Texte de XMaster, nouvel auteur sur mon blog. Vous pouvez trouver un lien vers ses "captions" sur le site Imagefap dans ma liste de liens.
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Sophie suce le contrôleur.
Elle a un petit mouvement de recul et cherche à se dégager mais une claque sur la joue gauche lui fait comprendre qu'il n'est pas question de se soustraire à ce monstrueux contrôleur.
- Tiens ! maintenant tu te rebiffes, attention ma ceinture n'est pas loin salope...
La pauvre fille ne sait plus quoi faire pour abréger ses souffrances. Elle sent bien, dans le ton utilisé, que ce mec pervers est tout prêt à la battre avec la ceinture à nouveau, aussi évite-t-elle de bouger pour le moment. François presse le nichon sans douceur, tire sur le téton avec violence, arrachant au passage un nouveau cri à la pauvre Sophie, puis il enchaîne :
- Ouais... Ton métier ce sera putain… Demain je t'emmènerai chez moi à Nantes, là, j'y ai un copain qui est le patron d'un bar de nuit, il devrait pouvoir te prendre à l'essai !
- Non...
- Mais si, tu verras, tu seras bien, tu pourras en prendre plein le cul toute la nuit, et tu me rapporteras du pognon !
- Mais vous n'avez pas le droit...
- Chut... Voyons maintenant ce que tu sais vraiment faire avec ton cul ma belle !
Et, sans autre forme de procès, il attrape les cheveux bruns de Sophie et lui ordonne :
- À genoux !
Ne pouvant pas vraiment faire autrement que d'obéir, elle se baisse et se met à genoux sur le sol.
- Qu'attends-tu donc ?
- Que voulez vous au juste Monsieur ?
- Devine connasse ! Ouvre ma braguette, tu vas très vite comprendre !
François bande comme un taureau, et maintenant il a envie de passer aux choses sérieuses. Obéissant sagement, autant par peur que par vice, elle ouvre doucement la braguette en faisant bien attention à ne pas maltraiter cette grosse bite dont elle a finalement très envie aussi.
- Vas-y, suce-moi la bite morue !
Sans répondre à ces insanités, Sophie prend alors la queue dans sa bouche et referme ses lèvres pulpeuses sur le gland violacé. Les petits coups de langue qui viennent agacer sa queue, donnent bien des frissons à François. Il ferme ses yeux pour mieux se concentrer sur la pipe qu'est en train de lui faire cette jeune salope experte.
- Oui… Comme ça, c'est bon… Ah quelle bonne chienne tu me fais, toi !
Il maintient toujours fermement la tête, mais maintenant, on peut lire un large sourire sur sa face de scélérat. La jeune fille commence à se sentir un tout petit peu plus rassurée en tenant entre ses dents la bite de son tortionnaire. Elle pourrait, si elle le désirait vraiment, mordre et faire fuir ce monstre de contrôleur, mais quelque chose doit se passer en elle car au lieu de se venger de ce qu'elle vient de subir, elle prend plaisir à sucer.
- Parfait salope, toi tu es une bonne suceuse ou je ne m'y connais pas.
Et elle continue à pomper, elle pompe par plaisir, mais aussi encouragée par ce qu'elle vient d'entendre, ces mots ne la choquent plus vraiment, au contraire même, maintenant ils commencent à enflammer ses sens. François a le corps tendu, les jambes raides, excité comme il est par cette rencontre imprévue et si bizarre, il sent qu'il ne va pas tarder à jouir. Il relâche les cheveux de la pauvre jeune fille que pour mieux s'emparer de ses oreilles et lui imprimer un rythme bien plus soutenu.
- Continue ! Je vais t'offrir mon foutre pour te montrer à quel point tu es une bonne pute...
Sophie acquiesce par deux petits sons gutturaux ne pouvant pas parler outre mesure. Elle aspire encore plus fort et en profite pour sortir sa langue sous la queue épaisse et venir la caresser par dessous. Très vite, ne pouvant plus se contenir, l'homme jouit dans la douce bouche. De gros jets de foutre vont s'écraser contre le fond de la gorge. Rapidement, la jeune fille a la bouche entièrement remplie de foutre, heureusement, elle peut laisser, à cet instant, ce gros vit ressortir. Puis, une fois qu'elle a la bouche dégagée du gros mandrin de chair elle entend :
- Avale tout, n'en perds pas une goutte !
Et là encore, toujours soumise, elle avale tout le sperme chaud. François tire encore sur les oreilles, mais cette fois pour qu'elle relève la tête. Il veut voir la tête qu'elle peut bien faire à être ainsi obligée de boire son jus de mâle.
La tête relevée, Sophie affiche un grand sourire car elle adore boire cette épaisse liqueur. Elle ne pourrait dire exactement ce qui l'excite en ce moment, mais ce qui est certain, c'est que sa cyprine coule abondamment de sa chatte détrempée, il y a même une petite flaque de son foutre de femelle sur le sol.
- C'est bien, chienne, tu aimes ça, alors dorénavant, je te nourrirai au sperme.
La jeune fille sourit à cette idée saugrenue, néanmoins, elle se souvient d'avoir fait des rêves fous dans lesquels elle était au milieu de plein d'hommes qui déchargeaient dans un saladier et elle devait boire tout le sperme à la fin de la soirée.
- Bien, nous allons faire une nouvelle expérience maintenant ! Enchaîne encore François avec un regard lubrique.
Sans rien dire, Sophie sourit doucement car elle voit bien que le type va avoir quelques peines à reprendre du service, car il a la bite en berne.
- Mets-toi à quatre pattes et montre-moi ton cul, salope ! Ordonne à cet instant le contrôleur.
- Mais vous n'en avez pas encore assez ? Il y a bien d'autres personnes dans ce train à contrôler, non ?
- Ta gueule connasse ! Tu fais ce que je te dis ou je reprends ma ceinture pour te mater...
- Bien Monsieur...
Et, ayant compris au ton employé qu'elle n'avait pas d'autres choix que de s'exécuter, elle se tourne et se remet, une fois de plus, en position.
- Il n'y a pas à dire, tu as vraiment un beau cul, et l’anus est bien dilaté...
Tout en parlant, François a posé sa main gauche sur les fesses pour les écarter de son pouce et de son index, puis il a introduit son majeur droit dans l'orifice qu'il cherche encore à ouvrir plus
.
- Toi, tu aimes vraiment te faire enculer, ça se voit comme le nez au milieu de la figure.
Sophie ne répond plus mais se laisse aller au plaisir que lui procure ce doigt expert en visite guidée. Effectivement, elle adore ce genre de gâterie, aussi se laisse-t-elle aller à gémir sous la caresse. L'homme se rend compte et ordonne alors :
- Viens t'écarter les fesses en grand avec tes mains !
A suivre...
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