samedi 29 juillet 2023

Un soir au Bois

Texte de Astruc (2007)

*****

Je l'ai regardé partir, sanglée dans son long ciré noir luisant sous les lumières de la nuit. Je savais qu'elle partait vers ce que je lui avais demandé: s'offrir à quelques hommes, plus facilement qu'une pute, c'était gratuit. Ce n'était pas la première fois qu'elle allait au-devant d'inconnus, souvent nous avons fréquenté un club échangiste, quelques sex-shops où le vendeur la trouvait toujours prête, mais ce soir, je ne serai pas avec elle. Je ne sentirai pas sa main sur mon bras quand une main viendra se glisser sous sa jupe, je ne la verrai pas enlevée comme la première fois par trois hommes et emmenée dans un coin sombre d'une pièce pour y être prise debout comme cela ne lui était jamais arrivé. Je ne la tiendrai pas par les poignets, face à un couple très entreprenant…

Elle partait vers les camions garés le long de l'avenue du Bois, les mains dans les poches, plaquées sur son ventre pour que ne s'ouvre pas trop son ciré. Sa démarche imposée par ses hautes bottes vernies faisait crisser son imperméable fendu sur ses fesses et ses jambes. Bientôt, des mains se poseraient sur ses hanches, un sexe se frotterait sur ses fesses, sortirait d'une braguette et chercherait, par la fente du ciré à glisser vers la touffe de poils noirs pour aller s'ouvrir un passage entre les lèvres qui peut-être auraient du plaisir à accueillir pareil visiteur.

Je l'attendais dans la voiture, mais dans le rétroviseur je pus voir que rapidement un homme l'accostait et après une courte discussion l'entraînait vers un camion. La portière s'ouvrit, de l'intérieur de la cabine; un bras se tendit pour lui prendre la main, celui qui l'accompagnait en profita pour la prendre par les fesses afin de l'aider à monter et la suivit. La portière se referma. Quatre mains allaient s'occuper d'elle. Il ne me restait plus qu'à l'attendre. 

La soirée avait commencé par une visite dans un sex-shop pour acheter quelques vêtements. C'était souvent une bonne occasion de s'exciter. Nous avions trouvé dans le rayon vinyl deux articles bien à notre goût que le vendeur nous conseilla d'aller essayer. Sûrement par conscience professionnelle, il invita ma femme à le suivre dans la cabine du fond de la boutique où elle se déshabilla pour passer le soutien-gorge en vinyl noir relié par des chaînettes à un tour de cou de la même matière ce qui mettait fort agressivement sa poitrine en valeur. Pour le bas nous avions choisi un pantalon toujours en vinyl noir brillant genre pantalon gaucho donc découpé et laissant à nu son ventre, son sexe poilu et ses fesses. L'effet était impressionnant !

Ce fut l'avis du vendeur qui ayant suivi au doigt et à l’œil les opérations, conseilla pour compléter la tenue, un string toujours en vinyl noir. Il aida ma femme à retirer le fameux gaucho. Il se baissa et présenta le string. Ma femme glissa ses jambes bottées dans les ouvertures, il remonta le string tout au long de ses mollets, de ses genoux, de ses cuisses, avec lenteur, avec douceur, l'ajusta bien et baisa sa touffe au travers du vinyl. Je voyais des frissons sur la peau de ses cuisses, je voyais ses lèvres se retrousser et, comme il y avait caresses, je devinais qu'elle devait mouiller. Il l'aida à remettre son "gaucho" pour que la tenue soit complète, la regarda puis l'embrassa toujours avec délicatesse, mais je pus voir leurs langues se goûter. Il lui prit une main et la posa sur la bosse que formait son pantalon de cuir.

Elle commença quelques caresses puis fit craquer la fermeture éclair et glissa la main pour aller au contact de la queue et des couilles qui durcissaient sous le cuir du pantalon. Lui, avait sorti un sein et le suçait à pleine bouche, caressait l'autre sur le nylon, pendant que ma femme commençait à branler sa queue, dégageant un magnifique gland comme elle les aime, de ceux qui bien que le rouge leur soit monté au nez, n'ont aucune timidité et font vaillamment leur place. Je savais que le string allait être étrenné sous peu mais pas avant qu'une bonne sucée aille faire connaissance de la belle queue tout en branle qui sortait de la braguette de cuir.

Elle se pencha et avala jusqu'aux poils, d'un seul coup, toute la queue qu'elle fit ressortir de sa bouche gluante de salive. Elle le prit en main; sa queue glissait bien, le gland pointait la tête.

- Maintenant tu vas me suivre, c'est moi qui vais me la foutre bien profonde, à mon rythme, ça fait un moment que ma chatte en bave d'envie.

Mais, soit à cause de la main, à cause des paroles, ou des deux, n'y tenant plus et avant de la fourrer, il lui cracha plusieurs jets de foutre bien épais sur le ventre, le string, les cuisses.

- Salaud, il va encore falloir que j'attende pour donner à boire à ma chatte !

Un peu vexé, il rengaina son outil trop pressé et regagna sa caisse. Ma femme en profita pour étaler le foutre sur son ventre et les poils de son pubis, je dus essuyer son pantalon. Il allait falloir encore attendre pour offrir un vrai baptême au petit string noir. Comme la tenue était parfaite pour aller plus avant dans la soirée, elle renfila son ciré, serra la ceinture qui faisait saillir ses hanches, ses fesses et sa poitrine et nous partîmes dans la nuit. La voiture était à cinq cents mètres, dans cette rue chaude ma femme ne passa pas inaperçue, ça promettait ! 

Dans la voiture, elle plaqua ses mains l'une après l'autre sur ma bouche pour que je puisse mieux sentir l'odeur et le goût du sperme en lui léchant les paumes encore poisseuses du foutre qu'elle avait étalé sur son ventre.

Tout à mes pensées de nos chaudes soirées, essayant d'imaginer celle qu'elle devait vivre dans le camion, ma queue se régalait dans mon pantalon. Sois patiente !

Et puis je l'ai vue descendre du camion. Elle est arrivée, a ouvert la portière, a glissé les mains sur ses fesses pour bien tendre le ciré et s'est calée dans le siège, encore ailleurs. Elle a glissé les mains sur ses seins, sur son ventre. Elle n'a rien dit. Nous avons démarré pour rejoindre l'hôtel. Elle a pris ma main, l'a glissée sous les pans de son ciré, posée sur son string ruisselant de sperme. Cette fois, il savait ce qu'est la vie ! J'ai senti combien les queues avaient dû cracher tant le ciré, les cuisses de son pantalon, son soutien-gorge étaient constellés de gouttes et de coulées de sperme. ses cheveux étaient encore mouillés de sueur et de foutre. J'étais fou d'excitation. Bientôt ce serait mon tour et elle me raconterait. 

Dans la chambre, elle ne quittera pas sa tenue dont la couleur, le luisant, le bruit, le toucher m'excitent tant et la font si sûre d'elle, si belle. Elle tire de la valise un bandeau en vinyl noir :

- Pour tout à l'heure !

Elle plaque sa bouche sur la mienne, me remplit de sa langue au goût de foutre et de salive, me pince les seins. Ma queue n'avait pas besoin de tout ça pour vouloir sortir de mon pantalon. Elle le sent, y frotte son ventre, me serre les fesses. Je sens les siennes bien dures sous son ciré, j'ai envie de me planter en elle. 

- Ne t'énerve pas, il va falloir être patient. Je veux te voir baver d'envie. Ce soir j'ai eu ma ration de queues, je peux attendre pour me la fourrer bien comme il faut et te faire cracher toutes tes heures d'attente. Si tu ne m'écoutes pas, tu vas passer la nuit, attaché sur la chaise. J'ai ce qu'il faut, tu le sais? D'abord tu vas bien soigneusement nettoyer tous les crachats de leurs queues balancés par les deux autres salauds.

Elle dénoue la ceinture du ciré, l'entrouvre, me prend la tête et après un baiser bien profond me fait lécher sa poitrine, son soutien-gorge puis lentement c'est la descente sur le ventre. Déjà le ciré avait commencé à étaler le foutre sur sa peau.

- C'est bon ? Montre ta langue.

Elle ma la suce.

- Maintenant tu vas trouver de quoi te régaler, je sens que ça me coule par tous les trous. Et puis il faudra que reluisent les bottes et le ciré, je crois que mes bandeurs en ont mis un peu partout. Il faut dire que nous étions un peu à l'étroit. Allez, applique-toi et tu verras comment ta salope va s'occuper de ta queue. Fais la patienter.

Et elle me la frotte avec son genou, elle me presse les couilles. Dur, dur! Elle s'assoit, jambes écartées, face à moi, me ramène vers son ventre. Tout le string est poisseux du jus de leurs couilles, je l'écarte et sur ma langue je sens une grosse larme de jus sortir de ses lèvres toutes pleines du frottement de leurs sexes. Je la lèche avant qu'elle n'aille rejoindre le trop plein de son cul. Le string n'a pas fait grosse barrière, il a mariné dans le jus, demain, il sera blanc de foutre séché. Pour le moment, elle me force à introduire la langue au plus profond de sa chatte, bientôt viendra le tour de sa raie, mais je sens que la voila repartie à jouir en repensant à la sarabande du camion. Elle me coince la tête entre ses lèvres, la langue, le nez occupent ses trous, elle croise les cuisses sur mes épaules, frotte ses bottes sur mon dos. La queue me fait mal.

- Tu aimes ça? Tu te régales ? Si tu les avais vu jouir, comme des fous ils m'ont baisée, une danse comme je n'avais jamais dansée. Maintenant, tu vas profiter de mon cul, en douceur. Ils y sont allés un peu fort, je n'ai pas pu les retenir, mais une fois que le premier a eu fait le passage, il n'y a pas eu de problèmes pour la suite, c'est là qu'ils ont fini de se vider. A croire qu'ils sortaient d'un couvent. J'ai envie que ta langue me caresse comme une queue douce et fine.

Elle se retourne et s'agenouille sur le fauteuil, cuisses bien ouvertes, les pans du ciré plaqués sur les fesses. Bien vite sort une mousse blanchâtre qu'il ne me reste plus qu'à ramasser sur la langue. Les fesses, la fente sont aussi visqueuses que la raie. Je l'entends respirer fort, je sens son cul se pousser vers ma bouche, elle repart dans le plaisir. Sûrement qu'elle ferme les yeux et se retrouve entre les mains des deux camionneurs. Ma queue coincée dans le slip n'a pas beaucoup de place pour entrer dans la danse et pourtant elle battrait bien la mesure. 

Quand ma salive remplace la bave des deux mâles, elle se relève, referme son ciré, serre bien sa ceinture et me présente ses bottes, puis le bout des jambes du pantalon sur lequel avait coulé le trop plein de jute.

- Ensuite il faudra bien nettoyer le ciré et, bas-les-pattes, rien que la bouche, rien que la langue.

Le crissement, la brillance, le contact du ciré, ses fesses, ses hanches, ses seins qui frémissent sous cette enveloppe noire luisante me cassent la queue et m'endolorissent les couilles.

Elle m'écarte d'elle et me fixe le bandeau sur les yeux. Je ne sais ce qu'elle prépare, mais le premier contact de ses seins sous le ciré, de son ventre contre mon dos, mes fesses, m'électrise, puis ses mains viennent caresser les poils de ma poitrine, le bout de mes tétons très sensibles. Une main glisse vers ma taille, défait la ceinture, rentre sous le slip, presse couilles et queue, puis va gratter entre couilles et cul. Mon cœur va peut-être exploser.

- Tu vas encore attendre. La putain va te raconter. Ça serait dommage de faire deux choses à la fois.

Elle m’ôte le bandeau.

- Tu vas bien me regarder, peut-être verras-tu dans mes yeux les corps,les queues, les couilles de mes deux sauvages, comme je vais les revoir. Ils m'ont caressée, pétrie, écrasée, ouverte, ils m'ont fait mal, ils m'ont fait du bien, ils m'ont baisée comme jamais. Assieds-toi !

Elle s'agenouille entre mes jambes, me retire le pantalon; se recouvre bien de son ciré; frotte ses épaules, ses bras contre mes jambes. Ma queue va faire craquer le slip.

- Je suis sûre que tu m'as vue poussée au cul par le mec pour grimper dans la cabine. Son copain attendait à l'intérieur déjà en short et tee-shirt. Ils m'ont dit tout de suite que ma tenue les excitait et ça se voyait. Bien vite leurs mains sont parties à ma découverte, sur le ciré, sous lui. Je me suis vite trouvée entre les deux et j'ai cru qu'ils allaient manquer de patience et me baiser tout de suite, trop vite. Les caresses ont continué, une main est passée par la fente du ciré, a exploré ma chatte et mon cul. Une autre main pressait mon ventre pour bien coller mes fesses à sa queue. L'autre, toujours à presser mes seins comme pour les faire couler, a pris ma bouche que je ne lui ai pas refusée, trop contente de lui rouler une pelle qui l'a bien surpris. La mise en route était rapide et chaude. Qui allait s'en plaindre ? Quand celui de derrière a commencé à me titiller le lobe de l'oreille, à glisser la langue tout autour, dans mon cou, j'ai bien cru que j'allais me livrer tout de suite. Mais, j'avais envie de temps, pour eux, pour moi.

- On va se faire une belle partie, je sens que tu mouilles comme une vraie salope », m'a soufflé celui de derrière.
 
- Oui, mais soyez patients, les mecs, je vais m'occuper de vos affaires."

Je me suis assise entre les deux et j'ai commencé à caresser les gros paquets qui me faisaient bien envie entre leurs jambes. J'ai baissé la braguette de celui en jeans et je me suis régalée à glisser la main dans le short, entre cuisse et couilles, de l'autre. Ils ne perdaient pas leur temps non plus, leurs mains couraient dans le ciré, sous mon soutien-gorge pour bien caresser, pincer le bout de mes seins qui pointaient sans retenue comme s'ils cherchaient à se faire téter, sur mes cuisses, entre mes cuisses, sur mes lèvres qui ne pouvaient plus cacher combien elles se régalaient à sentir des doigts s'insinuer, prendre place là où leurs queues viendraient tout à l'heure, bien gorgées d'envie, donner quelques ruades. J'ai à peine eu le temps de sortir leurs queues , déjà fort vaillantes, de bien profiter de la vue de leurs glands tout violets, déjà gouttant, déjà prêts, que celui au short m'a prise par les cheveux et rudement m'a enfourné sa grosse queue dans la bouche, jusqu'au fond. Il n'a pas été déçu, j'en ai vu d'autres, mais il faut dire que celle-ci quand je l'aurai entre les jambes!... 

Et puis il a commencé à donner un rythme. J'aurais aimé lécher, sucer plus lentement pour bien en profiter, car son engin valait la peine de plus d'attention. Mais lui était comme un sauvage? Ça promettait de bonnes secouées. j'espérais bien que ses couilles allaient être à la hauteur de sa vivacité et de mes envies. L'autre, derrière moi, a profité de ma position pour écarter les pans de mon ciré qu'ils n'avaient pas voulu que j'enlève, excités par la matière, et à glisser sa langue entre mes fesses, léchant ma raie, d'un trou à l'autre. Je sentais sa langue, sa salive, se mêler à ma mouille qui déjà avait coulé le long de la raie. Il cherchait à m'ouvrir le cul; à y glisser la langue. Je suis allée vers lui, pour l'y aider. J'étais excitée en bouche et cul, prise d'une telle envie qu'ils me mettent que je me suis levée, me suis appuyée sur le rebord de la couchette. "Qui commence ?" 

Celui au short est venu s'asseoir devant moi pour que je continue à le sucer, il y avait pris goût. L'autre, par-derrière a posé ses mains sur mes hanches et j'ai senti sa queue chercher le passage dans la fente du ciré. D'une main il a écarté les bords de l'imper de chaque côté de mes fesses et sa queue cette fois est venue se poser sur ma fente, toute frémissante. Je suçais toujours, mais j'étais à l'écoute de ce qui se tramait dans mon dos. Il a écarté le string, m'a prise à la taille , m'a tirée vers lui et sa queue est rentrée dans ma chatte ne faisant qu'un bruit de bouche pleine de salive pour l'avaler. Cette fois, j'étais bien remplie jusqu'au fond, ventre contre fesses, sans bouger, ni lui, ni moi, goûtant la chaleur et les vibrations de son sexe dans mon ventre. Ses mains serraient ma taille, me tiraient vers lui comme pour aller plus profond encore. Et ont commencé des va-et-vient très larges, alternant glissements et grands coups profonds qui me faisaient presque désemboucher la belle queue de l'autre qui, pour que je ne laisse pas en route, s'agrippait à mes cheveux. Au bout de je ne sais combien de temps,j'ai senti dans ma bouche des soubresauts et j'ai compris que cette queue allait projeter son lait sur ma langue, dans ma gorge car j'étais bien décidée à tout avaler, comme une gourmandise. Un grognement a commencé au-dessus de ma tête, sa main a lâché mes cheveux, je l'ai regardé, il commençait à jouir, j'ai ralenti la sucée, me suis reculée pour voir ce gland cracher son jus et quand j'ai tendu la langue pour une autre léchée, il a envoyé son premier jet sur mon front, mes cheveux, tout seul, sans être secoué. Je n'allais pas laisser partir le reste et pour l'aider je l'ai repris en bouche et ne lui ai pas laissé l'occasion de revoir la lumière avant d'avoir avalé la première vidange. J'ai failli en recracher tant il avait de jus. Mais tu me connais ? Juste un revers de manche pour essuyer le bord de mes lèvres , le menton et j'étais prête à recevoir le foutre des ruades de l'autre qui ne me lâchait pas et m'en donnait tant et plus, m'écartant les fesses comme s'il allait m'ouvrir en deux. 

Je crois que je suis partie deux fois avant qu'il ne gicle à grands coups de foutre, le premier dans la chatte, le reste, tout le reste sur le dos du ciré, dans la raie de mon cul, j'ai même cru qu'il allait y rentrer, sur la main que j'ai tendue pour le caresser. Mon string n'en revenait pas d'une telle séance. J'étais aux anges, j'avais fortement joui, mes jambes tremblaient encore, les deux mecs s'étaient calmés. Je remettais en place ma tenue pour repartir mais celui qui avait bien profité de ma bouche n'avait pratiquement pas débandé et entendait bien " se fourrer dans mes trous" comme il dit. Dans mes trous ? Je n'aime pas trop, mais je n'avais peut-être pas le choix. Alors comme une légère caresse a eu le don de faire vibrer son nœud, on a repris position. Il m'a faite asseoir sur ses genoux, face à lui, et m'a directement emmanchée jusqu'à plus queue. Les boules de ses couilles s'écrasaient contre son cul. Le jus de l'autre sortait à chaque mouvement le long de son manche qui n'en demandait pas tant pour me défoncer. Ma poitrine était reprise en mains par celui de derrière venu se refaire le nœud sur le dos de mon ciré et c'était efficace : je sentais un bâton caresser mon dos, mes épaules. Il me suffit d'ouvrir la bouche pour une nouvelle sucée qui me permit de lui torcher les dernières gouttes de foutre qui perlaient encore. 

"On va la prendre chacun d'un côté, dit-il à son copain.

- Attends, je vais lui en mettre une bonne rincée tout seul. On fera ça après. Chauffe- lui le cul !"

Tu sais comme je fais des manières de ce côté-là et pourtant ils m'excitaient tellement ces deux cons que je n'étais pas décidée à refuser une autre tournée. Je tenais les bons bouts!

Pour une bonne rincée, nous étions sur la bonne voie! Ses mains sous mes fesses m'ouvraient la chatte même si elle n'avait pas besoin de ça. Son gros nœud entrait et sortait, accrochait parfois le bord du string, mais remettait un coup de tête pour que je retrouve aussitôt empalée. Mes seins suivaient le mouvement, les bouts frottaient contre la toile du ciré. L'autre est redescendu, a commencé à fourrer sa langue sur mon cul, mais ça n'a pas été bien commode vu le mouvement. J'ai senti s'approcher sa queue bien rebandée. J'avais arrêté de sauter sur la queue de l'autre, j'avais envie de les sentir tous les deux en moi. Comme il me tenait bien serrée par la taille, j'ai pris sa queue dans ma main pleine de salive et de jus de ma chatte, je l'ai pointée sur mon trou, il n'a plus eu qu'à pousser. Même mon cul s'est ouvert tout seul et quand le nœud a fait le passage, il est rentré d'un coup mais a craché presque aussi vite ne me laissant même pas le temps de jouir de sa présence. Une purée comme s'il n'avait pas baisé d'un mois! Il a dû arroser la queue de l'autre qui m'a expulsée pour venir s'installer dans mon dos, dans mon cul. La place était chaude, bien mouillée, aussi n'a-t-il eu aucune peine à rentrer et moi aucune à le recevoir. Son nœud plus gros que l'autre s'est glissé dans le jus qui coulait de mon cul le long de la raie. Comme il ne voulait rien laisser perdre, il a ressorti son engin, l'a frotté de la chatte au cul et m'a rebourrée jusqu'au fond. Ses mains agrippées à mes seins ne me laissaient pas le moindre mouvement. Je sentais son souffle court sur mon cou, son corps en sueur collait au dos de mon ciré, il me donnait de grands coups de queue. J'étais foutue de plaisir. 

L'autre se branlait encore à côté de moi, j'étais trop prise pour m'occuper de lui. Mon enculeur a interrompu ses coups de reins, s'est reculé, le ciré collé à ses cuisses, a laissé son gland dans le trou juste au bord, il m'a pris une main, l'a posée sur sa queue toute frémissante, a repris mes seins, roulant les tétons dressés entre ses doigts, puis un gémissement rauque est sorti de tout son être et il a déchargé sur et dans mon trou, sur mes fesses, a aspergé le dos du ciré, puis m'a retournée pour que je le prenne en bouche. Une régalade! L'autre qui se branlait a vidé le reste de ses couilles sur ma poitrine, laissant les traînées que tu as pu goûter. Et maintenant, c'est avec toi que va se finir la fête."

Pendant tout le récit elle n'avait pas cessé de me fixer sans jamais toucher ma queue, simplement me frôlant de son ciré, jouant de sa musique. 

" Tu vas passer tes bras derrière le dossier, sans me toucher, sinon je serai obligée de t'attacher les poignets. D'accord ?" 

Elle a posé ses mains sur mes épaules, s'est relevée, a écarté les cuisses, m'a enjambé, s'est placée au-dessus de ma queue. Quelques restes de foutre ont coulé de sa chatte, sont tombés sur ma queue et, très lentement, tenant son ciré écarté, elle est venue se poser sur le bout de ma queue qui s'est glissée, à son rythme, dans le chaud de sa chatte. Les mains posées sur ses hanches , elle me fixait, montant, descendant, s'arrêtant, écoutant battre en elle ma queue qui n'avait pas souvent participé à pareille fête. Et puis, une grande gifle est arrivée sur ma joue. 

"Tiens, c'est la pute qui t'en fait cadeau ! Je t'en avais préparé deux, mais tu n'en auras qu'une car j'ai vraiment joui de ma soirée." 

Je l'ai alors prise sous les fesses, l'ai portée sans démancher sur le lit et j'ai commencé une série de ruades tour à tour en chatte et en cul qui nous ont menés à une explosion de jouissance terminée par une dernière aspergée, bien sentie, bien léchée. 

Le matin pouvait se lever, nous allions profiter du lit jusqu'au plus tard. Le ciré, le string prendraient bien leur temps pour sécher avant une nouvelle sortie.

FIN

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