Abusée - récit érotique domination soumission professeur chantage
Traduction d'une histoire de Jessiebnh.
*************
J'assume mon côté salope...
Alors que nous étions tous les trois vautrés en face de la lumière vacillante de la télévision, la vidéo obscène faite par Glen continuait silencieusement, montrant mon comportement de prostituée à la fête de la fraternité. Glen regarda mon mari et rigola. Je jetai un regard sur le pauvre Mike. Il ressemblait à un petit garçon, sa petite bite maintenant dégonflé dans sa braguette ouverte. Il semblait hypnotisé par mes performances à l'écran. Je fus désolée pour lui que Glen m'ait exposée comme la vide-couille que j'étais devenue. Cette transformation était encore plus obscène car Mike m'avait toujours vu comme une femme guindée et une professeure d'école sévère. Je n'avais jamais offert à mon mari cette activité sexuelle sauvage qu'il voyait à la télévision. Au contraire, depuis quelques semaines j'avais caché mes activités de pute et esclave sexuelle de Glen.
Je me déplaçai lentement vers Mike, ondulant mon corps comme un serpent. Je me sentais puissante et joueuse. Je pris sa tête entre mes deux mains et je commençai à l'embrasser avec ma bouche couverte de sperme. Quand je poussai ma langue dans sa bouche, il eut le souffle coupé en se rendant compte qu'il goûtait le sperme de Glen et le nettoyage de son cul. Lentement son dégoût devint de la passion et sa langue pénétra ma bouche. Je sentis encore l'odeur de mes frasques passées à l'école. Je sentais une combinaison de sperme et de sueur. L'odeur était salée et faisandée, celle d'une chienne en chaleur. Je frottai mon entrejambe sur la cuisse de mon mari et je laissai une traînée gluante. Nous nous embrassions fougueusement, explorant nos bouches avec nos langues. Je baissai une main et je sentis le membre épuisé de mon mari commencer à grossir. Mike était passif, mais il gémissait d'impatience. Glen nous contemplait avec une lueur de jalousie dans les yeux.
- Mike, vas-tu laisser cette salope faire de toi ce qu'elle veut? Dit-il doucement mais malicieusement.
Je reculai et je regardai Mike en me demandant comment il allait réagir.
- Nous devons lui montrer comment nous traitons les salopes qui trompent leur mari. Ajouta Glen avec un regard dur.
- Fouettons son cul pour lui montrer! Déclara Mike d'une voix monocorde tout en me regardant avec un sourire en coin.
- Tu as entendu ton mari salope! Mets ton cul sur ce pouf!
Glen se leva rapidement et m'attrapa par les cheveux et il me traîna à travers la pièce.
J'étais choquée, je ne savais que faire ou que dire. J'avais l'impression d'être paralysée. Oui me dis-je, je suis une salope, je mérite d'être punie. Qu'on me punisse pour mes péchés, qu'on me fasse expier de mes crimes envers mon mari.
Glen me jeta sur le ventre à travers le pouf. Je l'entendis retirer sa ceinture de son jean et je le vis la tendre à Mike. Il souleva ensuite mon gilet pour bien exposer mon cul nu. Je sentais encore l'odeur fade du sperme mélangé avec mon jus naturel qui fuyait maintenant de ma chatte excitée. Avec honte, je compris que les deux décharges de sperme prise plus tôt dans la soirée lors de ma double pénétration s'ajoutaient à l'arôme enivrant émanant de ma chatte exposée.
Mike se leva comme un zombie. Il remit sa bite dans son pantalon et il attrapa la ceinture de Glen. Mes yeux s'ouvrirent en grand :
- Mike, Mike, S'il te plaît ne me fais pas mal!
Ma voix sonnait comme celle d'une petite fille suppliante.
« SCHLACK » La sangle me frappa durement en travers du cul. Ce fut un bruit sec qui me poussa contre le pouf. Au début je fus étonnée puis choquée par les actions de mon mari qui était autrefois si doux. Mike ne m'avait jamais menacé et encore moins frappé. Mais là, aiguillonné par le jeune garçon sadique, il venait de me battre brutalement avec une ceinture en cuir. Choquée, je ne sentis presque pas la douleur malgré la violence du coup. Je me souviens avoir pensé : « Est-ce que ça fait mal, je n'ai pas mal ». Puis « SCHLACK » un second coup. Tout d'un coup, mon cul commença à brûler comme si quelqu'un y appliquait un fer chaud.
« SCHLACK » La sangle me frappa une troisième fois, cette fois-ci sur la partie supérieure des cuisses. Je commençai à sentir des zébrures se former à travers mon cul. Ensuite, les coups augmentèrent. Le rythme m'hypnotisa. Je me sentis connectée à mon mari par le bout de la ceinture en cuir d'un côté et mon cul douloureux de l'autre. Enfin les coups cessèrent. Le salon devint silencieux. Une chaleur chaude émanait de mes fesses. Je me sentis prête pour une séance de baise.
Mais « SCHLACK » un autre coup tomba. L'air fut expulsé de force de mes poumons par la violence de ce coup plus brutal. Lorsque j'entendis Mike balancer son bras en arrière, j'essayai de remplir mes poumons. « SCHLACK », de nouveau l'air fut expulsé de mes poumons. Ma tête devint légère et mon monde s'effondra tout doucement. Je pensai « Oui frappe-moi, punis-moi, bats cette salope, fais-moi autant mal que je le mérite ». La main de Glen appuyait fermement sur mon dos pour me tenir en place. Je sentis sa main droite se faufiler sous mes hanches et son index charnue chercher les lèvres de ma chatte. A cet instant, mes sensations étaient réduites à mon cul brûlant et ma chatte gorgée de sang. Tout le reste autour de moi n'existait pas.
Mike était maintenant sans pitié. Il continuait à me battre avec la ceinture comme un possédé. Le coup suivant tomba près de ma chatte humide. Je sentis mon jus de salope couler le long de mes cuisses. Ma chatte enflait et mon clitoris pointait. Je sentis le doigt de Glen sonder sans relâche ma fente humide, ouvrant mon intimité devant mon mari enragé, et exposant ainsi ma honte d'avoir la chatte remplie de sperme. Je fermai les yeux et je partis dans un autre monde, un monde de plaisir et de douleur, de soumission et domination, mais surtout un monde d'humiliation et de honte.
Mon monde se réduit. Ma seule réalité était le son de la ceinture et le plaisir et la douleur dans mes tripes. J'étais dans un « sous-espace » où je flottais loin de mon humiliation et de ma honte.
Dans le brouillard de ma tête, je me rendis compte que le son de la sangle s'abattant sur mon dos s'était arrêté. Je sentis qu'on me retournait sur le dos et que l'on attachait des liens à mes poignets, mes chevilles et mes cuisses. Un bandeau fut posé sur mes yeux. Je fus désorientée et tendue dans l'attente de la suite. Je tournai ma tête d'un côté sur l'autre, mais je ne pus voir que la noirceur du bandeau sur mes yeux. L'odeur de mon excitation féminine était maintenant mélangée avec l'odeur indescriptible de l'envie masculine. C'était une odeur faisandée de sueur acre et musquée. Mes mollets furent attachés à mes cuisses. Je sentis qu'un manche à balai était enfilé derrière mes genoux et attaché de façon que mes jambes soient bien ouvertes et ma chatte bien exposée. Mes poignets furent ensuite fixés aux extrémités du balai à côté de mes genoux largement écartés.
Quelqu'un commença à gifler mes seins tout en m'insultant : « salope » « CLAC » « sale pute » « CLAC » « traînée » « CLAC » ... Mes mamelons se dressèrent et durcirent, annonçant clairement mon excitation à cette humiliation. Je sentis quelqu'un s'accroupir sur moi, des jambes poilues frôlant mes épaules. On releva ma tête et une bite fut forcée dans ma bouche. On me baisa le visage sans ménagement. J'essayai du mieux possible de sucer cette queue, mais on la poussait de force dans ma bouche. J'étais violentée. Ma bouche était violée. La bite fut plusieurs fois retirée de ma bouche quand j'étouffai. Je crachai alors de longs filaments de salive. Ensuite la queue était replongée dans ma gorge jusqu'à ce qu'une paire de couilles frappe mon menton.
- Tire la langue salope! Lèche mes couilles pendant que ma bite est dans ta gorge de pute.
Paniquée, j'essayai de forcer le passage entre ma lèvre et le dessous de la bite pour lécher les boules de poils posés sur mon menton. J'espérai que mon obéissance me permette de gagner un peu d'air. J'étais vraiment utilisée comme la salope que j'étais devenue. J'étouffai et je fus étourdie par le manque d'air.
Une main commença à gifler ma chatte. J'essayai de crier avec la bite dans ma bouche.
- NON, NON, NON! Marmonnai-je alors que la queue glissait facilement dans ma gorge.
La douleur dans ma chatte envoya des impulsions à mon cerveau : Douleur, claque, plaisir, claque, douleur, claque, plaisir. Mon clitoris était tellement gorgé de sang que je crus qu'il allait éclater. Même dans ma détresse profonde, je pus sentir l'odeur d'excitation inexplicable émanant de ma chatte. J'étais prête à être utilisée sexuellement. Mon corps me trahissait, montrant à ces hommes dont l'un était mon mari, que ce traitement brutal ne faisait qu'attiser mon besoin animal d'être baisée.
- Baisons cette chienne! Dit une voix avec jubilation.
La bite sortit de ma bouche et le pouf fit demi-tour. Mon intimité fut sondée. Je sentis la tête épaisse d'un pénis fendre les lèvres de ma chatte gonflée et s'enfoncer brutalement en moi. Mon clitoris fut attiré à l'intérieur par le mouvement jusqu'au moment où le membre toucha le fond de ma chatte. Je sentis une paire de couilles claquer contre mon cul. L'homme commença à baiser ma chatte en rythme. Il tint le balai et me tira sur sa queue, m'utilisant comme un simple trou à pénétrer. J'étais sans défense contre ce traitement violent. La pièce devint floue et tout mon être était canalisé sur mon sexe.
- Oui, baise-moi! Baise la salope! Baise-moi violemment!
Alors que j'étais pilonnée sans pitié, je sentis la douleur de pinces à mamelons appliquées sur mes tétons pour les faire durcir. La douleur fut violente au début, mais elle partit pour laisser une sensation trouble qui s'étendit de mes mamelons à mon clitoris, une sensation qui ne pourrait être apaisée que par un orgasme. On lia les petites chaînes attachées aux pinces au balai. Et quand la personne qui me baisait tirait sur le manche, mes tétons étaient péniblement étirés puis relâchés. Je m'entendis sangloter, mes larmes étant absorbées par le foulard de soie noué autour de mes yeux.
Je commençai à halluciner et je me représentai sur la scène de l'auditorium de mon école. Marianne SMOLEN était vers le podium et je pouvais entendre les voix vicieuses de mes étudiants, filles et garçons qui me huaient et me sifflaient.
- Maintenant, les garçons et les filles, vous allez voir ce qui se passe pour les femmes qui deviennent des salopes avides de bites. Mme BONHAM est punie pour son comportement inconvenant. Clem, ouvrez le rideau!
Je m'imaginais que le pouf était sur une table qui tournait lentement au centre de la scène de l'auditorium, m'exposant ainsi à l'ensemble du corps étudiant. J'étais ligotée comme une cochonne, exposant vulgairement mon intimité à tous. Glen et mon mari Mike étaient debout à côté de moi, arborant d'énormes érections, des gouttes pré-éjaculatoires sur leur gland. Je paniquais et j'avais un gigantesque sentiment de honte en pensant que tous les élèves regardaient ma nudité exposée et le sexe de mon mari.
Une première bite me pénétrait. J'entendais le public, dirigé par la voix railleuse de la vice-principale, commencer à chanter en rythme avec les coups de hanches que je recevais. La voix de Marianne SMOLEN était incompréhensible. Mais le grondement profond qui sortait de sa bouche ainsi que les chants de la foule brassaient mes tripes et augmentaient mon excitation. Je l'entendais dire des choses ignobles sur ma personne. Elle me narguait, encourageant l'assemblée à m'insulter et m'avilir et à encourager les deux hommes à me baiser et à abuser de moi.
Je pouvais sentir un orgasme se former dans mon ventre, mais je me battais pour qu'il n'arrive pas. Je ne voulais pas jouir et avoir honte devant l'assemblée. Je voyais Marianne conduire Clem jusqu'à moi, son énorme queue se balançant en dehors de son pantalon de travail. Elle saisissait le membre épais avec ses deux mains et criait :
- Pissez sur la salope Clem!
La foule était en délire et je fermais les yeux en attendant la pisse éclabousser mon visage et mes seins. La foule acclamait le concierge.
Soudain, une voix familière me tira de ma rêverie :
- Ouvre ta bouche salope!
J'ouvris mes yeux, m'attendant à voir le visage de Marianne SMOLEN. Mais je vis Glen à la place. Mon bandeau avait été enlevé et son visage était à l'envers. Il me regardait méchamment pendant que mon mari labourait ma chatte humide et déjà bien utilisée. Je sentis une claque sur ma joue et les yeux mouillés de larmes, j'obéis. J'ouvris la bouche et Glen cracha dedans.
- Tiens putain de salope, avale! Dit-il.
Je fus mortifiée. Glen venait de cracher dans ma bouche devant mon mari. J'essayai de pousser le mollard gluant avec ma langue tout en refermant ma bouche. J'entendis la voix de mon mari :
- Avale espèce de chienne!
Un autre crachat frappa mes lèvres et commença à couler dans ma bouche. Je continuai à fermer ma bouche mais une claque tomba sur mon autre joue. Alors j'ouvris la bouche comme un oisillon attendant d'être nourri par sa mère sans oser désobéir à ces hommes qui possédaient mon corps. Tous les deux, de concert, ils continuèrent à me cracher dessus. Je fus vaincue par l'humiliation. J'eus l'impression d'être tirée dans un trou noir. Je sentis un orgasme commencer à bouger au fond de mon ventre. Je paniquai. Je ne voulus pas que mon mari aimé s'aperçoive que ce traitement dégradant et obscène me poussait au bord de l'orgasme. Pendant un instant, je crus que si je pouvais m'empêcher de jouir, je pouvais cacher le fait que je désirais être soumise et subir ce traitement humiliant. Malgré ma résistance, la queue dans ma chatte bouscula mes entrailles presque jusqu'au point de non-retour.
Brusquement, la bite fut retirée de ma chatte, me laissant un grand vide à remplir. Au début, je fus soulagée mais la douleur dans mon ventre ne fit qu'exacerber mon besoin d'être baisée profondément. J'entendis ma voix supplier pour une queue :
- S'il vous plaît, s'il vous plaît, baisez-moi!
Je me débattis dans mes liens et, sans vergogne, j'essayai d'ouvrir mes jambes encore plus larges qu'elles ne l'étaient déjà. Mon humiliation et mon avilissement étaient maintenant terminée. J'avais pleinement accepté ma honte et ma dévalorisation.
Je sentis quelque chose de gros pousser contre les petites lèvres de ma chatte. J'essayai de me cambrer pour que ça entre plus facilement dans mon sexe mort de faim. Je levai les yeux et je vis Glen. Les veines de son cou étaient apparentes et son visage tout rouge. Il me regarda avec convoitise. Sa queue semblait si épaisse, si gorgée de sang. Elle était dressée et elle était pour moi. Malgré le fait évident que j'étais une femme infidèle, une salope, une pute, une vide-couilles, puant la pisse et la sueur, il me désirait toujours.
- S'il vous plaît Glen, baisez-moi avec votre belle bite!
Je mendiai sa queue devant mon mari. Mais je n'avais plus honte.
Tandis que la queue épaisse de Glen essayait de forcer ma chatte, je sentis la bite humide et ses couilles sur mon visage.
- Ouais, sale chienne, je vais baiser ta chatte de salope! Grogna Glen en enfilant son membre plus loin en moi.
Et bizarrement, je recommençai à avoir honte, mais cette fois-ci parce que Glen regarde mon mari essuyer sa bite sale sur mon visage.
- Nettoie-le sale pute! Commanda Glen.
En dépit de mes liens, je cambre le dos de mon mieux pour nettoyer la queue de Mike avec ma langue. Je peux goûter ainsi le sperme faisandé de la soirée à l'école. Aussi répugnant que ce soit, je fus heureuse d'effectuer mon devoir d'épouse et de bien lécher les couilles de mon mari. Avec application, j'aspire tout le liquide gluant sur les parties génitales de Mike.
- N'oublie pas son cul salope! Indique Glen alors que sa bite touche enfin le fond de mon vagin.
La bite et les couilles de mon mari se déplacèrent sur la gauche de mon visage pour être remplacées par son cul poilu. Il écarta les fesses avec ses deux mains et présenta son trou du cul à mon visage. Je tendis la langue et je léchai son anus, en espérant que Glen serait heureux de voir mon comportement de cochonne.
Attachée sur un pouf, mon esprit s'éclaircit et je commençai à apprécier la façon dont j'étais exposée et traitée. J'étais nue, immobilisée, complétement exposée à deux hommes, mes seins et ma chatte à leur disposition. Mon mari avait découvert ma chatte et mon trou du cul remplis de sperme plus tôt dans la soirée. Mes jambes étaient grandes ouvertes, invitant tout homme à m'utiliser comme un jouet de baise. Mon mari me regardait être profondément baisée par la grosse bite de son ami pendant qu'il m'obligeait à nettoyer sa bite et son cul en expiation de mon comportement de pute. Je n'étais plus la femme respectable qu'il avait épousée. La jeune professeure qui faisait un signe de tête fier à ses voisins alors qu'elle marchait à côté de son mari était devenue une vraie salope.
J'étais maintenant une pute couverte de foutre, une accro au sperme, qui était capable de réaliser les actes les plus vulgaires et obscènes, actes que je n'imaginais même pas il y a un mois.
Toutes ces pensées, l'avilissement, l'humiliation, l'acceptation d'être soumise aux actes les plus obscènes commença à m'étourdir. C'est comme si je tombais dans un puit sans fond. L'hypocrisie, le mensonge étaient finis, j'étais libre de tomber. C'est comme si des attaches avaient été coupées. Chaque nerf de mon corps commença à réagir au ralenti. Je pouvais sentir la bite de Glen gonfler à l'intérieur de moi, devenant de plus en plus grosse. Il éjacula et les spasmes de sa jouissance ondulèrent pendant que son sperme frappait mon col et m'emplissait de jus chauds. Je sentis que j'allais bientôt jouir aussi et je m'entendis crier :
- Baisez-moi comme la pute que je suis! Montrez à mon mari quel vide-couilles je suis. Baisez-moi comme une chienne en chaleur!
Mon corps se raidit et des éclairs éclatèrent derrière mes paupières closes. Mes yeux roulèrent dans ma tête et une chaleur monta dans mon ventre. Je jouis et je m'évanouis.
FIN. (Pour l'instant tout du moins)
J'assume mon côté salope...
Alors que nous étions tous les trois vautrés en face de la lumière vacillante de la télévision, la vidéo obscène faite par Glen continuait silencieusement, montrant mon comportement de prostituée à la fête de la fraternité. Glen regarda mon mari et rigola. Je jetai un regard sur le pauvre Mike. Il ressemblait à un petit garçon, sa petite bite maintenant dégonflé dans sa braguette ouverte. Il semblait hypnotisé par mes performances à l'écran. Je fus désolée pour lui que Glen m'ait exposée comme la vide-couille que j'étais devenue. Cette transformation était encore plus obscène car Mike m'avait toujours vu comme une femme guindée et une professeure d'école sévère. Je n'avais jamais offert à mon mari cette activité sexuelle sauvage qu'il voyait à la télévision. Au contraire, depuis quelques semaines j'avais caché mes activités de pute et esclave sexuelle de Glen.
Je me déplaçai lentement vers Mike, ondulant mon corps comme un serpent. Je me sentais puissante et joueuse. Je pris sa tête entre mes deux mains et je commençai à l'embrasser avec ma bouche couverte de sperme. Quand je poussai ma langue dans sa bouche, il eut le souffle coupé en se rendant compte qu'il goûtait le sperme de Glen et le nettoyage de son cul. Lentement son dégoût devint de la passion et sa langue pénétra ma bouche. Je sentis encore l'odeur de mes frasques passées à l'école. Je sentais une combinaison de sperme et de sueur. L'odeur était salée et faisandée, celle d'une chienne en chaleur. Je frottai mon entrejambe sur la cuisse de mon mari et je laissai une traînée gluante. Nous nous embrassions fougueusement, explorant nos bouches avec nos langues. Je baissai une main et je sentis le membre épuisé de mon mari commencer à grossir. Mike était passif, mais il gémissait d'impatience. Glen nous contemplait avec une lueur de jalousie dans les yeux.
- Mike, vas-tu laisser cette salope faire de toi ce qu'elle veut? Dit-il doucement mais malicieusement.
Je reculai et je regardai Mike en me demandant comment il allait réagir.
- Nous devons lui montrer comment nous traitons les salopes qui trompent leur mari. Ajouta Glen avec un regard dur.
- Fouettons son cul pour lui montrer! Déclara Mike d'une voix monocorde tout en me regardant avec un sourire en coin.
- Tu as entendu ton mari salope! Mets ton cul sur ce pouf!
Glen se leva rapidement et m'attrapa par les cheveux et il me traîna à travers la pièce.
J'étais choquée, je ne savais que faire ou que dire. J'avais l'impression d'être paralysée. Oui me dis-je, je suis une salope, je mérite d'être punie. Qu'on me punisse pour mes péchés, qu'on me fasse expier de mes crimes envers mon mari.
Glen me jeta sur le ventre à travers le pouf. Je l'entendis retirer sa ceinture de son jean et je le vis la tendre à Mike. Il souleva ensuite mon gilet pour bien exposer mon cul nu. Je sentais encore l'odeur fade du sperme mélangé avec mon jus naturel qui fuyait maintenant de ma chatte excitée. Avec honte, je compris que les deux décharges de sperme prise plus tôt dans la soirée lors de ma double pénétration s'ajoutaient à l'arôme enivrant émanant de ma chatte exposée.
Mike se leva comme un zombie. Il remit sa bite dans son pantalon et il attrapa la ceinture de Glen. Mes yeux s'ouvrirent en grand :
- Mike, Mike, S'il te plaît ne me fais pas mal!
Ma voix sonnait comme celle d'une petite fille suppliante.
« SCHLACK » La sangle me frappa durement en travers du cul. Ce fut un bruit sec qui me poussa contre le pouf. Au début je fus étonnée puis choquée par les actions de mon mari qui était autrefois si doux. Mike ne m'avait jamais menacé et encore moins frappé. Mais là, aiguillonné par le jeune garçon sadique, il venait de me battre brutalement avec une ceinture en cuir. Choquée, je ne sentis presque pas la douleur malgré la violence du coup. Je me souviens avoir pensé : « Est-ce que ça fait mal, je n'ai pas mal ». Puis « SCHLACK » un second coup. Tout d'un coup, mon cul commença à brûler comme si quelqu'un y appliquait un fer chaud.
« SCHLACK » La sangle me frappa une troisième fois, cette fois-ci sur la partie supérieure des cuisses. Je commençai à sentir des zébrures se former à travers mon cul. Ensuite, les coups augmentèrent. Le rythme m'hypnotisa. Je me sentis connectée à mon mari par le bout de la ceinture en cuir d'un côté et mon cul douloureux de l'autre. Enfin les coups cessèrent. Le salon devint silencieux. Une chaleur chaude émanait de mes fesses. Je me sentis prête pour une séance de baise.
Mais « SCHLACK » un autre coup tomba. L'air fut expulsé de force de mes poumons par la violence de ce coup plus brutal. Lorsque j'entendis Mike balancer son bras en arrière, j'essayai de remplir mes poumons. « SCHLACK », de nouveau l'air fut expulsé de mes poumons. Ma tête devint légère et mon monde s'effondra tout doucement. Je pensai « Oui frappe-moi, punis-moi, bats cette salope, fais-moi autant mal que je le mérite ». La main de Glen appuyait fermement sur mon dos pour me tenir en place. Je sentis sa main droite se faufiler sous mes hanches et son index charnue chercher les lèvres de ma chatte. A cet instant, mes sensations étaient réduites à mon cul brûlant et ma chatte gorgée de sang. Tout le reste autour de moi n'existait pas.
Mike était maintenant sans pitié. Il continuait à me battre avec la ceinture comme un possédé. Le coup suivant tomba près de ma chatte humide. Je sentis mon jus de salope couler le long de mes cuisses. Ma chatte enflait et mon clitoris pointait. Je sentis le doigt de Glen sonder sans relâche ma fente humide, ouvrant mon intimité devant mon mari enragé, et exposant ainsi ma honte d'avoir la chatte remplie de sperme. Je fermai les yeux et je partis dans un autre monde, un monde de plaisir et de douleur, de soumission et domination, mais surtout un monde d'humiliation et de honte.
Mon monde se réduit. Ma seule réalité était le son de la ceinture et le plaisir et la douleur dans mes tripes. J'étais dans un « sous-espace » où je flottais loin de mon humiliation et de ma honte.
Dans le brouillard de ma tête, je me rendis compte que le son de la sangle s'abattant sur mon dos s'était arrêté. Je sentis qu'on me retournait sur le dos et que l'on attachait des liens à mes poignets, mes chevilles et mes cuisses. Un bandeau fut posé sur mes yeux. Je fus désorientée et tendue dans l'attente de la suite. Je tournai ma tête d'un côté sur l'autre, mais je ne pus voir que la noirceur du bandeau sur mes yeux. L'odeur de mon excitation féminine était maintenant mélangée avec l'odeur indescriptible de l'envie masculine. C'était une odeur faisandée de sueur acre et musquée. Mes mollets furent attachés à mes cuisses. Je sentis qu'un manche à balai était enfilé derrière mes genoux et attaché de façon que mes jambes soient bien ouvertes et ma chatte bien exposée. Mes poignets furent ensuite fixés aux extrémités du balai à côté de mes genoux largement écartés.
Quelqu'un commença à gifler mes seins tout en m'insultant : « salope » « CLAC » « sale pute » « CLAC » « traînée » « CLAC » ... Mes mamelons se dressèrent et durcirent, annonçant clairement mon excitation à cette humiliation. Je sentis quelqu'un s'accroupir sur moi, des jambes poilues frôlant mes épaules. On releva ma tête et une bite fut forcée dans ma bouche. On me baisa le visage sans ménagement. J'essayai du mieux possible de sucer cette queue, mais on la poussait de force dans ma bouche. J'étais violentée. Ma bouche était violée. La bite fut plusieurs fois retirée de ma bouche quand j'étouffai. Je crachai alors de longs filaments de salive. Ensuite la queue était replongée dans ma gorge jusqu'à ce qu'une paire de couilles frappe mon menton.
- Tire la langue salope! Lèche mes couilles pendant que ma bite est dans ta gorge de pute.
Paniquée, j'essayai de forcer le passage entre ma lèvre et le dessous de la bite pour lécher les boules de poils posés sur mon menton. J'espérai que mon obéissance me permette de gagner un peu d'air. J'étais vraiment utilisée comme la salope que j'étais devenue. J'étouffai et je fus étourdie par le manque d'air.
Une main commença à gifler ma chatte. J'essayai de crier avec la bite dans ma bouche.
- NON, NON, NON! Marmonnai-je alors que la queue glissait facilement dans ma gorge.
La douleur dans ma chatte envoya des impulsions à mon cerveau : Douleur, claque, plaisir, claque, douleur, claque, plaisir. Mon clitoris était tellement gorgé de sang que je crus qu'il allait éclater. Même dans ma détresse profonde, je pus sentir l'odeur d'excitation inexplicable émanant de ma chatte. J'étais prête à être utilisée sexuellement. Mon corps me trahissait, montrant à ces hommes dont l'un était mon mari, que ce traitement brutal ne faisait qu'attiser mon besoin animal d'être baisée.
- Baisons cette chienne! Dit une voix avec jubilation.
La bite sortit de ma bouche et le pouf fit demi-tour. Mon intimité fut sondée. Je sentis la tête épaisse d'un pénis fendre les lèvres de ma chatte gonflée et s'enfoncer brutalement en moi. Mon clitoris fut attiré à l'intérieur par le mouvement jusqu'au moment où le membre toucha le fond de ma chatte. Je sentis une paire de couilles claquer contre mon cul. L'homme commença à baiser ma chatte en rythme. Il tint le balai et me tira sur sa queue, m'utilisant comme un simple trou à pénétrer. J'étais sans défense contre ce traitement violent. La pièce devint floue et tout mon être était canalisé sur mon sexe.
- Oui, baise-moi! Baise la salope! Baise-moi violemment!
Alors que j'étais pilonnée sans pitié, je sentis la douleur de pinces à mamelons appliquées sur mes tétons pour les faire durcir. La douleur fut violente au début, mais elle partit pour laisser une sensation trouble qui s'étendit de mes mamelons à mon clitoris, une sensation qui ne pourrait être apaisée que par un orgasme. On lia les petites chaînes attachées aux pinces au balai. Et quand la personne qui me baisait tirait sur le manche, mes tétons étaient péniblement étirés puis relâchés. Je m'entendis sangloter, mes larmes étant absorbées par le foulard de soie noué autour de mes yeux.
Je commençai à halluciner et je me représentai sur la scène de l'auditorium de mon école. Marianne SMOLEN était vers le podium et je pouvais entendre les voix vicieuses de mes étudiants, filles et garçons qui me huaient et me sifflaient.
- Maintenant, les garçons et les filles, vous allez voir ce qui se passe pour les femmes qui deviennent des salopes avides de bites. Mme BONHAM est punie pour son comportement inconvenant. Clem, ouvrez le rideau!
Je m'imaginais que le pouf était sur une table qui tournait lentement au centre de la scène de l'auditorium, m'exposant ainsi à l'ensemble du corps étudiant. J'étais ligotée comme une cochonne, exposant vulgairement mon intimité à tous. Glen et mon mari Mike étaient debout à côté de moi, arborant d'énormes érections, des gouttes pré-éjaculatoires sur leur gland. Je paniquais et j'avais un gigantesque sentiment de honte en pensant que tous les élèves regardaient ma nudité exposée et le sexe de mon mari.
Une première bite me pénétrait. J'entendais le public, dirigé par la voix railleuse de la vice-principale, commencer à chanter en rythme avec les coups de hanches que je recevais. La voix de Marianne SMOLEN était incompréhensible. Mais le grondement profond qui sortait de sa bouche ainsi que les chants de la foule brassaient mes tripes et augmentaient mon excitation. Je l'entendais dire des choses ignobles sur ma personne. Elle me narguait, encourageant l'assemblée à m'insulter et m'avilir et à encourager les deux hommes à me baiser et à abuser de moi.
Je pouvais sentir un orgasme se former dans mon ventre, mais je me battais pour qu'il n'arrive pas. Je ne voulais pas jouir et avoir honte devant l'assemblée. Je voyais Marianne conduire Clem jusqu'à moi, son énorme queue se balançant en dehors de son pantalon de travail. Elle saisissait le membre épais avec ses deux mains et criait :
- Pissez sur la salope Clem!
La foule était en délire et je fermais les yeux en attendant la pisse éclabousser mon visage et mes seins. La foule acclamait le concierge.
Soudain, une voix familière me tira de ma rêverie :
- Ouvre ta bouche salope!
J'ouvris mes yeux, m'attendant à voir le visage de Marianne SMOLEN. Mais je vis Glen à la place. Mon bandeau avait été enlevé et son visage était à l'envers. Il me regardait méchamment pendant que mon mari labourait ma chatte humide et déjà bien utilisée. Je sentis une claque sur ma joue et les yeux mouillés de larmes, j'obéis. J'ouvris la bouche et Glen cracha dedans.
- Tiens putain de salope, avale! Dit-il.
Je fus mortifiée. Glen venait de cracher dans ma bouche devant mon mari. J'essayai de pousser le mollard gluant avec ma langue tout en refermant ma bouche. J'entendis la voix de mon mari :
- Avale espèce de chienne!
Un autre crachat frappa mes lèvres et commença à couler dans ma bouche. Je continuai à fermer ma bouche mais une claque tomba sur mon autre joue. Alors j'ouvris la bouche comme un oisillon attendant d'être nourri par sa mère sans oser désobéir à ces hommes qui possédaient mon corps. Tous les deux, de concert, ils continuèrent à me cracher dessus. Je fus vaincue par l'humiliation. J'eus l'impression d'être tirée dans un trou noir. Je sentis un orgasme commencer à bouger au fond de mon ventre. Je paniquai. Je ne voulus pas que mon mari aimé s'aperçoive que ce traitement dégradant et obscène me poussait au bord de l'orgasme. Pendant un instant, je crus que si je pouvais m'empêcher de jouir, je pouvais cacher le fait que je désirais être soumise et subir ce traitement humiliant. Malgré ma résistance, la queue dans ma chatte bouscula mes entrailles presque jusqu'au point de non-retour.
Brusquement, la bite fut retirée de ma chatte, me laissant un grand vide à remplir. Au début, je fus soulagée mais la douleur dans mon ventre ne fit qu'exacerber mon besoin d'être baisée profondément. J'entendis ma voix supplier pour une queue :
- S'il vous plaît, s'il vous plaît, baisez-moi!
Je me débattis dans mes liens et, sans vergogne, j'essayai d'ouvrir mes jambes encore plus larges qu'elles ne l'étaient déjà. Mon humiliation et mon avilissement étaient maintenant terminée. J'avais pleinement accepté ma honte et ma dévalorisation.
Je sentis quelque chose de gros pousser contre les petites lèvres de ma chatte. J'essayai de me cambrer pour que ça entre plus facilement dans mon sexe mort de faim. Je levai les yeux et je vis Glen. Les veines de son cou étaient apparentes et son visage tout rouge. Il me regarda avec convoitise. Sa queue semblait si épaisse, si gorgée de sang. Elle était dressée et elle était pour moi. Malgré le fait évident que j'étais une femme infidèle, une salope, une pute, une vide-couilles, puant la pisse et la sueur, il me désirait toujours.
- S'il vous plaît Glen, baisez-moi avec votre belle bite!
Je mendiai sa queue devant mon mari. Mais je n'avais plus honte.
Tandis que la queue épaisse de Glen essayait de forcer ma chatte, je sentis la bite humide et ses couilles sur mon visage.
- Ouais, sale chienne, je vais baiser ta chatte de salope! Grogna Glen en enfilant son membre plus loin en moi.
Et bizarrement, je recommençai à avoir honte, mais cette fois-ci parce que Glen regarde mon mari essuyer sa bite sale sur mon visage.
- Nettoie-le sale pute! Commanda Glen.
En dépit de mes liens, je cambre le dos de mon mieux pour nettoyer la queue de Mike avec ma langue. Je peux goûter ainsi le sperme faisandé de la soirée à l'école. Aussi répugnant que ce soit, je fus heureuse d'effectuer mon devoir d'épouse et de bien lécher les couilles de mon mari. Avec application, j'aspire tout le liquide gluant sur les parties génitales de Mike.
- N'oublie pas son cul salope! Indique Glen alors que sa bite touche enfin le fond de mon vagin.
La bite et les couilles de mon mari se déplacèrent sur la gauche de mon visage pour être remplacées par son cul poilu. Il écarta les fesses avec ses deux mains et présenta son trou du cul à mon visage. Je tendis la langue et je léchai son anus, en espérant que Glen serait heureux de voir mon comportement de cochonne.
Attachée sur un pouf, mon esprit s'éclaircit et je commençai à apprécier la façon dont j'étais exposée et traitée. J'étais nue, immobilisée, complétement exposée à deux hommes, mes seins et ma chatte à leur disposition. Mon mari avait découvert ma chatte et mon trou du cul remplis de sperme plus tôt dans la soirée. Mes jambes étaient grandes ouvertes, invitant tout homme à m'utiliser comme un jouet de baise. Mon mari me regardait être profondément baisée par la grosse bite de son ami pendant qu'il m'obligeait à nettoyer sa bite et son cul en expiation de mon comportement de pute. Je n'étais plus la femme respectable qu'il avait épousée. La jeune professeure qui faisait un signe de tête fier à ses voisins alors qu'elle marchait à côté de son mari était devenue une vraie salope.
J'étais maintenant une pute couverte de foutre, une accro au sperme, qui était capable de réaliser les actes les plus vulgaires et obscènes, actes que je n'imaginais même pas il y a un mois.
Toutes ces pensées, l'avilissement, l'humiliation, l'acceptation d'être soumise aux actes les plus obscènes commença à m'étourdir. C'est comme si je tombais dans un puit sans fond. L'hypocrisie, le mensonge étaient finis, j'étais libre de tomber. C'est comme si des attaches avaient été coupées. Chaque nerf de mon corps commença à réagir au ralenti. Je pouvais sentir la bite de Glen gonfler à l'intérieur de moi, devenant de plus en plus grosse. Il éjacula et les spasmes de sa jouissance ondulèrent pendant que son sperme frappait mon col et m'emplissait de jus chauds. Je sentis que j'allais bientôt jouir aussi et je m'entendis crier :
- Baisez-moi comme la pute que je suis! Montrez à mon mari quel vide-couilles je suis. Baisez-moi comme une chienne en chaleur!
Mon corps se raidit et des éclairs éclatèrent derrière mes paupières closes. Mes yeux roulèrent dans ma tête et une chaleur monta dans mon ventre. Je jouis et je m'évanouis.
FIN. (Pour l'instant tout du moins)
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