Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.
****
Traitement et piercings pour Jessie.
Jessie se rend à sa voiture en gardant la tête baissée. Elle entend les chuchotements, les cris étonnés et les rires, mais elle les ignore, choisissant de se diriger directement vers le parking de l’université. Une fois arrivée elle lève les yeux et voit Martin et Michael appuyés contre sa voiture. Jessie regarde autour d’elle pour voir s’il y a d’autres personnes. Même si elle est sûre que tout le monde l’a vu dans sa tenue de salope, elle n’a pas besoin d’être vue en train de partir avec deux élèves.
- Tu en as mis du temps salope, nous attendons depuis un moment. Crache Martin sur l’enseignante.
- Je suis désolé, les couloirs étaient bondés. Cette esclave est partie dès qu’elle a pu. Répond Jessie, la voix remplie de soumission.
Elle déverrouille sa voiture et voit des sacs à côté de sa voiture. Les deux garçons ont sorti de ces sacs des appareils numériques. Martin a un appareil photo et Michael utilise une caméra vidéo. Les deux ont commencé à filmer la marche de la honte de Jessie de l’école à sa voiture. Une fois à l’intérieur de l’auto, Martin dit :
- Ok salope, on va au bureau du Docteur WILLIAMS, tu dois avoir tes injections.
Michael ajoute :
- Et remonte ta robe, nous voulons voir ta chatte.
Jessie gémit en troussant sa robe. Elle se souvient à quel point elle a été excitée après sa séance chez le docteur. Avec les jumeaux qui la suivent de près en photographiant et filmant, le monde entier va bientôt savoir quelle grosse salope elle est vraiment.
Après quelques minutes de conduite, elle s’arrête devant le bureau du médecin et sort de la voiture. Elle est surprise de voir les garçons rester dans l’auto. Elle se fige et se tourne vers eux. La confusion s’étale sur son visage. Michael rit et dit :
- Vas-y esclave ! Nous détestons les aiguilles. Nous serons là quand tu auras terminé. Kévin nous a prévenu que ça pouvait prendre du temps avant que tu reviennes. Mais n’en abuse pas, dans 90 minutes tu dois être de retour.
Jessie hoche la tête et franchit la porte d’entrée. La procédure est un pu la même que la dernière fois. Elle est attachée pendant que le bon docteur lui injecte la drogue. Le corps de l’enseignante réagit de la même manière que la dernière fois, mais avec de subtiles différences. Cette fois, l’excitation intense est la même, mais elle ne dure pas aussi longtemps. Cependant, lorsque l’intensité s’est atténuée, elle n’a pas totalement disparu. Son corps est toujours très sensible au toucher et son excitation élevée, mais ce n’est pas son esprit, mais son corps entier qui désire jouir. Jessie peut à peine réfléchir.
Le Docteur WILLIAMS garde Jessie attachée pendant près d’une heure. A ce moment-là, elle est redevenue capable de contrôler son corps et ses fonctions. Après que le médecin soit revenu dans la salle pour la libérer, il lui dit :
- Comment te sens-tu esclave ?
Jessie ouvre les yeux et les lève vers lui. Elle commence tout juste à moins sentir d’excitation.
- Je pense que je vais bien Docteur. Chuchote-t-elle, le souffle court.
- Bien ! Tu peux parler, c’est bon signe. L’excitation intense que tu avais ressentie auparavant est normale. Cette fois c’était plus court. C’est bien, ton corps s’adapte.
L’homme tend la main et caresse ses seins. Jessie sursaute au contact et se cambre pour mettre sa poitrine dans la paume.
- Non non non, tu n’as pas le droit. Il faut encore quelques minutes pour que ça passe.
Le Docteur WILLIAMS fait glisser sa main le long du ventre tout en expliquant :
-L’engourdissement de ton esprit par l’excitation initiale diminuera à chaque dose. Toutefois, comme tu as pu le remarquer après le premier traitement, tu seras constamment excitée. L’excitation intense raccourcit en temps, mais l’excitation résiduelle augmente à chaque dose. A la cinquième ou sixième dose, tu n’auras plus de crises d’excitation intense, mais tu resteras excitée plus longtemps. Et ça augmentera à chaque dose. Donc tu vas être excitée plus longtemps cette fois que la dernière fois.
Le corps de Jessie se détend à chaque seconde. Au moment où il finit d’expliquer comment les drogues fonctionnent, elle arrive à comprendre ce qu’il dit. Elle ne bouge pas et l’écoute pendant qu’il libère ses bars et ses jambes.
Le médecin l’aide à se relever et la tire au milieu de la pièce. Il appelle son infirmière et les deux prennent des mesures et les rentrent dans l’ordinateur. Quand ils ont fini, le docteur imprime un rapport et le donne à Jessie.
- Apporte ça à Maître Kévin. Je suis sûr qu’il sera ravi de tes progrès.
Jessie hoche la tête et prend la feuille.
- Maintenant, il est temps de me remercier pour mon travail. À genoux et suce ma bite esclave ! Commande le Docteur WILLIAMS.
Jessie ne résiste pas. Elle veut une bite dans sa bouche. Elle avait espéré qu’il la baiserait et lui donnerait un certain soulagement, mais ce n’est pas le cas. Elle tend la main, défait son pantalon et sort sa queue. La bite est longue, plus de dix-huit centimètres et assez épaisse. Elle embrasse le gland et lèche la hampe. Elle sait qu’il veut en profiter, mais elle a peur d’être en retard avec les jumeaux. Dès qu’elle a réussi à bien humidifier son sexe, elle ouvre grand la bouche et l’engouffre. Au troisième coup, elle réussit à l’enfoncer dans sa gorge. Elle entend le médecin gémir alors elle redouble d’efforts. Il n’a aucune chance de résister, les dernières semaines de formation ont fait de Jessie une suceuse expérimentée. Au bout de cinq minutes il éjacule dans sa gorge.
Jessie sort de la clinique exactement 90 minutes après son entrée. Les garçons sont appuyés contre sa voiture. Alors qu’elle s’approche, ils avancent et l’attrapent. Martin tripote ses seins, les serrant grossièrement, et Michael s’occupe de son cul en poussant sa robe dans la raie de ses fesses. Jessie gémit alors que leurs mains l’excitent.
Les deux garçons continuent jusqu’à ce que Jessie soit sur le point de s’effondrer. Martin rit et s’éloigne.
- Allez salope, tu as un autre rendez-vous et nous ne voulons pas être en retard. Dit-il avant de monter dans la voiture.
Michael le suit et Jessie est laissée haletante au milieu de la rue, son corps en feu et son esprit prêt à tout pour avoir un orgasme.
L’enseignante monte dans la voiture. Bientôt ils sont en route pour le salon de tatouage où elle a déjà eu son QR code la veille. Cette fois, au lieu de laisser Jessie y aller seule, les garçons lui disent d’attendre qu’ils soient prêts avant de sortir de la voiture.
Dès qu’elle ouvre la porte, les deux gars photographient et filment la salope qui entre dans le salon.
L’esprit de Jessie est embrumé. Son corps est en feu et deux étudiants enregistrent tous ses mouvements. Elle entre dans le salon de tatouage en pensant que son corps va encore être marqué. Après avoir rendu visite au médecin pour faire modifier son apparence, elle est sur le point de se faire tatouer à nouveau. Une partie d’elle-même déteste cela, mais une autre est excitée de voir ce qui l’attend.
Michael franchit rapidement la porte en premier. Il veut filmer l’enseignante entrer de son plein gré. Il aime le regard sur son visage. Son expression change entre peur, excitation et humiliation. Mais elle n’hésite pas et entre dans la salle d’attente. Elle attend au milieu de la pièce. Elle est là depuis une seconde lorsque Ben, le propriétaire du magasin, sort de derrière un rideau. Il s’exclame :
- Mon Dieu, que j’aime mon travail. J’ai attendu ce rendez-vous avec impatience toute la journée. Allez esclave, à poil, nous avons beaucoup de travail à faire.
L’esprit de Jessie met une seconde à comprendre l’ordre, mais elle laisse rapidement tomber sa robe sur le sol. Elle se retrouve nue au milieu de la boutique, exposée à tous les passants. Elle regarde les deux jumeaux en les suppliant d’arrêter ça.
Mais c’est Ben qui prend le commandement. Il aboie :
- A genoux esclave et suis-moi ! Toi avec la caméra, fonce dans le couloir et filme-la de face alors qu’elle marche à quatre pattes.
Michael hoche la tête et marche devant eux. Il dit :
- Moi c’est Michael, et mon frère c’est Martin.
- Bien ! Martin, prends des photos de son cul pendant qu’elle rampe dans le couloir. Ajoute Ben.
Martin sourit et s’agenouille pour se mettre au niveau des fesses de Jessie et il prend plusieurs photos.
- Bon, nous descendons dans une pièce spéciale où nous ne serons pas entendus. Assurez-vous de bien l’enregistrer alors qu’elle descend les escaliers.
- Arrête-toi là esclave !
Jessie se fige sur place, les mains sur la deuxième marche dessous d’elle et ses genoux toujours sur la marche du haut. Son cul rouge vif éclaire comme un feu de circulation. Martin s’agenouille derrière et fait une photo.
L’embarras fait rougir le corps de l’enseignante jusqu’aux orteils. Son esprit est embrumé par l’excitation qui palpite dans tout son être. Elle garde la position tandis que martin rejoint son frère en bas des escaliers. Elle attend que Ben lui donne l’ordre de bouger. Celui-ci s’agenouille derrière elle, caresse son cul douloureux et dit :
- Tu es une vraie salope excitée. Je vois que tu aimes chaque seconde de tout ça. Maintenant descends les escaliers et assure-toi de montrer que tu aimes être là.
Jessie grogne, mais lève les yeux vers les garçons qui capturent son humiliation. Tandis qu’elle descend les escaliers elle regarde autour d’elle. Le sous-sol n’est pas fini, la peinture s’écaillant sur les murs en parpaings. Il ressemble plus à un cachot qu’à autre chose. Le sol est sale et humide. Elle peut sentir l’odeur de moisi et la crasse sous ses mains et ses genoux.
Ben la dirige au coin de la pièce faiblement éclairée jusqu’à un étrange engin métallique monté à côté du mur. Elle s’arrête quand Ben lui dit de s’asseoir sur une sorte d’assiette ronde près du sol. Elle se redresse et se demande ce qui va se passer. Elle commence à reculer, mais Ben crie :
- Il y a deux manières de le faire, soit tu es volontaire et tu t’assois sans douleur, soit nous allons le faire et ça fera mal. C’est à toi de décider.
Le corps de Jessie souffre toujours des coups de Brenda du matin et elle sait qu’elle ne peut pas supporter d’être encore plus punie. Alors elle s’assoit lentement. En quelques secondes ses jambes sont attachés à une barre d’écartement et ses mains sont liés dans le dos.
Jessie se retrouve maintenant complètement impuissante, ses seins marqués fièrement affichés et sa chatte dégoulinante exposée pour que tout le monde puisse la voir. Elle regarde les deux garçons se déplacer pour s’assurer qu’ils prennent des photos sous tous les angles afin d’enregistrer son avilissement.
Jessie regarde Ben quitter la pièce pendant quelques instants, puis revenir en poussant un chariot chargé d’objets. Elle regarde attentivement et elle voit qu’il ne va pas lui faire un tatouage, mais lui poser des piercings. Elle n’en veut pas et voudrait lutter. Son esprit veut que son corps lutte, mais celui-ci est hors de contrôle. Elle reste assise passivement en attendant que Ben la perce et renforce sa soumission. Désormais elle sera liée avec ou sans chaînes.
Jessie regarde Michael filmer le chariot en attendant que Ben commence. Celui-ci s’agenouille devant la femme et sourit :
- Commençons par le haut et descendons !
Il attrape une étrange bague avec deux clips métalliques aux extrémités. Il la glisse autour de sa tête et attache les clips de chaque côté de sa bouche. Maintenant sa bouche est ouverte de force, les joues écartées. Jessie est assise là, un sourire obscène sur le visage alors que Ben lui demande de sortir la langue. Elle pourrait résister, mais quand il attrape une paire de pinces, elle change d’avis et tire la langue.
Ben adore l’obéissance de Jessie. Il se demande si la raclée évidente qu’elle a reçue plus tôt a quelque chose à voir avec ça. Il attrape le bout de la langue avec sa pince, la maintient en place, lève son outil de perçage et le ferme rapidement. Les yeux de Jessie s’écarquillent et un gémissement sort de sa bouche alors que la douleur descend de sa langue directement à sa chatte. Ben insère rapidement le piercing et le verrouille en place. Il se rassoit et admire son travail. Martin fait rapidement une photo en gros plan sur le dernier ajout au corps de Jessie.
Ben attend quelques instants pour que les deux garçons aient bien pris des souvenirs de la langue de la femme avant de commencer sur les mamelons. Il attrape un tampon d’alcool et nettoie les tétons tout en les taquinant pour les dresser. Quand ils se tiennent fièrement debout, il attrape sa pince, la fixe à un téton et tire dessus. Cette fois il n’utilise pas son outil de perçage, mais une aiguille. Il sait que ça va faire plus mal. Jessie commence à se débattre alors que l’aiguille pénètre son mamelon. Elle respire rapidement alors que la douleur augmente régulièrement jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus la supporter. Alors elle hurle. Ben, en bon sadique, adore les cris d’une esclave et continue de pousser l’aiguille. Lorsqu’elle a traversé, l’homme saisit rapidement un anneau et l’insère dans le trou fraîchement préparé. Des larmes coulent sur les joues de l’enseignante alors qu’il ferme l’anneau pour le tenir en place.
- Ça ne devrait pas être facile à enlever . Dit-il.
Puis il tourne son attention vers l’autre sein. Il répète l’opération et bientôt l’autre téton est percé lui aussi. Martin demande à Ben de se pousser sur le côté et il prend de nombreuses photos de la poitrine de l’esclave.
- Éloigne-toi, j’ai d’autres rendez-vous, donc je dois terminer. Ben se replace devant Jessie et lui met un autre anneau dans le mamelon.
- Voilà, c’est fini ici, allons plus bas !
Il glisse sa main le long du ventre de Jessie jusqu’à son entrejambe. Il fait glisser un doigt sur ses petites lèvres et il l’entend respirer plus fort. Jessie voudrait s’enfuir et se cacher, mais son corps est encore sous l’effet de la drogue et se plaît à ce contact. En quelques secondes, son clitoris est sorti de son capuchon pour supplier d’être touché. Et c’est ce que fait Ben. Jessie gémit encore et encore. Elle veut qu’il continue, mais elle a peur de ce qu’il va faire. Elle ferme les yeux et attend la douleur qu’elle sait venir.
Ben continue à titiller le clitoris jusqu’à ce qu’il soit dur comme un caillou. Puis il saisit l’extrémité avec sa pince et le sort de son capuchon. Les yeux de Jessie s’ouvrent alors qu’un cri strident jaillit de sa bouche. Elle veut s’enfuir, mais elle est trop solidement attachée. Ben prend l’aiguille et la pousse dans le clitoris alors que Jessie hurle encore plus fort. Il aime toujours la façon dont les femmes crient quand il fait ça, mais il sait que dans quelques semaines, elle aimera ce nouvel ajout. Il remplace l’aiguille par un autre anneau qu’il verrouille en place. Ben attend quelques minutes pour laisser Jessie se remettre. Quand ses sanglots ralentissent, il lève devant ses yeux une petite cloche avec un anneau.
- Regarde ce que j’ai pour toi esclave ! Je vais la mettre sur ton piercing au clitoris. Il fera savoir à tout le monde que la professeure esclave et salope est arrivée.
Jessie ne peut que gémir alors que Ben attache définitivement la cloche à son clitoris. Elle voudrait fuir ailleurs. Elle avait toujours voulu se soumettre à un Maître qui la protégerait et réaliserait ses envies d’être soumise. Elle n’a jamais voulu finir comme esclave salope. Elle a l’impression de tomber dans un trou profond en voyant sa vie normale disparaître rapidement derrière elle. Son esprit ne pense plus à s’échapper et à fuir. Maintenant tout ce à quoi elle peut penser c’est à survivre.
Ben recule et laisse aux deux garçons un peu de temps pour prendre de photos et filmer. Il n’a plus qu’une chose à faire.
Il attend que les jumeaux s’éloignent avant de libérer Jessie. Il l’aide à se lever et lui montre le dernier objet qu’il doit installer.
- Je sais que tu vas adorer ça ! Dit-il en tendant la main.
Jessie regarde l’objet et le trouve inoffensif. Kévin sourit en voyant qu’elle n’a aucune idée de ce qu’il tient.
- alors esclave, as-tu une idée de ce que c’est ? Demande-t-il.
Jessie secoue la tête et répond :
- Non Monsieur, je ne le sais pas ? Qu’est-ce que c’est et où ça va ?
Ben glousse et dit :
- c’est de la plus récente technologie en matière de jouet anal. Je pousse l’objet dans ton cul et je l’allume avec la télécommande. Si tu essaies de le retirer sans l’éteindre avec la télécommande au préalable il va se dilater dans ton cul. Et plus tu tireras, plus il se dilatera. C’est pas amusant ?
Jessie secoue la tête. La dernière chose qu’elle veut, c’est que son cul soit fermé. Mais Ben l’a déjà retournée et l’a poussé dans le dos pour qu’elle se plie en deux. Il crache sur le plug et le fourre dans le cul de l’enseignante.
Puis il recule et admire son travail. Le plug et la cloche sont clairement visibles entourés par les zébrures rouges de Brenda. Il entend Jessie gémir quand il passe ses mains sur son cul. Il sait qu’elle souffre, mais il veut lui montrer comment fonctionne son nouvel objet. Il appuie sur la télécommande et entend un bourdonnement.
Jessie est pliée à la taille, son cul rouge tourné vers Ben. Elle le sent pousser le plug dans son cul et pousse un soupir de soulagement alors qu’il entre facilement. Elle expire et commence à se détendre lorsqu’elle sent un bourdonnement et que le plug commence à se dilater. Au début ça va, mais en quelques secondes, son cul est plein. Elle espère qu’il ne va pas plus grossir quand le bourdonnement cesse. Elle se détend à nouveau lorsque Ben tend la main et tire sur le plug.
Jessie a le souffle coupé alors que la douleur est instantanée parce le plug se dilate rapidement. Elle tend la main derrière elle tandis que le plug continue de s’étendre tant qu’il est tiré.
Elle réalise qu’elle vient de perdre une autre liberté. Elle vient de perdre le contrôle de son corps. Avant elle devait demander pour ses besoins, et au pire, elle pouvait les faire sans permission. Mais maintenant, elle ne pourra plus désobéir à cette règle. Il faudra qu’elle attende que son maître la libère. Ce qu’il la surprend, c’est que cette perte de contrôle ne l’effraie pas ni ne la dérange vraiment. En fait ça l’excite. Et le fait que ça l’excite la dérange. Elle prie que ce soit à cause de la drogue. Si c’est naturel alors elle a des ennuis, de gros ennuis.
Ben joue avec le nouveau plug en le tirant et en le repoussant tout en regardant le corps de Jessie trembler. Il sait qu’elle est au bord de l’orgasme et qu’elle adore le nier. Mais il n’a plus le temps, car il a d’autres rendez-vous. Il faut donc terminer les choses.
Ben lance à Jessie une chemise d’homme presque transparente tellement le tissu est fin.
- Mets ça et écoute ce que tu es autorisée à faire. Porte des vêtements amples sur ton corps nu pendant les prochains jours c’est mieux. Pas de sexe sauf anal pendant les deux prochaines semaines. Et reviens me voir pour que j’inspecte les piercings. Voici une solution antiseptique pour nettoyer les piercings deux fois par jour avant de mettre cette pommade.
Ben regarde Jessie enfiler la chemise et il lui suggère :
- Ne la boutonne pas. Ça sera douloureux si tu le fais.
Jessie prend les produits et les tend à Martin qui sourit et lui dit qu’elle pourra les utiliser à l’université le lendemain.
Les jumeaux attrapent Jessie par les bars et la tirent vers sa voiture. Cette fois-ci Michael conduit et Jessie s’assoit à l’arrière. La chemise est grande ouverte. L’enseignante ne fait pas attention et quand Michael arrête la voiture, elle ne reconnaît pas où ils sont.
- Maître, pourquoi nous arrêtons-nous ici ? Ma rue n’est-elle pas à un pâté de maisons ? Demande-t-elle.
- C’est vrai esclave et tu rentres d’ici. Ne pense même pas à boutonner la chemise. Pense à ça comme à une marche de la honte, salope excitée. Aboie Martin avant d’ouvrir la portière.
Jessie sort de la voiture et commence à rentrer à pied. Elle se retourne vers sa voiture et voit les jumeaux rire. Elle se détourne d’eux et se dirige vers sa rue, le corps rougi d’humiliation et d’excitation.
Elle rentre dans sa maison, son corps tremblant d’excitation. Cette journée a été l’une des plus longues de sa vie. Elle reste sous le porche en rassemblant ses pensées. Une question lui traverse la tête encore et encore : « Comment une personne normale pourrait-elle être excitée par ce qu’elle avait fait et par ce qu’on lui a fait ? »
Ça a commencé avec Brenda la punissant, lui faisant lécher son cul et sa chatte suivie d’une fessée brutale. Puis c’était l’école presque nue et abordée par les neveux de son gros voisin. Ses étudiants ont découvert son esclavage et l’ont humiliée toute la journée. Les neveux sont revenus au déjeuner pour la forcer à se déshabiller et la baiser rudement. Finalement elle a été droguée, percée et forcée de rentrer chez elle en marchant presque nue. Jessie est sûre que toute la ville sait maintenant qu’elle est une esclave et elle se dit qu’elle va bientôt être en prison.
Puis au lieu d’arriver dans un sanctuaire et d’avoir un peu de répit, elle doit maintenant faire face à Maîtresse Brenda. Jessie a peur d’elle. Maître X et même Maître Kévin lui ont fait faire des choses ignobles. Ils lui ont fait baiser et sucer beaucoup d’hommes, ils l’ont humiliée plusieurs fois, mais ils ne l’ont jamais maltraitée physiquement, du moins pas aussi brutalement que Maîtresse Brenda. Jessie a peur de franchir la porte. Elle prend une profonde inspiration et l’ouvre.
Jessie enlève la chemise, elle n’est plus autorisée à porter des vêtements à la maison. Elle avance dans le couloir et entre dans le salon. Brenda se trouve au milieu de la pièce avec Marcus agenouillé sur le sol face au mur. Il a un plug dans le cul qui est relié par une chaîne à une grosse boule en argent. Jessie grimace à l’idée d’avoir la même boule attachée à son plug.
Brenda lève les yeux quand elle voit Jessie entrer dans la pièce.
- Eh bien esclave as-tu passé une bonne journée ? J’adore tes nouveaux bijoux. Il s’est passé autre chose ?
- Oui Maîtresse. Les neveux de M. ASH sont maintenant inscrits à l’université. Ils m’ont baisée au déjeuner. De plus, mes élèves savent maintenant que je suis une esclave et ils ont décidé de m’humilier. Ensuite j’ai eu mon traitement chez le médecin et j’ai fait percer mon corps. Ce fut une journée très fatigante Maîtresse.
- Oui sûrement, donc je serai gentille avec toi ce soir. Tu as de la chance, Maître Kévin m’a informée qu’il avait quelque chose de spécial de prévu, donc je ne suis pas autorisée à marquer ton corps. J’avais prévu de te donner une nouvelle fessée, mais je ne peux plus. J’ai donc fait d’autres plans. Aimes-tu les nouveaux bijoux de la lopette ? Dit Brenda.
- Oui Maîtresse, j’aime ses nouveaux bijoux. Déclare Jessie, sachant très bien que ce qu’elle dit n’a pas d’importance.
- Merveilleux, parce que j’ai les mêmes pour toi. T’a-t-on montré les fonctionnalités spéciales de ton nouveau plug ?
- Oui Maîtresse. On m’a montré comment le plug se dilate si j’essaie de le retirer sans la télécommande. Répond Jessie
- Oh mon Dieu, ça peut faire beaucoup plus que ça. Laisse-moi te montrer. A quatre pattes que j’attache la chaîne de ce boulet. Dit Brenda en pointant le sol.
Jessie se laisse tomber par terre, se retourne et écarte ses fesses. Brenda attrape la chaîne et la verrouille sur le plug enfoui dans le cul de l’enseignante. Elle tire sur la chaîne pour s’assurer qu’elle est bien attachée et elle recule.
Jessie se retourne et s’assoit sur une fesse en essayant de trouver un moyen de s’asseoir confortablement. Maintenant, Marcus et elle sont liés à un boulet par une chaîne, mais pas attaché au pied comme aux anciens esclaves.
Brenda prend une télécommande sur la table et pousse un bouton. Jessie sent le plug vibrer pendant une seconde puis plus rien. Brenda sourit et regarde l’esclave en appuyant sur un autre bouton de la télécommande.
Au début, Jessie ne ressent pas grand-chose, mais ça change rapidement en sentant une décharge électrique dans son cul. Elle se tortille alors que les décharges s’aggravent. Les chocs électriques augmentent jusqu’à ce que Jessie se torde de douleur.
Tu vois, ton plug peut faire autre chose que de bloquer ton cul. Dit Brenda sans cacher sa joie.
Elle appuie sur un autre bouton et la décharge électrique est instantanée. Jessie se roule de douleur sur le sol.
Quand le corps de Jessie se remet lentement des chocs électriques, Brenda la pousse du pied et ordonne :
- Debout esclave, je veux voir comment tu peux te déplacer. Va jusqu’à l’escalier et reviens.
Jesse se lève et marche à quatre pattes à travers la pièce. Le boulet ne lui fait pas trop mal, il cause juste une petite dilatation du plug, mais rien que Jessie ne peut gérer. Elle est à environ trois pas des marches, quand le boulet se prend dans ses genoux et qu’elle tire plus fort sur la chaîne.
Jessie crie alors qu’un choc électrique se déclenche et lui envoie de la douleur jusqu’à son cœur et son cerveau. Elle se laisse tomber à terre, mais elle est bientôt poussée par le pied de Brenda pour qu’elle continue.
- Oh, j’avais oublié de te dire que si tu tires trop fort, tu reçois une décharge électrique.
Brenda rit du sort de Jessie. Quand elle revient de son voyage vers l’escalier, l’enseignante a été choquée trois fois par le plug. Elle ne sait pas que Brenda ajustait la sensibilité de l’objet dans son cul. Elle a diminué la force nécessaire pour déclencher les décharges. Jessie comprend très vite qu’elle doit porter le boulet pour ne pas subir les chocs électriques.
Brenda s’assoit devant l’ordinateur pour contacter Maître Kévin. Elle ordonne à Jessie de se tenir à côté du bureau et de garder le boulet entre ses pieds. Jessie doit s’agenouiller avec précaution pour éviter la décharge douloureuse, les jambes maladroitement pliées.
Brenda s’amuse à faire déplacer ses esclaves dans la maison encore et encore. Le boulet et la chaîne pendant entre leurs jambes rendent la tâche très difficile. Toutes les dix ou quinze secondes, un cri rompt le silence. Finalement elle les envoie dans leur chambre pour dormir. Demain sera un autre jour. Et ce n’est que le début de sa vengeance.
A suivre…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours