Récit de Elko
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Gang-bang pour Florence.
Florence émergea d'un sommeil bien agitée. Elle avait mal dormi hantée par des cauchemars. Elle se rappela de la veille où Brahim et ses complices l'avait baisée comme une chienne dans quasiment toutes les pièces de son pavillon.
Elle commença à ressentir une douce chaleur dans son bas-ventre. Sa main descendit vers son mont de vénus. Elle souleva sa nuisette quasi transparente et commença à se masturber pensant au paroles de Brahim : Qu'ils allaient revenir, l'emmener en balade. Qu'est ce que cela signifiait ? Où comptait ils l'emmener ?
Madame Duval-Cochet avait peur. Peur mais aussi excitée, elle devait bien le reconnaître. Hier pendant que ces quatre jeunes la défonçaient comme jamais elle l'avais été, elle ne pouvait nier qu'elle avait eu trois orgasmes. Elle avait aimé être malmenée. Et ça la rendait honteuse. Elle la bonne épouse, bonne mère de famille, bourgeoise respectable, elle s'était comportée comme la dernière des chiennes.
Ses doigts s'activent brutalement sur son clitoris, elle se branle vigoureusement. Florence enfonce son index et son majeur dans sa fente dégoulinante en gémissant. Elle ne tarda pas à jouir en poussant un petit cri.
Florence reçut un texto de Brahim lui annonçant son arrivée. Angoissée, madame se regarde dans le miroir de sa chambre ; Elle s'est habillée selon les instructions de son tourmenteur. Sexy et bourgeoise.
Elle porte une jupe noir qui s'arrête largement au dessus du genoux laissant apparaître des jambes gainées de bas résilles. Les talons de ses escarpins noir vernis sont fin et élégant. Brahim a exigé qu'elle mette un porte-jarretelles. Elle enfila un fin blouson de cuir à même la peau et elle descendit au salon.
Les talons claquèrent sur le marbre du salon quand Florence alla ouvrir la porte, rouge de honte. Juste avant, elle a reçu un sms lui ordonnant d'aller ouvrir la jupe troussée. C'est donc en porte-jarretelles que madame ouvre la porte de son pavillon. Brahim ricana en la voyant, il entra lui flattant la croupe d'une main possessive. Une jeune fille de l'âge de Brahim entra. Elle était très belle. La jeune black la regarda avec un regard dur.
- Florence, je te présente Fatou. Bon c'est Fatoumata mais tout le monde l'appelle Fatou.
- Pour toi ca sera maitresse ! lança la jeune fille.
Comme Florence ne répondait pas, Fatou s'avança vers elle, elle l'empoigna par les cheveux et la contraignit à se mettre à genoux sur le sol. Madame poussa un couinement. Fatou lui donna une claque.
- Tu peux toujours protestée, j'ai vu les vidéos. On t'entends bien crier quand tu prends ton pied, sale bourge. Viens ici !
Fatou traversa le salon en tenant Florence par les cheveux, celle-ci trottinant derrière elle. Brahim s'est installé dans le canapé.
- Suce le, chienne ! Cria Fatou.
Terrorisée par cette fille qui semble être pire que les garçons, Florence d'une main tremblante dégagea le sexe de Brahim et plongea sa tête dessus l'avalant entièrement. Fatou appuya sur sa nuque pour qu'elle l'avale jusqu'à la garde lui provoquant un haut le cœur. Fatou plongea ses doigts dans la fente de Florence et les fit coulisser arrachant à la respectable bourgeoise un cri étouffé.
Brahim savourait la fellation de Florence. Madame lui suce le gland avec de petits coups de langue, replongeant dessus, lui léchant les couilles. Fatou continue de la masturber avec science. Lui pinçant le clitoris. Florence s'arrêta de sucer Brahim pour pousser un cri qui se répercuta dans le salon.
Brahim ne tarda pas à jouir. Il éjacula dans la bouche de Florence qui fut contrainte d'avaler le foutre du jeune homme. Elle déglutit avec peine en faisant une grimace de dégout.
La Mercedes Classe S roulait en direction du centre-ville de Nantes. Au volant, Brahim tout content de piloter une Mercedes pour la première fois de sa vie. A l'arrière, les gémissements de Florence emplissent l'habitacle. Depuis leur départ du pavillon, Fatou n'arrête pas de masturber Florence. Elle s'amuse à l'emmener au bord de la jouissance et à s'arrêter juste avant laissant madame Duval-Cochet frustrée et dans un état d'excitation intense. Le blouson de cuir est ouvert sur un soutien-gorge noir dont les balconnets sont baissées et Fatou triture les gros seins de Florence tirant sur les pointes, lui mordillant les tétons.
La Mercedes se gara sur un parking. Florence descendit exhibant ses cuisses. Fatou l'a autorisée à baisser sa jupe au grand soulagement de madame. Ils remontèrent une rue pas très fréquenté. Florence blêmit sous son maquillage en découvrant la boutique ou se rendait Brahim et Fatou. Un sex-shop.
Ils entrèrent. C'était la première fois que Florence mettait les pied dans un endroit pareil. Brahim salua le patron du sex-shop. Un jeune, la trentaine.
- Salut Mohamed.
- Salut Brahim, t'amène du beau monde, dis-moi.
- Je te présente Florence, c'est ma chienne.
Florence accusa le coup d'être traitée de chienne devant un parfait inconnu. Elle se sentit rougir jusqu'à la racine des cheveux. Fatou faufila sa main dans l'échancrure du blouson et lui pinça le téton d'un sein lui arrachant une grimace.
- Dis bonjour au monsieur !
- Bonjour monsieur balbutia Florence.
Brahim et Fatou entrainèrent Florence dans les rayons du sex-shop. Plusieurs clients dans le sex-shop, des hommes seuls qui sont stupéfait de voir une femme surtout aussi distinguée dans ce lieu sordide. Des DVD partout traitant de divers déviations. Gang-Bang, BDSM, Partouze... Des bandes dessinées, des livres. Brahim se dirigea vers le rayon qui l'intéressait. Les sex-toys.
Sournoise et voyant que les clients matent les jambes de Florence, Fatou baissa largement la fermeture Eclair du blouson exhibant les seins de Florence difficilement contenue dans le soutien-gorge. Elle ordonna à Florence de remonter un peu sa jupe dévoilant l'attache du porte-jarretelles qui retenait les bas résilles pour le plus grand plaisir des clients qui ne pensait pouvoir voir cette scène que dans un film porno.
Brahim et Fatou choisirent des godes de différentes tailles ainsi que des vibromasseurs. Fatou choisit pour elle un gode-ceinture en regardant Florence droit dans les yeux qui se sentit devenir blanche. Mais aussi un martinet et une paire de menottes. Florence s'inquiéta encore plus quand Brahim y ajouta un bâillon-boule.
Notre respectable bourgeoise protesta quand Fatou l'entraina vers une cabine d'essayage afin qu'elle enfile une robe en latex rouge laissant les seins apparent. Fatou rentra avec elle dans la cabine en profitant pour la doigter pendant qu'elle se déshabillait. Elle ressortit perchée sur ses talons aiguilles, la courte robe en latex la moulant de façon indécente. Laissant apparaître le porte-jarretelles et ses seins.
Les clients s'agglutinèrent comme un seul homme autour de la bourgeoise soudain très inquiète. Le gérant du magasin alla fermer son établissement.
- Allons messieurs, pour ceux qui veulent goûter à cette bourge des beaux quartiers, faut payer !
Florence suffoquée d'entendre que Brahim allait la prostituer serait bien partie en courant mais elle était cernée par cette meute de mâles en furie complétement excité par la scène qu'ils voyaient.
Fatou avait troussé la robe en latex et elle la doigtais sans ménagements arrachant des plaintes à madame Duval-Cochet. Très vite, certains clients sortirent leurs portefeuilles. Après avoir déboursé quelques euros, ils se jetèrent sur leur proie. Et l'orgie commença...
Accroupie, Florence se battait contre quatre bites qui voulaient absolument rentrer dans sa bouche. Elle suffoquait pompant une queue en suçant une autre. Des mains palpent ses seins sans retenue. On enfonce une bite dans sa bouche la tenant par les cheveux la faisant coulisser rapidement et l'enfonçant jusqu'au bout.
Elle fut soudain relevée et courbée en avant suçant toujours un sexe. Des mains s'accrochèrent à ses hanches et un client la pénétra. Florence poussa un cri. L'homme la pilonne comme un fou pendant qu'elle suce des bites à la chaine. Son rimmel a coulé, elle bave en pompant deux bites qu'elle branle de ses doigts manucurées. Le client éjacula sur ses fesses et un autre le remplaça.
Brahim fait un film avec son portable. Florence à quatre pattes au milieu du sex-shop se fait défoncer par un black. La mère de famille dont le corps est secouée violement ouvre la bouche sur un cri muet. Le black sortit une queue impressionnante et la pointa en direction de l'anus de Florence qui poussa un cri.
- Non! Pas ca s'il vous pl....AAAAHHHHH
Le hurlement de Florence retentit dans le sex-shop. Sans aucune pitié, le Black venait d'enculer madame. Celle ci ahanait sous les coups de pines du Black qui élargissait son trou du cul. Pour l'empêcher de hurler, Mohamed le patron, lui enfonça sa bite dans la bouche...
Cela dura une bonne partie de l'après-midi. Florence fut baisée par les clients du sex-shop qui acceptèrent de payer pour pouvoir posséder cette belle bourgeoise mature. Ils éjaculèrent libérant des torrents de sperme sur les seins et sur le visage de la malheureuse qui se retrouve badigeonnée de foutre.
Florence, extenuée, titubante sur ses talons aiguilles, dut rejoindre la Mercedes toujours vêtue de sa robe en latex choquant les passants de la ville de Nantes.
David envoya un texto à sa mère pour lui demander si il pouvait passer la voir. Il reçut un sms lui disant qu'elle était occupée. Cela étonna David dont la maman ne refusait jamais de le voir...
Brahim avec un sourire ironique posa le portable de Florence. Il faut dire que celle ci aurait été bien incapable de répondre. La bouche obstruée par le bâillon-boule, toujours vêtue de la robe en latex tirebouchonnée autour de la taille et de ses bas résilles. Florence gémissait sous les coups de fouet que lui assenaient Fatou.
Madame Duval-Cochet, debout sur ses talons aiguilles, les mains attachées par les menottes à la table basse du salon, subissait depuis qu'ils étaient rentrés du sex-shop les pires humiliations. Fatou avait insisté pour tester tout de suite le matériel acheté par Florence.
La jeune black arrêta de martyriser le cul devenu tout rouge de la bourgeoise. Elle pointa le gland du gode-ceinture qu'elle portait autour de la taille et l'enfonça dans le cul de Florence qui grogna. Elle entama un va et vient en la tenant aux hanches. Pas en reste, Brahim posa le vibromasseur sur le clitoris de Florence qui ne tarda pas à pousser des hurlements de jouissances dans tout le pavillon...
A suivre...
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