Texte de XMaster,
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Sophie est donnée à un autre homme.
De longues minutes passent, elle est toujours à quatre pattes sur le sol à réfléchir longuement, puis, une idée chassant l'autre, elle en vient à se demander pourquoi elle reste ainsi, seule, nue, comme une chienne. Après quelques secondes d'hésitation, elle se reprend et va s'asseoir dans sa couchette. Là, ses cogitations reprennent de plus belle.
Près d'une demi-heure plus tard le joyeux tortionnaire réapparaît sans autre forme de procès et entre dans le compartiment, tirant ainsi sa proie des réflexions dans lesquelles elle erre, assise sur sa couchette. Voyant que ses instructions n'ont pas été suivies à la lettre, il commence à crier dès la porte refermée derrière lui :
- Ne t'ai-je pas dit de rester à quatre pattes comme une vulgaire chienne bien dressée ?
Sous la violence du ton, la pauvre Sophie sursaute et se remet une fois de plus à pleurer. L'homme la prend sans ménagement par le bras et la tire en bas de la couchette en criant encore :
- À quatre pattes, salope !
Puis, après que la malheureuse fille se soit remise en place comme le souhaitait son tortionnaire, ce dernier laisse tomber d'une voix très étrange :
- Bien, maintenant, je t'enferme et je reviens avec ton tout premier client, tâche d'être une bonne pute !
Sur ces dernières paroles, il ressort rapidement du compartiment en refermant avec soin derrière lui. Cette fois, Sophie n'ose plus bouger, elle pensait réellement que s'en était fini des contraintes imposées par ce monstrueux poinçonneur, mais elle se rend bien compte que l'homme n'a pas décidé de la laisser en paix. À nouveau, elle tremble de peur, elle redoute le pire pour les minutes qui viennent.
Son angoisse n'est pas de très longue durée car bientôt la porte s'ouvre à nouveau. Le contrôleur entre dans le compartiment, suivi de près par le serveur du wagon-restaurant. Georges est un homme d'une bonne quarantaine d'années, assez petit et rond, ses cheveux grisonnants lui donnent un air débonnaire, mais d'étranges lueurs salaces luisent dans ses yeux gris clair. C'est loin d'être un bel homme l'ensemble fait beaucoup plus penser à un client assidu de bordel qu'à un serveur, malgré sa tenue.
Dès que la porte est refermée, le contrôleur s'adresse à son copain :
- Alors ? N'est-elle pas jolie, ma petite pute ?
- Oui... Mais elle me semble un peu jeune... Tu es sûr qu'elle pourra recevoir ma grosse queue ?
- Oui, je connais ton problème de ce côté là, je crois vraiment que oui, de toute façon, si ça ne marchait pas, je te rembourserai !
En entendant ces mots, la pauvre Sophie a de grands frissons, elle se demande encore une fois pourquoi elle a accepté toutes ses horreurs. Elle se dit aussi qu'elle est tombée bien bas pour accepter, même sous la contrainte toutes les choses que lui ordonne cet épouvantable contrôleur.
François vient se placer devant sa pute, lui attrape les cheveux et les tire vers le haut pour que la jeune fille redresse sa tête, puis il enchaîne :
- Elle est mignonne, non ?
- Oui, pas de problème ! Répond le serveur après être venu à coté de son pote pour dévisager la petite brune.
- Bon, je vais alors te laisser avec cette chienne, si quoi que se soit se passe mal, si elle se rebiffe ou te manque de respect, ou tout simplement si elle ne veut pas faire ce que tu lui demandes, appelle-moi avec le talkie-walkie. Elle sait qu'elle doit être bien obéissante, mais on ne sait jamais avec ces chiennes, deux précautions valent mieux qu'une !
- OK. En cas de souci, je t'appelle !
- Bien, alors amuse-toi, régale-toi comme tu veux, défonce-lui bien le cul, de toute façon, son prochain client ne sera pas avant longtemps, donc tu as carte blanche pour cette soirée, vieux frère !
Sur ces dernières paroles, le contrôleur lâche les cheveux qu'il tenait toujours en main et sort tranquillement du compartiment en refermant encore derrière lui.
- Parfait salope, commence alors l'homme resté seul, tu vas commencer par me sucer pour me mettre en forme !
Sur ces mots, Georges baisse son pantalon et son slip puis s'assoit sur le bord de la couchette. Une fois bien installé, il dit encore :
- Viens me sucer, qu'attends-tu chienne ?
Sans mot dire, Sophie, comme un automate, se retourne en restant à quatre pattes et vient se placer entre les jambes de l'homme. Cette fois, elle ne sait plus du tout où elle en est, elle exécute ce qu'on lui demande comme si elle rêvait.
Le type ne bande pas du tout, il a sa queue toute molle qui pend entre ses cuisses. Il s'empare des cheveux de la brunette et les tire pour la faire venir plus près de lui, puis il ajoute encore :
- Vas-y, suce-moi, morue !
Alors la pauvre fille ouvre la bouche et happe la bite molle. Maintenant elle commence à la sucer doucement.
- Oui... Pompe-moi le dard, salope, tu es une bonne pute à ce que je vois !
Très vite, la queue grossit dans la bouche de la petite brune. Il faut dire qu'elle s'y prend plutôt bien, elle avale la bite le plus loin possible dans sa gorge, quand elle estime que le vit est tout au fond de sa gorge et qu'elle commence à avoir un petit haut-le-cœur, elle le ressort doucement en le flattant avec sa langue, puis elle recommence encore à l'aspirer, et ainsi de suite.
À ce régime, Georges ne peut rester de marbre, ou plus exactement, il devient de marbre, mais en plus chaud. En quelques minutes, sa queue devient raide, elle n'est pas plus longue que la moyenne en fait, mais au moins deux fois plus grosse.
Le diamètre imposant de l'engin qu'elle suce commence à fatiguer sérieusement la pauvre Sophie qui fait de gros efforts pour ouvrir toujours plus grande sa mignonne petite bouche. Cette fois, elle ne peut pas vraiment dire que cet homme bedonnant l'excite, d'ailleurs en temps normal, elle aurait toujours refusé les avances d'un tel personnage, pourtant, en ce moment elle mouille et prend même plaisir à sucer ce bonhomme. Encore une fois, elle se demande un bref instant pourquoi, puis se laisse de nouveau aller à son plaisir perverti.
Bien sûr, le contraste de l'attitude de ce serveur qui lui caresse les cheveux avec celle précédente du contrôleur, doit être une des causes de son excitation. Mais il semble également que ce fameux employé ait vu juste, et que la contrainte participe encore à cette excitation pour la jeune fille.
Georges ne se pose aucune question quant à lui, il se laisse aller apprécie cette bonne pipe, trouve la fille très jolie et bien experte pour son jeune âge.
Tout à coup, dans un étrange son guttural, Sophie ressort l'énorme mandrin de chair de sa bouche et dit en s'excusant :
- Je suis désolée, mais votre sexe est vraiment devenu trop gros pour que je le suce, Monsieur !
- Viens t'allonger ici ! Dit alors Georges d'un ton compatissant en se relevant du bord de la couchette et en désignant cette dernière à la jeune fille.
A suivre...
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