lundi 29 août 2022

Les WC étaient occupés Ch. 05

 Texte degkcdqho

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Nicole est baisée chez elle par Marcel.

Samedi matin après les courses alimentaires, je cherche en ville une petite pharmacie discrète. Je la trouve dans une petite rue avec une pharmacienne au comptoir. Nous sommes seules, je lui raconte ce que m'a fait mon amant et la gêne que j'éprouve en ne voulant pas que mon mari le sache. Compatissante elle me vend une crème apaisante et une anesthésiante pour la récidive.

Nous bavardons pendant un bon moment sur les amants un peu trop envahissants, je ne parle pas de mon chantage. Je ressors un peu réconforté sur les hommes et leurs agissements égoïstes.

Plusieurs fois dans la semaine, Marcel passe à côté de moi en chuchotant :

- A vendredi !

Vendredi matin, une enveloppe sur mon poste de travail ? J'ouvre ! Une photo prise dans la réserve. Il a peur que je ne revienne pas ou que je porte plainte pour viol. Avec la vidéo de son portable je serais discréditée, il me tient et le sait, je n’ai plus qu'à subir sa libido, ses fantasmes. Je ferme la maison, j'ouvre la portière de ma voiture. Je reste figée, une voiture vient de passer le portail ouvert, elle remonte l'allée et s’arrête a côté de moi, un homme descend, c'est Marcel !

- Je suis venu à ta rencontre puisque nous sommes là, ouvre ? On va le faire chez toi aujourd'hui.

Je vois Marcel avancer vers moi, un sac de sport a la main. Il me prend la main pour que je monte les marches avec lui ce que je fais comme une automate. J'ouvre machinalement la porte. Il me pousse dans le couloir, referme la porte derrière lui comme s'il était le maître ici.

- Montre-moi ta chambre à coucher, c'est là que nous serons le mieux. Me dit-il.

Je vais dans notre chambre à coucher, Marcel ne m'a pas lâché la main ni son sac de sport. Il tient à celle qui va être sa soumise. Dès que je pénètre à l'intérieur de la chambre, il s'empresse de sortir son membre et sans ménagement me fait lui tailler une pipe, ma bouche est envahie par l’énorme mandrin.

Je suce, lèche, gobe ses grosses couilles. Puis il me saisit par la taille, le bougre veut finir ce qu’il a si bien commencé. J'essaie bien de me défendre, mais Marcel d’une main, maintient mes poignets au-dessus de ma tête et de l’autre main il déboutonne complètement ma robe qui bientôt se retrouve à terre. Je me retrouve en petite culotte, l'homme ne sait plus où poser ses mains, entre mes seins aux mamelons flasques, ma petite grotte à peine dissimulée par la culotte, les fesses, tout est tentant.

Il me retourne face au mur d’entrée, me fait mettre en appui sur mes avants bras et m'ordonne de me cambrer.

– Cambre-toi bien ! OUII !! C’est ça, OOOH !! Quel cul !

Il pelote, malaxe mes deux globes fessiers. Puis il pose ses deux mains bien à plat sur chaque fesse et doucement les écarte au maximum, découvrant par cette manœuvre toute mon intimité. Se positionnant à genoux dans mon dos, il écarte ma petite culotte et approche son visage de mon cul. 

Sa langue se pose directement sur mon petit œillet, qu’elle agace de petits coups légers pendant qu’un doigt glisse sur mes grandes lèvres puis pénètre ma grotte inondée. Je suis très sensible à ses caresses, je cambre encore plus ma croupe et gémit de bonheur. Marcel s’en donne à cœur joie, sa langue tourne autour du petit trou et enfin s’enfonce petit à petit dans ma caverne secrète.

Je gémis de plus en plus fort, surtout que Marcel enfonce maintenant deux doigts dans ma chatte et qu’un troisième doigt vient les rejoindre. Marcel délaisse quelques instants mon petit cul, sa main gauche vient me saisir un sein gonflé par le plaisir.

Imaginez la scène, moi en appui sur mes mains, face au mur de ma chambre conjugale, la croupe cambrée qui se tortille sous les caresses de mon maître chanteur qui a une main entre mes fesses, trois doigts qui fouillent mon intimité et l’autre main qui caressent alternativement mes deux seins qui ballottent doucement.

Heureux de voir sa victime apprécier le traitement, Marcel délaisse mes seins lourds de désir et fait glisser lentement ma petite culotte le long de mes cuisses et moi je ne me défends pas. Une fois que le bout de tissu est enlevé, Marcel écarte de nouveau mes fesses et reprend son travail de langue, pour mon plus grand plaisir. Je tortille mon fessier en gémissant de plaisir. Marcel continue pendant plusieurs minutes à me bouffer le cul tout en faisant coulisser ses doigts dans mon sexe inondé. 

- A ton tour ! Au travail et mouille-la bien ! Dit-il en sortant sa grosse bite.

Sans discuter, j'ouvre la bouche et à nouveau avale lentement la barre palpitante au grand plaisir de mon tourmenteur. Pendant quelques instants on entend plus que le bruit de succion et quelques commentaires flatteurs, puis Marcel m'interrompt :

- Doucement, je ne veux pas jouir encore dans ta bouche, j’ai d’autres idées.

Puis il m’entraîne dans le salon, il a pris son sac de sport à la main.

- Mets-toi à quatre pattes sur la table de salon !

J'obéis et me met en position de levrette, Marcel saisit mes hanches et approche son dard brûlant de ma chatte faite pour l'amour.

- Vas-y doucement, tu es tellement gros !

- Ne t’inquiète pas, tu es tellement trempée que ça va rentrer tout seul !

Me saisissant les hanches, il fait pénétrer doucement le gland entre mes grandes lèvres puis il s’arrête, puis il pousse brutalement et sa bite s’enfonce d’un trait.

- OOOOHH !! Salaud je t’avais dit d’y aller doucement !

J'essaye de me libérer. Une grande claque retentit sur ma fesse droite.

- OOOUUIIILLLE !! Tu me fais mal !

- Mais non, je sais que t’aimes bien te faire un peu prier ! Enfin si tu ne veux pas que je prenne ta chatte, tu sais ce qui va arriver !!!

- Oh non pas ça !

Marcel sort sa bite et pose le gland sur la petite porte de mes reins.

- Non je t’en prie, pas ça, tu vas me déchirer.

- T'inquiète cette fois-ci j'ai du gel.

Marcel s’empresse de fouiller dans son sac et sort du gel et des paires de menottes. Prenant celles-ci  il m'attache les poignets en ignorant mes protestations.

- Je sens que l’on va bien s’amuser, je vais te prendre par le cul et tu en redemanderas ma salope.

– Non, non ! Pas ça !

N’accordant aucune attention a mes gémissements, il m’allonge sur la table à plat ventre tout en glissant un gros coussin sous mon ventre. Saisissant deux paires de menottes il m'attache la cheville droite au pied de la table et fait de même avec l’autre cheville avec une troisième paire de menottes, il fait de même avec mes poignets.

Je suis maintenant à plat ventre, les poignets et les chevilles attachées et maintenus bien écartés, le coussin sous mon ventre, j'offre ainsi ma croupe !!!

- Défais-moi ça, enlève-moi les menottes, je ferais ce que tu veux, je t’en prie !!

Marcel fouille encore dans son sac et sort un gros gode à ceinture, pas très long mais par contre d’un diamètre impressionnant. Il contemple longuement le gode puis s’approche de ma tête. Prestement, il passe la ceinture derrière ma tête brune et ordonne :

- Ouvre la bouche !!

- Que VEHHUUUMMMMPPFFF ????

Avec dextérité il a enfoncé le gode énorme dans ma bouche ouverte sur mon cri de protestation. Je me tortille de colère, il n’en a cure, il contemple son œuvre : Moi entièrement nue, et au bout de l’un de mes escarpins ma petite culotte est resté accroché. La scène doit être d’un érotisme !! A ce moment-là, j'aperçois que Marcel sort une caméra et la pose sur la table.

– Sourit ma salope, je vais tout filmer.

– HOOOMMMM !!! HOOUUUMMMM !!!

- Ne t’inquiète pas, je la montrerais qu'à mes amis, je ne vais pas la mettre sur un site porno sauf si tu refuses ce que je vais te faire…

Alors tranquillement il positionne le caméscope de manière à pouvoir filmer toute la scène puis satisfait du résultat, il s’approche doucement et me caresse longuement le dos puis les fesses au milieu desquelles, il glisse sa main pour une caresse possessive. Enfin il se glisse entre la fourche formée par mes jambes écartelées, puis prenant le gel il commence à enduire doucement mais copieusement la petite porte de mes reins, que j'essaie tant bien que mal de contracter.

- Pas la peine de lutter ma belle, je vais t’enculer, je vais profiter de ton petit cul, magnifique c’est vrai, je vais en profiter toute l'après midi.

– FFF IL E PLAIIITT !!! NOONN NOOON !!!!!

Je le supplie d’une voix à peine audible, mais mon bourreau n’en a cure.

- Je sais que t’aimes ça, je t'ai entendu gémir de plaisir l'autre jour et avec un cul pareil, n’importe quel mec qui te voit à envie de t’enculer et je ne vais pas me priver. En attendant tu vas bien sucer ce beau gode. Joignant le geste à la parole il fait le coulisser légèrement d’avant en arrière dans ma bouche largement distendue.

Ne sachant ce qui m’attend, j'écarquille les yeux et supplie du regard mon bourreau. Celui-ci prend la camera en main et fait revenir le film en arrière puis met en lecture en prenant soin d’orienter l’écran vers moi.

– Regarde comme tu es bandante ! Comment veux-tu que je n’ai pas envies de te prendre le cul quand on voit ça ?

Il me montre toutes les images, puis il remet le film en position départ, replace la caméra et redémarre le film.

Tranquillement il se replace entre mes jambes écartées, pose ses mains sur mes fesses, les écarte fermement et reste un moment à contempler le sublime spectacle. Pendant ce temps je cherche désespérément à m’échapper. A moitié étouffée par le gode je ne peux produire que de faibles gémissements. Le pire c’est qu’en me tortillant, je ne me suis pas rendu compte qu’involontairement je me cambre de plus en plus pour la plus grande joie de Marcel.

Celui-ci en profite pour introduire son pouce dans mon cul ainsi offert, après l’avoir préalablement copieusement enduit de gel lubrifiant.

– HHHOOOMMMPPFFF !!!

Je gémis en appréciant quand même l’intromission.

– Déguste bien ma belle ça c’est l’apéro !!

Alors il se relève, il repositionne le coussin sous mon ventre, de ses deux mains il écarte fermement les deux globes de mes fesses, pose son gland sur ma corolle et commence à peser doucement mais fermement.

Réussissant à libérer ma bouche du gode monstrueux, je lui crie :

- NOONNN !! Marcel NOOONN !!! Pas encore !!

Pendant quelques secondes mon anneau résiste vaillamment à l’envahisseur, il ne se passe rien. J'ai le visage envahi par une sueur trahissant ma peur et soudain :

– NOONN !! AIIIEEEE !!! Ça fait mal, salaud, ARRREEEETEEEEE !!!

Le gland, en buté contre ma corolle humide est soudain comme aspiré et disparaît dans mon petit trou soudain distendu.

– AAAAAARRGGGH !!! AAAARREEETTTTEEEEE !!!!! J’ai MAALLLL !!!

Marcel s’est soudainement arrêté, il replace le gode au fond de ma bouche en l'attachant derrière ma nuque, puis il recommence à forcer mon étroit conduit. Insensible à mes gémissements, il reprend son lent forage. Centimètre par centimètre, sa grosse bite s’enfonce. Au bout d’un long moment, elle est enfin en butée au fond de mon petit cul dilaté.

Au cours de cette terrible intromission, je n'ai cessée de gémir, le souffle coupé par la douleur. J'ai l’impression qu’un énorme fer rouge s’est introduit jusqu’au fond de mon ventre. Le gode qui envahit ma bouche m’empêche de respirer convenablement, des larmes de douleurs envahissent mes yeux grands ouverts et des gouttes de sueur coulent le long de mon visage.

Lorsque Marcel s’arrête, je crois que mon supplice va prendre fin, hélas non.

- Putain, t’es trop bonne, tu me serres bien, je vais faire de ton cul, un cul de pute.

– HHHOOOORRRRRGGGGGG !!!!!!

Il me saisit fermement par les hanches puis passe ses mains sous mes seins et commence doucement à se retirer. Quand il ne reste plus que le gland il s’arrête et se renfonce dans mon cul sans défense.

- AAAARRRGG !!!! FFFAIIS MAAALLL !!!

Quand son bas ventre bute sur mes fesses, il se retire alors d’un seul coup.

- OOOOOOHHH !!! Gémis-je de soulagement en pensant qu'il arrête cette fois-ci la sodomie.

- Ah je vois que tu commences à aimer !!

Il replace son gland sur mon anus, que j’arrive encore à refermer, il pèse légèrement. Voyant que je me crispe, il m'assène une formidable claque sur la fesse. Surprise, je me relâche et il en profite pour s’enfoncer d’un seul coup au fond de mes reins.

- AAAAARRRRGGGG !!! AAAAARREETTEEE !!!!

- Oh que c’est bon ! J’adore enculer une petite pute comme toi, hein c’est bon, t’aimes la grosse bite de Marcel ?

- AAARRRGGGG !!!! OUUUUHH !!!

Maintenant Marcel va et vient dans mon conduit dilaté, il s’en donne à cœur joie, en me fessant. Malgré moi, mes cris se sont mués en gémissements où la douleur se partage avec le plaisir et bientôt mes fesses partent à la rencontre de sa grosse bite pour mieux être empalées.

- MMMHH !! CH’EST BOOOONNN !!!

Soudain Marcel s’arrête, il se penche vers son sac, en sort un gode de taille moyenne et le présente devant ma chatte délaissée. Il enfonce le gode et met le moteur en marche, fait quelques va-et-vient puis il l’enfonce complètement. Satisfait, il recommence ses allers-retours dans mon cul dilaté.

-Te voilà bien emmanchée, c’est bon une bite dans chacun de tes trous !

- MMMHUUOOUUIII !!!

Pendant de longues minutes on entend plus que mes gémissements et les han de bûcheron de Marcel avec les vibrations du gode dans ma grotte inondée. Marcel vérifie que la caméra enregistre bien, il la prend en main et filme en gros plan sa bite enfoncée dans l’étroite porte de mes reins.

- Mes voisins seront contents de te voir si bien emmanchée.

Puis reposant la caméra il reprend son piston-nage intensif.

- C’est bon d’être serré comme ça, je sens que ça monte.

- MMMOUIIII !! ON...TIII..NUUU!!!!

Soudain la bite envahissante se gonfle encore plus dans mon rectum, il va jouir dans mon ventre.

- NOOONNN !!!!!

Avant que son plaisir ne soit complètement monté il se retire. Tenant la base de son sexe serré, il se relève et contournant la table, il m'arrache littéralement le gode qui envahit ma bouche et enfonce sa bite congestionnée dans mon orifice buccal.

Je n’ai pas le temps de dire ouf que ma bouche et ma gorge sont envahies par de puissantes giclées de sperme onctueux. Le débit est si fort que je ne peux tout avaler et de longues traînées de sperme  mélangées avec ma salive s’écoule de la commissure de mes lèvres. Pendant ce temps Marcel a plongé le gode dans mon anus entrouvert, la bouche complètement obstruée je ne peux même pas gémir et doit subir jusqu’au bout l’éjaculation sauvage. Enfin le flot se tarit, il m'oblige à bien nettoyer sa queue qui commence seulement à ramollir.

- Salaud tu m’as fait mal, en plus je ne voulais pas te sucer après que tu m’aies sodomisée.

- Je vais t’enculer encore et encore et tu me suceras quand je le désirerais, c’est moi qui commande et en plus n’oublies pas que tu es attachée !

Tout l'après-midi il me baise dans tous les sens, par tous les trous. Ma bouche, ma chatte et mon cul sont en permanence occupés soit par la bite de Marcel soit par ses godes. Je ne compte plus les orgasmes que j'ai eus. L'après midi ne m'a pas paru très long tellement j'étais excitée avec tous ses jouets.

Marcel me détache après avoir rangé ses affaires et le caméscope. Avant de partir en me laissant complètement groggy, il me demande :

- Tu aimerais encore être baisée comme cet après midi ??

Je lui avoue dans un souffle que oui, j'aimerais encore subir sa volonté de me baiser.

A suivre...

samedi 27 août 2022

Train de nuit - Ch. 07

Texte de XMaster, 

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Sophie est donnée à un autre homme.

De longues minutes passent, elle est toujours à quatre pattes sur le sol à réfléchir longuement, puis, une idée chassant l'autre, elle en vient à se demander pourquoi elle reste ainsi, seule, nue, comme une chienne. Après quelques secondes d'hésitation, elle se reprend et va s'asseoir dans sa couchette. Là, ses cogitations reprennent de plus belle.

Près d'une demi-heure plus tard le joyeux tortionnaire réapparaît sans autre forme de procès et entre dans le compartiment, tirant ainsi sa proie des réflexions dans lesquelles elle erre, assise sur sa couchette. Voyant que ses instructions n'ont pas été suivies à la lettre, il commence à crier dès la porte refermée derrière lui :

- Ne t'ai-je pas dit de rester à quatre pattes comme une vulgaire chienne bien dressée ?

Sous la violence du ton, la pauvre Sophie sursaute et se remet une fois de plus à pleurer. L'homme la prend sans ménagement par le bras et la tire en bas de la couchette en criant encore :

- À quatre pattes, salope !

Puis, après que la malheureuse fille se soit remise en place comme le souhaitait son tortionnaire, ce dernier laisse tomber d'une voix très étrange :

- Bien, maintenant, je t'enferme et je reviens avec ton tout premier client, tâche d'être une bonne pute !

Sur ces dernières paroles, il ressort rapidement du compartiment en refermant avec soin derrière lui. Cette fois, Sophie n'ose plus bouger, elle pensait réellement que s'en était fini des contraintes imposées par ce monstrueux poinçonneur, mais elle se rend bien compte que l'homme n'a pas décidé de la laisser en paix. À nouveau, elle tremble de peur, elle redoute le pire pour les minutes qui viennent.

Son angoisse n'est pas de très longue durée car bientôt la porte s'ouvre à nouveau. Le contrôleur entre dans le compartiment, suivi de près par le serveur du wagon-restaurant. Georges est un homme d'une bonne quarantaine d'années, assez petit et rond, ses cheveux grisonnants lui donnent un air débonnaire, mais d'étranges lueurs salaces luisent dans ses yeux gris clair. C'est loin d'être un bel homme l'ensemble fait beaucoup plus penser à un client assidu de bordel qu'à un serveur, malgré sa tenue.

Dès que la porte est refermée, le contrôleur s'adresse à son copain :

- Alors ? N'est-elle pas jolie, ma petite pute ?

- Oui... Mais elle me semble un peu jeune... Tu es sûr qu'elle pourra recevoir ma grosse queue ?

- Oui, je connais ton problème de ce côté là, je crois vraiment que oui, de toute façon, si ça ne marchait pas, je te rembourserai !

En entendant ces mots, la pauvre Sophie a de grands frissons, elle se demande encore une fois pourquoi elle a accepté toutes ses horreurs. Elle se dit aussi qu'elle est tombée bien bas pour accepter, même sous la contrainte toutes les choses que lui ordonne cet épouvantable contrôleur.

François vient se placer devant sa pute, lui attrape les cheveux et les tire vers le haut pour que la jeune fille redresse sa tête, puis il enchaîne :

- Elle est mignonne, non ?

- Oui, pas de problème ! Répond le serveur après être venu à coté de son pote pour dévisager la petite brune.

- Bon, je vais alors te laisser avec cette chienne, si quoi que se soit se passe mal, si elle se rebiffe ou te manque de respect, ou tout simplement si elle ne veut pas faire ce que tu lui demandes, appelle-moi avec le talkie-walkie. Elle sait qu'elle doit être bien obéissante, mais on ne sait jamais avec ces chiennes, deux précautions valent mieux qu'une !

- OK. En cas de souci, je t'appelle !

- Bien, alors amuse-toi, régale-toi comme tu veux, défonce-lui bien le cul, de toute façon, son prochain client ne sera pas avant longtemps, donc tu as carte blanche pour cette soirée, vieux frère !

Sur ces dernières paroles, le contrôleur lâche les cheveux qu'il tenait toujours en main et sort tranquillement du compartiment en refermant encore derrière lui.

- Parfait salope, commence alors l'homme resté seul, tu vas commencer par me sucer pour me mettre en forme !

Sur ces mots, Georges baisse son pantalon et son slip puis s'assoit sur le bord de la couchette. Une fois bien installé, il dit encore :

- Viens me sucer, qu'attends-tu chienne ? 

Sans mot dire, Sophie, comme un automate, se retourne en restant à quatre pattes et vient se placer entre les jambes de l'homme. Cette fois, elle ne sait plus du tout où elle en est, elle exécute ce qu'on lui demande comme si elle rêvait.

Le type ne bande pas du tout, il a sa queue toute molle qui pend entre ses cuisses. Il s'empare des cheveux de la brunette et les tire pour la faire venir plus près de lui, puis il ajoute encore :

- Vas-y, suce-moi, morue !

Alors la pauvre fille ouvre la bouche et happe la bite molle. Maintenant elle commence à la sucer doucement.

- Oui... Pompe-moi le dard, salope, tu es une bonne pute à ce que je vois !

Très vite, la queue grossit dans la bouche de la petite brune. Il faut dire qu'elle s'y prend plutôt bien, elle avale la bite le plus loin possible dans sa gorge, quand elle estime que le vit est tout au fond de sa gorge et qu'elle commence à avoir un petit haut-le-cœur, elle le ressort doucement en le flattant avec sa langue, puis elle recommence encore à l'aspirer, et ainsi de suite.

À ce régime, Georges ne peut rester de marbre, ou plus exactement, il devient de marbre, mais en plus chaud. En quelques minutes, sa queue devient raide, elle n'est pas plus longue que la moyenne en fait, mais au moins deux fois plus grosse.

Le diamètre imposant de l'engin qu'elle suce commence à fatiguer sérieusement la pauvre Sophie qui fait de gros efforts pour ouvrir toujours plus grande sa mignonne petite bouche. Cette fois, elle ne peut pas vraiment dire que cet homme bedonnant l'excite, d'ailleurs en temps normal, elle aurait toujours refusé les avances d'un tel personnage, pourtant, en ce moment elle mouille et prend même plaisir à sucer ce bonhomme. Encore une fois, elle se demande un bref instant pourquoi, puis se laisse de nouveau aller à son plaisir perverti.

Bien sûr, le contraste de l'attitude de ce serveur qui lui caresse les cheveux avec celle précédente du contrôleur, doit être une des causes de son excitation. Mais il semble également que ce fameux employé ait vu juste, et que la contrainte participe encore à cette excitation pour la jeune fille.

Georges ne se pose aucune question quant à lui, il se laisse aller apprécie cette bonne pipe, trouve la fille très jolie et bien experte pour son jeune âge.

Tout à coup, dans un étrange son guttural, Sophie ressort l'énorme mandrin de chair de sa bouche et dit en s'excusant :

- Je suis désolée, mais votre sexe est vraiment devenu trop gros pour que je le suce, Monsieur !

- Viens t'allonger ici ! Dit alors Georges d'un ton compatissant en se relevant du bord de la couchette et en désignant cette dernière à la jeune fille.

A suivre...

jeudi 25 août 2022

Le garagiste pervers

 Histoire d'Eko (ou Géronimo)

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Je devais récupérer ma voiture que j'avais laissée pour le contrôle technique obligatoire. J'arrivais donc chez le garagiste juste avant la fermeture. Ce qui ne parut pas emballer le propriétaire. Le patron du garage, un certain Robert était vraiment monstrueux. La soixantaines, gros, limite obèse, sale, bref repoussant au possible. Et en plus, il n'arrêtais pas de me mater.

Je portais ce jour la, une jupe en cuir noir sur des bas coutures et un haut moulant. Mes escarpins rouges vifs allongeait encore plus mes jambes. Bon, tenue un peu sexy pour aller chez le garagiste mais je devais retrouver mon amant juste après. Mon mari était en voyage d'affaire à l'étranger et nous en profitions pleinement. A 47 ans, j'étais devenue la maîtresse d'un de mes étudiants à la fac ou j'enseigne le français. Immorale mais tellement bon...

En plus du dénommé Robert, il y avait 3 autres employés qui me reluquaient. On m'annonce que ma voiture est prête et je dois aller dans le bureau de Mr Robert pour régler la facture. Je m'assois croisant mes jambes dévoilant une bonne partie de mes cuisses. Je réalise que Robert matte mes jambes sans aucune gêne. Confuse, je me rends compte qu'on aperçoit la lisière des bas que je porte et je tire maladroitement sur ma courte jupe. Il me tend la facture et là, je m'aperçois, horrifiée, que j'ai oublié mon portefeuille à la maison. Agacé, Mr Robert soupira :

- Ben vous repasserez demain ma ptite dame...

- Mais, ce n'est pas possible , j'ai un rendez-vous impératif ce soir, sans voiture comment je fais ?

- Y a les taxis...

- Allez soyez gentil, laissez moi reprendre ma voiture et je vous jure, je repasse vous régler demain.

- Hors de question !

Le garagiste se lève et s'approche de moi.

- Remarquez... On pourrait s'arranger.

Je mets quelques secondes à comprendre.

- Mais ça va pas non ! Lançai-je, outrée.

Mr Robert me leva de ma chaise et me poussa contre le mur. Son halène sent l'alcool et je détourne le visage. Je pousse un cri quand je sens sa main qui se faufile sous ma jupe.

- Putain, je le crois pas, t'as rien la dessous !

C'est vrai, je voulait tellement exciter mon amant que je n'ai pas mis de string. Ses doigts prennent possession de mon vagin. Il agite ses doigts en me traitant de bourgeoise salope. Je tente de me dégager, je gémis, me débats sans y parvenir. Mr Robert me titille le clitoris et je commence à ressentir une douce chaleur dans mon bas-ventre. Le garagiste s'empara d'une paire de ciseaux et je fus effrayée.

- Que faites vous? Bafouillais-je.

Il me coupa mon haut sous mes protestations. Il coupa également mon soutien-gorge. Il se pencha et me suça la pointe des seins qu'il malaxe sans douceur. Il me força à me mettre à genoux.

- Sors ma bite, chienne !

Terrorisée, je m'exécute. Son membre est impressionnant. Épais, long. Il m'agrippe les cheveux et m'enfonce sa bite dans la bouche me provoquant un haut le cœur. Je le suce tant bien que mal, lui titillant le gland avec ma langue. Il m'enfonce sa queue dans ma bouche. Il m'ordonne de lui lécher les couilles et j'obéis, soumise. Je suis trempée et il s'en aperçoit.

- T'es toute mouillée petite salope, viens on va en faire profitez les copains aussi !

- Oh non, pitié! S'il vous plaît!

Mais, me tenant par les cheveux , il m'oblige à sortir du bureau à quatre pattes et m'emmène au milieu du garage. Les seins à l'air, la jupe enroulée autour de la taille dévoilant ma chatte et mon cul. Ses trois collègues s'approchent.

- Qu'est ce que tu fous Robert ?

- Venez les gars, j'ai une bourgeoise en manque de bites qui n'attends que ça !

Un des garagistes me présenta son sexe le tenant à pleines mains et me l'enfourna dans la bouche. Un autre me donne des claques sur les fesses me faisant couiner. Le dernier m'enfonce ses doigts dans ma chatte.

Celui que je suce m'agrippe la tête et il fait coulisser sa bite dans ma bouche à toute vitesse me provoquant des hauts le cœur. Robert s'empare de son portable...

- Je suis en train de faire un super film les gars !

- Allez montre nous tes talents d'actrice porno ma belle.

Tout le monde éclate de rire. Je tente de protester mais je suis étouffée par la bite du garagiste. Robert décide de jouer les metteurs en scène et il donne des directives :

- Roger, enfonce lui ta main dans sa chatte !

Le dénommé Roger obéit et je sens sa main envahir mon vagin. Il active sa main et je pousse un gémissement.

- Bruno, va te faire sucer avec Fifi.

Je me retrouve donc à sucer deux queues à la fois, parfois il m'enfonce leurs deux bites dans la bouche me déformant la mâchoire. Roger retira sa main et me contraignit à la nettoyer. Je m'exécute lui suçant les doigts un par un.

Je suis relevée et poussée vers une voiture. Courbée en avant, les seins écrasés sur le capot, Robert confie son portable à Roger. M'agrippant les hanches, il me pénètre brutalement me faisant pousser un petit cri. Il me pilonne comme un fou, son gros ventre vient claquer contre mes fesses. Fifi m'oblige à avaler sa bite pendant que Roger fait des gros plans. Je gémis sous les coups de reins de Robert qui exulte.

- Elle prend son pied cette salope ! Je vous l'avais dit les gars, sous ses airs de bourgeoises, une grosse chienne à dominer.

Il se retira et fut remplacer par Bruno. Il me releva, me coucha sur le capot et relevant mes jambes à la verticale, il me pénétra. Robert m'enfonça sa bite dans la bouche. Je suis défoncée comme une chienne par Bruno. C'est plus fort que moi, je sens l'orgasme arriver et je pousse un cri.

- On va l'enculer ! Lance Robert.

Je proteste énergiquement Mais rien n'y fait. Je suis de nouveau positionnée à quatre pattes sur le sol crasseux du garage. Mes bas sont déchirés, j'ai des traces de cambouis sur le corps. Pour me préparer, ces pervers décide de m'enfoncer dans l'anus le talon aiguille de mon escarpin. Je dois faire le tour du garage avec le talon de ma chaussure plantée dans le cul sous les lazzis de mes tourmenteurs...

Fifi versa de l'huile sur sa bite et pointa son gland sous l'ouverture de mes reins. Il força et je sentis sa bite s'enfoncer dans mon trou du cul. Haletante, les yeux fous, les cheveux en bataille, je pousse un long gémissement.

Fifi agrippe mes hanches et m'encule sauvagement. Puis ce fut le gros Robert qui m'encula. Je fus enculée à tour de rôle par ces pervers qui ne me laissent aucun répit. Empalée sur la bite de Bruno, enculée par Mr Robert, les deux bites de Fifi et Roger dans la bouche, je suis leur chose, leur poupée de chair dont ils font ce qu'ils veulent...

Cela dura une bonne partie de la soirée. Je fus mise à genoux au milieu du garage et mes quatre pervers se masturbent au dessus de mon visage. Fifi éjacula le premier m'aspergeant de son foutre. J'en ai sur le front, le menton. Roger libéra son sperme dans mes cheveux. Bruno sur mes seins. Mr Robert m'ordonna d'ouvrir la bouche et lâcha un torrent de sperme dans ma bouche m'ordonnant de tout avaler.

Je suis rhabillée et je m'apprête à partir quand Mr Robert vient me voir.

- Comment tu t'appelles? 

- Claudine.

- Écoute Claudine, si tu veux pas qu'on diffuse tes petits exploits sur internet, tu viendras nous voir régulièrement. Je suis sur que t'as apprécié notre petite séance.

Honteuse, je ne réponds pas, le chantage est en place... Je sors du garage en courant et récupère ma voiture; le rendez vous avec mon amant est foutu maintenant, je lui envoie un texto lui disant que je ne peux pas venir.

Le pauvre... Y va être déçu....

FIN

mardi 23 août 2022

Ma femme, cette salope infidèle.

Traduction d’un texte de ENGLISH Bob.

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Je savais, depuis des années, qu’elle me trompait. Ça me semblait évident, mais, je n’avais jamais eu de preuves concrète, jusqu’à aujourd’hui. 

Voir sa femme rebondir de haut en bas sur les genoux d’un autre homme peut avoir des effets graves sur le mari. Tous les hommes vont réagir de façon différente. Ainsi, quand je surprends ma femme Carole dans une telle situation, une vague d’émotions me traverse. Oui je suis en colère évidemment. Oui je suis blessé. Mais je suis excité aussi. La voir nue à part des bas et des talons hauts alors qu’elle se lève et se laisse tomber sur les genoux de son amant, alors qu’elle gémit bruyamment quand la bite la pénètre profondément, fait battre mon cœur à cent à l’heure et me fait bander. C’est un spectacle que je n’oublierai probablement jamais et je réalise soudainement la sensation que peuvent avoir tous ces gars qui aiment voir leurs femmes baiser un autre homme.

Mais je ne peux pas laisser Carole deviner ce que je ressens, du moins pas encore. J’ai beaucoup à gagner de cette situation et je compte bien en profiter au maximum. Ce n’est pas si souvent que je prends le dessus sur ma femme !

- Oh Jean, je suis vraiment désolé ! S’il te plaît, pardonne-moi ! Pleurniche-t-elle après que j’ai balancé sans ménagement son jeune amant dans la rue.

Je la regarde se tordre et supplier dans son embarras alors qu’elle essaie tout ce qu’elle peut pour me garder, moi et mon compte bancaire, à ses côtés.

- Ce n’est pas de ma faute, c’était son idée, il m’a séduite ! Ment-elle.

- N’aggrave pas les choses en mentant Carole. Peux-tu trouver une bonne raison pour laquelle je ne devrais pas te mettre dehors .

- Oh s’il te plaît Jean, non ! Je ferai n’importe quoi : S’il te plaît, laisse-moi me racheter !

Je regarde ses fausses larmes commencer à couler. Je n’ai jamais été dupe de notre mariage. Carole m’avait épousé pour mon argent et ses larmes étaient causées par la peur de devenir pauvre et sans ressources.

Je la regarde froidement alors qu’elle est toujours à moitié nue sur le canapé, la tête dans ses mains en pleurant pour m’apitoyer. Elle a l’air si vulnérable et sexy que j’ai encore une érection. 

- Tu veux te racheter ? Lui demandé-je.

Elle lève les yeux et hoche vigoureusement la tête, son visage arborant un mince sourire d’espoir.

- D’accord ! Tu peux commencer par sucer ma bite alors !

Je m’assieds dans un fauteuil et je défais mon pantalon. Sortant ma queue bien dure, je la regarde avancer vers moi à quatre pattes.

Elle fait du bon travail c’est sûr. Penser à ses cartes de crédit la motive à avoir un niveau d’expertise sexuelle qu’elle ne m’a jamais montré jusque-là. Il est certain qu’elle a bien dû s’entraîner avec d’autres. Alors que sa bouche de velours m’engloutit et que ses longs doigts bien manucurés taquinent et chatouillent mes couilles, je réalise rapidement que je ne vais pas tenir longtemps. Mais je veux qu’elle soit plus punie que ça, et je veux la revoir avec un autre homme. Une idée me vient alors. Alors que ma bite se contracte et que mon foutre gicle dans sa bouche ouverte et consentante, je trouve la réponse au problème. Je veux qu’elle soit bien défoncée.

Avec la menace d’être expulsée et de ne pouvoir continuer à dépenser sans compter, il n’est pas très difficile de lui faire accepter mon idée. Je planifie alors son humiliation.

Des amis organisent ce week-end une petite fête costumée. Je vais y aller seul en disant que ma femme ne peut venir, car elle avait pris un engagement ailleurs. Puis Carole se présentera anonymement, vêtue d’un costume de sorcière noire avec un masque pour cacher son visage. Je sais aussi que les trois frères JACQUOT assisteront à cette fête. Ils travaillent souvent pour moi et je sais que je peux leur faire confiance pour faire ce que je demande. De plus, je sais que ce sont trois beaux salauds toujours excités.

Je mange rapidement un sandwich dans mon bureau le samedi soir avant de partir pour la fête. Il est 20h00 quand je pars et elle bat déjà son plein à mon arrivée. Carole et moi avions convenu qu’elle arriverait, déguisée en sorcière, vers 21h30. J’avais déjà averti les frères JACQUOT, mais il me reste du temps avant l’arrivée de ma femme pour revoir certains détails. Je ne veux pas qu’ils sachent que c’est Carole qu’ils vont baiser. Je leur fais croire qu’il s’agit d’une ancienne petite amie qui m’a humilié en me larguant publiquement.

Dès que j’entre dans le salon de la maison de mon ami, je suis inquiet. Contrairement à notre accord, Carole est déjà là. Mais comme nous l’avions prévu, elle m’ignore pratiquement et se mêle au reste des invités, bavardant et riant sans jamais enlever son masque. Je décide que, bien que le plan n’ait pas commencé comme je le désirais, il faut continuer quand même. De plus les frères JACQUOT sont déjà là, et à la quantité de canettes de bière vides se trouvant à côté d’eux, je devine qu’ils ne seront pas très heureux si j’annule leur plaisir.

L’un après l’autre, les trois frères dansent avec Carole. Ils la font tournoyer et saisissent chaque occasion pour palper un sein ou une fesse. Carole se contente de rire pendant qu’ils la bousculent gentiment. J’arrive à peine à croire quelle salope j’ai épousé.

A minuit, ma femme a dansé avec à peu près tous les hommes de la fête et je l’ai vu se faire tripoter à plusieurs reprises. Je regarde Bruno JACQUOT, l’aîné des trois frères et je lui fais signe qu’il est temps. Lentement il se dirige vers Carole et son jeune frère Philippe. Ils sont en train de danser en se balançant au rythme de la musique. Une brève conversation chuchotée démarre et Bruno, Philippe et leur autre frère Marc conduisent ma femme dans l’air chaud et nocturne du jardin arrière.

Je prends une profonde inspiration et j’essaie de contrôler les battements de mon cœur. Je compte lentement jusqu’à cinquante avant de bouger. Je veux leur laisser un peu de temps pour commencer avant de les rejoindre.

Mes oreilles captent les bruits qu’ils font bien avant que je ne les voie. Ce n’est pas facile de les localiser, mais finalement, je les aperçois tous le quatre dans la semi-obscurité de la maisonnette au bout du jardin. J’ai décidé d’être furtif, donc lentement et silencieusement, je me positionne de façon à avoir le meilleur point de vue sans être vu et je m’installe pour jouir du spectacle.

- Vous êtes une petite taquine, n’est-ce pas ? 

J’entends Bruno dire ces mots à Carole en la soulevant et la faisant asseoir sur le bord d’une table.

- Je crois que vous avez besoin d’une leçon ! Ajoute-t-il.

Il fait signe à Marc qui sort soudainement un rouleau de ruban adhésif. J’avais insisté pour qu’il n’y ait pas de violence sans être particulièrement inquiet de l’improvisation des frères. Tout ce qui les intéresse est de pouvoir bien baiser sans entendre les paroles de leur proie.

Carole se débat un peu alors qu’il place un morceau de ruban adhésif sur sa bouche. De toute façon, avec deux frères la tenant solidement, elle ne peut pas faire grand-chose. Je suis content de voir que les frères JACQUOT ont prêté attention à mes instructions et n’essaient pas de lui retirer son masque pour voir son visage. Bien sûr, ils sont plus pressés d’exposer d’autres parties de son anatomie.

Dès que la bande adhésive est posée sur la bouche de Carole, les trois hommes commencent à vraiment la tripoter. Ses gros seins attirent tout d’abord leur attention. Et de la façon dont ils rebondissent sous le tissu noir de la robe lorsque les mains masculines les pelotent, me fait dire qu’elle ne doit pas porter de soutien-gorge. Mes soupçons sont confirmés un peu plus tard lorsque Bruno ouvre le devant de la robe et expose ses superbes nichons.

Les mains des JACQUOT sont partout maintenant. Les seins de Carole sont pelotés et ses mamelons sont pincés et tirés. Puis Philippe s’agenouille et remonte la jupe évasée à la taille, révélant ainsi une minuscule culotte noire qui couvre à peine sa chatte. Le sous-vêtement ne dure pas longtemps non plus. Il est rapidement retiré et jeté au sol. Je peux entendre les gémissements étouffés de Carole alors que des doigts titillent son clitoris et sonde les profondeurs humides de sa chatte.

Je savais que ma femme était une salope excitée, mais même moi, je suis surpris quand un instant plus tard elle hurle de plaisir à travers la bande adhésive et qu’elle commence à trembler alors qu’un puissant orgasme la traverse.

- Ne la laissons pas reprendre ses esprits ! Crie Bruno.

Il commence à soulever la femme tremblante dans ses bars et il ajoute :

- Tournons-la et profitons de cette chatte, les gars !

Les deux autres frères aident Bruno et retournent ma femme sur le ventre et écartent ses jambes de chaque côté de la table. Brun retrousse sa jupe jusqu’à la taille et expose ses fesses rondes et pâles. En une seconde son pantalon est descendu sur ses chevilles et je vois sa grosse bite épaisse au garde-à-vous. Avec ses mains sur son dos, il se met en position entre ses jambes. Carole est bien humide.Dans la pénombre, je peux voir l’humidité qui brille entre ses cuisses.

Puis soudainement, avec un coup de rein violent, Bruno est en elle. Ses coups sont rapides, il pilonne avec rudesse le corps de ma femme. Philippe et Marc restent en arrière, légèrement sur le côté, leur braguette ouverte. Ils se masturbent lentement en regardant leur frère baiser Carole.

C’est une vraie scène de film porno. Bruno martèle la chatte de ma femme avec vigueur. Il semble infatigable alors qu’il enfonce profondément sa queue tout en giflant les fesses exposées.

- Ahaaaa ! Putain je vais jouir ! Crie-t-il quelques minutes plus tard alors qu’il sort de la chatte ouverte et humide.

D’une main tremblante, il pose sa bite sur les fesses de Carole et il la branle rapidement. Avec un profond gémissement, il éjacule. Je suis assez proche pour voir son sperme épais et blanc jaillir de sa queue et éclabousser les fesses rouges de mon épouse.

- A mon tour maintenant ! Crie Philippe alors qu’il pousse son frère aîné hors du chemin.

Il s’enfonce directement dans le trou que Bruno vient de quitter.

- Oh merde ! C’est vraiment une salope excitée, n’est-ce pas ?

Marc se masturbe un peu plus vite et encourage son frère :

- Vas-y Phil ! Baise la bien !

- T’inquiète pas frérot ! Hmmmm, qu’elle est sexy ! Putain que c’est bon !

Philippe commence à labourer la chatte de Carole alors que celle-ci continue à gémir sous son bâillon de fortune. Je devine qu’elle vient d’avoir un nouvel orgasme à la façon dont ses fesses ondulent et ses jambes tremblent de manière incontrôlable. 

Philippe continue de baiser la chatte humide de ma femme pendant quinze minutes avant de finalement éjaculer. Comme son frère auparavant et comme je l’avais demandé, il se retire une seconde avant de gicler. Son foutre gluant jaillit puissamment dans les airs et atterrit sur les fesses et le bas du dos de Carole. Elle gémit et se cambre quand elle sent le sperme atterrir sur sa peau sensible.

Son éjaculation terminée, Philippe contourne la table et pose sa bite humide sur la tête de Carole. Il l’essuie avec une poignée des cheveux épais et noirs. C’est une des scènes les plus érotiques que je n’ai jamais vu.

- Il est temps pour toi d’en profiter, petit frère ! Dit Bruno à Marc.

Celui-ci s’avance avec sa bite tendue dans sa main. Je crois que Carole ne va pas pouvoir souffler.

Pendant une seconde le troisième frère reste immobile et laisse le bout de sa bite frotter lentement les plis humides de la chatte. Il semble pensif comme s’il essayait de se décider pour quelque chose.

- Je n’aime pas trop baiser des chattes déjà utilisées. Dit-il alors que nous regardons tous le mélange de sperme et jus féminin suinter entre les petites lèvres.

- Défonce son cul alors ! Crie Philippe pour l’encourager.

J’entends les protestations étouffées de Carole quand elle entend ces derniers mots. Mais Philippe et Bruno la tienne fermement alors que Marc sourit et se place sur son petit trou du cul serré.

Alors qu’il commence à pousser sa virilité contre son anus, je peux voir le petit trou commencer à lâcher prise. Il pousse un peu plus fort et Carole gémit à nouveau. C’est tout à fait le genre d’humiliation que je veux qu’elle vive ?

Marc crache sur sa bite et pousse une fois de plus. Avec un cri étouffé de ma femme, le cul s’ouvre et accepte la queue dure. Au début le troisième frère va lentement, permettant généreusement au corps féminin de répondre. Les cris de Carole se sont maintenant transformés en gémissements et soupirs de plaisir. Marc prend cela pour un signe encourageant. Il augmente la vitesse et pilonne le cul de ma femme tout en lui donnant parfois une claque amicale sur les fesses écartées. D’après les gémissements de Carole, il me paraît évident qu’elle apprécie pleinement cette attention plutôt brutale. Bientôt tout son corps se raidit et tremble alors qu’elle vit un nouvel orgasme.

Marc ne tient que quelques secondes de plus avant de commencer à gémir. Sa tête se redresse subitement et ses yeux se ferment alors que je le regarde s’enfouir plus profondément dans le cul de ma femme alors qu’il jouit. Je suis un peu déçu de ne pas pouvoir le voir gicler sur elle, mais il était trop tard pour qu’il se retire.

Carole tremble sous la jouissance de Marc, son corps étant rempli de foutre épais. Puis, épuisé, Marc recule, s bite sortant des fesses maltraités. Il s’effondre presque sur le sol tellement ses jambes sont flageolantes.

Ma femme reste allongée sur le ventre sur la table, ses jambes molles pendent tandis qu’un liquide épais et crémeux s’échappent obscènement de ses deux trous dilatés. Moi-même j’ai une érection d’enfer et je me jure que dès que les gars seront partis, j’irai la baiser.

- Ah te voilà ! Désolé je suis en retard, ma foutue voiture est tombée en panne ! 

La voix derrière moi m’est terriblement familière et me fait sursauter. Je me retourne, la main toujours sur mon entrejambe. Mon esprit est complètement embrouillé alors que ma femme se tient juste devant moi, et qu’elle fait les derniers ajustements à son costume de sorcière blanche.

- Mais… Mais… Pourq… Hein ? 

J’ai du mal à être cohérent.

- Quel est le problème Jean ? Demande-t-elle en remontant le corsage de sa robe.

Je regarde derrière moi. Les JACQUOT sont partis maintenant et la femme, quelle qu’elle soit, essaie de remettre ses vêtements en ordre.

- Qui peut-elle être ? Dis-je en murmurant.

Carole regarde elle aussi et sourit :

- Aucune idée ! Mais on dirait qu’elle s’est bien amusée. Alors quand allons-nous commencer avec ton idée de gang-bang ?

Encore confus, je tire ma femme vers la maison et je rencontre notre amie et hôtesse Paula. Elle me dit en souriant  :

- Bonjour Jean, et bonjour Carole, je pensais que tu ne pouvais pas venir ce soir.

- Euhh… oui… Bien… Euhhh…

- Et tu portes à peu près le même costume que celui de ma fille. A part la couleur il est identique. Au fait, avez-vous vu Julie ? Elle a disparu. J’espère qu’il ne lui est rien arrivé !

Tout en saluant Paula, je tire Carole vers la sortie. Je ne pense pas que Paula serait contente si je lui disais dans quel genre d’histoire sa fille de dix-huit ans s’était faite embarquer.

FIN.  

dimanche 21 août 2022

Sections Spéciales - 2ème partie

  Bande dessinée de Jack-Harry Hopper (Jacques Géron)

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A suivre...

vendredi 19 août 2022

Les WC étaient occupés Ch. 04

Texte degkcdqho

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La première sodomie.

Le lendemain, à la maison, je repensais à hier après midi, je suis dans la cuisine avec mon mari, c’est quelques mots de Marcel reviennent à mon esprit : "Imagine que c’est celui de… Ton mari !". Il m’a demandé d’imaginer que c’était le sexe de mon mari qui était dans ma chatte !                                     

Pendant que nous prenons le petit déjeuner.

- Nicole… Tu m’écoutes…

- Heu, oui, mon chéri...

- Donc, je vais partir plusieurs jours en déplacement à Marrakech pour aider à remettre en route le vieux bateau de monsieur Lacour...

Je ne devais pas vraiment l’écouter quand j’imaginais son sexe dans ma grotte. 
 
- Oui ? OUI ! Bien sûr... Tu sais ce que tu dois faire, ce n'est pas la première fois. Va mon chéri, va ! 

Aujourd'hui je suis de retour dans la grange au bord du lit. Il ouvre mon chemisier, sourit de voir mes seins libres . Il me le retire, il caresse mes seins, les soupèse, triture mes tétons du bout des doigts, les fait bien bander, il fouille dans le sac, ressort deux cylindres brillants avec des pinces accrochées au bout.

- C'est quoi ces trucs ?

Il ouvre une pince, me saisit le sein gauche, pose la pince qui se referme sur mon téton tendu. Aie  !! Ça fait mal !! Il est fou ce type, j'ai eu un geste de recul mais trop tard.  Je porte ma main à mon sein pour enlever ça, quand je reçois une grande claque sur la joue.

- Laisse ça tranquille ou tu en prends une autre ! Me dit Marcel en levant le bras.

Des larmes dans les yeux, je suis sonnée, j’enlève ma main de mon sein meurtri. La pince écrase ma chair, la douleur irradie de la pointe de mon sein jusque dans mon ventre. D'un geste rapide, il empoigne mon sein droit et accroche l'autre pince au téton bandé. Je pousse un cri. C'est violent, je perds l'équilibre sous la douleur, mais il me retient par les bras. Mes tétons emprisonnés me font souffrir, on dirait que l'on me les arrache du corps. Il se recule en me tenant les avant-bras, il sourit.

Je regarde mes seins, ils penchent sous la charge qui les tire vers le bas. Je suis toujours debout. Il ouvre ma jupe, me libère de mon string,. Ses mouvements font balancer les petits cylindres suspendus à mes seins ce qui ravive la douleur. Il met le string en bouchon dans la poche de ma jupe qui rejoint le chemisier. D'un seul coup les petits cylindres se mettent à vibrer . Drôle de sensation, la douleur diminue, ça devient presque agréable, une chaleur se diffuse dans mes seins.

Marcel me pousse brutalement sur le lit. Je tombe en arrière. Mes seins ballottent avec mes tétons qui vibrent . Me voilà sur le dos, les cuisses ouvertes, les jambes dans le vide. Marcel, penché entre mes cuisses, ouvre ma chatte avec sa langue en remontant à mon clito qu'il suce, aspire, mordille pour me faire jouir. Rapidement je sens le plaisir monter. D'une main, il prend quelque chose dans le sac, je sens un truc froid à l'entrée dans ma grotte.

Elle s'ouvre sous la poussée d'un gode. Le gland est large il me dilate l'entrée humide, la longue tige grossie à mesure que la possession continue. Arrivée au fond, sa main contre mes grandes lèvres le stoppe. Je suis investie par une verge en plastique plus grosse que la première fois, je sens toutes les aspérités de ce sexe, ça me fait mouiller.

La bouche de Marcel  n'a pas lâché mon clito. Avec les vibrations dans mes tétons, je ne sais plus d’où viennent ses sensations qui me font frissonner de plaisir. 

Marcel commence à me besogner avec le gode qui se met à vibrer, j'ai un frisson dans tout le bas ventre, le plaisir arrive par vagues toujours plus fortes. C'est un orgasme qui déferle de mon ventre jusqu'aux seins sensibles sous les vibrations, il y a bien longtemps que je n'avais plus eu un  orgasme aussi fort.

Les vibrations du gode s'arrêtent. Il me le retire, mais laisse les pinces sur mes tétons.

- Mets toi en levrette, me dit-il. 

Dans l' état second où je me trouve, je me mets à quatre pattes sur le lit. Marcel se place derrière moi, sa queue entre mes cuisses. Il passe son gland entre mes grandes lèvres et sur mon clito. 

- Hum ! C'est bon...

Son gland s'enfonce lentement, doucement, jusqu'à buter contre mon utérus, un gémissement
échappe de ma gorge. Il commence des va-et-vient lents et profonds qui ne tardent pas à me tirer des râles de plaisir. Pendant qu'il me besogne, des doigts massent ma petite corolle. Un doigt mouillé entre dans l'anneau qui s'ouvre facilement pendant que je jouis longuement. Une phalange, puis deux et le doigt tout entier coulisse dans mon cul, se qui me procure des sensations agréables qui se mélangent à l'orgasme naissant. Un deuxième doigt rejoint le premier dans mon cul.

Les coups de reins de Marcel me font monter dans les tours, j'ai chaud de partout, mes muscles
se tendent, ma vision se trouble, mes pensées s'échappent. La vague monte irrésistiblement. Tandis qu'un troisième doigt rejoint les deux autres entre mes fesses, l'orgasme éclate dans un cri de jouissance interminable avec des larmes de plaisirs plein les yeux.

Marcel se retire prestement et d'un coup de rein enfonce son gland dans mon anus si bien préparé. Je sors de ma jouissance !! Je réalise trop tard, mes sphincters ne résistent pas à la poussée. Comme je me suis jamais fait sodomiser, je l'ai toujours refusé à mon mari, je le refuse à Marcel.

- NON !!! Pas par là !!! NON !!!

Mais il continue quand même. Et moi je lui résiste. Alors il pose sa main sur ma nuque en serrant fort. Comme j'essaie de lui échapper, de sortir du lit toujours à quatre pattes, il passe sa jambe droite devant ma cuisse droite, rendant impossible toute tentative de ramper sur le lit pour lui échapper. 

Marcel est très fort. Dans cette position, avec cette prise sur ma nuque, il a autorité sur moi. Je ne peux plus rien faire, je sens que son membre entrouvre la petite porte de mon arrière-train, mais jusqu'à là je ne ressens aucune douleur.

- Qu'est-ce que tu fais Marcel ???

- J'essaie de t'enculer !!! 

- Non, je ne veux pas ça, tu as eu ce que tu voulais, continue donc à me faire l'amour !

- Tu n'es pas ici pour faire l'amour, mais pour être baisée et enculée, c'est ce que je vais faire. 

Je lui résiste encore, j'ai beau essayer me coucher sur le côté gauche ou droit, il me ramène à quatre pattes sur le lit, il est trop fort pour moi. Je ne peux pas m'allonger le ventre sur le lit, sa jambe droite m'en empêche.

- Ne bouge pas ma belle !! Bouge pas comme ça !!!                                                                                   

Peu importe ce que je fais, il se sert de sa force physique pour me ramener à quatre pattes sur le lit. C'est lui qui me domine, je le connais assez pour savoir qu'il ne lâchera pas prise. Son gland entier a déjà franchi la petite porte. Je crains juste que plus il rentrera plus il me fera mal. Il me demande si je n'ai pas trop mal, ce qui me rassure car il semble vouloir prendre soin de moi.

- Ça va ma belle ?? 

- Ça s'endure !! Va doucement, maintenant que tu y es !!! Que je lui réponds vaincu d'avance. 

- Ton mari ne t'a jamais enculée ???

- NON !! Tu es le premier à me le faire !!! Salaud !!! 

Je sens qu'il s'enfonce de plus en plus loin. Il me serre la nuque d'une main, il me rassure de l'autre, il me caresse le dos, les joues les seins, il sait que je lui suis soumise, je ne tente plus de lui résister. Pendant qu'il me pénètre doucement mais inexorablement, il me parle :

- Tu as baisé beaucoup de femmes avant moi ??

- Non ! Tu es la troisième !

- AAARRETEE !!
 
Lorsque ça me fait mal, il stoppe, recule un peu, mouille de salive sa queue puis reprend son avancée dans mes reins.  

- Tu les as toutes sodomisées ???

- Non !! Tu es la deuxième !!

- Pourquoi tu veux tout prix me le faire ?? 

- Parce que tu es belle et que j'ai toujours voulu t'enculer en voyant ton cul passer devant moi !!

- AIEEE !! Arrête !! Enlèves-toi !!!
   
- J'ai presque tout rentré, tu vas l'avoir dans le cul !!!! Comment tu le sens !!!!
                                   
Je me sens remplie, dominée, j'ai l'impression d'être une chienne qui se fait saillir. 

- L'autre femme elle aime ça ?? Tu la baises encore ???? C'est qui ???? 

- Oui, elle aime ça, se faire enculer. C'est elle qui m'a appris à bien le faire et à aimer ça. Oui je la baise encore. C'est ma voisine. Je te la présenterai bientôt.

Sa voisine ??? Je n'en reviens pas ?? Si mon mari savait que je suis en train de me faire sodomiser par un collègue de travail qui me fait chanter en plus, moi qui n'ai jamais voulu qu'il me le fasse, se serait le divorce assuré. 

- Tiens !! Voilà, tu l'a toute entière dans ton cul, tu es à moi maintenant !                                          

Je hurle de douleur et de rage, mais mes cris le galvanisent et il accélère avec des coups de reins haineux, qui n'ont pour but que de me démolir. Je ne suis qu'un morceau de chair à pénétrer entre ses mains. Il me traite comme la pire des salopes, utilisant sa queue vengeresse pour expier ma faute. Tout ça pour un moment d'égarement dans la réserve ! J'en pleure de colère et d'impuissance, quand je le sens grossir encore dans mon fondement.

- Une chance pour toi que tu m'as surprise dans la réserve, sinon on ne serait pas là tous les deux.

- Je t'ai eu par la soumission, ça a l'air de te plaire d'être soumise au mâle ??

- Oui !! C'est ça le pire, je viens de découvrir avec toi que j'aime ça, me faire dominer.                        

Sa queue est en train de m'éclater les parois de l'intérieur, je risque de m'évanouir sous cette ultime stimulation quand mon corps décide de me trahir. En voulant refouler l'intrus immonde qui m'assaille, voilà que j'ouvre bien malgré moi la porte à mes profondeurs insondables. Plus je pousse pour résister, plus sa bite s'introduit dans mes boyaux. Dans une tentative désespérée de repousser sa queue, des spasmes animent mon boyau et offrent un accès royal à mon tourmenteur.

Marcel lâche ma nuque, passe une main entre mes cuisses et commence à me triturer le clitoris entre son pouce, son index et son majeur. les deux autres doigts branle l'entée de ma chatte. Une chaleur que je reconnais bien se diffuse dans mon entrejambe. Je commence à prendre du plaisir; je gémis. Marcel en profite pour commencer ses déhanchements, plus je jouis sous ses doigts plus il me sodomise avec vigueur. Je me surprends à lancer mes fesses contre son pubis. Ce n'est plus lui qui m'encule, c'est maintenant moi qui me sodomise sur cette grosse queue. Je deviens folle. Ses doigts dans ma grotte, sa queue dans mes reins, je ne sais plus par quel trou jouir.                                                                               
Sous l'effet des spasmes, la jouissance vient. Une jouissance sale, impure, atroce. Mais une jouissance d'une puissance dévastatrice, faite de frustration libérée, de saturation des sens, de digues morales qui sautent sous l'effet de sa queue, une jouissance infernale qui secoue mon corps de contractions insoutenables, de convulsions folles comme si j'étais prise de démence. Je jouis comme jamais, emportée dans un maelström de plaisir, de douleur et de rage mêlés... Je suis terrassée par un orgasme incroyable.           

Je m'affale sur mes coudes, les pinces de mes seins frottent sur le lit. Il sert plus fort mes hanches en se plaquant plus fort sur mes fesses, il me sodomise à fond avec frénésie, il va jouir !

- Ah ! OUOUIIIIII !! Ça vient... Prends ça ma Nicole et ça encore !  AAARRFFF !! 

A ce moment-là, la bite gonflée prête à exploser, sa longueur d'une dureté hallucinante me broyant les chairs de l'intérieur, il inonde mes boyaux de sa semence. Une chaleur envahit mes entrailles, il se répand dans mon ventre, ça coulisse mieux avec son jus dans mon fondement qu'il graisse de son sperme. Je ne sais plus où je suis, comment je m'appelle, ou ce que je viens de subir. Je suis simplement repue comme jamais de plaisir, au moment où mes barrières mentales ont commencé à céder sous l'assaut répété de sa queue. Mon corps ne m'appartient plus, il lui appartient à lui, il dirige mon corps avec sa queue, je ne suis qu'une marionnette entre ses mains. Mais quel plaisir ! Je devient une vraie salope...

Il s'immobilise, planté au fond de mes reins, me caresse le dos, descend vers mes seins. Il retire les pinces de mes tétons, elles ne vibrent plus, je respire de soulagement. Enfin il sort de mes entrailles, je me couche sur le côté, un filet de sperme sort de mon cul. Il  coule sur le drap, je m'en fous complètement, dégoûtée de ce qu'il vient de me faire. Il se rhabille, me sourit, me caresse la hanche, je frissonne sous sa caresse.

Le temps de reprendre pied dans la réalité, je viens à nouveau d’avoir un rapport sexuel avec Marcel et j’y quand même pris du plaisir, et lui aussi quand je constate mon état. 

- Quand tu auras repris tes esprits, rejoins-moi dans la maison que je te lave le cul comme hier !

Toute honte bue, je rejoins le Marcel dans la salle à manger. Il est là, il m’attend avec la bassine d’eau chaude. Sans même protester, je monte sur la table, les bras derrière moi et arquée sur mes jambes, de nouveau je lui offre mon corps.

La toilette au combien sensuelle a recommencé, les doigts écartent mes lèvres tuméfiées et sensibles, d’autres doigts fouillent mon vagin puis mon cul en changeant souvent d’eau.

Après ce rinçage j’ai droit à la masturbation de mon clitoris, jusqu’à ce que je pousse un cri de démente sous l’effet du plaisir. Puis il m’essuie tendrement. Je suis encore tout abasourdie. Après qu’il ait retiré la bassine, je reste assise sur la table, les jambes écartées comme si ma vulve et mon cul  avaient besoin de respirer.

- Tu peux te rhabiller, et je te vois vendredi !!!! 

- Non je ne viendrais plus après ce que tu m'a fait subir aujourd'hui !!

Marcel s’empare de mes tétons et les tord violemment. Je hurle de douleur et j’ai les larmes qui me coulent.

- Je t’ai vendredi c’est compris ? Tu es à moi maintenant et je veux que tu m’obéisse, OK ?
 
- Je vais voir !! (entre deux sanglots).

- Vendredi même heure, et j’aurai une surprise pour toi, mais ne t’inquiète pas, je sais que tu vas venir ! allez file !!! Dit-il en agitant son portable.

Je remets mes vêtements en pensant à ses derniers mots qui ne sont pas faits pour me rassurer, mais je suis déjà soumise à ses désirs, je ne pourrai plus m’en passer. Je remonte dans ma voiture pendant qu'il ouvre les portes de la grange.

- A vendredi même heure ? 

"Vendredi !! C'est ça tu peux toujours m'attendre longtemps. Salaud !!" Que je me suis dit.

A suivre...

mercredi 17 août 2022

Train de nuit - Ch. 06

Texte de XMaster, 

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Sophie est encore plus humiliée.

Toujours soumise, elle laisse sa poitrine venir en contact avec le sol dur du compartiment, puis elle ramène ses mains sur ses fesses et les écarte alors impudiquement comme pour permettre une meilleure pénétration.

- Allez, tire bien sur tes fesses pour l'ouvrir, ton anus de pute !

Et Sophie écarte encore plus ses fesses pour se laisser fouiller les entrailles, mais elle ne peut pas voir à cet instant que François vient de se relever et se tient derrière elle les jambes fléchies.

- Mets-toi les index pour l'ouvrir ton cul de salope, vite !

Toujours sans répondre, la jeune fille s'exécute rapidement en se dilatant le trou du cul et en espérant le passage d'une bonne bite par cet orifice.

L'homme attend quelques instants que l'anus soit bien ouvert, toujours debout au-dessus des fesses, les jambes fléchies. Il tient sa bite pliée vers l'orifice béant. Puis, quand il estime que la femelle est à sa merci, il se lâche et pisse, tout debout, dans l'orifice ouvert.

La jolie brune se met alors à pousser un cri, tant elle est surprise de l'opération, puis elle commence à balbutier :

- Mais ça ne va pas...

- Ta gueule ou je te pisse dans la bouche, morue ! Se contente de répondre François en se vidant la vessie.

Le liquide jaune pale qui s'insinue dans ses entrailles procure une étrange sensation à la belle Sophie, ni vraiment agréable, ni vraiment désagréable. La seule chose qui la stupéfie encore c'est son absence de réaction face à ce monstre, bien sûr c'est un bel homme, mais comment a-t-elle pu en arriver à se laisser faire de telles choses, là est la question.

- C'est parfait, tu es une bonne pute bien docile ! Laisse tomber le contrôleur d'une voix devenue bienveillante tout en se rasseyant sur le bord de la couchette.

La jeune fille n'ose pas bouger de peur d'agacer le monstrueux personnage, mais aussi de peur que l'urine ne s'échappe de ses intestins. Elle se sent sale tout à coup.

Le mec contemple quelques instants sa proie soumise à ses caprices, puis il ajoute sur un ton redevenant impératif tout en gardant encore des traces de bienveillances :

- Maintenant, tu vas aller te vidanger les boyaux aux chiottes en bout de wagon.

À ce moment-là, la pauvre jeune fille commence à croire qu'elle arrive au terme de ses souffrances et que ce vicieux personnage va finir par se lasser d'elle, aussi, tout doucement elle se relève. Une fois debout, elle s'empare de sa petite robe d'été qui est posée sur la couchette en face de la sienne.

- Non ! Vas-y nue, tu es une bonne chienne, mais pas un toutou à sa mémère avec un petit manteau, donc tu vas aux chiottes nue comme une bonne chienne bien obéissante !

- Mais Monsieur, si quelqu'un venait...

- Je te protégerai, sois rassurée, mais je veux te voir nue dans le couloir !


Et encore une fois, la peur au ventre, la pauvre Sophie se remet à pleurer en balbutiant :

- Pitié Monsieur, pitié, je vous en prie !

- Allons donc ! Ça ne va pas te tuer de faire dix mètres, nue, d'ailleurs tu dois bien avoir l'habitude de t'exhiber, non ?

- Non Monsieur, je vous assure, je ne...

- Pas d'histoire, tu fais ce que je t'ordonne et c'est tout, sinon gare à ma ceinture !

La pauvre chérie se met à trembler en redoublant ses pleurs. Elle essaye encore inutilement de négocier en ajoutant entre deux sanglots :

- Mais pour qui je vais passer moi, alors ?

- Eh bien, pour ce que tu es ma belle, une vraie salope soumise qui a, en permanence, le feu au cul et qui a toujours besoin de se faire fourrer !

- Mais...

- Aller, hop, plus de discussion stérile, va aux toilettes, je te suis !

Le ton est devenu complètement contraignant, la jeune fille est entièrement perdue et, ne sachant plus quoi dire, finit par entrouvrir la porte du compartiment. Elle hésite, jette un regard à droite, puis à gauche, essaye de reculer quand elle sent deux mains puissantes sur ses hanches qui la poussent dans le couloir assez peu éclairé.

- Et ne tâche pas de cacher tes seins ou ta moule, hein !

Alors, les bras le long du corps, elle se hâte vers le bout du wagon en priant mentalement que personne ne passe pendant son trajet. Très heureusement pour elle, la pièce est libre et elle entre prestement dans le petit réduit en refermant la porte sur elle. Elle est persuadée que le contrôleur est derrière la porte à l'attendre, aussi se dépêche-t-elle de s'asseoir sur la lunette.

François est finalement resté dans le compartiment et attend que sa proie revienne. Il s'amuse beaucoup intérieurement à voir comment et combien cette jeune créature est à sa merci. Il se rend compte qu'il a poussé le bouchon très loin cette fois-ci, mais il se doit bien de reconnaître que ces jeux l'excitent aussi beaucoup, et que plus il va loin, plus de nouvelles idées germent dans son esprit.

Sophie pisse littéralement par le cul. Elle sent également ses propres excréments qui partent avec le liquide, heureusement que le bruit du train couvre entièrement les sons qu'elle laisse échapper. Elle pense qu'elle se sentirait encore plus honteuse si elle savait que quelqu'un pouvait l'entendre. Seule maintenant, elle essaye de retrouver ses esprits et de comprendre comment elle en est arrivée là.

Au bout de cinq minutes, le contrôleur ne voyant pas réapparaître sa soumise, il se décide d'aller jusqu'aux toilettes pour voir de quoi il en retourne. Arrivé devant la porte, il tend l'oreille mais ne perçoit aucun son, il tape alors à la porte avec sa pince et annonce en déguisant sa voix :

- Billet s'il vous plaît.

Le bruit fait sursauter la jeune fille sur son siège. En s'essuyant rapidement, elle lâche :

- Oui, j'arrive Monsieur.

Comme elle est entièrement nue, elle en profite pour laver ses fesses toutes maculées. Après un rapide séchage, elle entrouvre la porte pour voir si personne d'autre n'est présent.

- Allez, dépêche-toi, je n'ai pas que ça à faire moi !

Baissant la tête, Sophie repart vers son compartiment sans mot dire. Sans oublier qu'elle est nue, elle se sent soulagée que l'homme la suive de près. Au moins, pense-t-elle, si quelqu'un m'aperçoit ainsi, il comprendra ce que j'endure et viendra peut-être me délivrer de ce monstre.

Malheureusement, personne ne passe à cet instant dans le wagon, et la jeune femme soumise entre dans son compartiment suivi de près par le pervers contrôleur.

Dès que la porte est refermée, il ordonne d'un ton des plus sec en lui attrapant le bras et en commençant à lui imprimer le mouvement qu'il souhaite lui voir faire :

- À quatre pattes par terre !

Toujours sans broncher, la pauvre fille s'exécute, elle pose ses genoux sur le sol et prend la position demandée, les mains bien à plat devant elle.

- Parfait, tu vas rester dans cette position le temps que je finisse mon service maintenant, je passerai de temps à autre, gare à toi si tu as bougé, ma ceinture est toujours prête, elle… !

Et sur ces mots, il sort du compartiment en refermant derrière lui avec son trousseau de service.

Sophie essaye de comprendre tout ce qui vient de se passer. Les idées tournent dans sa tête à grande vitesse. Pour le moment, elle ne sait même plus si ce fût excitant ou carrément dégoûtant, bien sûr, la fessée lui a fait mal, mais cette douleur est maintenant bien loin, bien sûr elle a été injuriée, mais ces injures n'ont-elles pas été aussi excitantes quelque part ? Et n'a-t-elle pas rêvé parfois de situations assez semblables ?

A suivre...

lundi 15 août 2022

Christiane Soumise

 Texte de Elko (Géronimo)

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Je m'appelle Christiane, 49 ans, directrice d'un lycée professionnel. Mon mari, Alain, 51 ans est PDG d'une société de BTP. Des revenues confortables. Nous habitons dans une ville huppée de la région parisienne. Couple plutôt bourgeois, nous avons une vie bien rangée, tranquille... Enfin, nous avions une vie tranquille... Un soir où nous rentrions d'un dîner chez des amis, notre Mercedes s'est mise à caler plusieurs fois. Alain relança le démarreur à plusieurs reprises sans aucun résultat. Nous étions au milieu de nulle part à 1 heures du matin et mon portable ne captait pas. Alain n'avait pas pris le sien. Quelle poisse !

Mon mari sortit de la Mercedes et ouvrit le capot bien qu'il ne soit pas spécialement doué en mécanique, il espérais saisir ce qui se passait. Je le rejoignit.

- Alors chéri ?

- Faudrait appeler un garagiste mais le portable ne passe pas.

Je regardai autour de moi, nous étions en rase campagne, pas âme qui vive. J'aperçus soudain au loin une enseigne lumineuse. Je repris espoir. On allait sans doute pouvoir nous aider.

Nous verrouillons la voiture et commençons notre expédition dans la nuit noir, nous éclairant avec mon portable. Il y a des endroits pas très accessible et avec mes talons aiguilles, j'ai du mal à avancer. Je manque tomber une première fois puis une seconde. Nous nous approchons et je réalise qu'il s'agit d'un bar. Une chance ! Qui dit bar dit téléphone fixe, qui dit téléphone fixe dis pouvoir appeler un garagiste !

Alain pousse la porte et nous entrons. Un silence de mort nous accueille. Toutes les conversations se sont arrêtées nettes dès que nous sommes entrés. On dirait une scène d'un mauvais western... Il y a une dizaine d'hommes attablés dont les yeux se braquent automatiquement sur moi. Faut dire que pour mon âge, je suis encore une très belle femme. Blonde aux yeux bleus, je suis toujours très féminine, toujours en jupe et en talons. Je sais que certains de mes collègues au lycée ne sont pas insensibles à mon charme et mon élégance. Et certain de mes élèves aussi sûrement... Ce soir, je porte une jupe noire qui s'arrête à mi-cuisses dévoilant mes longues jambes gainées de bas noirs à couture. Ma veste de tailleur blanche que je porte à même la peau laisse entrevoir par moment mon soutien-gorge noir emprisonnant une opulente poitrine qui ne demande qu'à jaillir du décolleté.

Alain s'approche du patron derrière son comptoir. C'est un homme barbu, bedonnant, repoussant au possible, qui me dégoutte immédiatement.

Alain lui explique le problème et pendant ce temps j'observe l'assistance. Ce sont des hommes dans la trentaine la plupart sauf un vieux qui semble avoir dans les soixante ans qui est au fond de la salle. Il y a des maghrébins, des français et même un grand black qui me paraît impressionnant. Il est immense ! Il doit bien faire dans les 1m95 voir 2 mètres !

Je sursaute en entendant le patron s'esclaffer :

- Un garagiste à cette heure, ça va pas être simple à trouver ! Mais vous avez de la chance, Eh Rachid !

Le dénommé Rachid se lève et viens vers nous.

- Il est pas garagiste mais je vous promets qu'il est drôlement fort en bagnole ! Il va vous la réparer votre caisse, moi je vous le dis !!

Mon mari serre la main du jeune homme et il décide d'aller voir sur place ce qui ne va pas et si il peut réparer la panne. Je fais un pas vers la porte pour les suivre quand la patron du bar m'interpelle.

- Vous allez pas sortir dans le froid comme ça ma ptite dame, restez au chaud avec nous.

Alain s'approche de moi.

- Il a raison, reste ici, on n'en a sans doute pas pour très longtemps.

Et il sort me laissant seule dans ce bar sordide, pas très rassurée...

- Je vous offre un verre ma ptite dame ?

Il m'énerve a m'appeler « ma ptite dame » celui la... Je décline poliment en lui disant que je n'ai pas d'argent sur moi.

- Je vous l'offre. Me dit-il en me faisant un clin d'œil. 

- Pas vrai les gars, lance t'il à la cantonade, faut être galant avec les jolies dames !

Je rougis en les entendant éclater de rire et je bredouille un remerciement. Il me sert d'office un petit verre rempli d'un liquide blanc. Le patron me dit s'appeler Michel et me présente les habitués des lieux (les piliers de comptoir quoi).

Il y a Mouloud (qui est le frère de Rachid) et le vieux au fond c'est Ibrahim, le père de Mouloud et Rachid. Le grand black c'est Mamadou, un sénégalais, me précise t'il en me faisant de nouveau un horrible clin d'œil. Un jeune blond, un dénommé Franck vient me serrer la main. Il a pas l'air très évolué Franck... Du coup, tous les autres se lèvent et viennent me serrer la main aussi . Je me retrouve entourée par une dizaines de types. Michel lance un « c'est ma tournée les gars » et sert un verre a tout le monde. Ne voulant pas être grossière, j'accepte de trinquer avec eux . Sans réfléchir, je prends mon verre et avale une gorgée. L'horreur ! Je ne sais pas c'est que c'est mais c'est terriblement fort. Je tousse et des larmes me montent aux yeux. Tout le monde éclate de rire. Il m'encourage a reprendre une autre gorgée arguant le fait que c'est la première la plus dure à passer. J'obéis et de nouveau je me met à tousser. Je commence à avoir chaud, très chaud. La tête commence a me tourner un peu. Je veux aller m'asseoir et je titube sur mes talons aiguilles. Des bras s'empressent de m'attraper avant que je ne tombe. Je sens des mains baladeuses me toucher les fesses et les seins mais je n'arrive pas a réagir. Que m'arrive t'il ? Je suis dans état second.

- J'ai chaud. Bafouillé-je.

Michel, le patron du bar, fais le tour de son comptoir et se plante devant moi, un mauvais rictus aux lèvres.

- C'est vrai qu'il fait chaud...

Et il déboutonne ma veste l'ouvrant largement découvrant mon soutien-gorge en dentelle. Il malaxe mes seins sans ménagement et baisse les balconnets dévoilant mes seins a toute l'assistance. Des mains avides se précipitent, triturant mes seins, pinçant mes tétons, tirant dessus. Je pousse un petit cri. On soulève ma jupe exhibant mes bas à couture accrochés aux porte-jarretelles. On siffle autour de moi admirant ma lingerie fine. Debout au milieu de ces hommes que je ne connaissait pas il y a encore dix minutes, je suis exhibée sans retenue. On me suce la pointe des tétons, on me caresse les jambes, des doigts me titille la vulve a travers mon string. A ma grande honte, je réalise, toujours dans une demi-torpeur, que je commence a ne pas rester insensible à ces caresses. Michel écarte mon string et ses doigts s'enfoncent dans mon intimité. Là, je tente de protester mais Franck me tourne la tête et enfonce sa langue dans ma bouche m'embrassant goulûment. Mouloud et son père n'en perdent pas une miette et jouent avec mes seins les soupesant. Michel fait coulisser son index et son majeur dans mon vagin me faisant haleter. Les insultes commencent a pleuvoir. Je reçois une claque sur les fesses me faisant crier.

- Tais toi salope ! Tu n'attendais que ça. T'es trempée. T'es vraiment une chienne sous tes airs de bourgeoise respectable.

Je pousse un long gémissement. Le patron du bar me lèche la vulve. Il me titille le clitoris avec sa langue. On me force a me mettre a genoux au milieu de la salle. Michel sort sa bite et me l'enfourne dans la bouche me faisant hoqueter. Il m'agrippe les cheveux et fait coulisser sa queue entre mes lèvres rouges. Il me l'enfonce très loin m'étouffant.

Il s'éloigne et il est aussitôt remplacé par Mamadou qui me présente un chibre impressionnant Je tente de reculer effrayée par la longueur et l'épaisseur de l'engin mais on me pousse en avant et Mamadou enfonce son énorme queue dans ma bouche. J'ai un haut le cœur et peine à sucer sa bite Je salive dessus le pompant mécaniquement. 

Puis ce fut Mouloud et son père que je dus sucer alternant entre les deux bites. Pour son âge, Ibrahim est encore en forme. 

Je suis relevée et penchée en avant. Je suce toujours la bite d'Ibrahim et je sens des mains s'accrocher à mes hanches. On me pénètre brutalement et je pousse un cri. Je tourne la tête. C'est Michel qui me pilonne comme un fou en faisant coulisser sa bite dans ma chatte trempée.

Je suce plusieurs bites en même temps. Franck et Mamadou m'obligent a prendre leurs deux bites dans la bouche me déformant la mâchoire. Je suis prise en photo et en gros plan par le portable de Mouloud.

Michel se retire et Franck le remplace. Il me bourre comme un malade, son ventre vient claquer contre mes fesses. Je sens que je vais pas tarder à jouir et je pousse des gémissements, haletante. Franck accélère la cadence sous les encouragements des autres. Je pousse un hurlement en ayant un orgasme dévastateur qui me laisse pantelante. Je manque de tomber, et du coup, on me positionne à quatre pattes. Mamadou se précipite et je proteste quand je sens sa bite se poser sur mon anus.

- Non !! S'il vous plait, pitié, pas par la ! HAAAA !!!

Je pousse un hurlement. Sans aucune pitié, Mamadou m'a enfoncé sa queue dans mon trou du cul ! J'halète sous l'infamante intromission. Je tente de reprendre mon souffle. Mamadou commence à bouger faisant des allers-retours dans mon cul. J'aperçois du coin de l'œil plusieurs de mes tourmenteurs qui prennent des photos ou carrément filme la scène. Mamadou me défonce en soufflant comme un porc. Il se retire brutalement et éjacule sur mes fesses en grognant.

Ibrahim m'agrippe les hanches et enfonce sa bite dans ma chatte me limant tout doucement d'abord puis de plus en plus vite me faisant gémir sans discontinuer, secouant la tête dans tous les sens. J'ai un deuxième orgasme qui me fait hurler. Ibrahim se précipite devant mon visage ravagé et éjacule libérant un torrent de sperme qui va s'écraser sur mon visage fin. J'en ai sur mes lèvres, les cheveux, le menton.

Il est remplacé par son fils Mouloud. Lui choisit de m'enculer. Sa bite déforme mon anus. Il me donne de violents coups de reins. Mes seins ballottent dans tous les sens sous ses coups de boutoirs. J'ai un troisième orgasme sous les hurlements de la foule.

Je suis affalée sur le sol du bar, épuisée par les trois orgasmes. Honteuse aussi. Tous les autres sont au dessus de moi et se masturbe. Ils éjaculent les uns après les autres libérant leur semence qui vient s'écraser sur mes seins, mon nez, mon menton... J'en ai partout... J'aperçois alors Rachid parmi ceux qui vienne de jouir sur moi. Horrifiée, je réalise que si Rachid est là, Alain, mon mari doit aussi être là !!!

Affolée, je tourne la tête.

Alain est debout au milieu du bar. Il me regarde avec consternation et tristesse...

FIN