Texte de Domfel69.
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Estelle a 40 ans. Depuis quelques semaines, elle est inscrite sur un site de rencontre libertine. Sur sa fiche, elle a été très direct : "Femme, 40 ans, bien conservée. Aime jouer les soumises en tenue sexy, qu'on me parle grossièrement". Malgré cette description sans équivoque, Estelle n'est pas une fille facile. Elle a reçu beaucoup de messages, tous directs et sans fioriture, du genre "Demain je t'attends pour t'enculer, salope". Pas un qui se distingue plus d'un autre, pas un qui la pousse à franchir le pas.
Jusqu'à ce message arrivé deux jours plus tôt d'un certain Stéphane : « Mon appartement a besoin d'un peu de ménage. Sois chez moi jeudi à 14h00, talons, bas, jupe courte, décolleté. Tu as intérêt à savoir manier le balai ou on saura très vite si ta description dit vrai. Si l'expérience te tente, appelle-moi ». Suivait le téléphone de Stéphane.
Dès la première lecture, les jambes d'Estelle se sont serrées. Elle a bien sûr immédiatement consulté la fiche de Stéphane : 41 ans, physique tout terrain, une description sans ambiguïté sur ses penchants dominateur. Elle a relu le message, puis la fiche, puis le message, comme s'ils contenaient un code secret. A chaque relecture, l'excitation grandissait.
Elle a noté le numéro de Stéphane sur un papier, éteint son ordinateur et reporté la décision à plus tard.
Au réveil le lendemain, elle y pensait déjà. En fait, elle y avait pensé toute la nuit, elle n'avait trouvé le sommeil qu'après s'être faite plusieurs fois jouir seule. On ne vit qu'une fois, la proposition est trop tentante, c'est décidé, elle appellerait Stéphane dans la journée.
Au moment de composer le numéro, son ventre se noue : comment va-t-il répondre ? Que va-t-il demander ? Heureusement il décroche tout de suite :
- Stéphane bonjour ?
- Bonjour Stéphane, c'est Estelle, vous m'avez envoyé un message hier.
- Bonjour Estelle ! Tutoie-moi s'il te plaît. Si tu m'appelles, j'imagine que ma proposition te tente ?
- Ça serait mentir...
- Tu hésites. Tu as besoin d'en savoir plus ?
- Oui c'est ça. Je ne suis pas une pro de ces sites, j'ai un peu peur.
- Oui je comprends. Je ne suis pas non plus un habitué. Je ne contacte pas à tort et à travers, rassure-toi. Mais ton annonce m'a plu et m'a inspiré.
- Qu'est-ce que vous... tu proposes ? C'est quoi la suite logique ?
- La même chose que dans mon message. Vois ça comme une sorte de petit jeu, une mise en scène, une façon de sortir de notre propre rôle, celui qu'on tient tous les jours et qui finit par nous étouffer. Si tu le veux, je te donne mon adresse et demain tu viens à 14h00, habillée comme décrit dans le message. La suite, c'est une surprise mais fais-moi confiance.
- Mais justement, puis-je te faire confiance ?
- Oui Estelle, je te promet que la suite te plaira, si tu assumes ce qui est écrit sur ton profil, tout se passera bien. Je te demande juste une chose, pour que le moment soit parfait : si tu acceptes de venir, tu ne sors pas de ton rôle. On aura le temps de faire mieux connaissance ensuite.
- Bien...
- Alors, tu acceptes ? Je comptes sur toi ?
- ... Oui. Tu peux compter sur moi.
- A demain alors Estelle. 14h00.»
A peine a-t-elle raccroché, Estelle se demande comment elle va réussir à tenir jusqu'à demain. Une fois rentrée chez elle, elle se précipite dans sa chambre et commence une revue vestimentaire afin de choisir la tenue adéquate. Après une bonne heure, son choix est fait : ses plus beaux talons, des bas blanc avec porte-jarretelles, un string blanc en dentelle assorti au soutien-gorge, une jupe noir classique qui descend à mi-cuisses et un chemisier blanc très échancré auquel elle ne fermera pas les deux derniers boutons.
Ce soir là encore, elle ne trouve le sommeil qu’après s'être longuement masturbée.
Le lendemain, 14h00 pétante, elle sonne à la porte de Stéphane. Après quelque seconde, la porte s'ouvre. Stéphane ouvre :
- Bonjour madame, vous venez pour le ménage ?
- Oui
- Entrez, je vais vous montrer ce qu'il y a à faire. Donnez moi votre manteau.
Une fois le manteau accroché, Stéphane dirige Estelle dans le salon. Il lui tend un chiffon et lui dit :
- Voilà, il faut faire la poussière au dessus de l'armoire, à l'intérieur du placard et sur la table basse.
Estelle attrape le chiffon et se tourne vers l'armoire. Elle dépasse allègrement les 2 mètres. Avec son mètre soixante-cinq, Estelle va devoir monter sur une chaise pour atteindre le sommet. D'ailleurs Stéphane est déjà en train de ramener un tabouret, puis il va s’asseoir dans le canapé à côté. Estelle monte sur le tabouret. Ainsi perchée et le bras tendu en l'air, Stéphane peut parfaitement étudier les formes d'Estelle.
Même sur la pointe des pieds, Estelle ne voit pas réellement le haut de l'armoire. Sa main commence machinalement un va et vient. Mais elle rencontre très vite un obstacle. Un objet roule et tombe de l'armoire. Estelle s'arrête aussitôt. Stéphane est déjà debout et a ramassé l'objet. Il la regarde d'un air sévère :
- Vous ne pouvez pas faire attention ! Vous faites le ménage d'une drôle de façon ! Les hauteurs ne vous réussissent pas, faites plutôt l'intérieur du placard !
Estelle baisse la tête. Le piège était grossier mais l'objectif était clair : la mettre en position de faiblesse, de dominée. Elle descend du tabouret et regarde le placard. Il se trouve sous le meuble de télévision, c'est à dire au raz du sol... Estelle comprend immédiatement l'intérêt de la situation. Pour nettoyer l'intérieur, elle va devoir se mettre à quatre pattes, une position humiliante et qui surtout offrira une superbe vue sur son postérieur à Stéphane, qui lui est tranquillement retourné s'installer dans le canapé, comme au spectacle, un verre à la main.
Estelle s'agenouille et ouvre le placard. Puis elle se penche pour nettoyer l'intérieur. Sa jupe tendue moule alors parfaitement ses fesses, découvrant le haut de ses cuisses et la naissance de ses bas. Que va faire Stéphane ? Elle mouille déjà, rien que d'y penser. Mais Stéphane ne fait rien et Estelle poursuit l'inspection du placard. Elle tombe alors sur un feuille, posée sciemment là, où est écrit "Maintenant, tu vas nettoyer la table basse. Tu vas commencer par le côté en face de moi. Puis tu époussetteras en tournant autour de la table."
Estelle se relève alors doucement. Elle se retourne et regarde Stéphane. Il est toujours assis dans le canapé, et lit un magazine d'un air faussement inspiré. Elle regarde alors la table basse. Et là encore elle comprend immédiatement l'intérêt de la situation : ainsi penchée en avant et agitant son chiffon, Stéphane a une vue plongeante sur son décolleté et ses seins qui ballottent sous l'effet de ses mouvements de bras. Elle commence méticuleusement à essuyer la table. Stéphane lève discrètement les yeux.
Estelle commence alors à tourner autour de la table. Quelques instants plus tard, ce ne sont plus ses seins que Stéphane a sous le nez mais ses jambes et ses fesses. Au moment où elle va passer devant les jambes de Stéphane, celui-ci tend son pied. Elle bute dessus et entend Stéphane jurer :
- Vous pouvez pas faire attention espèce de cruche !
Estelle se retourne. Stéphane à son pantalon trempé. Instinctivement Estelle utilise son chiffon pour tenter d'éponger le pantalon de Stéphane. Ce dernier n'en attendait pas tant. D'une main il plaque celle d'Estelle tenant le chiffon sur son sexe, de l'autre il l'attrape par les hanches et l'attire à lui. Il la regarde droit dans les yeux :
- Tu n'es pas très douée pour nettoyer les meubles, on va voir ce que tu vaux avec ma bite.
Il la force à s'accroupir :
- Sors ma queue et fait la briller !
Estelle est prise par le jeu, elle n'ose rien dire. Elle commence à déboutonner le jean de Stéphane puis tire pour le faire descendre. Stéphane bande déjà bien dur, son sexe déforme son caleçon. Estelle descend le caleçon. Elle prend la bite de Stéphane avec une main et commence à le sucer. Stéphane tire alors sa tête en arrière par les cheveux :
- Mets tes mains dans le dos, je veux que tu me suces qu'avec ta bouche et ta langue !
Doucement, Estelle obéit, elle mets les mains dans son dos. Stéphane lui refourre sa bite dans la bouche et, toujours la main dans les cheveux d'Estelle, commence de rapide mouvement de va et vient. Puis il stoppe la tête d'Estelle, et lui maintient sa bite au fond de sa gorge pendant quelques secondes.
- Maintenant montre-moi ce que tu sais faire toute seule !
Estelle reprend la fellation en s'appliquant, alternant mouvement rapide de bouche, et caresse avec la langue. Régulièrement Stéphane lui impose d'autres "gorges profondes". Il lui demande aussi de s'occuper de ses couilles.
Après de longues minutes de ce traitement, Estelle sent Stéphane proche de l'orgasme. Il lui prend alors la tête à deux mains.
- Regarde-moi, ouvre la bouche et tire la langue !
Estelle s'exécute, cette position de soumise l'excite terriblement. Stéphane se branle sur la langue d'Estelle, puis il se décharge en longs jets dans sa bouche.
- Et avale bien tout !
- Bien, t'es une bonne salope. T'aimes ça, bouffer du foutre ? Réponds !
- Oui.
- Pardon, j'ai pas bien entendu ? T'aimes ça ?
- Oui monsieur.
- Bien ! Je vois que tu as compris. Voyons maintenant jusqu'où tu es une bonne soumise ! Mets toi à genoux, visage au sol, bras dans le dos et ne bouge pas !
Estelle n'en peut plus, elle aimerait que Stéphane la pénètre sur le champ. Mais il a visiblement autre chose en tête. Il l'observe d'abord un long moment, profitant de la vue de ce cul offert. Puis il se lève et sort de la pièce en disant :
- Ne bouges pas !
Elle l'entend revenir quelques minutes plus tard. Il commence par lui attacher les mains dans le dos. Puis il lui attache une cheville à ce qu'elle comprend être un bout de bois. Il lui écarte largement les jambes et attache son autre cheville au même bout de bois. Il finit en lui donnant une bonne claque sur les fesses. Estelle sursaute et pousse un grand "AÏE".
- Tais-toi, sinon je vais être obligé de te bâillonner. »
Il commence alors doucement avec son index à titiller le clito d'Estelle. Elle est en état d'excitation maximal, ce simple doigt lui tire des gémissements de plaisir, son corps se tortille tant qu'il peut, malgré les contraintes.
- Tu aimes ça ma salope, tu voudrais bien que je t'enfile, espèce de garage à bites. C'est ça, tu veux ma bite dans ta chatte, salope ?
- Oh oui monsieur, je veux votre bite.
- Doucement, tu l'as pas encore méritée.
Et une nouvelle claque atterrit sur les fesses d'Estelle. Stéphane introduit maintenant son index et son majeur dans son vagin, puis ressort son majeur et l'introduit dans son anus. Il commence alors à la branler énergiquement. Estelle n'en peut plus, elle crie et jouit plusieurs fois de suite.
Stéphane commence maintenant à lui lécher l'anus. Il s'arrête régulièrement pour lui claquer les fesses. Son pouce dans le vagin, son majeur sur le clito et sa langue qui fouille le petit trou d'Estelle. Elle succombe et crie de nouveau.
Stéphane se lève et revient avec une serviette. Il se place à genoux devant Estelle, lui soulève la tête par les cheveux et lui enfourne sa bite dans le bouche.
- Allez suce salope, lubrifie la bien, tu va en avoir besoin !
Et il donne de rapides coups de bassin dans la bouche d'Estelle. Il se retire d'un coup. Un filet de bave coule de la bouche d'Estelle. Il se sert alors de la serviette pour la bâillonner.
- Vu comment tu cries, sac à bite, je préfère couper le son.
Il repose le visage d'Estelle sur le sol. Il passe derrière elle, enfile une capote et lui remonte le postérieur. Il plaque son gland au bord de son petit trou, crache dessus et étale la bave avec sa bite. Puis il commence à la pénétrer doucement, et entame de légers va-et-vient. Quand il sent qu'Estelle se décontracte, il repousse doucement et enfonce sa bite jusqu'au bout. Il reste comme ça quelques secondes. Il attrape le nœud de la serviette et le tire pour faire relever la tête d'Estelle. Il reprend alors ses va-et-vient mais plus rapide et avec plus d'amplitude. La cadence augmente. Estelle gémit dans sa serviette. De sa main libre, Stéphane claque les fesses de sa jument.
Quand Stéphane sent l'orgasme venir, il se retire, enlève la capote et gicle sur le petit trou d'Estelle. Il va s’asseoir dans le canapé et reprend son souffle. Quelques minutes plus tard, il détache Estelle et l'essuie avec la serviette.
- Alors, ça t'a plu ma petite chienne ?
- Horriblement !
- Très bien, je t'engage comme femme de ménage alors !
FIN
Et tous les deux partent dans un éclat de rire. Ils passent le reste de la journée à faire connaissance.
Texte bien écrit, réaliste dans sa progression. Bravo !
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