Récit d'Aznalune.
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Expérience de groupe.
Au mois de juin 2000, j’ai rencontré sur le net un groupe qui me semble bien convenir à mes aspirations et pourrait m’aider à combler la formation de ma soumise. Ils organisent des soirées intimes, toutes orientées soumission, avec des thèmes.
Sophie, l’organisatrice me propose l’initiation à une soirée « canine », comme je ne comprends pas trop le but de la soirée, je lui demande en quoi consiste notre participation.
« Vous venez avec votre soumise qui sera traitée comme une chienne dans un élevage ».
Je lui dis que ça me va et que je serai là, samedi soir. Je préviens Jo que samedi nous sommes invités dans un château pour une expo canine privée. Compte tenu qu’il y aura du beau monde, je lui demande de se faire belle, coiffeur, épilation, maquillage, bas, etc... Et la petite robe noire en volant de tulle, à bretelles.
Samedi 21h00, nous arrivons au château de « B… » qui en fait est une grosse demeure au fond d’un grand parc, l’interphone demande la raison de ma visite et à ma réponse « Exposition canine de Sophie B… » le double portail s’ouvre et nous laisse pénétrer dans les lieux. Allée bordée d’arbres, façade légèrement éclairée pas des lanternes, parking où sont déjà rangées une douzaine de voitures.
Nous somme reçus par Sophie en personne, qui après les présentations nous conduit au salon où nous partageons quelques amuse-gueules avec les autres invités. Nous sommes là sept hommes, dont un véritable athlète noir et sa femme, menue, cheveux cours et l’air sévère, et sept femmes, jolies pour la plupart.
Jo me dit discrètement qu’il n’y a pas beaucoup de monde pour une expo et qu’on n’entend pas les chiens; je lui réponds que c’est une expo privée et que les chiens sont enfermés dans un bâtiment plus loin.
Quinze minutes plus tard, Sophie entre dans la salle avec une liste à la main et elle appelle :
- Jo….
- Clotilde
- Léa
- Marion
- Stéphan
- Sébastien
- Baptiste
- Vous me suivez pour la préparation.
Jo me regarde interrogative, je hausse les épaules, dubitatif, mais je lui fais signe de suivre les autres ; tous les appelés s’en vont en suivant la maîtresse de maison.
Une vingtaine de minutes plus tard, Sophie nous demande de la suivre dans la pièce d’à côté où doit se poursuivre la soirée ; c’est une belle salle, il y fait encore plus chaud qu’au salon, les fenêtres sont obturées par de grands rideaux rouges, la lumière est assurée uniquement par des chandeliers posés sur des petites colonnes tout autour de celle-ci.
Des fauteuils et des chaises sont disposés en cercle et au milieu de celui-ci, se dresse une sorte de grosse borne en pierre, comme une petite pyramide haute de deux mètres avec des anneaux scellés ; et le spectacle absolument sublime des appelés de la liste, à genoux, tous avec cagoules de vinyle noir, ne laissant qu’une ouverture pour la bouche, celle-ci bloquée par un bâillon-boule, sont attachés par un collier et une laisse aux anneaux de la pyramide.
Jo, comme les trois autres femmes, est nue, « habillée » d’une sorte de harnais, les seins sont enserrés à la base, mais libres ; le reste du corps est cerclé par le harnais avec cinq bandes cloutées, les jambes sont gainées dans des cuissardes hautes ; tout cela noir, sauf pour baptiste, le beau noir, qui lui est en rouge et qui, comme les autres hommes, n’a pas de cuissardes.
Sophie s’approche et nous donne à chacun une cravache ;
- Maintenant, récupérez vos animaux, nous allons passer au dressage ! S’écrie-t-elle.
Je m’approche de Jo, ma chienne, et je la ramène, à quatre pattes, comme les autres maîtres devant mon fauteuil.
- Sophie : « première chose, vos animaux doivent comprendre qui commande, pour çà, vous allez leur donner 10 coups de cravache, allez-y, en comptant »
Comme les autres, je commence à donner des coups de cravache sur les fesses de Jo en comptant, mais Sophie intervient brusquement, m’arrache la cravache des mains et donne elle, de grands coups de cravache sur les fesses déjà rosies et on entend les gémissements de Jo sur son bâillon.
A dix, toutes les fesses sont bien colorées (sauf celles de Baptiste, bien que son épouse y soit allée de bon cœur).
- Sophie : « les mâles à l’anneau ! »
Les maîtresses accrochent alors leurs laisses à la pierre centrale pendant que Sophie installe une table ronde devant mon fauteuil.
De mon côté je suis en train de caresser doucement les fesses de Jo qui tremble un peu.
Sophie s’approche, prend ma laisse et amène Jo, toujours à quatre pattes vers la table en lui donnant des petits coups de cravache, visiblement adressés à sa chatte épilée.
- Sophie : « les maîtres, approchez avec vos femelles, elles ont une novice à former »
Les trois autres maîtres approchent avec leur femelle qu’ils libèrent de leur laisse et de leur bâillon et sur un signe de Sophie elles prennent Jo à bras-le-corps et la mettent à genoux sur la table.
- Sophie : « allez, formez-moi cette petite à la vie en chenil ».
Je suis absolument ravi et excité par le spectacle qui se déroule devant moi : Jo est caressée, sucée, pincée par six mains expertes, ses gémissements atténués par le bâillon laissent supposer qu’elle va bientôt jouir sous les caresses saphiques, chose qu’elle avait toujours refusé. Elle a du mal à rester à quatre pattes et Sophie est obligée de la redresser à coups de cravache.
Jo se met bientôt à balancer violemment sa tête de droite à gauche et Sophie comprend qu’elle est en train de jouir ; elle s’approche et ordonne qu’on la mette sur le dos ; elle lui enlève son bâillon et l’embrasse profondément.
Léa se colle sur sa chatte, on voit sa langue parcourir le sillon des petites lèvres et titiller le clitoris tout gonflé ; Marion et Clotilde s’occupent des seins qu’elles sucent et pincent avec violence. Jo gémit maintenant sans discontinuer, elle râle de plaisir jusqu’à ce que Sophie écarte les femelles, la fasse descendre de la table et lui remette sa laisse qu’elle me rend.
Sophie, en me regardant, fait signe aux autres femelles de se coucher sur le dos, genoux remontés et cuisses ouvertes ;
- « Maintenant apprenez-lui à rendre son plaisir !».
Je prends ma laisse et traîne ma chienne vers les trois chattes ouvertes, déjà luisantes, lui pousse la tête avec la main, sentant une résistance certaine lorsqu’elle sent les odeurs intimes lui envahir le nez. Comme un vrai maître qui doit se faire obéir, je lui donne alors deux coups de cravache sur les fesses en lui ordonnant de sucer Léa.
Jo se met d’abord timidement à sucer Léa qui commence à gémir et lui prend la tête, la maintient sur sa chatte pour la faire aller le plus loin possible, Jo se libère peu à peu et commence à se servir de ses doigts et bientôt, c’est sa main toute entière qui va et vient dans le vagin d’une Léa au paradis.
Sophie, en bonne maîtresse de maison, ne voulant pas qu’il y ait des jalouses, arrête Jo et l’oblige à pratiquer toutes les chattes, voire les anus des chiennes sur le dos.
Au bout d’une bonne heure, toutes les femelles sont complètement sur les nerfs, excitées et tendues comme de la corde à piano ; les mâles attachés sont tendus aux aussi, ils bandent comme des ânes (moi aussi) de tous ces bruits de jouissances et je suis particulièrement impressionné par la queue de Baptiste, effectivement comme un âne.
Je récupère Jo et Sophie nous invite maintenant à faire un manège de présentation, c'est-à-dire de présenter nos animaux tenus en laisse, pour qu’ils se reconnaissent ou fassent connaissance. Je promène donc Jo au milieu de ces femelles et ces mâles énervés.
Je l’approche de Léa qui est en train de sucer Stéphan avec application, toujours à quatre pattes (ce qui lui fait se tordre le cou) et elle lui lèche les fesses, puis lui enfonce deux doigts l’anus en les faisant tourner, ce qui arrache des grognements de plaisir à celle-ci.
Plus loin, Clotilde est branlée par Sébastien, encouragé par les coups de cravache de sa maîtresse qui lui enfonce un gode dans le cul ; elle crie son bonheur d’une voix continue.
Quand je juge que Jo a suffisamment joué avec Léa, je l’approche de Baptiste qui est en train de bouffer la chatte de Marion, en lui enfonçant ses énormes doigts dans la chatte et l’anus ce qui lui procure orgasmes sur orgasmes. Jo s’approche lentement du dos de Baptiste, toujours à quatre pattes et se met à le renifler pour essayer de savoir qui c’est. Je lui donne un coup de cravache pour accélérer son action et elle se met à lui lécher les fesses et s’aventure bientôt sur sa raie culière. Là, pour la première fois, je la vois pointer sa langue et essayer de la faire entrer dans l’anus de Baptiste, qui semble apprécier la caresse, puis elle se penche pour essayer d’attraper son mandrin, mais là, la maîtresse de Baptiste lui cravache la main et elle suspend son geste mais continue son léchage.
Sophie qui vient de se faire sucer copieusement par une Clotilde déchaînée appelle les maîtres à la rejoindre et propose de passer maintenant à la phase saillie des femelles ; elle s’approche de moi et me propose de prendre en main la saillie de Jo, ce qui m’excite particulièrement. Elle prend la laisse de Jo et lui fait faire le tour des trois mâles, la faisant renifler, tâter, lécher au passage et vient l’attacher à la pyramide, laisse courte ; elle fait signe à la maîtresse de Sébastien de venir commencer le travail qui s’approche avec son mâle, lui fait sentir la femelle (Jo) et quand il semble prêt, le détache et lui dit :
- « va, mon chien, baise, baise… ».
Sébastien se met à lécher abondamment l’anus de Jo, toujours à quatre pattes, puis il se place derrière elle et lui enfonce sa queue dans la chatte déjà dégoulinante de mouille qu’il bourre comme un sauvage, cramponné à ses seins qu’il écrase dans ses mains en pinçant les tétons violacés.
- Jo gémit de plus en plus fort : « oh….oHHHH…..ouiiiiiiiiiii…………umpfffff »
Dix minutes plus tard il se cambre en hurlant et lâche sa semence dans le vagin récepteur. Il se retire et sa maîtresse le reprend en laisse. Stéphan est bientôt amené à pied d’œuvre à coups de cravaches, ce qu’il semble en fait attendre, il lèche aussi abondamment les fesses de Jo lui fait une feuille de rose qui la fait gémir plus fort. Sa maîtresse décide alors de le lâcher et lui glisse à l’oreille quelque chose que je n’entends pas que mais que je vais vite deviner. Il se dresse sur les genoux et présente sa queue, bien dimensionnée sur l’anus de Jo qui fait non de la tête, un coup de cravache la calme aussitôt et elle feule en sentant ce bel engin aller au plus profond d’elle-même, lentement, avec délectation, puis se met à geindre quand il se met à limer de plus en plus fort et explose dans un orgasme dévastateur.
Sophie s’approche de Jo, pantelante, et lui murmure à l’oreille :
- Tu es une petite chienne en chaleur et tu as encore envie de te faire saillir ? »
- Jo : « oui madame j’ai envie… »
- Sophie : « bien, mais comme tu n’as pas été très sage et j’ai envie de te corriger, qu’est-ce que tu en penses ? »
- Jo : « oui madame, corrigez-moi, je pense que j’ai été amenée ici pour cela »
- Bien dit Sophie, je vais te préparer, viens avec moi.
Les deux femmes disparaissent et reviennent quelques minutes plus tard ; Jo n’a plus de harnais, elle est nue mais a toujours sa cagoule. Sophie la prend par la main et la conduit à la pyramide où elle l’attache à l’anneau de la pointe, les bras entourant la pierre, comme pour l’embrasser, ses seins et son ventre frottent sur la surface rugueuse, ses jambes sont maintenues écartées au niveau des genoux par une corde qui fait aussi le tour de la pyramide.
Sophie met alors en place, devant son visage un petit micro sans fil, et aussitôt, on entend sa respiration haletante amplifiée, comme dans une cathédrale. Sophie s’approche et caresse Jo dont le souffle s’accélère, l’ambiance et vraiment dantesque.
- Sophie : « alors Jo, qui es-tu ?, présente-toi à tes mâles »
- Jo : « Je m’appelle Jo…, j’ai 34 ans, je travaille à A…. et j’ai deux enfants »
- Sophie : « bien, maintenant dis-nous pourquoi tu es là ? »
- Jo : « je pense que mon mari veut que je sois dressée, soumise à tous ses désirs, mais je n’y arrive pas toute seule, j’ai honte »
- Sophie, en lui tordant les tétons : « donc tu dois dépasser ta honte et on doit te soumettre, par la cravache et le sexe ? »
- Jo : « oui, je pense que c’est ça »
- Sophie : « bien, mais tu vas le dire bien fort pour que tout le monde entende ton appel au dressage »
- Jo, d’abord timidement, puis de plus en plus distinctement dans le micro : « oui, je veux être dressée, je veux être soumise, vous pouvez faire de moi tout ce que vous voulez »
- Sophie : « choisis maintenant quel objet pour te corriger ? »
- Jo : « j’aimerai bien la batte plate en latex de Léa….longtemps »
Esmir, la maîtresse de Baptiste s’approche de moi en souriant, se met à genoux et ouvre mon pantalon libérant mon sexe tendu qu’elle lèche, puis elle se retourne, relève sa robe et s’embroche doucement, puis elle ne bouge plus. Elle prend mes mains et les place sur sa chatte, que j’écarte et que je branle avec application.
Léa s’approche de Jo, sa batte à la main. Comme les autres filles et garçons (sauf Jo et baptiste), elle est complètement nue, plus de harnais ni de cagoule, je remarque entre ses cuisses qu’elle a maintenant des pinces sur la chatte. Elle lève le bras et le premier coup s’abat sur les fesses de Jo.
- Jo : « ohhhhh, oui »
Puis un autre coup, puis un autre et un autre et toujours résonne dans la salle des « ohhhh… oui… c’est bon… encore… ». Jusqu’à l’orgasme qui arrive sans prévenir « Je jouis, je jouis… ahhhhhhhhhh… ahhhhh… comme c’est bon, comme j’aime ça… ohhhhh »
Léa repose sa batte, s’approche de Jo et lui prend la bouche dans un baiser profond auquel elle répond avec passion. Les fesses de Jo sont écarlates et ses cuisses ruissellent de son jus.
Moi de mon côté, je caresse Esmir qui bouge très peu mais coule abondamment, je lui pince les lèvres, les étire au maximum, elle aime.
Sophie s’approche de nous et demande à Esmir si elle veut bien prêter son mâle, ce qu’elle accepte bien sûr ; Sophie prend donc Baptiste pas sa laisse, le traîne au milieu de la pièce et le fait mettre sur le dos. Son impressionnante verge est dressée comme un poteau, honnêtement, je n’ai jamais vu un tel engin, je suis un peu inquiet de la suite des évènements.
Clotilde, Léa et Marion sont amenées contre Baptiste et elles commencent à le caresser, sucer, jusqu’à ce que Sophie les écarte avec quelques coups de cravache.
- Sophie : « allez chercher l’esclave à dresser, préparez-la »
Les trois femelles détachent Jo, l’allongent sur le sol et lui prodigue toutes les caresses qu’elles connaissent, mais sans jamais investir sa chatte ou son anus. Au bout d’une trentaine de minutes, Jo commence à ne plus se contrôler, elle réclame sans arrêt « une bite, je veux une bite, mettez-moi une grosse queue, je n’en peux plus ohhhh… une queue par pitié ».
Sur un signe de Sophie, Sébastien et Stéphan attrapent Jo sous les aisselles et les jambes, et aidés des femelles approchent Jo du pieu de Baptiste qui ne voit toujours rien lui non plus. Je vois Jo, cuisses grandes ouvertes, la chatte bien écartée et ruisselante, suspendue au-dessus du pal de Baptiste ; Esmir doit sentir l’effet que ça me fait, car elle tourne la tête, m’embrasse et me dit à l’oreille « elle va s’en souvenir toute sa vie, je te le promets », puis elle se recale encore plus profondément sur moi, mes mains toujours actives sur sa chatte.
Sur un signe de Sophie, Jo est approchée doucement, jusqu’à ce que sa chatte touche le bout du pieu de Baptiste, puis elle est descendue jusqu’à ce que sa chatte s’ouvre, mais il est évident qu’elle est trop étroite pour le moment, mais elle en a trop envie et elle crie « enfilez-moi, plantez-moi, je la veux dans moi » ; les porteurs la descendent donc, mais en vain, l’entrée est trop étroite.
Sophie, en bonne maîtresse de maison, fait reculer les porteurs et enduit le sexe de Baptiste d’un gel lubrifiant dont elle enduit également la chatte de Jo, qui est de nouveau ramenée au-dessus de son pal. Doucement elle est descendue, et cette fois la tête de la bête passe la porte d’entrée, ce qui est ponctué par un petit cri vite suivi d’une grande aspiration.
Les porteurs posent doucement les pieds de Jo sur le sol et ses mains sur le torse de Baptiste, où elles saisissent les lanières du harnais pectoral ; ses jambes sont un peu fléchies, elle ne bouge plus.
La salle est silencieuse, tout le monde regarde le spectacle surréaliste de cette chatte, distendue, au-dessus d’au moins vingt-cinq centimètres de chair turgescente. Jo commence à donner des petits coups de reins pour avaler cette queue, sa bouche est grande ouverte, elle râle, la langue complètement sortie. Elle descend lentement, gémissant de plus en plus fort, puis on ne voit plus la queue de l’étalon, elle l’a complètement absorbée. Elle s’allonge sur le torse et savoure sa dilatation.
Sophie s’approche avec son petit micro qu’elle lui fixe sous le menton et lui pose la question :
- « Jo, veux-tu continuer à subir, je veux te filmer et faire profiter le monde entier de tes perversités ».
- Jo, dans le micro : « je suis trop bien, je ne veux plus bouger, mais vous pouvez faire tout ce que vous voulez ».
Ses paroles, amplifiées, résonnent dans la pièce et me font presque jouir dans Esmir, qui elle aussi veut garder le contrôle.
Sophie met en place une caméra devant Jo, en lui demandant de bien regarder devant elle, puis elle approche deux des chandeliers de chaque côté de l’accouplement irréaliste. Nous sommes maintenant en attente de la suite.
Sophie s’approche du couple, avec Léa et Clotilde, chacune un martinet à la main, Baptiste ne bouge toujours pas d’un poil, ce qui fait la fierté de sa maîtresse, qui elle commence à avoir des contractions vaginales de bon augure. Jo semble somnoler quand le premier coup s’abat sur son dos, elle sursaute en criant mais les coups de martinet de ses trois tortionnaires se mettent à pleuvoir en cadence, sur ses fesses et son dos. Marion passe derrière son dos, l’empoigne sous les cuisses et la remonte le long de son pieu, puis la redescend, puis la remonte et ainsi de suite, jusqu’à ce que Jo commence à couiner son bonheur dans le micro :
- « Ouiiiii… ouiiiiiiiiiiiiiiiii… Ohhhhhhhhhhhhhh … comme c’est bon… »
Alors Marion la lâche et lui glisse à l’oreille :
- « maintenant, baise-le comme une pute, on veut t’entendre hurler ton plaisir »
Alors je vois Jo pousser sur ses jambes et remonter, descendre, remonter, descendre de plus en plus vite, toujours sous les coups de martinet. Puis c’est l’apothéose, Jo se met à hurler qu’elle jouit dans le micro :
- « mon dieu, ce n’est pas possible ahhhhh… je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis… Ahhhhhhhhhhhhhh…»
Elle secoue sa tête dans tous les sens, sa langue est sortie de sa bouche, et ses mots deviennent incohérents dans la micro.
Sophie s’approche, lui ôte sa cagoule et lui dit :
- « continue maintenant seule, c’est nous qui attendons maintenant tes désirs »
Jo continue sa chevauchée fantastique, elle me fixe hagarde, sa main est descendue sur son clitoris et se met à l’astiquer avec ardeur ; elle atteint encore un violent orgasme, puis se met à réclamer de plus en plus fort :
- « mon cul, mon cul, je veux sentir mon cul rempli… ohhhhhhhhhhhh… qu’on m’encule, enculez-moi pitié, enculez-moi… »
et c’est Stéphan, en connaisseur qui présente sa queue toute humide de la salive de sa maîtresse et qui pousse, qui pousse. Jo se met à gémir sans discontinuer :
- « plus fort, baise, baise-moi… ohhhhhhhhhh »
Mais Stéphan a de la peine à entrer, compte tenu de la place prise par Baptiste, on voit bien que la chatte est complètement distendue. Alors Sophie (toujours elle) ouvre le passage avec deux puis trois doigts enduits de gel puis prend les deux globes de Jo les ouvre et crie à Stephan :
- « maintenant ! »
Il pousse, pousse, la tête entre et d’un puissant coup de reins il est au fond. Les trois protagonistes ne bougent plus, ils savourent. Sophie enlève la cagoule de Baptiste et leur hurle
- « maintenant, allez ! »
Et je vois Jo, perforée de deux côtés se mettre à tanguer sous les coups de boutoirs de deux étalons, la bouche ouverte pour retrouver son souffle, hurlant sa douleur et sa jouissance, puis fixant la caméra d’un œil de défi ;
- « vous voyez tous, je suis une salope, une vraie salope et j’aime çà, ohhhhhhhhhh… oui… comme vous me baisez bien… mmmmmmmmmmm »
Puis Baptiste se cambre, et jouit à son tour, suivi dans la foulée par Stephan qui se retire rapidement, pendant que Jo est encore dans les vaps.
Esmir est depuis longtemps partie, son bouton est violet de caresses, elle est un peu assoupie, mais moi, je suis toujours d’aplomb, lors je la soulève doucement, l’allonge a plat ventre sur la table et je l’encule sans ménagement, ce qu’elle apprécie plutôt, car elle regarde son esclave et semble lui dire « moi aussi tu vois, je peux me faire enculer », et nous partons ensemble d’un bel orgasme sous les regards lubriques des autres convives.
Maintenant que tout le monde est calmé, nous allons récupérer Jo, dans les bras de Baptiste, toujours embrochée sur la queue monstrueuse. La vue de l’arrière est impressionnante, seules les couilles de Baptiste sont visibles sous Jo, on dirait qu’elles sont à elle, elle a encore dans sa chatte cette queue énorme, qui doit cependant être un peu moins dure. Nous soulevons Jo par les bras et les jambes, la queue de Baptiste en s’échappant fait un bruit de ventouse et un flot de foutre et de mouille ruisselle sur ses cuisses, stoïque il attend patiemment que sa maîtresse lui donne d’autres instructions.
Tout le monde va prendre une douche et bientôt la joyeuse équipe prend congés de Sophie, qui pense que pour une première fois, Jo a bien réagi, mais qu’il ne faut pas aller trop vite.
Nous sommes sur le parking, je vais démarrer quand Esmir et Baptiste arrivent aussi à la leur. Esmir s’approche, elle tient toujours Baptiste en laisse (mais en costume…) :
- « Baptiste veut dire au-revoir à votre compagne, il n’aime pas subir… »
* Pas de problème lui dis-je, « Jo va dire au revoir à Baptiste ».
Jo descend de voiture, et s’approche de Baptiste, en lui tendant naïvement la main. Esmir détache son mâle et lui crie :
-« vas-y elle est pour toi seul ! ».
Baptiste empoigne Jo à bras-le-corps, malgré ses cris et ses gesticulations de défense, la retourne et la hisse sur le capot de leur Q7, lui soulève la robe, arrache sa culotte et lui écarte les jambes avec ses genoux.
On doit entendre les cris de Jo à un kilomètre, je m’approche de Jo et lui donne une gifle :
- « silence tu sais que tu dois tout accepter! »
Baptiste sort son mandrin qui a visiblement repris de vigueur, fléchit sur les jambes et, les mains agrippées aux épaules de Jo, il entreprent de l’enfiler, la chatte de Jo ne s’est pas encore remise de la précédente pénétration et celle-ci est moins difficile. Quand elle se sent bien investie, Jo commence à réagir à cet hommage.
-Jo : « offfff… offffffffff… oui… vas-y, baise-moi comme ta femelle… oh ouiiiiiiiiii !»
Baptiste pistonne de plus en plus vite, il sort de Jo puis la renfile jusqu’au fond de sa matrice. Esmir a relevé sa robe et je la doigte consciencieusement, elle a compris que je n’avais pas les performances de Baptiste, mais çà semble lui plaire, elle jouit tranquillement, avec des petits cris de souris.
Devant nous, le Q7 danse sur ses amortisseurs, Jo sursaute à chaque grand coup de bite de son mâle, comme tout à l’heure, sa bouche est ouverte, sa langue sortie comme une noyée et elle se met à râler son plaisir :
- « ahhhhhhhhhhh… c’est… encore… plus fort… je jouis… je jouis… aHHHHHHHHHHH »
Puis c’est un nouvel orgasme qui la terrasse, elle s’écroule sur le capot, poupée disloquée. Baptiste ahane encore quelques coups puis se crispe, il attrape Jo par les cheveux et la tire en arrière en déversant en elle. Il se détache de la coupe accueillante, nous sourit et rentre son engin, puis il prend Jo, dans les vaps, et la dépose sur ma banquette arrière.
Esmir rabaisse sa robe, me fait une bise sur la joue,
- c’est bien, dit-elle, il faudra que vous me rameniez votre femelle à la saillie, moi, je ne supporte plus ses assauts.
Deux heures plus tard, Jo dormait dans notre lit, sans avoir repris tous ses esprits.
A suivre...
Je ne lasse pas de lire cette histoire. Jusqu’où Jo ira-t-elle pour se soumettre à son mari et satisfaire ses moindres désirs ? En fera-t-il l’esclave sexuelle avide de sexe et jouissance qu’elle souhaite devenir ou controlera-t-il son droit à la jouissance ? La pousser a-t-il enfin dans l’humiliation nécessaire à l’education d’une bonne soumise ?
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