Récit d'Aznalune.
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Seconde expérience.
Ce récit est authentique dans son contenu, bien que je n’arrive pas toujours à restituer l’atmosphère du moment. Il n’y a jamais de situation « sale », tout est assumé par chacun des protagonistes tous très liés.
Je vous raconte comment j’amène peu à peu ma femme Jo à l’état de soumise sexuelle, sa première vraie expérience de soumission avec mon ami C, qui est un collaborateur assidu et plein d’initiatives dans ma tâche de dressage lui a particulièrement plu.
Jo, c’est 1,70 m et 59 kg de sensualité, des cheveux châtains-roux mi-longs, deux beaux seins de 90B, fermes et agressifs avec deux tétons comme des fraises, une chatte avec des petites lèvres très développées et une belle paire de fesses rondes et fermes.
Jo est toujours très réceptive et soumise à mes demandes, on sent bien cependant que, bien qu’elle adore jouir sous toutes les caresses, de la cravache ou de la langue, il faut qu’elle se sente forcée, qu’on lui impose son plaisir ; elle n’ose rien. Son éducation en internat chez les sœurs y est vraiment pour quelque chose (à 19 ans elle ne connaissait même pas son clito…).
L’épouse de C étant partie quelques jours chez ses parents, il m’a demandé de venir l’aider pour faire de la tapisserie dans une chambre dont il veut faire une salle de «torture », quand les enfants ne sont pas là. L’équipement artisanal (mais démontable) qu’il a déjà réalisé n’est pas mal :
- Une croix de St André, avec moult fixations en cuir,
- Un pilori fabriqué à partir d’un joug de bœuf.
Pendant notre pause de midi, nous nous mettons d’accord pour tendre un petit traquenard à Jo, lorsqu’elle viendra me chercher ce soir ; elle doit évoluer, plus loin dans le plaisir. Cette deuxième expérience doit continuer à la débloquer. Il est donc convenu, que pendant l’apéritif post chantier du soir, je m’absente pour une urgence au boulot (je suis responsable d’un site d’essais). Les deux enfants de C, eux, doivent partir passer la nuit chez leur copain à 20h00. Je programme donc mon portable pour qu’il sonne à 19h45, Jo devant venir me chercher à 18h30. J’irai me mettre à l’affût dans la penderie de la « salle de torture », pour voir comment se comporte ma petite femme.
Nous terminons de nettoyer notre chantier lorsque Jo s’annonce au portail, elle est un peu en retard, mais bon.
Nous prenons quelques verres de Ricard, grignotons quelques amuse-gueules quand mon portable sonne ; je décroche et je vais dans le couloir pour répondre à mon interlocuteur.
- J’ai un gros problème sur une turbine, il faut absolument que j’y aille tout de suite, sans attendre ! Annoncé-je, j’en ai pour vingt ou trente minutes, il faut réinitialiser le banc et il faut être trois !
Je dis à Jo :
- Je ne peux pas te ramener d’abord a la maison, et tu ne peux pas entrer sur le site ; tu m’attends là, tu t’occupes des enfants si besoin et je te reprends au retour.
Sur ce, je pars par le porte d’entrée, monte en voiture et la gare cent mètres plus loin, je reviens doucement par le sous-sol et je vais m’installer à mon poste de guet. Ça rigole bien dans le salon, les enfants racontent leur journée pendant que C remplit les verres et que Jo boit, en confiance avec les enfants à côté d’elle.
Pendant la discussion, ils parlent de nos travaux et C propose à Jo de lui monter l’avancement de notre labeur ; il conduit ainsi Jo sur le chantier où la croix de St André et le pilori sont montés, les deux enfants s’étant scotchés à leur Xbox et leur jeu de fps.
Elle est un peu surprise et demande à quoi sert le joug transformé, ce qu’elle n’a jamais vu. C lui explique malicieusement qu’au Moyen Âge on punissait ainsi les adultères sur la place publique, et lui propose de la mettre en scène pour qu’elle voie ce que pouvaient ressentir les coupables. C pousse la porte de la chambre, ouvre donc ce carcan et Jo toute enjouée y glisse la tête est les poignets. Bien enserrée dans cette belle pièce de bois aux bords polis et garnis de feutre rouge, le buste à l’horizontal et les fesses bien relevées elle semble réfléchir à ce que pouvaient ressentir ceux qui étaient châtiés ainsi quand le carillon de la porte d’entrée fait entendre son « ding-dong ».
C sort, ferme prestement la porte de la chambre et va ouvrir la porte où se sont déjà précipités les deux enfants, sacs de nuit à la main, car ils attendaient leur taxi pour partir chez leur copain.
Les enfants partis C reviens sur le chantier ou Jo attend, de plus en plus anxieuse.
-Jo : « tu peux me libérer maintenant ! »
-C : « je ne pense pas, tu dois d’abord être bien gentille »
Sur ces paroles, il passe derrière elle, lui relève la jupe sur le dos et caresse doucement ses jambes et ses fesses.
-Jo : « arrête, tu n’a pas le droit !»
-C : « tu oublies que tu es notre esclave ! »
-Jo : « non, que quand M est là ! »
-C : « c’est ce qu’on va voir ! »
C lui descend alors le slip sur les chevilles, puis lui enlève en soulevant un pied après l’autre. Dans le placard, je commence à avoir la tension qui monte et la queuequi se dresse, un pur bonheur d’attente.
C s’approche de Jo et lui met un bandeau sur les yeux, qu’elle essaie en vain de faire tomber puis lui passe doucement de nouveau la main sur les fesses ; Jo se cambre en serrant les lèvres de colère. C prend alors sur la table une règle plate de dessinateur et lui en donne un coup sur les deux fesses en même temps, le claquement de fusil et le cri de Jo ne font qu’un et résonnent dans la pièce presque vide de meubles.
-C : « alors, encore des refus ? »
Jo ne répond pas, alors, méthodiquement, avec régularité, C lui corrige les fesses, l’une après l’autre, jusqu’à ce que son postérieur soit d’un beau rose vif. Jo est crispée, lèvres serrées, elle ne dit pas un mot.
C s’approche de nouveau et lui caresse de nouveau doucement les fesses en feu, Il lui glisse bientôt un doigt dans la chatte, qu’il découvre inondée.
-C : « petite salope, tu mouilles comme un ruisseau, ne viens pas dire que tu n’aimes pas çà ! »
Jo ouvre les lèvres et un gémissement sors de sa bouche :
- « salaud, tu profites que je sois seule, je me vengerai ! »
-C : « alors il faut vraiment que je te corrige, je vais faire souffrir ton petit cul»
Reprenant la règle plate, C administre une longue correction aux deux sœurs jumelles, qui passent du rose vif au rouge écarlate, ce faisant il vérifie que la petite chatte coule toujours et c’est bien le cas ; il prend alors un plug en verre qu’il avait en poche, le lubrifie et le présente aux portes de l’anus pour une exploration profonde. Jo, cette fois, laisse échapper un véritable rugissement, autant de surprise que de plaisir. C reprend sa règle et cette fois claque chaque fesse, une après l’autre en demandant :
-« tu aimes ? »
Pas de réponse ; nouveau coup :
-« tu aimes ? »
Et ainsi de suite pendant deux bonnes minutes.
-« tu aimes ? »
Jo dans un hurlement, gémissante et bavant, la chatte coulant véritablement sur le tapis :
- « ouiiiiiiii, j’aime, je jouis, encoreeee »
-C : « répète ! »
Jo, presque en délire :
- « oui j’aime ça, je veux encore être battue, je veux avoir mal, fais-moi mal »
Moi dans mon placard, j’ai sorti mon membre gonflé à mort, mais je ne veux pas jouir maintenant, il y a encore du spectacle à venir.
C lui met un collier clouté avec laisse et reprend la correction et cette fois on entend Jo gémir distinctement après chaque coup :
-Jo : « plus fort », un coup, « plus fort », un coup « plus fort » jusqu’à ce que son derrière tout entier vire au rouge écarlate et c’est en soufflant sa jouissance qu’elle hurle « ouiiiiiiiiiiiiiiiii , je jouis, je jouis ».
C sort pendant quelques minutes, ce qui permet à Jo de reprendre ses esprits, et revient avec dans une main une poignée de pinces à linge en métal inox et dans l’autre ce que je pense être des orties toutes fraîches, vraisemblablement issues de son jardin.
Sans faire de bruit, C s’approche de Jo, lui fait écarter les jambes, il se met à genoux et attrape une de ses grandes lèvres et la tire, lentement mais fermement vers le bas, Jo gémit en soupirant de plaisir ; puis il met une pince métallique sur cette lèvre et y accroche un fil de fer qu’il laisse pendre, attrape la seconde lèvre et lui fait subir le même sort. Il prend ensuite les deux fils de fer et y accroche une tête d’un marteau démanché qu’il fait se balancer. Jo commence à gémir tout doucement en sentant sa chatte ainsi étirée par ce poids.
-C : « comment te sens-tu, esclave ? »
-Jo, après un silence : « serrée, pincée, tirée, j’adore, je sens mon jus qui coule sur mes cuisses »
Comme le balancement du marteau s’arrête, Jo demande à C de le refaire balancer, plus
fort.
-C : « non, balance toi-même, fais-moi voir comment tu peux te faire jouir seule »
Sur le coup Jo ne semble pas comprendre, puis elle commence à faire bouger son bassin d’avant en arrière et se rend compte que ses mouvements font danser le marteau et s’étirer ses lèvres dans tous les sens. Bientôt elle se met à gémir, comme un râle lancinant, en soufflant « je jouis, je jouis, c’est bon, comme je suis salope, comme j’aime sentir ma chatte souffrir », et relance sans arrêt le balancier.
C prends alors la poignée d’orties qu’il a ramené, passe derrière Jo et lui frotte chaque fesse, Jo se cambre comme elle peut en criant, qu’elle a mal, qu’elle brûle. C en profite pour détacher les pinces à linge de ses grandes lèvres.
Jo continue à gémir, mais maintenant elle réclame plus de feu qu’elle « sent courir sur son cul… », C prend une poignée d’orties et lui passe sur les fesses, l’intérieur des cuisses et le ventre, puis il en prend deux ou trois feuilles et les glisse sur les petites lèvres, entre les grandes, qu’il maintient fermées avec deux pinces à linge.
Alors là, Jo se met à hurler sous le feu sur son corps, elle essaie vainement de se libérer et de faire tomber les orties de sa chatte. C lui caresse maintenant tout le corps, ce qui semble apaiser Jo, qui ne crie plus, mais gémit. Il libère sa chatte des orties, lui passe une lingette humide et entreprend de la caresser.
Comme je suis placé, je vois ses petites lèvres toutes gonflées et bien rouges et un fin filet de mouille qui lui descend le long des cuisses. Peu à peu Jo semble se calmer, mais elle réclame :
-« fais moi jouir, j’en peu plus, branle moi fort »
C continue ses caresses en insistant sur son clitoris et bientôt Jo se cambre en hurlant son plaisir
-« oui, ouiiiiii , je jouis, je jouis, encore, encooore, plus fort !»
C : « alors esclave, tu as encore envie ?, de quoi tu as envie ? »
Jo : « Jouir encore, je veux jouir encore »
Je sors discrètement du placard et je vais dans le couloir, la porte légèrement entre-ouverte et je prends mon portable… Le tél de Jo sonne dans la poche de sa veste, C le prend, lui dit que c’est moi qui appelle et lui colle l’appareil contre l’oreille. Son autre main est plaquée sur sa chatte qu’elle presse fortement en lui donnant des coups puissants et profonds, comme des coups de reins.
- moi : « c’est moi, ça ne se passe pas bien, j’en ai bien pour encore une demi-heure, ça va aller ? »
- jo : « …….mmm »
- moi : « je te demande si ça va aller, tu fais quoi ? »
- Jo, d’une toute petite voix : « je regarde les infos……mmmm, ça va mmmm….. »
Et je raccroche. C est en train de la doigter avec application et elle jouit en sourdine, jusqu’au nouvel orgasme qui lui fait trembler les jambes.
- C : « tu aimes ? »
- Jo : « oui, c’est bon, j’aimai ça, j’aime jouir »
- C : « tu aimes quoi ? »
- Jo : silence
C reprenant la règle et lui faisant passer sur les fesses : « tu aimes quoi ? »
- Jo : « j’aime être soumise, avoir mal et surtout jouir »
- C : « tu es mon esclave soumise ? »
- Jo, hésitante : « oui je suis ton esclave soumise, mais surtout l’esclave de M »
- C, lui claquant un grand coup de règle « tu es mon esclave, ma salope, dis-le-moi ! »
-Jo, gémissante : « oui, je suis ton esclave, ta salope, je suis une pute soumise….mmm »
-C : « bien attends là, j’ai une surprise pour toi »
Puis C sort avec moi dans le couloir, ferme la porte et nous allons boire une bière tranquillement ; un petit quart d’heure plus tard je sors dehors et allume une cigarette et envoie des bouffées sur mes mains et mes habits (nous ne sommes pas fumeurs) pour me « parfumer » puis je rentre en faisant claquer la porte d’entrée.
Nous retournons dans la pièce en silence, C retire doucement le plug de verre, ce qui fait gémir de plaisir Jo dont les cuisses brillent de sa mouille, puis il s’allonge par terre passe sur sa chatte avec sa langue en la fouillant profondément, il remonte ensuite son chemisier et dégrafe son soutien gorge libérant ses seins tout gonflés, les tétons presque violets de tension. Il frotte le tour des seins avec les orties et se met alors à les lui sucer avec application, puis les prend entre le pouce et l’index et serre.
Jo se met à haleter, une plainte lancinante sort de ses lèvres « oui, c’est bon, oui…..j’ai mal, mais c’est bon oui….mmmm »
Je passe alors devant elle en lui faisant sentir mes mains qui dégagent une odeur de cigarette… Jo se tend, mais le doigt de C sur son clito a raison de ses velléités, elle se laisse aller dans le plaisir.
-C : « bien, maintenant, je vais faire de toi ma pute, mon copain va te baiser comme une salope, d’accord ? »
-Jo gémissant de plus en plus sous son doigt : « ummmf……oui………oui……..c’est bon…….ummmmpf oui je suis ta pute umpmmm baisez-moi !!!!
Je passe derrière Jo, et je lui ouvre l’anus resté dilaté par le plug, tandis que C, qui s’est relevé lui pose sur les lèvres sa queue impatiente. Jo ouvre une grande bouche et lèche cette queue bandée et la suce avec application, l’aspirant au fond de la gorge. De mon côté, ma bite se présente au bord de l’anus, puis doucement franchit l’entrée étroite, ce qui déclenche un nouveau gémissement de plaisir de jo, puis je l’enfile à fond et je la besogne violemment et lui donnant une fessée.
C vient de lui envoyer une grande giclée de sperme dans la gorge, il s’écroule sur le tapis, mais il reprend en main les tétons qui se balancent sous mes coups.
-C : « alors salope, tu aimes çà ? »
-Jo, délirante de jouissance, ne contrôlant plus son corps ni je pense ses pensées part dans un grand délire hurlant, pas facile à retranscrire « ouiiiiii………… aaaaaaaaaaa………ouiiiiiiiiiii oh je jouis, comme je jouis, je suis une salope, une saloooope aaaaaaaaaah » et elle se met à couler comme une fontaine quand je me retire après avoir rempli son vagin brûlant.
Je m’éclipse discrètement, passe à la salle de bain pour rafraîchir et ôter l’odeur de cigarette, et je repars par le sous-sol récupérer mon véhicule.
Quand je sonne à la porte, une vingtaine de minutes plus tard, C vient m’ouvrir et je retrouve Jo, assise au salon, un peu pâlotte, mais je ne fais pas de remarque. Jo porte toujours le collier clouté dont C me tend la laisse, nous prenons un dernier verre, une petite secousse ma chienne se lève et nous repartons chez nous.
Nous somme arrivé à notre domicile, et je mène ma chienne dans le salon et lui demande
:
-« c’est quoi cette laisse et ce collier ? A quoi avez-vous passé votre temps d’attente ? »
Jo baisse la tête, ne sachant pas trop quelle position adopter puis elle se met à raconter dans le détail tout ce que C lui a fait subir. Elle enlève ses vêtements pour me faire voir dans quel état est son corps.
Ses fesses et ses grandes lèvres sont rouges, parsemées de points plus foncés qu’elle m’explique être des piqûres d’orties, ses petites lèvres quant à elles sont gonflées comme des petits ballons et semblent très sensibles au toucher. Quand elle a fini le récit de ses « souffrances », je lui demande si tout ça lui a plu ?
-Jo : « il m’a forcée, ma tête ne voulait pas mais mon corps lui était d’accord et j’ai fini par accepter tout ce qu’il voulait »
-moi : « qu’est-ce qui t’a le plus plu ? »
-Jo : « les pinces et les orties, les coups de règle et le plug dans les fesses, en fait tout….. »
-moi : « et tu as bien joui ? »
-Jo : « Oui, comme une folle, je mouille encore rien que d’y penser……j’imaginais que tu me regardais me faire corriger et me faire baiser…. »
-moi : « parce que tu as été baissée ? »
-Jo : « C m’a d’abord corrigée comme il faut et puis il a fait venir quelqu’un que je n’ai pas vu et qui m’a enculée pendant que je le suçais…. »
-moi « et alors ? »
-Jo : « j’ai joui, joui, comme pas possible… »
-moi : « as-tu aimé ce dressage ? »
-Jo : « oh oui, mais j’espère que toi, tu me feras découvrir encore d’autre choses…. »
Sur ce Jo part prendre un grand bain chaud et se met au lit.
A suivre...
Encore un bel épisode. Vivement le suivant
RépondreSupprimermagnifique, j'aime beaucoup
RépondreSupprimerTexte très excitent vivement la suite !
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