Traduction d’un texte de ENGLISH Bob.
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Je savais, depuis des années, qu’elle me trompait. Ça me semblait évident, mais, je n’avais jamais eu de preuves concrète, jusqu’à aujourd’hui.
Voir sa femme rebondir de haut en bas sur les genoux d’un autre homme peut avoir des effets graves sur le mari. Tous les hommes vont réagir de façon différente. Ainsi, quand je surprends ma femme Carole dans une telle situation, une vague d’émotions me traverse. Oui je suis en colère évidemment. Oui je suis blessé. Mais je suis excité aussi. La voir nue à part des bas et des talons hauts alors qu’elle se lève et se laisse tomber sur les genoux de son amant, alors qu’elle gémit bruyamment quand la bite la pénètre profondément, fait battre mon cœur à cent à l’heure et me fait bander. C’est un spectacle que je n’oublierai probablement jamais et je réalise soudainement la sensation que peuvent avoir tous ces gars qui aiment voir leurs femmes baiser un autre homme.
Mais je ne peux pas laisser Carole deviner ce que je ressens, du moins pas encore. J’ai beaucoup à gagner de cette situation et je compte bien en profiter au maximum. Ce n’est pas si souvent que je prends le dessus sur ma femme !
- Oh Jean, je suis vraiment désolé ! S’il te plaît, pardonne-moi ! Pleurniche-t-elle après que j’ai balancé sans ménagement son jeune amant dans la rue.
Je la regarde se tordre et supplier dans son embarras alors qu’elle essaie tout ce qu’elle peut pour me garder, moi et mon compte bancaire, à ses côtés.
- Ce n’est pas de ma faute, c’était son idée, il m’a séduite ! Ment-elle.
- N’aggrave pas les choses en mentant Carole. Peux-tu trouver une bonne raison pour laquelle je ne devrais pas te mettre dehors .
- Oh s’il te plaît Jean, non ! Je ferai n’importe quoi : S’il te plaît, laisse-moi me racheter !
Je regarde ses fausses larmes commencer à couler. Je n’ai jamais été dupe de notre mariage. Carole m’avait épousé pour mon argent et ses larmes étaient causées par la peur de devenir pauvre et sans ressources.
Je la regarde froidement alors qu’elle est toujours à moitié nue sur le canapé, la tête dans ses mains en pleurant pour m’apitoyer. Elle a l’air si vulnérable et sexy que j’ai encore une érection.
- Tu veux te racheter ? Lui demandé-je.
Elle lève les yeux et hoche vigoureusement la tête, son visage arborant un mince sourire d’espoir.
- D’accord ! Tu peux commencer par sucer ma bite alors !
Je m’assieds dans un fauteuil et je défais mon pantalon. Sortant ma queue bien dure, je la regarde avancer vers moi à quatre pattes.
Elle fait du bon travail c’est sûr. Penser à ses cartes de crédit la motive à avoir un niveau d’expertise sexuelle qu’elle ne m’a jamais montré jusque-là. Il est certain qu’elle a bien dû s’entraîner avec d’autres. Alors que sa bouche de velours m’engloutit et que ses longs doigts bien manucurés taquinent et chatouillent mes couilles, je réalise rapidement que je ne vais pas tenir longtemps. Mais je veux qu’elle soit plus punie que ça, et je veux la revoir avec un autre homme. Une idée me vient alors. Alors que ma bite se contracte et que mon foutre gicle dans sa bouche ouverte et consentante, je trouve la réponse au problème. Je veux qu’elle soit bien défoncée.
Avec la menace d’être expulsée et de ne pouvoir continuer à dépenser sans compter, il n’est pas très difficile de lui faire accepter mon idée. Je planifie alors son humiliation.
Des amis organisent ce week-end une petite fête costumée. Je vais y aller seul en disant que ma femme ne peut venir, car elle avait pris un engagement ailleurs. Puis Carole se présentera anonymement, vêtue d’un costume de sorcière noire avec un masque pour cacher son visage. Je sais aussi que les trois frères JACQUOT assisteront à cette fête. Ils travaillent souvent pour moi et je sais que je peux leur faire confiance pour faire ce que je demande. De plus, je sais que ce sont trois beaux salauds toujours excités.
Je mange rapidement un sandwich dans mon bureau le samedi soir avant de partir pour la fête. Il est 20h00 quand je pars et elle bat déjà son plein à mon arrivée. Carole et moi avions convenu qu’elle arriverait, déguisée en sorcière, vers 21h30. J’avais déjà averti les frères JACQUOT, mais il me reste du temps avant l’arrivée de ma femme pour revoir certains détails. Je ne veux pas qu’ils sachent que c’est Carole qu’ils vont baiser. Je leur fais croire qu’il s’agit d’une ancienne petite amie qui m’a humilié en me larguant publiquement.
Dès que j’entre dans le salon de la maison de mon ami, je suis inquiet. Contrairement à notre accord, Carole est déjà là. Mais comme nous l’avions prévu, elle m’ignore pratiquement et se mêle au reste des invités, bavardant et riant sans jamais enlever son masque. Je décide que, bien que le plan n’ait pas commencé comme je le désirais, il faut continuer quand même. De plus les frères JACQUOT sont déjà là, et à la quantité de canettes de bière vides se trouvant à côté d’eux, je devine qu’ils ne seront pas très heureux si j’annule leur plaisir.
L’un après l’autre, les trois frères dansent avec Carole. Ils la font tournoyer et saisissent chaque occasion pour palper un sein ou une fesse. Carole se contente de rire pendant qu’ils la bousculent gentiment. J’arrive à peine à croire quelle salope j’ai épousé.
A minuit, ma femme a dansé avec à peu près tous les hommes de la fête et je l’ai vu se faire tripoter à plusieurs reprises. Je regarde Bruno JACQUOT, l’aîné des trois frères et je lui fais signe qu’il est temps. Lentement il se dirige vers Carole et son jeune frère Philippe. Ils sont en train de danser en se balançant au rythme de la musique. Une brève conversation chuchotée démarre et Bruno, Philippe et leur autre frère Marc conduisent ma femme dans l’air chaud et nocturne du jardin arrière.
Je prends une profonde inspiration et j’essaie de contrôler les battements de mon cœur. Je compte lentement jusqu’à cinquante avant de bouger. Je veux leur laisser un peu de temps pour commencer avant de les rejoindre.
Mes oreilles captent les bruits qu’ils font bien avant que je ne les voie. Ce n’est pas facile de les localiser, mais finalement, je les aperçois tous le quatre dans la semi-obscurité de la maisonnette au bout du jardin. J’ai décidé d’être furtif, donc lentement et silencieusement, je me positionne de façon à avoir le meilleur point de vue sans être vu et je m’installe pour jouir du spectacle.
- Vous êtes une petite taquine, n’est-ce pas ?
J’entends Bruno dire ces mots à Carole en la soulevant et la faisant asseoir sur le bord d’une table.
- Je crois que vous avez besoin d’une leçon ! Ajoute-t-il.
Il fait signe à Marc qui sort soudainement un rouleau de ruban adhésif. J’avais insisté pour qu’il n’y ait pas de violence sans être particulièrement inquiet de l’improvisation des frères. Tout ce qui les intéresse est de pouvoir bien baiser sans entendre les paroles de leur proie.
Carole se débat un peu alors qu’il place un morceau de ruban adhésif sur sa bouche. De toute façon, avec deux frères la tenant solidement, elle ne peut pas faire grand-chose. Je suis content de voir que les frères JACQUOT ont prêté attention à mes instructions et n’essaient pas de lui retirer son masque pour voir son visage. Bien sûr, ils sont plus pressés d’exposer d’autres parties de son anatomie.
Dès que la bande adhésive est posée sur la bouche de Carole, les trois hommes commencent à vraiment la tripoter. Ses gros seins attirent tout d’abord leur attention. Et de la façon dont ils rebondissent sous le tissu noir de la robe lorsque les mains masculines les pelotent, me fait dire qu’elle ne doit pas porter de soutien-gorge. Mes soupçons sont confirmés un peu plus tard lorsque Bruno ouvre le devant de la robe et expose ses superbes nichons.
Les mains des JACQUOT sont partout maintenant. Les seins de Carole sont pelotés et ses mamelons sont pincés et tirés. Puis Philippe s’agenouille et remonte la jupe évasée à la taille, révélant ainsi une minuscule culotte noire qui couvre à peine sa chatte. Le sous-vêtement ne dure pas longtemps non plus. Il est rapidement retiré et jeté au sol. Je peux entendre les gémissements étouffés de Carole alors que des doigts titillent son clitoris et sonde les profondeurs humides de sa chatte.
Je savais que ma femme était une salope excitée, mais même moi, je suis surpris quand un instant plus tard elle hurle de plaisir à travers la bande adhésive et qu’elle commence à trembler alors qu’un puissant orgasme la traverse.
- Ne la laissons pas reprendre ses esprits ! Crie Bruno.
Il commence à soulever la femme tremblante dans ses bars et il ajoute :
- Tournons-la et profitons de cette chatte, les gars !
Les deux autres frères aident Bruno et retournent ma femme sur le ventre et écartent ses jambes de chaque côté de la table. Brun retrousse sa jupe jusqu’à la taille et expose ses fesses rondes et pâles. En une seconde son pantalon est descendu sur ses chevilles et je vois sa grosse bite épaisse au garde-à-vous. Avec ses mains sur son dos, il se met en position entre ses jambes. Carole est bien humide.Dans la pénombre, je peux voir l’humidité qui brille entre ses cuisses.
Puis soudainement, avec un coup de rein violent, Bruno est en elle. Ses coups sont rapides, il pilonne avec rudesse le corps de ma femme. Philippe et Marc restent en arrière, légèrement sur le côté, leur braguette ouverte. Ils se masturbent lentement en regardant leur frère baiser Carole.
C’est une vraie scène de film porno. Bruno martèle la chatte de ma femme avec vigueur. Il semble infatigable alors qu’il enfonce profondément sa queue tout en giflant les fesses exposées.
- Ahaaaa ! Putain je vais jouir ! Crie-t-il quelques minutes plus tard alors qu’il sort de la chatte ouverte et humide.
D’une main tremblante, il pose sa bite sur les fesses de Carole et il la branle rapidement. Avec un profond gémissement, il éjacule. Je suis assez proche pour voir son sperme épais et blanc jaillir de sa queue et éclabousser les fesses rouges de mon épouse.
- A mon tour maintenant ! Crie Philippe alors qu’il pousse son frère aîné hors du chemin.
Il s’enfonce directement dans le trou que Bruno vient de quitter.
- Oh merde ! C’est vraiment une salope excitée, n’est-ce pas ?
Marc se masturbe un peu plus vite et encourage son frère :
- Vas-y Phil ! Baise la bien !
- T’inquiète pas frérot ! Hmmmm, qu’elle est sexy ! Putain que c’est bon !
Philippe commence à labourer la chatte de Carole alors que celle-ci continue à gémir sous son bâillon de fortune. Je devine qu’elle vient d’avoir un nouvel orgasme à la façon dont ses fesses ondulent et ses jambes tremblent de manière incontrôlable.
Philippe continue de baiser la chatte humide de ma femme pendant quinze minutes avant de finalement éjaculer. Comme son frère auparavant et comme je l’avais demandé, il se retire une seconde avant de gicler. Son foutre gluant jaillit puissamment dans les airs et atterrit sur les fesses et le bas du dos de Carole. Elle gémit et se cambre quand elle sent le sperme atterrir sur sa peau sensible.
Son éjaculation terminée, Philippe contourne la table et pose sa bite humide sur la tête de Carole. Il l’essuie avec une poignée des cheveux épais et noirs. C’est une des scènes les plus érotiques que je n’ai jamais vu.
- Il est temps pour toi d’en profiter, petit frère ! Dit Bruno à Marc.
Celui-ci s’avance avec sa bite tendue dans sa main. Je crois que Carole ne va pas pouvoir souffler.
Pendant une seconde le troisième frère reste immobile et laisse le bout de sa bite frotter lentement les plis humides de la chatte. Il semble pensif comme s’il essayait de se décider pour quelque chose.
- Je n’aime pas trop baiser des chattes déjà utilisées. Dit-il alors que nous regardons tous le mélange de sperme et jus féminin suinter entre les petites lèvres.
- Défonce son cul alors ! Crie Philippe pour l’encourager.
J’entends les protestations étouffées de Carole quand elle entend ces derniers mots. Mais Philippe et Bruno la tienne fermement alors que Marc sourit et se place sur son petit trou du cul serré.
Alors qu’il commence à pousser sa virilité contre son anus, je peux voir le petit trou commencer à lâcher prise. Il pousse un peu plus fort et Carole gémit à nouveau. C’est tout à fait le genre d’humiliation que je veux qu’elle vive ?
Marc crache sur sa bite et pousse une fois de plus. Avec un cri étouffé de ma femme, le cul s’ouvre et accepte la queue dure. Au début le troisième frère va lentement, permettant généreusement au corps féminin de répondre. Les cris de Carole se sont maintenant transformés en gémissements et soupirs de plaisir. Marc prend cela pour un signe encourageant. Il augmente la vitesse et pilonne le cul de ma femme tout en lui donnant parfois une claque amicale sur les fesses écartées. D’après les gémissements de Carole, il me paraît évident qu’elle apprécie pleinement cette attention plutôt brutale. Bientôt tout son corps se raidit et tremble alors qu’elle vit un nouvel orgasme.
Marc ne tient que quelques secondes de plus avant de commencer à gémir. Sa tête se redresse subitement et ses yeux se ferment alors que je le regarde s’enfouir plus profondément dans le cul de ma femme alors qu’il jouit. Je suis un peu déçu de ne pas pouvoir le voir gicler sur elle, mais il était trop tard pour qu’il se retire.
Carole tremble sous la jouissance de Marc, son corps étant rempli de foutre épais. Puis, épuisé, Marc recule, s bite sortant des fesses maltraités. Il s’effondre presque sur le sol tellement ses jambes sont flageolantes.
Ma femme reste allongée sur le ventre sur la table, ses jambes molles pendent tandis qu’un liquide épais et crémeux s’échappent obscènement de ses deux trous dilatés. Moi-même j’ai une érection d’enfer et je me jure que dès que les gars seront partis, j’irai la baiser.
- Ah te voilà ! Désolé je suis en retard, ma foutue voiture est tombée en panne !
La voix derrière moi m’est terriblement familière et me fait sursauter. Je me retourne, la main toujours sur mon entrejambe. Mon esprit est complètement embrouillé alors que ma femme se tient juste devant moi, et qu’elle fait les derniers ajustements à son costume de sorcière blanche.
- Mais… Mais… Pourq… Hein ?
J’ai du mal à être cohérent.
- Quel est le problème Jean ? Demande-t-elle en remontant le corsage de sa robe.
Je regarde derrière moi. Les JACQUOT sont partis maintenant et la femme, quelle qu’elle soit, essaie de remettre ses vêtements en ordre.
- Qui peut-elle être ? Dis-je en murmurant.
Carole regarde elle aussi et sourit :
- Aucune idée ! Mais on dirait qu’elle s’est bien amusée. Alors quand allons-nous commencer avec ton idée de gang-bang ?
Encore confus, je tire ma femme vers la maison et je rencontre notre amie et hôtesse Paula. Elle me dit en souriant :
- Bonjour Jean, et bonjour Carole, je pensais que tu ne pouvais pas venir ce soir.
- Euhh… oui… Bien… Euhhh…
- Et tu portes à peu près le même costume que celui de ma fille. A part la couleur il est identique. Au fait, avez-vous vu Julie ? Elle a disparu. J’espère qu’il ne lui est rien arrivé !
Tout en saluant Paula, je tire Carole vers la sortie. Je ne pense pas que Paula serait contente si je lui disais dans quel genre d’histoire sa fille de dix-huit ans s’était faite embarquer.
FIN.
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