Abusée - récit érotique domination soumission professeur chantage
Traduction d'une histoire de Jessiebnh.
*************
Retour à la maison.
J'éteignis mes phares avant de monter mon allée. Je ne voulais pas que mon mari m'attende à la porte et me vois dans cet état. Je stoppai le moteur et je laissai le silence de la nuit m'envelopper. Je vis la lumière bleue du téléviseur vaciller dans la fenêtre de mon salon. Une vague de culpabilité et de répulsion me traversa. Je fermai les yeux et baissai la tête sur le volant alors qu'une myriade de pensées passa dans ma tête. Il fallait que j'entre dans la maison sans avoir à saluer Mike mon mari. Je savais qu'il y avait cinquante pour cent de chance pour qu'il soit profondément endormi devant la télé. Il fallait que je me faufile et que je prenne une douche afin de cacher ma honteuse tenue à mon mari.
Je pris mon sac et j'ouvris doucement la porte du conducteur. L'air frais de la nuit frappa ma chatte nue sous mon gilet. En voyant la lumière sortant de la fenêtre du salon, j'eus une idée. Je décidai de me déplacer silencieusement derrière les buissons pour regarder par la fenêtre. Je me fondis dans l'obscurité en faisant attention d'être la plus discrète possible. J'espérai bien que Mike se soit endormi devant la télévision. Je posai mon sac contenant mes sous-vêtements à mes pieds, je mis mes mains sur le rebord et je me levai sur les orteils pour avoir une bonne vue de la pièce. Ce que je vis me fit paniquer.
Dans le salon je vis les silhouettes de deux hommes tenant des bières, faisant des gestes et riant de l'image sur l'écran de télé. Je guettai pour voir qui était avec mon mari. On aurait dit... Non, ça ne pouvait pas être... Merde, il n'y avait pas de doute, il s'agissait de Glen, ce gros salaud.
Regardant la télé, je pus voir que les deux hommes regardaient un genre de porno et passaient du bon temps. Mon sang commença à bouillir et la colère monta en moi. J'étais furieuse contre Glen pour oser venir chez moi après ce qu'il venait de me faire. Et j'étais furieuse contre mon mari Mike pour oser regarder des films pornos avec son ami. J'étais livide.
Tous mes sentiments de culpabilité et de honte disparurent en un instant. J'étais possédée. Je pense que je projetai ma culpabilité sur les épaules de mon mari et de Glen et je les blâmai tous les deux. Tout ce que je ressentais était une colère froide. Sans réfléchir, je pris mon sac à main, montai les marches du perron et entrai rapidement dans notre maison en espérant prendre ces deux pervers en flagrant délit.
Je marchai directement dans le salon et je laissai tomber mon sac à main avec un bruit sourd. Puis je me tins immobile, les mains sur les hanches. Les deux hommes discutaient et rigolaient.
- Que faites-vous Messieurs! J'avais dit « Pas de porno » dans cette maison!
Les deux hommes tournèrent leur attention vers moi. Ils me regardèrent avec des expressions muettes sur leurs visages. Glen leva sa bouteille de bière comme pour faire un toast et il eut un sourire moqueur.
- Notre princesse est arrivée. Dit-il d'une voix ivre.
Je l'ignorai et je regardai fixement mon mari avec colère. Je l'avais pris en flagrant délit et comme d'habitude, j'attendais qu'il me fasse des excuses comme un jeune garçon bégayant. Je comptai bien le rendre coupable puis me détourner et rapidement monter à l'étage, rejoindre ma chambre, fermer la porte et prendre une douche.
- Jess, bébé, ce n'est pas un porno. C'est juste un reportage sur la dernière fête de la fraternité. Viens t'asseoir avec nous sur le canapé, tu vas adorer.
Mike tapota le canapé et me regarda avec un sourire qui m'énerva. Avant que je puisse répondre, Glen bondit et m'accrocha le bras avec le sien puis il me tira vers le canapé. Je commençai à paniquer et j'essayai de dégager mon bras. Je me rendis compte à quel point je puais. Je ne voulais pas m'approcher de Mike, mais c'était trop tard. Mon mari se leva aussi et attrapa mon autre bras. Puis tous les deux me jetèrent sur le canapé comme une vulgaire poupée de chiffon. Ils se laissèrent tomber à côté de moi et passèrent leurs bras sous les miens si bien que je ne pouvais m'échapper.
Mon regard accrocha l'écran de télévision. Immédiatement je reconnus l'image. Il y avait une femme qui portait des talons hauts, des bas et porte-jarretelles. Elle était jambes écartées et attachée vulgairement aux pieds d'une table par les chevilles. On ne pouvait voir d'elle que son cul jusqu'à ses pieds, la partie supérieure de son corps étant caché par un rideau. Quand la caméra s'approcha, il fut clair que la femme était couchée sur la table, son sexe bien en évidence et un plug enfoncé dans son trou du cul. Je savais bien que c'était moi. Quelqu'un avait enregistré toute ma performance à la fête de la fraternité.
Ma bouche était sèche et mon cœur battait la chamade. Je ne pouvais bouger, mais mon esprit réfléchissait à cent à l'heure. « Reste calme » me dis-je. Mike avait été à cette fête et m'avait baisée dans cette position, mais il ne savait pas que c'était moi. Donc il n'y avait pas de raison qu'il le sache maintenant. Pourquoi Glen lui aurait-il dit?
- C'est dégoûtant! Dis-je sur la défensive en essayant de me tortiller pour me dégager des deux hommes, mais en vain.
- Dégoûtant mais excitant! Déclara Mike.
- Regardez ce qu'elle prend cette salope! S'exclama Glen.
Un grand jeune homme, ivre et tenant son pénis bien gonflé, sourit à la caméra, se retourna et planta sa grosse queue dans la chatte de la femme attachée. Un « hourra » de la foule des jeunes l'encouragea. Des cris de joie tels que « baise cette salope » ou « mets-lui tout » fusèrent. Il y eut un gros plan de son cul poilu alors qu'il déposait son sperme dans le ventre de la femme sans défense.
La caméra se déplaça sur le côté pendant que le jeune homme retirait lentement sa bite. Tous les trois nous regardâmes un long filet de sperme tomber de la chatte de la pauvre femme dans un grand bol en verre qui se trouvait entre ses jambes.
- Je crois bien qu'il s'agit de la neuvième ou dixième décharge. Dit Glen.
Les yeux des deux hommes étaient rivés sur l'écran alors que la caméra faisait un gros plan sur le sexe lisse de la femme, en se concentrant d'abord sur le plug planté dans son cul, puis sur la chatte gluante de sperme. Ensuite elle filma le bol rempli à moitié du sperme qui s'était échappé du sexe bien utilisé.
Je jetai un regard furtif à mon mari pour voir sa réaction. Comme un zombie, il regardait l'écran en attendant que le prochain garçon baise la « salope » comme ils l'appelaient. Ce fut alors que je remarquai que Mike avait sorti sa queue et était en train de la caresser. Je réalisai aussi que ma chatte mouillait. De me regarder être humiliée de cette façon m'excitait.
- J'ai besoin qu'on me suce la queue. Dit Glen sans s'adresser à personne en particulier.
Il continua à regarder l'écran. Je le sentis bouger à côté de moi et je lui lançai un regard furtif. Il avait débouclé sa ceinture et il poussait son pantalon vers le bas sur ses cuisses, révélant ainsi sa superbe grosse queue qui se mit debout instantanément. Inconsciemment je commençai à me lécher les lèvres. Je sentis un picotement dans mon bas-ventre, l'appel du sexe.
J'essayai de détourner les yeux de la bite de Glen et de revenir à la télé où une scène encore plus érotique était diffusée. C'était le costaud poilu, celui qui m'avait donné le premier orgasme de la nuit. J'écoutai la voix de l'homme à la caméra quand il zooma sur la bite du garçon.
- Regardez la taille de cette chose! Dit le cameraman en aparté.
Il zooma en essayant de se concentrer sur ce qui ressemblait à une matraque de police poilue.
- Quelle est la grosseur de cette chose? Demanda-t-il.
Le jeune gars était trop occupé pour répondre. Il s'avança jusqu'à la « salope », son énorme membre dans une main, le pantalon autour des chevilles.
- Je vais baiser cette salope à fond! Dit-il en grimaçant à la caméra.
Tous trois, nous regardâmes le garçon costaud positionner le gland de sa bite sur le trou à baiser et le passer de haut en bas, à la fois pour taquiner la femme mais aussi pour la lubrifier avec le sperme et le jus féminin mélangés. Je ressentis des mouvements de chaque côté de moi alors que les deux hommes se caressaient en attendant de voir le jeune garçon introduire son gros gourdin dans la chatte bien ouverte.
Lentement, il fit pénétrer sa queue. Je fermai les yeux en me rappelant de la satisfaction que j'avais éprouvée quand ça s'était réellement passé. Je me retins d'accompagner les hommes dans leur masturbation. A ce moment-là j'aurais bien fourré une aubergine dans ma chatte. J'étais désespérée de ne rien avoir dans mon sexe.
- J'ai vraiment besoin qu'on me suce la queue.
Il s'agissait une nouvelle fois de Glen. Mais sa voix était impatiente et en colère. Il tenait sa grosse queue dans la main et me regardait dans l'attente.
- Tu as entendu l'homme! Il a besoin qu'on lui suce la queue! Alors suce salope! Dit Mike avec impatience.
Avec ses mots, mon mari appuya sur ma tête et commença à la forcer vers le bas vers la queue de Glen. J'essayai de résister et je me tortillai. Pourtant je voulais sucer Glen, faire courir ma langue le long de son membre. Je voulais qu'il pénètre ma bouche afin que je sente sa bite chaude dans ma gorge. Mais je ne voulais pas le faire devant mon mari.
C'est à ce moment que je me rendis compte que Mike savait. Merde, il savait tout sûrement depuis le début! Il savait que j'étais la salope de Glen, que j'étais la femme que nous regardions à l'écran, que j'étais la plus répugnante, la plus dégénérée putain que la terre ait connue. Je commençai à me sentir petite et insignifiante, comme si je n'étais rien, comme si tout ce que j'avais fait auparavant ne comptait pas. Je m'étais humiliée et exposée comme une salope avide de sperme devant mon mari aimant et fidèle.
Ma chatte me brûlait, elle voulait être caressée, frottée, pénétrée et étirée. Je fis passer mon gilet au-dessus de ma tête et je me retrouvai nue entre les deux hommes. Ensuite, je pivotai sur le canapé pour me retrouver entre les jambes de Glen. Je tirai sur son pantalon. Puis je saisis sa queue magnifique et je la berçai avec amour. C'était cette chose qui m'avait séduite et m'avait amenée dans cette vie de débauche et de péchés. Lentement je baissai la tête avec envie.
Alors que j'ouvrai la bouche pour engloutir la queue du jeune homme, je regardai mon mari Mike. Ses yeux étaient vitreux, il avait l'air d'être dans un autre monde. Tandis que mes lèvres se rapprochaient de leur objectif, je vis que mon mari accélérer les mouvements de sa main sur sa bite. J'engloutis le membre de Glen et je fermai les yeux. Lentement, j'avalai totalement la grosse queue jusqu'à ce que ses couilles touchent mon menton. Les yeux de Mike s'ouvrirent avec étonnement en regardant ma gorge prendre toute la queue de Glen sans aucun problème. Il faut dire que durant toutes les années de notre mariage, je ne lui avais jamais fait la même chose.
Voulant montrer à Mike quelle véritable salope j'étais, je forçai ma langue à sortir et à essayer de lécher les boules de Glen. J'entendis mon mari gémir quand ma langue remua sous la bite de Glen.
Le jeune garçon attrapa le dos de ma tête et retira lentement toute la longueur de sa queue de ma bouche et de gorge. Mes yeux pleurèrent et de la salive coula sur mes joues. Je me sentais vraiment comme une chienne, un trou à utiliser pour le plaisir de tout homme.
- Lèche mes couilles! Dit Glen d'une voix calme alors que les bruits de la fête sortaient du téléviseur.
Mon mari cessa de se masturber et me regarda d'un air incrédule. Je n'avais jamais léché ses couilles, il n'avait jamais osé me demander de faire cette chose dégoûtante.
Je tins la queue scintillante et raidie de Glen avec deux doigts d'une main et je caressai doucement ses couilles avec l'autre. Glen releva ses pieds du sol pour les poser sur le canapé de chaque côté, présentant ainsi ses boules et son trou du cul à mon visage. Mon mari était dans l'expectative. Il ne dit rien et recommença à se masturber.
Je commençai à lécher les couilles de Glen, les gobant et les humidifiant. Je fermai les yeux en m'appliquant, suçant une boule après l'autre dans ma bouche. Je prenais soin des boules d'un autre homme devant mon mari. Je regardai discrètement Mike tout en obéissant au pervers qui me possédait sexuellement.
- Maintenant mets ta langue dans mon trou du cul salope! Montre à ton mari quelle pute tu es vraiment!
Sur ces mots, Glen poussa son cul vers moi et écarta ses fesses avec les deux mains. Mon mari se branlait avec encore plus d'énergie en prévision de ce qui se passerait ensuite. Pour ne pas décevoir les deux hommes, je plongeai ma langue dans son anus, savourant le goût salé et viril. Je fis une pause pendant une seconde et je regardai fixement mon mari avec un air de défi tout en tenant la grosse bite de Glen d'une main.
- Allez salope, enfile ta langue dans mon cul!
Ça y était. Mike gémit et jouit. Il se leva aussi haut qu'il le pouvait dans le but d'asperger mon visage. Son premier jet de sperme frappa mon nez, les deuxième et troisièmes jets tombèrent sur le cul et les couilles de Glen. Je n'avais jamais vu mon mari jouir aussi puissamment. Mon cœur se serra un peu quand je compris que ses giclées de sperme étaient une approbation de mon comportement de pute.
Ma main descendit vers le bas entre mes jambes et je commençai à frotter mon clitoris avec fureur. Avec ma petite langue rose, je nettoyai férocement le sperme couvrant le cul et les couilles de Glen. Les deux hommes me regardaient lécher jusqu'à la dernière goutte de semence de mon mari.
Je branlai la queue couverte de salive du jeune garçon pendant que j'explorai son trou du cul avec ma langue tout en me caressant moi-même. Quelques secondes plus tard, la bite de Glen gicla du sperme en l'air comme un geyser. Je remontai rapidement sur son membre en éruption afin d'essayer de capturer chaque goutte précieuse de son foutre. Je titillai plus durement mon clitoris tout en continuant mon nettoyage du garçon, avalant chaque goutte et léchant sa queue avec adoration.
Une dizaine de secondes plus tard, j'eus un orgasme. Je perdis toute force dans les jambes et je dus m'appuyer sur les cuisses musclées de Glen. A travers mes yeux à moitié fermés de femme repue, je vis mon mari qui tenait sa bite molle et qui me regardait avec satisfaction. Je sus alors que notre relation ne serait plus jamais la même.
A suivre...
Je pris mon sac et j'ouvris doucement la porte du conducteur. L'air frais de la nuit frappa ma chatte nue sous mon gilet. En voyant la lumière sortant de la fenêtre du salon, j'eus une idée. Je décidai de me déplacer silencieusement derrière les buissons pour regarder par la fenêtre. Je me fondis dans l'obscurité en faisant attention d'être la plus discrète possible. J'espérai bien que Mike se soit endormi devant la télévision. Je posai mon sac contenant mes sous-vêtements à mes pieds, je mis mes mains sur le rebord et je me levai sur les orteils pour avoir une bonne vue de la pièce. Ce que je vis me fit paniquer.
Dans le salon je vis les silhouettes de deux hommes tenant des bières, faisant des gestes et riant de l'image sur l'écran de télé. Je guettai pour voir qui était avec mon mari. On aurait dit... Non, ça ne pouvait pas être... Merde, il n'y avait pas de doute, il s'agissait de Glen, ce gros salaud.
Regardant la télé, je pus voir que les deux hommes regardaient un genre de porno et passaient du bon temps. Mon sang commença à bouillir et la colère monta en moi. J'étais furieuse contre Glen pour oser venir chez moi après ce qu'il venait de me faire. Et j'étais furieuse contre mon mari Mike pour oser regarder des films pornos avec son ami. J'étais livide.
Tous mes sentiments de culpabilité et de honte disparurent en un instant. J'étais possédée. Je pense que je projetai ma culpabilité sur les épaules de mon mari et de Glen et je les blâmai tous les deux. Tout ce que je ressentais était une colère froide. Sans réfléchir, je pris mon sac à main, montai les marches du perron et entrai rapidement dans notre maison en espérant prendre ces deux pervers en flagrant délit.
Je marchai directement dans le salon et je laissai tomber mon sac à main avec un bruit sourd. Puis je me tins immobile, les mains sur les hanches. Les deux hommes discutaient et rigolaient.
- Que faites-vous Messieurs! J'avais dit « Pas de porno » dans cette maison!
Les deux hommes tournèrent leur attention vers moi. Ils me regardèrent avec des expressions muettes sur leurs visages. Glen leva sa bouteille de bière comme pour faire un toast et il eut un sourire moqueur.
- Notre princesse est arrivée. Dit-il d'une voix ivre.
Je l'ignorai et je regardai fixement mon mari avec colère. Je l'avais pris en flagrant délit et comme d'habitude, j'attendais qu'il me fasse des excuses comme un jeune garçon bégayant. Je comptai bien le rendre coupable puis me détourner et rapidement monter à l'étage, rejoindre ma chambre, fermer la porte et prendre une douche.
- Jess, bébé, ce n'est pas un porno. C'est juste un reportage sur la dernière fête de la fraternité. Viens t'asseoir avec nous sur le canapé, tu vas adorer.
Mike tapota le canapé et me regarda avec un sourire qui m'énerva. Avant que je puisse répondre, Glen bondit et m'accrocha le bras avec le sien puis il me tira vers le canapé. Je commençai à paniquer et j'essayai de dégager mon bras. Je me rendis compte à quel point je puais. Je ne voulais pas m'approcher de Mike, mais c'était trop tard. Mon mari se leva aussi et attrapa mon autre bras. Puis tous les deux me jetèrent sur le canapé comme une vulgaire poupée de chiffon. Ils se laissèrent tomber à côté de moi et passèrent leurs bras sous les miens si bien que je ne pouvais m'échapper.
Mon regard accrocha l'écran de télévision. Immédiatement je reconnus l'image. Il y avait une femme qui portait des talons hauts, des bas et porte-jarretelles. Elle était jambes écartées et attachée vulgairement aux pieds d'une table par les chevilles. On ne pouvait voir d'elle que son cul jusqu'à ses pieds, la partie supérieure de son corps étant caché par un rideau. Quand la caméra s'approcha, il fut clair que la femme était couchée sur la table, son sexe bien en évidence et un plug enfoncé dans son trou du cul. Je savais bien que c'était moi. Quelqu'un avait enregistré toute ma performance à la fête de la fraternité.
Ma bouche était sèche et mon cœur battait la chamade. Je ne pouvais bouger, mais mon esprit réfléchissait à cent à l'heure. « Reste calme » me dis-je. Mike avait été à cette fête et m'avait baisée dans cette position, mais il ne savait pas que c'était moi. Donc il n'y avait pas de raison qu'il le sache maintenant. Pourquoi Glen lui aurait-il dit?
- C'est dégoûtant! Dis-je sur la défensive en essayant de me tortiller pour me dégager des deux hommes, mais en vain.
- Dégoûtant mais excitant! Déclara Mike.
- Regardez ce qu'elle prend cette salope! S'exclama Glen.
Un grand jeune homme, ivre et tenant son pénis bien gonflé, sourit à la caméra, se retourna et planta sa grosse queue dans la chatte de la femme attachée. Un « hourra » de la foule des jeunes l'encouragea. Des cris de joie tels que « baise cette salope » ou « mets-lui tout » fusèrent. Il y eut un gros plan de son cul poilu alors qu'il déposait son sperme dans le ventre de la femme sans défense.
La caméra se déplaça sur le côté pendant que le jeune homme retirait lentement sa bite. Tous les trois nous regardâmes un long filet de sperme tomber de la chatte de la pauvre femme dans un grand bol en verre qui se trouvait entre ses jambes.
- Je crois bien qu'il s'agit de la neuvième ou dixième décharge. Dit Glen.
Les yeux des deux hommes étaient rivés sur l'écran alors que la caméra faisait un gros plan sur le sexe lisse de la femme, en se concentrant d'abord sur le plug planté dans son cul, puis sur la chatte gluante de sperme. Ensuite elle filma le bol rempli à moitié du sperme qui s'était échappé du sexe bien utilisé.
Je jetai un regard furtif à mon mari pour voir sa réaction. Comme un zombie, il regardait l'écran en attendant que le prochain garçon baise la « salope » comme ils l'appelaient. Ce fut alors que je remarquai que Mike avait sorti sa queue et était en train de la caresser. Je réalisai aussi que ma chatte mouillait. De me regarder être humiliée de cette façon m'excitait.
- J'ai besoin qu'on me suce la queue. Dit Glen sans s'adresser à personne en particulier.
Il continua à regarder l'écran. Je le sentis bouger à côté de moi et je lui lançai un regard furtif. Il avait débouclé sa ceinture et il poussait son pantalon vers le bas sur ses cuisses, révélant ainsi sa superbe grosse queue qui se mit debout instantanément. Inconsciemment je commençai à me lécher les lèvres. Je sentis un picotement dans mon bas-ventre, l'appel du sexe.
J'essayai de détourner les yeux de la bite de Glen et de revenir à la télé où une scène encore plus érotique était diffusée. C'était le costaud poilu, celui qui m'avait donné le premier orgasme de la nuit. J'écoutai la voix de l'homme à la caméra quand il zooma sur la bite du garçon.
- Regardez la taille de cette chose! Dit le cameraman en aparté.
Il zooma en essayant de se concentrer sur ce qui ressemblait à une matraque de police poilue.
- Quelle est la grosseur de cette chose? Demanda-t-il.
Le jeune gars était trop occupé pour répondre. Il s'avança jusqu'à la « salope », son énorme membre dans une main, le pantalon autour des chevilles.
- Je vais baiser cette salope à fond! Dit-il en grimaçant à la caméra.
Tous trois, nous regardâmes le garçon costaud positionner le gland de sa bite sur le trou à baiser et le passer de haut en bas, à la fois pour taquiner la femme mais aussi pour la lubrifier avec le sperme et le jus féminin mélangés. Je ressentis des mouvements de chaque côté de moi alors que les deux hommes se caressaient en attendant de voir le jeune garçon introduire son gros gourdin dans la chatte bien ouverte.
Lentement, il fit pénétrer sa queue. Je fermai les yeux en me rappelant de la satisfaction que j'avais éprouvée quand ça s'était réellement passé. Je me retins d'accompagner les hommes dans leur masturbation. A ce moment-là j'aurais bien fourré une aubergine dans ma chatte. J'étais désespérée de ne rien avoir dans mon sexe.
- J'ai vraiment besoin qu'on me suce la queue.
Il s'agissait une nouvelle fois de Glen. Mais sa voix était impatiente et en colère. Il tenait sa grosse queue dans la main et me regardait dans l'attente.
- Tu as entendu l'homme! Il a besoin qu'on lui suce la queue! Alors suce salope! Dit Mike avec impatience.
Avec ses mots, mon mari appuya sur ma tête et commença à la forcer vers le bas vers la queue de Glen. J'essayai de résister et je me tortillai. Pourtant je voulais sucer Glen, faire courir ma langue le long de son membre. Je voulais qu'il pénètre ma bouche afin que je sente sa bite chaude dans ma gorge. Mais je ne voulais pas le faire devant mon mari.
C'est à ce moment que je me rendis compte que Mike savait. Merde, il savait tout sûrement depuis le début! Il savait que j'étais la salope de Glen, que j'étais la femme que nous regardions à l'écran, que j'étais la plus répugnante, la plus dégénérée putain que la terre ait connue. Je commençai à me sentir petite et insignifiante, comme si je n'étais rien, comme si tout ce que j'avais fait auparavant ne comptait pas. Je m'étais humiliée et exposée comme une salope avide de sperme devant mon mari aimant et fidèle.
Ma chatte me brûlait, elle voulait être caressée, frottée, pénétrée et étirée. Je fis passer mon gilet au-dessus de ma tête et je me retrouvai nue entre les deux hommes. Ensuite, je pivotai sur le canapé pour me retrouver entre les jambes de Glen. Je tirai sur son pantalon. Puis je saisis sa queue magnifique et je la berçai avec amour. C'était cette chose qui m'avait séduite et m'avait amenée dans cette vie de débauche et de péchés. Lentement je baissai la tête avec envie.
Alors que j'ouvrai la bouche pour engloutir la queue du jeune homme, je regardai mon mari Mike. Ses yeux étaient vitreux, il avait l'air d'être dans un autre monde. Tandis que mes lèvres se rapprochaient de leur objectif, je vis que mon mari accélérer les mouvements de sa main sur sa bite. J'engloutis le membre de Glen et je fermai les yeux. Lentement, j'avalai totalement la grosse queue jusqu'à ce que ses couilles touchent mon menton. Les yeux de Mike s'ouvrirent avec étonnement en regardant ma gorge prendre toute la queue de Glen sans aucun problème. Il faut dire que durant toutes les années de notre mariage, je ne lui avais jamais fait la même chose.
Voulant montrer à Mike quelle véritable salope j'étais, je forçai ma langue à sortir et à essayer de lécher les boules de Glen. J'entendis mon mari gémir quand ma langue remua sous la bite de Glen.
Le jeune garçon attrapa le dos de ma tête et retira lentement toute la longueur de sa queue de ma bouche et de gorge. Mes yeux pleurèrent et de la salive coula sur mes joues. Je me sentais vraiment comme une chienne, un trou à utiliser pour le plaisir de tout homme.
- Lèche mes couilles! Dit Glen d'une voix calme alors que les bruits de la fête sortaient du téléviseur.
Mon mari cessa de se masturber et me regarda d'un air incrédule. Je n'avais jamais léché ses couilles, il n'avait jamais osé me demander de faire cette chose dégoûtante.
Je tins la queue scintillante et raidie de Glen avec deux doigts d'une main et je caressai doucement ses couilles avec l'autre. Glen releva ses pieds du sol pour les poser sur le canapé de chaque côté, présentant ainsi ses boules et son trou du cul à mon visage. Mon mari était dans l'expectative. Il ne dit rien et recommença à se masturber.
Je commençai à lécher les couilles de Glen, les gobant et les humidifiant. Je fermai les yeux en m'appliquant, suçant une boule après l'autre dans ma bouche. Je prenais soin des boules d'un autre homme devant mon mari. Je regardai discrètement Mike tout en obéissant au pervers qui me possédait sexuellement.
- Maintenant mets ta langue dans mon trou du cul salope! Montre à ton mari quelle pute tu es vraiment!
Sur ces mots, Glen poussa son cul vers moi et écarta ses fesses avec les deux mains. Mon mari se branlait avec encore plus d'énergie en prévision de ce qui se passerait ensuite. Pour ne pas décevoir les deux hommes, je plongeai ma langue dans son anus, savourant le goût salé et viril. Je fis une pause pendant une seconde et je regardai fixement mon mari avec un air de défi tout en tenant la grosse bite de Glen d'une main.
- Allez salope, enfile ta langue dans mon cul!
Ça y était. Mike gémit et jouit. Il se leva aussi haut qu'il le pouvait dans le but d'asperger mon visage. Son premier jet de sperme frappa mon nez, les deuxième et troisièmes jets tombèrent sur le cul et les couilles de Glen. Je n'avais jamais vu mon mari jouir aussi puissamment. Mon cœur se serra un peu quand je compris que ses giclées de sperme étaient une approbation de mon comportement de pute.
Ma main descendit vers le bas entre mes jambes et je commençai à frotter mon clitoris avec fureur. Avec ma petite langue rose, je nettoyai férocement le sperme couvrant le cul et les couilles de Glen. Les deux hommes me regardaient lécher jusqu'à la dernière goutte de semence de mon mari.
Je branlai la queue couverte de salive du jeune garçon pendant que j'explorai son trou du cul avec ma langue tout en me caressant moi-même. Quelques secondes plus tard, la bite de Glen gicla du sperme en l'air comme un geyser. Je remontai rapidement sur son membre en éruption afin d'essayer de capturer chaque goutte précieuse de son foutre. Je titillai plus durement mon clitoris tout en continuant mon nettoyage du garçon, avalant chaque goutte et léchant sa queue avec adoration.
Une dizaine de secondes plus tard, j'eus un orgasme. Je perdis toute force dans les jambes et je dus m'appuyer sur les cuisses musclées de Glen. A travers mes yeux à moitié fermés de femme repue, je vis mon mari qui tenait sa bite molle et qui me regardait avec satisfaction. Je sus alors que notre relation ne serait plus jamais la même.
A suivre...
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