mercredi 3 août 2022

Les fellations d'Olive

 Traduction d'un texte de bubblearseman.

*****

Mme Olive SWEETSTUFF grogne d'angoisse en lisant le message sur son téléphone. Il ne fait que quelques mots, mais ça la panique. Il est écrit : « Viens sucer ma bite ».

Revenons trois semaines en arrière lors de cette belle journée de printemps chaude, lorsque Mme OLIVE SWEETSTUFF, 52 ans, épouse du révérend Randolph SWEETSTUFF, décide de se promener dans le parc de la ville.

Elle avait l'habitude de se promener dans ce parc environ deux ou trois fois par semaine, chaque fois que le temps le permettait. Elle avait pris l'habitude agréable de s'arrêter et discuter avec les gens qui attiraient son attention.

Ce jour-là, elle se réveille d'un sommeil profond en se sentant excitée. Elle espère que son mari aura l'énergie de « lui faire l'amour » comme elle aime dire. Mais pas de chance.

Le révérend ne veut pas profiter de l'occasion, comme beaucoup de fois ces derniers temps, et Olive se sent frustrée et irritable.

Son esprit se rappelle alors de sa promenade dans le parc deux jours auparavant, et de sa rencontre avec le nouveau gardien du parc. Quel est son nom? Roger? Non Rod, oui c'est ça. Un gentil monsieur d'âge moyen qui lui avait un clin d'œil.

Olive glousse de plaisir coupable en se rappelant les commentaires un peu grossiers qu'il avait faits en parlant de ses « grandes jambes », de son « beau gros cul » et de ses « gros nichons ». Elle avait rougi furieusement. Et quand il lui a demandé de venir dans sa cabane pour prendre le thé, elle a refusé et elle est rentrée chez elle.

- je pense que je vais me promener dans le parc. Murmure Olive pour elle-même.

Au moment où elle est prête à franchir la porte, elle s'arrête et pense qu'elle doit d'abord se changer.

Dix minutes plus tard, une Mme SWEETSTUFF nerveuse tâtonne avec des doigts tremblants sur la serrure de la porte. Elle crie à la cantonnée qu'elle va se promener et qu'elle ne sera pas longue. Sans attendre de réponse elle sort de la maison et marche à grands pas dans la rue, ses hauts talons cliquetant sur le trottoir.

C'est une Olive transformée qui se dirige vers le parc. Disparus, le jean ample et les baskets délavés. Maintenant Mme SWEETSTUFF est resplendissante dans un haut moulant et une jupe encore plus serrée qui ne descend qu'au-dessus des genoux. Elle porte aussi des bas avec un porte-jarretelle et un soutien-gorge et une culotte assortis.

Oui les flatteries prodiguées par Rod deux jours auparavant lui sont montées à la tête, d'où le haut moulant pour ses « gros nichons », la jupe serrée pour son « beau gros cul », les bas et les talons pour ses « grandes jambes ». En guise d'excuse elle se dit : « Après tout, c'est un charmant bonhomme et je vais sûrement lui parler ».

Bientôt Rod et Olive sont en grande conversation. L'homme est dans sa remise à outils, les coudes reposant sur la demi-porte. Il bavarde avec la rousse Mme SWEETSTUFF qui est dehors. Elle rougit et gazouille comme une écolière à ses commentaires grossiers sur son anatomie.

- Entrez et prenez une tasse de thé avec moi : Demande Rod d'une voix douce et sirupeuse.

Olive regarde nerveusement autour d'elle pour s'assurer qu'aucun de ses amis ou voisins ne soit là pour la voir et elle répond :

- Oui pourquoi pas, ça ne peut pas faire de mal.

Elle franchit la porte et entre dans l'obscurité et l'odeur de moisissure de la cabane. Elle entend vaguement que l'homme referme entièrement la porte de la remise et la verrouille. Elle regarde avec curiosité les outils nombreux qui sont éparpillés sur le sol et les murs. Son regard tombe sur un objet et elle se tourne vers l'homme pour demander :

- Est-ce utilisé pour...

La voix naïve de la femme mature s'estompe et s'éteint tandis qu'elle ouvre de grands yeux à la vue épouvantable qui se présente à elle. Lentement ses yeux dérivent des grosses bottes en caoutchouc de Rod jusqu'à ses genoux cagneux, ses cuisses maigres et... et... jusqu'à l'énorme pénis nu, raide et bien dressé.

Oui, à part les chaussettes et les bottes, Rod est nu de la taille aux pieds. Il devient évident à Olive que tout le temps qu'ils discutaient, il était derrière la demi-porte complètement nu. Mon Dieu!

Avant que Mme SWEETSTUFF, choquée, ne puisse réagir, Rod la saisit et l'assoit dans un vieux canapé contre le mur. Il se place devant son visage, et alors qu'elle ouvre la bouche pour laisser échapper un cri indigné, il enfourne sa bite qui bave profondément dans sa bouche.

- GLLURRPP! GAARRPP! Bafouile Olive alors que Rod continue à enfoncer sa grosse queue épaisse et veineuse profondément dans sa bouche.

Les bras de la femme sont coincés par les cuisses de l'homme et elle bat des jambes dans des tentatives infructueuses et de plus en plus faibles pour déloger l'énorme pénis de sa gorge. Après un cours instant, Olive se rend compte qu'elle n'est pas assez forte pour se défendre. Ses tentatives frénétiques deviennent de plus en plus faibles jusqu'à ce qu'elle se détende et permette à l'homme de faire ce qu'il veut.

Sentant qu'il est victorieux, Rod saisit l'arrière de la tête de la femme avec ses deux mains et bourre la bouche bien remplie avec des poussées violentes, essayant résolument d'enfouir chaque centimètre de sa queue épaisse dans la gorge de la femme au foyer idiote.

Après plusieurs pauses pour laisser Olive reprendre son souffle et pour retarder son orgasme le plus longtemps possible, Rod atteint le point de non-retour.

Olive plisse les yeux et s'étouffe lorsqu'elle sent l'homme écraser ses testicules contre son menton. Puis elle régurgite de dégoût quand la première giclée de sperme éclabousse le fond de sa gorge.

Avalant rapidement pour éviter d'étouffer avec le foutre épais, Olive se rappelle qu'elle n'a jamais eu un sexe dans sa bouche auparavant. En fait l'idée de sucer le pénis de son mari ne lui est jamais venue, et encore moins d'avaler son sperme.

La première giclée est suivie de cinq ou six autres? Olive manque s'étouffer à chaque fois, le foutre qu'elle avale étant tout de suite remplacé.

Puis Mme SWEETSTUFF se rend lentement compte que le torrent de sperme a cessé. Bientôt elle adresse une prière silencieuse de remerciements alors que l'énorme sexe est retiré de sa bouche. La femme au foyer, haletante, peut enfin prendre les grandes et profondes respirations qui lui ont manqué pendant de longues minutes traumatisantes.

Malheureusement, comme elle commence à se rendre compte, son calvaire n'est pas encore terminé.

Résignée, Olive ne peut que laisser faire Rod quand il lui retire sa jupe et sa culotte. Debout au-dessus d'elle il remue son sexe encore raide et maculé de rouge à lèvres au-dessus de son visage. Elle gémit.

Mme SWEETSTUFF, totalement soumise est maintenant malmenée par-dessus le bras du canapé, son visage enfoui dans un coussin. Elle gémit de honte alors que Rod commence à limer sa chatte furieusement. Même après avoir déchargé une quantité phénoménale de sperme dans la bouche d'Olive, il est maintenant capable de marteler sa chatte pendant une longue période. La pauvre femme est complètement mortifiée par les bruits spongieux que fait sa chatte humide. Elle n'admettra jamais, même pas sous la torture, qu'elle est énormément excitée par les énormes coups de reins de l'ignoble créature.

Olive gémit d'incrédulité totale lorsque le premier orgasme gigantesque la frappe, la prenant totalement par surprise et la faisant trembler et se contracter de manière incontrôlable. Le second, environ deux minutes plus tard, est encore plus puissant que le premier. Il est provoqué en partie parce que Rod A sorti ses seins et tire cruellement sur ses tétons puis les tord tout en continuant de la baiser violemment.

Mme SWEETSTUFF se contente de gémir follement alors que Rod apparaît soudainement devant elle, attrape une poignée de ses cheveux et une fois de plus, décharge son foutre dans sa gorge.

Quelques minutes plus tard, une Mme SWEETSTUFF complètement ébahie retourne chez elle, du sperme mélangé au rouge à lèvres autour de sa bouche, ses seins sortis du soutien-gorge sous son haut serré, la jupe à peine suffisamment abaissée pour couvrir le haut de ses bas, ses fesses sans culotte rebondissant sous la jupe moulante.

Elle décide que son bon mari n'a pas à connaître les évènements dans la cabane à outils. Bien sût, elle n'avait pas eu l'intention de laisser les choses aller si loin. Elle voulait juste un petit flirt innocent... Et sûrement pas les choses dégoûtantes que Rod l'a forcé à faire avec sa bite et sa bouche.

Une semaine plus tard, Olive reçoit un message de Rod : « Viens maintenant pour sucer ma bite! »

Et elle y est allée... Juste pour lui parler vous comprenez, simplement pour lui faire comprendre qu'elle ne peut pas accepter uen fois encore son comportement vicieux et dégoûtant.

Voilà, c'était il y a trois semaines et il l'a convoqué six fois depuis. Et chaque fois, elle y a été, habillée comme une salope, et elle est revenue l'estomac rempli de sperme.

*****

Pour la deuxième fois cette semaine-là, l'épouse du révérend, Olive SWEETSTUFF est convoquée pour sucer une bite. Cette femme au foyer soumise se retrouve prise dans les griffes du préposé pervers du parc, Rod. Au cours des six dernières semaines, il l'a forcé à venir à sa remise à outils dans le parc pour des fellations et des baises grossières se terminant par une éjaculation au fond de sa gorge. Si bien que maintenant, Olive est devenue accro à ces humiliations et à ces abus sexuels réguliers.

Rod fait des demandes de plus en plus scandaleuse au cours des semaines. Non seulement Olive doit le sucer plusieurs fois par semaine, mais il la force à porter des vêtements ridiculement inappropriés pour leurs rendez-vous.

Aujourd'hui par exemple, cette femme mature et soumise chancelle vers la cabane à outils sur des talons de douze centimètres, une jupe plissée trop courte pour cacher le haut de ses bas, ses gros seins nus sous une chemise blanche décolletée. Bien sûr, elle ne porte pas de culotte.

Comme d'habitude, Rod l'attend avec impatience dans la remise à outils, appuyée nonchalamment les bras croisés sur la demi-porte. Nu à partir de la taille en dehors de ses bottes, son énorme bite commençant à se redresser, il regarde la femme du révérend, rouge de honte, qui lutte désespérément avec sa minuscule jupe alors que la brise la soulève pour exposer sa chatte nue et son gros cul rond.

Deux minutes plus tard, Olive, à genoux dans la cabane, les mains attachées dans le dos avec de la corde, s'étouffe et essaie de déglutir alors que Rod force 20 centimètres de sa bite dans sa gorge de femme au foyer mariée.

Trente minutes plus tard, une Olive en sueur et endolorie, aspire goulûment les dernières gouttes de foutre de l'énorme éjaculation de l'homme. Elle fait tourbillonner sa langue avec frénésie autour du gros gland dans un effort surhumain d'extraire chaque goutte de sperme des couilles poilues de Rod Distraitement elle se demande pourquoi la moitié supérieure de la porte de la remise se referme lentement alors qu'elle se souvient clairement l'avoir fermée.

Alors que l'épouse du révérend, honteuse et tiraillée par la culpabilité, retourne à sa voiture pour reprendre des vêtements normaux, ses gros seins tendant son chemisier et la courte jupe volant sur son cul sans culotte, elle pense à quel point ce serait horrible si son mari chéri découvrait ce que sa femme innocente fait derrière son dos.

Plus tard dans la journée, alors que Mme SWEETSTUFF arrange des fleurs dans l'église, elle rougit de honte en pensant aux changements qui se sont opérés en elle. Maintenant, sur l'insistance de Rod, elle ne porte plus de culotte, et seulement des bas avec un porte-jarretelles et des talons hauts. Même maintenant, dans ce lieu sacré qu'est l'église, elle est nue sous sa jupe courte est serrée. Les bas remontent le long de ses cuisses épaisses et son gros cul menace de faire éclater la couture arrière. Tout observateur peut clairement voir qu'elle ne porte pas de culotte.

Soudain, Olive est bousculée alors qu'une main charnue vient de claquer douloureusement son cul, d'abord sur une fesse, puis sur l'autre. Elle se cabre sous le choc comme une pouliche surprise.

- Qu'est-ce que....

Olive se retourne et se retrouve face au sourire vicieux de M. Horace TRASSHLY, chef de cœur dans l'église. Une Mme SWEETSTUFF outrée, commence à engueuler et crier en assurant qu'elle le dirait à son mari le révérend et qu'elle s'assurerait que TRASSHLY ne travaille plus dans cette paroisse.

Mais cette diatribe colérique d'Olive s'éteint lentement et s'arrête lorsqu'elle réalise que ça n'a pas d'effet sur le chef de cœur qui continue à sourire vicieusement. Elle se tait alors qu'un sentiment croissant de peur s'abat sur elle.

Ce qui suit sont les dix pires minutes de sa vie. c'est encore plus pénible que lorsque Rod l'a piégée dans la remise à outils et l'a obligée à faire des choses dégoûtantes avec sa bouche sur son sexe.

Les yeux d'Olive s'écarquillent d'horreur alors que TRASSHLY lui montre la vidéo qu'il a prise par la porte ouverte de la remise à outil. Elle voit la fellation imposée sur l'énorme bite de Rod. Son cœur commence à battre à tout rompre lorsqu'elle assiste à la baise implacable sur le canapé, lorsqu'elle manque étouffer et lorsque qu'elle voit de grosses quantités de sperme se vider dans sa bouche béante. « Mon Dieu! » pense-t-elle.

- Que voulez-vous? Balbutie-t-elle.

Cinq minutes plus tard, elle est sévèrement baisée par la bouche. Elle étouffe sur sa deuxième grosse gorgée de foutre ce jour-là. Les joues gonflées par la bite et le sperme, elle avale chaque goutte de la semence d'Horace alors qu'il tient son visage contre son aine.

Deux jours plus tard, alors que le bon révérend SWEETSTUFF est au service des malades et des nécessiteux, sa femme chérie se dirige elle aussi ver un nécessiteux.

Horace TRASSHLY se frotte les mains et glousse de joie alors qu'il regarde par la fenêtre de son salon, Olive SWEETSTUFF garer sa voiture et se diriger vers sa porte d'entrée. Il se lèche les lèvres et regarde la façon dont les gros seins sans soutien-gorge se balancent sous le fin chemisier blanc, les énormes tétines sombres parfaitement visibles à travers le tissu. Il aggripe sa bite gonflée alors que la mini-jupe écossaise de la femme se soulève sous l'effet de la brise est expose ses bas, ses jarretières blanches et sa chatte nue fraîchement rasée.

- Merveilleux ce qu'un peu de chantage peut faire. Marmonne-t-il alors que son esprit revient à la confrontation dans l'église.

Il se souvient combien elle était mortellement pâle quand il lui a expliqué en détail ce qu'il ferait avec la vidéo si elle ne lui obéissait pas.

Alors que la femme mariée et résignée entre dans le couloir, elle a le souffle coupé quand TRASSHLY dégrafe rapidement sa jupe, et, la porte toujours grande ouverte, la laisse tomber à ses pieds chaussés de talons aiguilles, exposant ainsi sa nudité aux passants occasionnels.

Puis Horace traîne une Olive choquée dans son bureau et lui ordonne de lui verser un whisky, tout en commentant de façon fort vulgaire qu'il avait toujours voulu fesser, attacher et baiser ce gros cul.

Oui, maintenant qu'elle y pensait, Mme SWEETSTUFF avait toujours été consciente de la façon dont les yeux de ce gros porc étaient toujours fixés sur son arrière-train. Et surtout ces dernières semaines, alors qu'elle s'est mise à porter des jupes très serrées avec des bas et toujours sans culotte.

Olive est chargée alors de « ranger un peu l'endroit ». Cela consiste à passer le plumeau par-ci par-là tandis que Horace la regarde avec des yeux exorbités et des lèvres baveuses. Il est fixé sur ses fesses qui tremblent pendant qu'elle marche, sur ses mollets musclés qui fléchissent et sur ses grosses cuisses qui étirent le haut de ses bas.

- D'accord, passons aux choses sérieuses! Dit Horace en plaçant une grosse chaise à dossier droit au milieu de la pièce.

Olive ne fait pas attention à cette remarque jusqu'à ce qu'il l'attrape par le poignet et la tire sur ces genoux. Alors tout devient clair pour elle.

Elle sursaute de surprise alors que la paume ouverte de l'homme tombe sur ses fesses nues. Elle gémit de plus en plus alors que la grosse main se lève et retombe en rythme encore et encore sur son cul rougissant. Horace met du cœur à l'ouvrage et fait durer la fessée, s'assurant que chaque centimètre du gros cul soit d'une teinte rouge foncé.

Après ce qui semble une éternité pour Olive, Horace la remet sur ses pieds et lui permet de se trémousser tout en frottant ses fesses dans une tentative désespérée d'apaiser la brûlure sur son cul. C'est alors que la femme du révérend se rend compte que des gens passent devant la fenêtre et qu'il suffit d'un seul qui regarde à l'intérieur pour la voir à moitié habillée pour perdre sa réputation.

Elle est sur le point d'exiger que l'homme ferme immédiatement les rideaux, mais les mots ne sortent pas quand elle voit que Horace vient de sortir sa grosse queue de son pantalon. Il l'agite dans sa direction.

- Oh mon Dieu, pas encore! Gémit Mme SWEETSTUFF.

Horace la force alors à s'agenouiller devant la fenêtre avant d'enfoncer sa grosse queue profondément dans sa bouche.

À ce moment-là, Olive est complètement dominée. Elle espère ardemment que l'homme lui remplisse rapidement la bouche afin qu'elle puisse repartir chez elle. Mais ses espoirs sont anéantis lorsque qu'il la remet sur ses pieds et la guide jusqu'à la salle de bain. Un peu plus tard, l'épouse du révérend est ramenée honteuse dans le salon. Il vient de lui faire subir une série de lavements embarrassants. Maintenant elle n'est que trop consciente des mauvaises intentions de son maître-chanteur. Selon se propres mots il va « enculer la bourgeoise hautaine ».

Il la positionne sur le bras du canapé, les mains posées sur l'assise, son gros cul nu en l'air, le petit trou délicat bien exposé. Mme SWEETSTUFF tremble nerveusement et gémit en regardant par-dessus son épaule l'homme enduire son énorme queue de lubrifiant.

Elle gémit plus fort tandis que Horace s'approche de ses fesses, son pantalon autour des chevilles. Et elle sanglote quand il aligne son gros gland sur son petit trou vierge et qu'il commence à pousser.

Olive a l'impression que le sang quitte son visage alors qu'elle s'efforce de surmonter la douleur. Elle sent son pauvre trou du cul s'étirer de plus en plus alors que l'homme agrippe ses hanches et s'enfonce.

- Oh mon Dieu! Crie-t-elle alors que le gland passe l'entrée.

- Bonté gracieuse! Crie-t-elle encore lorsque l'homme enfonce avec brutalité sa queue dans son cul douloureux.

Horace s'arrête quand il sent ses grosses couilles frotter contre les fesses d'Olive. Il l'écoute avec plaisir gémir le visage enfoui dans les coussins.

- Allez, Mme SWEETESTUFF, que le plaisir commence! Déclare-t-il en commençant des va-et-vient dans le cul de la femme du révérend.

Olive se contente de gémir dans les coussins et agripper le canapé avec ses ongles peints en rouge pendant que son enculeur accélère le rythme et la sodomise avec rudesse. Horace donne des claques sur le cul déjà bien douloureux de sa victime en disant :

- Je rêve de m'occuper de ton cul depuis des années!

L'homme va garder Olive pendant des heures. Il alterne entre fouetter son gros cul avec une lanière en cuir jusqu'à ce que sa grosse bite raidisse à nouveau, puis l'enculer de nouveau et décharger de grosses quantités de foutre dans sa gorge.

Bien plus tard, alors que Mme SWEETSTUFF revit les évènements dans un bain chaud chez elle, ses doigts se posent sur sa chatte et commence à la sonder doucement. D'abord un doigt, puis deux et enfin quatre, elle se contracte sous l'effet d'un orgasme fulgurant alors qu'elle revit mentalement son calvaire anal dans les mains le l'horrible Horace THRASSHLY. Et Honteusement elle espère qu'il continuera son chantage encore longtemps.

FIN.

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