vendredi 19 août 2022

Les WC étaient occupés Ch. 04

Texte degkcdqho

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La première sodomie.

Le lendemain, à la maison, je repensais à hier après midi, je suis dans la cuisine avec mon mari, c’est quelques mots de Marcel reviennent à mon esprit : "Imagine que c’est celui de… Ton mari !". Il m’a demandé d’imaginer que c’était le sexe de mon mari qui était dans ma chatte !                                     

Pendant que nous prenons le petit déjeuner.

- Nicole… Tu m’écoutes…

- Heu, oui, mon chéri...

- Donc, je vais partir plusieurs jours en déplacement à Marrakech pour aider à remettre en route le vieux bateau de monsieur Lacour...

Je ne devais pas vraiment l’écouter quand j’imaginais son sexe dans ma grotte. 
 
- Oui ? OUI ! Bien sûr... Tu sais ce que tu dois faire, ce n'est pas la première fois. Va mon chéri, va ! 

Aujourd'hui je suis de retour dans la grange au bord du lit. Il ouvre mon chemisier, sourit de voir mes seins libres . Il me le retire, il caresse mes seins, les soupèse, triture mes tétons du bout des doigts, les fait bien bander, il fouille dans le sac, ressort deux cylindres brillants avec des pinces accrochées au bout.

- C'est quoi ces trucs ?

Il ouvre une pince, me saisit le sein gauche, pose la pince qui se referme sur mon téton tendu. Aie  !! Ça fait mal !! Il est fou ce type, j'ai eu un geste de recul mais trop tard.  Je porte ma main à mon sein pour enlever ça, quand je reçois une grande claque sur la joue.

- Laisse ça tranquille ou tu en prends une autre ! Me dit Marcel en levant le bras.

Des larmes dans les yeux, je suis sonnée, j’enlève ma main de mon sein meurtri. La pince écrase ma chair, la douleur irradie de la pointe de mon sein jusque dans mon ventre. D'un geste rapide, il empoigne mon sein droit et accroche l'autre pince au téton bandé. Je pousse un cri. C'est violent, je perds l'équilibre sous la douleur, mais il me retient par les bras. Mes tétons emprisonnés me font souffrir, on dirait que l'on me les arrache du corps. Il se recule en me tenant les avant-bras, il sourit.

Je regarde mes seins, ils penchent sous la charge qui les tire vers le bas. Je suis toujours debout. Il ouvre ma jupe, me libère de mon string,. Ses mouvements font balancer les petits cylindres suspendus à mes seins ce qui ravive la douleur. Il met le string en bouchon dans la poche de ma jupe qui rejoint le chemisier. D'un seul coup les petits cylindres se mettent à vibrer . Drôle de sensation, la douleur diminue, ça devient presque agréable, une chaleur se diffuse dans mes seins.

Marcel me pousse brutalement sur le lit. Je tombe en arrière. Mes seins ballottent avec mes tétons qui vibrent . Me voilà sur le dos, les cuisses ouvertes, les jambes dans le vide. Marcel, penché entre mes cuisses, ouvre ma chatte avec sa langue en remontant à mon clito qu'il suce, aspire, mordille pour me faire jouir. Rapidement je sens le plaisir monter. D'une main, il prend quelque chose dans le sac, je sens un truc froid à l'entrée dans ma grotte.

Elle s'ouvre sous la poussée d'un gode. Le gland est large il me dilate l'entrée humide, la longue tige grossie à mesure que la possession continue. Arrivée au fond, sa main contre mes grandes lèvres le stoppe. Je suis investie par une verge en plastique plus grosse que la première fois, je sens toutes les aspérités de ce sexe, ça me fait mouiller.

La bouche de Marcel  n'a pas lâché mon clito. Avec les vibrations dans mes tétons, je ne sais plus d’où viennent ses sensations qui me font frissonner de plaisir. 

Marcel commence à me besogner avec le gode qui se met à vibrer, j'ai un frisson dans tout le bas ventre, le plaisir arrive par vagues toujours plus fortes. C'est un orgasme qui déferle de mon ventre jusqu'aux seins sensibles sous les vibrations, il y a bien longtemps que je n'avais plus eu un  orgasme aussi fort.

Les vibrations du gode s'arrêtent. Il me le retire, mais laisse les pinces sur mes tétons.

- Mets toi en levrette, me dit-il. 

Dans l' état second où je me trouve, je me mets à quatre pattes sur le lit. Marcel se place derrière moi, sa queue entre mes cuisses. Il passe son gland entre mes grandes lèvres et sur mon clito. 

- Hum ! C'est bon...

Son gland s'enfonce lentement, doucement, jusqu'à buter contre mon utérus, un gémissement
échappe de ma gorge. Il commence des va-et-vient lents et profonds qui ne tardent pas à me tirer des râles de plaisir. Pendant qu'il me besogne, des doigts massent ma petite corolle. Un doigt mouillé entre dans l'anneau qui s'ouvre facilement pendant que je jouis longuement. Une phalange, puis deux et le doigt tout entier coulisse dans mon cul, se qui me procure des sensations agréables qui se mélangent à l'orgasme naissant. Un deuxième doigt rejoint le premier dans mon cul.

Les coups de reins de Marcel me font monter dans les tours, j'ai chaud de partout, mes muscles
se tendent, ma vision se trouble, mes pensées s'échappent. La vague monte irrésistiblement. Tandis qu'un troisième doigt rejoint les deux autres entre mes fesses, l'orgasme éclate dans un cri de jouissance interminable avec des larmes de plaisirs plein les yeux.

Marcel se retire prestement et d'un coup de rein enfonce son gland dans mon anus si bien préparé. Je sors de ma jouissance !! Je réalise trop tard, mes sphincters ne résistent pas à la poussée. Comme je me suis jamais fait sodomiser, je l'ai toujours refusé à mon mari, je le refuse à Marcel.

- NON !!! Pas par là !!! NON !!!

Mais il continue quand même. Et moi je lui résiste. Alors il pose sa main sur ma nuque en serrant fort. Comme j'essaie de lui échapper, de sortir du lit toujours à quatre pattes, il passe sa jambe droite devant ma cuisse droite, rendant impossible toute tentative de ramper sur le lit pour lui échapper. 

Marcel est très fort. Dans cette position, avec cette prise sur ma nuque, il a autorité sur moi. Je ne peux plus rien faire, je sens que son membre entrouvre la petite porte de mon arrière-train, mais jusqu'à là je ne ressens aucune douleur.

- Qu'est-ce que tu fais Marcel ???

- J'essaie de t'enculer !!! 

- Non, je ne veux pas ça, tu as eu ce que tu voulais, continue donc à me faire l'amour !

- Tu n'es pas ici pour faire l'amour, mais pour être baisée et enculée, c'est ce que je vais faire. 

Je lui résiste encore, j'ai beau essayer me coucher sur le côté gauche ou droit, il me ramène à quatre pattes sur le lit, il est trop fort pour moi. Je ne peux pas m'allonger le ventre sur le lit, sa jambe droite m'en empêche.

- Ne bouge pas ma belle !! Bouge pas comme ça !!!                                                                                   

Peu importe ce que je fais, il se sert de sa force physique pour me ramener à quatre pattes sur le lit. C'est lui qui me domine, je le connais assez pour savoir qu'il ne lâchera pas prise. Son gland entier a déjà franchi la petite porte. Je crains juste que plus il rentrera plus il me fera mal. Il me demande si je n'ai pas trop mal, ce qui me rassure car il semble vouloir prendre soin de moi.

- Ça va ma belle ?? 

- Ça s'endure !! Va doucement, maintenant que tu y es !!! Que je lui réponds vaincu d'avance. 

- Ton mari ne t'a jamais enculée ???

- NON !! Tu es le premier à me le faire !!! Salaud !!! 

Je sens qu'il s'enfonce de plus en plus loin. Il me serre la nuque d'une main, il me rassure de l'autre, il me caresse le dos, les joues les seins, il sait que je lui suis soumise, je ne tente plus de lui résister. Pendant qu'il me pénètre doucement mais inexorablement, il me parle :

- Tu as baisé beaucoup de femmes avant moi ??

- Non ! Tu es la troisième !

- AAARRETEE !!
 
Lorsque ça me fait mal, il stoppe, recule un peu, mouille de salive sa queue puis reprend son avancée dans mes reins.  

- Tu les as toutes sodomisées ???

- Non !! Tu es la deuxième !!

- Pourquoi tu veux tout prix me le faire ?? 

- Parce que tu es belle et que j'ai toujours voulu t'enculer en voyant ton cul passer devant moi !!

- AIEEE !! Arrête !! Enlèves-toi !!!
   
- J'ai presque tout rentré, tu vas l'avoir dans le cul !!!! Comment tu le sens !!!!
                                   
Je me sens remplie, dominée, j'ai l'impression d'être une chienne qui se fait saillir. 

- L'autre femme elle aime ça ?? Tu la baises encore ???? C'est qui ???? 

- Oui, elle aime ça, se faire enculer. C'est elle qui m'a appris à bien le faire et à aimer ça. Oui je la baise encore. C'est ma voisine. Je te la présenterai bientôt.

Sa voisine ??? Je n'en reviens pas ?? Si mon mari savait que je suis en train de me faire sodomiser par un collègue de travail qui me fait chanter en plus, moi qui n'ai jamais voulu qu'il me le fasse, se serait le divorce assuré. 

- Tiens !! Voilà, tu l'a toute entière dans ton cul, tu es à moi maintenant !                                          

Je hurle de douleur et de rage, mais mes cris le galvanisent et il accélère avec des coups de reins haineux, qui n'ont pour but que de me démolir. Je ne suis qu'un morceau de chair à pénétrer entre ses mains. Il me traite comme la pire des salopes, utilisant sa queue vengeresse pour expier ma faute. Tout ça pour un moment d'égarement dans la réserve ! J'en pleure de colère et d'impuissance, quand je le sens grossir encore dans mon fondement.

- Une chance pour toi que tu m'as surprise dans la réserve, sinon on ne serait pas là tous les deux.

- Je t'ai eu par la soumission, ça a l'air de te plaire d'être soumise au mâle ??

- Oui !! C'est ça le pire, je viens de découvrir avec toi que j'aime ça, me faire dominer.                        

Sa queue est en train de m'éclater les parois de l'intérieur, je risque de m'évanouir sous cette ultime stimulation quand mon corps décide de me trahir. En voulant refouler l'intrus immonde qui m'assaille, voilà que j'ouvre bien malgré moi la porte à mes profondeurs insondables. Plus je pousse pour résister, plus sa bite s'introduit dans mes boyaux. Dans une tentative désespérée de repousser sa queue, des spasmes animent mon boyau et offrent un accès royal à mon tourmenteur.

Marcel lâche ma nuque, passe une main entre mes cuisses et commence à me triturer le clitoris entre son pouce, son index et son majeur. les deux autres doigts branle l'entée de ma chatte. Une chaleur que je reconnais bien se diffuse dans mon entrejambe. Je commence à prendre du plaisir; je gémis. Marcel en profite pour commencer ses déhanchements, plus je jouis sous ses doigts plus il me sodomise avec vigueur. Je me surprends à lancer mes fesses contre son pubis. Ce n'est plus lui qui m'encule, c'est maintenant moi qui me sodomise sur cette grosse queue. Je deviens folle. Ses doigts dans ma grotte, sa queue dans mes reins, je ne sais plus par quel trou jouir.                                                                               
Sous l'effet des spasmes, la jouissance vient. Une jouissance sale, impure, atroce. Mais une jouissance d'une puissance dévastatrice, faite de frustration libérée, de saturation des sens, de digues morales qui sautent sous l'effet de sa queue, une jouissance infernale qui secoue mon corps de contractions insoutenables, de convulsions folles comme si j'étais prise de démence. Je jouis comme jamais, emportée dans un maelström de plaisir, de douleur et de rage mêlés... Je suis terrassée par un orgasme incroyable.           

Je m'affale sur mes coudes, les pinces de mes seins frottent sur le lit. Il sert plus fort mes hanches en se plaquant plus fort sur mes fesses, il me sodomise à fond avec frénésie, il va jouir !

- Ah ! OUOUIIIIII !! Ça vient... Prends ça ma Nicole et ça encore !  AAARRFFF !! 

A ce moment-là, la bite gonflée prête à exploser, sa longueur d'une dureté hallucinante me broyant les chairs de l'intérieur, il inonde mes boyaux de sa semence. Une chaleur envahit mes entrailles, il se répand dans mon ventre, ça coulisse mieux avec son jus dans mon fondement qu'il graisse de son sperme. Je ne sais plus où je suis, comment je m'appelle, ou ce que je viens de subir. Je suis simplement repue comme jamais de plaisir, au moment où mes barrières mentales ont commencé à céder sous l'assaut répété de sa queue. Mon corps ne m'appartient plus, il lui appartient à lui, il dirige mon corps avec sa queue, je ne suis qu'une marionnette entre ses mains. Mais quel plaisir ! Je devient une vraie salope...

Il s'immobilise, planté au fond de mes reins, me caresse le dos, descend vers mes seins. Il retire les pinces de mes tétons, elles ne vibrent plus, je respire de soulagement. Enfin il sort de mes entrailles, je me couche sur le côté, un filet de sperme sort de mon cul. Il  coule sur le drap, je m'en fous complètement, dégoûtée de ce qu'il vient de me faire. Il se rhabille, me sourit, me caresse la hanche, je frissonne sous sa caresse.

Le temps de reprendre pied dans la réalité, je viens à nouveau d’avoir un rapport sexuel avec Marcel et j’y quand même pris du plaisir, et lui aussi quand je constate mon état. 

- Quand tu auras repris tes esprits, rejoins-moi dans la maison que je te lave le cul comme hier !

Toute honte bue, je rejoins le Marcel dans la salle à manger. Il est là, il m’attend avec la bassine d’eau chaude. Sans même protester, je monte sur la table, les bras derrière moi et arquée sur mes jambes, de nouveau je lui offre mon corps.

La toilette au combien sensuelle a recommencé, les doigts écartent mes lèvres tuméfiées et sensibles, d’autres doigts fouillent mon vagin puis mon cul en changeant souvent d’eau.

Après ce rinçage j’ai droit à la masturbation de mon clitoris, jusqu’à ce que je pousse un cri de démente sous l’effet du plaisir. Puis il m’essuie tendrement. Je suis encore tout abasourdie. Après qu’il ait retiré la bassine, je reste assise sur la table, les jambes écartées comme si ma vulve et mon cul  avaient besoin de respirer.

- Tu peux te rhabiller, et je te vois vendredi !!!! 

- Non je ne viendrais plus après ce que tu m'a fait subir aujourd'hui !!

Marcel s’empare de mes tétons et les tord violemment. Je hurle de douleur et j’ai les larmes qui me coulent.

- Je t’ai vendredi c’est compris ? Tu es à moi maintenant et je veux que tu m’obéisse, OK ?
 
- Je vais voir !! (entre deux sanglots).

- Vendredi même heure, et j’aurai une surprise pour toi, mais ne t’inquiète pas, je sais que tu vas venir ! allez file !!! Dit-il en agitant son portable.

Je remets mes vêtements en pensant à ses derniers mots qui ne sont pas faits pour me rassurer, mais je suis déjà soumise à ses désirs, je ne pourrai plus m’en passer. Je remonte dans ma voiture pendant qu'il ouvre les portes de la grange.

- A vendredi même heure ? 

"Vendredi !! C'est ça tu peux toujours m'attendre longtemps. Salaud !!" Que je me suis dit.

A suivre...

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