin qu’il soit propre à l’intérieur et à l’extérieur.

Janice regarde le sac et grimace. Il y en a tellement. Le simple fait de les regarder aggrave encore plus sa journée. Elle sait que chacun de ces préservatifs est un viol de son corps et de son âme. Une larme coule sur sa joue alors qu’elle se penche et sort un deuxième préservatif du sac avant d’ouvrir la bouche.

Maintes fois, elle sort un préservatif pour le vider dans  sa gorge. Même si son esprit déteste chaque goutte qu’elle avale, son corps réagit différemment. Chaque fois qu’elle fourre un autre préservatif dans sa bouche, elle peut goûter son jus. Le goût distinctif de sa chatte et sa salive lui rappelle le souvenir de son corps secoué par des orgasmes. Maintenant, ce goût pousse sa chatte à mouiller abondamment.

Il faut à Janice près de dix minutes avant qu’elle prenne le dernier préservatif et le verse dans sa gorge. Elle le lèche bien et le jette dans le sac avant d’entrer chez elle. Elle ne peut pas laisser Christy la voir dans cet état, alors elle se précipite vers la salle de bain et elle saute sous la douche. Elle reste sous l’eau chaude qui pique sa peau. Se sentant sale comme le foutre qu’elle vient de boire, elle frotte son corps brutalement, pour le nettoyer de la crasse dont elle croit être couverte.

Lorsque ses doigts frottent sa chatte, une explosion d’excitation remplit son corps. En quelques secondes elle a trois doigts enfouis dans sa fente, pour se soulager et être libérée. Au moment où elle est sur le point d’avoir un orgasme, elle se souvient qu’elle n’est pas autorisée à jouir sans permission. Elle ne sait pas vraiment pourquoi, mais elle ressent le besoin de s’y conformer. Janice retire ses doigts de sa chatte, s’appuie contre le mur et pleure.

Quand elle sort enfin de la douche, il s’est passé une heure depuis son arrivée. Elle a froid et elle tremble. Elle attrape sa robe de salope et se dirige vers sa chambre. Elle avance vers son placard et se rend compte que les ouvriers l’ont verrouillé avec un gros cadenas. Janice se tourne vers sa commode et la voit elle aussi verrouillée.

N’ayant rien d’autre à porter, elle glisse la robe qu’elle déteste au-dessus de sa tête et commence à descendre les escaliers. Soudain elle s’arrête. Elle sait que lorsque Christy va la voir, elle lui posera beaucoup de questions. Et des questions auxquelles elle ne veut pas répondre pour le moment. Elle retourne dans la chambre, menotte ses pieds et ses mains, attache la chaîne qui relie ses poignets et ses chevilles et se recroqueville pour tomber immédiatement dans un profond sommeil.

Janice se réveille quelques heures plus tard et essaie lentement de se lever. Son cul et sa chatte sont en feu et tout son corps lui fait mal à cause des mauvais traitements de la journée. Elle est toujours attachée. Elle appelle Christy pour l’aider à se libérer.

Christy est dans le couloir quand elle entend sa mère l’appeler. Elle avait entendu Janice rentrer à la maison et elle l’avait cherchée. Mais sa mère était sous la douche et elle s’est dit que quoi qui c’était passé, elle avait besoin de temps pour se nettoyer. Plus tard, Elle était venue voir et elle avait trouvé sa mère profondément endormie, attachée au pied du lit.

Christy est redescendue dans le salon et a lu pendant environ deux heures avant qu’elle n’entende sa mère l’appeler. La jeune fille se précipite dans la chambre à coucher pour libérer rapidement Janice.

Celle-ci marmonne un merci quand sa fille la libère des menottes. Ne voulant pas encore parler, elle se dirige lentement vers la salle de bain pour soulager sa vessie. Elle est en mode automatique, son esprit embrumé se demandant ce que lui réserve le lendemain. Au moment où elle finit, Christy est redescendue pour se mettre devant l’ordinateur.

Janice enfile un simple tee-shirt que sa fille lui a posé sur le lit. Elle descend et se fige. Christy est en train de discuter avec Kévin. Janice voulait l’avertir pour les préservatifs, mais elle n’en avait pas eu l’occasion. Elle écoute leur conversation.

- Alors salope, as-tu aimé les cadeaux que ta mère a rapportés à la maison pour toi ? As-tu réussi à discerner la différence de goût entre chacun ? Demande Kévin.

Il sait déjà que Janice a désobéi. Les ouvriers ont déjà fini de câbler toute la maison en vidéo et audio. Ils travaillent maintenant sur une pièce qui deviendra un cachot. Il a délibérément attendu que Janice se réveille et descende les escaliers pour voir sa réaction d’être prise sur le fait.

- Quels cadeaux ? Elle est rentrée à la maison et elle est allée tout de suite se coucher. Etait-elle censée me donner quelque chose ? Répond Christy.

- Oui esclave ! Je vais m’occuper d’elle ! Crache Kévin !

Janice ne bouge pas, tremblante. Elle sait qu’elle va être punie. Quand Brenda se glisse derrière elle et attrape une poignée de ses cheveux, elle crie et sursaute. Elle ne savait pas que sa Maîtresse était là.

Brenda approche sa tête près de sa bouche et chuchote :

- Alors tu croyais pouvoir désobéir ! Eh bien Maître Kévin veut te voir !

Brenda tire Janice par les cheveux à travers le couloir. Christy se tourne vers le bruit et regarde Brenda tirer sa mère hors de la pièce. Elle regarde l’écran et demande :

- Y a-t-il quelque chose qui ne va pas Maître ?

- Non esclave ! Mais je veux que tu ailles te coucher, tu sais quoi faire. Ta salope de mère te rejoindra plus tard. Répond Kévin en coupant la communication.

Brenda tire Janice par les cheveux jusqu’au salon où il y a Kévin. La femme a le souffle coupé et comprend qu’elle a des ennuis. Elle regarde derrière elle et elle est soulagée d’entendre sa fille monter les escaliers et entrer dans la chambre en fermant la porte derrière elle.

- Alors esclave ? Tu sais que tu as délibérément désobéi à un ordre direct. Ta fille aurait dû profiter des fruits de ta victoire. Toutefois, tu as choisi d’être égoïste et de nettoyer toi-même tous ces préservatifs durement gagnés. Mais maintenant, tout ce travail acharné est perdu. Le symbole de Christy sera activé. Tu as tout foutu en l’air. Dit Kévin, un sourire maléfique sur le visage.

- Oh mon Dieu, s’il vous plaît Maître, pas ça ! Je ne pouvais pas le faire, c’était trop humiliant pour ma fille. S’il vous plaît Maître Kévin, s’il vous plaît, ne punissez pas Christy. Supplie Janice en se mettant à genoux.

- Maître, s’il vous plaît, je ferai n’importe quoi, mais n’activez pas le code de ma fille. S’il vous plaît, je me rattraperai. Je baiserai qui vous voulez, je ferais tout ce que vous voudrez. Mais n’activez pas le code de ma fille ! Continue-t-elle.

Kévin attend que l’esclave s’écroule devant ses yeux. Il sait qu’elle est perdue maintenant et qu’il peut lui ordonner de faire n’importe quoi et elle le fera. Il lui sourit et attend qu’elle reprenne le contrôle de ses sanglots.

- ESCLAVE, REPRENDS-TOI ! Si tu as vraiment l’intention de sauver ta salope de fille, alors voilà ta punition. Jusqu’à présent tu a été chargée de surveiller la maison et de servir les ouvriers. Eh bien c’est fini. Demain, Maîtresse Brenda te ramènera au salon de tatouage et tu auras les mêmes piercings que Jessie l’esclave. Tes mamelons, ta chatte et ta langue auront des bijoux. D’autre part tu seras équipée d’un collier d’esclave permanent.

Janice gémit. La pensée que son corps soit percé et d’avoir un collier en permanence la paralyse. Mais si ça évite à sa fille d’être une pute, elle le fera.

- Oui Maître Kévin. Vos souhaits sont des ordres. Dit-elle en regardant le sol.

- Ce n’est pas tout. Ton code sera activé de la même façon que celui de Jessie et tu retourneras à ton travail. Christy prendra ta place au service des ouvriers. Il est temps qu’elle gagne sa nourriture.

Kévin rit en voyant Janice recommencer à sangloter. Les épaules de l’esclave s’affaissent et elle hoche la tête. L’idée que sa fille soit brutalisée par les trois ouvriers est inimaginable. Elle est perdue et sa fille aussi. Brenda lui tapote la tête comme si elle était un chiot et lui dit :

- Regarde le bon côté esclave ! Au moins ta fille ne baisera pas tous les hommes qui scanneront son code.

Janice lève ses yeux remplis de larmes vers sa Maîtresse et hoche la tête.

- Une dernière chose ! Lorsque tu arriveras à ton travail, je veux que tu montres à tout le monde ton code, en particulier aux hommes. Ensuite tu diras à chacun comment obtenir l’application. Ça ne sert à rien d’être activée si personne ne le sait. Assure-toi de le dire en premier au principal. Je crois qu’il a vraiment besoin de baiser.

Avant que Janice ne puisse réagir, Brenda la saisit par les cheveux et la tire sur ses pieds. Puis elle la sort de la pièce pour l’emmener dans la chambre. Après quelques minutes Janice est de nouveau attachée par terre. Son esprit est bouleversé à l’idée de ce qu’elle doit faire le lendemain.

 ******

A l’aube, Jessie se réveille sur le sol de son garage. Après la longue journée de la veille et la correction infligé par Maîtresse Brenda, elle est complètement fourbue. Elle avance dans la maison, son cul hurlant de douleur après les sévices d’hier. Elle se dirige vers la cuisine et voir une note sur la table. Elle la ramasse et lit lentement les instructions. Puis elle laisse tomber le papier et s’effondre sur le sol. Elle sait que sa vie d’avant est définitivement terminée. Après cette journée tout le monde saura qu’elle est une esclave et tout l’université la baisera. Elle reprend le papier pour le relier. Elle ne peut pas s’en sortir, elle doit obéir. Pendant que son esprit tremble de honte et de peur, sa chatte mouille et ses tétons durcissent. Elle ne peut pas s’en sortir sans être humiliée et maltraitée.

Ses instructions sont d’informer chaque classe du code tatoué sur son poignet. Elle doit ensuite expliquer comment accéder à l’application et s’en servir. Hier, après avoir été sodomisée par dix-neuf hommes, elle pensait que ça ne pourrait jamais être pire. Mais là, elle réalise que sa situation va encore empirer.

Elle prend une douche chaude et se rase la chatte. L’eau chaude fait des merveilles en soignant son corps fatigué et endolori. Après être sortie de la douche et avoir été se soulager aux toilettes, Jessie va dans sa chambre pour voir ce qu’elle est autorisée à porter à l’université, même si elle ne le portera sans doute pas longtemps. Sa première classe de la journée est la plus dominante.

Jessie prend le gilet à boutons noirs sans manches. Il a un col blanc. Elle l’enfile et le boutonne. Mais le bouton supérieur se trouve sous ses seins et laisse le gilet presque à moitié ouvert. Elle sait que si elle bouge trop vite sa poitrine va sortir du gilet. Elle ramasse la jupe noire et la fait glisser sur ses jambes. Elle est serrée et très courte. De plus il y a une fente de chaque côté qui donne l’impression que cette jupe n’est rien d’autre qu’un pagne. Il n’y aura pas de mystère avec cette tenue. Il sera clair qu’elle ne porte rien d’autre dessous.

Les sandales à lanières avec des talons de dix centimètres complète la tenue. Jessie est prête à partir. Marcus est déjà levé ou alors il n’a pas passé la nuit ici. Jessie ne sait pas. Elle réfléchit et se rend compte qu’elle ne l’a pas vu depuis hier soir quand il bavait sur les préservatifs. L’idée d’avaler tout ce sperme froid et gluant lui donne un haut le cœur. Toutefois son mari a dû le boire et lécher les préservatifs avec un grand sourire sur le visage. Jessie est presque contente d’avoir dormi dans le garage. L’amour qu’elle ressentait pour Marcus a presque disparu et qu’il lèche des préservatifs n’arrange pas les choses.

Elle arrive à l’université beaucoup plus tard que d’habitude. Elle avait peur que si elle arrivait trop tôt, quelqu’un vienne dans sa classe de cours et lui fasse faire quelque chose de sexuel. Avec son code barre actif elle ne sait pas à quoi s’attendre. Elle se tient dans l’embrasure de la porte de sa classe quand le cloche sonne pour avertir du premier cours. Un frisson parcoure sa colonne vertébrale quand elle pense qu’une nouvelle journée d’humiliation commence.

Alors que les élèves entrent dans la pièce, ils ont presque tous un commentaire à faire en saluant leur professeure à la porte.

- Bonjour Madame Salope !

- Jolie tenue de pute !

- Vous avez déjà sucé combien de bites ce matin ?

- je veux votre chatte et votre cul.

- Je pensais que les esclaves étaient censés s’agenouiller à l’arrivée de leurs maîtres.

Chaque commentaire érode sa confiance. Et sachant qu’elle doit annoncer comment fonctionne son code barre, elle sait que la journée va être pire que celle de hier. Dans tous ses cours il y a plus de vingt garçons. Peut-être qu’avant midi elle aura baisé plus d’hommes que hier. Une larme coule sur sa joue alors que son esprit lui dit qu’elle approche de la fin de sa carrière. Toutefois son corps ne se soucie pas du tout de ça. La seule chose qu’il veut c’est que sa chatte soit remplie. Mon Dieu, elle veut que quelqu’un la baise ! Elle ne croit pas que son cul peut prendre encore une vingtaine de bites aujourd’hui.

La cloche sonne pour annoncer le début du cours. Jessie se met devant sa classe et commence :

- Bonjour, j’ai une annonce….

Cependant Susan l’interrompt et dit en se moquant de sa professeure :

- Tais-toi esclave ! J’ai entendu dire que tu étais dans la rue hier habillée en pute pour t’exposer au voisinage. Tu t’es bien amusée ? Johnny de ton troisième cours a dit que tu avais acheté une grande boite de préservatifs.

- Oui Mademoiselle Susan, j’étais dans le quartier hier et oui j’ai acheté une boite de préservatifs. Je suis désolé, mais il n’en reste plus. Mais ils n’ont pas tous été utilisés sur moi ! Essaie d’expliquer Jessie.

Mais une nouvelle fois, Susan prend la parole.

- Je suppose que ton cul se repose après la séance d’hier. Dit la jeune fille pour humilier l’enseignante.

- S’il vous plaît Mademoiselle Susan, mon Maître veut que je fasse une annonce. Puis-le la faire ? Supplie Jessie.

- Bien sûr salope ! Que veux-tu nous dire ? Répond Susan.

Jessie tend son poignet droit et montre le code barre à la jeune fille.

- je dois vous parler de ce code barre. Je suis une « QR Babe ». cela signifie que lorsque vous scannez mon poignet, il renvoie sur une page web. Il vous suffit d’avoir l’application sur votre téléphone. Explique L’enseignante.

- Et alors ? Qui va se soucier d’une page web stupide ? Demande quelqu’un dans la classe.

- L’application vous permet de gagner du temps avec moi. Vous pouvez m’utiliser comme vous le souhaitez à condition de respecter les règles. Continue Jessie.

Et elle ajoute rapidement :

- Vous pouvez voir des photos et vidéos de moi. Et il y a une liste de ce que je peux faire ainsi que les restrictions imposées.

Susan ne perd pas de temps et installe l’application. Dès que c’est fait, elle scanne le code de Jessie. Lorsque la page internet s’affiche elle voit sa professeure, Mme GRABAS, nue avec une énorme bite noire enfouie dans son cul. Elle est attachée à une table dans ce qui semble être une ruelle.

Jessie ne sait pas ce que son élève regarde, mais à voir  son expression elle comprend que ce n’est pas bon. Il faut bien cinq minutes à Susan pour comprendre le fonctionnement de l’application. Bientôt elle sort une carte de crédit pour en taper les chiffres.

- Voilà esclave ! Maintenant tu es ma propriété pendant deux heures.

Susan tourne son téléphone pour que Jessie puisse voir l’écran. Elle pâlit en lisant à qui et pendant combien de temps elle doit se soumettre.

- Oui Mademoiselle Susan, je suis à vous pour les deux prochaines heures. Confirme-t-elle.

- Bien tu as compris. Donc montre tes seins et ta chatte et assieds-toi sur le bureau pendant que je consulte les restrictions. Dit Susan joyeuse en sachant qu’elle va humilier Jessie pendant deux heures.

Jessie retire rapidement son haut par-dessus sa tête, remonte sa jupe à sa taille et s’assoit sur son bureau. Elle veut couvrir ses seins avec ses mains, mais un regarde à Susan lui indique qu’elle doit plutôt laisser retomber ses bras.

- N’essaie pas de cacher quoi que ce soit ! Et écarte les jambes, il n’y a pas de secret ici ! Commande Susan.

Jessie est perchée sur son bureau, les jambes écartées, jupe troussée et nue au-dessus de la taille. Elle regarde ses élèves et peut voir les regards vicieux qu’ils lui jettent. Elle sait qu’il y a quatorze gars et six filles dans la pièce, Mais c’est Susan qui dirige. Jessie attend qu’on lui dise que faire. Elle sait qu’elle n’enseignera plus jamais dans cette classe. Maintenant sa vie est d’être une pute pour ses élèves et toute personne qui scannera son poignet. Elle sanglote doucement alors que son cerveau déteste cette situation, mais que sa chatte n’arrête pas de pulser d’envie.

Susan lit les règles d’utilisation de l’enseignante. Elle découvre que son cul est maintenant disponible. Mais sa bouche et sa chatte ne sont utilisables que si l’enseignante donne son accord.

- Eh bien esclave, je vois qu’on t’a retiré ton plug anal. Ton cul est donc disponible maintenant et je suis sûr que nous pouvons en faire bon usage. Donc mets-toi à genoux et lève ton cul en l’air !

Jessie grimace, son cul est toujours douloureux d’avoir été baisée par dix-neuf hommes hier. Elle ne sait pas s’il va encore pouvoir résister. Toutefois elle n’hésite pas et obéit à l’ordre de son élève.

Pendant que Jessie se met en place, Susan se dirige vers son bureau et attrape une poignée de crayons. Elle s’assure ensuite que le cul de l’enseignante soit bien visible par tout le monde. Enfin elle commence à insérer les crayons dans le cul exposé.

Les deux premiers entrèrent sans trop de douleur même si Jessie a une sensation de brûlure. Susan s’amuse à pousser chacun à l’intérieur et à l’extérieur plusieurs fois en regardant le petit trou s’écarteler.

Plusieurs élèves commencent à applaudir à chaque coup, Mais Susan les calme rapidement.

- Hé les gars, vous voulez que l’on soit repéré ? Calmez-vous. Vous aurez tous l’occasion de profiter de l’esclave.

Susan s’empare d’autres crayons et continue à abuser du cul de sa professeure. Après dix minutes, le cul de Jessie est rempli de dix crayons. L’enseignante gémit à haute voix maintenant alors que la douleur envahit son fondement. Susan aime chaque seconde de la torture qu’elle inflige. Et maintenant, quand elle ajoute un crayon, elle saisit le paquet entier et baise avec le cul de Jessie.

Susan n’arrête pas de bouger les crayons. Mais elle veut encore plus humilier sa prof. Elle veut qu’elle jouisse de ce traitement. Alors de son autre main, elle va titiller le clitoris de Jessie. Après quelques secondes celle-ci gémit plus fort et pousse son cul à la rencontre du gode en bois constitué de crayons tenu par la jeune fille.

Jessie n’a plus le contrôle de son corps. Mais la dernière chose qu’elle souhaite c’est de jouir devant ses élèves alors qu’on lui baise le cul avec des crayons. Elle ferme les yeux et se concentre pour retenir l’orgasme qu’elle sent arriver. Mais à ce moment quelqu’un attrape ses mamelons et les tire fort. La douleur descend dans sa chatte et son corps explose de plaisir.

Susan est surprise quand le sphincter de Jessie se serre sur les crayons  alors que l’orgasme consume son corps.

- Regardez cette salope, elle vient de jouir alors que je lui baisais le cul. Dit Susan.

Une acclamation collective retentit et Jessie se sent comme une chienne. Son corps est hors de son contrôle et son esprit s’est arrêté. Elle regarde Susan derrière elle et l’implore d’arrêter.

- Tu veux que j’arrête ? Ça n’arrivera pas ! C’est le seul orifice que nous sommes autorisés à utiliser, alors il faut que tu t’y habitues salope ! Aboie la jeune fille.

- S’il vous plaît, mademoiselle Susan, mon cul est si douloureux que je ne peux pas en supporter plus. S’il vous plaît, utilisez ma chatte ou ma bouche. Je ne peux plus rien prendre dans mon cul. Supplie Jessie.

- Bien salope, et tes piercings ? Je croyais qu’il fallait faire attention ? Demande Susan.

- Je m’en fiche, je ne veux plus rien prendre dans mon cul. Je me nettoierai après avoir terminé. Utilisez ma chatte ou ma bouche, mais pas mon cul s’il vous plaît. Déclare l’enseignante.

- Bon, vous avez entendu les garçons, nous avons maintenant un sac à foutre pleinement opérationnel. Vous pouvez faire la queue et dépêchez-vous si tout le monde veut lui gicler dessus avant la fin du cours.

Les quatorze garçons de la classe se lèvent et courent se placer devant et derrière leur professeure, la bite en main, attendant de pouvoir la baiser.

Jessie voudrait s’enfuir. Il est évident qu’elle va se faire gang-banguer par ses élèves. Elle se rappelle alors avoir mis une limite dans le contrat qu’elle avait signé avec Maître X. ses étudiants ne devaient pas être impliqués. Mais ça lui semble fort lointain ce jour où elle a rempli ce formulaire maudit. Depuis les choses ont changé.

Susan décide de laisser les crayons dans le cul de L’enseignante et elle lui dit de s’activer. Jessie lève la tête et suce la bite qui pend devant elle. Elle la lèche pour bien la mouiller avant de la prendre en bouche. Juste au moment où la queue touche sa gorge, un autre sexe s’enfonce dans sa chatte. Bientôt ,les deux garçons martèlent leur professeure soumise.

- Essayez de ne pas être trop brutal avec elle les garçons. Il faut qu’elle tienne la journée. Rit Susan.

Jessie n’ayant pas été baisée dans sa chatte depuis presque une semaine, et malgré les douleurs dues aux piercings, son corps aime cette sensation d’être baisé. Bientôt elle bouge ses hanches d’avant en arrière, pour aider les bites à la pénétrer plus profondément. Les deux premiers garçons jouissent trop rapidement, trop vite pour satisfaire l’enseignante désormais excitée. Ils éjaculent en elle et se retirent. Ils sont immédiatement remplacés. Cette fois-ci Jessie a un orgasme alors que sa chatte brûle de plaisir et que les deux adolescents la martèlent avec fougue.

Jessie n’a aucune notion du temps qui passe. La seule chose qui compte est la file interminable de bites qui apparaissent devant son visage ou remplissent sa chatte. Puis soudain Susan attrape sa tête et la force à la regarder :

- Eh bien salope, notre cours est fini. Tu devrais te nettoyer, c’est bientôt l’heure du déjeuner.

Jessie regarde fixement la jeune fille les yeux grands ouverts, mais elle ne la voit pas. Elle attend que la dernière bite se vide dans son corps avant de s’effondrer par terre et de rester dans les flaques de foutre accumulées sur le sol au niveau de sa tête et de son cul.. 

Susan se lève et jette les vêtements de l’enseignante sur son corps allongé dans le sperme.

- Dépêche-toi salope, la cloche va sonner et tu ne veux pas rater le déjeuner. Dit la jeune fille alors que la cloche retentit.

Jessie est laissée seule dans sa classe, la chatte débordante de sperme et les crayons toujours dans son cul. Elle se retourne lentement, tend la main derrière elle et commence à retirer les crayons de son cul douloureux. Jessie s’est retrouvée à genoux pendant longtemps et ses jambes hurlent de douleur. Toutefois son corps est satisfait. Elle a eu de nombreux orgasmes, et pour la première fois depuis des jours, elle est bien assouvie. Elle rampe jusqu’à son bureau et attrape un rouleau de serviettes en papier et commence à nettoyer le sol.

Il lui faut bien vingt minutes pour tout nettoyer et s’habiller. Elle sait qu’elle ressemble à une pute. Son visage est tout rouge et elle a du mal à marcher. Alors qu’elle reprend ses esprits, elle jette un coup d’œil à l’horloge. Il lui reste une vingtaine de minutes avant la fin du déjeuner, mais elle n’a pas de cours après. Elle sort de sa classe et va aux toilettes pour se laver.

Elle s’assoit sur la cuvette des WC et laisse couler de sa chatte béante le sperme d’au moins dix garçons. Elle nettoie son visage et se recoiffe. Elle se regarde dans le miroir alors qu’une larme coule sur sa joue. La matinée a déjà été épuisante, et là elle doit faire face au reste de la journée. Jessie sort des toilettes et rejoint sa salle de classe.

Elle a bien besoin des cinquante prochaines minutes pour se préparer aux restes de ses cours. Elle marche dans le long couloir désert sans vraiment prêter attention à son entourage. Sa tête essaie de réconcilier son esprit et son corps. Son esprit est dévasté par ce flux constant de bites alors que son corps ne s’est jamais senti aussi bien qu’à aucun moment de sa vie. Elle a du mal à comprendre comment son corps peut la trahir. C’est comme si deux personnes très différentes marchent dans le couloir. Plongée dans ses pensées, elle ne remarque pas Martin et Michael ASH adossés à un mur. Elle manque de heurter Martin et elle se fige sur place.

- Oh, je ne t’ai pas vu Martin, je suis désolé. Dit Jessie, la peur s’affichant sur son visage.

Le jeune homme lui bloque le chemin alors que Michael se place à côté d’elle. Elle est piégée. Elle peut se retourner et essayer de s’enfuir, mais elle ne pourra pas les passer pour aller dans sa classe. Elle ne sait comment faire. Elle comprend alors que sa seule issue est de demander ce qu’ils veulent.

- Bien, bien, regardez donc qui erre dans les couloirs, notre salope de professeure préférée ! Dit Michael en la regardant de haut en bas.

Jessie reste immobile, elle sait qu’elle n’a pas d’autres choix.

- Oui Monsieur, je suis une salope !

Elle déteste devoir le dire, mais elle sait que c’est la vérité. Michael sort son téléphone en disant :

- C’est bien ce que je pensais. J’attends ce jour depuis que tu as ce tatouage.

Il tend la main attrape son poignet pour scanner le code.

- Super, ton cul est à nous pour la prochaine demi-heure. Dit-il.

Il l’attire alors dans les toilettes hommes. Là Martin lui dit :

- A poil salope, il est temps pour toi de gagner du pognon.

Jessie tire rapidement son haut par-dessus sa tête et le jette sur le lavabo. Sa jupe suit peu après. Elle se retrouve de nouveau complètement nue. Elle tombe à genoux et met ses mains derrière la tête comme elle a été entraînée.

Les garçons se disputent pour savoir qui va être le premier, quand finalement Michael pousse l’enseignante sur le sol et enlève son pantalon. Il caresse sa bite et la pointe sur le cul de Jessie. Il crache sur le petit trou et dit :

- Es-tu prête salope ?

Martin se tient au-dessus de la tête de Jessie et il regarde son frère se préparer à l’enculer. Il sait qu’elle n’est pas prête pour être sodomisée à sec. Il veut l’entendre crier avant d’enfoncer sa bite dans sa gorge.

- S’il vous plaît Monsieur, pas mon cul. S’il vous plaît utilisez ma chatte de salope à la place. S’il vous plaît, mon cul me fait trop mal pour être baisé. Supplie Jessie.

- Oh, donc ton cul est douloureux ? Trop de bites sont passées par là ? Rit Michael.

- Oui Monsieur. Maîtresse Brenda nous a mises en compétition Janice et moi pour éviter que nos codes soient activés. J’ai perdu, mais j’ai été beaucoup sodomisée. Mon cul n’a pas encore récupéré. S’il vous plaît Monsieur, utilisez ma chatte plutôt et vous pourrez m’avoir pendant cinquante minutes. Dit Jessie pour essayer de négocier avec les deux jeunes hommes.

Michael lève les yeux vers son frère et sourit :

- Ok salope, nous accédons à ta demande !

Il plonge sa bite dans la chatte de Jessie. Martin lui emboîte le pas en saisissant ses cheveux et en tirant son visage vers sa queue. Bientôt les deux garçons pilonnent l’enseignante des deux côtés. L’esprit de Jessie ne pense plus qu’elle est agenouillée nue dans les toilettes pour hommes, mais elle pense à comment tirer le plus de plaisir des bites des deux frères. Elle ne se soucie pas si quelqu’un peut entrer ou que le sol carrelé lui fait mal aux genoux. La seule chose qui compte pour l’instant c’est d’avoir un orgasme.

Les jumeaux utilisent Jessie comme la pute qu’elle est devenue. Ils baisent sa bouche et sa chatte en changeant parfois de place pendant le temps qu’il reste avant que la cloche sonne pour commencer la nouvelle période. Puis Michael sort de la bouche de Jessie et essuie sa bite avec ses cheveux. Martin fait de même et essuie sa bite sur son cul. Tous les deux lui laisses des traces de leur foutre sur le corps.

Les garçons enfilent leurs vêtements et sortent des toilettes. Ils laissent Jessie nue sur le sol dans une langueur sexuelle. Mais elle sait qu’à chaque seconde qui passe, un étudiant peut entrer. Alors elle réunit ses forces et se précipite dans une cabine en traînant ses affaires derrière elle. Elle s’assoit sur la cuvette et essaie de rassembler ses pensées. Jusqu’à maintenant, elle a été baisée par toute une classe, suivie par les jumeaux ASH, les neveux de son voisin dégoûtant. Et elle se retrouve dans des toilettes pour homme, nue et couverte de sperme. Sa chatte la picote des nombreux orgasmes qu’elle a eus. Elle sourit et enfile son haut, puis sa jupe. Elle sort de la cabine et se dirige vers le lavabo pour se rincer le visage et se remaquiller. Quand elle y réfléchit, peu importe qu’elle soit baisée dans les toilettes. Il y a l’application et elle sera baisée de toute façon. Quand elle a terminé, elle sort dans le couloir. Juste à ce moment un groupe de quatre étudiants de son septième cours passe. Les gars regardent leur professeure et rient. L’un d’eux se permet même de lui claquer le cul. Jessie ne dit rien et continue jusqu’à sa salle de cours.

 *****

Quand Janice se réveille le lendemain, son corps est douloureux d’avoir dormi sur le sol. Elle prend quelques secondes pour rassembler ses pensées. Elle se tortille sur le sol et lève les yeux vers l’horloge. Il est déjà huit heures du matin. Elle se demande pourquoi Christy ne l’a pas réveillée. Elle appelle sa fille, mais c’est Brenda qui entre dans la pièce.

- Alors la dormeuse, enfin réveillée ? Tu dormais si bien que nous n’avons pas voulu te réveiller et nous t’avons laissée dormir. Malheureusement tu as raté des choses ce matin. C’est au tour de Christy de rester à la maison et elle a été bien occupée. Dit Brenda en sachant que chacun de ses mots blesse l’esclave attachée sur le sol.

- Oh mon Dieu ! Gémit Janice en pensant que leurs deux vies se transforment en cauchemar.

- Tu vois, j’avais averti les ouvriers que c’était le tour de ta fille aujourd’hui. Ils sont arrivés juste après six heures. Tu as raté le spectacle. Mais ne t’inquiète pas, leur pause est proche, tu pourras voir.

Brenda libère Janice de ses liens et ajoute :

- Maintenant lave-toi et habille-toi. Je t’ai laissé ta tenue sur le lit. Tu as cinq minutes avant la pause des gars. Si tu te dépêches tu pourras tout voir.

Brenda rit et s’en va. Janice se lève lentement, son corps est raide et endolori. Elle titube jusqu’à la salle de bain et se lave. La douche lui fait du bien et la réveille. Elle se soulage aux toilettes. Elle a mal au cul, mais se sent mieux ensuite.

Elle retourne dans la chambre et enfile le bustier rose posé sur le lit. Il est composé de deux pans semi-transparents avec de la dentelle qui couvre ses seins et ses côtés. Il tombe juste en dessous de son cul et sa chatte. Des talons hauts roses de douze centimètres finissent son look de salope.

Quand elle descend les escaliers, elle voit Brenda dans le couloir. Janice s’approche d’elle et se fige quand elle voit ce qu’elle regarde. Dans le coin de la porte d’entrée elle voit Christy qui fait face au mur. Elle est nue, la jambe gauche relevée. Derrière elle, l’ouvrier noir la baise par-derrière. Janice peut entendre sa fille grogner à chaque coup de rein que le travailleur lui donne.

Janice veut aller sauver sa fille, mais alors qu’elle commence à bougre, Brenda la fixe et gronde :

- N’ose pas aller l’aider ! C’est son boulot pendant que tu es au travail. Maintenant, allons-y !

Brenda ouvre la porte d’entrée et suit Janice à l’extérieur. Celle-ci peut à peine retenir ses larmes en passant la porte. Chaque moment la rapproche encore plus de son statut d’esclave permanente.

Brenda regarde Janice se diriger vers la voiture. Elle voit que son visage reflète la défaite. Elle ne résiste plus et se soumet. Brenda rit quand elles arrivent à la voiture. C’est alors que la voisine appelle la femme presque nue à côté de la voiture.

- JANICE… Appelle-t-elle.

Mais a le souffle coupé quand elle voit comment est habillée sa voisine.

- Mon Dieu Janice, que portes-tu . Tu ressembles à une pute ? Où vas-tu comme ça ? Demande la femme en rougissant à ce qu’elle voit.

Janice voudrait sauter dans la voiture, mais elle est verrouillée. Elle ne peut aller nulle part et n’a pas d’autres choix que de répondre

- Bonjour Betty. Bafouille-t-elle.

Brenda ne peut laisser passer l’occasion d’humilier son esclave alors elle lui demande :

- Oui Janice, où allons-nous ? Et pourquoi es-tu habillée comme une salope ce matin ?

Brenda la fixe pour l’obliger à répondre honnêtement. 

- Bonjour Betty, je vais faire… poser des piercings sur mon corps. Répond Janice.

Mais quand elle voit Brenda sortir la laisse elle ajoute :

- Je vais faire percer mes mamelons, ma chatte et ma langue. C’est ce que font les salopes.

Brenda sourit en voyant l’expression du visage de la voisine passer de la surprise au choc, puis de la confusion au dégoût.

- Eh bien, je n’aurais jamais pensé que tu étais une salope. Tu es malade. Crache Betty en regardant la femme humiliée.

- Dis Betty, elle est disponible si tu veux une esclave pour un après-midi. Dit Brenda en riant.

La voisine sursaute et se précipite dans sa maison, cherchant déjà son téléphone pour diffuser la nouvelle dans le quartier.

- Je suppose qu’elle n’est pas intéressée. Elle changera peut-être d’avis quand elle verra tes piercings. Dit Brenda à Janice.

Elle ouvre la porte de la voiture et monte dedans. La vice-directrice lui emboîte la pas en essayant de ne pas penser aux gens que Betty va appeler.

Les deux femmes se rendent au salon de tatouage en silence, Brenda savourant son pouvoir sur ses esclaves et Janice ne se sentant plus comme une vraie personne. Elle ne se rend même pas compte quand elles sont arrivées.

Il faut environ une heure pour le tatoueur. Quand Janice ressort, elle a le même équipement en piercings que Jessie jusqu’à la cloche attachée à sa chatte. Elle touche le collier maintenant attaché autour de son cou. Il est de couleur noir métal et maintenu fermé par un anneau en argent sur le devant. Janice sort du salon et s’assoit dans la voiture. Maintenant elle se sent vraiment esclave et le collier le prouve. Brenda y attache même une laisse pour achever le tout.

Brenda roule jusqu’à l’université, avec Janice assise à côté d’elle dans un état second. Elle regarde simplement par la fenêtre sans penser à autre chose que d’obéir à sa Maîtresse. Lorsque la voiture stoppe, Janice lève la tête et commence à sortir.

- Attends salope, tu dois te changer, tu ne peux pas aller à l’école habillée comme ça. Tiens enfile ça et va faire un rapport chez le directeur. Tu sais quoi faire. Dit Brenda en lui jetant un sac.

Janice l’attrape et en sort un costume deux pièces. Il ressemble quand même à une chose qu’une pute porterait. Il y a une jupe courte à fines rayures et un gilet assorti pour le haut. Il n’y a pas de chemisier et le haut ne couvre pas son ventre. Elle enfile des bas couleur fumée puis la jupe. Celle-ci est tellement courte que le haut des bas est bien visible.

Janice regarde Maîtresse Brenda et demande doucement :

- Maîtresse, si je vais Monsieur JOHNSON en portant cette tenue et que je lui montre mon code barre, il va me faire envoyer en prison. S’il vous plaît Maîtresse, ne me faites pas faire ça !

- Stupide salope ! Ces vêtements sont parfaits pour toi parce que tu es une vraie salope. Si tu ne veux pas aller en prison alors essaie de convaincre le directeur de ne pas t’y envoyer. C’est un homme non ? Je suis sûre qu’avec ton corps tu peux le convaincre de profiter de toi. Tu pourrais même avoir une promotion. Maintenant finis de t’habiller et sors de la voiture. Je crois que tu vas être surprise de voir comment il va réagir. Explique Brenda.

Tout le corps de Janice est agité de tremblements quand elle sort de l’auto et qu’elle monte les escaliers conduisant à la porte d’entrée de l’université. Sa gorge est sèche et son cœur bat à mille à l’heure. Elle a peur et est excitée en même temps. Elle est confuse, car elle sait qu’elle se dirige vers la fin de sa vie telle qu’elle était avant de tomber si bas. Toutefois, après ces derniers jours, chaque évènement humiliant, chaque rapport sexuel qui lui a été confié, chaque baise qu’elle a eu lui ont provoqué des orgasmes massifs et du plaisir dans la totalité de son corps. Et Maintenant, juste la pensée de ce qu’elle va faire lui envoie des frissons d’excitation dans la colonne vertébrale.

Janice franchit la porte d’entrée et s’arrête sur le pas. Sa respiration est courte et sa chatte nue sous sa mini-jupe commence à dégouliner de son jus sur ses cuisses. Alors qu’elle ne bouge pas en essayant de reprendre le contrôle d’elle-même, trois étudiantes passent devant elle en riant. Janice croit percevoir les mots « salope » et « putain » dans leur bouche. Il y a quelques jours, elle les aurait convoquées dans son bureau et les aurait punies. Mais là, habillée comme une salope, sa chatte dégoulinant le long de ses jambes, elle sait qu’elles disent la vérité.

Janice rassemble son courage et monte les quelques marches menant au rez-de-chaussée. Puis elle avance vers les portes de bureau du côté droit du couloir. Elle se redresse et entre dans le bureau.

Dès que les étudiants et le personnel voient la directrice adjointe presque nue franchir la porte, le silence se fait, ils sont tous ébahis. Janice rougit de la pointe des cheveux jusqu’à ses orteils. Essayant de parler aussi normalement que possible, elle dit d’une voix forte :

- Est-ce que Monsieur JOHNSON est là ? Je dois le voir !

La secrétaire n’arrête pas de fixer Janice. Elle est stupéfaite et ne sait que dire. Il faut que Janice demande à nouveau :

- S’il vous plaît, Monsieur JOHNSON est-il disponible ?

- Oh oui, il doit l’être. Je vais lui dire que vous êtes ici. Dit la secrétaire en se levant de son siège rapidement pour se diriger vers la porte du directeur.

Pou la première fois de sa vie, Janice est dans ce bureau en se balançant d’un pied sur l’autre, horriblement gênée. Tout le monde la regarde et chaque seconde qui passe l’humilie encore plus. Finalement la secrétaire revient et dit :

- Il en a pour une minute. Il vous demande d’attendre.

Janice retient un gémissement. Elle voudrait être n’importe où plutôt qu’exposée ainsi. Il se passe bien cinq minutes avant que le téléphone de la secrétaire sonne et qu’elle réponde.

- Vous pouvez entrer maintenant Madame WILSON. Dit-elle.

Toute confiance en elle ou courage a disparu depuis longtemps quand elle ouvre la porte du directeur et entre. Dire que Monsieur JOHNSON est choquée de voir sa directrice adjointe habillée comme une salope est un euphémisme. Il la regarde de haut en bas et se penche en arrière sur sa chaise.

- Madame WILSON, s’il vous plaît, dites-moi pourquoi vous êtes habillée comme… eh bien disons habillée de manière inappropriée pour l’école ? Dit-il en la regardant droit dans les yeux.

Janice est si nerveuse qu’elle peut à peine parler, mais elle réussit quand même à dire très vite :

- Monsieur Johnson, je suis maintenant une « QR Babe » et je dois vous montrer mon code barre.

- « QR Babe » ? Qu’est-ce que c’est que ça ? Et qu’est-ce que ça à voir avec votre façon de vous habiller ? Aboie-t-il en sentant la colère monter en lui.

- S’il vous plaît Monsieur JOHNSON, si vous voulez bien télécharger l’application QRB sur votre téléphone, ce sera clair. Dit rapidement Janice.

Elle sent son visage devenir de plus en plus rouge à chaque mot qu’elle prononce.

- Une application ? Madame WILSON, je n’ai pas le temps de jouer. Expliquez-moi ou j’ai bien peur de devoir vous demander de partir.

- Laissez-moi vous montrer Monsieur WILSON ! Dit-elle en sortant son téléphone et en scannant son code barre.

Enfin, quand elle est dans l’application, sur son profil, elle tend son portable à son patron. Celui-ci saisit le téléphone et le regarde. Il passe en revue toutes les pages. Il y passe un certain temps avant de lever les yeux vers la femme humiliée debout devant son bureau.

Janice est sur le point de s’effondrer sur le sol, ses jambes tremblantes. Le directeur pose le portable sur son bureau et regarde le gros téléphone fixe. Il pense qu’il pourrait appeler la police, mais il lui demande de lui montrer le code sur le poignet.

Puis il a un sourire diabolique en regardant la femme :

- Donc si je comprends bien, n’importe qui peut scanner ce code barre et peut donc commander pour tes services via cette application. C’est bien ça ?

- Oui Monsieur, c’est ça ! Répond-elle.

- D’accord. Mais mettons les choses au clair. Je ne paierai pas pour tes services. Et si tu ne veux pas aller en prison, il est dans ton intérêt que je reste content. Déclare le directeur.

- Oui Monsieur, je comprends. Dit-elle.

-  Mais ce n’est pas pour ça que je n’utiliserai pas l’application pour voir ce que tu es autorisée à faire. Et je préviendrai peut-être mes amis et mes connaissances de ton nouveau statut. Maintenant, ouvre ton haut et montre-moi ta poitrine ! Ordonne-t-il.

Janice sait qu’elle est piégée. Elle n’a pas le choix et ouvre son haut pour montrer ses seins parfaits ?

M. JOHNSON peut difficilement se retenir de se jeter sur la vice-directrice qui se tient devant lui. Elle était une épine dans son pied depuis qu’elle avait été affectée à cette université.  Elle voulait sa place et avait rendu son travail plusieurs fois difficile. Elle était même passée par-dessus sa tête plus d’une fois. Et maintenant, elle expose sa poitrine et il sait qu’elle fera tout ce qui lui ordonnera.

- Très bien salope ! Maintenant enlève ce gilet et la jupe !

Janice rougit, mais fait ce qui lui ait demandé. Elle est bientôt presque nue avec seulement des bas et des talons.

- Très bien salope, je pense que nous allons trouver quelque chose pour te permettre de continuer de travailler ici. Malheureusement, ça ne sera plus en tant que directrice adjointe. Nous ne pouvons pas avoir une pute avec un poste de responsabilité à l’université. Toutefois je ne suis pas obligé de prendre cette décision tout de suite. Donc, à partir de demain, tu te présenteras à mon bureau très tôt chaque matin. Tu te déshabilleras et tu t’agenouilleras au milieu de la pièce. Tu resteras dans cette position jusqu’à mon arrivée. Je te donnerai alors ta mission quotidienne. Comprends-tu salope ? Demande le directeur.

- Oui Monsieur JOHNSON ! Répond Janice, son esprit se mettant en mode soumission comme elle a appris ces derniers jours.

- Maintenant remets tes vêtements et sors d’ici avant le changement de cours. Va voir l’entraîneur ROBERTS à son bureau. Je vais l’appeler et il t’attendra. Et fais tout ce qu’on te dit sinon tu repartiras d’ici dans une voiture de police. Ordonne JOHNSON en faisant un signe vers la porte.

Janice attrape rapidement ses vêtements et s’habille. Elle étouffe un sanglot et sort du bureau. Le personnel du secrétariat la regarde attentivement alors qu’elle se précipite vers la porte pour sortir dans le couloir, tête baissée, fixant le sol. Elle ne veut pas voir leurs regards. Si elle le faisait, elle se figerait et pleurerait. Une fois dans le couloir, elle prend une profonde inspiration et se dirige vers le complexe sportif de l’université de l’autre côté.

L’entraîneur ROBERTS est un salopard et un homme répugnant. Il se moque toujours des pom-pom girls et des femmes en général. Janice s’est souvent plainte qu’il la déshabillait des yeux, mais sans effet. On lui a toujours dit que ce n’était pas du harcèlement sexuel que de regarder. Maintenant elle doit se présenter devant cet homme dégoûtant et lui obéir. Plus elle se rapproche de son bureau, plus son corps est excité. Elle essaie de stopper ces sensations, mais son esprit n’a aucune chance. Finalement elle arrive devant la porte et frappe doucement.

- Entrez Madame WILSON ! Entend-elle

Elle ouvre lentement la porte et pénètre à l’intérieur. Derrière son bureau se trouve l’entraîneur ROBERTS. C’est un homme grand de 42 ans, aux cheveux poivre et sel. Il est mince. Il sourit à la directrice adjointe nerveuse et la regarde de haut en bas. Janice ne peut pas le regarder dans les yeux, donc elle garde sa tête baissée.

- Monsieur JOHNSON m’a appelé et m’a dit que vous alliez me rendre visite. Il m’a également dit des choses que j’ai du mal à croire. Dit l’homme.

Janice ne peut pas parler, son cerveau ayant du mal à gérer l’humiliation. Elle se contente de hocher la tête.

L’homme sort son portable et dit :

- Donc si je comprends bien, tu es devenue maintenant une pute et tu feras tout ce que je veux .

Janice hoche de nouveau la tête. Elle ne peut pas parler pour dire qu’elle est une esclave et une pute.

L’entraîneur fait le tout de son bureau, attrape le poignet de Janice et scanne le code barre. Il regarde l’écran et sourit :

- Tu es une salope très photogénique.

Janice se tait, elle a l’impression de vivre un cauchemar. Elle est debout et se balance d’un pied sur l’autre nerveusement.

- Il y a un problème Madame WILSON ? Le chat a mangé votre langue ? Ou plutôt votre chatte attrape les langues ? Demande-t-il en riant méchamment.

Puis il continue :

- Mais c’est aussi bien, je déteste les putes bavardes. Maintenant, déshabillez-vous que je vois ce que vous avez à offrir.

Les mains de Janice remontent instinctivement à son haut pour le déboutonner et le faire glisser de ses épaules sur le sol. La jupe suit rapidement. Elle se retrouve maintenant nue devant l’homme qui la détaille avec un sourire vicieux sur le visage.

Le corps de Janice tremble alors que l’homme la contourne. Il ne la touche pas, mais elle sent sa présence. Malgré son esprit qui déteste ce traitement, sa chatte s’humidifie à l’idée de ce qui peut arriver.

L’entraîneur se penche, ramasse les vêtements et retourne à son bureau. Il ouvre un tiroir, y dépose le haut et la jupe et referme. 

- Vous n’en aurez pas besoin pendant un bon moment. Vous ne pourrez pas vous rhabiller.

Il rigole alors que ses mots envoient des frissons dans la colonne vertébrale de Janice.

L’homme retourne vers celle-ci, tend la main et accroche un doigt dans l’anneau du collier. Puis il tire Janice dans le couloir.

- Allons nous amuser. Je pense que les vestiaires sont un bon point de départ. Dit-il.

Janice est impuissante. Elle ne peut pas s’enfuir, car elle n’a pas d’endroit où aller. D’ailleurs elle ne peut pas abandonner sa fille. Elle est nue avec des piercings, un collier au cou et brisée. Elle fait simplement ce qu’on lui dit de faire. C’est tout ce qui lui traverse l’esprit alors qu’elle entre dans le vestiaire des garçons.

L’homme la tire à l’intérieur. Elle gémit. L’odeur de sueur, de serviettes humides et de chaussettes sales empli l’air. Ça sent l’homme et la testostérone. Janice s’évanouit presque quand l’odeur la frappe. Elle a des hauts le cœur en pensant aux objets responsables de l’odeur. Mais sa peau picote de partout, comme si mille mains touchaient chaque centimètre carré de son corps. Elle ferme les yeux et essaie de se vider la tête.

L’entraîneur la pousse contre une rangée de casiers et lui dit :

- Écoute salope ! Aujourd’hui ton cul est à moi et je prévois d’en faire bon usage. Maintenant je vais te bander les yeux et te mettre des écouteurs. La seule chose que tu as besoin de savoir c’est que tu n’es qu’un jouet. Donc tu feras tout ce que je veux. Tu vas sucer tout ce qui se présentera devant le visage et tu te laisseras baiser par toutes bites.

Janice hoche la tête et murmure :

- Oui Monsieur.

Dès que l’homme lui a mis le bandeau et les écouteurs, Janice commence à devenir nerveuse. Elle ne peut rien entendre ni voir. Et elle est nue dans le vestiaire des garçons. Soudain l’entraîneur la tire entre les rangées de casiers et vers un couloir.

Janice sent une différence dans l’air. C’est plus dense, alors elle pense qu’elle est dans les douches. L’entraîneur cesse de tirer. Elle reste immobile pendant quelques secondes puis l’homme attrape ses poignets et les menotte derrière son dos. Janice gémit, car elle perd de plus en plus le contrôle. Elle se sent de plus en lus impuissante. Finalement son esprit succombe à l’inévitable et laisse son corps faire ce qu’il veut.

Janice gémit de nouveau quand une main touche son cul, puis une autre et une autre… Bientôt elle perd le compte des mains qui touchent son corps. Il n’y a plus de retour en arrière possible, car son corps est trop excité. Des vagues de sensation de plaisir l’envahissent. Elle sent des mains l’asseoir sur un banc. Ses jambes sont levées en l’air et écartées. Elle sent quelque chose s’enrouler autour de chacune de ses chevilles pour tenir ses jambes largement écartées. Janice est sur le point d’exploser de plaisir. Quand une langue lèche son sein droit, des picotements se forment à l’intérieur de son corps. Cette première langue est bientôt rejointe par une autre, doublant ainsi les sensations. Janice a le souffle court.

Quand une troisième langue effleure ses petites lèvres et passe légèrement sur sa fente de haut en bas, ses gémissements se transforment en petits cris. Elle se rapproche de plus en plus d’un orgasme intense.

Deux bouches lèchent ses mamelons avant de mordiller ses tétons, la langue sur ses petites lèvres attaque son clitoris. La salope prend le dessus sur la directrice adjointe.

Ça commence au plus profond d’elle et se propage à toutes ses extrémités, bloquant ses muscles et tout fonction corporelle. Le plaisir coule à travers son corps, vagues par vagues. Janice secoue la tête d’avant en arrière et tombe soudainement sur une bite dure comme du roc. Elle ouvre la bouche et l’avale avidement. En même temps une autre queue entre profondément dans sa chatte. Son corps est à peine remis de son premier orgasme qu’il explose à nouveau, la poussant plus profondément dans un vaste abîme d’extase.

Janice n’a aucune idée du temps qu’elle passe sur le banc. Les orgasmes ont vidé son esprit et elle ne se rend pas compte des queues qui passent. Elle se réveille dans le noir dans le bureau de l’entraîneur. Les lumières sont éteintes et elle n’a aucune idée de l’heure qu’il peut être. Elle n’est plus attachée, les écouteurs et le bandeau sur ses yeux ont disparu. Elle tend la main et allume une lumière. Elle voit alors ses vêtements posés sur le bureau.

Elle se lève et entrevoit son visage. Sa main touche sa poitrine couverte d’une substance blanche comme sa figure. Elle baisse les yeux et se rend compte que son corps est couvert de sperme. Elle passe ses mains de haut en bas sur son torse, son esprit dérivant sur les heures précédentes. Elle sourit peut-être pour la première fois depuis qu’elle est asservie. Son corps est satisfait.

Elle s’habille et sort de l’université. Elle est surprise de l’heure, il est encore tôt. Le soleil se couche alors qu’elle se dirige vers sa voiture pour rentrer chez elle.

Le voyage de retour se déroule sans incident. Les pensées de Janice sont multiples. Elle n’avait jamais été une personne portée sur le sexe. Même profiter de Jessie avait été un acte hors norme pour elle. Bien sûr elle avait toujours essayé de la dominer au travail, mais pas de façon sexuelle. Mais maintenant, après ces deux dernières semaines, son esprit et son corps ont subi de gros changements. La dégradation constante, l’humiliation et les stimulations sexuelles l’ont changée. Elle est constamment excitée et ses orgasmes sont fréquents et massifs. Le résultat est que Janice commence à en rêver, pas seulement de jouir, mais des humiliations, de la douleur et même de la soumission.

Lorsque qu’elle entre dans son allée, elle ne sait pas que dire à sa fille Christy. La dernière fois qu’elle l’a vue, elle était baisée rudement par un ouvrier. Comme elle n’a rien pu faire, elle prie pour que sa fille lui pardonne.

Lorsqu’elle entre dans la maison, elle est assaillie par Christy qui lui fait un gros câlin.

- Tu vas bien maman ? Lui demande-t-elle.

Janice est surprise par cet accueil. Elle s’attendait à trouver sa fille comateuse, allongée quelque part. Mais le visage de sa fille est rempli d’inquiétude. Ses yeux regardent ses piercings et elle inonde sa mère de questions :

- Je m’inquiétais pour toi ! Est-ce que tes piercings te font mal ? Et ton QR code a-t-il été scanné ? Par qui ? Et est-ce que je les connais ?

- Oh mon Dieu ! S’il te plaît Christy, ne me demande pas, c’est trop embarrassant. Répond Janice.

- Bon sang Maman ! J’ai passé la journée à me faire baiser par ces ouvriers qui travaillent chez nous. Je pense que j’ai gagné le droit de savoir ce qui peut m’arriver. Tu ne pourras pas toujours me protéger. Si nous voulons nous en sortir nous devons pouvoir nous parler. Rien ne nous en empêche, d’accord ? Dit Christy en regardant sa mère droit dans les yeux.

Janice voit l’affection dans les yeux de sa fille en entendant ses paroles. Une larme coule sur sa joue, elle ne s’est jamais sentie aussi proche d’une autre personne dans sa vie. Elles s’étreignent pendant près de dix minutes, jusqu’au moment où Janice recule et commence à raconter sa journée. Au moment où elle finit, elles ont bu deux bouteilles de vin et elles sont blotties par terre dans le salon. Aucune des deux n’a même pensé à s’asseoir sur des chaises. Leur soumission est enracinée.

Le lendemain matin, Janice est réveillée par Brenda qui frappe une casserole et une poêle ensemble. Elle force les esclaves à se précipiter pour se préparer, Christy pour les ouvriers et Janice pour aller à l’université.. En seulement quinze minute, la mère est prête et se précipite vers la porte et sa voiture. Sa jupe rayée moulante et son débardeur bleu marine la gardent couverte. Mais Janice glousse en se demandant pourquoi elle prend la peine de s’habiller. Il est six heures du matin et il n’y aura personne à l’université.

Elle entre par la porte principale. Il n’y a vraiment personne. Elle entre dans le bureau principal et se rend dans le bureau de M. JOHNSON. Sans hésiter elle se déshabille et s’agenouille sur le sol au milieu de la pièce. Elle sait qu’elle va devoir attendre presque une heure, mais elle ne voulait pas être en retard. Sa journée allait être assez dure sans qu’elle soit aggravée. 

Janice reste à genoux pendant presque une heure et demie. Plus elle attend, plus elle est nerveuse. Alors que l’heure du début des cours se rapproche, elle peut entendre des gens devant la porte. Elle prie que personne n’entre et ne la voit. Même si cela n’a probablement plus d’importance, car son histoire doit être connue dans toute l’université.

Finalement la porte s’ouvre et Mark JOHNSON entre en se pavanant. Il sourit à la salope agenouillée nue dans son bureau.

- Je vois que tu es à l’heure et en position de salope. Je pense que je vais aimer ce nouvel arrangement. Dit-il en attrapant une poignée de ses cheveux en passant et en la traînant jusqu’à son bureau.

- Dessous salope ! Je veux que ta bouche soit occupée pour mes premiers rendez-vous.

Janice s’exécute et s’agenouille sous le bureau. Elle regarde l’homme retirer son pantalon et son caleçon avant de s’asseoir. Puis il lui ordonne de travailler. Janice sait qu’elle devrait détester chaque seconde de cette humiliation, mais au lieu de ça, son corps est rougi d’excitation et sa chatte commence à mouiller. Elle sait que quiconque entrant dans le bureau pourra voir ses jambes couvertes de bas sous le meuble. Elle ouvre sa bouche et prend le sexe semi-flasque au fond de sa gorge. Elle tourne sa langue sur le gland et le long de la tige. Il ne faut pas longtemps avant que la queue soit bien raide. Janice est obligée de bouger sa tête de bas en haut dans des mouvements plus importants. Maintenant, le haut de sa tête peut être vu car il dépasse du meuble à chaque fois qu’elle monte en haut de la bite.

M. JOHNSON s’assure qu’elle soit bien occupée avant de pousser le bouton de l’interphone afin de demander à sa secrétaire d’envoyer le premier étudiant.

Quelques secondes plus tard, Robert WILLIAMS entre. Il commence à dire quelque chose, mais s’arrête quand il voit des jambes sous le bureau. Il se met à les fixer.

Immédiatement le directeur demande au garçon de lui expliquer les raisons pour lesquelles il a été envoyé dans son bureau. Le jeune garçon ne sait que répondre. Son cerveau est assombri par la vue du directeur se faisant sucer dans son bureau. A la fin de l’entrevue, Robert accepte des heures de retenue pour toute la semaine. La scène entière a été enregistrée par l’esprit de Janice. Elle voudrait détester ce moment, mais son corps et maintenant son esprit aime chaque seconde. Elle lève les yeux vers le directeur et sourit autour de sa queue. Puis elle l’enfonce dans sa gorge.

Les entrevues se déroulent pendant une heure environ. Chaque étudiant la regarde sucer la bite du Directeur, le menton couvert de salive. Enfin, elle sent le sexe se contacter et cracher sa semence dans sa gorge.

- Lève-toi salope et habille-toi ! Il est temps que tu rencontres ton nouveau superviseur. Il t’emmènera dans ton nouveau bureau. Souviens-toi que c’est ton patron et que tu devras lui obéir. Compris ? Ordonne M. JOHNSON.

Janice sort rapidement de dessous le bureau. Elle a les genoux douloureux de s’être agenouillée aussi longtemps. Au lieu de marcher, elle rampe jusqu’à ses vêtements et s’habille. Au moment où elle se remet debout et défroisse ses vêtements, on frappe à la porte derrière elle.

Janice jette un coup d’œil au directeur alors qu’il finit de boutonner son pantalon avant de crier :

- Entrez M. MONROE.

Janice se tenait au milieu de la pièce et fixait le sol. M. MONROE était le concierge de l’université. C’était un homme noir plus âgé que Janice qu’elle ne connaissait pas vraiment. En fait, elle ne l’avait rencontré qu’au début de la nouvelle année scolaire. Il était arrivé avec M. JOHNSON. Maintenant, elle se tient entre les deux hommes en regardant leurs entrejambes.

- Dick, je voulais que tu rencontres ta nouvelle charge. Tu connais Janice WILSON Non ? Demande M. JOHNSON.

- Oui je connais cette chienne. Elle m’a engueulé le premier jour de cours. Tout ça parce qu’un gamin a vomi son petit déjeuner et qu’elle a marché dedans. Le gamin était toujours en train de vomir et elle me criait dessus pour ne pas avoir encore nettoyée. Répond Dick MONROE.

- Bon et bien je suppose que tu pourras te venger. Chaque matin, quand elle en aura fini avec moi, elle se rendra au sous-sol. Ton travail va consister à la tenir disponible autant que possible. j’ai quelques idées et je veux que tu fasses quelques modifications. Nous devons collecter des fonds pour les équipes sportives.

- Bien sûr M. JOHNSON, je peux le faire. Laissez-moi l’installer et descendez au déjeuner, nous planifierons tout cela. Dit le concierge en tapotant le cul de Janice.

- Maintenant, juste pour te montrer à quel point elle est obéissante, regarde ça. Montre ta poitrine à ton nouveau patron ! Commande-t-il.

Janice baisse les bonnets de son haut et libère ses seins. Elle sait que ce n’est que le début.

Dick MONROE conduit Janice hors du bureau du directeur. Dans le couloir, elle marche lentement derrière le concierge noir en fixant le sol. Plusieurs étudiants ricanent en passant devant elle ainsi que plusieurs professeurs. Janice est rouge écarlate et son jus coule le long de ses jambes ; Ils atteignent le bout du couloir et descendent les escaliers. Au fond, l’homme ouvre une grande porte métallique et tire la femme honteuse dans la chaufferie. L’endroit est sombre et peu accueillant. Janice frissonne alors que son corps la picote en pensant à ce qui peut arriver. Le noir attrape l’anneau du collier de Janice, ouvre une autre porte et la pousse à l’intérieur.

Janice regarde autour d’elle la pièce peu meublée. Elle gémit, elle est maintenant isolée de toute l’université. Elle entend le concierge verrouiller la porte et elle se demande quand elle va être libérée.

Dick la pousse au milieu de la pièce et lui dit de rester immobile. Il la regarde de haut en bas en tournant autour d’elle. Il tend la main pour tripoter son cul et ses seins en passant.

- Vous n’êtes pas aussi fière et arrogante maintenant Madame WILSON ? Je ne sais pas ce qui vous est arrivée, mais je suis sûr que ce n’était pas agréable. Je vois que vous n’êtes pas rassurée ici, mais je crois que vous vous habituerez. Maintenant enlève tes vêtements que je te regarde de plus près. Ordonne-t-il.

Janice ne dit rien mais se déshabille pour se retrouver devant le noir nue et tremblante. L’homme pousse une caisse au milieu de la pièce et dit :

- Très bien ! Agenouille-toi sur la caisse. Ce n’est pas le piédestal auquel tu es sûrement habitué, mais c’est bien adapté à une salope.

Janice obéit et met ses mains derrière son dos comme elle a appris et elle attend que l’homme lui dise quoi faire. Elle regarde la pièce et voit qu’elle est encombrée de photos sur les murs et de magazines X sur une vieille table en bois. Derrière elle, il y a une petite plate-forme et sur le mur opposé une autre porte.

Le concierge noir inspecte à nouveau le corps de Janice, mais en prenant plus de temps pour la tripoter un peu de partout.

- J’aime tes piercings, mais j’aurais mis des anneaux plus gros sur tes mamelons. Ça peut être changé toutefois. J’aime particulièrement la cloche ? Je l’ai entendue quand nous marchions pour venir ici, mais je ne savais pas d’où ça venait. Il t’est difficile de te déplacer sans qu’on te remarque.

L’homme rit en jouant avec la petite cloche attachée à son clitoris. Il recule et croise les bras en souriant diaboliquement.

- Tu n’as aucune idée de ce qui va se passer salope ?

- Non Monsieur, je ne sais pas. Répond-elle.

- Mark JOHNSON et moi travaillons ensemble depuis plus de vingt ans et nous sommes de bons amis. Il m’a appelé ce matin sur le chemin du travail. Et à partir de maintenant, une fois qu’il en aura fini avec toi, tu devras me rejoindre dans cette pièce. Tu te déshabilleras et tu t’agenouilleras ici jusqu’à ce que je te dise autre chose. Maintenant, comme c’est ton premier jour en tant que salope de l’université, nous commencerons doucement avec toi. Je ne pense pas que la rumeur ait atteint tout le monde, mais ça arrivera. Bientôt du lundi au vendredi tu suceras et baiseras tout le monde que nous te dirons. Le reste de la semaine, c’est le personnel qui appréciera tes charmes. Et quand j’aurai modifié le placard dans le couloir, tu seras disponible pour toute l’université.

L’homme noir se tait et attend sa réaction.

Janice voudrait détester ce qui se passe, mais son corps et son esprit réagissent très différemment. Ses mamelons durcissent et sa chatte coule encore plus. Ses pensées imaginent déjà qui pourrait la baiser. Elle acquiesce et regarde l’homme se diriger vers un chevalet portable. Il l’installe et bientôt, elle est penchée dessus, les jambes et les bras attachés aux pieds du chevalet, le cul au niveau parfait pour se faire baiser.

Le concierge est sur le point de sortir sa bite quand on frappe à la porte. Il s’avance vers elle et l’ouvre pour voir le directeur.

- je croyais que tu ne venais qu’au déjeuner ? Dit Dick.

- C’était prévu, mais après la bonne pipe de ce matin, je ne pouvais plus attendre. Vous apprenez à vous connaître ? Demande Mark.

- J’étais sur le point de me présenter intimement. Veux-tu te joindre à nous ? Dit Dick en riant.

- Je suis là pour ça !

Bientôt les deux hommes sont nus et se partagent les orifices disponibles de la salope.

Pendant une vingtaine de minutes, les deux hommes pilonnent la bouche et la chatte de Janice, remplissant les deux trous de leur semence. Après une courte pause, ils reviennent et recommencent, cette fois-ci avec Mark à la bouche et Dick à la chatte. Quand ils ont fini, chacun a goûté aux trous de la salope.

Janice voulait juste endurer la séance sans rien dire, mais son corps avait d’autres idées. Il ne fallut qu’une minute après que les hommes aient commencé à cracher leur sperme pour qu’elle ait son premier orgasme, suivi de bien d’autres. Lorsque les deux hommes quittent la pièce, Janice est dans un état semi-comateux sur le chevaler, du foutre s’échappant de ses trous.

Alors que les deux hommes s’approchent du bureau du Directeur, Kévin GRABAS entre dans l’université. Il sourit à M. JOHNSON et M. MONROE et se rend compte qu’ils reviennent d’une visite avec son esclave.

- Je peux vous dire un mot M. JOHNSON ? Crie Kévin.

Le directeur s’arrête et demande :

- Bien sûr ! Que voulez-vous ?

- Eh bien, je me demandais si vous étiez satisfait de l’esclave qui est entrée dans votre bureau ce matin?Demande Kévin.

- Quelle esclave ? Répond Mark

- S’il vous plaît M. JOHNSON, ne m’insultez pas ! Je sais que Janice WILSON vous a rendu visite ce matin. Je sais aussi que vous avez téléchargé notre application. Maintenant, voulez-vous que l’on parle dans le couloir ou dans un endroit plus discret ? Demande Kévin d’un ton un peu plus sérieux.

- Allons à mon bureau et discutons de ça ! Répond le Directeur.

Les trois hommes entrent dans le bureau de Mark JOHNSON et s’assoient autour de la table de réunion. Pendant environ quarante-cinq minutes, ils discutent de l’avenir. Kévin précise qu’il est le Maître et propriétaire de Janice et Jessie, mais il en laisse la garde à M. JOHNSON pendant la journée. Il doit seulement faire attention à ne pas les marquer de façon permanente et toute chose autre que baiser et fessée normale ont besoin d’une approbation préalable. En retour, les deux hommes pourront profiter des deux esclaves jusqu’à la fin de l’année scolaire.

Au moment où ils finissent de parler, le sort des esclaves est scellé. Elles sont les salopes de l’université.

À suivre…