Récit de Toucan9 (2007)
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Cette journée du 14 juillet, il faisait au moins 30°. Ma femme : Sylvie, 27 ans, brune, un corps de sportive et très prude (trop à mon avis !) et moi avions invité pour l’apéritif un voisin que je n’aime pas beaucoup mais que j’avais un peu « chauffé » sur ma femme (par plaisir purement vicieux d’espérer la voir « objet » de cet homme qui était seul ce dimanche). C’est un homme de 58 ans, bedonnant, à moitié chauve, de grosses lèvres sous sa petite moustache, l’air particulièrement vicieux, les yeux toujours à l’affût d’un coin de chair de femme, et autoritaire. Mais bon, il nous avait déjà rendu service en nous fournissant de la viande à prix exceptionnel étant livreur bientôt à la retraite dans une société de distribution alimentaire.
Je fantasmais secrètement depuis longtemps de voir Sylvie ma femme s’exhiber un peu (et peut être plus ?) devant lui, car je savais qu’il fantasmait sur elle, nous en avions déjà parlé ensemble. J’avais convaincu Sylvie de ne mettre que sa petite robe courte d’été, très légère avec un grand décolleté et d’une transparence qui laissait apercevoir ses dessous. J’avais eu du mal, car elle avait remarqué les coups d’œil appuyés de Monsieur F (appelons-le comme ça) sur son corps. Elle le trouvait vraiment très repoussant. Elle avait quand même accepté sur mon insistance mais à contrecœur.
Depuis le matin je la trouvais un peu énervée. De cette invitation peut être ? F arriva enfin. Il la prit dans ses bras et lui fit la bise et je vis qu’il l’embrassait tout près des lèvres. Cela m’excita un peu. Les banalités d’usage furent échangées et tous les trois, réunis devant la table en verre transparent du jardin, nous discutions de choses et d’autres. Je remarquai que F louchait souvent sur les cuisses nues et surtout sur la poitrine de Sylvie, mais il n’y avait pas grand-chose à voir, elle avait mis un soutien-gorge très sage alors que je lui avais proposé d’en mettre un transparent, ce qu’elle m’avait refusé tout net !
Elle avait remarqué ses coups d’œil et semblait un peu troublée, je trouvais ses yeux un peu brillants ?
Avec ma femme nous allâmes dans la cuisine pour chercher les amuse-gueules, je la trouvais légèrement fébrile (excitée ?). Alors j’en profitai pour lui dire :
- Dis donc, tu as vu comment il louche sur toi ? Ça ne t’excite pas ?
- Bof, dit-elle, tu sais il n’a pas grand-chose à voir !
Je sautai sur l’occasion, saisissant l’opportunité :
- Tiens alors fais-moi plaisir, retire ton soutien-gorge ! Montre-lui tes seins !
Elle fit la grimace prête à refuser, mais je lui dis :
- Excite-le un peu, nous ne sommes que tous les trois, essaye !
Alors aussi surprenant que cela, elle me dit en soupirant :
- D’accord mais juste ça ! Tu sais, c’est pour toi.
Ravi de cette aubaine, je lui dis :
- D’accord, tu te montres bien en te penchant vers lui hein ? Je veux que tu l’excites pour de bon !
Elle partit dans la salle de bain et moi je revins sur la terrasse avec l’autre. Un instant plus tard, Sylvie nous rejoignit mine de rien. Je me demandai si elle avait bien fait ce que je lui avais demandé, mais à travers la robe légère j’aperçus, ainsi que F d’ailleurs, les petites taches sombres des auréoles de ses seins clairs quand elle se rassit auprès de nous. Je plaisantai avec notre invité en parlant de la chaleur qu’il faisait, que l’on avait envie de ne mettre que peu de vêtements et que l’on pouvait profiter de ça pour en voir plus des corps de jolies femmes. Sylvie sourit et dit :
- Vous êtes vicelard vous les hommes !
- Et alors, dit F, c’est sympa de découvrir des choses que vous cachez trop d’habitude, Mesdames !
- C’est vrai, dis-je, je préfère te voir comme ça, presque nue plutôt qu’avec un col roulé !
- Moi aussi ! Dit-il en souriant d’un air gourmand et vicieux, fixant la poitrine libre sous le léger tissu.
A ce moment Sylvie gonfla ses poumons faisant pointer ses seins fièrement vers lui avec un sourire coquin, comme pour le provoquer. Déjà excité en voyant cela, je dis à Sylvie (pour tester sa bonne volonté) :
-Tiens, montre un peu tes plantations à M. F, il te donnera sûrement des conseils !
- Pourquoi pas, venez voir… lui dit-elle avec un sourire engageant.
- Bien sûr, avec plaisir ! Dit-il.
Ils se levèrent et je constatai que Sylvie se penchait bien face à lui pour montrer ses fleurs et avec le décolleté ouvert, il devait avoir une superbe vue directe sur les seins nus de ma femme. J’étais heureux de la voir enfin obéir pour mon plaisir. Elle restait penchée face à lui en le fixant dans les yeux avec un sourire coquin.
Je me levai enfin et m’approchant d’eux je jetai un coup d’œil à ma femme, je vis ses seins ronds et fermes, les bouts tendus comme des pointes et… Surprise, je vis qu’elle avait aussi retiré sa petite culotte. La robe ample ouverte laissant apercevoir l’ombre noire de son bas ventre. C’était la première fois qu’elle faisait cela ! Elle était prête ! Je bandais de plaisir de voir ma femme exaucer mes désirs cachés depuis tellement longtemps.
F était écarlate, en nage, les yeux fixés sur le corps dévoilé de Sylvie un vague sourire aux lèvres et le souffle court.
Cette présentation dura un petit moment, Sylvie s’étant laissée, pour la première fois, admirer par des yeux vicieux, semblant y prendre plaisir.
Nous sommes revenus à la table pour boire nos alcools. Je constatai que Sylvie avait aussi les joues rouges et respirait rapidement. Elle but très vite son apéritif. Je lui en resservis un autre bien tassé, sentant que le moment était propice pour qu’elle réalise mon fantasme Elle avait laissé sa robe remonter en s’asseyant et nous voyions ses cuisses bronzées sous la table. J’en voulais encore plus et d’un regard appuyé vers elle (que F remarqua) je l’encourageai. Me comprenant, elle croisa les jambes en les écartant un peu, faisant volontairement remonter sa robe, laissant apercevoir les poils noirs de sa chatte à F assis face à elle. J’étais aux anges. La table en verre transparent lui permettait de deviner le haut des cuisses de ma femme. Il était vraiment troublé par ce spectacle offert.
Enfin elle se leva pour aller chercher quelque chose dans la maison. J’en profitai pour dire à notre invité :
- Vous avez de la chance de voir autant de choses ! Peut-être qu’un peu plus vous intéresserait ?
- Oh oui, mais ça ne vous dérange pas ?
-Non, au contraire, lui dis-je, j’avais tellement envie de la voir faire cela pour vous. Je vais voir jusqu’où elle veut bien aller !
Je rejoignis Sylvie dans la cuisine et la pris dans mes bras. L’embrassant sur sa bouche chaude, je glissai une main sous sa robe légère et je sentis sa chatte humide. Je lui fis part de mon excitation à la voir faire tout cela et je profitai de son trouble :
- Dis donc, tu as vraiment l’air d’aimer te montrer au vieux F mais ce n’est pas assez, si tu lui faisais une petite gâterie ce serait mieux !!
- Oh non il est répugnant, c’est pour toi que je fais cela mais…
- Allez, fais un effort, lui dis-je d’un ton ferme, tu es bien partie et il a peut-être une belle bite que tu suceras jusqu’au bout. Allez fais-moi plaisir, suce-le !!! Tu dois m’obéir !
- Bon OK tu l’auras voulu ! me dit-elle.
- N’oublie pas : jusqu’au bout et tu lui obéis, tu fais tout ce qu’il veut ! Je me mets dans le grenier et je te laisse faire.
Elle ne dit rien et partit rejoindre le vieux, me jetant un regard trouble en passant devant moi. Sous un prétexte quelconque je les quittai et me rendis dans le grenier. J’écoutai leur conversation.
Sylvie avait dû recommencer ses exhibitions (il m’a dit après qu’elle avait largement écarté les cuisses cette fois, de façon provocante, lui exhibant sa chatte noire en souriant. Il avait compris à ce moment qu’il avait une chance inespérée !). Il lui demanda si elle était heureuse d’être dehors seule avec lui et avec si peu de vêtements. Elle lui répondit :
-C’est lui qui le veut !!! Mais ça vous plaît au moins ?
- Bien sûr, une si jolie femme avec un corps superbe qui donne envie d’en faire plus !
- J’ai envie de vous embrasser pour toutes les réductions que vous nous avez eu !
Et elle l’embrassa sur la bouche. Il lui saisit un sein qu’il sentit se dresser entre ses doigts. Elle ne bougea pas, la bouche collée sur la sienne, semblant prendre plaisir aux attouchements du vieux porc. Enfin elle dit :
-Viens là-haut, j’ai quelque chose pour toi.
Ils montèrent dans la chambre à côté de moi. J’avais laissé la porte de séparation entrouverte et je les vis face à face. Aussitôt dans la chambre, il l’attira sur lui et reprit le baiser, la langue introduite profondément dans la bouche de ma femme. Elle s’écarta légèrement de lui et dit :
- Je dois te sucer.
Elle se mit à genoux devant lui et ouvrit son pantalon, qui tomba à ses pieds. Le gros ventre blanc du vieux sortit, il descendit son slip et une petite bite toute molle se présenta devant le visage de ma femme. Elle n’osait la prendre (je sus plus tard qu’elle sentait très fort l’urine). Il saisit sa queue et la promena sur la figure de Sylvie.
- Allez, prends-la ma petite, nettoie-la !
Elle la prit entre deux doigts, approcha sa bouche quand même et passa la langue dessus. L’agitant un peu, elle dit d’une petite voix :
- Elle est molle! Je ne t’ai pas excité ?
- Tu sais, à mon age c’est plus dur. Pour bander longtemps il va falloir que tu suces ! Et d’abord lève-toi !
Je constatai un changement important dans son attitude, un ton très ferme, ayant senti qu’elle se laissait dominer. Elle obéit et se releva. Il saisit sa robe qu’il lui ôta, la mettant nue devant lui. Le corps mince de ma femme apparut, ses seins blancs et la toison noire de sa chatte tranchant sur la peau bronzée. Le maillot de bain deux pièces avait délimité et protégé ses parties intimes, elle n’avait jamais voulu se mettre nue au soleil dans le jardin ni ailleurs. C’était la première fois qu’elle était nue face à un autre homme que moi. Je sentis F excité. Il dit (la voix forte) :
- Depuis le temps que je te connais et que je voulais te voir toute nue !!! Enfin je te tiens !
Il lui saisit les seins et les tripota fébrilement, brutalement, pinçant très fort les tétons lui arrachant un cri de douleur. Il prit un sein dans sa bouche et le téta lentement. Je vis le visage de Sylvie s’illuminer de plaisir. Elle lui pressa la tête contre sa poitrine. Il s’écarta un instant après. Il palpa tout son corps, descendit une main jusqu'à sa chatte où il introduisit violemment un gros doigt après qu’elle eut largement écarté les cuisses ce qui me surprit de la voir répondre autant aux désirs de F.
- Tu mouilles bien !
- Oui, vas-y ! dit-elle.
Sentant son envie, il en introduisit un deuxième sans ménagement, il les fit aller et venir violemment. Elle tremblait de plaisir et de souffrance. Il les enfonça avec force et elle jouit intensément quelques instants plus tard en se collant à lui.
- C’est bon ! Souffla-t-elle.
Retirant brutalement ses doigts, il reprit la bouche de ma femme, qui s’ouvrit et y plongea sa langue. Elle lui prit la tête entre ses mains et l’embrassa avec force, la bouche grande ouverte pour un baiser violent, passionné, pour le remercier du plaisir qu’il lui avait donné. S’écartant en la repoussant il lui dit :
- Reste la bouche ouverte !
Ce qu’elle fit. Et alors il cracha dans cette bouche grande ouverte ! Elle ne bougeait pas, la gardant ouverte, souillée du crachat du vieux. J’étais abasourdi de voir ce qu’il faisait à Sylvie, prêt à intervenir si cela dégénérait mais excité en même temps de voir le degré de vice de cet homme et ce qu’elle était capable d’accepter ! Je bandais de plus en plus !
- Allez avale ! Dit-il.
Elle s’exécuta. Avec plaisir (me dit t’elle plus tard) elle avala, soumise devant moi à l’autorité de son amant.
- Ma queue maintenant !
Il avait pris un peu de vigueur, alors Sylvie s’agenouilla et reprit le sexe de F, le gland encore recouvert de sa peau. Elle le prit en bouche, aspirant cette petite queue, je voyais les joues de Sylvie se creuser tellement elle la suçait fort ! Elle allait et venait sur le gland, en levant des yeux pleins de désir vers la face réjouie du vieux. J’admirais voir ma femme toute nue à genoux devant un homme vieux et laid encore à moitié habillé qui s’excitait de cette situation digne d’un film porno. Quelques secondes après il dit :
- Mets ton doigt dans mon cul !
Il écarta les jambes et elle introduisit son doigt dans le fondement du vieux.
- Vas-y, branle-moi le cul ! Dit-il.
Elle s’exécuta lui rentrant profondément dans l’anus, la bouche toujours occupée par la tige du vieux. Il l’encourageait :
- Plus vite, enfonce-le bien et suce, ma salope, suce le vieux connard que je suis pour toi !
Elle redoubla d’efforts buccaux et enfin la bite atteignit une taille normale. Elle allait et venait sur le gland ses joues toujours creusées par la succion. Il lui recula la tête en la tirant brutalement par les cheveux et lui dit :
- Retire ton doigt et suce-le !
Elle obéit encore et sortit son doigt maculé. Il lui prit la main et la força à l’introduire dans sa bouche. Elle eut une grimace de dégoût et un haut le cœur. Elle parvint à déglutir quand même ! F rigola :
- C’est bon ?
Prenant sa queue entre ses doigts il commença à se branler devant la bouche de ma femme qui se rouvrit. Elle tendit la langue agaçant le méat où une goutte de sperme perla qu’elle recueillit avec plaisir pour supprimer le goût âcre des souillures avalées. Il se branlait de plus en plus vite, le gland à moitié dans la bouche ouverte, langue tendue, de Sylvie.
- Regarde-moi, Salope !
Elle leva les yeux vers les siens, le regardant franchement, complètement soumise au plaisir du vieux. Il accéléra son mouvement, la tête penchée vers ma femme et il lui dit, dans un râle :
- Oui…Prends tout !
Et il déchargea en jets spasmodiques sur la langue tendue, tendant son ventre et sa bite vers elle, un large sourire de satisfaction sur son visage. Elle en avait plein la bouche. Elle en eut aussi sur le nez et la joue. Un peu de sperme atterri sur le sein droit de Sylvie. Une fois tout déversé (il en avait une bonne dose !) elle garda toujours la bouche ouverte, apparemment ne sachant que faire, le sperme visqueux du vieux la dégoûtait certainement, mais elle était maintenant complètement soumise, prête à tout ce qu’il lui imposerait.
- Garde mon jus, régale-toi, salope ! Allez salope, avale tout !
Et je vis aux mouvements de sa gorge qu’elle avalait le foutre de F.
- Montre-moi si tu m’as bien avalé, cochonne !
Rouvrant la bouche devant l’autre elle lui montra qu’elle avait fait ce qu’il voulait. Il récupéra le sperme sur le nez de Sylvie avec ses doigts et les lui fit les sucer. Il en profita pour les lui enfoncer dans sa bouche, ce qu’elle laissa faire !
J’étais aux anges, elle n’avait avalé mon sperme qu’une seule fois depuis que nous étions mariés ! A ma grande surprise elle reprit la queue du vieux, toute molle, avec sa bouche et téta le morceau de chair en le branlant lentement comme si elle voulait le vider de toute sa semence. Il lui tira la tête, la saisissant par les cheveux.
- Ça suffit, y en a plus pour aujourd’hui, t’as l’air de l’aimer ma bite ! C’est bien, tu es la première qui accepte de faire ce que j’ai envie. Tu aimes le foutre ! J’espère que tu suceras d’autres bites aussi bien la prochaine fois ?
Elle quitta comme à regret la petite queue du vieux. Elle ramassa le sperme tombé sur son sein avec les doigts et les portant à sa bouche elle les lécha. Il remonta slip et pantalon, ma femme toujours nue a genoux devant lui. Je compris que ma petite femme, si prude jusqu’à aujourd’hui, avait glissé dans le plaisir par la soumission à F (qu’elle m’avait souvent dit détester), étonné de voir jusqu’ou elle pouvait s’avilir mais en même temps heureux de la voir sortir de son attitude si prude qu’elle avait habituellement à la maison.
Je jouis enfin, projetant mon sperme sur la moquette, n’ayant pu profiter moi aussi de sa bouche. Il la fit relever en la tirant par les cheveux, il reprit ses seins à pleine main et en les triturant, les pinçant très fort pour lui faire vraiment mal, elle grimaça de douleur, mais elle lui sourit aussitôt après. Lui donnant une claque violente sur la fesse en pinçant toujours un téton il lui dit :
- T’es ma salope maintenant ! Je reviendrai et je t’amènerai des copains à soulager si tu es gentille et si ton mari est d’accord.
Elle lui dit d’une petite voix :
- Il faut lui demander !
Je sortis de ma cachette, faisant sursauter le vieux. Il la lâcha. J’avais un grand sourire. Je me tournai vers Sylvie, toute nue entre nous.
-Moi je veux bien, et toi es tu prête ?
Elle ne répondit pas, baissant la tête.
- D’accord, elle fera ce que vous voulez.
-Super, dit-il j’ai des copains qui aimeront ta bouche ! Tu avales bien ! Penche-toi !
Elle se pencha en avant, lui présentant sa croupe. Il lui écarta les fesses et introduit un doigt dans son anus et lui frotta le clitoris de l’autre main ! Devant moi ! J’étais surpris de son audace et encore plus de la soumission de Sylvie.
- Vous avez une femme splendide et bien élevée ! Me dit-il.
Elle poussa un gémissement et je vis son visage s’illuminer d’un grand sourire. Elle aimait ces doigts qui la fouillaient.
- Elle mouille encore ! Elle aime ça dis donc ! J’espère qu’elle sera comme ça avec les copains !
Et sans attendre il nous quitta.
Je pris Sylvie toujours nue, abasourdie, dans mes bras pour la féliciter de son comportement. Je lui fis boire un alcool fort avant de l’embrasser. Pour la première fois elle resta nue une grande partie de l’après-midi au soleil, quitte à être vue des voisins, mais insouciante et joyeuse. Elle ne me dit rien et c’est bien plus tard qu’elle m’a livré ses sentiments de ce moment, et j’en appris plus après qu’il l’eut effectivement livrée à des copains et même à un voisin détesté pour le même exercice dès le lendemain.
FIN
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