mardi 24 juillet 2018

Le chantage de Summer Ch. 01

Le chantage de Summer - récit érotique  domination soumission professeur chantage

Traduction d'une histoire de Wilcox010.

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La grosse erreur de la prof.

Todd SPILLERS surfe sur internet comme le font la plupart des étudiants. Il est sur le site « Femmes en manque de sexe ». Il vient juste de fêter son 19ème anniversaire et il a eu un nouvel ordinateur pour cadeau.

Ses parents ont beaucoup déménagé car son père est un militaire de métier. Quand ils arrivent à Atlanta, Todd doit redoubler son année afin de rattraper le niveau pour pouvoir accéder à l'université. Il a donc un an de plus que la plupart des élèves de sa classe. De plus, sa stature physique lui a permis d'intégrer facilement l'équipe de football américain de la Smith High School.

Todd n'a pas de voiture comme ses principaux amis. En effet, ses parents lui ont promis une auto que s'il obtenait une bourse.

Il passe le contrôle d'âge du site et commence à surfer. Il trouve rapidement la section qui regroupe les annonces des femmes de sa région. Il parcoure les profils de celles qui ont une photo. Il continue jusqu'au bas de la liste où il remarque une annonce disant « Professeur d'anglais cherche sa muse ». Il clique sur le profil mais aucune photo n'apparait. Il voit sur ce profil que les photos sont seulement envoyées en privé et qu'il ne peut pas y avoir accès. Alors, il envoie un petit message à l'enseignante, lui indiquant qu'il est un bon candidat pour le poste de muse car il sait ce qu'elle veut et ce dont elle a besoin. Il signe son message d'un laconique « Maître T. ». Puis il se déconnecte afin de continuer à étudier pour les épreuves du lendemain.

Summer WAYNE s'ennuie ce jeudi soir alors elle navigue sur internet. Elle est mariée depuis 20 ans et a deux enfants. Mais son mari est en voyage d'affaire et ses deux fils jumeaux sont à l'université dans la capitale de l'état. Et sa meilleure amie Lisa est allée diner avec son époux.

Summer est professeur d'anglais au Lycée Smith High School depuis 10 ans. Elle a commencé à enseigner tard car elle et son mari ont voulu fonder une famille tout de suite après le mariage. Summer et James, son mari, se sont installés dans un style de vie d'une famille respectable de classe moyenne. Ils ont une belle maison, deux voitures, deux enfants et une vie romantique.

Parfois, elle se demande si elle n'a pas raté sa jeunesse mais elle se dit toujours qu'elle est une femme qui a la chance d'avoir une belle vie.

Summer est sur le point de se déconnecter lorsqu'elle remarque une notification lui indiquant qu'elle a un mail sur son site « secret ». Un petit peu nerveuse, elle pense attendre le lendemain pour l'ouvrir mais la tentation est trop grande. Elle voit que l'auteur est un peu trop jeune pour elle mais elle se sent flattée qu'un jeune trouve son profil assez intéressant pour lui écrire. Alors elle décide de lui répondre : « Je vous remercie pour votre message. J'aime votre profil. Mais je me demande pourquoi vous avez de l'intérêt pour un femme plus âgée que vous. Je joins une photo pour que vous vous fassiez une idée. Elle signe avec le pseudo Prof101.

La photo avait été prise un soir de week-end par son mari James alors qu'elle sortait de la voiture. Il aimait que Summer montre ses jambes sexy ainsi que sa petite culotte. Bien sûr, elle a caché son visage car elle doit être très prudente étant donné sa profession. Elle ne peut risquer que son image soit partagée sur internet.

Immédiatement après l'avoir envoyée, elle a un petit pincement dans l'estomac. Jamais elle n'a envoyé de photos d'elle sur internet. Mais elle se dit que son visage est flouté et que personne ne peut la reconnaitre. Elle se lève du bureau et décide d'aller prendre un bain.

Todd ne peut pas aller dormir. Son cerveau est en ébullition à cause des matières qu'il vient d'étudier et du site sur lequel il a surfé plus tôt. Alors il décide d'aller jeter un nouveau coup d'œil sur ce site. Donc il se connecte, et aussitôt il est étonné de trouver une réponse à son message signé Prof101. Il clique sur l'icône de courrier, lit le message et regarde la photo sexy d'une femme sortant d'une voiture. Ses jambes sont très longues et bronzées. Et il peut voir sa culotte jaune vif. Il pense tout de suite à une exhibitionniste. Il étudie la photo et essaie de deviner l'âge de la femme. D'après lui, elle a entre 38 et 42 ans.

Todd tape une réponse : « Cher prof101, je viens de trouver votre message ainsi que la photo très jolie. Toutefois je souhaiterai vous connaître un peu mieux avant de continuer à communiquer. Afin de voir si vous correspondez à ce que je cherche et si vous êtes assez bien pour moi, pouvez-vous m'envoyer une autre photo un peu plus détaillée de ce corps très sexy. Maître T. »

Summer se détend dans sa baignoire. Elle se remet en mémoire ce week-end si spécial avec son mari. Elle se rappelle le regard du portier la voyant sortir de la voiture. Elle avait rougi de son embarras. Mais un pari était un pari et elle se doutait que le week-end avec son mari allait être amusant et divertissant.

Elle avait parié facilement car elle avait un full alors que son mari n'avait eu aucune bonne carte de la partie. Alors quand il annonça « Tapis », elle savait qu'elle couvrait totalement son pari et qu'il ne pouvait que perdre à son jeu favori : le poker.

Pourtant, il dit :

-Et si nous rendions cela un peu plus intéressant?

Summer lui répondit qu'elle ne voyait pas comment étant donné qu'il n'avait rien d'autre à parier. James lui proposa de faire l'effort d''accepter un week-end entier sa belle-mère si elle gagnait. Mais si elle perdait, elle devrait s'habiller comme il le voudrait et faire ce qu'il voudrait un week-end entier. Elle accepta rapidement pensant qu'il bluffait.

Elle étala devant elle son full aux dames par les dix. Mais elle se sentit inquiète quand elle regarda son mari dans les yeux. Puis elle le vit poser ses quatre rois. Elle fut estomaquée. Voilà ce qui a conduit à la première des nombreuses photos du week-end spécial ainsi qu'à son premier trio.

Ils entrèrent dans le bar juste à côté de l'hôtel. James lui avait demandé de porter une tenue très sexy qui lui donnait l'air un peu pute. Il lui avait fait mettre un soutien-gorge rouge qui ne couvrait pas ses mamelons ainsi qu'un string assorti. Elle avait des bas noirs, un petit gilet blanc et une mini-jupe très courte. Une paire de hauts talons noirs complétait son habillement.

Elle devait aller s'asseoir sur un tabouret au bar et commander une boisson. Et elle devait s'arranger pour que sa jupe soit assez remontée afin que chaque personne la regardant puisse voir le haut de ses bas.

Tandis que sa consommation arrivait, son téléphone l'avertit d'un texto. C'était son mari James qui lui disait combien elle était sexy et qu'il était très fier d'elle. Summer sourit et prit une gorgée de son gin tonic. Elle était nerveuse car, de toute sa vie, elle ne s'était jamais assise dans un bar toute seule.

Puis elle fut surprise par un mouvement derrière elle. Elle remarqua que deux hommes s'asseyaient sur les tabourets adjacents. Comme elle faisait face au bar, ils avaient une belle vue sur ses jambes. Elle pouvait sentir leurs regards.

Nerveusement, elle croisa les jambes et tira sur l'ourlet de sa jupe, maudissant son mari. Assise, elle n'avait aucun moyen de couvrir entièrement le haut de ses bas.

Elle sursauta quand elle sentit une main toucher son bras. C'était l'homme à côté d'elle qui lui demandait d'attraper une serviette. Elle essaya d'en saisir une mais son cul décolla légèrement du tabouret, faisant ainsi monter sa jupe un peu plus haut. L'homme la remercia et se présenta ainsi que son ami. Il s'appelait Bill et était avocat et son ami se prénommait Mike.

A ce moment, le téléphone annonça l'arrivée d'un nouveau texto de son mari. Elle l'ignora, perdue dans ses pensées, essayant d'ignorer sa jupe, ses jambes trop visibles ainsi que les hommes à côté. Son téléphone bipa à nouveau et Bill lui indiqua que quelqu'un cherchait à la joindre. Summer prit son appareil et lut le message : « Summer, tu n'es pas autorisée à tirer l'ourlet de ta jupe. Pour cette transgression, tu dois maintenant te tourner vers les deux hommes et décroiser tes jambes afin qu'ils puissent voir ta petite culotte. »

Elle savait qu'elle devait obéir parce qu'elle avait promis et qu'elle ne voulait pas que le week-end commence mal. Alors elle se tourna lentement vers Bill l'avocat et lui dit que c'était juste une amie qui l'informait qu'elle ne pourrait la voir aujourd'hui. Tout en parlant elle décroisa ses jambes.

Elle se pencha vers Bill et lui demanda d'où ils venaient avec son ami et pourquoi ils étaient là. Bill répondit qu'ils étaient venus pour le match de dimanche car ils étaient fan de l'équipe locale. Summer le vit regarder vers le bas, entre ses jambes. Et comme elle ne les croisa pas de nouveau, il lui sourit et lui demanda s'il pouvait lui offrir une boisson.

Lorsque celle-ci arriva, Bill la tendit à Summer et s'excusa pour aller aux toilettes. Quand il fut parti, Mike s'assit à sa place pour entamer une conversation avec elle. Il avait une vue directe sur le haut de ses bas et sa culotte.

Quand Bill tourna au coin des toilettes, il avança vers James. Ils se serrèrent chaudement la main. James demanda à Bill ce qu'il pensait de Summer. L'avocat lui répondit qu'il était heureux de la rencontrer et que tous leurs échanges de mails n'auraient pu décrire avec précision comment elle était sexy et belle. James dit à l'avocat qu'il devait continuer et essayer de l'exciter sexuellement. Il lui donna un petit sac en velours ainsi qu'une lettre. Il lui demanda de glisser le tout dans le sac de sa femme sans qu'elle s'en aperçoive.

Quand Bill revint au bar, il vit que Mike et Summer parlaient ensemble. Il s'approcha silencieusement et réussit à mettre le petit sac et la lettre dans le sac à main de la femme. Puis il reprit son siège, et en s'asseyant il posa sa main gauche sur la jambe de nouveau croisée de Summer. Il savait qu'elle avait encore enfreint une règle de James mais il ne dit rien.

Le téléphone bourdonna à nouveau. C'était un message de James qui lui demandait d'aller aux toilettes, ouvrir son sac à main et lire la lettre. Summer s'excusa auprès des deux hommes. Quand elle descendit sans aide de son tabouret, Bill et Mike eurent une vue directe sur son string rouge.

La lettre de James demandait à sa femme de prendre l'œuf dans le sac en velours et de le mettre dans sa chatte qu'il pensait déjà très humide. Summer fit glisser son string le long de ses jambes. Elle remarqua une légère tâche d'humidité sur le mince tissu. Cette moiteur trouvée sur sa culotte provenait du jus qu'elle trouva sur les lèvres de sa chatte. Elle commença à enfoncer l'œuf noir qui glissa avec facilité dans son vagin.

La lettre de James lui indiqua qu'il était dans le bar et qu'il la voyait mais qu'elle ne pouvait pas le voir. Il lui dit aussi qu'il n'était pas content qu'elle ait croisé ses jambes et qu'il allait devoir la punir pour cela.

Le texte demanda aussi à Summer de déboutonner tous les boutons de son chandail sauf les deux en dessous de ses seins. De cette façon, quiconque la regardera aura une vue directe sur son décolleté. Et si elle voit quelqu'un le regarder, elle devra se pencher en avant pour faciliter la vue sur sa poitrine.

Summer retourna à son tabouret au bar. Elle constata qu'il était maintenant entre Bill et Mike. Elle se rappela les instructions de son mari et elle ne tira pas sur sa jupe en s'asseyant, dévoilant ainsi le haut de ses bas.

A ce moment, l'œuf dans son sexe vibra, lui tirant comme un gémissement de douleur. Bill sut immédiatement de quoi il s'agissait, mais il réagit comme s'il craignait qu'elle se fût blessée. Il posa sa main droite sur sa cuisse en lui demandant si tout allait bien. La femme le sentit ainsi que le ralentissement de l'œuf à une vibration plus agréable. La main de Bill remonta le long de sa cuisse et toucha la peau crémeuse juste au-dessus du bas. Summer posa sa main sur celle de l'homme pour la repousser au loin. Immédiatement l'œuf se remit à vibrer plus puissamment dans sa chatte. Elle comprit que James la regardait et qu'il n'était pas content qu'elle ait repoussé la main de Bill.

Celui-ci se pencha pour lui chuchoter dans l'oreille qu'elle avait des jambes très sexy, de beaux yeux et de jolis seins. Ayant oublié de se pencher en avant, elle sentit l'œuf accélérer encore plus. Les vibrations la rapprochaient de l'orgasme mais elle pensa qu'elle ne pouvait quand même pas jouir sur le tabouret d'un bar.

Bill remit sa main sur sa cuisse. Alors elle s'inclina légèrement, son chandail s'ouvrit, laissant à l'homme une vue dégagée sur ses seins et ses mamelons durcis.

En même temps, elle sentit les mains de Mike caresser son dos et descendre vers son cul. Elle ne bougea pas, craignant la puissance de l'œuf vibrant mais celui-ci ralentit, revenant à une sensation plus facile à gérer.

Tandis que Mike passait sa main sous son chandail, elle sentit la main de Bill remonter le long de sa cuisse jusqu'à sa culotte. La main de Mike s'introduit dans sa jupe et joua avec la ficelle de son string. Son téléphone bipa à nouveau. Le message de son mari lui disait de s'excuser et de le rejoindre aux toilettes.

Il lui fallut un petit moment pour obtenir des deux hommes qu'ils retirent leurs mains baladeuses. Ils ne le firent qu'à la condition d'un baiser pour chacun. Ces baisers furent longs et profonds, les mains continuant à la tripoter.

Quand elle put enfin se libérer, elle courut presque à la rencontre de James à la porte des toilettes. Elle était si bouleversée et si excitée qu'elle s'inquiétait de perdre le contrôle.

Son mari lui demanda si elle était prête à retourner à l'hôtel. Elle dit tout de suite :

-OUI!

Mais il lui dit de retourner au bar, de dire à Bill et Mike qu'elle partait mais qu'ils pouvaient venir dans leur chambre passer la nuit. Summer fut stupéfaite et dit à son mari :

-Comment peux-tu me demander cela?

James répondit :

-Tu as fait un pari et tu as perdu. Je ne te demande pas de le faire mais je te l'ordonne.

La réaction de Summer à ce moment-là fut de répondre à son mari :

-Oui Monsieur.

Elle retourna au bar et murmura aux deux hommes ce que James voulait. Ils s'empressèrent de payer la note.

Dans l'ascenseur, Summer ne put savoir quelle main appartenait à quel homme. Elle avait un doigt dans sa chatte, un autre dans le cul et un troisième titillait son clitoris. Quand ils atteignirent le 24ème étage, elle était une totale épave, la jupe retroussée autour de la taille, le chandail complétement ouvert et du rouge à lèvres étalé autour de sa bouche. Elle sut qu'elle se souviendrait de cette nuit.

Alors que Summer pense à ce week-end dans sa baignoire, sa main droite se dirige lentement sous l'eau vers son sexe. Elle cherche son clitoris et frissonne lorsque son doigt trouve la cible. Avec sa main gauche, elle écarte les lèvres de sa chatte pour un meilleur accès. Tandis que l'index de sa main droite titille son clito, elle presse ses genoux contre les parois de la baignoire et sa main gauche remonte sur ses seins. Elle commence à pincer ses mamelons dures et érigés. Elle se concentre surtout sur le téton droit qui est le plus sensible. Elle sent l'orgasme monter. Alors elle frotte durement son clitoris et donne une torsion à son mamelon, la faisant ainsi jouir intensément.

Summer reste couchée dans l'eau de son bain jusqu'à ce qu'elle refroidisse. Puis, se levant, elle se regarde dans le miroir. Des bulles de savon s'accrochent à ses poils pubiens. Elle commence à se sécher et essuie les bulles sur son sexe. Elle frissonne en se rappelant l'orgasme qu'elle vient d'avoir.

Summer met son peignoir en soie et enveloppe ses cheveux mouillés dans une serviette. Elle finit de retirer son maquillage et se dirige vers la chambre quand elle aperçoit sur son ordinateur l'arrivée d'un message. Elle clique sur l'icône et l'email du site « secret » apparait. Elle le lit et pense : « Comment peut-il croire que peut-être je ne serais pas à son goût? »

Était-ce l'orgasme ou le verre de vin qu'elle venait de boire mais elle répond au message : « Maître T, C'est moi qui décide ce qui est le mieux pour moi et je n'apprécie pas la manière dont vous m'écrivez. Je crois que nous ne sommes pas compatibles. Afin que vous sachiez ce que vous allez manquer, je vais me décrire. Je suis une femme de 40 ans, 1m75, les cheveux bruns, les yeux noisette et 90C en poitrine. Je joins une image de moi afin que vous puissiez vous masturber en pensant à ce que vous venez de perdre ». Elle signe « Prof101 toujours à la recherche de sa muse ».

Ensuite, Summer accède au répertoire caché de son mari James qui contient toutes les photos du week-end. Elle avait découvert ce répertoire accidentellement. Elle sélectionne une image où on voit son reflet de dos dans un miroir. Mais alors qu'elle veut double-cliquer pour la joindre au message, elle éternue et, sans le savoir, envoie une photo où on la voit assise nue sur le meuble de la salle de bain. Sans s'être rendue compte de son erreur, elle envoie le message et éteint l'ordinateur.

Todd est surpris de recevoir une notification de courrier car il est très tard, surtout pour une femme sur un site de sexe. Il clique sur l'icône et est stupéfait de trouver la photo envoyée par Mme WAYNE, son professeur d'anglais, celle qui lui rend la vie difficile et l'oblige à rester étudier en classe pour rattraper son retard afin d'obtenir sa bourse. Cette photo la montre, complétement nue, assise sur un meuble de salle de bain, les jambes écartées, son sexe exposé en train de se baiser avec un gode noir de 20 centimètres environ. Sur son visage qui fixe l'objectif de l'appareil photo, Todd peut voir l'extase et le plaisir. Il lit le message et se dit : « Quelle salope ».

Todd réfléchit aux différentes options qui se présentent maintenant. Il devrait effacer cette photo et ne pas en faire cas. Mais une autre idée lui traverse l'esprit. Pourquoi ne pourrait-il pas profiter de la situation? Il pourrait avoir de meilleures notes, ne plus rester tard en classe et apprendre les bonnes manières à cette salope.

Todd télécharge l'image sur son ordinateur, le copie sur son smartphone et imprime deux copies.

En entrant dans son lit, il pense : demain tu es à moi petite prof ». Il regarde la photo et se masturbe jusqu'à ce qu'il éjacule. Il s'essuie, éteint la lumière et s'endort avec un sourire mauvais.

A suivre...

Nouvelle demeure - chapitre 04

Nouvelle demeure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Récit de Vulgus traduit par Coulybaca (2008)

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une certaine routine s'installe.

Anne avait allumé les lumières de son porche d'entrée, et elle nous laissa poireauter un bon moment après que l'on ait sonné.

J''entendais les gens passer dans la contre-allée alors que nous attendions.

Je savais qu'ils pouvaient nous voir.

Nous ne pouvions que rester là passivement, le dos tourné vers la contre-allée espérant que personne ne remarquerait notre tenue.

Finalement Anne ouvrit la porte et nous fit entrer, elle nous emmena dans la salle de télé, il n'y avait qu'eux d'eux.

Nous avons avalé docilement notre drogue, puis Roy me courba sur l'agenouilloir et me baisa lentement en chatte. Ma cramouille était trempée de cyprine et remise de tous les abus qu'elle avait subi dans la journée, je dus leur raconter tout ce que j'avais enduré au cours de cette journée.

Comme je décrivais ma journée, Anne se déshabilla et se rassit et se fit travailler par la langue de Dave.

Ils me posèrent quelques questions embarrassantes, ils ne se contentaient pas de mon rapport, ils voulaient des détails, ils voulaient que je décrive ce que j'avais ressenti, comment j'avais réagi, ainsi que les réactions de mes suborneurs.

Anne jouit à plusieurs reprises pendant la demi-heure que je pris pour raconter ma journée.

Roy jouit juste au moment ou je terminais et resta bourré au fin fond de ma chatoune tandis que je parlais.

Il ne tarda pas à durcir à nouveau et se remit à me baiser vigoureusement.

Anne s'estima enfin satisfaite et repoussa Dave.

Comme il n'avait rien à faire, Roy lui intima de se glisser entre ses jambes pour lui lécher les burnes tandis qu'il ma baisait à couilles rabattues.

Je vis le visage de Dave refléter son désarroi lorsqu'il se releva, mais il dut lui complaire, il ne pouvait qu'obéir, comme moi il n'avait pas d'autre choix.

Finalement ils nous laissèrent retourner chez nous vers 20 heures.

Nous nous sommes assis dans le salon où le DVD rapportant notre orgie du dimanche tournait en boucle, cherchant à nous consoler mutuellement.

Je ne pensais que les choses pouvaient perdurer ainsi bien longtemps. Soudain je sus ce dont j'avais besoin.

J'agrippais le bras de Dave et l'entraînais dans notre chambre lui murmurant à l'oreille :

- J'ai besoin que tu me fasses l'amour! J'en ai marre de me faire baiser à la hussarde!

Il n'y avait pas besoin de longs préliminaires.

Cela faisait des heures que nous étions nus et ma chatoune était certainement bien lubrifiée.

Je m'étendis sur le dos sur le lit et Dave s'installa entre mes cuisses pour me lécher la fentine.

J'essayais de l'arrêter, mais il me sourit gentiment et me dit :

- Cela n'a plus grande importance Donna, tout ce qui compte main-tenant c'est nous deux nous devons rester bien soudés et chercher le moyen de nous en tirer sans trop de problèmes!

Il recommença à me lécher la chatte, et mes cuisses détrempées, il me nettoya rapidement.

Puis il se concentra sur ma foufoune et je jouis rapidement sous ses léchouilles.

J'avais passé trop de temps à être excitée et stimulée, le plus souvent par de totaux étrangers, il me sembla que je jouissais bien plus vite que d'ordinaire avant que tout cela commence.

J'eus une paire d'orgasmes intenses avant que je me redresse pour l'attirer sur moi.

Nous nous sommes embrassés fougueusement et nous avons fait l'amour avec passion pendant un long moment.

Lorsqu'il n'en put plus Dave s'effondra à coté de moi je n'hésitais absolument pas à me pencher pour le prendre en bouche et lui nettoyer amoureusement la bite.

On puait tous deux le sexe, mais nous étions trop épuisés, trop crevés pour prendre une douche.

Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre et l'on ne bougea plus jusqu'au moment ou le réveil sonna le lendemain matin.

Nous avons pris notre douche et cherché quoi nous mettre pour la journée.

Je n'avais plus de brassières propres aussi enfilais-je une petite robe d'été au profond décolleté que j'avais l'habitude de porter avec un gilet recouvrant ma poitrine.

Si je ne portais pas ma veste, mes miches seraient très exposées.

Cette robe était très fine et très courte, j'espérais qu'elle ferait l'affaire. Je ne trouvais rien d'autre de portable. Il faudrait que je fasse des courses cette nuit en rentrant à la maison.

J'embrassais Dave en le quittant et me préparais à partir à mon tour.

Je sortais, fermais la porte à clef et me dirigeais vers ma voiture.

Je retenais ma respiration à chaque pas paniquée à l'idée de devoir reprendre le bus ce matin.

Mais je parvins sans encombre à ma voiture et partis vers mon bureau où j'arrivais avec un peu d'avance.

Je gagnais mon bureau, posais mon sac et me disposais à travailler.

Je terminais la frappe du premier document lorsque le signal indiquant l'arrivée d'un message retentit.

A l'exception des circulaires du bureau, je ne recevais jamais de message.

J'ouvris le mail et vis une photo de moi de pied en cap suçant la grosse bite noire du concierge la veille au soir.

Je jetais rapidement un coup d'œil circulaire pour m'assurer que j'étais seule puis je fis un scroll pour vérifier si un texte accompagnait la photo.

Je découvrais deux autres photos, sur la dernière j'avais les lèvres couvertes de semence, et je me pourléchais les babines.

J'atteins alors le texte. On m'ordonnait de me rendre dans la salle de conférence à 10 heures.

Je venais tout juste de refermer le mail lorsque monsieur Jefferson entra dans mon bureau, il m'intima de me lever et inspecta ma tenue.

Il fronça les sourcils puis il tendit la main et m'enleva ma veste, puis il me signe de tourner sur moi-même.

Je me tournais lentement consciente que les flancs de mes nichons étaient largement exposés. Lorsque je me retrouvais de nouveau fac à lui il me rendit ma veste m'ordonnant de ne pas la remettre sur mon dos.

Puis il retroussa ma robe détailla ma chatoune et sourit :

- Ravissant... S'exclama-t-il enthousiaste.

- Jamais je n'ai autant aimé mon boulot qu'en ce moment!

Comme c'est bizarre, pensais-je ironiquement, quant à moi, je n'ai jamais autant haï mon boulot qu'en ce moment!

Il me quitta bientôt et je repris à mon boulot. Je me jetais dessus à corps perdu m'efforçant de ne pas penser à mon rendez-vous de dix heures dans la salle de conférence.

Je jetais un œil sur ma montre et constatais qu'il me restait deux minutes pour m'y rendre, c'était à l'autre bout de l'immeuble, mais par chance au même étage, j'y étais à 10 heures juste. Je frappais à la porte, une voix sourde me pria d'entrer.

J'entrais et retrouvais monsieur Jefferson, monsieur Taylor et deux jeunes gars du service du courrier.

Monsieur Taylor m'enjoignit de verrouiller la porte dans mon dos et m'expliqua :

- Je crois que tu as déjà rencontré Jimmy et Dan, n'est ce pas Donna?

Je hochais affirmativement la tête avec découragement.

- Je t'ai invité à nous rejoindre parce que les photos que j'ai prises hier ne sont pas excellentes, aussi ai-je envie d'en reprendre plusieurs avec un bon appareil! Je pense qu'elles seront d'autant plus excitantes si tu poses avec des partenaires, c'est alors que j'ai repensé à l'équipe du courrier... Ils méritent vraiment une augmentation, mais comme je ne peux la leur accorder, je me suis dit qu'à la place je leur permettrais de te baiser aujourd'hui et chaque fois qu'ils en auront envie, tant que leur boulot me donnera satisfaction! Aujourd'hui tu vas poser avec eux tandis qu'ils te baiseront à couilles rabattues... Et désormais, lorsqu'ils auront du temps libre, ils pourront t'appeler de leur bureau et tu viendras dissiper leur stress!

Il se tourna vers Jimmy et Dan, ils semblaient de jeunes gens bien comme il faut.

Ils sortaient probablement du lycée et touchaient de bas salaires, ils devaient tous deux avoir moins de 20 ans.

Il leur dit :

- Les gars elle est toute à vous, prenez votre temps et amusez-vous bien! Faite seulement bien attention de ne pas déchirer ses vêtements! Elle doit être capable de travailler le reste de la journée!

Les deux jeunes hommes rivèrent leur regard sur moi alors que monsieur Jefferson et monsieur Taylor commençaient à prendre des photos.

Soudain ils ne me semblaient plus si jeunes que ça.

L'excitation leur donnait des expressions de prédateurs.

Ils s'approchèrent de moi et me bousculèrent pour me déshabiller pour palper au plus vite mes formes.

Je ne sais pas s'ils avaient reçu des consignes, mais ils étaient particulièrement brutaux et visiblement ils prenaient plaisir à me rudoyer.

Je pleurais et sanglotais rapidement exprimant ma douleur et mon humiliation alors qu'ils trituraient mes nichons, en pinçant la chair tendre, l'un d'eux me souleva même sur la pointe des pieds en me tirant par les tétons.

Ils se déshabillèrent tout à tour, l'un me maltraitant tandis que l'autre se dévêtait.

Puis ils me poussèrent sur le dos sur la table de conférence, l'un d'eux se pencha sur moi et se mit à me mordiller les mamelons me faisant hurler de douleur.

L'autre me releva les jambes et entreprit de me bouffer la chatte, il me butina la fente pendant un bon moment puis il titilla mon trou du cul de la pointe de la langue, il plongea sa langue dans ma grotte resserrée puis recula la tête et cracha sur le petit oeillet ridelé.

Il se redressa alors m'attira sur le rebord de la table et entreprit de bourrer sa mentule dans mon trou du cul affolé.

Cela ma faisait diantrement mal, la salive ne remplace pas le lubrifiant, et je n'étais absolument pas préparée à me faire enculer.

Je n'étais pas vierge du trou du cul, loin de là et j'avais l'habitude de me faire maltraiter par des hommes.

Bientôt il coulissait brutalement dans mon boyau asservi alors que son copain continuait à torturer mes nibards.

J'étais parfaitement consciente que mes deux patrons me filmaient constamment, tantôt en plans américains tantôt en plans rapprochés.

C'était horrible.

Celui qui m'enculait prenait tout son temps alors que l'autre fatigué de maltraiter mes nichons attira ma tête sur le rebord de la table, je dus tourner la tête vers lui et j'embouchais sa bite raidie.

Il était brutal mais sa bite n'était ni très grosse, ni très longue. Il ne se satisfaisait pas de me violer la bouche, ses coups de bite s'avéraient de plus en plus violents.

Le premier éjacula rapidement au fin fond de son trou du cul et ils changèrent rapidement de position.

Je suçais le premier minutieusement pour lui nettoyer la bite alors que son ami me bourrait le trou du cul.

Par chance mes précédentes caresses buccales l'avaient fortement émoustillé et il ne tarda pas à jouir, en se vidant les couilles, il tendit la main et agrippa fermement mes tétons les malmenant rudement, je hurlais de douleur, mais l'épaisse bite qui me bâillonnait étouffait largement mes cris.

Je nettoyais cette nouvelle mentule, puis il leur fut ordonné de nous abandonner.

J'étais roulée en boule sur la table sanglotant hystériquement, mais il ne fallait pas que j'escompte apitoyer ces deux pervers.

C'est alors que je les entendis déboucler leurs ceintures, monsieur Taylor se plaça en bout de table, je voulus me redresser mais il m'intima de rester roulée en boule.

Il m'attira sur le rebord de la table puis il releva une de mes jambes se ménageant un accès des plus aisés à ma foufoune, il plongea sa grosse mentule dans ma chatoune asservie puis relâcha ma jambe.

Il enjoignit alors à monsieur Jefferson d'utiliser sa caméra pour le photographier me baisant à couilles rabattues.

Ils m'ordonnèrent de sourire à la caméra, mais mon visage n'affichait que de tristes grimaces au travers des larmes qui noyaient mes yeux, je suspectais fort que cela ne faisait que renforcer leur excitation, le fait de regarder les deux jeunes gars me travailler avaient visiblement ouvert leurs appétits de stupre.

Finalement monsieur Taylor me remplit la chatte de sa semence, une fois que j'eus sucé sa bite pour la nettoyer, il se redressa et se rhabilla.

Puis il saisit la caméra de monsieur Jefferson et commença à prendre quelques photos souvenirs.

Je gisais étalée sur la table, toujours roulée en boule attendant la suite.

J'avais perdu la notion du temps, mais il ne dut pas se passer beaucoup de temps avant que monsieur Jefferson, à son tour ne se vide les couilles dans ma chatoune engorgée de foutre, je dus, à son tour, nettoyer sa bite, puis ils m'installèrent sur le dos et prirent de nombreux clichés de mon trou du cul et de ma chatoune débordant tous deux de foutre.

Puis ils me laissèrent enfin retourner à mon travail. Il était maintenant l'heure du repas, ils m'avertirent qu'au vu du temps que j'avais perdu ce matin, je devrais travailler pendant cette période pour rattraper le travail perdu.

Cela me convenait parfaitement, je ne voulais surtout pas disposer de temps libre pendant lequel je remâcherais mes épreuves, je me rendis aux toilettes et me nettoyais de mon mieux.

Je travaillais tout le reste de la journée, priant pour que le téléphone ne sonne pas à nouveau.

J'étais éreintée.

A quatre heures je fonçais jusqu'à ma voiture, je l'appréciais comme jamais je ne l'avais appréciée jusqu'ici.

Une journée de bus avait suffi à me faire aimer ma vieille voiture.

Je rentrais chez moi à l'heure normale, pris une douche rapide et me rhabillais lorsque le téléphone sonna.

C'était Dave, il me prévint qu'il devait travailler tard, il ne rentrerait pas avant 20 ou 21 heures.

Nous avons discuté quelques minutes nous assurant l'un l'autre de notre amour réciproque.

Puis j'appelais Anne, je lui expliquais que Dave devait rentrer tardivement et lui demandais ce que je devais faire.

L'idée d'aller chez elle seule me terrifiait, même si je trouvais qu'il était préférable qu'il ne soit pas là à assister à mon asservissement.

Je haïssais encore plus les voir le soumettre à des choses horribles qu'à les subir.

Je me mis nue puis quittais la maison et me rendais chez Anne. Il faisait encore clair et je vis une paire de jeunes gens qui descendait la contre-allée se figer ébahis à ma vue, yeux rivés sur mes charmes.

Je sonnais à la porte d'Anne et attendis un long moment alors que les deux jeunes gars se rapprochaient de moi.

Postés face à moi ils détaillaient mes charmes avec concupiscence.

Enfin Anne ouvrit la porte, et, au lieu de me faire entrer, elle m'ordonna de tourner sur moi-même pour exposer tous mes charmes sous les yeux de mes deux jeunes admirateurs.

Je soupirais profondément, pris une profonde respiration et me tournais lentement. Il mes contemplèrent un bon moment les yeux écarquillés avant de reculer d'un pas, Anne les invita alors à entrer.

Ils se regardèrent effarés, comme s'il s'agissait d'un piège, mais la chance de se retrouver tout prêt d'une femme nue était d'un attrait irrésistible.

Ils s'approchèrent lentement de moi et se postèrent dans le porche d'entrée les yeux rivés sur mes appas.

Anne leur demanda s'ils avaient des copains qui aimeraient gagner un peu d'argent en tondant les pelouses.

Ils se regardèrent l'un l'autre et l'un d'eux rapidement :

- Oui madame, nous, nous aimerions nous faite un peu d'argent de poche?

Anne sourit devant tant d'enthousiasme et ajouta :

- C'est ma voisine Donna, elle a besoin que quelqu'un vienne couper sa pelouse samedi... Je crois que vous adorerez travailler chez elle, elle se promène tout le temps toute nue dans sa maison, et même si vous le désirez, elle pourra vous donner une petite leçon d'éducation sexuelle tant que vous serez là! Elle m'a déjà dit que les jeunes gars de 18 ans l'excitaient au plus haut point n'est ce pas Donna?

Je jetais les yeux sur les deux gars, ils étaient tout jeunes, à peine 18 ans, bien que cela me fasse rougir, je ne pus qu'agréer un faible "oui madame ".

L'un des deux jeta un oeil vers Anne et intervint :

- C'est une blague! C'est pour nous allumer!

Anne jura qu'elle ne disait que la vérité et sur ces mots elle lui saisit la main et approcha son doigt de ma chatte.

Si cela n'avait pas été aussi ignoble, cela m'aurait franchement amusé, il tendit lentement son doigt avec autant de précautions que s'il s'apprêtait à le plonger dans un brasier.

J'écartais un peu les cuisses, il promena son doigt dans ma fentine.

Il continua un bon moment à parcourir ma foufoune d'un doigt tremblant lorsque soudain son ami le repoussa intervenant :

- Laisse moi la tester à mon tour!

Il explora ma chatte à son tour pendant un bon moment, lorsque soudainement Anne intervint :

- Ca va les gars, vous pourrez jouer avec ses charmes autant que vous le voudrez, samedi! Nous devons rentrer maintenant, mon mari attend la visite de Donna! On se reverra Samedi!

Ils reprirent leur chemin échangeant leurs impressions. Je levais les yeux et vis Roy qui nous avait filmé au travers de la fenêtre. Merde, comme s'il ne disposait pas déjà d'assez de films d'elle! Mais en fait cela ne changeait rien à sa situation, cela ne servirait sûrement pas à la faire chanter, mais plus sûrement à l'humilier, à lui démontrer qu'ils avaient tous pouvoirs sur elle.

En fait cela ne ferait que deux personnes de plus à venir chez moi profiter largement et en toute liberté de mes appas.

Déjà que mes prestations au boulot devenaient insupportables!

Je me refusais à dire à Anne et Roy à quel point j'étais malheureuse, ils auraient sûrement trouvé un biais pour encore accroître mon désespoir.

Je suivis Anne à l'intérieur, elle me conduisit dans leur arrière-cour.

Ils avaient eux aussi une belle piscine, elle plus grande et plus originale que la notre, il y avait même une petite chute d'eau à l'un des bouts, et des bassins d'eau chaude.

Je regardais peureusement alors que je pénétrais dans l'aire de la piscine, je me demandais combien de personnes me violenteraient ce soir, je ne vis personne.

Ils me donnèrent mon verre de cette drogue amère que je bus prestement.

Puis je les regardais tous deux se déshabiller, j'étais assise sur une chaise au centre d'une bâche posée sur la pelouse.

Lorsqu'Anne se fut assise, elle m'ordonna de leur raconter ma journée au travail, ils n'eurent pas à me poser de nombreuses questions cette fois, je savais ce qu'ils voulaient entendre.

Lorsque je leur eus tout raconté de cette journée alors que Roy me baisait paresseusement, Anne ouvrit ses cuisses et m'intima de venir lui bouffer le gazon.

Pendant que je lui butinais la fentine Roy continuait à me fourrer de longs et profonds coups de bite.

Anne jouit deux fois sous mes caresses labiales avant que Roy ne gicle dans ma chatoune.

Mais une fois qu'il se fut vidé les couilles il resta imbriqué en moi et je continuais à déguster la chagatte d'Anne jusqu'à ce qu'elle en eut assez elle se releva et repoussa la chaise au loin se dirigea vers la table et empoigna à nouveau la caméra digitale.

Elle se posta face à moi et m'enjoignit de la regarder et de continuer à la regarder quoi qu'il arrive.

Je ne savais pas ce qu'il allait m'arriver mais j'avais compris qu'ils avaient quelque chose en tête.

Au début je ne compris pas ce qui se passait, je sentais bien quelque chose de particulier, mais il se passa une bonne trentaine de secondes avant que je comprenne que Roy urinait dans ma chagatte.

Je hurlais et cherchais à le repousser mais il me gifla et m'ordonna de cesser de me débattre.

Anne continuait à filmer mon visage alors la pisse dégorgeait de ma fou-foune s'écoulant sur mes cuisses, pour tomber sur la bâche sous moi.

Je pleurais longtemps après qu'il eut terminé de se servir de moi comme d'un urinoir, il se releva alors me contourna et resta les yeux braqués sur moi pendant quelques secondes, puis, tandis qu'Anne me contournait pour trouver une bonne chute, Roy s'approcha et m'ordonna de nettoyer de la langue sa bite, ses couilles et ses cuisses.


Je ne me voyais pas faire, je sanglotais hystériquement tout le temps que cette épreuve dura.

Anne reposa enfin la caméra puis elle se pencha sur moi et me susurra :

- La prochaine fois il te pissera dans la bouche ma chérie!

Je dus alors m'étendre sur la bâche couverte d'urine, elle était déjà refroidie.

Ca puait, de plus cela me rappelait clairement ce que je venais d'endurer, ils m'ignoraient, s'assirent dans le patio et sirotèrent un verre avant que Roy n'aille prendre une rapide douche.

C'est alors que survint Dave, il me jeta un oeil angoissé, comme révulsé par mon apparence abjecte.

Il but le grand verre d'eau de drogue qui l'attendait. Puis il revint vers moi et pissa sur tout mon corps.

Une fois qu'il en eut terminé, ils m'avertirent que je pouvais rentrer chez moi.

Anne avait filmé toute la séquence ou Dave m'urinait dessus, inondant mes cheveux, mon visage, mes nichons, mon pubis de sa sale pisse. jusqu'à l'instant ou le flot se tarit et qu'un seul filet jaunâtre s'écoula lentement de son méat.

Je dus ensuite m'asseoir au centre de la bâche, et ils ordonnèrent alors à Dave de s'approcher et de me rouler une pelle.

Elle arrêta alors la caméra, et m'ordonna d'emmener la bâche chez moi pour la nettoyer et la ramener propre le lendemain.

Je la pliais rapidement et Dave l'empoigna pour l'emmener. Il la jeta dans la cabine de douche et la savonna rapidement.

Nous l'avons ensuite rincée et pendu au-dessus du rideau de la cabine de douche des invités.

Ils m'avaient enjoint de raconter à Dave comment s'était passée ma journée en détail.

Nous avons pris une douche rapide puis nous sous sommes couchés et il me prit dans ses bras tandis que je lui racontais tout ce qui m'était arrivé au cours de cette maudite journée.

Je soupçonnais maintenant que notre maison était équipée de micros qui leur permettaient de nous surveiller jour et nuit peut-être pas de caméras vidéos, mais tout au moins de micros espions, aussi suivais-je scrupuleusement leurs consignes.

Cela me prit une bonne demi-heure pour tout raconter de ma journée à Dave, jusqu'au fait que deux jeunes gens allaient venir tondre la pelouse samedi et qu'ils pourraient profiter à leur guise de mes charmes alors que je continuerai à évoluer entièrement nue dans notre maison.

J'avais pris la bite de Dave en main tandis que je lui racontais ma journée, tandis que je narrais mes aventures je sentais sa bite grossir entre mes doigts au fur et à mesure que mon récit avançait.

Je réalisais que mon rapport l'excitait grandement, cela me convenait parfaitement car moi aussi je sentais mon émoi grandir, et je savais maintenant que je n'étais pas la seule à ressentir ces effets.

Lorsque je terminais mon récit, je me penchais sur lui et le suçais tendrement, une de ces fellations auxquelles j'avais été tant entraînée ces quatre derniers jours.

- Mon Dieu... Pensais-je soudain

- Cela ne faisait que quatre jours!


A suivre...

Ma mère Martine chapitre 08

Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.

Récit de Gabrieldutour

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Ma mère en boite.

Bonjour, c'est Julien, 21 ans et étudiant en licence en faculté de lettre moderne. Voici donc la suite des évènements qui se sont produits en Octobre.

Pour ceux qui découvrent mes histoires, sachez que ma mère, Martine, est victime d'un odieux chantage de la part d'un proxénète pervers. En effet, ce salopard menace de tout raconter à mon père, Dominique, des exploits sexuels de ma mère si elle refuse de lui obéir. Très attachée à la cohésion familiale, elle n'a nul autre choix que de se soumettre aux volontés de celui-ci.

Il la force donc à venir une fois par semaine dans mon studio faire la pute pour son compte. Et ce n'est pas tout, voilà qu'il envisage de faire des films de cul vraiment hard avec elle et l'incite même à augmenter le volume de ses seins qui je le rappelle, sont déjà énormes.

Ma mère est bien piégée et soumise à cet ignoble salopard bien disposé à utiliser ses atouts. Même si je trouve cela ignoble, il faut reconnaître que maman est un peu responsable de ce qui lui arrive. Elle a un peu trop abusé de l'alcool cette fameuse soirée et, désinhibée, (et cela je tiens à le souligner) a fait le trottoir, complètement à poil et de son plein gré. La voilà maintenant obligée de vendre son corps pour le compte de quelqu'un.

Le Jeudi soir ou le Samedi, elle prétexte venir me voir afin de se livrer à sa nouvelle activité. Cela est de plus en plus gênant, car elle vient dans des tenues vraiment sexy. Les voisins se posent des tas de questions même si je leur ai annoncé plusieurs fois que cette femme provocante et à l'opulente poitrine, est ma propre mère.

L'ennui, c'est qu'il lui arrive de faire monter des hommes en journée et de baiser dans mon studio.

Le soir, elle passe une bonne heure à se préparer, se parfumer et se maquiller. Elle boit un peu pour se désinhiber (en général, nous prenons un apéro ensemble).

Nous discutons normalement comme une mère avec son fils même si ses tenues me font souvent oublier qu'elle est ma génitrice. Je l'aime comme un fils aime sa mère mais le problème est qu'il m'arrive de temps en temps d'avoir la gaule en la regardant car elle est vraiment bandante.

Nous tentons de parler d'autres choses que ce qui nous arrive actuellement même si nos conversations parlent beaucoup de sexe.

Puis, on frappe à la porte et des gars louches viennent l'escorter. Ils n'hésitent plus à monter jusqu'à mon studio pour venir la chercher. Ils ont des visages patibulaires mais ma mère les suit sans broncher plutôt souriante et ce, dans des tenues provocantes.

Bref, désirant changer d'ambiance, je décide de rentrer sur Nantes. Vendredi, nous passons une soirée réunis en famille avec mon père, ma sœur, son petit copain et bien sûr ma mère habillée en bourgeoise. Cela me fait du bien de retrouver ma famille dans sa totalité.

Samedi, en fin d'après-midi, deux amis me rendent visite : il s'agit de Jean Luc et Éric. Je suis vraiment heureux de les revoir. Nous discutons de nos orientations respectives et ce que nous envisageons de faire dans l'avenir. Je leur indique mon souhait de devenir professeur de lettre. Ils semblent approuver et m'encouragent fortement à ne pas lâcher prise. Nous parlons également de filles et surtout du fait que je n'ai pas de copine à l'heure actuelle. C'est vrai qu'un peu de tendresse ne me ferait pas de mal.

Nous allions poursuivre dans ce sens lorsqu'une femme mature, aux formes voluptueuses et à l'opulente poitrine, pénètre dans la cuisine où nous sommes attablés. Elle mesure environ 1m64. Ses cheveux sont bruns, coupés au carré, et elle a des yeux couleur noisette. Son visage ressemble un peu à la présentatrice, Evelyne T. et elle est outrageusement maquillée.

Ses superbes lèvres sont pulpeuses et mises en valeur par un beau rouge à lèvres. Ce qui frappe surtout, c'est la taille de sa poitrine que l'on distingue aisément à travers son chemisier en dentelle blanc. Non seulement, son décolleté est plus que raisonnable mais le tissu du chemisier est tellement diaphane, que l'on voit son soutien-gorge blanc à armature et en dentelle. Il maintient son énorme poitrine largement visible à travers le tissu fin. On peut également remarquer la couleur de la peau de son ventre ainsi que son nombril. Elle porte une mini-jupe en jean, fendu sur le devant et qui lui arrive à mi-cuisse. Elle ne porte pas de bas mais elle possède de superbes jambes bronzées et bien entretenues. Elle marche pied nu sur le carrelage de la cuisine et semble un peu surprise de nous voir. Cette femme provocante (et les lecteurs l'auront reconnus) n'est autre que ma mère Martine.

Mes deux copains sont surpris de la voir habillée de la sorte et ont du mal à la reconnaître. Il faut dire qu'autrefois, maman était plutôt puritaine et s'habillait de façon très prude. Le tailleur-jupe était de rigueur et le sexe tabou dans la maison. Ils la considéraient comme une mère très austère (ils n'avaient pas tort) et imbue d'elle-même du fait de sa position sociale.

Heureusement, ma mère reste certes une bourgeoise mais a terriblement changée au niveau de ses mœurs. En la regardant, ils ont du mal à s'imaginer que cette femme est ma mère. D'autant plus qu'elle possède un corps très bien conservé pour son âge (on lui reprochera seulement un peu d'embonpoint au niveau des hanches suite à ses deux grossesses).

De visage, elle paraît facilement avoir dix ans de moins. Tout en souriant, elle se penche pour leur dire bonjour et croyez-moi, mes potes ne se gêne pas pour lorgner ses énormes seins largement visibles à travers l'échancrure de son chemisier.

Il émane de son corps une forte odeur de parfum féminin qui rajoute un plus de sensualité. Je devine leurs pensées salaces et cela me fait honte. Visiblement, maman ne s'attendait pas à ce que je reçoive quelqu'un. Heureusement qu'elle a mis un soutien-gorge car en général, elle n'en porte jamais.

La voilà qui se dirige vers le frigidaire et qui en sort un yaourt à 0 %. Elle se penche et mes copains matent son cul du coin de l'œil. La voilà qui repart tranquillement dans le salon nous laissant échauffés par une scène aussi érotique.

Histoire de détendre l'atmosphère, je sors quelques bières bien fraîches et nous voilà en train de parler de ma mère. L'alcool aidant, les langues se délient et nous voilà en train de fantasmer sur les gros nichons de maman. Jean-Luc commence :

- Dis donc, elle a vraiment changé ta mère. C'est fou, je l'avais jamais vu comme ça!

- Oui, j'ai du mal à y croire aussi mais je la préfère comme ça!

Éric sourit :

- En tous cas, nous aussi et elle a vraiment de très gros seins!

- Ça tu peux le dire, je n'en ai jamais vu d'aussi gros et je n'avais pas fait gaffe avant!

- Normal, elle les cachait derrière des tailleurs jupe! elle en avait honte!

- Eh ben, moi, j'en connais des filles qui aimeraient avoir une paire de loches comme les siennes! Dans sa jeunesse, elle a dû s'en taper des mecs!

Je leur explique que ma mère vient d'un milieu bourgeois et puritain. Elle s'est mariée à 21 ans et n'a pas connu d'autres hommes avant mon père. Jean-Luc dit :

- Eh ben, c'est dommage! Ton père en a de la veine.

Là aussi, je leur indique que mon père est un fou de travail et qu'il passe peu de temps avec elle. Jean-Luc me répond :

- Elle devrait se prendre un ou plusieurs amants! C'est clair! Elle a vraiment un corps splendide.

Éric reprend :

- Moi ce que je peux dire, c'est que ma mère a fait ça et que ça a failli finir en divorce. Mes parents ont mis du temps à recoller les morceaux.

Nous continuons à parler de cul et de ma mère lorsque que Jean-Luc propose d'aller en boite ce soir :

- En tous cas ce soir j'ai envie de m'éclater!

C'est avec joie que j'accepte la proposition, d'autant plus que ça fait une paye que je ne suis pas sorti avec des amis. Éric reprend :

- T'as qu'à dire à ta mère de venir avec nous.

- Pourquoi pas! Elle me reproche de ne plus sortir avec elle ces derniers temps. Je vais lui demander.

Je fonce au salon et, à ma grande surprise, ma mère a enfilé un tailleur-jupe. Je lui fais part de ma proposition mais elle répond que ce n'est pas possible. Ce soir, elle va au restaurant avec mon père. Déçu mais content que mes parents se retrouvent, je retourne annoncer la nouvelle à mes copains.

Eux aussi sont déçus mais, rapidement le désir de faire la fête nous reprend.

Nous partons vers 19h30 et entamons une tournée des bars. Nous vidons quelques verres mais question filles, ce n'est pas ça. Il est 23h30, c'est un peu tôt, mais nous décidons de poursuivre la soirée en boite de nuit. Elle est excentrée et réputée pour l'ambiance un peu houleuse. Ceci dit, les filles sont peu farouches en règle générale et nous espérons bien faire quelques rencontres.

Il n'y a pas beaucoup de monde pour le moment et nous passons une commande. Nous voilà assis en train de regarder en silence les nanas. J'en repère une au teint mat qui me plait bien. Elle doit avoir des origines Nord-Africaine et je dois avouer mon attirance pour les filles aux origines étrangères.

Une bonne heure plus tard, la piste est remplie et la fête commence. Je décide de tenter ma chance. Je la rejoins donc sur la piste et danse avec elle. La chance semble être avec moi car le courant passe. Je l'accompagne vers le bar et nous buvons un verre tout en discutant. Elle s'appelle Nada et sa mère est marocaine. Ceci dit, elle est née en France et ne retourne au pays qu'en de rares occasions. Elle est en seconde année de droit et rêve de devenir avocate. Nous décidons de sortir et de traîner sur le parking. Nada prend l'initiative et commence à m'embrasser. Puis nous allons jusqu'à sa Clio et nous voilà en train de nous bécoter. Je commence à la peloter un peu mais elle ne semble pas très coopérative et je dois donc réfréner mes ardeurs. Soudain mon portable sonne.

Instinctivement je réponds (et je le regrette d'ailleurs). La voix est celle de ma mère qui semble agacée voire même pas très contente du tout. Elle commence à me parler de sa soirée avec mon père qui avait bien commencé au restaurant. Hélas, ils se sont un peu disputés au sujet de l'opération des seins de ma mère. Elle compte en effet se faire augmenter la taille de sa poitrine déjà opulente.

- Il a accepté que tu te fasses grossir les seins?

Ma mère est un peu en colère :

- Excuse-moi mon pauvre chéri mais je suis furieuse! Oui, on en a discuté et à force d'insister il a fini par accepté à condition que je ne mette pas de décolleté échancré en public.

- Mais maman, je ne comprends pas pourquoi. A quoi bon te faire faire une grosse poitrine si ce n'est pas pour la montrer?

- Je sais bien mon chéri mais tu connais ton père et ses principes. Il dit que cela n'est pas convenable et que cela ferait jaser la famille, nos amis et nos voisins.

- L'essentiel c'est qu'il a fini par accepter. Je ne vois pas pourquoi tu es en colère.

- Il a accepté mais ma soirée a été insupportable et en plus, en entrant nous avons fait l'amour.

- Mais où est le problème alors?

- Le problème, c'est que l'amour avec ton père ça dure 5 minutes et le voilà qui dort comme un loir. Je suis furieuse!

Je profite immédiatement de l'occasion :

- Dis, pourquoi tu ne nous rejoindrais pas en boite. Je suis avec Jean Luc et Éric.

- Je ne sais pas trop! tu sais ton père est là et...

Je parviens finalement à la convaincre mais lui recommande de venir habillée sexy mais en mettant des sous-vêtements pour éviter les problèmes. Elle accepte de venir.

Pendant la conversation, Nada s'est éloignée fumer une cigarette, frustrée d'avoir été interrompue. Nous regagnons la boite et là, elle me plaque subitement. Je suis abasourdi et rejoins mes copains pour qui la soirée a été peu fructueuse en ce qui concerne les filles.

Je leur annonce que ma mère va venir nous rejoindre et ils semblent plutôt contents. Je suis amer tout en regardant à nouveau Nada qui danse sur la piste avec déjà un autre mec.

Au bout de trois quarts d'heure, ma mère nous rejoint enfin. Elle a remis sa tenue de tout à l'heure mais elle a troqué sa mini-jupe en jean par une mini-jupe en cuir noir, vraiment très courte, qui lui arrive à ras les fesses. Elle porte également des mules en cuir noir, lacées aux chevilles, où l'on peut voir ses doigts de pied recouverts d'un superbe vernis rutilant de couleur crème.

Comme elle a remis son chemisier transparent, on peut noter qu'elle a changé de soutien-gorge. Il est noir maintenant, mais en dentelle avec de fines bretelles. L'échancrure du soutien-gorge est vraiment terriblement exagérée et on a l'impression que le soutif va exploser tant son contenu est volumineux.

On peut voir tous les regards converger vers cette femme provocante et aux gros seins. Les mâles de la salle n'hésitent pas à regarder ses jambes, son cul et ses gros nichons. Sa démarche est exagérée et elle roule bien des fesses tout en bombant sa poitrine afin de bien en exhiber l'opulence. Je crois qu'elle s'amuse de cet effet provoqué, mais rapidement sa démarche redevient normale et elle nous rejoint enfin.

Elle s'assoit entre Jean-Luc et moi tout en croisant les jambes. On lui a commandé un petit cocktail bien corsé, histoire de la désinhiber. Ma mère ne se fait pas prier et le déguste tout en demandant :

- Alors les jeunes, vous ne vous ennuyez pas trop?

Mes copains ne savent pas quoi répondre car ils sont un peu gênés de parler avec cette femme au corps plantureux qui est ma propre mère. Ils ont encore du mal à réaliser que cette femme qui est devant eux est la même femme puritaine qu'ils ont connu depuis tout petit. Nous discutons un peu de la soirée que nous avons passé et ma mère regarde la piste de danse et dit :

- Allez les jeunes, on va danser!

Bien sûr, mes potes la suivent et dansent avec elle dans la masse compacte de la piste enfumée. Moi, je reste à les regarder, encore ennuyé par mon échec avec Nada.

Au bout de 5 minutes ma mère se retrouve entourée par une bande de jeune âgés entre 18 et 20 ans. Ceux-ci éclipsent mes copains. Ils semblent être effectivement du même groupe. Ils ont remarqué cette femme à la mini-jupe et à l'opulente poitrine qui s'éclate sur la piste de danse.

Le fait qu'elle ait l'âge d'être leur mère les excite aussi beaucoup. En tous cas, ils la collent de plus en plus et on devine qu'ils ont la ferme intention de s'amuser avec elle. Elle l'a remarqué mais ne dit rien et continue de danser.

Son soutien-gorge n'empêche pas ses gros seins de ballotter de haut en bas et on a vraiment l'impression que sa grosse poitrine va faire éclater le soutif. Comme elle commence à suer un peu, le chemisier fin commence à lui coller à la peau et épouse ses formes.

D'ailleurs, il n'y a pas que les jeunes qui ont remarqué ça. D'autres hommes reluquent maman du coin de l'œil sans oser trop dire.

Dans l'action, un jeune beur d'un peu plus de dix-huit ans lui caresse les fesses. Maman, vexée, réagit et lui envoie une gifle en l'engueulant :

- Espèce de jeune voyou mal élevé, tu te prends pour qui? Mais quel culot!

Le jeune est surpris et ne s'y attendait pas du tout. Ma mère, furieuse, continue à l'enguirlander et ose même une insulte à caractère xénophobe que je ne citerai pas en toute décence. Deux videurs interviennent et font alors partir les jeunes sans qu'il n'y ait d'incidents.

Ma mère est outrée par ce type de comportement et nous rejoint pour finir son verre. La voilà qui commence à émettre des commentaires douteux à propos des jeunes de cité.

Je pensais qu'elle n'avait plu ce genre d'idées depuis ma copine Lucy (qui était d'origine africaine). J'ai un peu honte de sa réaction et je mets cela sur le compte de la colère. Elle se commande un autre verre, en boit deux gorgées et repart danser.

Mes copains sont à nouveau avec elle et ont les yeux rivés sur son monstrueux décolleté. D'autres gars tentent de draguer ma mère mais ce soir elle n'est pas d'humeur. Au bout d'un moment, elle se rend aux toilettes.

Lorsqu'elle ressort un jeune la colle. Elle sent sur son ventre une lame de couteau.

- Toi ma salope, tu vas me suivre et tu n'as pas intérêt de gueuler sinon...

Ma mère commence à paniquer mais elle sent la lame froide piquer dangereusement son abdomen au niveau de son nombril. Il passe son bras autour d'elle en faisant mine d'être son ami. Là, discrètement, il l'entraîne vers la sortie sous le nez des videurs qui ne remarquent rien.

Ma mère lutte pour ne pas pleurer, se débattre et appeler à l'aide. La pression de la lame sur son ventre la fait réfléchir et son bon sens l'emporte. Éric a vu la scène de loin et me signale que maman est sorti avec un mec bizarre.

Intrigués, nous décidons de les suivre discrètement.

Le jeune homme entraîne ma mère sur le parking où un monospace l'attend. Des jeunes en sortent et nous reconnaissons vaguement le groupe de tout à l'heure.

- Alors sale bourgeoise, on n'est pas assez bien pour toi.

Le jeune beur qui s'est fait giflé s'avance vers elle et lui donne une belle claque. Ma mère est surprise à son tour. Puis elle est agrippée et poussée dans l'auto. Les jeunes la suivent et le véhicule démarre. Il part se garer dans un coin du parking situé dans la pénombre et suffisamment éloigné de la boite.

Mes potes et moi sommes discrets et nous nous cachons derrière les véhicules garés en épis. Nous approchons prudemment.

Les jeunes qui sont au nombre de sept sortent du véhicule en entraînant ma mère avec eux. Là, ils l'entourent et certains sortent des couteaux devant les yeux épouvantés de maman.

- Alors on fait moins la fière maintenant! Je te préviens que tu n'as pas intérêt de hurler sinon cela va mal se terminer pour toi.

Cachés derrière une voiture et masqués en partie par la pénombre, nous restons là à regarder la scène sans savoir quoi faire. Je commence à m'inquiéter pour ma mère qui est menacée.

- Alors la bourgeoise, on s'habille comme une salope et on fait la sainte nitouche dès qu'on se fait toucher les fesses. Et en plus t'as traité Mourad de sale...

L'un d'eux, un blanc avec une casquette rouge, la reluque d'un air méprisant :

- Cette salope mérite une bonne leçon de savoir vivre.

Tous sont d'accord pour humilier cette bourgeoise. Un jeune la maintient fermement par les bras tandis que le blanc à la casquette tend son couteau à Mourad.

- Elle t'a traité de sale... A toi l'honneur!

Le jeune la regarde :

- Tu vois, moi je respecte les meufs et même si je me ramasse des râteaux et même des baffes, ça fait partie du jeu. Mais tu n'aurais pas dû me traiter de sale...Ça, ça se dit pas.

Le jeune s'empare du chemisier blanc et commence à faire sauter les petits boutons un à un en prenant son temps. Ma mère ferme les yeux et pleurniche. Que peut-elle faire face à ces jeunes armés de couteaux. Ma mère sanglote :

- S'il vous plait, je...je m'excuse, je ne voulais pas dire du mal à votre camarade.

Mourad continue son opération et cela lui plait de faire chialer celle qu'il considère comme une bourgeoise raciste. Il parvient en bas du chemisier et vire le dernier bouton. Tous lorgnent inévitablement sur les gros seins de ma mère emprisonnés dans le soutien-gorge noir en dentelle.

On lui enlève violemment son chemisier qui est tailladée et réduit en charpie. On disperse ensuite les morceaux dans le parking. Ma mère se retrouve donc en soutien-gorge et à la merci de ces jeunes loin d'en avoir fini avec elle.

Les jeunes dévorent sa poitrine du regard. Ils n'ont jamais vu de seins aussi énormes hormis dans des films de cul peut-être.

- Bordel, la bourge elle a vraiment de gros seins!

Mourad reste à contempler cette poitrine si provocante. Le soutien-gorge noir contraste avec la peau et souligne encore plus la grosseur de sa poitrine. Les globes mammaires ressortent par le haut comme deux ballons compressés. Les insultes fusent. Ma mère est traitée de pute à gros nichons, vache à lait, de bourgeoise salope, etc....

- Allez, montre-nous tes seins maintenant! Ils sont si gros qu'ils ne demandent qu'à sortir.

Ma mère refuse mais on la gifle et la menace à nouveau.

- Enlève ton soutien-gorge et vite!

Ma pauvre mère s'exécute et dégrafe maladroitement le soutif. Elle enlève les fines bretelles l'une après l'autre. L'un des jeunes dit en rigolant « Madame à du goût » mais il se tait lorsqu'il aperçoit les gros seins de maman qui tombent lourdement enfin libérés et exposés à la vue de tous.

- Vous avez vu ses gros nichons les mecs? On dirait une actrice de film de cul.

On lui arrache le soutif des mains et certains l'examinent fascinés. Il est noir, en dentelle et délicat au touché. Mourad, le premier, plaque ses mains sur les gros seins laiteux et les soupèse en les exhibant à ses copains.

- Regardez-moi, ça! Y'a de quoi allaiter tout un régiment.

Il les malaxe lentement. Ma mère, sensible des seins, commence à gémir et ses tétons durcissent. Mourad commence à les téter et pose sa bouche autour des larges auréoles brunes. Ma mère respire de plus en plus fort et ne peut s'empêcher de gémir de façon explicite. Là par contre les choses se précipitent. Voyant cela, deux autres décident de se joindre à Mourad et la mini- jupe en cuir lui ait enlevé sans ménagement. Elle est déchirée, lacérée de coups de couteaux et subit le même sort que le chemisier.

Mes potes et moi sommes subjugués par cette scène de viol qui pourtant devrait nous traumatiser et nous faire réagir. Je réalise notre perversion et en particulier la mienne : celle de mater ma propre mère en train de se faire violer. J'ai à la fois si honte de mon attitude mais je suis si excité. Le tabou de la situation nous excite tous les trois et aucun ne réagit devant la situation. Pas un ne songe à détourner le regard de cette scène pourtant si condamnable.

Les jeunes lui enlèvent son beau string noir qui lui rentrait si bien dans la raie des fesses. Ils le font glisser le long de ses jambes nues. Son string, lui aussi en dentelle, fait le tour des jeunes qui vont jusqu'à le renifler comme des chiens en rut.

- En tous cas, la bourgeoise sait choisir ses soutifs!

Cette fois, ma mère n'a plus que pour seul vêtement ses mules noires. Son chemisier et sa mini-jupe sont déchiquetés et répandus aux quatre coins du parking. Ses sous-vêtements sont confisqués et gardés comme trophées. La voilà belle et bien nue, son cul, sa chatte et ses gros seins à l'air dans ce parking et à la merci de ces jeunes.

Maintenant, on s'amuse à la tripoter, à se la passer comme un pantin. On la gifle et on lui roule des patins bien baveux tout en la traitant de tous les noms. On s'affaire activement sur ses gros seins aux larges auréoles brunes qui ballottent lourdement dans tous les sens. Des doigts s'insinuent dans sa chatte et son anus histoire de la préparer à recevoir des bites bien excitées. Pendant dix bonnes minutes, on explore tous ses orifices en concluant que de toute façon, ce n'était pas la première fois qu'une bite explorait sa bouche, son vagin et surtout son trou du cul.

Ma mère ne réagit plus et se laisse faire. Elle commence à éprouver du plaisir à se faire palper par ses jeunes qui pourraient être ses fils. Elle aime beaucoup sentir ces mains pétrir ses seins, les sucer et les lécher. Malgré la volonté d'humilier ma mère, les jeunes prennent plaisir à s'occuper de cette paire de loches.

Elle sent son sexe mouiller et le plaisir la gagner peu à peu. Après tout, cela ne la change pas beaucoup de ce qu'elle fait dans mon studio. Alors, pourquoi faire tous ces chichis. C'est pour cela, d'ailleurs, qu'elle ne dit rien lorsqu'on la force à se mettre à quatre pattes et lorsqu'une bite s'enfourne dans sa bouche. Habituée et même experte en fellation, ma mère suce machinalement l'homme.

Rassurez-vous, à la tête qu'elle fait, on voit bien qu'elle éprouve un plaisir indéniable à piper le jeune homme. La queue déforme sa bouche goulue et sa langue nettoie le sexe du gars. Au bout de quelques secondes, ne pouvant plus se retenir, le jeune explose et éjacule sur le visage de ma mère.

Le sperme chaud dégouline sur son visage et coule sur ses gros seins. Elle se met à se les lécher de façon perverse devant les yeux médusés des jeunes.

Éric, de son coté, a sorti sa queue et se branle sans se soucier de Jean-Luc et moi. Les autres sortent leur sexe et ma mère commence à les piper tour à tout et de façon professionnelle.

La scène est vraiment perverse. Nous sommes trois potes, en train de regarder ma propre mère se faire violer (Même si ce n'est plus un viol maintenant). Le sperme gicle à flot et maman tente d'en avaler le plus possible. Son visage est inondé et ses nichons énormes sont recouverts de foutre chaud qui dégouline sur son ventre jusqu'à son nombril.

Les jeunes éjaculent par grosses saccades et la plupart sont vidés avant d'avoir pu l'enculer. Les derniers qui ont pu se retenir lui écartent les fesses et la sodomisent brutalement.

Fort heureusement pour ma mère, c'est loin d'être sa première sodomie et les bites rentrent dans son cul comme dans du beurre.

A ce moment, Jean-Luc ne peut plus se retenir et à son tour il se branle en voyant ma propre mère se faire enculer. Elle accompagne les va et vient par des ondulations du bassin. Les jeunes enfoncent leur queue tour à tour, à la chaîne et éjaculent de toute leur force dans ce trou du cul de bourgeoise qu'ils se plaisent à défoncer. Ma mère gémit de bonheur à sentir cette semence chaude remplir ses entrailles. Cela lui plait d'être prise de cette façon et de se sentir soumise à ces jeunes.

Epuisés, Les jeunes laissent ma mère reprendre ses esprits. On a l'impression que son visage est recouvert d'un mascara de sperme. Ce qui est dommage, c'est qu'il soit mélangé à son beau maquillage. Ses gros seins en sueur sont enduits de sperme. Elle en a également sur le ventre. Son anus est en feu car les jeunes étaient fougueux et ils n'y sont pas aller de mains mortes.

- Toi, t'es une sacrée salope! Un véritable garage à bite!

Ma mère ne réagit pas aux insultes. On la relève.

- Ce serait dommage de ne pas profiter un peu plus longtemps de cette salope aux gros seins, vous croyez pas?

Tous sont d'accord et la forcent à rentrer à nouveau dans la voiture. L'intérieur pue la cigarette, l'alcool et les substances prohibées. La musique est assourdissante. Pendant le trajet, les jeunes n'hésitent pas à la peloter, à la doigter et à lui caresser les seins.

Nous décidons de suivre le véhicule et nous nous précipitons vers la voiture d'Éric. Nous prenons vraiment des risques car pour pas nous faire repérer, nous roulons phare éteint. Au bout d'un quart d'heure, leur voiture arrive dans une cité que je connais bien puisque c'est ici que j'ai connu ma copine Lucy. Nous nous garons un peu devant et nous sortons du véhicule. Leur véhicule se gare et les jeunes en sortent. Ils tirent maman hors de l'auto. Elle boit une bière. Comme elle est secouée, l'alcool lui éclabousse le visage et coule sur ses nichons.

- T'inquiète la bourge, y'en a plein d'autres et c'est gratuit pour toi.

Les voilà qui entre dans un HLM, direction les caves. Maman, à poil, les suit sans la moindre hésitation. Elle sait ce qu'il l'attend et ne veut pas se défiler, bien au contraire. La voilà contente à l'idée de se faire violer dans ce lieu. Il fait froid et l'odeur y est infect.

Ils arrivent dans une cave où l'on peut entendre des rires. Au bout, il y'a une bonne quinzaine de jeunes de toutes nationalités et sévèrement entamés par l'alcool. Il y'a un matelas pourri plaqué contre le mur. Le sol est jonché de détritus divers : on y trouve des mégots de cigarettes, des bouteilles vides, des sacs plastiques et même des capotes usagées. Une véritable porcherie. Les murs sont humides, délabrés, recouverts de graffitis mal foutus.

Nous parvenons à les suivre tout en nous tenant à distance raisonnable. La visibilité n'est pas des meilleures. Mais on ne peut aller plus loin de peur de se faire surprendre.

Dans la cave, tous les jeunes reluquent le corps de ma mère et tous sont complètement fascinés par son opulente poitrine. On lui a de nouveau tendu une bouteille de bière qu'elle vide presque d'un trait.

- Les gars ne vous gênez pas, c'est une vraie salope! une pro du cul! Et en plus, elle a traité Mourad de ...

- Quoi? tu n'aimes pas les Arabes on dirait! Espèce de bourgeoise fasciste! Faites la boire cette salope, on va lui montrer, pas vrai les gars?

Concentrés sur la scène, nous n'entendons pas les pas derrière nous. Soudain, nous voilà bousculés et frappés par une bande de jeunes de la cité qui rejoignaient leurs copains. On nous emmène devant la petite assemblée. Ma mère, horriblement gênée, s'écrit :

- Julien? mais qu'est-ce que tu fais ici?

- C'est quoi cette histoire? Tu les connais ces trois-là?

Ma mère répond toute tremblante :

- Bien sûr, Julien est mon fils et ces trois-là sont ses copains d'enfance.

Le blanc à la casquette dit :

- Mais vous nous avez suivis de la boite jusqu'ici. Ce qui veut dire que vous avez tout regardé. Tu as regardé ta propre mère se faire violer sans rien faire. Quel pervers, je n'ai jamais vu ça! Mais tu n'inquiètes pas, tu vas pouvoir te rincer l'œil, crois-moi.

Le gars à la casquette pousse ma mère vers les jeunes. Ceux-ci s'emparent d'elle sans délicatesse et recommencent à la tripoter. Tous veulent toucher ses gros seins et ce sont des dizaines de mains qui lui malaxent les nichons. La chose est faite de manière rude et cela devient douloureux pour sa poitrine malmenée. Les jeunes s'en fichent et continuent à l'assaillir de toute part. Ils n'hésitent pas à tirer sur ses énormes seins comme des sacs à patate.

Elle est entraînée sur le matelas qui est par terre maintenant. Là, les jeunes lui écartent les bras et les jambes. Elle est comme écartelée sur le matelas, ses orifices bien à la vue de tous. Les gars sont toujours affairés sur ses seins décidément si gros. Cette fois, ils les lèchent, les sucent et les embrassent de manière si vigoureuse que l'on voit la marque des suçons. Cela ne l'empêche pas d'être doigtée à plusieurs reprises à la fois dans son anus et son vagin.

La scène est vraiment perverse car on a l'impression d'une bande de fauve se disputant une proie sans défense. L'un d'entre eux grimpe sur elle, s'accroupit au niveau de sa poitrine et glisse son énorme sexe entre ses deux nichons. Il entame une branlette entre les deux grosses loches de ma mère à sa merci. Il presse les énormes seins autour de sa queue et effectue des va-et-vient. Il finit par lui éjaculer dessus. Sa grosse poitrine est inondée à nouveau ainsi qu'une partie de son visage.

Un autre la pénètre par le vagin et se libère de façon bestiale, répandant sa semence dans les entrailles de ma génitrice.

Afin de l'exciter davantage, on la force à boire une bouteille de bière. La bouteille est aussitôt remplacée par la queue d'un jeune excité. La voilà en train de sucer un mec qui ne tarde pas à lui inonder le gosier de son foutre chaud. On lui écarte encore plus les cuisses et on expose son sexe.

- Regardez cette belle toison, je me demande combien de bites ont pénétré à l'intérieur?

Un autre reprend :

- Moi je me demande la taille qu'elle pourrait supporter.

Là il finit sa bière et introduit la canette dans le sexe de ma mère dont le corps est assailli de toute part. On la relève et cette fois, elle a droit à une canette dans l'anus sous les rires pervers de l'assemblée.

- Allez la bourgeoise, essaie de marcher un peu.

On la fait boire à nouveau et, à moitié ivre, elle marche avec les deux bouteilles dans ses orifices. On la force à se remettre à quatre pattes et la voilà repartie à engouffrer des bites à la chaîne.

Entre temps, d'autres jeunes sont arrivés et participent à la fête. Sa bouche semble insatiable et le sperme gicle à flots. Après lui avoir retiré les bouteilles, les jeunes se relayent et l'enculent sauvagement. Sa bouche et son anus sont en feu mais cela ne l'empêche pas de gémir de bonheur.

Heureuse, elle se laisse à nouveau allonger sur le matelas. Là, ceux qui ont encore de la force se mettent en cercle, se branlent et lui offrent un magnifique bain de sperme. La semence lui coule sur tout le corps et elle s'en badigeonne les cuisses, le ventre et ses gros seins. Soudain elle s'écrie :

- Pissez-moi dessus, allez-y! Vite!! je vous en supplie!

Les jeunes sont abasourdis devant une telle perversion mais se ressaisissent vite. Ils se repositionnent à nouveau autour d'elle et lui urinent dessus. Mes copains et moi observons la scène avec dégoût, l'urine se mélangeant au sperme, à la sueur et à l'alcool. Nous la voyons même boire la pisse d'un de ses partenaires.

Ma mère est méconnaissable. Son corps nu est entièrement souillé de la tête au pied. Ses orifices en feu dégoulinent de sperme et elle gémit de bonheur se sentant bien pleine. Les jeunes désertent un à un la cave, épuisés mais heureux d'avoir pu humilier et baiser cette bourgeoise qui n'est autre que ma mère.

L'homme à la casquette me regarde :

- Eh ben, ta mère c'est une belle salope. Je n'ai jamais vu ça. On vous laisse partir mais à condition que tu donnes ton adresse pour qu'on lui rende visite de temps en temps.

-

Ma mère, qui se remet à peine de ses émotions, se relève décidée et c'est elle même qui lui donne l'adresse où nous habitons. Heureux, le jeune s'éloigne et va donner l'information à tous ses amis du quartier qui ne manqueront pas de venir lui rendre une petite visite de temps à autre.

- Maman, tu es complètement folle d'avoir fait ça.

Ma mère, toujours nue et ruisselante de souillure, nous dit seulement qu'il est temps de rentrer. Elle invite même mes copains à dormir à la maison.

Le lendemain, ma mère et mon père sont levés les premiers. Papa n'a rien remarqué cette nuit, il dormait trop profondément. Ma mère a fait un brin de toilette en revenant ce matin avec nous et s'est glissée discrètement dans le lit conjugal.

Elle porte un peignoir. Mon père remarque les cernes de maman :

- Chérie tu n'as pas bien dormie?

- Un peu d'insomnie à cause du vin d'hier soir au restaurant sans doute, mais j'irai faire une sieste cet après-midi.

Mon père est de bonne humeur :

- Je vais faire un saut à la boite et je serais là vers 16h00. On ira en balade après.

Ma mère lui sourit et lui dit :

- Prends ton temps mon chéri!

Sur ce, ils s'embrassent et mon père part bosser un dimanche matin. Mes copains et moi nous réveillons à peu près en même temps. Nous rejoignons maman dans la cuisine. Elle a enlevé son peignoir et se trouve en nuisette transparente et sans sous-vêtements.

- Bonjour les petits vicieux!

Personne ne dit rien mais tout le monde a le regard scotché sur l'énorme poitrine aux larges auréoles brunes bien visible à travers le fin tissu. On se chope tous une gaule de folie. Ma mère continue :

- J'espère que personne n'entendra parler de ce qui s'est passé cette nuit.

Mes amis jurent qu'ils ne diront rien.

- Bon, puisque vous êtes gentils, je vais vous faire une gâterie.

Elle enlève sa nuisette et se retrouve à poil devant nous. Elle enfourne le sexe d'Éric dans sa bouche et branle Jean-Luc. Ils ne mettent pas longtemps à éjaculer. Bien sûr, ma mère n'en perd pas une goutte.

- Vous voilà dans la confidence maintenant. Désormais, vous aussi, vous pourrez venir me voir si vous avez besoin de quelque chose. Dit-elle en souriant.

Ma mère mène maintenant une intense vie sexuelle. Sur Nantes, elle reçoit des jeunes en journée dans la maison familiale. En règle générale, elle les reçoit à des heures particulières pour éviter que mon père se doute de quelque chose.

Elle est souvent en peignoir mais totalement nue en dessous. Selon ce qu'elle me dit, ça défile de plus en plus chez nous et les jeunes se donnent le mot. Il lui arrive même d'aller faire des courses l'après midi et de bifurquer vers la cité. Elle n'a pas peur de se promener dans les quartiers les plus chauds outrageusement maquillée, en mini-jupe et en chemisier transparent au large décolleté mettant en valeur son opulente poitrine.

Inutile de vous dire qu'il lui arrive très souvent d'être entraînée dans une cave où elle subit les derniers outrages mais pour son plus grand plaisir.

Rassurez-vous, elle continue de venir régulièrement dans mon studio et fait toujours le trottoir. Elle a rendez-vous fin Novembre pour se faire grossir les seins. En attendant, elle fréquente assidûment les instituts de beauté car son corps est devenu très important pour elle. Comme vous pouvez le constater, ma mère est devenue une femme très active, passionnée par le sexe. Pour le moment, je n'ai pas de nouvelle en ce qui concerne un éventuel film de cul fait avec elle comme actrice principale.

Ce qui est sûr, c'est que bien des malheurs l'attendent et elle n'en a pas fini de toucher le fond...

A suivre......

samedi 21 juillet 2018

Abusée Ch. 14

Abusée - récit érotique  domination soumission professeur chantage

Traduction d'une histoire de Jessiebnh.

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J'assume mon côté salope...

Alors que nous étions tous les trois vautrés en face de la lumière vacillante de la télévision, la vidéo obscène faite par Glen continuait silencieusement, montrant mon comportement de prostituée à la fête de la fraternité. Glen regarda mon mari et rigola. Je jetai un regard sur le pauvre Mike. Il ressemblait à un petit garçon, sa petite bite maintenant dégonflé dans sa braguette ouverte. Il semblait hypnotisé par mes performances à l'écran. Je fus désolée pour lui que Glen m'ait exposée comme la vide-couille que j'étais devenue. Cette transformation était encore plus obscène car Mike m'avait toujours vu comme une femme guindée et une professeure d'école sévère. Je n'avais jamais offert à mon mari cette activité sexuelle sauvage qu'il voyait à la télévision. Au contraire, depuis quelques semaines j'avais caché mes activités de pute et esclave sexuelle de Glen.

Je me déplaçai lentement vers Mike, ondulant mon corps comme un serpent. Je me sentais puissante et joueuse. Je pris sa tête entre mes deux mains et je commençai à l'embrasser avec ma bouche couverte de sperme. Quand je poussai ma langue dans sa bouche, il eut le souffle coupé en se rendant compte qu'il goûtait le sperme de Glen et le nettoyage de son cul. Lentement son dégoût devint de la passion et sa langue pénétra ma bouche. Je sentis encore l'odeur de mes frasques passées à l'école. Je sentais une combinaison de sperme et de sueur. L'odeur était salée et faisandée, celle d'une chienne en chaleur. Je frottai mon entrejambe sur la cuisse de mon mari et je laissai une traînée gluante. Nous nous embrassions fougueusement, explorant nos bouches avec nos langues. Je baissai une main et je sentis le membre épuisé de mon mari commencer à grossir. Mike était passif, mais il gémissait d'impatience. Glen nous contemplait avec une lueur de jalousie dans les yeux.

- Mike, vas-tu laisser cette salope faire de toi ce qu'elle veut? Dit-il doucement mais malicieusement.

Je reculai et je regardai Mike en me demandant comment il allait réagir.

- Nous devons lui montrer comment nous traitons les salopes qui trompent leur mari. Ajouta Glen avec un regard dur.

- Fouettons son cul pour lui montrer! Déclara Mike d'une voix monocorde tout en me regardant avec un sourire en coin.

- Tu as entendu ton mari salope! Mets ton cul sur ce pouf!

Glen se leva rapidement et m'attrapa par les cheveux et il me traîna à travers la pièce.

J'étais choquée, je ne savais que faire ou que dire. J'avais l'impression d'être paralysée. Oui me dis-je, je suis une salope, je mérite d'être punie. Qu'on me punisse pour mes péchés, qu'on me fasse expier de mes crimes envers mon mari.

Glen me jeta sur le ventre à travers le pouf. Je l'entendis retirer sa ceinture de son jean et je le vis la tendre à Mike. Il souleva ensuite mon gilet pour bien exposer mon cul nu. Je sentais encore l'odeur fade du sperme mélangé avec mon jus naturel qui fuyait maintenant de ma chatte excitée. Avec honte, je compris que les deux décharges de sperme prise plus tôt dans la soirée lors de ma double pénétration s'ajoutaient à l'arôme enivrant émanant de ma chatte exposée.

Mike se leva comme un zombie. Il remit sa bite dans son pantalon et il attrapa la ceinture de Glen. Mes yeux s'ouvrirent en grand :

- Mike, Mike, S'il te plaît ne me fais pas mal!

Ma voix sonnait comme celle d'une petite fille suppliante.

« SCHLACK » La sangle me frappa durement en travers du cul. Ce fut un bruit sec qui me poussa contre le pouf. Au début je fus étonnée puis choquée par les actions de mon mari qui était autrefois si doux. Mike ne m'avait jamais menacé et encore moins frappé. Mais là, aiguillonné par le jeune garçon sadique, il venait de me battre brutalement avec une ceinture en cuir. Choquée, je ne sentis presque pas la douleur malgré la violence du coup. Je me souviens avoir pensé : « Est-ce que ça fait mal, je n'ai pas mal ». Puis « SCHLACK » un second coup. Tout d'un coup, mon cul commença à brûler comme si quelqu'un y appliquait un fer chaud.

« SCHLACK » La sangle me frappa une troisième fois, cette fois-ci sur la partie supérieure des cuisses. Je commençai à sentir des zébrures se former à travers mon cul. Ensuite, les coups augmentèrent. Le rythme m'hypnotisa. Je me sentis connectée à mon mari par le bout de la ceinture en cuir d'un côté et mon cul douloureux de l'autre. Enfin les coups cessèrent. Le salon devint silencieux. Une chaleur chaude émanait de mes fesses. Je me sentis prête pour une séance de baise.

Mais « SCHLACK » un autre coup tomba. L'air fut expulsé de force de mes poumons par la violence de ce coup plus brutal. Lorsque j'entendis Mike balancer son bras en arrière, j'essayai de remplir mes poumons. « SCHLACK », de nouveau l'air fut expulsé de mes poumons. Ma tête devint légère et mon monde s'effondra tout doucement. Je pensai « Oui frappe-moi, punis-moi, bats cette salope, fais-moi autant mal que je le mérite ». La main de Glen appuyait fermement sur mon dos pour me tenir en place. Je sentis sa main droite se faufiler sous mes hanches et son index charnue chercher les lèvres de ma chatte. A cet instant, mes sensations étaient réduites à mon cul brûlant et ma chatte gorgée de sang. Tout le reste autour de moi n'existait pas.

Mike était maintenant sans pitié. Il continuait à me battre avec la ceinture comme un possédé. Le coup suivant tomba près de ma chatte humide. Je sentis mon jus de salope couler le long de mes cuisses. Ma chatte enflait et mon clitoris pointait. Je sentis le doigt de Glen sonder sans relâche ma fente humide, ouvrant mon intimité devant mon mari enragé, et exposant ainsi ma honte d'avoir la chatte remplie de sperme. Je fermai les yeux et je partis dans un autre monde, un monde de plaisir et de douleur, de soumission et domination, mais surtout un monde d'humiliation et de honte.

Mon monde se réduit. Ma seule réalité était le son de la ceinture et le plaisir et la douleur dans mes tripes. J'étais dans un « sous-espace » où je flottais loin de mon humiliation et de ma honte.

Dans le brouillard de ma tête, je me rendis compte que le son de la sangle s'abattant sur mon dos s'était arrêté. Je sentis qu'on me retournait sur le dos et que l'on attachait des liens à mes poignets, mes chevilles et mes cuisses. Un bandeau fut posé sur mes yeux. Je fus désorientée et tendue dans l'attente de la suite. Je tournai ma tête d'un côté sur l'autre, mais je ne pus voir que la noirceur du bandeau sur mes yeux. L'odeur de mon excitation féminine était maintenant mélangée avec l'odeur indescriptible de l'envie masculine. C'était une odeur faisandée de sueur acre et musquée. Mes mollets furent attachés à mes cuisses. Je sentis qu'un manche à balai était enfilé derrière mes genoux et attaché de façon que mes jambes soient bien ouvertes et ma chatte bien exposée. Mes poignets furent ensuite fixés aux extrémités du balai à côté de mes genoux largement écartés.

Quelqu'un commença à gifler mes seins tout en m'insultant : « salope » « CLAC » « sale pute » « CLAC » « traînée » « CLAC » ... Mes mamelons se dressèrent et durcirent, annonçant clairement mon excitation à cette humiliation. Je sentis quelqu'un s'accroupir sur moi, des jambes poilues frôlant mes épaules. On releva ma tête et une bite fut forcée dans ma bouche. On me baisa le visage sans ménagement. J'essayai du mieux possible de sucer cette queue, mais on la poussait de force dans ma bouche. J'étais violentée. Ma bouche était violée. La bite fut plusieurs fois retirée de ma bouche quand j'étouffai. Je crachai alors de longs filaments de salive. Ensuite la queue était replongée dans ma gorge jusqu'à ce qu'une paire de couilles frappe mon menton.

- Tire la langue salope! Lèche mes couilles pendant que ma bite est dans ta gorge de pute.

Paniquée, j'essayai de forcer le passage entre ma lèvre et le dessous de la bite pour lécher les boules de poils posés sur mon menton. J'espérai que mon obéissance me permette de gagner un peu d'air. J'étais vraiment utilisée comme la salope que j'étais devenue. J'étouffai et je fus étourdie par le manque d'air.

Une main commença à gifler ma chatte. J'essayai de crier avec la bite dans ma bouche.

- NON, NON, NON! Marmonnai-je alors que la queue glissait facilement dans ma gorge.

La douleur dans ma chatte envoya des impulsions à mon cerveau : Douleur, claque, plaisir, claque, douleur, claque, plaisir. Mon clitoris était tellement gorgé de sang que je crus qu'il allait éclater. Même dans ma détresse profonde, je pus sentir l'odeur d'excitation inexplicable émanant de ma chatte. J'étais prête à être utilisée sexuellement. Mon corps me trahissait, montrant à ces hommes dont l'un était mon mari, que ce traitement brutal ne faisait qu'attiser mon besoin animal d'être baisée.

- Baisons cette chienne! Dit une voix avec jubilation.

La bite sortit de ma bouche et le pouf fit demi-tour. Mon intimité fut sondée. Je sentis la tête épaisse d'un pénis fendre les lèvres de ma chatte gonflée et s'enfoncer brutalement en moi. Mon clitoris fut attiré à l'intérieur par le mouvement jusqu'au moment où le membre toucha le fond de ma chatte. Je sentis une paire de couilles claquer contre mon cul. L'homme commença à baiser ma chatte en rythme. Il tint le balai et me tira sur sa queue, m'utilisant comme un simple trou à pénétrer. J'étais sans défense contre ce traitement violent. La pièce devint floue et tout mon être était canalisé sur mon sexe.

- Oui, baise-moi! Baise la salope! Baise-moi violemment!

Alors que j'étais pilonnée sans pitié, je sentis la douleur de pinces à mamelons appliquées sur mes tétons pour les faire durcir. La douleur fut violente au début, mais elle partit pour laisser une sensation trouble qui s'étendit de mes mamelons à mon clitoris, une sensation qui ne pourrait être apaisée que par un orgasme. On lia les petites chaînes attachées aux pinces au balai. Et quand la personne qui me baisait tirait sur le manche, mes tétons étaient péniblement étirés puis relâchés. Je m'entendis sangloter, mes larmes étant absorbées par le foulard de soie noué autour de mes yeux.

Je commençai à halluciner et je me représentai sur la scène de l'auditorium de mon école. Marianne SMOLEN était vers le podium et je pouvais entendre les voix vicieuses de mes étudiants, filles et garçons qui me huaient et me sifflaient.

- Maintenant, les garçons et les filles, vous allez voir ce qui se passe pour les femmes qui deviennent des salopes avides de bites. Mme BONHAM est punie pour son comportement inconvenant. Clem, ouvrez le rideau!

Je m'imaginais que le pouf était sur une table qui tournait lentement au centre de la scène de l'auditorium, m'exposant ainsi à l'ensemble du corps étudiant. J'étais ligotée comme une cochonne, exposant vulgairement mon intimité à tous. Glen et mon mari Mike étaient debout à côté de moi, arborant d'énormes érections, des gouttes pré-éjaculatoires sur leur gland. Je paniquais et j'avais un gigantesque sentiment de honte en pensant que tous les élèves regardaient ma nudité exposée et le sexe de mon mari.

Une première bite me pénétrait. J'entendais le public, dirigé par la voix railleuse de la vice-principale, commencer à chanter en rythme avec les coups de hanches que je recevais. La voix de Marianne SMOLEN était incompréhensible. Mais le grondement profond qui sortait de sa bouche ainsi que les chants de la foule brassaient mes tripes et augmentaient mon excitation. Je l'entendais dire des choses ignobles sur ma personne. Elle me narguait, encourageant l'assemblée à m'insulter et m'avilir et à encourager les deux hommes à me baiser et à abuser de moi.

Je pouvais sentir un orgasme se former dans mon ventre, mais je me battais pour qu'il n'arrive pas. Je ne voulais pas jouir et avoir honte devant l'assemblée. Je voyais Marianne conduire Clem jusqu'à moi, son énorme queue se balançant en dehors de son pantalon de travail. Elle saisissait le membre épais avec ses deux mains et criait :

- Pissez sur la salope Clem!

La foule était en délire et je fermais les yeux en attendant la pisse éclabousser mon visage et mes seins. La foule acclamait le concierge.

Soudain, une voix familière me tira de ma rêverie :

- Ouvre ta bouche salope!

J'ouvris mes yeux, m'attendant à voir le visage de Marianne SMOLEN. Mais je vis Glen à la place. Mon bandeau avait été enlevé et son visage était à l'envers. Il me regardait méchamment pendant que mon mari labourait ma chatte humide et déjà bien utilisée. Je sentis une claque sur ma joue et les yeux mouillés de larmes, j'obéis. J'ouvris la bouche et Glen cracha dedans.

- Tiens putain de salope, avale! Dit-il.

Je fus mortifiée. Glen venait de cracher dans ma bouche devant mon mari. J'essayai de pousser le mollard gluant avec ma langue tout en refermant ma bouche. J'entendis la voix de mon mari :

- Avale espèce de chienne!

Un autre crachat frappa mes lèvres et commença à couler dans ma bouche. Je continuai à fermer ma bouche mais une claque tomba sur mon autre joue. Alors j'ouvris la bouche comme un oisillon attendant d'être nourri par sa mère sans oser désobéir à ces hommes qui possédaient mon corps. Tous les deux, de concert, ils continuèrent à me cracher dessus. Je fus vaincue par l'humiliation. J'eus l'impression d'être tirée dans un trou noir. Je sentis un orgasme commencer à bouger au fond de mon ventre. Je paniquai. Je ne voulus pas que mon mari aimé s'aperçoive que ce traitement dégradant et obscène me poussait au bord de l'orgasme. Pendant un instant, je crus que si je pouvais m'empêcher de jouir, je pouvais cacher le fait que je désirais être soumise et subir ce traitement humiliant. Malgré ma résistance, la queue dans ma chatte bouscula mes entrailles presque jusqu'au point de non-retour.

Brusquement, la bite fut retirée de ma chatte, me laissant un grand vide à remplir. Au début, je fus soulagée mais la douleur dans mon ventre ne fit qu'exacerber mon besoin d'être baisée profondément. J'entendis ma voix supplier pour une queue :

- S'il vous plaît, s'il vous plaît, baisez-moi!

Je me débattis dans mes liens et, sans vergogne, j'essayai d'ouvrir mes jambes encore plus larges qu'elles ne l'étaient déjà. Mon humiliation et mon avilissement étaient maintenant terminée. J'avais pleinement accepté ma honte et ma dévalorisation.

Je sentis quelque chose de gros pousser contre les petites lèvres de ma chatte. J'essayai de me cambrer pour que ça entre plus facilement dans mon sexe mort de faim. Je levai les yeux et je vis Glen. Les veines de son cou étaient apparentes et son visage tout rouge. Il me regarda avec convoitise. Sa queue semblait si épaisse, si gorgée de sang. Elle était dressée et elle était pour moi. Malgré le fait évident que j'étais une femme infidèle, une salope, une pute, une vide-couilles, puant la pisse et la sueur, il me désirait toujours.

- S'il vous plaît Glen, baisez-moi avec votre belle bite!

Je mendiai sa queue devant mon mari. Mais je n'avais plus honte.

Tandis que la queue épaisse de Glen essayait de forcer ma chatte, je sentis la bite humide et ses couilles sur mon visage.

- Ouais, sale chienne, je vais baiser ta chatte de salope! Grogna Glen en enfilant son membre plus loin en moi.

Et bizarrement, je recommençai à avoir honte, mais cette fois-ci parce que Glen regarde mon mari essuyer sa bite sale sur mon visage.

- Nettoie-le sale pute! Commanda Glen.

En dépit de mes liens, je cambre le dos de mon mieux pour nettoyer la queue de Mike avec ma langue. Je peux goûter ainsi le sperme faisandé de la soirée à l'école. Aussi répugnant que ce soit, je fus heureuse d'effectuer mon devoir d'épouse et de bien lécher les couilles de mon mari. Avec application, j'aspire tout le liquide gluant sur les parties génitales de Mike.

- N'oublie pas son cul salope! Indique Glen alors que sa bite touche enfin le fond de mon vagin.

La bite et les couilles de mon mari se déplacèrent sur la gauche de mon visage pour être remplacées par son cul poilu. Il écarta les fesses avec ses deux mains et présenta son trou du cul à mon visage. Je tendis la langue et je léchai son anus, en espérant que Glen serait heureux de voir mon comportement de cochonne.

Attachée sur un pouf, mon esprit s'éclaircit et je commençai à apprécier la façon dont j'étais exposée et traitée. J'étais nue, immobilisée, complétement exposée à deux hommes, mes seins et ma chatte à leur disposition. Mon mari avait découvert ma chatte et mon trou du cul remplis de sperme plus tôt dans la soirée. Mes jambes étaient grandes ouvertes, invitant tout homme à m'utiliser comme un jouet de baise. Mon mari me regardait être profondément baisée par la grosse bite de son ami pendant qu'il m'obligeait à nettoyer sa bite et son cul en expiation de mon comportement de pute. Je n'étais plus la femme respectable qu'il avait épousée. La jeune professeure qui faisait un signe de tête fier à ses voisins alors qu'elle marchait à côté de son mari était devenue une vraie salope.

J'étais maintenant une pute couverte de foutre, une accro au sperme, qui était capable de réaliser les actes les plus vulgaires et obscènes, actes que je n'imaginais même pas il y a un mois.

Toutes ces pensées, l'avilissement, l'humiliation, l'acceptation d'être soumise aux actes les plus obscènes commença à m'étourdir. C'est comme si je tombais dans un puit sans fond. L'hypocrisie, le mensonge étaient finis, j'étais libre de tomber. C'est comme si des attaches avaient été coupées. Chaque nerf de mon corps commença à réagir au ralenti. Je pouvais sentir la bite de Glen gonfler à l'intérieur de moi, devenant de plus en plus grosse. Il éjacula et les spasmes de sa jouissance ondulèrent pendant que son sperme frappait mon col et m'emplissait de jus chauds. Je sentis que j'allais bientôt jouir aussi et je m'entendis crier :

- Baisez-moi comme la pute que je suis! Montrez à mon mari quel vide-couilles je suis. Baisez-moi comme une chienne en chaleur!

Mon corps se raidit et des éclairs éclatèrent derrière mes paupières closes. Mes yeux roulèrent dans ma tête et une chaleur monta dans mon ventre. Je jouis et je m'évanouis.

FIN. (Pour l'instant tout du moins)