vendredi 7 juillet 2023

Les malheurs de Florence Ch. 01

 Récit de Elko

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Une bourgeoise soumise à un chantage.

Madame Florence Duval-Cochet enfila le bas auto-fixant sur sa jambe. Son pied était posé sur une chaise et elle remonta le bas jusqu'en haut. Elle s'observa dans le miroir de sa chambre. A 54 ans, c'était encore une belle femme plantureuse avec de gros seins. Pas très grande, elle avait les cheveux châtain clair. Elle avait décidé de faire des photos sexy qu'elle enverrait à son amant William. William était le meilleur ami de son fils, David. C'est William qui l'avait dragué un jour où il était venu manger dans leur pavillon dans les environs de Nantes. Son fils, David, la trentaine, prof de math dans un lycée de la région, le connaissait depuis l'enfance. William l'avait complimenté sur sa tenue. Ce jour-là, Florence portait une jupe courte sur des jambes habillées de nylon clair. Les talons aiguilles de ses escarpins la grandissaient un peu plus. Son mari, qui gérait plusieurs boites dont deux à l'étranger, était absent comme bien souvent.

William n'avait pas arrêté de suivre Florence partout dans le pavillon alors que David ne se rendait absolument compte de rien. Il l'avait finalement coincée dans la cuisine. Il l'avait poussée contre l'évier, avait retroussé sa jupe dévoilant le collant qu'il avait baissé en même temps que le string. Florence avait protesté en chuchotant pour ne pas avertir David, mais William avait continué son exploration lui titillant le clitoris avec ses doigts. Très vite, madame Duval-Cochet avait apprécié les caresses de William qui faisait coulisser ses doigts de plus en plus vite dans la fente de la mère de David. La respectable mère de famille ondulait du bassin s'empalant sur les doigts. Elle se mordit les lèvres étouffant un gémissement. Fou de désir, le meilleur ami de son fils la retourna soudain. Elle s'agrippa à l'évier. Le jeune homme tâtonna et enfonça de tout son long un sexe dur comme l'acier. La tenant aux hanches , il commença à la pilonner comme un fou. Son ventre venait claquer contre les fesses de Florence.

William, qui fantasmait sur la mère de son pote depuis longtemps, n'en revenait pas de la chance qu'il avait de pouvoir baiser Florence à quelques mètres de son fils. Celle ci gémissait en sentant la bite coulisser dans sa fente.

Trop excité, William ne tarda pas à éjaculer en se vidant sur les fesses de Florence...

Et c'est ainsi que commença leur relation. Madame Duval-Cochet, qui était pourtant une bourgeoise catholique bien pensante, avait entamé une relation extra-conjugale avec un homme plus jeune qu'elle et de surcroit meilleur ami de son fils. Au début, elle le rejoignait chez lui ou il venait chez elle. Mais elle avait vite arrêté de peur que les voisins se rendent compte de quelque chose. Les deux amants allaient dans un hôtel un peu glauque en dehors de Nantes ce qui excitait beaucoup Florence. Pour lui, elle avait ressortit sa lingerie fine qu'elle ne mettait plus depuis longtemps. Bas nylon, porte-jarretelles, guêpière... Son jeune amant appréciait surtout qu'elle mette des talons aiguilles et lui demandait souvent de les garder pendant qu'il la besognait.

William lui envoyait souvent des sexto et parfois Florence lui envoyait des photos d'elle s'exhibant. Comme aujourd'hui. Madame Duval-Cochet prit son portable et fit un premier selfie d'elle en bas noir et talons aiguilles vernis. Son soutien-gorge dissimulait avec peine son opulente poitrine. Elle fit plusieurs selfies d'elle dans des positions suggestives. Elle lui envoya les photos puis réalisant qu'elle était en retard pour son déjeuner avec sa sœur, elle enfila rapidement son tailleur Chanel et sortit du pavillon.

Brahim et Rachid trainaient dans les rues de Nantes à la recherche d'un mauvais coup. Elèves dans le lycée professionnel qui se situait en zone d'éducation prioritaire pas loin de la cité où ils habitaient tous les deux, ils mataient les bourgeoises qui faisaient leurs courses. Brahim qui mate des films pornos et lis des histoires érotiques sur un site internet fantasme sur la soumission d'une bourgeoise bien née qu'il pourrait contraindre à toutes les perversions. Son regard accrocha alors la silhouette de Florence qui faisait claquer ses talons aiguilles sur les pavés. Il la trouve bandante avec la jupe qui s'arrête au dessus du genoux et la veste du tailleur qui est porté à même la peau.

Rachid, lui, a surtout remarqué le sac Hermès qu'elle porte et il propose de lui voler, une bourgeoise comme elle ayant surement du fric dans son sac.

Ils grimpèrent sur leur scooter et foncèrent en direction de Florence insouciante qui continuait à marcher.

Madame Duval-Cochet entendit le bruit du scooter, mais elle ne se méfia pas une seconde. Elle ressentit un choc violent qui la déséquilibra et elle faillit tomber à terre. Elle poussa un cri quand elle comprit que les jeunes en scooter venaient de lui piquer son sac.

Florence alla porter plainte au commissariat. La jeune flic qui prit son dépôt de plainte et rédigea le procès verbal d'infraction lui expliqua quand même qu'il y avait peu de chance qu'on retrouve son sac.

Ce n'est qu'en sortant du commissariat que Florence repensa aux photos stockées dans son portable...

Brahim et Rachid s'étaient débarrassé des papiers d'identité qui ne présentaient pas grand intérêt. Brahim essayait d'avoir accès aux données du portable. Ce qui fut simple en fait. La bourgeoise à qui ils venaient de voler le sac ne verrouillait pas son portable avec un lecteur d'empreinte digitale, mais en tapant un code. Or comme tous bon français qui se respecte, elle ne prenaient pas assez de précautions. Brahim trouva très vite le code en regardant les papiers d'identité de leur victime. Il s'agissait tout simplement de sa date de naissance. Il comprit très vite que la salope avait un amant en lisant ses textos.

Cela se confirma quand il vit les photos qu'elle avait faites le matin même. Il se dit alors que ce serait intéressant de savoir avec qui elle couchait... En continuant de regarder les photos il en vit plusieurs d'elle avec un homme qu'il reconnut aussitôt.

- Putain ! Je le crois pas !

- Quoi... Lança son copain derrière lui.

- C'est la reum du prof de math, ce connard...

- Non !!

Ils observèrent les photos, mais il n' y avait aucun doute, c'était bien la mère de leur prof de math qui avait un amant...

A partir de la, sans que Florence ne s'en aperçoive, elle fut en constante surveillance par Brahim et Rachid. Les deux délinquants filmèrent plusieurs fois Florence chez elle en se cachant dans le jardin. Madame Duval-Cochet alors qu'elle s'habillait sexy pour aller rejoindre William ne se doutait pas qu'elle était filmée. Elle fut suivie jusqu'à l'hôtel miteux où elle allait rejoindre son amant. Et là encore, Brahim réussit a faire des photos et des films de leurs ébats en se cachant. Il avait tout ce qu'il fallait pour faire chanter la mère du prof.

Florence s'apprêtait à sortir quand le carillon de la porte d'entrée retentit. Elle alla ouvrir faisant claquer ses talons aiguilles sur le marbre du salon. Elle fut interloquée en découvrant deux jeunes arabes devant elle avec un air goguenard. Ils entrèrent, poussant madame Duval-Cochet qui protesta soufflée par leur culot.

- Mais... Enfin... Qui ?

Brahim lui montra son portable qu'elle reconnut aussitôt. Elle en fut presque soulagée.

- Vous venez me le rendre ?

Brahim faillit éclater de rire.

- Non la vieille, je suis venu te montrer quelque chose.

Et il lui montra toutes les vidéos et photos qui prouvaient qu'elle avait un jeune amant. Florence blêmit sous son maquillage.

- J'imagine que ton mari n'est pas au courant et encore moins ton fils ?

- Tu sais que c'est notre prof de math au lycée ?

Les jambes flageolantes, Florence a l'impression qu'elle va s'évanouir.

- Mais qu'est ce que vous voulez ? Balbutie-t-elle.

- Je voudrais que tu me suces la bite comme tu fais avec ton amant, salope !

Brahim sortit sa queue déjà bandé. Rachid appuya sur les épaules de Florence la contraignant à s'accroupir devant Brahim. Sa jupe se retroussa dévoilant l'attache du porte-jarretelles qui retenaient les bas fumés qu'elle portait.

Brahim approcha la bite de la bouche de Florence qui tourna la tête. Derrière elle, Rachid appuie sur la tête la contraignant à prendre la bite en bouche. Brahim força le barrage de ses lèvres rouges carmins. Madame pousse des cris étouffés par l'épaisseur de la queue. Brahim l'agrippe par les cheveux la décoiffant et fait coulisser sa bite entre les lèvres de madame Duval-Cochet la faisant hoqueter.

- Applique toi chienne ! Tu savais mieux y faire à l'hôtel.

Florence pompe la bite, salivant dessus, donnant de petits coups de langue sur le gland , remontant sur la hampe, lui léchant les couilles.

Pendant ce temps, Rachid, pas en reste, a troussé la jupe du tailleur et donne des claques sur les fesses de Florence lui faisant rougir le cul.

Brahim prend son portable et filme en gros plan la distinguée bourgeoise en train de lui prodiguer une fellation digne de la dernière des putes.

Rachid a rejoint Brahim et maintenant c'est deux bites que Florence doit sucer. Les deux voyous obligent Florence à prendre leurs sexes en même temps lui déformant la mâchoire. Les yeux exorbités, Madame recrachent les bites, prenant une goulée d'air mais elle est vite contrainte de reprendre sa fellation alternant entre les deux bites.

Ce fut Rachid qui éjacula le premier aspergeant de foutre le visage ravagée de Florence. Le sperme gicla allant s'écraser sur le front de Florence. Des filaments tombèrent dans ses yeux.

Brahim se branla un peu et il lâcha des trainées de sperme qui éclaboussèrent le visage de madame Duval-Cochet. Le foutre atterrit sur le menton tombant sur la veste de son élégant tailleur.

Brahim fit une dernière photo du visage recouvert de sperme de Florence.

- Pour une première c'est pas mal ! lui lança-t-il, mais on reviendra !

Ils sortirent du pavillon laissant Florence effondrée sur le marbre de son salon.

A suivre.....

3 commentaires:

  1. J'ai hate de lire la suite, nul doute que madame Duval-Cochet va connaitre de nombreuses aventures

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  2. vivement la suite encore plus dans la decheance j'espere

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