samedi 15 juillet 2023

La Descente aux Enfers de Jessie - Ch. 19

 Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.

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Cours à l'université et concours.

Jessie et Marcus essaient de dormir, mais c’est difficile avec le boulet et la chaîne attachés à leur plug. Ils s’endorment mais se réveillent avec un choc électrique à chaque fois qu’ils bougent. Les boulets sont lourds et glissants, ils pèsent près de dix kilos. Ils sont en acier inoxydable et polis avec un mince revêtement qui les rend glissant. Quand les esclaves essaient de porter les boulets ils glissent et Jessie et Marcus reçoivent des décharges électriques. L’enseignante réussit finalement à trouver un moyen pour empêcher son boulet de bouger. Elle a vraiment besoin de dormir, car la journée a été épuisante et demain sera pire.

Lorsque Brenda entre dans la chambre à six heures du matin le lendemain, les deux esclaves ne bougent pas et ne se réveillent pas. Ils sont dos à dos avec les boulets coincés entre eux deux. Prudemment, Brenda dégage les deux boules des corps endormis et les éloigne. Elle sort de la pièce et revient quelques instants après avec une bobine de corde. Elle s’approche des boulets et attache une extrémité de la corde aux deux chaînes des boules. Puis elle déroule la corde et se dirige vers la fenêtre qu’elle ouvre. Derrière il y a une grosse jardinière. Brenda pense qu’elle pèse au moins vingt-cinq kilos. Elle attache l’autre extrémité de la corde à cette jardinière. Et sadiquement, elle la fait tomber.

Brenda recule et observe pendant une seconde la corde se dérouler avant de tirer sur les boulets. Soudain les deux esclaves se réveillent en criant de douleur. Les boulets attachés à leur plug sont tirés vers la fenêtre.

Jessie et Marcus hurlent alors que la douleur explose dans leur cul. Ils essaient tous les deux de bouger pour arrêter cette douleur, mais chaque fois qu’ils s’approchent des boulets, la jardinière tire dessus et les éloigne. Jusqu’au moment où les boulets atteignent le mur. La jardinière n’est pas assez lourde pour les tirer par la fenêtre , mais ça n’a pas d’importance.

Brenda rit et crie :

- Réveillez-vous esclave, c’est un nouveau jour et il est temps de se lever. Maintenant, à quatre pattes et ramenez la jardinière. Oh, bien sûr, pas avec vos mains, utilisez seulement votre cul pour tirer.

Les deux esclaves obéissent. Ils rampent sur le sol. Faire glisser les boulets ne fait qu’augmenter la douleur causée par les chocs électriques. Plus ils tirent, plus ils ont mal. Finalement, la jardinière se retrouve au bord de la fenêtre. Brenda la remet à sa place. Jessie et Marcus s’effondrent sur le sol alors que leurs corps tentent de se remettre de ce réveil brutal.

Brenda aime torturer son ex-mari et sa salope de nouvelle femme. Elle rit en passant la porte et dit :

- Il est temps de te lever esclave, il faut aller à l’université.

Jessie réussit à détacher le boulet de la jardinière et elle se dirige vers la salle de bain. Ce n’est pas facile, mais elle réussit à prendre une douche et à faire pipi. Elle a aussi besoin de faire la grosse commission, mais à moins que sa Maîtresse ne déconnecte le plug avec la télécommande, elle doit attendre.

Après s’être séchée et s’être coiffée, Jessie descend les escaliers à quatre pattes en priant que Brenda enlève le boulet et la chaîne.

Jessie rampe jusqu’à sa Maîtresse et demande à lui parler. Brenda hoche la tête et l’enseignante demande rapidement : 

- S’il vous plaît Maîtresse, pouvez-vous retirer le boulet pour que je puisse m’habiller ?

Brenda sourit et s’agenouille derrière la femme et enlève la chaîne du plug. Jessie pousse un soupir de soulagement et remercie sa Maîtresse. Elle peut marcher plus facilement maintenant et elle remonte les escaliers pour s’habiller. Son corps est encore très douloureux. Ses mamelons et son clitoris sont en feu, et les zébrures de la punition de la veille lui font encore mal. Jessie choisit un haut très ample et une jupe courte. Sa chatte et ses seins sont trop douloureux pour porter des sous-vêtements. Elle se demande comment ses étudiants vont la traiter aujourd’hui et si elle peut négocier avec eux pour qu’ils ne disent rien. Jessie veut désespérément garder son travail, c’est la seule chose qui l’empêche de devenir folle.

Après être arrivé à l’université, Jessie entre dans sa classe et s’assoit à son bureau. Le plug est toujours enfoui dans son cul, Mais Jessie doit s’asseoir malgré la douleur. Elle est inquiète de la façon dont vont se dérouler ses cours aujourd’hui. Si elle n’arrive pas à négocier avec ses élèves, elle pourrait être renvoyée avant la fin de la journée.

Elle sursaute quand la cloche sonne pour indiquer aux étudiants de rejoindre leur classe. Elle se tient nerveusement à côté de son bureau tandis que les élèves remplissent la pièce.

 
Lorsque la cloche sonne le début des cours, Jessie se dirige vers la porte et la ferme. Elle revient en face des étudiants et commence à parler.

- Ce qui s’est passé hier n’était pas censé se produire. Les choses sont devenues incontrôlables et je ne peux pas…

Elle est interrompue par Susan :

- Tais-toi esclave ! Nous sommes aux commandes ! Et tu feras ce qu’on te dit ! Est-ce que nous nous comprenons ?

Jessie grimace en entendant la jeune fille, mais elle sait qu’elle n’a pas d’autres choix.

- Oui je comprends, mais s’il vous plaît, ça ne doit pas quitter cette pièce. Si je suis renvoyée ou si je vais en prison vous perdrez votre esclave. Supplie Jessie.

- Bon, eh bien tant que tu obéiras, nous garderons ce secret. Mais voyons si tu obéis. A poil ! Ordonne Susan.

Jessie grimace, mais tend la main et tire son haut par-dessus sa tête avant de le donner à la jeune fille. Elle se retrouve seins nus et le froid de la pièce fait durcir ses mamelons. Elle regarde ses élèves et ne voit que des regards lubriques posés sur elle. Elle soupire et baisse sa jupe le long de ses jambes. Elle est complètement nue dans sa salle de cours.

Susan regarde sa professeure nue et nerveuse. Elle sourit. Elle se demande jusqu’où elle peut pousser cette esclave. Ce que Susan ne sait pas, c’est que Jessie est déjà bien entraînée et que son conditionnement est si bien ancré en elle qu’elle fera tout ce qu’une personne dominante lui ordonnera de faire.

- Merde, il y a des changements depuis hier ! Regardez les piercings sur ses seins ! Crie le garçon s’appelant Jamal.

- Hé regardez ! Elle s’est même faite percer son clitoris et il y a une cloche attachée. Dit Tom.

Jessie grince des dents en entendant les commentaires. Son corps rougit d’humiliation.

- Je me demande si elle mouille ? Tom, pourquoi tu ne vérifierais pas ? Demande Susan.

Elle sourit alors que Tom tombe presque la tête sur le sol en voulant jouer avec la chatte de Mme GRABAS. Pendant ce temps, Jamal est debout près de la professeure et joue avec les piercings sur les tétons. Jessie grimace, les mamelons encore douloureux.

Susan montre le sol du doigt et ordonne :

- Mets-toi à quatre pattes ! C’est là ta place.

- S’il vous plaît, soyez gentils. Je n’ai mes piercings que depuis hier et je ne peux pas être baisée. Et le plug dans mon cul ne peut pas être enlevé sans télécommande. Supplie Jessie

- Bon, mais comment allons-nous nous amuser ? Tu n’as pas le droit de baiser, mais je suppose que nous pouvons jouer avec ton gros cul.

Susan regarde froidement Jessie. Elle veut que la classe entière s’amuse avec elle. Elle déteste Mme GRABAS pour l‘avoir faite expulser de l’équipe de cheerleader plus tôt cette année. Se venger est la pensée la plus importante pour le moment.

- Donc tu dis qu’on ne peut pas enlever le plug sans une télécommande ? Je veux voir ça, penche-toi sur le bureau salope !

Susan attrape le bras de sa professeure et la tourne face au bureau. Jessie gémit, en sachant ce qui va se passer quand ils essaieront d’enlever le plug. Susan pousse Jessie vers le bas et glisse sa main dans son dos. Elle demande à Jamal d’écarter les jambes de l’enseignante, pour pouvoir bien voir l’objet enfoncé profondément dans son cul.

Jamal rit alors que Susan commence à saisir le plug anal pour tirer dessus.

- S’il vous plaît, ne tirez pas dessus, il va se dilater et m’envoyer des chocs électriques. S’il vous plaît, je vous en supplie ne faites pas ça !

Le visage de Susan montre sa surprise. Mme GRABAS est une salope esclave et maintenant elle est aussi son esclave.

- Eh bien, qui ne voudrait pas voir un tel spectacle ? Je dois essayer.

Susan tire fortement sur le plug. Jessie pousse un long gémissement alors que ses jambes se plient aux genoux.

Toute la classe recule et se tait. Personne ne s’attendait à ce qu’ils ont vu. Susan repousse rapidement le plug en place et recule. Elle regarde Jessie lutter pour retrouver son calme. Ces quelques secondes donnent à Susan le temps de comprendre comment elle peut humilier sa professeure.

Jessie s’appuie sur le bureau en essayant de rester debout. Les chocs électriques étaient de plus en plus violents au fur et à mesure que Susan retirait le plug. Elle l’avait presque sorti et maintenant le bassin de Jessie la piquait. C’est comme si on lui enfonçait des milliers d’épingles sous la peau. Elle se tourne pour faire face à son étudiante et elle se fige en voyant tout le monde la bouche ouverte. Jessie ne comprend pas jusqu’à ce que Susan lui demande de se mettre à genoux. Elle baisse les yeux et réalise qu’elle a uriné Une petite flaque de pisse se trouve entre ses jambes. Susan sourit et dit :

- A quatre pattes et laisse tout le monde voir leur nouvelle professeure esclave. Maintenant, dis-moi ce que tu n’es pas autorisé à faire.

- Je ne suis pas autorisé à baiser ou sucer des bites à cause des piercings. Et je ne peux pas retirer le plug comme vous l’avez remarqué. On m’a également ordonné de dire à quiconque voulant m’utiliser qu’il ne devait pas me faire de marques supplémentaires. On a prévu quelque chose de spécial pour moi bientôt et je ne dois pas avoir de marques. 

- Qui dit que nous devons faire comme tu le dis esclave ? Que se passera-t-il si nous n’obéissons pas à ces règles ? Demande Susan.

- il y a quelques semaines j’aurais pensé la même chose. Mais mon Maître dit que tant que vous respectez les règles, vous aurez de nombreuses occasions de jouer avec moi. Par contre si vous ne les respectez pas, vous pourriez vous retrouver à genoux à côté de moi. Dit Jessie en regardant Susan.

A ce moment Jessie réalise que ce qu’elle dit est vrai. Elle ne doute plus des capacités de Maître X et Maître Kévin. Elle regarde fixement droit dans les yeux de Susan et voit un bref instant de peur, ou était-ce de l’excitation ? Jessie ne peut en être certaine. Toutefois elle sait qu’elle informera son Maître d’une cible potentielle.

La classe entière est silencieuse, tout le monde suit l’échange entre Susan et Mme GRABAS nue. Susan est la première à réagir.

- De toute façon, j’imagine beaucoup de choses que nous pouvons faire pour nous amuser. Tom, attrape sa tasse de café et amène-la ici. Toi salope rampe jusque ici !

Jessie obéit et rampe jusqu’à l’endroit que Susan pointe du doigt. Susan s’approche d’elle après avoir saisi la tasse. Elle baisse les yeux sur l’enseignante et lui dit :

- Salope, mets cette tasse entre tes seins. Comme tu ne peux pas sucer des bites, il n’y a rien qui t’empêche de branler les gars. Je veux que tu branles tous ceux qui se présenteront devant toi. Tu dois récupérer son sperme dans ta tasse. Oh, tu devras lécher tout ce qui tombe à côté. Tu ne dois pas faire de fellations mais rien ne t’empêche d’avaler du foutre.

Toute la classe se met à discuter alors que les douze garçons se mettent en ligne. Jessie est choquée, Mais ne peut que regarder. « Mon Dieu, je suis tombé bien bas. Je ne voulais pas que ça se passe comme ça. Je… Je… Je suis une esclave... » pense Jessie alors qu’elle attrape la première bite qui se présente devant elle.
 
Il ne faut pas longtemps avant que le premier garçon éjacule. Mais même s’il gicle rapidement, il le fait abondamment. Il lui faut trois jets de sperme avant que Jessie n’arrive à diriger sa bite vers la tasse. Elle gémit en se disant que ça ne va pas être facile.

Jessie branle bite après bite. Quand elle est presque à la fin, elle a pris le coup et ne rate plus la tasse. Sur les trois derniers gars, elle n’a raté qu’une seule giclée. Juste au moment où le dernier étudiant éjacule, il recule soudainement en tirant le bras de Jessie. La tasse bien gluante glisse des seins de l’enseignante et tombe sur le sol. La classe se met alors à crier :

- LECHE ! LECHE ! LECHE !

C’est à ce moment que Susan reprend les choses en main.

- Silence, calmez-vous, nous ne voulons pas que quelqu’un de l’extérieur interrompt notre fête. Dit-elle sur un ton de commandement à ses camarades de classe.

- Tu les as entendus esclave. A quatre pattes et nettoie tout ça. Je veux te voir tout avaler.

Susan regarde Jessie se pencher et commencer à lécher la tasse.

- Pas avec les mains salope, mets les derrière ton dos !

Jessie hoche la tête, met ses mains dans son dos et se penche pour nettoyer le sol avec sa langue. Elle ferme les yeux et essaie de se dire qu’elle est ailleurs. Mais Susan la surveille attentivement.

- Ouvre les yeux esclave ! Je veux que tu regardes tes élèves en léchant le sperme des garçons.

Jessie est au-delà de l’humiliation, mais le pire c’est qu’elle est tellement excitée qu’elle est sur le point de jouir. Elle sait que c’est en partie à cause des effets secondaires des médicaments qui lui sont administrés, mais ce n’est pas que ça. Au fond d’elle-même elle veut ça. Elle sait qu’elle peut être découverte à chaque moment. Elle peut être renvoyée ou jetée en prison et sa photo faire les unes de tous les journaux. Mais quand cette pensée lui traverse l’esprit, elle déclenche un orgasme massif. Son jus coule le long de ses jambes, son cul se resserre sur le plug, tandis que ses muscles se contractent. Jessie n’entend pas, mais la classe entière pousse un cri d’étonnement alors que leur professeure laisse sa tête tomber dans la flaque de sperme pendant que con corps tremble de plaisir.

Il faut bien dix minutes avant que Jessie reprenne le contrôle de son corps et finisse de lécher la flaque de sperme. Puis elle lève les yeux vers Susan et elle attend. La jeune fille sourit et dit :

- Esclave, tu as joui sans permission. J’ai bien peur de devoir te punir. A genoux, bras levés, les paumes de tes mains vers le haut.

Jessie se met en position et essaie de parler :

- S’il vous plaît Maîtresse, pas de marques…

- Pas de soucis salope. Je vais seulement fouetter tes mains et tes pieds. Personne ne le saura sauf toi ! Dit Joyeusement Susan.

La jeune fille fait tomber une règle droite sur les paumes levées de l’enseignante qui gémit , mais dit :

- Un, merci Maîtresse. Puis-je en avoir un autre ?

Susan glousse, elle ne s’attendait pas à entendre ça. Elle frappe de nouveau rapidement plusieurs fois avec Jessie qui compte à chaque fois. Quand Susan atteint les vingt coups, les mains de sa professeure sont rouges et gonflées. Susan lui dit alors de se retourner et de lever les pieds. Jessie pleure, mais n’hésite pas et obéit. Susan arrache les hauts talons et fait tomber la règle sur le pied droit.

Susan continue de fouetter les pieds de Jessie jusqu’à ce que ses bras lui fassent mal et qu’elle n’ait plus de force. Finalement elle baisse les yeux sur l’enseignante soumise et lui ordonne de remettre ses talons et d’aller au coin, les mains derrière la tête.

- Tu es une vilaine professeure. Tu es une salope et une esclave. Maintenant attends comme ça jusqu’à la fin du cours.


Jessie a du mal à se lever, ses pieds sont douloureux et enflés par les coups et les talons n’arrangent pas les choses. Lorsque la cloche sonne la fin du cours, Susan lui crie de l’autre côté de la pièce :

- Passez une bonne journée Mme GRABAS, je sais qu’elle n’est pas finie.

Jessie peut l’entendre rire alors qu’elle sort de la classe. L’enseignante court de l’autre côté de la pièce en cherchant désespérément ses vêtements. Le prochain cours doit commencer dans une minute. Hier, ce cours s’était bien passé, mais si les élèves arrivent et qu’elle est encore nue, elle sait qu’elle va devoir encore subir.

Heureusement ses vêtements sont rassemblés sur le dossier d’une chaise. Jessie les enfile rapidement juste avant que le premier étudiant franchisse la porte. Jessie essaie d’avoir l’air normal, mais son corps tremble toujours. Elle se dirige vers son bureau et attrape quelques mouchoirs pour se nettoyer le visage. Elle n’a pas le temps d’aller aux toilettes pour se laver un minimum.

Jessie est surprise que le reste de la journée se passe bien. Elle a bien dû répondre quelques fois à des questions très personnelles, et une classe l’a faite enseigner complètement nue. Mais dans l’ensemble, elle s’en tire pas trop mal. A la fin de la journée de cours, Jessie se dit que c’était une bonne journée.

Lorsqu’elle arrive à la maison, elle se déshabille et laisse ses vêtements près de la porte. Puis elle tombe à genoux et rampe jusque dans le salon. Elle y voit Maîtresse Brenda et Janice. La première est assise sur le canapé et la deuxième a le visage enfoui dans sa chatte. Jessie s’arrête et attend des instructions.

- Je suis contente que tu sois là. Nous avons des choses à faire avec vous deux. J’ai mis deux tenues sur le lit. Vous les prenez et vous devez toutes les deux vous rendre au magasin en bas de la rue près de l’université. Chacune de vous achètera une boite de préservatifs et vous reviendrez ici. Je vous expliquerai ensuite ce que vous allez faire. Allez vous habiller ! Commande Brenda.

Janice se lève et Jessie la suit alors qu’elle se dirige vers la chambre à coucher pour s’habiller. La robe de Jessie est noire et moulante, elle couvre à peine son cul. Son décolleté dégagé s’étend presque jusqu’au bas de sa poitrine et la robe a des fentes de chaque côté et au bas du dos. Ses mamelons sont visibles entre les fentes. Et les rayures de fouet sur son corps sont facilement visibles.

La robe de Janice, si on peut l’appeler ainsi, n’est rien de plus qu’un morceau de tissu de couleur crème avec un gros losange découpé au milieu. Janice la glisse par-dessus sa tête et essaie de couvrir son corps. Les pointes du losange se prolongent sur le devant jusqu’en dessous de son nombril à l’avant et jusqu’à son cul à l’arrière. Les côtés sont maintenus ensemble avec seulement un seul bouton de chaque côté. Tout mouvement brusque et son corps sera exposé à la vue. Avec des hauts talons, elles finissent leur look de salope.

Les deux esclaves se dirigent vers la voiture de Jessie et reculent dans l’allée. Toutes les deux sont plongées dans leurs pensées. Jessie est déjà conditionnée et elle ne craint pas cette tâche. Ce n’est rien, être prostituée et baiser homme après homme est bien pire. De plus, la plupart de ses étudiants savent déjà qu’elle est une esclave.

Janice, quant à elle, est nouvelle dans l’esclavage. Elle a commencé il y a un jour environ, et jusqu’à présent, la plupart des choses qu’elle a été obligée de faire se sont passés en privé. Et maintenant elle doit aller dans un magasin près de l’université. Elle est morte de peur. De plus elle connaît bien ce magasin, elle y va presque tous les jours. Elle connaît la plupart des personnes qui y travaillent. Ils ont presque tous été des étudiants de l’université. La robe qu’elle porte la fait se sentir plus nue que si elle ne portait rien. De plus elle est avec sa rivale de toujours. Et toutes les deux ressemblent à des putes. Pour aggraver les choses, elles doivent acheter une boite de préservatifs. Une larme coule sur sa joue. Elle regarde Jessie et se sent soudain un peu désolée pour elle. Elle ne savait pas ce qui lui arrivait quand elle l’avait surprise à l’université en train de montrer ses seins. Janice souhaite presque de ne pas avoir profité de la situation. Si elle l’avait ignoré, elle se serait pas à côté d’elle sur le point de ruiner sa propre vie.

Après s’être garé sur un parking, Jessie se tourne vers Janice et dit :

- Écoute, je suis désolé que tu sois mêlée à tout ça ? J’ai fait une erreur et j’ai ruiné ma vie et celle de ma famille. Je ne m’attendais pas que ça en arrive là.

Des larmes coulent sur ses joues alors qu’elle parle. Janice regarde sa rivale et réalise que Jessie dit vrai. Elle sourit, glisse une main sur sa joue pour essuyer une larme.

- Je suis désolé aussi. J’aurais dû te faire virer et tu aurais été vendue à un cheikh bien loin d’ici. Je ne t’aurais plus vu. Crache Janice.

Jessie regarde sa rivale et repousse sa main.

- Eh bien, va te faire foutre salope !

Elles sortent de la voiture. Aucune des deux femmes ne parle alors que Jessie suit Janice dans le magasin.

Une fois à l’intérieur, Janice se fige sur le pas-de-porte. Jason se tient derrière le comptoir. Il a obtenu son diplôme il y a seulement un an et il a encore deux frères et une sœur à l’université. Janice ne peut plus bouger alors que son corps rougit jusqu’aux orteils.

Jessie n’a pas le même problème. Elle dépasse la vice-principale humiliée et avance jusqu’au comptoir. Elle est humiliée elle aussi et elle déteste chaque instant. Mais son corps n’est pas seulement embarrassé, il est aussi en grande partie excité. Elle regarde Jason dans les yeux puis descend vers son entrejambe. Elle sourit alors que le garçon touche sa bite pour essayer de la replacer pendant qu’elle durcit en ayant vu les deux professeures entrer dans le magasin.

Jessie essaie de garder son sang-froid et demande tranquillement :

- Bonjour Jason, j’ai besoin d’une boite de préservatifs, où puis-je les trouver ?

- Bonjour Mme GRABAS, ils sont derrière le comptoir. Avez-vous une préférence ? Demande le garçon alors que ses yeux s’égarent sur le corps presque nu de Jessie.

- Je ne sais pas, Vous avez une suggestion ? Dit-elle un peu gênée.

- Eh bien nous en avons des lubrifiés, des non lubrifiés, des nervurés et des lisses, avec et sans spermicide, et bien sûr, petit, moyen, grand et extra-large. Nous avons même des XXL, mais pas autant de choix dans cette taille. Dit Jason en souriant de voir Mme GRABAS mal à l’aise.

Jessie ne sait pas que choisir alors elle demande :

- Je veux une boite de grand nervurés, s’il te plaît !

- Pas de problème !

Il sort une boite de 25 et la pose sur le comptoir. Jessie regarde autour d’elle et ses genoux ont presque cédé sous elle . Il doit y avoir quatre ou cinq étudiants qui fixent bouche bée les deux professeures. Jessie paie rapidement les préservatifs et se dirige vers la sortie. Elle passe devant Janice et lui chuchote :

- Je te laisse une minute avant que je parte en voiture.

Janice ne veut pas repartir à pied. Alors elle s’approche rapidement du comptoir et marmonne :

- je voudrais aussi une boite Jason !

Janice ne peut même pas regarder le garçon en face. Elle fixe le comptoir en priant pour que ça se termine. Lorsque Jason lui remet la boite de préservatifs, elle jette de l’argent sur le comptoir et court vers la porte, sa robe flottant dans la brise et montrant son cul et sa chatte. Elle se jette dans la voiture de Jessie et regarde le sol. Son esprit est confus face à ce qui lui arrive. Elle n’a jamais été aussi humiliée de sa vie, mais sa chatte dégouline.

Le retour à la maison se passe en silence. Aucune des deux esclaves ne parle, toutes les eux étant dans une intense réflexion. Janice pris pour que la journée soit terminée. Jessie se demande comment sa Maîtresse va leur faire utiliser les préservatifs.

Dès qu’elles passent la porte d’entrée, Brenda les appelle dans le salon.

- Ça vous a pris du temps salopes ! Et je dis bien salopes. Ce soir vous allez prouver toutes les deux à quel point vous êtes des grosses salopes. Maître Kévin et moi avons décidé que nous voulions vous faire faire un concours. La perdante aura son code activé, et dans ton cas Janice, celui de Christy. Vous avez trois heures pour remplir autant de préservatifs que possible et revenir ici. La gagnante aura le plaisir d’être baisée pendant trois heures tandis que l’autre aura l’honneur d’être la première à être activée sur notre application en ligne « QR BABE » ? j’ai hâte de voir le résultat.

Brenda adore ça. Non seulement elle peut humilier les esclaves, mais le bonus est que l’une d’elle va se transformer en pute.

Jessie court pratiquement pour sortir de la maison. Pour une fois, elle est convaincue qu’elle va gagner. Elle sait exactement où elle peut trouver beaucoup de bites. Elle saute dans sa voiture et se dirige de l’autre côté de la ville. Jessie prend le dernier virage et voit Buck debout devant le « No Tell motel ». Elle se gare dans le parking et reste assise pendant quelques secondes. Elle tremble. La dernière fois qu’elle est venue ici, elle y était forcée par Maître John. Aujourd’hui elle y est de son plein gré, c’est bien pire. Elle se déteste, car son corps est déjà très excité. Sa chatte fuit. Jessie sort de sa voiture et arrange sa robe. Elle se dirige vers Buck avec autant de confiance qu’elle peut rassembler.

- Eh bien ! Regarde qui vient, n’est-ce pas une belle vue pour les yeux ! Alors salope, je croyais que tu ne voulais plus revenir ? Demande Buck

- Bonjour Buck, oui, mais j’ai besoin de ton aide. Dit Jessie d’une voix un peu tremblante.

- Oh tu as besoin de moi maintenant ! Et que veux-tu de moi, salope ?

- Je… J’ai besoin de remplir quelques préservatifs. Et je n’ai que quelques heures pour le faire. Puis-je avoir ma vieille chambre ? Chuchote Jessie.

- Non salope, elle est déjà utilisée. Je ne peux pas laisser une chambre vide. Tu as été remplacée. Je suppose que tu vas devoir trouver un autre coin pour vendre ta marchandise. Rit Buck.

Il sait qu’elle n’a nulle part où aller. Il veut la soumettre et briser sa volonté. Le visage de Jessie passe de l’embarras à la panique.

- S’il te plaît Buck, aide-moi ! N’y a-t-il pas un endroit où je peux travailler ? Où on peut me baiser ? S’il te plaît ? Supplie l’enseignante.

- Eh bien j’ai peut-être une solution. Ce n’est pas une chambre, mais ça pourra aller. Mais tu dois accepter de faire exactement ce que je dis. Commande l’homme.

- Oui oui je vais le faire, s’il te plaît, que dois-je faire ?

Jessie est désespérée et fera tout ce qu’il dit. La dernière chose qu’elle veut, c’est que son QR code soit activé. Elle vient de sortir de la prostitution et ne veut pas y retourner.

- D’accord, suis-moi salope !

Buck se lève et va derrière le motel louche. Jessie le suit presque comme s’il la tenait en laisse. Quand ils tournent au coin, Jessie se fige. Elle voit en face d’elle un chariot en métal gris délabré. Il y a quatre barres soudées sur les côtés avec une barre s’étirant entre deux.

- Qu’est*ce que c’est que ça Buck ? Que dois-je en faire ? Demande Jessie.

- Je vais te montrer salope. Enlève cette robe sexy et couche-toi sur le chariot. Je vais m’occuper de tout.

Jessie est prise au piège et elle n’a pas de plan B. C’est le chariot ou elle perd le concours. Ses épaules s’affaissent et elle tire la robe par-dessus sa tête.

Buck sourit et s’approche d’elle. Il sort une boule de sa poche et la fourre dans sa bouche. Ensuite il prend un mouchoir noir et sale et l’attache autour de sa bouche pour tenir la boule.

- Maintenant, allonge-toi et tire tes jambes en arrière ! Commande Buck.

Jessie obéit et regarde en silence l’homme qui l’attache sur le chariot. Il ne faut que quelques minutes avant qu’elle se retrouve impuissante et exposée sur le chariot. Buck se penche et dit :

- Je vais t’emmener et ensuite je laisserai les gars venir. Je garde l’argent, tu gardes les préservatifs. Je te laisserai partir dans une heure et demie. Maintenant, sois une bonne fille et détends-toi.

Buck pousse le chariot derrière le vieux motel. Il sourit de voir Jessie impuissante. Il peut voir dans son regard qu’elle déteste chaque minute. Il avait entendu qu’elle avait supplié de faire n’importe quoi pour ne pas revenir dans la rue. Et aujourd’hui elle est de retour en suppliant de se faire baiser. Il sait ce qu’il se passe et il sait qu’elle va finir par être dans une rue quelque part.

Buck arrête le chariot et verrouille les roues. Il sort son téléphone et passe quelques coups de fils. Jessie voit alors un premier homme arriver. Il tend à Buck de l’argent, enfile un préservatif et fourre sa queue dans la chatte de l’enseignante.

Celle-ci grogne quand la queue est enfouie en elle, mais son corps a déjà réagi à la façon dont elle a été attachée. Sa chatte est mouillée et prête à être baisée.

L’homme la pilonne pendant près de cinq minutes avant de gicler sa semence dans le préservatif enfoui dans son sexe. Il reste comme ça une minute avant de se retirer. Il regarde Jessie en enlevant le préservatif rempli avant de lui jeter dessus. Elle aurait voulu lui dire de le nouer, mais un autre homme prend sa place.  L’attention de Jessie est tout de suite attirée. L’homme est un grand noir. Il baisse son pantalon et sort sa queue. Jessie gémit, car l’engin fait au moins vingt centimètres de long et est presque aussi épais que son poignet.

Toute pensée au sujet des préservatifs à remplir est oubliée. Jessie a besoin de jouir. Toute la journée ses élèves l’ont humiliée et dominée. L’achat au magasin n’a fait que renforcer son excitation. Elle sent de la salive s’écouler de son bâillon. Le noir caresse sa queue qui commence à grossir. Plus il caresse, plus ça grossit. Dressé, le membre doit bien faire vingt-cinq centimètres de long. Jessie ferme les yeux et attend qu’il remplisse sa chatte endolorie.

L’homme fait glisser son gourdin de haut en bas sur les petites lèvres de la femme. A chaque fois il bute contre son clitoris et fait sonner la cloche. A chaque fois elle grogne et essaie d’avancer ses hanches vers lui, du jus s’échappant de sa chatte. L’homme attend jusqu’à ce qu’il sache qu’elle n’en peut plus et il pousse sa bite profondément dans son ventre.

Jessie crie sous la bâillon alors qu’un énorme orgasme explose dans tous son corps jusqu’au bout de ses terminaisons nerveuses. Sa chatte se resserre comme un étau sur la bite alors que son cœur accélère. L’homme recule et pousse de nouveau en avant. Cette fois il met plus de poids dans le geste. Les yeux de Jessie s’écarquillent alors que le gros sexe heurte son col. Elle essaie de reprendre le contrôle de son corps, mais l’homme la martèle et pousse le plaisir de l’orgasme encore plus loin. Jessie ne se rend même pas compte de quand il s’arrête et se retire d’elle. Elle est presque inconsciente. Lorsque finalement elle reprend ses esprits, un autre homme baise sa chatte. Elle regarde autour d’elle et voit plusieurs préservatifs utilisés couvrant son corps.

Elle voit par-dessus son épaule droite Buck prendre de l’argent d’un autre homme. Sa main tient un gros paquet de billets. Jessie ferme les yeux et s’enfuit dans un autre monde.

 *****

Janice regarde Jessie sortir en trombe dès que Maîtresse Brenda a fini de dicter ses instructions. Elle est perdue. Elle n’a aucune idée d’où elle peut aller pour remplir les préservatifs. Il y a à peine quelques jours elle était directrice adjointe à l’université. Et maintenant, elle doit faire remplir plus de préservatifs que Jessie pour empêcher que sa fille ne devienne une pute en ligne. Janice tombe à genoux et pleure hystériquement.

Brenda regarde la femme brisée sangloter à genoux. Elle sait que l’idée est de faire activer un « QR code » pour gagner de l’argent. Mais si Brenda pouvait choisir, elle déciderait que ce serait celui de Jessie. Elle lui a volé Marcus et la transformer en putain ferait la joie de Brenda. Elle s’agenouille à côté de Janice  et dit :

- Tu as pris du retard ! Tu dois te bouger si tu veux gagner.

Janice lève les yeux vers elle et répond :

- Je ne sais pas quoi faire ni où aller. Je n’ai jamais rien fait de tel auparavant. S’il vous plaît Maîtresse, que dois-je faire ?

Brenda saisit la main de Janice et la tire sur ses pieds.

- Lève-toi esclave, je vais t’aider pour cette fois. Je déteste l’autre salope de toute façon. Mais tu dois faire tout ce que je te dis. Si tu le fais, tu pourras peut-être gagner le concours.

Janice essaie rapidement de sécher ses larmes et dit :

- Oh mon Dieu oui, s’il vous plaît Maîtresse. Et je ferai tout ce que vous me direz. Je ne veux pas que ma fille soit transformée en pute. Merci Maîtresse, merci.

Brenda se retient de rire de l’esclave suppliante qui se tient devant elle. Elle sait que ce qu’on lui demande est complètement irréalisable pour elle. Mais on sait jamais, les gens vous surprennent de temps en temps. Brenda sort de la maison et se rend à sa voiture. Janice la suit, la tête baissée. Il lui semble que chaque jour est plus humiliant que le précédent.

Une fois dans la voiture, Brenda décide d’augmenter l’humiliation de l’esclave. Elle dit :

- Esclave, soulève ta robe et écarte les jambes.

Elle attend que Janice obéisse et elle ajoute :

- Maintenant joue avec ta chatte salope ! Je veux qu’elle dégouline quand nous arriverons. Et n’ose pas jouir !

Janice sait qu’elle doit faire tout ce qu’on lui dit si elle veut avoir une chance de sauver sa fille. Elle remonte le bas de sa robe jusqu’à la taille et glisse sa main vers sa chatte. Lorsque ses doigts effleurent son clitoris, elle inspire profondément alors qu’un frisson d’excitation remonte le long de sa colonne vertébrale. Elle n’a jamais été comme ça dans le passé. Sa vie sexuelle était normale avant qu’elle commence à dominer Jessie. Maintenant elle est piégée et asservie. Il lui semble que tout ce qu’elle fait envoie des sensations directement dans sa chatte. En quelques secondes elle se trouve au bord de l’orgasme.

Janice n’a aucune idée de l’endroit où l’emmène sa Maîtresse. Ses yeux sont ouverts, mais elle ne voit rien. Quand enfin la voiture s’arrête, elle regarde autour d’elle et elle grogne.
 
L’enseigne juste en face d’elle clignote et les couleurs vives des néons indique « Sex shop ». Janice a entendu parler de cet endroit, c’était aux nouvelles il y a quelques semaines. Les propriétaires ont été arrêtés pour relations sexuelles illégales entre les danseuses et les clients. Janice se tourne vers Maîtresse Brenda et murmure :

- S’il vous plaît Maîtresse, ne pouvons-nous aller ailleurs ?

- Bien sûr que oui. Mais si tu veux empêcher ta fille de devenir une pute, c’est le seul endroit où tu peux gagner. Ta copine esclave a déjà connu des proxénètes dans la rue et en ce moment elle doit être en train de remplir des préservatifs. Mais nous pouvons ne pas entrer là, c’est ton choix.

Brenda sourit diaboliquement et attend que Janice se résigne. Elle la regarde attentivement et elle la voit accepter son sort en ouvrant la portière et en sortant de la voiture.

Brenda conduit l’esclave vaincue à l’intérieur du magasin pour adultes. Une fois à l’intérieur elle s’arrête et se tourne vers Janice.

- Bon salope, il y a quelque chose que tu dois savoir. Tu es ici comme mon esclave et je n’accepterai rien de moins que la perfection de ta part. Tu feras tout ce qu’on te dira. Si je te vois hésiter ou refuser de faire quoi que ce soit, je jetterai tous les préservatifs que tu as et tu rentreras à pied. C’est compris ?

Janice a le souffle coupé et ses mains couvrent sa bouche. Elle est sous le choc, mais arrive à acquiescer avec la tête.

Elle regarde sa Maîtresse se retourner, avancer dans un couloir et pénétrer dans ce qui semble être un hall. Dès qu’elles entrent, un homme noir élégamment vêtu s’approche de Brenda les bras écartés pour lui faire un câlin. Janice remarque le grand sourire sur le visage de sa Maîtresse alors que les deux s’étreignent et s’embrassent sur les joues.

- Brenda, à quoi dois-je le bonheur de ta visite ? Et qui est la belle salope derrière toi ? Demande Big Tony.

- Je suis contente de te voir aussi. C’est Janice WILSON, elle est la directrice adjointe de l’université. Elle est aussi mon esclave. Répond Brenda.

Janice ne peut pas être plus humiliée qu’à ce moment. La dernière chose qu’elle voulait c’était que son identité soit révélée. Elle baisse la tête de honte.

Big Tony regarde la femme recroquevillée et rigole :

- Alors esclave, pourquoi es-tu ici ? Tu cherches du plaisir avec mes filles ? Ou tu veux participer ?

Il adore quand une salope désespérée entre dans son établissement pour trouver de l’argent ou de la drogue, ou les deux. Il s’en fiche tant qu’elles font plaisir à ses clients.

Janice regarde sa Maîtresse et prie pour qu’elle explique à Big Tony. Mais quand elle la voit hocher la tête, elle comprend qu’elle doit parler. Sa gorge est sèche, sa langue colle au palais. Elle regarde le sol et répond doucement.

- Cette esclave doit travailler.

- Est-ce tout esclave ? Ou y a-t-il autre chose dont tu as besoin ? Glousse l’homme noir.

- S’il vous plaît Monsieur, je dois remplir le plus de préservatifs possible pour mon Maître et ma Maîtresse. S’il vous plaît Monsieur, pouvez-vous m’aider ?

Janice commence à pleurer alors que l’humiliation l’envahit et enveloppe son corps comme un nuage sombre. Elle vient de demander à cet étrange homme de l’aider à vendre son corps. Son esprit est dans la tourmente et la seule pensée qui lui reste est de protéger sa fille.

Alors que son esprit se démène pour faire face à la situation, son corps est en feu. Ses cuisses sont mouillées et ses mamelons sont durs comme du roc. Ces sensations troublent encore plus son esprit.

Big Tony éclate de rire et dit haut et fort :

- Tu es au bon endroit pour remplir des préservatifs. Il y a plus de sperme ici que partout ailleurs en ville.

Il tend la main et caresse la joue de Janice. Il relève son menton et regarde l’esclave effrayée dans les yeux.

- Bien sûr, il y aura des frais.

- Des… Des frais… Bégaie Janice.

Sa voix vacille, elle a l’impression de s’enfoncer dans les abîmes.

- On n’a rien de gratuit chérie, bien sûr qu’il y a des frais. Tout ce que tu as à faire c’est ce que je te dis. Et tu auras tout ce que tu désires. Tu vas travailler dans l’un des stands en direct ? Je pense que deux représentations devraient être assez. Dit le noir.

Janice n’a aucune idée de ce qu’il veut. Elle n’est jamais venue dans un établissement comme celui-ci. Elle se contente de hocher la tête et de suivre l’homme le long du couloir jusqu’à une autre pièce étroite et longue. A gauche de la porte par où ils sont entrés, il y a un homme, nu de la taille aux pieds, debout sur une petite plate-forme, son sexe dépassant dans un trou dans le mur. Sur la plate-forme est gravé en lettres vertes « GLORY HOLE ». Janice regarde la longue pièce et s’aperçoit qu’il y a quatre autres plates-formes similaires. Sur certaines elle voit dans de plus gros trous des culs de femme qui sortent. Leur chatte et leur cul sont clairement accessibles. Janice est choquée, ses genoux tremblent et elle tombe sur le sol. Elle peut entendre Big Tony discuter avec Brenda, mais son cerveau s’est figée et elle ne comprend pas un mot.

Janice s’agenouille et attend qu’on lui dise quoi faire. Sa formation d’esclave commence à faire effet. Elle n’a aucune idée de combien de temps elle reste agenouillée, mais quand elle lève les yeux Maîtresse Brenda est partie et Big Tony la remet sur pieds. Elle suit docilement l’homme dans un autre couloir jusqu’à un vestiaire.

- Bon esclave, mets ça et nous allons te mettre au travail. Dit le noir en fouillant dans un placard de vêtements.

Il en sort une minuscule jupe écossaise rouge et un haut rose fluorescent. Janice laisse tomber sa robe et enfile la tenue. Quand elle a fini, Big Tony lui jette une paire de bas ainsi que de hauts talons. Dès qu’elle a fini de s’habiller, l’homme la tire vers une porte qu’il ouvre. Puis il la pousse dans une pièce sombre. Elle se tourne vers lui, les yeux remplis de panique et elle commence à parler :

- Qu… que dois-je…

Mais big Tony l’interrompt :

- Commence simplement à danser et faire un strip-tease lorsque la fenêtre s’ouvre. Plus tu danseras de façon sexy, plus tu obtiendras de partenaires plus tard quand tu seras dans la salle de jeu. Ici, c’est juste pour susciter leur intérêt. Je sais que plus ils sont excités de t’avoir, plus ils jouissent rapidement. Il faut faire monter le chiffre d’affaires chérie. Plus vite ils paient, plus vite tu rempliras tes préservatifs. Danse maintenant !

Big Tony ferme la porte et la verrouille. Janice se retrouve dans une petite pièce sur une plate-forme ronde. Devant elle, il y a trois fenêtres couvertes de panneaux. Elle ne bouge pas, essayant de contrôler sa peur. Il ne se passe que quelques secondes avant que le panneau couvrant la fenêtre du milieu se lève et qu’un homme regarde. En même temps, une musique démarre et Janice essaie de danser. Elle ne doit pas être très bonne, car le panneau chute et ne s’ouvre plus. Janice reste immobile pendant une seconde avant qu’une voix sorte des hauts-parleurs. C’est Big Tony qui crie :

- Esclave, si tu veux remplir ces putains de préservatifs, tu ferais mieux d’y mettre plus d’efforts. PAS DE CLIENTS, PAS DE PRÉSERVATIFS, ALORS DANSE !

Janice grogne, mais un panneau se lève à nouveau. Elle se met rapidement à danser. Elle caresse son corps en pinçant ses seins et en balançant ses hanches.

Elle continue à tourner sur la plate-forme et descend sa jupe sur ses jambes. Elle continue de danser et d’exposer lentement son corps. Elle entend les jetons alimenter la fenêtre alors elle ôte son haut en se détournant de l’homme et en le faisant glisser de ses épaules.

Maintenant les trois fenêtres sont ouvertes alors que Janice continue de se déshabiller jusqu’à ce qu’elle soit nue. Elle peut voir les regards lubriques des hommes alors elle pince ses mamelons. Au moment où le troisième morceau de musique se termine, elle est nue, à genoux et elle baise sa chatte avec deux doigts. A mesure que les chansons passent, Janice fait des choses de plus en plus perverses avec son corps. Son esprit déteste chaque seconde alors que ses mains semblent s’animer toutes seules. A la fin de la sixième musique, Janice est à genoux, le cul et la chatte pointés vers les fenêtres. Son visage est sur le sol et son cul haut en l’air. Une main écarte ses fesses avec deux doigts insérés dans son anus tandis que les doigts de l’autre main caressent son clitoris. Janice est dans son propre monde. Son corps est aux commandes et la conduit à un orgasme massif. Quand il la frappe et secoue son corps, sa chatte gicle de son jus partout le long de ses jambes et sur le sol. Janice s’effondre sur la plate-forme. Son corps tremble alors que l’orgasme lui envoie des vagues de plaisir.

Janice ne sait pas combien de temps elle reste vautrée dans son jus. Elle n’est que vaguement consciente que quelqu’un entre dans la pièce et la tire dans une autre pièce. L’homme pousse sa tête dans un trou sur le mur puis il passe derrière elle pour enfoncer sa bite dans sa chatte. Janice crie, mais bien vite elle doit se taire, car une queue remplit sa bouche.

Elle n’a pas le temps de rassembler ses pensées avant qu’un nouvel orgasme éclate au plus profond d’elle. Il est encore plus puissant que le dernier. Ses jambes commencent à fléchir, mais les queues des hommes la maintiennent en place. Le monde de Janice est bientôt centré sur sa chatte, sa bouche et le flot sans fin de bites qui remplissent ses orifices. Elle n’a aucune notion du temps. Elle ne passe que d’un orgasme à un autre. Lorsque sa chatte est enfin vide, elle glisse sur le sol, épuisée. Janice ne sait même pas comment elle est retournée à la voiture et elle remarque à peine son retour à la maison de Jessie.

Maîtresse Brenda traîne l’esclave presque comateuse dans la maison de Marcus et Jessie. Janice commence tout juste à reprendre ses esprits. Le voyage au sex-shop a été traumatisant. Son esprit est dégoûté de ce qui s’est passé, mais son corps ne s’est jamais senti aussi satisfait. Elle ressent toujours les effets des orgasmes intenses. Le résultat de ces émotions conflictuelles la laisse complètement impuissante à résister. Elle reste à l’intérieur de la maison, près de la porte, en attendant qu’on lui dise ce qu’elle doit faire.

Brenda est ravie de ce qui s’est passé. L’esprit de la vice-principale est brisée et il ne reste qu’une salope soumise.

- Monte à l’étage et nettoie-toi esclave. Tu as cinq minutes pour revenir.

Janice hoche la tête et monte lentement les escaliers. Sa chatte est toujours béante des multiples queues qui l’ont baisée rudement. Ses mâchoires lui font mal à cause de la dizaine ou plus de fellations qu’elle a faites. Elle entre dans la salle de bain et lave soigneusement sa chatte dégoulinante ainsi que son visage. Elle sait qu’elle n’a pas beaucoup de temps, mais elle s’accroupit sur les toilettes et soulage sa vessie. Juste avant de sortir elle se regarde dans le miroir. Fini la directrice adjointe fière et sévère, a sa place se trouve une salope d’esclave. L’esprit de Janice est dégoûté par le changement, mais son corps palpite d’excitation.

Janice redescend l’escalier et entre dans le salon. La première qu’elle voit c’est Jessie, debout à côté de Maîtresse Brenda, l’air confiante. Janice a un mauvais pressentiment. Elle a échoué à protéger sa fille.

Janice remarque alors Marcus agenouillé sur le côté. Il tient dans ses mains deux sacs de préservatifs usagés. Les deux semblent similaires et Janice prie pour que le sien soit plus gros.

Maîtresse Brenda prend rapidement les choses en main et ordonne à Marcus d’ouvrir le premier sac et de compter les préservatifs utilisés. Les trois femmes regardent le visage rayonnant de l’homme à ses instructions. Il ouvre le premier sac et en verse le contenu sur une table é côté d’un fauteuil. Il ramasse un par un les préservatifs et les replace dans le sac, léchant ses doigts à chaque fois.

- Vingt-six Maîtresse ! Annonce-t-il.

- A qui était ce sac lopette ? Demande Brenda.

- C’était le sac de l’esclave Janice Maîtresse. Répond-il, la salive à la bouche.

Les drogues ainsi que son entraînement lui ont donné envie d’avaler le contenu gluant de chaque préservatif.

- Compte l’autre sac maintenant lopette !

Marcus pousse le premier sac sur le côté et attrape le sac de Jessie. Il compte lentement chaque préservatif usagé et il annonce enfin :

- Dix-neuf Maîtresse !

Brenda rit presque de joie envoyant la défaite sur le visage de Jessie. Elle jette un coup d’œil à Janice et sur le visage de l’esclave s’étale un grand sourire.

- C’est officiel. L’esclave Janice gagne. Jessie montre-moi ton poignet ! Dit Brenda en tendant la main.

Jessie est perdue, comment Janice a-t-elle pu la vaincre ? Elle a été baisée par dix-neuf hommes derrière le motel miteux. Il n’y a pas moyen de faire plus.

- Maîtresse, comment a-t-elle pu me battre. J’ai été baisée pendant deux heures et demie. Ma chatte était constamment remplie. Il n’y a aucun moyen qu’elle ait pu faire plus. Plaide Jessie.

- Écoute salope, je n’ai pas de compte à te rendre. Mais pour que tu saches, elle a eu deux hommes à la fois quasiment tout le temps, une queue dans sa bouche, une autre dans sa chatte ou son cul. Et malheureusement tu n’avais qu’un trou disponible si j’ai bien compris. Donc tu as perdu. Montre-moi ton code immédiatement que je l’active !

Brenda attrape la main de Jessie  et scanne son code. Son téléphone bipe et c’est fait.

Janice est ravie de sa victoire. Elle a réussi à empêcher que l’on prostitue le corps de sa fille avec l’application. Elle se lève et attend d’être renvoyée.

Maîtresse Brenda dit à Jessie d’aller au garage et de l’attendre, puis elle se tourne vers Janice, sourit et dit :

- Tu devrais être à genoux pour me remercier esclave. Sans moi, ta précieuse Christy serait devenue une vraie pute.

Janice tombe rapidement à genoux et commence à lécher les chaussures de sa Maîtresse, la remerciant encore et encore.

- Bon, je suis déçue d’avoir dû te dire de me remercier. Alors je veux que tu ramènes ton sac de préservatifs à la maison et que Christy les boivent tous sans en perdre une goutte.

Brenda regarde la réaction de Janice et elle n’est pas déçue. La femme lève les yeux vers elle et se met à pleurer à chaudes larmes, son esprit envahi par l’idée de nourrir sa fille avec le foutre qu’elle a gagné.

- S’il vous plaît Maîtresse, laissez-moi nettoyer les préservatifs. S’il vous plaît, ne me faites pas faire ça. Supplie Janice.

- Esclave stupide ! Ta fille a besoin de savoir ce que tu as fait pour sauver son cul. Maintenant sors d’ici et rentre chez toi ! Aboie Brenda.

Janice se lève lentement et attrape son sac de préservatifs bien remplis et sort. Son esprit est en surcharge alors que son corps est excité.

Brenda tourne son attention sur Marcus qui fixe toujours les préservatifs de Jessie qui jonchent la table. Elle s’agenouille à côté de l’esclave lopette et lui chuchote à l’oreille :

- Tu veux lécher et nettoyer tous ces préservatifs n’est-ce pas esclave ?

Marcus salive d’envie, son esprit est obsédé par les préservatifs et le sperme à l’intérieur. L’envie se lit sur son visage. Il lève les yeux vers son ex-femme et maintenant Maîtresse et il murmure :

- S’il vous plaît Maîtresse, puis-je les avoir ? J’ai besoin de les lécher. S’il vous plaît Maîtresse, que puis-je  faire pour ça ?

- Oui esclave tu peux les avoir. Et oui tu devras faire quelque chose pour avoir reçu cette récompense. Mais on verra ça plus tard. Maintenant, nettoie tous ça et disparaît de ma vue.

Marcus attrape rapidement les préservatifs usagés remplis de foutre et les met dans sa bouche. Il les suce un par un, savourant le goût unique du foutre.

Brenda regarde son mari s’avilir à nettoyer les préservatifs. Elle est impressionnée de voir jusqu’où l’homme si sexy autrefois est tombé. Il est nu à genoux en manque de sperme.

Brenda sort de la pièce et se dirige vers le garage. Jessie est au milieu, l’air vaincu. Brenda s’approche d’elle et dit :

- Tu dois être punie pour avoir remis en question les résultats. Je ne peux pas te battre pour ne pas te marquer, mais je peux m’amuser. Lève les bras salope !

Jessie frissonne au ton méchant de la voix de sa Maîtresse, mais elle obéit rapidement. Ce qu’elle n’a pas remarqué ce sont les chaînes attachées à une corde qui pend du chevron principal. Maîtresse Brenda menotte rapidement l’enseignante et tire sur la corde pour qu’elle tienne juste sur le bout des orteils.

- C’est mieux, j’aime les esclaves impuissantes.

Jessie est suspendue par ses poignets, ses orteils touchant à peine le sol en béton. Des larmes coulent sur ses joues tandis que sa Maîtresse se dirige vers l’établi et saisit un long objet. Avec un poignet noir et un bout rouge il s’agit d’un aiguillon électrique. Jessie essaie de garder son calme mais le regard de sa Maîtresse lui fait peur.

Brenda contourne l’esclave sans défense tout en la réprimandant de ne pas avoir remporté le concours et d’avoir contesté le résultat. C’est quand Jessie sent que l’aiguillon touche son cul qu’un choc électrique traverse son corps. Elle pousse un cri perçant alors que le choc la tétanise. Brenda fait le tour de l’esclave pendue en parlant. Après chaque déclaration elle touche une autre partie du corps maintenant en sueur de l’esclave.

- Tu as perdu. Tu es une pute et tu n’arrives pas à gagner un concoure contre une femme au foyer !

ZAP !

- Tu ne vaux rien. Tu es juste une salope !

ZAP !

- Qu’est-ce que mon ex-mari a pu voir en toi, je ne sais pas !

ZAP !

- Tu a causé la perte de ta famille juste pour ton plaisir.

ZAP ! ZAP !

- Maintenant ta fille et ton mari sont des esclaves sexuels et c’est de ta faute !

ZAP ! ZAP ! ZAP !

Brenda n’arrête pas de toucher Jessie avec l’aiguillon électrique. Et chaque contact s’approche de plus en plus de ses parties intimes. Maintenant l’enseignante ne tient plus que par les poignets. Ses jambes ont flanché, car l’électricité a sapé ses forces. Quand Jessie pense qu’elle va enfin s’évanouir, l’aiguillon touche ses petites lèvres. Cette fois, elle hurle alors que la douleur et l’électricité monte jusqu’au cœur.

Elle essaie de se débattre et bouge dans tous les sens pour éviter les décharges douloureuses. Brenda jouit de chaque seconde  et se concentre maintenant sur la chatte, le cul et les seins de Jessie. Chaque fois, elle laisse l’aiguillon un peu plus longtemps sur son corps. Lorsque finalement Jessie s’évanouit, Brenda la détache et la laisse allongée sur le béton du garage, puis elle retourne dans la maison.

A suivre...

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