Récit de Billthem.
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La semaine dernière, il m’est arrivé un truc incroyable ! Je suis monteur en charpente métallique et je suis avec deux collègues en déplacement pour toute la semaine dans une petite ville où nous avons élu domicile, en pension complète, dans un hôtel-restaurant sans prétention mais plutôt sympa, bonne bouffe et chambres bien tenues. Pour ne rien gâcher, la patronne est cool et n’hésite pas à payer sa tournée… Elle se fait aider le midi par un cuisinier dodu et jovial et par une jeune serveuse pas farouche avec un joli cul ; mais le soir, comme il y a beaucoup moins de monde, elle se débrouille seule.
C’est une femme d’environ quarante-cinq à cinquante ans, de taille moyenne, mince ; ses cheveux blonds décolorés remontés en chignon et ses traits tirés pourraient lui donner un air presque austère, mais son sourire est très sensuel et surtout, l’énorme paire de seins qui gonfle ses chemisiers ne peut laisser personne indifférent, bref tout le monde la trouve bandante, d’autant plus qu’elle vit apparemment seule. Elle est de ces femmes qui font envie sans être particulièrement belles, et que chacun aimerait bien sauter vite fait bien fait dans un coin.
Le mercredi soir le resto est très calme, la patronne nous offre un petit digestif au bar, et la conversation, maintenant que ça fait trois jours qu’on se connaît, est détendue, et prend même un ton libertin. Lionel, notre chef d’équipe qui est un gros vicelard, nous a raconté en aparté que quand il est descendu tout à l’heure à la cave avec elle pour l’aider à changer le fût de bière, il lui a peloté les nichons et le cul sans qu’elle moufte, et qu’elle l’a seulement repoussé quand il a essayé de lui rouler une pelle. Serait-elle partante pour une partie de jambes en l’air ? Pour le moment nous n’en sommes pas là, mais j’oriente la conversation en disant que je suis surpris qu’il y ait autant de monde le midi, routiers, ouvriers et représentants, alors que le village compte deux autres restaurants : est-ce dû aux tenues affriolantes d’Amandine, la jeune et jolie serveuse, qui aime tant porter des chemises largement ouvertes et pas de soutien-gorge, de sorte que quand elle se penche pour poser les plats, ça ne laisse aucune place à l’imagination en ce qui concerne l’anatomie de ses petits seins pointus ?
Joëlle, la patronne, avoue que depuis qu’elle l’a engagée, la clientèle a augmenté et s’est fidélisée. On la baratine à fond en lui disant que si elle adoptait le même genre de décolleté, la clientèle doublerait encore à coup sûr ! Mais elle s’en défend en prétendant que bien sûr elle y a déjà pensé et trouve l’idée amusante – tiens, tiens, la coquine ! – mais qu’avec son 95D (comme ça c’est dit, mine de rien !), ça n’irait pas de travailler trop décolletée, surtout sans soutif, que ça ferait vraiment trop salope. Lionel, le cochon, insiste et prétend que tout homme est attiré et excité – ça donne au client l’envie de revenir – à la vue d’une paire de seins qui ballottent librement sous un vêtement, surtout s’ils sont, dit-il, beaux et généreux comme les siens. Puis il enchaîne en insinuant qu’elle a de la gueule, mais qu’en fait c’est une dégonflée et termine en suggérant qu’elle fasse au moins une fois l’expérience, pour le fun, et pour ne pas regretter de n’avoir jamais osé. Max, notre troisième larron, ne dit rien mais capte tout…
Avant de regagner les chambres nous lui expliquons que si on veut finir le chantier pour vendredi midi, il va falloir qu’on se lève super tôt demain jeudi, alors si elle peut nous laisser de quoi prendre le café avant l’ouverture… Elle nous répond qu’elle sera là pour nous servir le petit-déj à l’heure dite, soit une bonne heure avant l’horaire habituel, puis tout le monde va se coucher.
Le lendemain, à cinq plombes, on descend au bar, et là coup de massue : le café et les tartines sont prêts, servis par une Joëlle hyper-sexy : mini-jupe de cuir et bas noirs, mais surtout, surtout, pas de soutien-gorge pour contenir sa somptueuse poitrine ! Le chemisier est quasi transparent, la tache sombre des larges aréoles brunes est clairement visible, et les deux lourds nichons se baladent dans tous les sens là-dessous à chacun de ses gestes. C’est un appel au viol, on lui dit et elle répond qu’il ne fallait pas la défier. Puis elle rompt le charme en précisant qu’il faut bien en profiter parce qu’elle se changera avant l’arrivée des autres clients. Lionel demande ce que ça donne avec un bouton en moins, l’idée amuse la patronne qui se déboutonne : maintenant, elle se lâche vraiment !
Le coup d’œil devient plus intéressant, il n’y a pas que la transparence, mais une vue plongeante dans la vallée qui sépare ses deux mamelles ; je me risque à lui dire que sa serveuse aurait défait un bouton de plus, ça la fait rire et elle s’exécute. Maintenant ses seins sont presque entièrement visibles, elle est chaude comme de la braise, mais Lionel dit « au boulot » et on doit partir. Elle minaude qu’on pourrait au moins lui faire chacun un bisou sur la joue pour lui souhaiter une bonne journée, ce que nous faisons. Avant de sortir, ma main frôle son nichon, pas de réaction ; alors je l’empaume et le soupèse carrément, appréciant au passage sa douce chaleur à travers le tissu du chemisier et là elle dit simplement : « dis donc ! », en regrettant sans doute que ça soit déjà pour nous l’heure de partir.
Toute la journée nous avons fantasmé sur le décolleté de la patronne et sur ses gros seins appétissants, lourds et chauds, qui doivent si bien occuper les mains… À midi elle est redevenue classique, et nous nous vengeons dans l’ouverture du corsage d’Amandine la serveuse, nous régalant, encore plus que d’habitude, de la vue de ses petits tétons saillants.
Le soir venu, après le souper, pas plus de monde au bar que la veille. Lionel paye sa tournée pendant qu’il fait le chèque pour régler la semaine de pension, puis la patronne met la sienne et dit :
— Attendez cinq minutes, j’ai un truc pour vous.
Elle disparaît à l’arrière mais revient bientôt habillée comme ce matin, mais avec le chemisier transparent noué sur le nombril au lieu d’être boutonné ! Là tout le monde sent que ça prend un air de fête, même Max sort de son mutisme pour dire :
— Tin, t’es une chaude, toi !
C’est clair qu’on en veut plus, on lui demande carrément d’enlever son vêtement pour nous montrer ses nichons sans rien pour les cacher. Ce soir, elle est prête à tout, ses yeux brillent bizarrement, elle a sans doute quelques verres d’avance sur nous. Elle est d’accord à condition qu’on se mette nous aussi torse nu. Tu parles qu’on accepte, bientôt elle nous mate à son tour en disant que c’est pas tous les jours qu’elle a trois mecs musclés et bronzés rien que pour elle ! Avec une lenteur de strip-teaseuse, elle se désape et danse de manière à bien faire bouger ses mamelles à la peau claire et aux bouts foncés.
On a envie de toucher, mais on arrive encore à se contenir. Pour combien de temps ?
Nous voulons la voir à poil, elle accepterait à condition qu’on sorte nos queues et qu’on se branle devant elle ; la vache, quelle salope ! On hésite un peu, on n’a pas l’habitude de se branler devant les collègues, mais on finit par accepter et nous voilà en train de nous astiquer devant elle, en se surveillant du coin de l’œil. Tous, nous sommes impressionnés par l’énorme braquemart de Max qui se paluche à pleine main. Joëlle s’est mise nue – elle n’avait rien sous sa jupe – et est maintenant installée sur une table, jambes largement ouvertes, pour nous montrer comment elle s’astique le bouton tout en enfilant des doigts dans sa chatte. Elle explique que depuis hier soir elle s’est branlée au moins cinq fois en imaginant qu’on la prenait dans tous les sens. Un premier orgasme la submerge bruyamment.
Quand elle retrouve ses esprits, elle s’approche de nous à genoux et commence à s’occuper de la queue de Lionel (honneur au chef ?) qu’elle n’hésite pas à prendre entre ses lèvres jusqu’à la faire disparaître presque entièrement. Sacré début de soirée ! Elle va nous sucer comme ça tous les trois à la suite, comme une vraie salope professionnelle dans les films de cul, en bavant bien sur nos queues et en malaxant les couilles pendant qu’elle astique le manche avant de l’avaler jusqu’au plus profond qu’elle peut ! Même Max dont elle arrive à peine à emboucher le gland et le début de la hampe, même lui elle le pipe sans rechigner au risque de s’étouffer. Elle nous pompe comme ça jusqu’au bout, et tous trois nous giclons tour à tour dans sa bouche ; elle avale tout…
Mais bien sûr elle en veut plus, alors Lionel sort son stock de capotes, et Max nous passe des graines à mâcher qui viennent de ses îles « pour donner de la vigueur », dit-il. C’est la première fois que je me trouve dans une partouze comme ça, on est tous les quatre dans un état second, comme des bêtes affamées de sexe : on la prend dans toutes les positions et par tous les trous pendant plus de deux heures, plus on lui en donne et plus elle en réclame. Tout y passe, à commencer par les bonnes vieilles pipes bien baveuses qu’elle nous administre pour nous faire, très vite, rebander. Bien sûr, comme nous sommes des hommes simples, des travailleurs sans histoires compliquées en tête, la chose qui nous vient à l’esprit ensuite c’est de la baiser classiquement, de la bonne baise vaginale en quelque sorte.
C’est donc comme ça qu’on occupe une bonne partie de la soirée en la prenant par la chatte, chacun notre tour, sans chercher à aller jusqu’au plaisir ultime, mais quand ça arrive, on retire vite notre capote et nous lâchons toute notre charge sur ses seins, son ventre, son visage ou son dos, suivant sa position : elle nous a dit qu’elle voulait du sperme, elle en aura !
Comme j’aime bien ses gros nichons, j’expérimente la sensation de la cravate de notaire entre ses deux seins moelleux qu’elle serre entre ses mains ; je suis à l’unisson avec Lionel qui la bourre puissamment à une cadence soutenue, c’est bon, doux et chaud, son comportement de grosse pute sans limites me met hors de moi et je ne tarde pas à balancer des jets de foutre sur ses nibards, son cou et sa face, même jusque dans ses cheveux.
L’intensité de la soirée augmente encore au moment où Max, qui la prend en levrette – mais comment fait-elle pour laisser circuler dans son con un gourdin pareil ? – prend idée de lui fourrer son pouce, préalablement grassement enduit de mouille, dans l’anus (alors qu’elle mâchouillait négligemment la queue ramollie de Lionel qui venait de se vider sur son ventre…). Le petit œillet plissé n’offre que peu de résistance et bientôt elle bouge des hanches encore plus fort, stimulée par cette pénétration supplémentaire.
Elle attend que Max lui ait balancé au moins douze litres de sperme sur le dos, jusque sur la nuque, pour couiner :
— Prenez-moi par le cul, maintenant !
Ma foi, si une bonne enculade lui fait plaisir, on va pas se gêner ! C’est comme ça qu’on se retrouve pendant une bonne demi-heure à se relayer dans son cul, toujours en essayant de ne pas systématiquement éjaculer. Le moins qu’on puisse dire c’est que ça lui fait prendre son pied grave, toutes ces sodomies profondes, elle n’arrête pas de beugler comme une bête… Mais au bout d’un moment, comme si ça ne lui suffit pas, elle demande à ce qu’on la prenne à deux en même temps !
Là, je dois dire qu’on se regarde quelques instants, un peu déconcertés, je l’ai dit : on est des gars simples…
— Ben quoi, vous n’avez jamais vu des films où une pouffiasse se fait niquer par deux mecs à la fois ? C’est pourtant pas compliqué, une bite dans la chatte, l’autre dans le cul ! gueule-t-elle dans un état second.
C’est vraiment une grosse chaudasse du cul, une salope comme on n’imagine pas d’avoir l’occasion d’en limer un jour. Des films de cul, elle doit passer ses soirées à en mater, à moins qu’elle n’ait passé sa jeunesse à en tourner. Du moins, elle n’en est pas à son coup d’essai. Nous, on n’est pas plus cons que Rocco, seulement il nous faut le temps de nous adapter – oh ! pas très longtemps, un peu comme quand on se retrouve devant un modèle de charpente qu’on n’a encore jamais monté ! On finit bien par la monter, la Joëlle, comme la charpente : Lionel s’allonge sur le dos, la bite bien fièrement dressée pour qu’elle puisse s’enculer dessus, puis je la pousse en arrière pour pouvoir l’embrocher par son con quémandeur. Pas évident au début de placer ses jambes, y en a de tous les côtés, mais en restant zen on finit par y arriver et on finit par trouver le rythme qui va bien.
La vache ! Ça fait vraiment bizarre de sentir que le trou d’à côté est habité… Sentir le corps de notre restauratrice-hôtelière-pute, doux, chaud, moite et abandonné entre nos deux corps, se laissant triturer les seins et les fesses, répondant à nos coups de bites par des coups de hanches tout aussi vigoureux, ça fait un peu oublier qu’on sent la queue du collègue contre la sienne, chose assez déroutante au début, mais qui n’empêche pas de jouir comme un dingue, surtout quand la partenaire gueule comme une malade en se payant son centième orgasme de la soirée.
Max nous regarde, perplexe : arrivera-t-il, au moment de nous relayer, puisque c’est la règle ce soir, à glisser son chibre géant dans cette zone surpeuplée ? La suite prouve que oui ; notre hôtesse, outre le fait qu’elle est surexcitée et même dans un état second, a des aptitudes physiques surprenantes : sa souplesse, son élasticité devrais-je dire, lui permet de tout encaisser, même la queue surdimensionnée de Max en plus de nos chibres de taille tout à fait honorable… Nous en conclurons plus tard, entre nous, que cette grosse salope de Joëlle doit avoir l’habitude de se faire partouzer régulièrement par des mâles bien montés.
En tout cas, heureusement que Lionel a toujours avec lui une boîte grand modèle de capotes, et Max ses graines magiques : je n’avais jamais participé à une partouze de ce genre, et je dois dire que je suis surpris de pouvoir bander comme ça toute la soirée et éjaculer au mois cinq fois, ce qui est aussi le cas de Lionel, sans parler de Max qui a dû envoyer la sauce huit fois ou plus… Mais tout le mérite revient à cette femme qui, avec ce comportement excessivement salope et chaude du cul, sait nous motiver pour qu’on la baise comme une pute plus de deux heures durant.
Comme nous aussi on regarde des films, on lui fait un cadeau en final, en lui offrant ce qui apparemment est sa première double-vaginale : alors qu’elle est couchée sur moi et écrase ses gros seins sur mon torse pendant que je lui embroche le con, et qu’elle s’attend à prendre une bite dans le cul, Max – c’est son tour – me fait un clin d’œil et réussit à forcer sa queue contre la mienne, dans le vagin distendu de la dame ! Je t’explique pas l’effet que ça fait, d’abord pour moi qui ne suis pas un habitué de la chose, mais surtout pour la putasse qui se retrouve avec deux chibres, dont un énorme, bien calés au fond de sa chatte. On se relaie à deux comme ça dans son con pendant un bon moment et pendant ce temps-là elle n’arrête pas de jouir et de hurler, heureusement qu’il n’y a pas de voisins proches ! On finit par cracher notre jus sur elle une dernière fois et à la fin elle est couverte de foutre partout, du frais et du séché, elle en a plein le visage et les cheveux, sur le dos, le ventre et ses gros nichons ; mais elle a la banane jusqu’aux deux oreilles :
— Merci les gars, c’était très chaud, très bon et très jouissif !
Et Lionel ne peut s’empêcher de lui répondre que tout le plaisir est pour nous d’avoir pu rendre service à une grosse queutarde affamée de foutre. Une fois ces civilités terminées, tout le monde va au lit, via la douche cela va sans dire.
Le lendemain, à cinq heures, cette fois pas de restauratrice, la cafetière programmable a bien fait son boulot et les victuailles du petit-déj sont disposées sur un plateau. Je ne peux m’empêcher de dire :
— Dommage qu’elle ne soit pas là pour nous servir le café comme l’autre fois en petite tenue, avec ses gros nichons juteux qui se dandinent…
Lionel trouve un truc à dire du genre « avec tout ce qu’on lui a mis cette nuit c’est normal qu’elle reprenne des forces ».
Max, plus laconique :
— Tin, sacré vide-couilles, celle-ci !
FIN
Histoire très excitante, la patronne est comme l'Islande, le feu couve sous la glace, c'est un vrai volcan lorsqu'elle se lâche :)
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