Récit d'Aznalune.
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Petite séance dominicale.
Après la séance chez Sophie, Jo est devenue plus docile, toujours en attente de jouissance, mais encore un peu coincée. Elle n’est toujours pas spontanée dans ses envies, mais en attente d’impositions ; nous avons toujours de belles séances de soumission-caresses-plaisirs, mais en intimité, l’extérieur lui fait encore peur, mais je pense qu’elle ne me dit pas tout.
Je sais qu’elle a encore besoin de plus se découvrir, trouver son plaisir sans retenue morale ; sur le plan physique, elle commence à être pas mal.
Ce dimanche matin, je lui sers son petit déj au lit, puis la « chauffe » gentiment en la mettant à plat ventre et en la massant longuement, de la nuque aux pieds. Quand mes mains arrivent sur ses fesses, je la sens se bloquer, attendre que mes doigts aient fini leur exploration puis expirer doucement, visiblement bien. Un petit coup de doigts dans la chatte me confirme ses bonnes dispositions, un petit filet coule entre ses petites lèvres. Je lui demande comment elle est et elle me répond :
- « bien, c’est bon, continue ! ».
- « Tu as envie de quoi ? » lui demandé-je en la retournant sur le dos et en lui caressant le ventre.
– JO : « je ne sais pas, mais j’ai beaucoup envie de jouir, fais ce que tu vœux »
Je continue alors de la caresser, partout, surtout sa chatte, désormais lisse comme un œuf, jusqu’à ce qu’elle commence à se tortiller en gémissant.
- JO : « c’est bon, j’aime ça, comme j’aime ça…..oui……ouiiiiiii…..continue je viens…..ouiiiiiii je jouis, je jouis ».
- « j’ai envie de t’attacher, qu’est- ce que tu en penses ? »
- Jo : « Oh oui, attache-moi, j’ai envie d’être attachée, écartée, je veux avoir les seins bien serrés, la chatte bien ouverte et après jouir longtemps, longtemps ».
- « tu as envie d’être immobilisée, sans défense, contrainte ? »
- Jo : « oui, je veux que tu fasses ce que tu veux, fais-moi mal, fais-moi jouir »
- « n’as-tu pas plutôt envie d’être soumise, d’avoir mal, parce que tu es maso et que tu n’oses te l’avouer ? »
- Jo : « non, c’est pas vrai, je veux juste jouir très fort »
Je l’attache comme j’en ai envie, d’abord les seins ; je la fais s’asseoir au bord du lit et je lui bande les seins avec un lien en nylon tressé de façon à ce qu’ils soient très serrés à la base et qu’ils gonflent. Quand je la rallonge, ses deux globes et ses tétons commencent à être turgescents ; quelques effleurements confirment la sensibilité de la zone…
Je passe maintenant aux jambes et aux cuisses ; je ramène ses talons attachés ensemble vers ses fesses, genoux serrés, je fixe deux pinces larges (récupérées sur des cintres) sur chacune des grandes lèvres et j’attache une ficelle de chaque pince au genou correspondant.
- « ouvre-toi, écarte ! »
Elle écarte ses genoux et les pinces ouvrent sa chatte en écartant ses grandes lèvres comme on ouvrirait un livre. Le spectacle est des plus bandants, ses deux petites lèvres se lèvent semblant réclamer aussi leur dû tandis que le petit filet de mouille commence à couler vers ses fesses.
Je lui attache maintenant les poignets aux montants du lit, de façon à ce qu’elle ne puisse pas se toucher. Sa tête tournée sur le côté et ses yeux clos montrent bien qu’elle n’assume pas encore son état ; pour la libérer, je lui mets un loup aveugle, ce qui aussitôt la fait changer de position, le « regard » tourné vers l’avant, un léger rictus souriant orne sa bouche légèrement ouverte. Je la doigte pendant quelques minutes pour la ramener en état de pré-jouissance, sur les nerfs.
- « Tu es bien ? » lui demandé-je
- Jo : « oui….oh oui »
- « que veux-tu maintenant ? »
- Jo : « j’aimerai jouir en ayant mal… j’aime bien, quand tu fais souffrir ma chatte »
Je vais dans le jardin et je ramasse une belle brassée d’orties, jeunes, sans graines que je passe sous l’eau pour enlever les saletés et que j’éponge au sopalin ; je récupère deux morceaux de fil de pêche au gros (tresse) d’un mètre et deux élastiques et je retourne à mon ouvrage.
Je commence par attraper une petite lèvre que je tire longuement et la faisant rouler dans mes doigts, ce qui fait gémir Jo, et surtout la fait gonfler. Quand la petite lèvre est prête, je l’attache (avec un nœud qui se défait quand on tire un des brins) le plus bas possible au ras de la caverne d’amour et je fixe l’autre extrémité à un des élastiques, attaché aux chevilles et tendu, de cette façon, la petite lèvre est tirée en permanence… imaginez la sensation. ; je fais subir le même sort à la seconde.
Jo râle maintenant en permanence et dodelinant lentement la tête.
- « Comment te sens-tu maintenant ? »
- Jo : « bien, trop bien, je suis serrée, tirée, ouverte, et j’ai envie, envie… stp branle-moi chéri stp… »
- « Pas encore, tu dois aller plus loin dans la douleur !, d’accord ? »
- Jo : « oui, oui si tu veux mais vite, j’en peu plus d’attendre »
- « C’est normal, je veux que tu sois soumise volontaire… »
Je récupère une partie de mes orties, les étale sur une serviette de toilette et demande à Jo de soulever ses reins pour que je mette une serviette pour protéger les draps ; Je glisse mon paquet sous ses fesses et lui appuie sur le ventre pour qu’elle ne puisse pas se relever. Jo hurle. Je branle son clitoris jusqu’à ce qu’elle éclate en hurlant son bonheur.
- Jo : « ouhhhhhhh, ouhhhhhhhhh je jouis, je jouiiiiiiiiiis mon dieu comme je jouis, encore, encooore »
Je continue de la caresser, lentement, en passant entre ses petites et grandes lèvres, sur son clito, sur ses seins, elle gémit maintenant sans discontinuer.
Sa chatte est grande ouverte, palpitante, on dirait un poisson qui cherche de l’air, quand mon doigt tourne autour, on dirait qu’elle veut mordre. Je pense qu’elle est bien à point pour « passer à confesse ».
Je vais chercher un bel auxiliaire végétal qui attend sur l’évier de la cuisine et le tube de gel chauffant si efficace sur les chattes ; je vais maintenant mettre Jo en transes de sexe. Je lui applique une bonne couche de gel sur les lèvres et le clitoris, et je lui demande si elle est bien.
- Jo : « oh oui oui je suis trop bien, ma chatte est en feu, elle me fait mal de se contracter d’envie, mais j’ai très soif, donne-moi à boire, un ricard bien tassé »
Ça y est, je suis arrivé là où je voulais, si Jo demande un ricard tassé, c’est qu’elle a envie de s’épancher sans retenue, elle mettra ses confessions sur le dos de l’alcool…
Je lui rapporte sa boisson dans une gourde de randonnée, équipée d’un petit tuyau qui permet de boire en marchant, et une fois qu’elle a bu, je vérifie que tout mon matériel est sous ma main et je m’allonge à ses côtés, j’ai mal de bander, mais patience.
Ses seins, maintenant un peu violacés tant ils sont serrés, sont durs comme de la pierre et ses tétons sont érigés comme des pointes. Je passe une poignée d’orties sur chaque sein et mets deux petits suceurs sur les tétons ; le résultat est là, Jo se remet à couiner de plaisir.
Je la rebranle longuement, jusqu’à l’orgasme. Sa chatte est maintenant gonflée d’envie, comme les chiennes en chaleur ; je prends mon beau concombre et le présente à l’entrée, mais sans lui faire passer le seuil, juste en appui.
Jo maintenant sanglote nerveusement, elle tremble et gémit.
- « que veux-tu ?» lui demandé-je.
- Jo : « j’ai envie, j’ai trop envie »
« De quoi tu as envie ? »
- Jo : « de jouir, d’une grosse queue, d’être remplie, que tu me caresses encore…. »
« Pourquoi je ferais ça ? »
- Jo : « parce c’est ce que tu voulais, que je sois ta chose, que tu fasses ce que tu voulais avec moi »
- « D’accord, mais tu vas me dire tout ce que tu m’as caché de ta semaine ! »
- Jo : « oui, je te le jure je te dirai tout, mais caresse-moi, par pitié, je deviens folle »
Je prends alors mon beau concombre chéri, pelé et suintant et je le force dans la chatte, un peu étroite pour lui, mais elle finit par céder dans un soupir de contentement, et je l’attache aussi, pour qu’il ne puisse pas être éjecté.
Jo râle maintenant en continu, mes doigts sur son clitoris et ses seins la maintiennent en extase.
- « Alors je t’écoute, qu’est-ce qui c’est passé cette semaine, on m’a dit des choses (ce qui n’est pas vrai, mais..) »
- Jo : « c’est pas ma faute, je te jure ; oh ouiiiiiiiiii caresse, caresse, ouiiiiiiiiii ; j’ai été violée, par J et L (deux amis), ils sont venus chercher la tondeuse et je leur ai offert un café. Quand nous sommes allés au salon, il y avait la télé et une musique langoureuse qui passait, J m’a attrapée et on a commencé à danser comme chez lui, il me pelotait et a descendu sa main dans ma culotte, je me suis défendue, mais il était plus fort et puis L est passé derrière moi et m’a soulevé la robe par-dessus tête et baissé la culotte. Ils m’ont tout fait et ohhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiii je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiis ahhhhhhhhhhhh »
- « qu’est-ce qu’ils t’ont donc fait »
- Jo : « ils m’ont sucée, longtemps, sur la table de la salle à manger, ils m’ont forcée à les sucer tous les deux, puis ils m’ont baisée, tous les deux et même ensemble, J devant et L dans mon cul ; L est ensuite parti mais J est resté, il s’est assis sur la chaise, toujours bandant et m’a forcée à m’asseoir sur lui, sa bite dans mon cul, c’est là qu’on t’a appelé au téléphone pour te demander où était le mélange de la tondeuse. Il me tenait par les hanches et me faisait monter descendre sur sa queue pendant que je te parlais. »
- « et tout ça t’a plu ? »
- Jo : « non, non, si, oui ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouis rien que d’y repenser, branle, branle-moi encore »
- « pourquoi ça t’a plu ? »
- Jo délirante : « parce que c’était bon, que j’aime ça, parce que je crois que je suis une salope, un pute, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhh comme c’est bon, j’aime ce que tu me fais , mais mon dieu c’est pas bien de me forcer, oh ouiiiiiiii je jouis »
- « je pense que tu aimes beaucoup le sexe, mais tu es encore coincée tu ne crois pas ? »
- Jo : « je ne sais pas, je ne sais plus ou j’en suis, je me sens comme une énorme boule de plaisir, j’en veux encore plus, n’importe comment du moment que je jouisse »
Je commence par libérer les petites lèvres, violacées, Jo hurle de douleur ; puis je libère ses seins et ses poignets ; seules les grandes lèvres restent ouvertes par les pinces et le concombre attend sagement au fond de sa chatte distendue. Jo se masse les seins et les tétons, soupire de plaisir et se décontracte quelque peu.
Je lui ôte son loup et découvre des yeux mouillés de larmes, elle a pleuré, mais je ne sais pas si c’est de honte ou de joie.
- « Comment te sens-tu maintenant ? »
- Jo : « bien, je me sens soulagée, et j’ai bien joui, merci mon chéri »
« Je n’en ai pas fini avec toi, tu dois arriver à accepter tes penchants, sans restriction, maintenant tu vas participer à ton plaisir, te libérer et tu vas le faire voir à tout le monde »
- Jo : « qu’est-ce que tu veux que je fasse ? »
Je vais prendre mon caméscope, allume la lampe centrale et je me place à ses pieds.
- « Maintenant tu vas te branler, te faire jouir avec tes doigts et le concombre, mais en même temps tu vas raconter tout ce qui te passe par la tête, vécu ou souhaité »
- Jo : « oh non, pas de film, stp… »
« Tais-toi, et branle-toi, n’oublie pas que tu es une salope maintenant »
Jo commence à faire descendre ses mains sur sa chatte et bientôt ses doigts dansent sur son clitoris, elle a les yeux clos. Quand elle se remet à soupirer et onduler du bassin, je la rappelle à l’ordre :
- « Ouvre les yeux et regarde-moi, prends la grosse queue avec ta main gauche et besogne-toi, comme tu en as envie, et je veux que tu dises à ceux qui vont voir le film qui tu es, compris ! »
Jo ouvre les yeux, elle semble en transes, sa main gauche s’active lentement dans de grands mouvements profonds, elle ouvre la bouche et se met à parler d’une voix rauque.
- Jo : « Je me branle, je suis en train de me branler devant vous, j’aime ça ; je me branle souvent quand je suis seule en regardant les voisins par la fenêtre, j’imagine qu’ils viennent me regarder, je suis une salope et je ohhhhhhhhhh je jouis, regardez comme je jouis. J’aime être soumise et offerte, vous pouvez tous m’avoir si vous voulez. J et L m’ont bien baisée cette semaine et je voudrais qu’ils recommencent, mais plus fort et plus longtemps »
Jo a les yeux qui commencent à se révulser, elle a sorti sa langue de sa bouche et elle hurle des imprécations excitantes tandis que sa main gauche va de plus en plus vite.
- Jo : « salope ohhhhhhhhh je suis une salope, ouiiiiiiiiii je jouis ouiiiiiiiiiiiiiiii, baisez-moi, baisez-moi ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Léa, Léaaaa, Clotilde c’est Jo, c’est moi Jo fouettez-moi, fouettez-moi ahhhhhh »
Et elle s’écroule terrassée par un orgasme dévastateur, ses jambes tremblent et sa chatte coule, le concombre, lui est mort, les contractions vaginales ont eu raison de sa résistance…
Je laisse Jo reprendre ses esprits, la libère totalement, la met à genoux et je profite enfin de son corps en l’enculant tout en lui caressant le clitoris, elle jouit, mais calmement en répétant comme une litanie :
- Jo : « tu m’encules, tu m’encules, j’aime ça, encule-moi encore, encore… »
Une fois calmé tous les deux, je lui dis qu’elle a encore besoin d’évoluer, ce à quoi elle répond en mettant sa tête dans mon cou :
- Jo : «Tout ce que tu voudras, quand tu voudras mon amour »
Je ne dis rien, mais ses derniers cris d’orgasme m’indiquent bien qu’elle a encore des envies non assouvies, repoussée encore inconsciemment.
A suivre...
Jusqu’où le mari de Jo l’amėnera-t-il? Est-elle prête pour ces nouvelles expériences qui l’amèneront toujours plus loin dans la luxure et son statut d’esclave sexuelle. J’attends de lire la suite avec impatience. Bravo….
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