Texte degkcdqho
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Nicole découvre les leurres.
Après une semaine d'angoisse pour rien je me prépare pour rejoindre mon rendez-vous. Cette fois je mets un chemisier sans soutif comme il a exigé, une jupe ample avec une poche, un grand mouchoir en tissus à l'intérieur pour m'essuyer après en fin de séance. Sous la jupe un string noir qui s'ouvre des deux cotés, je ne rentrerais pas cul nu chez moi.
Je reprends la route vers la grange de Marcel en fumant une cigarette qui n'arrive pas à calmer mon angoisse. Certes la première fois j'ai découvert des plaisirs insoupçonnés, mais il n'y a pas d'amour, que du physique, c'est du chantage sexuel avec quelle limite ? Je ne le sais pas ?
Je rentre dans la grange, Marcel ferme les portes, je descends de voiture, je le suis docilement pour une nouvelle séance comme il dit, nous arrivons au lit, le drap est propre. Un sac est au pied du lit ?? Le reste n'a pas changé.
Marcel me déshabille. je me retrouve là, debout au bord du lit. Lui, il se tient debout devant moi. Je ferme les yeux, je sens ses mains glisser lentement vers mon sexe, elles sont juste entre mes cuisses effleurant ma chair tendre au point que j’en ai des frissons.
- Regarde-moi quand je te baise, je veux voir tes envies et ta jouissance dans tes yeux !!!!! Je veux que tu sois consciente que c’est ton Marcel qui te baise !!!!! .
J’ouvre les yeux juste au moment où ses mains prennent possession de ma vulve. Je reçois comme une véritable décharge électrique, et ses doigts explorent chacun de mes plis intimes, en n’omettant aucun recoin, sauf mon clito qui n’attend que ça. Je ressens un désir impérieux que Marcel le caresse, le fasse sortir de sa cachette, qu’il en éprouve la raideur, qu’il le pince, le suce, je crois que je vais devenir folle.
Il pose sa bouche sur mes seins, les embrasse, les suce. Ils durcissent, mes tétons se tendent, mon ventre se creuse, commence à faire des vagues, qu'est ce qui se passe en moi, je ressens du plaisir malgré moi, je ne dois surtout pas le lui montrer, mon démon intérieur jubile.
De nouveau sa bouche, puis sa langue déguste ma grotte, d'abord en l'effleurant, puis de plus en plus appuyé, pendant que ses mains se promènent sur mon ventre, mes seins, me les caressant délicatement, et alternativement plus fermement. Je sens mes tétons qui se tendent et durcissent, mon ventre qui recommence à se contracter et faire des vagues, comme l'autre jour.
Je commence à ressentir du plaisir malgré moi, je ne sais pas pourquoi mais cette situation de femme soumise, offerte a tendance à m'exciter, plus ce qu'il est en train de me faire. Tout cela ne me laisse pas indifférente, mon corps réagit plus que je le voudrais, et mon cerveau dans une certaine mesure aussi. Je sens ma jouissance monter, il sait trop bien y faire avec moi, bien sur je ne veux surtout pas qu'il s'en rende compte, mon bon sens freine de toutes ses forces.
Tout à coup, sa langue se déplace sur mon anus et commence à le lécher délicatement. Je me contracte, sa langue se fait plus insistante, soudainement je sens un doigt qui remplace sa langue et qui caresse ma corolle. Je contracte mes fesses, remue comme un vers, me rebiffe, je couine.
- Non !! Non !!
Je lui serre la tête entre mes cuisses, il m'écarte brutalement les cuisses, il est très mécontent, sa voix est autoritaire.
- Tu es ma soumise, tu as acceptée d'être ma chose, de te laisser faire, de tout accepter de moi. Alors détends-toi et laisse-moi faire, tu as tout intérêt, ce sera plus agréable pour toi et surtout moins douloureux.
Son coup de gueule me surprend. Du coup je me détends sans m'en rendre compte. Il en profite pour enfoncer une partie de son doigt lubrifié par sa salive brutalement dans mon jardin secret. Je suis surprise, j'ai un bout de son doigt en moi, j'ai presque rien senti, je n'ai pas eu le temps. Je suis surtout outrée par ce qu'il vient de faire, et honteuse de me laisser faire, il reprend avec sa voix douce et ensorcelante.
- Tu vois mon doigt est entré dans ton petit trou, c'est pas si difficile que cela, si tu te laisses faire, tu le sauras pour la prochaine fois. Je viens de te préparer à dépuceler ton cul un peu brutalement, mais quand je voudrais te sodomiser, je le ferai avec douceur et avec du lubrifiant pour ne pas te maltraiter ma délicieuse soumise.
Il me tient par les hanches, il me fait tourner dos à lui, il appuie sur mes épaules pour me faire pencher en avant, mes mains sur le bord du lit. Il présente son gland à l'entrée de mon vagin, le frotte un peu, en même temps il masse mon clitoris intensément, il appuie son gland avec douceur pour ouvrir mon passage étroit, je sens ma grotte serrée s'entrouvrir. Je la sens humide, il fait pénétrer son gland un petit peu, pas entièrement, le retire, l'enfonce à nouveau de la même façon. Il recommence cinq ou six fois son manège, puis d'un coup il s'enfonce en moi, m'arrachant un petit cri. Il continue le massage de mon clitoris avec ses doigts, me faisant mouiller et ressentir du plaisir contre mon gré. Heureusement que mon puits d'amour est humide, il a pu y entrer sans me faire mal.
- HUMMM !! Qu'il fait bon chez toi, c'est si doux, chaud, humide, étroit, j'ai une vue somptueuse sur ton magnifique cul, j'adore te prendre par derrière debout !
Il commence par pilonner mon puits d'amour, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, de plus en plus intensément, tout en continuant son massage soutenu de mon clitoris avec deux doigts de sa main droite. Pendant que sa main gauche agrippe et masse avec force mes seins, mon ventre, ma fesse.
Son pilonnage devient intensif, je suis obligée de me mettre sur la pointe des pieds, car il est un peu plus grand que moi. Il me soulève à chacun de ses coups de butoir. Il grogne, râle de plaisir, je sens son gland et sa bite trapue grossir, se tendre encore plus, mon vagin commence à faire des vagues, mon ventre se creuse. Il est pris de forte houle aussi, il est en train de commencer à me faire jouir. Je ne veux pas, je serre les dents, soudain je le sens se contracter, râler de plaisir, sa semence gicle puissamment au fond de moi en de grands jets. J'échappe un petit cri de jouissance aussi, je serre vite les dents pour ne plus montrer mon plaisir, il continue à me baiser plus doucement, de plus en plus lentement, puis il stoppe tout, restant en moi, savourant son plaisir.
Ce salaud a pris son pied, j'ai ressenti moi aussi du plaisir, beaucoup trop, alors que j'ai tout fait pour ne pas en avoir, c'est vrai que j'adore être prise debout de cette façon et il n'y a pas à dire, ce con sait y faire, et moi je ne sais plus trop ou j'en suis.
Marcel me pousse sur le lit où je m'affale en me désaccouplant de lui. Il me retourne sur le dos. Je le laisse faire et en quelques secondes mes deux pieds sont attachés aux barreaux du lit, jambes bien écartées. Puis c’est au tour de mes poignets sur la tête du lit avec ma tête relevée par un gros cousin. Je suis totalement impuissante, exposée et vulnérable, livrée à ses désirs pervers.
- Tu n’as pas besoin de m’attacher pour…
- Laisse-moi faire. Tu ne le regretteras pas.
-Voilà ! T'es content ! Tu vois bien mon sexe, salopard ?
- Bien sûr que je le vois. Mais je vois surtout mon sexe qui se redresse de plus en plus.
Il se recule et émet un petit sifflement avant de dire.
- Putain ! Je vais m'amuser avec toi. Tu vas être mon jouet sexuel, ma petite Nicole.
Il fouille dans le sac qui est au pied du lit. Il se retourne avec dans une main un... Pénis ? Un gode ! Un gode de belle taille, probablement un peu plus gros que son sexe en érection. Il prend aussi une télécommande et je comprends que c'est un gode vibrant.
- Marcel ! C’est quoi ? Ça !
- Nicole, tu sais quand même ce que c’est ! T’es plus une gamine !
- Bien sûr que je le sais ! Mais je préfère une vraie bite à un truc comme ça que je n'ai jamais utilisée.
Il se positionne à mon côté, une de ses mains écarte encore plus une de mes cuisses pendant que l’autre main caresse mon sexe. Son doigt tourne autour de mon pubis puis passe le long de ma fente. En remontant, son doigt écarte mes grandes lèvres encore humides par notre précédente copulation. Je me retiens de ne pas gémir encore sous son doigt inquisiteur qui maintenant a passé les petites lèvres. Puis ce sont deux doigts qui écartent mes lèvres.
- OO..OOOH !! La belle moule bien ouverte ! Elle a envie de se faire visiter… De se faire remplir !
Marcel vient de pousser la tête du gode entre mes lèvres intimes.
- Non ! Pas avec ça !!!
J’essaye de bouger mon cul mais il enfonce un peu plus le gode, en remuant mes fesses. Je sens encore plus ce gode dans l’entrée de mon puits d'amour. D’un de ses doigts il caresse le haut de ma chatte pour faire ressortir mon petit bouton de plaisir. Il fait tourner le bout du gode dans ma grotte avant de le glisser sur mon clito sorti de son capuchon.
- AAOUUUHH !
Il vient d’appuyer sur la télécommande et frotte mon clito avec le gode.
- NOONNNN ! MMMFFFF !!!
Il remet le gode dans ma chatte, je le sens pénétrer en moi. Une de ses mains court sur mon ventre, elle vient prendre un de mes seins pour le caresser. Et à nouveau cette vibration qui me fait sursauter, puis frissonner. Il fait aller venir le gode en moi tout en le laissant vibrer et pince un de mes tétons tout dur.
- OOOUUUUUHHH !!…
- Tu vois que t’aime ça ! Dis-le !
Il augmente la vitesse des vibrations
- OOUUAAAHH! MMOOUUIIIII…. C’est BOOOOON !
- Tu vois, ce n’est pas difficile d’être une salope.
Il fait aller et venir le gode vibrant dans ma grotte comme s‘il me baisait. Mais avec cette vibration du gland qui excite les parois de mon vagin, je sens que je ne vais pas tarder à jouir.
- OOUUUIIIIII !!!… Encore… OOOOOOHHHH !
Il vient de retirer le gode de ma chatte en feu.
- Remets-le ! N’arrête pas ! Continue !
- Si tu le veux, il va falloir que tu le fasses toi-même.
Il se met à genoux à côté de moi, met le gode dans une de mes mains, qu'il a détachée et m'ordonne :
- Fais-toi jouir !
Me voilà dans la grange de Marcel, nue, avec un gros godemiché en main. Maintenant, il veut que je jouisse avec cette fausse bite. Elle est assez réaliste, couleur chair, avec des renflements imitant des veines gorgées de sang, un gland tout rose avec une fente au bout plus foncé et le tout sur une paire de deux belles boules.
- NOONN ! Pas ça !!
Il prend ma main de libre pour la poser sur sa bite toute dure et m’ordonne.
- Fais ce que je te dis, salope ! Et imagine que tu as deux belles bites à ta disposition !
C’est le déclic ! Avec sous mes yeux, la queue de Marcel qui me traite de salope, je remets le gode dans ma chatte, j’en gémis de plaisir.
- MMMMFF !! OOOOHHHH, OUUIIII !
- Branle-moi en même temps.
J’en oubliais presque son sexe dans ma main. Au même rythme, je branle sa queue et ma chatte. Dans ma tête c’est comme si deux hommes prenaient mon corps pour me soumettre à leurs désirs pervers.
- C’est bien ! Pour tes débuts de salope ce n’est pas trop mal.
- Non ! Je ne suis pas une salope !
- Si tu vas être ma salope personnelle. Alors baise-toi avec cette belle bite ça fera un beau film.
- NOONNN !! Pas de film !!
Je dis non mais je suis terriblement excitée. J’ai chaud, ma grotte ressent avec plaisir cette chose qui la fouille en frémissant. Je l’enfonce le plus loin possible .
- Oui, c’est ça… Baise toi bien …Va y enfonce le bien au fond. Putain que t’es belle !
J’entends sa voix, mais je plane un peu. En fermant mes yeux, je sens un sexe qui remplit mon puit d'amour avec la bite de Marcel dans une main, j’imagine qu’un autre homme me défonce la moule. Mon statut d'épouse fidèle s’envole à tire d’aile pour laisser place à la salope que je deviens.
- AAAOOUUUUAAHHH !
Le salaud ! Il fait varier les vitesses des vibrations avec la télécommande.
- C’est bon hein ?
Je ne réponds pas.
- Je t’ai posé une question…
Dans une dernière rébellion je crie.
- NOOOOONNN !!!
- Menteuse ! Je vois ton ventre qui ondule sous des houles de plaisir. Tu es trempée ! T’es une salope.
- Dis-le que tu es une salope ! Dis-moi, que tu es ma salope.
- Je…Suis… Ta…Salope.
- Plus fort !
Encore un petit coup de vibreur au maxi et je crie :
- AAARRRGGGH… Je suis une salope !
- Voilà. Tu vois que tu peux ! Enfonce-le bien ! Ou retire-le si tu n’es pas une salope.
- NOONNNN ! Je suis une salope !!! Je vais jouir !
- Retire-le ! C’est un ordre !
Merde ! Oh non, je sentais que j’allais me faire jouir !
- Suce-le !
- Quoi ??
- Suce le c'est un ordre...
Il me regarde dans les yeux. Son regard est dur, il attend que j’obéisse. Je pose le faux gland trempé de cyprine sur mes lèvres. Je sens ma chatte quand elle est en chaleur. Ça m’excite encore plus.
- Aller !! Suce.
Du bout de ma langue, je lèche le gland. Je trouve le goût si particulier du jus féminin.
- C’est bon, hein que c'est bon ?
- MMMMFFFF !!!
Il vient de m’enfoncer au moins deux doigts dans ma grotte ouverte.
- C’est bien, ma salope. Tu commences à apprécier on dirait. Remets-le dans ta chatte, va y fais-toi jouir !
- Non ! Pas encore avec ça !!
- C'est un ordre. Obéis !
En femme soumise et obéissante, je réintroduis le gode dans ma grotte.
- Va y !! Enfonce-le bien.
Il n’a pas besoin de me le demander. Maintenant je suis une chienne en chaleur, j’ai besoin de me sentir pénétrer, je veux jouir. Quand je l’ai bien en moi avec les fausses couilles qui caressent mon cul, il remet en route les vibrations, tout mon corps vibre sous cette incroyable sensation. Involontairement mon corps se cambre et il augmente les vibrations.
- OOOOOOOOOOHHHH… OOUUIIII !
Mais dans un sursaut je retire le gode vibrant de ma chatte. Quand il glisse dans mon vagin, c’est encore pire !
- AAARRGGGHH… Arrête salaud…Viens baise-moi…
- Patience… Patience… Tu vas tout d’abord te faire jouir avec ce sexe que tu as en main. Imagine que c’est celui de… Ton mari !
- Mais ça va pas ?? T'es un salaud !!
- Peut-être, mais tu es ma salope…Ne l’oublie pas. Ma salope, et tu m’obéis !
Je n’en reviens pas ! Il me traite de salope et j’aime ça. Où est donc passée la bonne épouse ?? Je replonge le gode dans ma grotte brûlante, je le fais aller venir, en imaginant mon mari au-dessus de moi qui me baise en me traitant de grosse salope. Je suis sur le point de jouir quand Marcel prend ma main et retire vivement le gode de ma chatte.
- Pas si vite ! Dis-moi encore que t’aime ça, que tu es une grosse salope.
- OUIIII ! J’aime ça ! Je suis une salope ! Mais remets-le-moi ! Je veux jouir ! Oui baise- moi ! Fais ce que tu veux… Mais baise-moi !
Il m’arrache le gode de la main et il m’empale violemment avec cette bite factice qui électrise mon corps.
- Tiens salope ! Prends ça dans ta chatte !
- AAAAHHH, OOUUIIIIII, plus fort ! Défonce-moi ! Fais-moi jouir !
Je gémis, je crie quand il me défonce ma chatte avec cette bite en caoutchouc, mais si proche d’une vraie bite, bien dure, qui laboure ma grotte détrempée. Comme une folle, je le laisse martyriser ma moule. Je vais même au-devant de ce sexe qui électrise mon corps dans chacune de mes terminaisons nerveuses. Je hurle quand mon orgasme explose dans ma tête et dans mon ventre.
- OOOOOOOOOOHHHH, OUIIIIIII…..AAARRRRRRRRRHH !!!!
J’attrape sa main, je la bloque entre mes cuisses pour sentir le plus possible cette chose qui m’envoie des vagues de jouissance dans mon ventre, dans mon puits d'amour. Quand mon orgasme s’atténue un peu, il appuie sur le bouton de la télécommande !
- OOOOOUUUUUUHHHHHH. !!! NOOOOOOONNNNNNNN !
Ça repart de plus belle ! Je vais mourir !
- Arrête ! Arrête ! Pitié !
Marcel me laisse encore un peu gueuler et me tordre sous cet orgasme qui n’en finit pas.
- OOOHH....MMM...MF..OOOHH....
Puis il retire le gode magique de ma chatte et me demande :
- Tu veux que je te baise encore ? Tu la veux encore ma bite ?
J'hésite un instant, Je m’avachis sur le lit.
- Oui, OOH !! OUI !! Baise-moi encore, vient me la mettre !! Que je lui réponds excitée.
Il m'empoigne par les hanches pour me mettre sur le ventre, j'ai compris qu'il veut me prendre en levrette, je me positionne impatiente d'être prise ainsi, je tends mes fesses.
- J'ai pas bien entendu ! Tu la veux encore ma queue ! Me dit-il son gland au bord de mon sexe.
- OUUIII !! Vas y enfonce ta queue dans ma chatte !! Que je lui crie tellement je suis excitée.
Dans la seconde qui suit, je suis de nouveau pénétrée.
- AARRHH !!
Sa queue me pénètre à nouveau, je gémis de bonheur.
- OH... Oui ! Met la toute entière. OOH... OOOHH !! OUIIIIIII ! Prends-moi encore ! Baise la salope que je suis !!!
Il n’a pas besoin de mes encouragements. Comme un sauvage, il me baise à toute vitesse et après seulement quelques minutes, il gueule à son tour en éjaculant un paquet de sperme chaud pour mon plus grand plaisir !
- Putain de salope ! J’en pouvais plus !
Il s’écroule sur moi avec sa queue bien enfoncée qui palpite et finit de se vider. Il m’embrasse et je réponds à son baiser sa langue envahie ma bouche et puis il me dit :
- Allez viens je vais te laver, tu ne peux pas repartir chez toi dans cet état !!!
Et tout en me soutenant nous gagnons la maison. Arrivés dans la salle à manger, il me fait monter sur la table et me demande de m’accroupir tout en écartant les jambes. Il part à la cuisine me laissant là, cuisses écartées, offrant mon sexe qui palpite encore. Je sens couler nos liqueurs mélangées. Puis il revient avec une bassine dans les mains et une serviette sur l’épaule.
- Tu es magnifique ma belle et je t’ai bien ouverte !!!!
C’est vrai que je me sens ouverte, je suis fière de lui exposer mon sexe, je ne l’ai jamais fait pour mon mari, mais maintenant je suis prête à tout. Et surtout recommencer cette baise inimaginable.
Marcel a glissé la bassine sous mes fesses et il m’aide à me pencher en arrière en appui sur mes mains. Puis il prend de l’eau avec sa main pour mouiller ma vulve et il recommence plusieurs fois avant de m’enfoncer trois doigts dans le vagin pour en extraire tout le jus qui s’y trouve. Ce petit manège dure un moment, je suis de nouveau excitée. Marcel s’en aperçoit et il prend mes lèvres et mon clito entre deux doigts et tirant mes chairs vers le haut, je sens mon clitoris sortir de son capuchon. De son autre main il me le caresse en faisant tourner ses doigts autours de mon bouton turgescent.
Il ne faut pas longtemps pour me donner un dernier plaisir qui me laisse pantelante cuisse ouverte sexe palpitant devant Marcel. Je ne l’ai même pas vu retirer la bassine, c’est quand il se sert de la serviette pour essuyer ma vulve toute sensible, que je reviens à moi. On parle toujours du septième ciel c’est la deuxième fois qui j’y suis parvenue, et j’aurais pu y rester tellement c'est tellement bon.
Marcel m’aide à descendre de la table, et m’asseoir dans le canapé, puis il s’absente quelques instants, pour revenir avec mes vêtements, il m’aide à m’habiller. Marcel me prend dans ses bras, et il m’embrasse. Je réponds à son baiser, sa langue a pris possession de ma bouche et ma langue répond à la sienne. Puis il m’écarte de lui et me dit :
- A vendredi ici même heure, et n'oublie pas !!!! Maintenant tu es à moi, compris ?
- Oui à vendredi !!!!
Je le quitte avec la ferme intention de revenir vendredi. Juste dans l'espoir de pouvoir à nouveau jouir et sentir son foutre se répandre en moi. C'est tout ce qu'il me fallait. Et tout ce que je mérite.
Je rentre chez moi, épuisée... Les questions se bousculent dans ma tête. A t-il d'autres nouveaux plaisirs à me faire découvrir ? Avais-je été trop en demande de jouissance ? Avais-je trop joui ?
Je passe une mauvaise nuit, incapable de penser à autre chose. J'ai prétexté une migraine à mon mari, afin de pouvoir éviter qu'il ne se pose des questions. Je ne voulais pas qu'il me touche. Mon corps réclame celui de ce mâle dominant qui me traite comme sa chienne.
A suivre...
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