vendredi 29 septembre 2023

Apprentie salope

 Texte de Love_in_pain

*****

Ce soir-là, Cheryl était sortie voir un ami en ville. Elle avait un faible pour lui depuis le début, depuis longtemps, cependant jamais elle n'avait pu arriver à ses fins. Cheryl l'avait rejoint dans un restaurant italien au centre. Pour l'occasion elle s'était vêtue d'une mini-jupe qui laissait entrevoir le haut de ses cuisses. Par ailleurs, elle portait des jarretelles, un string en dentelle et un haut très moulant. Elle avait hésité de mettre un soutien-gorge, mais avait préféré ne pas en mettre, pour avoir toutes ses chances. 
 
Quand elle arriva, il lui fit la bise. Il ne sut ignorer son décolleté plongeant. Elle s'assit en face de lui, les mains lissant le tissu de sa minijupe. Le serveur vint aussitôt les servir.
 
- Nero d'Avola et une carafe d'eau, s'il vous plaît, si tu es d'accord bien sûr. 

- Je te laisse choisir, les vins ce n’est pas vraiment mon rayon.
 
Un sourire vint se dessiner sur les lèvres de son ami Alan. La carafe arrivée, il lui rempli son verre, glissa quelque chose au serveur avant que celui-ci ne fasse le service des autres tables.
 
- Alors, tu as trouvé facilement ? Le cadre te plaît ? 

- Oh oui, c'est parfait. Je suis heureuse de passer la soirée avec toi, ça me fait vraiment plaisir 

- Et dire que la soirée commence seulement. Ton plaisir, tu l'auras.

Les entrées furent disposées joliment sur la table, Cheryl s'apprêtait à manger quand, en voulant la resservir, le garçon renversa la carafe entière sur son décolleté. On voyait à présent ses tétons pointer, probablement excités par le fait d'avoir pris une douche froide si subitement.
 
- Je suis désolé mademoiselle !
 
Le serveur luttait entre le fait de lui venir en aide ou de prendre ses deux seins dans ses mains et les pétrir jusqu'à ce qu'elle s'offre à lui, là sur le sol.
 
- Voyons, ce n'est rien. Je vais aller aux toilettes, peut-être que j'arriverai à récupérer ma chemise. Heureusement que ce n'est que de l'eau. 

- Je pense pouvoir vous apporter une chemise de nos serveuses… Ce n'est pas la même classe, mais ça fera l'affaire avant que vous ne repartiez. 

- Ce ne serait pas de refus.

Cheryl se leva avec élégance, alors que beaucoup de regards étaient fixés sur sa poitrine qui pointait toujours, de plaisir, d'excitation et de honte. Le claquement des talons sur le carrelage brisa le silence. Elle se réfugia dans les toilettes, prenant bien soin de fermer la porte à clé. 

Alan n'avait pas bougé un instant, même lorsque l'eau s'était répandue sur elle. Un frappement à la porte la fit sortir de ses pensées. Elle entrouvrit la porte, voulant protéger son trouble. Elle reconnut le patron du restaurant qui l'avait accueilli quand elle était arrivée.
 
- Mademoiselle, je vous apporte une chemise sèche. Votre jupe a semblé être mouillée aussi, je me suis permis de vous amener également une jupe et un tablier. Je ne sais pas ce que vous préférerez mettre. 

- Passez-moi la chemise, ma jupe n'a pas trop souffert.
 
Pour pouvoir recevoir les habits, elle dû ouvrir la porte entièrement. Le patron en profita pour se glisser à l'intérieur et refermer vivement la porte. 

- Mais, je…

- Allez, tais-toi ma mignonne. On voit bien qu'avec une poitrine comme ça, tu ne peux pas être un ange. Contente-toi de te déshabiller, sinon tu peux retourner avec ta chemise mouillée dans la salle.
 
Haïssant le pauvre serveur auquel Alan avait demandé de renverser la carafe, mais qui avait visiblement apprécié la manœuvre, elle obtempéra et ôta lentement sa chemise. Bouton après bouton, elle se dévoilait progressivement au patron qui s'était adossé contre le mur, savourant le spectacle. Quand elle eut fini d'ôter sa chemise, elle la posa sur le lavabo, évitant de croiser le regard de l'homme qui la matait. Pour pouvoir se rhabiller, elle dû s'avancer vers lui et prendre le vêtement qu'il lui avait apporté. Elle tendit un bras, il fut plus rapide et lui saisit le poignet la faisant virevolter contre lui. A la hauteur de ses fesses, elle sentait son sexe dur qui devait être dressé comme jamais.
 
- Par-là, ma jolie. Laisse-toi faire.
 
Il lui saisit la poitrine, la malaxa violemment, puis il la mordit dans le cou. Elle ne put s'empêcher de soupirer.
 
- C'est que t'aime ça en plus. Allez, rhabille-toi avant que je ne te demande plus. Il faudra que je finisse un jour ce que j'ai commencé avec toi…
 
Et en prononçant ces mots, il lui lança la chemise propre et sèche à la figure, ouvrit la porte l'exposant à d'éventuels regards.
 
- …Et laisse la porte ouverte ! Lui lança-t-il, comme s'il lui faisait ses adieux.
 
Elle s'empressa d'enfiler la chemise. Alan l'observa quand elle revint dans la salle. Il abordait même un regard légèrement moqueur.
 
- Je pensais que tu t'étais perdue dans les toilettes. Il y avait du monde ? 

- Oui, si on veut. Excuse-moi. 

- Allez, mangeons plutôt. J'ai une faim de loup.
 
Le dîner fini, Alan paya la note, tandis que le garçon tournait toujours autour de sa proie. Au moment de passer la porte, le patron vint donner sa carte de visite à Alan qui tenait la porte. Il le remercia et s'en fut vers l'extérieur. Au passage, il effleura les fesses de Cheryl qui frissonna comme si un coup de vent l'avait surprise.
 
- Je te propose un club sympa que j'ai trouvé il n'y a pas longtemps. Je suis pratiquement sûr que tu vas adorer. 

- Oui, tant que c'est près, c'est bon. 

- Pourquoi, quelque chose ne va pas ? 

- Il fait plutôt frais…
 
En effet, ses tétons pointaient à nouveau comme put le constater Alan. Il lui proposa de lui prêter sa veste, mais elle refusa poliment. En quelques minutes, ils eurent rejoint le club à la devanture sombre. Elle se demanda quel genre d'établissement c'était, car il n'y avait pas de queue à l'extérieur. Ils descendirent une volée de marches qui menaient à l'entrée. Un vigile grand et intimidant attendait à l'entrée. Il mata Cheryl de la tête aux pieds avant de leur faire un signe qu'ils pouvaient passer.
 
-  Avec toi, quand tu veux, chérie… Murmura-t-il, comme si elle avait pu l'entendre, car déjà la musique enveloppa son corps et le reste de raison qu'elle avait.
 
Alan lui souriait tandis qu'elle découvrait l'endroit. Il désigna le podium de danse d'un coup de tête et elle s'empressa d'y aller, pour pouvoir faire son show, pour lui, pour qu'il finisse par céder. Elle crut qu'il viendrait aussi danser avec elle, mais au lieu de cela, il se saisit d'une chaise et se posta devant elle, en bas du podium. Au bout de quelques minutes, alors que Cheryl se faisait entraîner par le rythme de la musique, elle dansait merveilleusement bien. Beaucoup d'hommes avaient rejoint Alan et tentaient d'apercevoir l'antre chaude et humide de la belle. 

Soudainement, un homme traversa la salle, un homme vêtu de noir, il devait avoir la cinquantaine. Il monta sur l'estrade, dansa quelques instants avec Cheryl avant de se coller à elle. Son déhanché envoûtait ces messieurs. En dehors d'elles, quelques couples dansaient, des femmes se vautraient sur les fauteuils. C'était une ambiance chaude et le gars qui la collait n'était pas resté insensible à son charme.

Alan vit qu'il lui glissa un mot à l'oreille avant de continuer à danser. Elle rejoint bien plus tard Alan qui était resté à l'observer depuis le bar. Tout son corps était en sueur, un sourire flottait sur ses lèvres.
 
- Tu m'as regardée tout ce temps ? 

- Tu n'es pas désagréable à regarder. Que t'as dit l'homme qui était venu danser avec toi ? 

- Qu'il y a une antichambre dans laquelle nous pourrions aller pour que je danse pour toi et pour lui. 

- Et ? 

- Et, je lui ai dit que j'allais t'en parler avant.
 
En effet, l'homme sortait des toilettes, embrassa la salle du regard et la trouva. Il eut un sourire pervers qui s'estompa avec la lumière opaque. En quelques pas rapides, il se trouva devant ce qu'il prit pour un couple, Cheryl et Alan.
 
- Toujours aussi chaude, toi. Je suppose qu'elle vous a parlé de mon idée, monsieur… 

- Appelez-moi tout simplement Alan. Cheryl, puis-je m'entretenir rapidement avec lui, sans que tu sois là ?
 
Elle sirota la fin du cocktail qu'il avait pris tandis qu'elle s'amusa à les observer. Jamais elle ne sut ce qu'Alan avait dit à son cavalier, mais ils arrivèrent rapidement à un accord, se secouèrent la main, une tape sur l'épaule qu'ils revenaient vers elle.
 
- Allez, on y va dans l'antichambre. lui dit Alan en la prenant par la taille.
 
L'homme qui s'appelait Thierry la mena jusqu'au centre de la salle. Le sol était de moquette et de tapis avec des couvertures et des coussins çà et là. Le mobilier devenu rare épousait parfaitement les dimensions et l'ambiance de l'antichambre.
 
- Fais-nous ton show, maintenant. On verra pour ce qui viendra ensuite.
 
Probablement sous l'effet de l'alcool qui lui montait toujours très rapidement à la tête, elle se plaça sur une petite estrade, reprit le rythme de la musique et se déshabilla devant eux, jusqu'à ce qu'il ne reste que les jarretelles, sans son string. Thierry se rapprocha d'elle avec une chaise, qu'il posa le dos vers la porte d'entrée.
 
- Assied-toi, écarte tes jambes et fais-toi belle. lui proposa-t-il gentiment.
 
Quand elle fut assise, il se saisit de ses poignets, les lia derrière le dossier et finalement il lui banda les yeux. Des voix d'hommes, des bruissements, des rires et puis son supplice commença. Quelqu'un, soit Alan, soit Thierry, lui tenait les épaules. Le premier homme malaxa sa poitrine en frottant aléatoirement son sexe dressé sur elle, le deuxième entreprit de déchirer ses bas avec les dents, tandis que les autres l'encourageaient, un suivant lécha ses seins, jusqu'à ce qu'il fut sûr qu'elle était à l'aise, alors il mordit sauvagement ses tétons. Tous la trouvaient excitante, tous profitèrent de son corps de quelconque façon.

Sauf que ce n'était que le début et que la soirée était longue. Cheryl s'imagina Alan dans cette foule d'hommes, en train de fumer le cigare et prendre des photos. Il pourrait les lui montrer plus tard et lui dirait :

- Tu te rappelles, comment tu étais une putain de salope ce soir-là ?
 
Ou encore lui montrer les divers épisodes de son supplice. Au bout de ce qu'il lui semblait être une éternité, quelqu'un décida de la détacher les mains et de la faire passer de mains en mains jusqu'à un endroit propice pour la baiser. Il n'y avait aucun respect de qui que ce soit, à commencer par elle, mais autant que cette situation lui était inconnue, autant elle mouillait énormément et répondait par des gémissements ou des halètements. Un premier homme lui fourra son sexe dans la bouche. Elle était à genoux et devait être probablement exposée à tous ceux qui voulaient. Le sexe était gros et gonflé de plaisir et d'envie de se faire sucer. Elle donna son mieux pour satisfaire le propriétaire de cette queue, qui lui, sans faire attention à elle, le lui fourrait de plus en plus profond dans sa gorge, au risque de l'étouffer. Quelqu'un s'écria :
 
- Regardez, comme elle aime sucer, cette salope !
 
La même personne lui cracha dessus, ce que tous les autres imitèrent. Ils devaient être une dizaine, car elle reconnaissait différentes voix et avait pu les ordonner, à sa façon. Alan, lui, la regardait de haut, baissant les yeux sur son sexe. Peu à peu, il arriva, se retira et la poussa à terre. Elle était sur le dos et il enfonça sans prévenir son sexe dans son intimité, tellement subitement qu'elle cria de douleur. Au bout de quelques minutes, il se retira, puis se vida sur elle, ses seins.
 
- Vas-y, enduis-toi de la sauce, quelqu'un t'en lavera après. lui lança une voix, peut-être Thierry.
 
Des rires s'élevèrent et puis elle sentit un liquide chaud lui couler sur tout le corps. Les quantités étaient trop importantes pour être le fruit d'un homme. De l'urine. Elle ouvrit la bouche pour protester, mais fut directement étranglée avec le liquide qui allait directement dans sa bouche. Pour ne pas s'étouffer, elle dut l'avaler.
 
- Ah, Giancarlo, tu es là. On t'attendait ! 

- Eh, c'est trop gentil, où est-ce qu'elle est cette chienne que je la dresse ?
 
Le prénommé Giancarlo qui n'était personne d'autre que le patron du restaurant où Alan et Cheryl avaient dîné s'avança jusqu'à l'apercevoir. Elle était trempée et son corps moite de sueur, de sperme et d'urine.
 
- Le matériel, Luca… Poursuivit Giancarlo.
 
L'instant d'après, elle hurla de douleur, tellement la manœuvre l'avait surprise. Ce n'était pas le sexe d'un homme qui l'avait empalée, mais un gode qui, elle ne l'apprendrait que plus tard, représentait une queue de black, aussi, un collier lui fut mis autour du cou. Ainsi « préparée » elle fut trainée dans une autre pièce au sol dur et froid. De l'eau glacée lui tomba dessus, probablement pour la laver des liquides qui maculaient son corps. Giancarlo lui fit sa toilette, faisant bien attention à frotter longuement son clitoris jusqu'à ce qu'elle en gémisse et qu'elle mouille de plus en plus. Ses tétons étaient super-sensibles, tellement, que le moindre pincement faisait trembler tout son corps. Elle était épuisée et n'avait plus aucun contrôle sur son corps. 

Dans l'antichambre, les hommes l'attendaient, avec impatience. Derrière la porte qui donnait sur cette salle de bain improvisée Giancarlo s'occupait du sort de Cheryl. Avant qu'elle ne retourne dans la salle, il lui introduisit une boule grosse comme une prune dans la bouche, lui resserra le bandeau sur ses yeux, lia ses mains ensemble, tout comme ses pieds qui finalement vinrent liés ensemble. Elle n'était que trop entravée dans ses mouvements. 

Puis le claquement sec d'un fouet se fit entendre avant que le coup ne finisse sur ses fesses. Giancarlo la poussa au sol, retira tout aussi violemment le gode avant de continuer de la fouetter risquant à tout moment que le coup ne finisse sur ses lèvres. 

Des sifflements et hurlements l'accueillirent lorsqu'elle fut trainée à nouveau dans l'antichambre. Une dizaine d'hommes, tous encore à moitié vêtus avaient attendu qu'elle revienne pour bander de plus belle. Elle fut libérée de ses liens, sa bouche sèche n'arrivait à articuler un mot.
 
- Ce soir, je vous ai amené une nouvelle. Apprivoisez-la, domptez-la, afin que l'apprentie salope devienne une chienne soumise, baisable en toutes circonstances. Ce n'est pas une leçon d'autorité, c'est une leçon de vie.
 
Si Cheryl avait été encore entièrement consciente, elle aurait pu reconnaître la voix d'Alan. Jamais elle n'aurait pensé qu'il soit le principal organisateur de sa soirée.

FIN

mercredi 27 septembre 2023

Le cauchemar de Christine Ch.03

Traduction d'un texte de PAS par Coulybaca.

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Fin de la vengeance ?

Christine se rua hors du magasin comme si les quelques employés restants pouvaient voir des traces de la semence de Charlie sur son visage, sans tenir aucun compte qu'elle venait de frotter frénétiquement son visage dan la salle de bain.

Charlie avait gardé son soutien-gorge, aussi ses nibards se balançaient-ils mollement au gré de ses pas.

Elle retrouva Charlie qui l'attendait. Il lui dit de laisser sa voiture dans le parking du magasin, il l'emmenait dans sa voiture. Elle s'assit et resta silencieuse, ignorant ses commentaires au sujet de la cravate de notaire dont il était ravi.

Il rangea la voiture dans l'allée du garage d'une petite maison à un étage. Ne sachant pas grand chose de Charlie, elle supposa que c'était son domicile, elle se demandait où habitaient les parents de ce jeune de 18 ans. Elle ignorait totalement qu'en fait c'était là que demeurait Barry, c'était sa maison. Le jeune homme de 19 ans qu'elle avait fait virer parce qu'il aidait un de ses copains, Léo à dérober des marchandises.

Barry, avec l'aide de ses parents louait cette petite maison, fréquentant le lycée à mi temps, il travaillait à mi temps. La maison était rustique mais elle convenait parfaitement à un jeune de 19 ans qui aimait y faire la fête.

Charlie la fit entrer. Elle voulut faire demi tour en voyant Barry et Léo assis sur le lit. Mais Charlie la suivait et avait déjà verrouillé la porte.

- "Qu'est ce que ça veut dire ?" s'emporta-t-elle affolée.

Charlie rit à gorge déployée.

- "T'ai-je dit que Barry et Léo ont visionné tes cassettes, eux aussi ils ont trouvé ça marrant..."

- "Sale enculé !" rugit-elle, se retournant pour s'enfuir.

Mais Charlie la repoussa dans la salle.

- "Il n'y a aucune chance que je couche avec vous trois !" insista-t-elle furieuse.

- "Que tu sois d'accord ou non, c'est exactement ce qui va t'arriver..." lui rétorqua Barry.

Il fit un pas en avant et se saisit d'un de ses nibards, Christine chercha à se dérober, mais elle était bloquée.

- "Viens ici Christine tu as déjà consenti à baiser avec moi !" lui rappela Charlie cyniquement.

Christine devint écarlate.

- "Avec toi et pour récupérer ces saloperies de cassettes ! Je n'ai jamais été d'accord pour me faire partouzer !"

- "C'est ce qu'on va voir..." se marra Léo railleur.

Ils l'empoignèrent tous les trois et commencèrent à la déshabiller. Christine cherchait à résister, mais bientôt elle se retrouva au sol, chemises et caleçons retirés. Puis ils lui arrachèrent sa petite culotte. 
Comme elle se débattait elle sentit les trois paires de main l'empoigner, elle redoubla d'efforts pour se libérer lorsque soudain un doigt impérieux parcourut sa touffe rousse et plongea dans sa chatte.

- "Calme toi et tout se passera bien !" lui dit Barry

- "On ne veut que passer la nuit avec toi, pour te remercier de ce que tu nous a fait, ensuite on passera l'éponge, sinon on met les cassettes en circulation !" lui rappela sobrement Charlie.

Christine se résigna :

- "C'est... C'est d'accord... mais vous mettrez des... des capotes !"

Choquée, elle vit Léo se lever et s'emparer d'une caméra vidéo. Elle s'empressa de dissimuler ses appâts de son mieux.

- "Ne te tracasse pas Christine..." l'avisa Charlie.

- "C'est juste pour nous protéger quelque fois que tu voudrais porter plainte pour viol... Et maintenant regarde la caméra et dit que tu veux qu'on te baise jusqu'à l'os cette nuit !"

Christine ne savait quoi faire. Les yeux grands comme des soucoupes elle voyait Léo filmer chacun de ses gestes.

- "Ouvre tes cuisses en grand et demande nous de te baiser !" lui répéta Barry impatient.

Christine retenait sa respiration, puis elle bougea les mains, écartant ses cuisses en grand.

- "Je voudrai que vous me baisiez tous les trois cette nuit !" annonça-t-elle face à la caméra.

Charlie s'était débarrassé de son pantalon et l'enfourchait déjà.

- "Enfile une capote ! " insistait-elle.

- "Baise moi couvert !"

Christine chercha à le repousser, mais déjà il plongeait sa bite dans son étroite petite chatte. Pire encore, Léo filmait la scène évidemment.

- "Non... je vous en prie... Eteignez la caméra !" s'écriait-elle affolée.

Charlie la labourait furieusement, Christine remuait les hanches sur un rythme saccadé, de droite à gauche, cherchant à échapper à sa bite non protégée, mais elle s'avérait incapable de l'expulser de sa grotte affolée. Elle lui avait déjà fait une pipe, s'était fait brouter le gazon, lui avait prodigué une cravate de notaire, et voilà que maintenant il prétendait faire quelque chose qu'elle le interdisait même à son petit ami. Il s'apprêtait à se vider les couilles dans son utérus.

Charlie lui labourait la chatte sans aucune pitié, bien qu'il ait déjà joui en cette fin de matinée, il était incapable de se contrôler.

- "Bordel..." cria-t-il soudain alors que ses couilles se vidaient dans sa moule embrasée.

- "Oh non... pas ça..." l'implora-t-elle de nouveau en le sentant jouir.

Elle sentait sa chaude semence lui emplir la cramouille au risque de l'engrosser. Charlie en avait fini rapidement. Ce fut alors au tour de Barry qui s'était prestement déshabillé de s'installer entre ses cuisses. Sa bite était plus courte que celle de Charlie, bien plus épaisse, elle ressemblait à celle de son petit ami. Elle aurait aimé résister mais Barry agit trop vite pour qu'elle le puisse, la caméra ne perdait pas une miette de sa seconde séance de baise.

- "C'est formidable..." lui dit Barry.

- " Ca valait bien le coup de se faire virer pour pouvoir te baiser !"

Christine était allongée immobile alors que Barry pointait sa grosse bite sur sa chatte engorgée de foutre. Il la baisait plus lentement, plus lascivement que Charlie. Cette façon de la baiser lui convenait, on pouvait même dire qu'elle l'appréciait. Si ce n'était le fait qu'ils la faisaient chanter, dans d'autres circonstances, elle aurait savouré cette partie de jambes en l'air avec Barry. Mais elle ne pouvait le leur montrer !

Barry sentait ses burnes se remplir alors qu'il labourait Christine, il baissa la tête et entreprit de lui sucer son téton gauche alors qu'il caressait son autre mamelon de l'autre main. Une onde de plaisir indésirée diffusa de ses tétons tendrement manipulés ver son clito sur lequel sa hampe venait se frotter à chaque pénétration.

Christine avait déjà joui une première fois sous les assaut de Charlie dans le bureau, elle avait peur de jouir à nouveau sous les assauts de Barry. Elle se mordait les lèvres, essayant d'interdire à son corps d'apprécier ce qui lui arrivait. Elle était sur le point de s'envoyer en l'air lorsque Barry se mit à grogner et lui tapissa les muqueuses de sa gourme chaude.

Barry se retira de sa chatte et se releva. Alors qu'il s'éloignait d'elle, elle regardait Léo qui se dépouillait de son jean et de son caleçon. Elle écarquilla des grands yeux incrédules à la vue de le sa pine. Elle était encore plus épaisse que celle de Barry et mesurait au bas mot 25 cm, une queue bien plus grosse que toutes celles qu'elle avait connues à ce jour. Christine ne voulait pas se faire baiser par Léo, mais la vue de sa pine, et le fait d'être sur le point de jouir l'amenèrent inconsciemment à ouvrir les cuisses en grand pour mieux l'accueillir.

Léo la rejoignit au sol. Mais au lieu de l'enfourcher, il fit mettre la rouquine à quatre pattes, Christine savait que dans cette position il la pénétrerait bien plus profondément qu'en s'allongeant sur elle.

Il s'engouffra en elle, elle grogna sourdement alors qu'il plongeait au cœur de son intimité, butant d'entrée sur le col de son utérus, ce qui la fit hurler. 

Christine ne parvenait pas à croire à quelle point elle était pleine de lui, lorsqu'il entreprit de la labourer elle fut immédiatement terrassé par un violent orgasme. Ravi, Léo sentait sa chatte palpiter sur sa hampe, elle aurait voulu le cacher à leurs yeux et à la caméra, mais elle n'y parvenait sa jouissance s'étalant sous leurs yeux et sous l'objectif de la caméra.

Tout prêt de jouir à son tour, Léo s'enfonça de toute sa longueur dans son utérus meurtri. Christine tendait le ventre, l'aspirant au plus profond de ses entrailles amplifiant leur plaisir. Soudain elle sentit sa bite déserter sa chatte, il pressait son gland engorgé contre son étroit petit œillet affolé. De prime abord elle crut qu'il se trompait de trou, mais lorsqu'il se pressa plus fort contre son annelet crispé de peur, elle comprit sa véritable intention.

- "Oh non... Pas ça... Ne me fais pas ça !" grommela-t-elle cherchant à le repousser.

Mais Léo la tenait fermement aux hanches et se préparaient à l'envahir.

- "Tu vas me payer ce que tu m'as fait salope... Je vais te caser le cul !"

Christine était au bord de la panique, on lui avait déjà doigté le trou du cul, mais cela lui avait tant déplu qu'elle n'avait permis à personne d'aller plus loin, et voilà qu'elle était sur le point de se faire baiser par son trou du cul si étroit et pas par une bite ordinaire, mais par la gigantesque bite de Léo.

- "S'il te plait... Non... Pas ça..." hurla-t-elle terrifiée.

Léo se contenta d'en rire, s'engouffrant d'un terrible coup de rein dans son trou du cul rétif. Elle hurla de douleur et de fureur mêlées alors qu'il forait son trou dans son intestin. Il s'enfouissait de plus en plus profondément à chaque coup de boutoir, sa douleur croissait à chaque coup de boutoir. Il ne s'avoua satisfait qu'une fois sa bite entièrement logée dans son fourreau asservi, il se mit alors à la labourer sans pitié.

- "Ohhhhhhhhhhh... Nonnnnnnnnnnn..." s'époumonait-elle alors qu'il lui dévastait l'anus.

Il se réjouissait de l'entendre hurler si fort, cela ne faisait que l'encourager à la baiser de plus en plus frénétiquement, il sentait poindre un puissant orgasme.

- "Oh oui..." ricana-t-il sobrement en vidant les couilles au fin fond des ses intestins.

Une fois qu'il en eut fini, il extirpa violemment sa bite de son trou du cul meurtri, lui arrachant de nouveaux cris de douleur, le retrait s'avérant aussi douloureux que l'effraction initiale. 

Elle gisait au sol, secouée de soubresauts nerveux, priant pour que les trois hommes en aient fini avec elle. Ayant l'opportunité de la prendre autrement, Charlie s'installa dans son dos et lui fourra la bite dans le cul. Comme sa queue était beaucoup plus fine, elle s'en accommoda plus facilement bien que cela lui fit un peu mal.

Barry se positionna face à elle, sa queue à lui aussi avait repris de la vigueur, il lui agrippa les cheveux et se posta face à son visage. Instinctivement Christine ouvrit les lèvres et l'emboucha se mettant immédiatement au travail.

Elle était embrochée par les deux bouts, comme une volaille au barbecue, Charlie en cul, Barry en bouche !

Barry lui remplit rapidement la bouche de son foutre épais, légèrement salé. Alors qu'il se retirait, Charlie gicla à gros bouillons dan ses intestins. Dès qu'ils se relevèrent, Léo les remplaça.

- "Fais moi une pipe !" lui intima-t-il

Christine n'était pas certaine de pouvoir l'emboucher en totalité, et elle ne désirait pas le faire alors que sa bite sortait de son trou du cul. Léo ne lui laissa aucune chance de résister. Il lui attrapa la tête et la pressa contre son pubis jusqu'au moment ou elle ouvrit la bouche. Lorsqu'il parvint au fin fond de sa gorge, il entreprit de la baiser en bouche faisant de son mieux pour s'enfoncer dans sa gorge. Christine étouffait alors que la grosse mentule obstruait son pharynx. Elle toussa à plusieurs reprises, s'étouffant, mais Léon continua son œuvre jusqu'à l'instant ou i lui inonda la gorge de son foutre. Lorsqu'il la libéra, elle s'effondra au sol et s'évanouit.

En se réveillant, elle constata qu'après l'avoir enfourché, Léo se faisait une cravate de notaire. En sentant du foutre encore tiède s'étaler dans son cou, et voyant Barry la bite ramollie en main, elle supposa qu'il venait d'en faire autant. La mentule de Léo venait buter contre son menton à chacun de ses mouvements, Christine voyait Charlie debout à quelques pas d'eux qui caméra braquée sur leur couple, enregistrait la scène. Sa bite était raide tendue, prête pour un nouvel assaut. Léo commença à gicler entre ses seins, il se releva prestement projetant des jets de foutre en direction de la caméra.

Puis Charlie prit sa place entreprit sa cravate de notaire, Christine détestait cette façon de se polariser sur ses gros nibards, mais elle ne pouvait rien y faire. Comme auparavant Charlie lui meurtrissait les nichons jusqu'au moment où il lâcha de nouveau quelques jets de sperme dans son cou.

Léo attrapa la rouquine et l'attira sur lui, sa bite était prête à l'emploi, cette fois elle dut s'asseoir sur son dard, elle se mit à chevaucher sa mentule qui la remplissait toute, c'est alors qu'elle sentit Barry se positionner dans son dos.

- "C'est mon tour de me faire son trou du cul !" souffla-t-il à son comparse.

Christine aurait voulu résister, mais elle n'en avait plus ni la force, ni la volonté, elle fit une large grimace lorsqu'il pressa son gland mafflu à l'orée de son trou du cul. Elle avait déjà la bite massive de Léo dans la cramouille et voila que Charlie plongeait dans son trou du cul rétif, elle se mit à trembler comme une feuille.

Elle n'avait pas commencé à depuis trois secondes à chevaucher les deux bites insérées dans ses trous adjacents qu'elle vit Charlie à son côté. Il avait posé la caméra sur la table, pointée dans leur direction et il guidait sa tête vers sa bite pour qu'elle l'enfourne manu militari. 

Ils la travaillaient maintenant tous trois de concert, Charlie et Léo lui pelotaient les nibards alors que tous trois ils se démenaient dans ses trous asservis. Sans aucun signe avant coureur, Christine se mit à danser d'avant en arrière, le corps terrassée par un orgasme d'intensité 8 sur l'échelle de Richter. Elle amplifia le rythme de la chevauchée et rebondit d'orgasme en orgasme sous les yeux satisfaits de ses trois agresseurs, jamais elle n'aurait pensé que ça puisse être si bon d'être baisée simultanément par trois hommes virils.

Elle se maudissait de prendre un tel plaisir, et d'être totalement incapable d'endiguer le flot de sensations qui la faisaient totalement planer. Plusieurs minutes s'écoulèrent et elle jouit à nouveau alors que Charlie lui lâchait sa purée en pleine bouche. Comme il se retirait, elle sombrait dans un nouvel orgasme, les deux qui la labouraient simultanément lui procuraient un plaisir inimaginable.

- "Oh mon Dieu... Oui !" grogna-t-elle, sourdement alors qu'un orgasme insensé prenait le contrôle de son corps et de son esprit.

Elle gémissait de délice alors que son orgasme durait, et durait encore. Les deux hommes jouirent simultanément dans ses profondeurs intimes, elle jouissait toujours. Enfin son orgasme diminua d'intensité et s'évanouit alors qu'ils extirpaient leurs bites de ses chatte et trou du cul. Jambes tremblantes Christine se dirigea vers le lit où elle s'effondra éreintée.

Ils en avaient fini avec elle. Ils lui permirent de se rhabiller et Charlie la ramena au magasin où elle put récupérer sa voiture pour rentrer chez elle. Elle prit une longue douche avant d'aller se coucher.

Le lendemain elle dormit pratiquement toute la journée, elle était confuse, ne sachant que penser ce se qui lui était arrivé la veille. Il était certain qu'elle avait été forcée d'avoir ces relations sexuelles, mais elle avait tant joui à la fin.

Le lendemain son petit ami rentra à la maison pour le week-end. Christine était anxieuse de le revoir, mais lorsqu'elle arriva chez ses parents, ils montèrent tout de suite à l'étage, dans sa chambre. Il s'assit sur le lit et regarda la télé. Au son, elle comprit tout de suite qu'il regardait un film porno. Elle allait dire quelque chose lorsqu'elle reconnut sa voix provenant de la télé, elle blêmit en regardant l'écran. On l'y voyait baisée par Charlie, Léo et Barry.

La qualité de cette cassette était assez bonne pour que Christine ne manque rien de sa performance. Son petit ami la fixait interloqué, ses yeux lui disaient ce qu'elle voulait entendre.

Christine se rua hors de la maison, elle savait maintenant que leur vengeance était totale, sa relation amoureuse était terminée. Elle retourna chez elle se demandant si c'était vraiment fini, ou s'ils avaient l'intention de l'humilier encore à l'avenir.

FIN

lundi 25 septembre 2023

Changements de vie pour Jessica Ch.03

 Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

****

Obligée de conclure un accord.

 **** Semaine 1 – Lundi ****

- Non, non, non… Me dis-je encore et encore.

Ça doit être un rêve. Je suis toujours allongée dans mon lit et je dors profondément en faisant un cauchemar ! Ça ne peut être réel. La réalité ne peut pas être aussi cruelle ?

Je me pince plusieurs fois, mais ça ne m’aide pas, je ne me suis pas réveillée. Malgré tous mes efforts, je suis toujours assise dans mon fauteuil au travail.

Carlos ORTEGA et les nouveaux stagiaires sont partis depuis longtemps, mais je continue à les imaginer devant moi. Peut-être que je n’ai pas regardé assez attentivement ? Peut-être que c’était juste une ressemblance ?

- NON, NON, NON… Crié-je de colère.

Après l’avoir vu, je l’avais détaillé, ça doit bien être Daniel. Et la manière dont il m’a souri ne fait que confirmer ma présomption. Je n’ai aucun moyen d’y échapper, il faut que je fasse face à cette situation.

J’avais baisé un de nos stagiaires. De tous les mecs du monde il fallait que ce soit un de nos stagiaires. C’est la pire des choses qui puissent m’arriver. Quand je l’ai rencontré c’était juste un nettoyeur de piscine. Merde, comment aurais-je pu savoir qu’il allait être stagiaire dans l’entreprise où je travaille. Ça en est risible. C’est trop ridicule pour être vrai. Nerveusement j’en ris.

Et si Daniel commençait à se vanter de sa conquête sexuelle auprès des autres stagiaires ? Et si ça faisait le tour des bureaux ? Et si mon PDG était mis au courant ? Une fois que la rumeur est lancée, rien ne peut l’arrêter. J’aurais une réputation de salope en un clin d’œil.

Ça deviendrait un énorme obstacle pour ma carrière et ORTEGA l’utiliserait sûrement contre moi. On ne peut pas être responsable d’un département d’un cabinet de conseil si on a une réputation de salope qui couche avec ses employés. Et le prestige du cabinet en pâtirait. Ce milieu est dominé par les hommes. Une femme qui veut réussir doit avoir une réputation aussi pure que de l’eau.

J’ai travaillé dur et j’ai tout donné pour ma carrière. J’ai passé trop de nuits blanches et de week-end pour perdre ma position maintenant. A ce jour, je dois avoir une bonne longueur d’avance sur ORTEGA pour la succession à la tête du cabinet en remplacement de M. O’BANNON. Mais une rumeur comme celle où je baise un stagiaire suffira à anéantir toute chance de devenir le prochain PDG.

Mais peut-être que je m’énerve pour rien. Peut-être que Daniel est raisonnable et ne parlera à personne de notre rencontre. Après tout, je suis un des responsables les plus puissants de l’entreprise. S’il veut réussir son stage, il n’a aucun intérêt à ce que je devienne son ennemi. Il n’est pas aussi stupide non ?

Ces pensées me calment un peu. De toute façon, je n’ai pas beaucoup de temps à perdre. Il me reste beaucoup de travail sur mon bureau. Je dois me préparer pour une réunion avec un responsable de projet.

Deux heures plus tard, je suis dans la salle des photocopieuses en train de faire des copies de mon dossier quand, soudainement, je sens une main sur mon cul. Qu’est-ce que ça signifie ? Je n’ai entendu personne entrer dans la pièce. Je me ressaisis et je me redresse rapidement. Je suis sur le point de crier, mais je reste trop abasourdie pour réagir.

- Salut Miss Allumeuse, je ne savais pas que tu étais ici. Ton poste de responsable te rend encore plus sexy. Tu étais impatiente que je te tapote le cul non ? tu es excitée n’est-ce pas ?

C’est Daniel ! Je reconnais immédiatement sa voix de macho latino. Dès qu’il a murmuré ces mots à mon oreille, il me lâche. Son comportement si présomptueux me laisse si choquée que je ne peux pas réagir. Il me faut un long moment pour surmonter ma surprise et me retourner. J’ai juste le temps de voir Daniel sortir. Il est parti avant que je ne puisse lui parler.

Il me faut encore quelques instants pour me calmer. Quand je sors de la salle des photocopieurs, Daniel est debout dans le couloir en train de discuter avec une de nos secrétaires, Michelle KEELAN.

- Bien sûr Mademoiselle KEELAN, je suis heureux de pouvoir vous aider. Je vais vous faire ces copies, il n’y a pas de problème.

Il parle à la secrétaire comme un étudiant bien élevé. Il la traite comme une dame. Et dire qu’il m’avait appelée une « vieille au cul en feu » et qu’il m’avait traitée comme une chienne. Quel contraste ! Je me sens idiote et je rougis d’embarras. Effrayée, je passe à côté d’eux rapidement et je me précipite vers mon bureau tout en essayant d’oublier ce qu’il s’était passé.

Après le déjeuner, j’ai une réunion importante. Je charge Taylor, l’un des nouveaux stagiaires, d’aller me chercher les dossiers pour cette réunion. Je suis en train d’écrire une lettre quand le garçon entre dans mon bureau pour m’amener les documents. Sans lever les yeux, je lui dis simplement de déposer les dossiers sur le bureau.

Puis soudain, je sens un souffle dans mon cou. Ça ne peut pas être Taylor ! C’est sûrement Daniel ! Encore !

Je suis une fois de plus complètement surprise. Comment ose-t-il ? Je suis énervée. C’est la deuxième fois qu’il franchit la limite. C’est trop ! Je dois le réprimander, je ne dois pas tolérer ce comportement machiste dans mon propre bureau.

Donc cette fois, je ne reste pas figée. Immédiatement je me retourne sur mon fauteuil. Mais Daniel, derrière moi, m’arrête et attrape mes seins. Il me tient fermement en place en serrant mes seins et en appuyant mes épaules contre son torse.

- Hé Mademoiselle ADDAMS, vous voulez vous amuser le week-end prochain ? Je suis sûr que tu veux laisser Miss Allumeuse revenir, n’est-ce pas ? Murmure-t-il à mon oreille.

Il a tort. Je suis furieuse. Ça ne se reproduira plus. Vigoureusement, je lutte contre son emprise jusqu’à ce que je réussisse à me libérer. En me retournant, la colère rougissant mes joues, je jette un regard méchant au jeune latino. Je suis sur le point de le gifler. C’est là qu’avec un sourire effronté il me dit :

- Allez Miss Allumeuse, nous nous sommes bien amusés le week-end dernier non ? Nous avons tous les deux apprécié, alors quel est le problème ?

L’indignation me submerge. Il a raison, du moins partiellement. Le week-end dernier avait été amusant pour nous deux. Je m’étais libérée et j’avais vécu une sacrée aventure. Mais aujourd’hui, la situation est complètement différente. Nous sommes au travail, et ici, je suis une des responsables dans l’entreprise. Alors je réponds sur un ton coléreux :

- Laisse-moi tranquille ! Qu’est-ce que tu fais ici de toute façon ?

Il me répond sur un ton moqueur :

- Dans ton entreprise ou dans ton bureau ? Je joue au football à l’université avec une bourse attribuée par l’ancienne fraternité de ton PDG. C’est un grand supporter de notre équipe. Il était donc plus que ravi que de nous prendre comme stagiaires dans sa société.

Pendant un instant, cette réponse me surprend. A en juger son apparence et son attitude, il peut très bien être l’un de ces sportifs d’université qui sont choyés pour leurs aptitudes physiques et sportives. Sans cela ils ne verraient pas l’université. Cela signifie cependant qu’il est sûrement l’un des protégés de M. O’BANNON. Et qu’il va m’être très difficile de me débarrasser de lui. Toutefois j’essaie de rester ferme et je lui dis :

- Je m’en fiche de ce que tu fais à l’université. Une autre vulgarité comme ça et ton stage est terminé. Tu comprends ça ?

J’essaie de paraître menaçante. Cependant, je ne peux m’empêcher de regarder son corps musclé et en pleine forme. Il le remarque et continue de me regarder avec un sourire narquois. Il ne réagit pas à ma menace.

- Waou, quel est le problème ?

Le jeune latino semble surpris par mon éclat de colère. Il continue :

- Tu sais que tu es un peu exhibitionniste. Tu t’es exposée devant le plombier. Pourquoi ne pas reprendre où nous nous sommes arrêtés ?

Il se tourne et sort de mon bureau en marmonnant :

- Tant pis, tant pis…

Je ne sais pas trop qu’en penser. Je l’ai menacé, mais j’ai l’impression qu’il s’en fout. J’espère que j’ai été suffisamment clair.

Le reste de la journée, je n’ai pas revu Daniel. Je me suis dit alors qu’il avait compris mon avertissement et qu’il allait me laisser tranquille. Cependant je continue à réfléchir à la situation. J’ai presque recommencé à baver à la vue de ce mec musclé. Il est tellement imposant et masculin. Ça me rappelle la raison pour laquelle j’ai voulu le séduire la dernière fois.

Dans un éclair de lucidité, je repousse ces pensées. Il n’est plus un nettoyeur de piscine inconnu. C’est un de nos stagiaires et il vient de me montrer qu’il n’a pas de retenue. S’il ne peut plus me draguer au bureau, il y a de fortes chances qu’il commence à se vanter de notre escapade dans mon jardin. Il faut que je mette un terme à tout cela avant que ça dégénère. Il faut que je reprenne le contrôle avant qu’il ne soit trop tard.

 **** Semaine 1 – Mardi ****

Le lendemain, en arrivant au travail, la première chose que je fais c’est de me rendre dans le bureau des stagiaires qui est un espace ouvert avec de simples meubles. Daniel est de nouveau en train de parler avec notre secrétaire pour savoir en quoi il peut l’aider.

- Ce n’est pas un problème Mademoiselle KEELAN, je suis content de faire ça pour vous aider. Je vais remplir ces formulaires et les saisirent.

Une fois de plus, devant la secrétaire, il agit comme un jeune stagiaire désireux d’apprendre. Cela ne rend que plus dégradant le comportement macho qu’il affiche envers moi. C’est moi la responsable ici merde ! Toutefois, j’attends patiemment qu’ils finissent de discuter de tous les détails avant de demander au jeune latino de venir dans mon bureau.

Cinq minutes plus tard, Daniel entre dans mon bureau sans frapper à la porte. Je m’étais préparée pour ce que j’allais lui dire. Je voulais être la plus sévère possible. Je voulais qu’il comprenne que j’étais sérieuse. Alors je lui dis fermement :

- Demain tu seras parti. Ton stage est terminé. Trouve la raison que tu veux, je m’en fiche. Je veux que tu sois parti demain.

Je le regarde avec une expression de fermeté sur mon visage. Il ne dit rien. Au lieu de ça, il se contente de détailler ma tenue.  Je suis habillée de façon professionnelle, mais élégante, d’un tailleur jupe noir avec un chemisier blanc et des hauts talons noirs.

Son regard vicieux me fait me tortiller dans mon fauteuil et me fait perdre ma contenance. A mon grand désarroi, un large sourire narquois apparaît sur son visage. Pourtant je ne plaisante pas.

- Oh Mademoiselle ADDAMS, tu es garce aujourd’hui. Toutes griffes dehors hein ? Dit-il moqueur.

Sa réaction me déroute et me laisse un nœud à l’estomac. Ce n’est pas la réaction que j’attendais.

- Je pourrais te traduire en justice pour harcèlement tu le sais n’est-ce pas ? Dis-je menaçante.

Bien que j’essaie de montrer ma détermination, je n’y arrive qu’à moitié. Le jeune latino continue de me narguer :

- Allez, Miss Allumeuse. Même maintenant tu ne peux pas enlever ton regard de mon entrejambe. Tu sais que tu veux ma bite. Pourquoi tu te tortures comme ça ? Je parie que tu mouilles en ce moment.

Je suis de plus en plus déconcertée. Il a remarqué que je suis confuse intérieurement. Il sait l’effet qu’il a sur moi. Il sait à quel point j’ai apprécié notre aventure dans mon jardin.

C’est alors qu’il contourne mon bureau. Debout derrière moi, il pose ses mains sur mes épaules. Je veux les secouer. Je veux qu’il sorte du bureau et de ma vie. Mais, son comportement de macho me tient immobile. La dure femme d’affaires est partie.

- Tu te souviens d’avoir supplié ce plombier de t’enculer Miss Allumeuse ? Demande Daniel en laissant ses mains errer sur mes seins.

Je suis assise sur des charbons ardents. Le contact de ses mains avec ma poitrine a détruit mon esprit, le rendant brumeux. Avec un dernier brin de volonté, je me libère et je m’écarte de quelques centimètres. Il faut que je fasse quelque chose maintenant sinon je ne vais pas pouvoir résister. Alors je grogne plus que je parle :

- Dehors ! Pars maintenant et il n’y aura pas de conséquences.

- Waou, Pourquoi tu te bats autant contre tes envies ? Demande Daniel apparemment surpris.

Soudainement, son comportement change et il devient très sérieux.

- Ok Miss Allumeuse ! Recommençons ! je pensais que ça ne serait pas nécessaire avec une vieille aussi sexy, mais je suppose que tu as besoin de motivations. Je peux partir maintenant ou te montrer quelque chose.

Je suis complètement désorientée et perdue. Je ne sais pas que faire d’autre pour le convaincre de me laisser tranquille. Et pire encore, je ne sais pas comment je vais réagir s’il met encore ses mains sur mes seins. Avant que je ne puisse répondre quelque chose, il sort son téléphone et le tient devant mon visage.

Ma bouche est grande ouverte et mon estomac complètement noué. Je suis sur une photo. Je me vois penchée sur la table de jardin en train d’être enculée. Mon visage est clairement reconnaissable. Je ne peux pas nier. Daniel a du prendre des photos pendant que le plombier me baisait.

J’ai l’impression d’avoir été frappée par la foudre. C’est exactement ce que j’avais essayé d’éviter. Ce petit salaud peut propager des rumeurs sur moi et les prouver avec des photos.

Je suis complètement paralysée en pensant aux conséquences. Il peut utiliser les photos pour me faire chanter ! Il peut les vendre à ORTEGA ! Il peut ruiner ma carrière ! Je ne peux pas laisser cela arriver. Je dois récupérer toutes ces preuves avant de pouvoir faire sortir ce salaud de ma vie. Il me dit alors :

- Je pensais que ça ne serait pas nécessaire d’utiliser ce genre de choses. Je sais que tu as apprécié notre séance de baise, comme moi je l’ai apprécié. Où est le mal de continuer ça pendant quelques semaines ?

Il fait une pause puis il continue :

- Je vois que cette photo te chagrine Miss Allumeuse. Tu ne veux plus la voir n’est-ce pas ?

Je suis complètement brisée. Je ne suis plus la puissante responsable femme d’affaires. J’ai l’impression que l’on m’a arraché les rênes des mains. Assise dans mon fauteuil, immobile, Daniel me montre d’autres images de l’après-midi dans mon jardin : mon corps penché sur la table de jardin avec les doigts du plombier enfouis dans ma chatte, mes seins qui pendent pendant que le plombier m’encule allégrement, Mon trou du cul béant en gros plan après que l’ouvrier ait sorti sa bite.

A chaque image, je suis de plus en plus désespérée. A ma grande honte, chaque photo fait palpiter ma chatte. Même si je déteste cette situation, je regrette d’être assise dans mon bureau, car je ressens le besoin désespéré de passer ma main sous ma jupe pour toucher mon sexe.

J’ai un énorme problème et je n’ai pas de solution facile pour le régler. Honnêtement je ne sais pas que faire. Je n’ai aucune idée de ce que prépare Daniel. Je ne suis pas naïve, il va utiliser ces photos. Mais comment ? Est-ce qu’il va me faire chanter ? A-t-il conscience du danger que ces photos peuvent m’apporter ? Il y a une seule chose dont je suis certaine. Il faut que j’élabore un plan pour lui retirer ses images des mains. Et je dois être intelligente car il ne faut pas qu’il se doute de quelque chose. Mais prenons les choses dans l’ordre ! Pour le moment, je dois m’assurer que Daniel ne fera rien de stupide. Je dois accepter ce qu’il dit jusqu’à ce que j’aie élaboré un plan. Je réussis finalement à bafouiller :

- Qu’est-ce que tu veux ?

- Ah voilà ! Allons droit au but ! Tu as finalement arrêté de te battre. Je peux voir à quel point ces photos t’excitent. Tu n’arrives pas à t’arrêter de te tortiller dans ton fauteuil. Répond le latino.

Puis il continue :

- Il est temps que tu arrêtes de prétendre que tu es une salope coincée. Il est temps que tu redeviennes Miss Allumeuse. Il est évident de voir à quel point cette idée t’excite. Alors trouvons un accord.

Il fait finalement son offre.

- Honnêtement je m’en fous de ta carrière ou de ton travail. Tout ce qui m’importe, c’est de pouvoir utiliser ton joli cul. Donc nous allons continuer nos séances de baise après les heures normales de bureau. Tu pourras continuer à garder ta réputation de femme d’affaires. Tu vas t’assurer que tes collègues ne voient jamais ces photos. Et tu pourras assouvir ton côté vicieux. Pour ma part je vais pouvoir baiser le cul d’une vieille. Tout le monde y gagne.

Son offre me tord le ventre. La pensée que mes collègues voient ces images est horrible. La pensée d’avoir la réputation d’une salope me panique. Au travail, je suis la cheffe stricte et irréprochable, qui s’habille toujours de manière conservatrice pour conserver son autorité sur ses employés. Je ne peux perdre le respect de mes collègues.

Cependant, je dois admettre que l’offre envoie également des picotements dans ma chatte. Daniel a raison. Je me suis conduite comme une allumeuse et j’en ai profité. Je ne peux pas nier que l’idée d’explorer plus avant mon côté exhibitionniste m’excite. Daniel remarque mes pensées conflictuelles. Il dit :

- Tu vois, je te l’ai dit ! Ça t’excite d’être une allumeuse. Tu vas adorer les « soirées après travail » que j’ai planifiées.

« Soirées après travail » ? Quel bâtard présomptueux ! Évidemment il a déjà tout prévu.

Il me semble que ce jeune sportif gâté a besoin d’une tape sur les doigts. Il ne peut pas tout avoir ? Pourtant c’est lui qui a tous les atouts dans les mains. Il a ces photos pour me faire chanter et il sait exactement comment me faire mouiller. J’oscille entre la colère, la résignation et l’envie.

- Tout dépend de toi maintenant Miss Allumeuse. C’est toi qui vas décider de la suite.

Il me dicte mes options :

- Tu veux que je parte ? Alors tu devras vivre avec les conséquences. Tu veux t’amuser encore plus ? Alors tu me retrouves après le travail. Si c’est le deuxième choix je veux que tu me le dises haut et fort avec la phrase « la pute est prête à servir ». Tu as compris ?

Après ces instructions, le jeune latino se retourne et sort de mon bureau. Il me laisse assise là, complètement abasourdie et sonnée. Que diable venait-il d’arriver ? Comment ma vie pouvait-elle être bouleversée à ce point ?

Le reste de la journée, je ne vois pas Daniel et je ne l’entends pas non plus. Mais je n’ai pas la tête à travailler. Je pense nerveusement à mes options encore et encore. Mais il ne faut pas que je me fasse d’idée, je n’ai pas vraiment le choix. Daniel n’a pas clairement dit qu’il allait montrer les photos mais je ne le crois pas. S’il n’obtient pas ce qu’il veut, il le fera. Le plus important est de sauver ma carrière. Je dois donc faire ce qu’il faut.

Toutefois, malgré la colère à propos des images prises à mon insu, il y a une partie de moi qui est ravie dans la perspective de revivre les ébats dans mon jardin. Le plaisir avait été si intense que mon corps voulait plus. Bon sang ! Je commence à être manipulée par mes propres besoins.

Je ne me permets pas de céder à mes désirs ; il y a trop d’enjeux. Je dois divertir Daniel jusqu’à ce que je trouve un moyen de sortir de cette situation. Il ne me paraît pas particulièrement intelligent. Je suis plus intelligente que lui. Il ne devrait pas être trop difficile de déjouer ce voyou macho et arrogant. Je ne devrais pas mettre trop de temps pour mettre fin à toutes ces conneries une bonne fois pour toutes.

Au moment de quitter le bureau, ma décision est prise. Encore quelques secondes où je reste la femme d’affaires inapprochable. Ensuite je vais me placer sous le contrôle d’un de mes stagiaires. Je vais être la puissante responsable au travail et la salope allumeuse après le travail. Cette pensée me provoque une boule au fond de la gorge.

En descendant les escaliers, mes jambes sont tremblantes. Je sais ce que Daniel s’attend à ce que je fasse. Mais je ne sais pas comment l’informer de ma décision. Et s’il se trouve dans le bureau des stagiaires avec tous les autres autour ? Je ne peux pas me résoudre à prononcer ces mots dégradants en public. Bon sang, je ne suis même pas sûre de vraiment pourvoir le faire tout simplement.

Pourtant ma décision est prise. En tant que responsable, je suis habituée à prendre des décisions et à les suivre jusqu’au bout. J’ai décidé de me sacrifier pour sauver ma carrière et je suis bien décidée à aller jusqu’au bout. C’est comme n’importe quel autre projet. Il y avait toujours des problèmes mais jusque-là j’avais toujours réussi à les résoudre. Dans ce cas particulier je prévois de faire la même chose.

Heureusement Daniel n’est pas dans le bureau des stagiaires. Et il n’est pas dans d’autres bureaux non plus. Où diable est-il ? Il attend ma décision non ? Il ne va pas me laisser m’inquiéter ? Ais-je pris trop de temps avant de venir le voir ? Pense-t-il que j’allais lui dire d’aller se faire voir ? Est-il déjà en train de montrer les photos ?

La panique commence à monter en moi alors que je continue à le chercher. Après avoir vérifié tous les bureaux du rez-de-chaussée, je remonte les escaliers pour m’assurer qu’il ne m’attend pas dans mon bureau. Finalement j’abandonne mes recherches. Est-ce que tout est fini avant que ça commence ?

Je quitte le bâtiment avec une sensation de malaise. En sortant, je tombe sur mon homologue ORTEGA qui se tient à côté de la porte d’entrée. Il discute et fume une cigarette avec Daniel.

Je ne sais pas si je dois être contente ou inquiète. J’ai trouvé Daniel. C’est la bonne chose. Il est visiblement en train de devenir ami avec mon rival. C’est la mauvaise chose.

- Quelle prise magistrale ! Une des meilleures performances que j’ai vue ces derniers temps. Vous avez pris le match sur vos épaules et vous avez retourné le cours du jeu.

ORTEGA est en train de louer les talents de joueurs du jeune latino.

- C’est trop d’éloges. Mais merci ! Je fais juste mon boulot pour l’équipe. Répond Daniel.

Bon sang, ORTEGA ressemble à un fanboy. Je n’aime pas la façon dont il traite ce voyou macho comme une grande star de sport. Le garçon est déjà bien assez gâté. Ça va juste lui donner la permission de prendre plus de libertés au bureau. Et ce n’est pas bien pour moi.

Les deux sont tellement absorbés par leur discussion sur le football qu’ils me remarquent à peine. Je ne peux rien faire d’autre que de les rejoindre. Ils m’ignorent simplement et continuent à parler de football. C’est intolérable et ma colère monte contre leur arrogance. Pendant plusieurs minutes, je me tiens à côté d’eux sans savoir quoi dire. Je ne suis pas experte en sport, donc je n’ai pas grand-chose à apporter à la conversation. Mon silence me fait sentir encore plus stupide.

Finalement, ORTEGA termine sa cigarette et dit au revoir. Tandis qu’il se dirige vers sa voiture, Daniel ne bouge pas. Donc je reste debout à côté de lui. J’attends que ORTEGA soit monté dans sa voiture. Je n’ose pas dire les paroles demandées tant que mon rival est à portée de voix. Pendant tout ce temps, Le latino continue de fumer tout en me regardant avec un sourire suffisant collé sur son visage.

Il me laisse mijoter dans mon humiliation. J’aurais préféré qu’il me force simplement à le baiser. Cela aurait été beaucoup plus rapide. Au lieu de cela, je dois m’humilier de plein gré et être gentille avec ce voyou. C’est trop dur !

Finalement ORTEGA est parti. Le moment est venu. Alors je prends une profonde respiration et je me prépare. Mais je n’arrive pas à parler. C’est trop dégradant. Plusieurs fois j’essaie de me lancer, mais les mots ne veulent pas sortir de ma bouche.

Quand Daniel a fini sa cigarette, il attend dix secondes en me regardant me débattre. Puis il commence à s’éloigner. Bon sang, je ne peux pas le laisser partir ! Des milliers de pensées me traversent la tête. Sans plus réfléchir, je prononce la phrase redoutée à voix basse :

- La pute est prête à servir.

Instantanément mon visage devient rouge de honte. Et quelque chose s’est brisé au fond de moi. Je suis consternée par la facilité avec laquelle ce macho m’a fait obéir. Toutefois, Daniel réagit à peine. Il continue simplement de me regarder.

- Tu m’as parlé ? Finit-il par me demander d’un ton hautain et brutal.

- J’ai à peine entendu. Si tu veux me parler tu t’adresses à moi correctement, ok petite salope ?

Il est arrogant et me regarde comme si je n’étais rien pour lui. Il continue :

- Mes copains m’appellent Dan, les filles m’appellent Daniel. Mais les putes comme toi m’appellent Monsieur Daniel.

Je m’étouffe presque en entendant ces mots. Il veut que je lui dise « monsieur ». Pire encore, il veut que je l’appelle Monsieur Daniel. C’est si ridicule que ça en est presque comique. C’est tellement pathétique de s’adresser à quelqu’un de cette façon.

J’ai du mal à avaler la boule qui s’est formée dans ma gorge. Je réfléchis à mon intention de garder ma fierté et ma confiance en moi. Je le sens s’éloigner. Je sais qu’il s’attend à ce que je répète la phrase. Mais cette fois il veut que ce soit haut et clair.

Je ne peux pas perdre plus de temps. Plus nous restons devant la porte d’entrée de la société, plus grand est le risque qu’un collègue sorte et m’entende me dégrader. Cette pensée éclaircit mon esprit. Si l’un de mes collègues m’entend, les photos ne seront plus nécessaires. Ma réputation sera foutue.

- La pute est prête à servir Monsieur Daniel. Crié-je aussi fort que je l’ai osé.

A la seconde où j’ai prononcé ces mots dégradants, j’ai regardé autour de moi pour vérifier si quelqu’un m’a entendu. Heureusement le parking est vide. Pourtant la honte brûle mes joues comme du feu.

- Qu’est-ce que tu veux putain ? Demande Daniel.

Je prends une inspiration. Il me questionne devant les bureaux. Il veut que je le supplie de baiser ici en public.

- S’il vous plaît Monsieur Daniel, pendant tout le temps de votre stage, laissez cette pute vous servir après le travail. Dis-je finalement.

Cependant, le jeune latino semble insatisfait de ma demande. Pendant quelques instants, il continue de se tenir devant moi, les bras croisés, me laissant dans l’ignorance de ce qu’il désire.

- C’est pas bon. Qu’est-ce que tu offres exactement ?

Il ne me laisse pas en paix.

- Je veux que vous me baisiez Monsieur. Je veux sucer votre bite et vous faire jouir tous les jours après le travail. S’il vous plaît, Monsieur Daniel. Dis-je mourante d’embarras.

- C’est mieux sale pute.

Il accepte ma soumission. Puis il continue :

- Continue de te comporter comme ça et nous prendrons vraiment du plaisir après le travail, Miss Allumeuse. Pour commencer, en dehors du bureau tu m’appelleras Monsieur Daniel et toi tu seras petite pute ou salope. Souviens-toi de ça.

Il continue de m’humilier et me dit :

- Maintenant, donne-moi les clés de ta voiture !

Défaite, la tête basse, je lui tends les clés de ma voiture de sport. Puis je le conduis jusqu’à la place où je suis garée. A mi-parcours je me fige soudainement. Je sens une main sur mes fesses. Le latino est en train de les malaxer.

« S’il vous plaît, arrêtez » aurais-je voulu crier. Et si un collègue voyait ce geste indécent en sortant du bâtiment ou en regardant par la fenêtre ? Cette idée me donne la chair de poule. Pourtant, je n’ose pas lui claquer sa main. Mais je ne peux quand même pas rester debout au milieu du parking avec la main de Daniel qui me pelote le cul.

Donc je me force à bouger. Mais la main continue à me caresser les fesses. Gémissante de désespoir, je suis sur le point de supplier ce macho de s’arrêter. Je marche aussi vite que mes talons me le permettent, comme si j’essaie de fuir le contact du garçon.

Bien sûr, sa main reste en place jusqu’à ce que nous atteignions ma voiture de sport. Il ne l’enlève qu’au moment où il se dirige vers le siège conducteur. Je pousse un profond soupir de soulagement lorsque je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule et que je vois le parking désert, sans aucune présence de mes collègues. La journée a été assez mauvaise, j’ai quand même un peu de chance.

- Allez chérie, on va faire la fête. Me dit Daniel après être sorti du parking.

Je me remets encore péniblement de l’épreuve du parking et de la peur qui m’a saisie. Mais apparemment le jeune garçon a l’air décidé de continuer de me perturber. Que cela me plaise ou non, je suis embarquée dans de nouvelles épreuves.

Honnêtement, je n’ai pas vraiment réfléchi à la forme que prendraient ces rendez-vous après le travail. Je croyais que nous retournerions chez moi pour finir la journée. Mais, il me semble évident que j’ai sous-estimé la créativité de Daniel. Je lui ai donné tout pouvoir pour les heures après le travail et il est sur le point d’en profiter pleinement.

- Pourquoi n’ajouterions-nous pas un peu de piment à la fête ? S’exclame le jeune latino.

Puis il continue :

- Jouons à un jeu ! Si tu me fais jouir avant que l’on n’arrive chez toi, j’efface une photo. Es-tu d’accord ?

Je le regarde aussi choquée que perplexe. Veut-il que je le suce pendant qu’il conduit ? Nous sommes dans une rue bien animée en fin d’après-midi. Je ne peux pas le faire sans attirer l’attention.

- Qu’est-ce que tu attends pour me répondre petite salope ! Grogne Daniel avec impatience alors que je ne réagis pas.

- Mets tes lèvres sur ma bite avant qu’il ne soit trop tard ! Ordonne-t-il.

Et il ajoute triomphalement :

- Je pensais que les photos étaient très importantes pour toi !

Zut, il a raison ! Son offre est trop bonne pour être rejetée. Une image en moins signifie un souci en moins pour moi. Peut-être vais-je arriver à me débarrasser de ces preuves compromettantes plus rapidement que prévu. Peut-être que ce cauchemar va se terminer plus tôt.

Malgré cette perspective, je le regarde comme une biche prise dans les phares d’une voiture. Je ne me sens plus du tout comme une femme d’affaires importante. J’ai l’habitude d’avoir le contrôle et de donner des ordres. Mais pour le moment, je n’ai plus aucune autorité. Je ne suis rien de plus qu’un jouet aux ordres de Daniel.

Je rassemble toute ma bonne volonté et je repousse ma répulsion. Finalement, je pose ma main gauche sur les genoux du jeune latino. Puis je la remonte et je commence à masser sa queue à travers son pantalon. Tout en faisant cela, je regarde dans la rue. Il y a des voitures partout, la circulation est dense. Daniel conduit au milieu d’une chaussée à trois voies et il roule lentement. Chaque camion ou voiture un peu surélevée a une vue parfaite dans ma petite voiture. Ils peuvent voir clairement ce que je fais.

Mon cœur bat la chamade. Nous roulons depuis un bon moment et nous devions nous rapprocher de son domicile. Je dois le faire. Je dois réprimer ma réticence à le faire. Je ne peux me permettre de me soucier des passants ou des autres chauffeurs. Il y a quelques instants, j’ai supplié ce petit macho de me laisser lui sucer la bite après le travail. Mais je n’ai pas précisé exactement où et quand. Je ne peux pas le décevoir maintenant. Je dois le faire tout de suite.

Ouvrant sa braguette avec mes doigts délicats, je sors sa queue bien dure. Je prends sa bite dans ma main tandis qu’il continue de conduire comme si de rien n’était. Encore une fois, je regarde aux alentours. Il y a un camion juste à côté de nous du côté de Daniel. Si le conducteur décide de nous regarder, il va tout voir.

Mon cœur bat si fort dans mes oreilles qu’il couvre tous les autres sons. Et pourtant je sais que caresser sa queue ne va pas être suffisant pour Daniel. Lentement, je me penche jusqu’à ce que ma tête plane au-dessus de ses genoux. Sa queue est dressée comme un mât. J’ouvre mes lèvres douces. Mais avant de pouvoir poser ma bouche sur son gland, il retire sa queue.

- Tssssss…

Il me gronde comme un enfant :

- Tu veux ma bite ? Tu dois me supplier pour ça !

Il joue avec moi. Il veut que je sente bien la domination qu’il m’impose. J’ai une boule dans la gorge que je dois avaler. C’est déjà assez humiliant de devoir faire une pipe à ce voyou macho dans ma propre voiture en plein jour. Devoir le supplier est pire surtout qu’il faut que je sois respectueuse avec lui. Est-ce que ça va empirer ?

- S’il vous plaît Monsieur Daniel, S’il vous plaît, laissez votre salope sucer votre bite. Dis-je finalement complètement honteuse.

Je me sens réellement soumise et rabaissée de lui obéir comme ça. Et l’appeler Monsieur alors qu’il est plus jeune que moi est avilissant. Ça me donne la chair de poule. Me nommer moi-même comme salope n’est pas mieux. Si quelqu’un m’entendait parler comme ça je deviendrais un objet de risée.

Quoi qu’il en soit, c’est exactement ce que le jeune latino voulait entendre. Quand j’essaie de baisser ma tête et mettre mes lèvres sur sa bite, il me laisse faire. Je tourne la langue autour de son gland tout en caressant sa hampe. Puis lentement, je commence à pousser ma bouche vers le bas tout en levant le poignet vers le haut. Je suce son membre charnu pour l’humidifier.

Je m’applique à lui faire une pipe sensuelle avec ma langue vigoureuse. Mais il ne faut pas que je sois trop agressive car Daniel doit conduire la voiture. Si bien que son gland a tout mon attention.

OOONNNNKKK OOOONNNNKKK.

Je suis surprise par le klaxon d’une voiture. Frénétiquement, je regarde par la fenêtre. Le camion du côté de Daniel klaxonne en s’éloignant. Je peux voir le visage souriant d’un homme barbu sur le siège passager du camion. Instantanément je rougis d’un rouge profond comme jamais. Je suis tellement gênée. Mais pendant ce temps, un autre camion avec deux types d’âge moyen se glisse à côté de ma petite voiture.

- Allez salope. Fais leur plaisir ! Montre tes nichons ! S’écrie Daniel

- Nonnnn Monsieur ! Réponds-je instantanément en protestant.

Puis rapidement je lui dis :

- S’il vous plaît, Monsieur Daniel ! c’est trop osé, nous sommes en public !

Le jeune voyou me répond simplement :

- Allez petite pute ! Ne sois pas timide aujourd’hui. Nous savons très bien que tu es un peu exhibitionniste. Rappelle-toi comment a apprécié le plombier l’autre jour. Je sais que ces camionneurs veulent voir ta poitrine. Et tu aimes que l’on te regarde.

Il me rappelle mon comportement de salope dans mon jardin.

- Allez, dépêche-toi. Tu veux bien récupérer une photo non ?

Ce sont ces derniers mots qui me font bouger. Je laisse ma veste de costume noir glisser sur mes épaules et mes mains se posent sur mon chemisier blanc. Je défais tous les boutons et j’ouvre les pans du chemisier pour exposer mon soutien-gorge noir. J’attrape les deux bonnets et je les baisse pour libérer mes deux gros seins bien ronds.

TUUUUTTT TUUUUUTT.

Encore une fois, je me mets à trembler. C’est Daniel qui klaxonne cette fois-ci. La conséquence est qu’il attire l’attention de tous les véhicules autour de nous. Toute de suite mon regard se pose sur les deux camionneurs qui examinent ma voiture de sport. Ils me voient avec ma poitrine à l’air.

OOONNNNKKK OOOONNNNKKK.

Le chauffeur du camion klaxonne en remerciement. Du coup, je me sens vicieuse. J’ai l’impression d’être une pute bon marché. Des inconnus lorgnent mes seins nus. Ils doivent se dire que je suis une grosse pute qui aime exhiber ses charmes en public. Daniel m’ordonne alors :

- Bien salope. Maintenant joue avec tes nichons. Montre comme ils sont gros.

La poitrine à l’air, il n’y a plus de retour possible. Donc finalement je cède et j’obéis autant aux ordres de Daniel qu’à mes propres besoins. Prenant mes seins pleins et amples sur le côté, je les serre ensemble pour les faire gonfler. Le but est de les rendre plus ronds et plus volumineux. Lentement je commence à pétrir la chair de mes nichons avant de donner des coups de langue sur mes tétons durcis.

Mon Dieu, ça me fait du bien ! M’exposer ainsi en public me donne un tel frisson érotique que ça en est embarrassant. Mon esprit devient brumeux et ma chatte commence à me démanger.

- Maintenant suce ma queue, fais-moi jouir Miss Allumeuse. Dit Daniel pour reporter mon attention sur sa bite.

Je sens le regard des camionneurs alors que je me penche sur les genoux du jeune latino et que je reprends sa queue dans ma bouche. Cette fois, j’avale son membre aussi loin que je le peux. Je fais glisser mes lèvres sur les deux tiers de son engin. Puis je commence à bouger ma tête de haut en bas. Je veux qu’il jouisse le plus vite possible.

Je garde ma bouche autour de son gland en faisant tournoyer ma langue. Pendant ce temps, je caresse rapidement son manche épais avec ma main droite et j’utilise ma main gauche pour serrer ses couilles. C’est trop pour Daniel. Sa bite commence à palpiter et une grosse charge de sperme tombe directement dans ma bouche ouverte. Le foutre chaud et visqueux éclabousse mon palais et remplit complètement ma bouche. Il a tellement éjaculé qu’un peu de sperme coule sur les coins de mes lèvres.

Quand je me relève, j’ouvre la bouche pour montrer tout le foutre que j’ai dans la gueule. Je remarque que le camion roule toujours à côté de nous. Les deux camionneurs peuvent voir clairement voir le liquide dans ma bouche et celui qui coule sur mon menton.

J’ai un sursaut d’humiliation mais c’est moins dur qu’auparavant. Je frémis, mon corps réagit avec plaisir d’être le centre de l’attention. J’avale le sperme du jeune garçon et tout en penchant la tête en arrière, j’ouvre la bouche pour montrer que j’ai tout avalé.

OOONNNNKKK OOOONNNNKKK.

Une fois de plus, le chauffeur du camion klaxonne pour applaudir mes efforts avant de filer à toute vitesse. Dans mon esprit embrumé, je ressens une secousse d’orgueil. Ça me semble irréel. Je viens de faire une fellation à un macho dans ma voiture alors que d’autres personnes regardaient.

- Non, ne fais pas ça ! M’arrête Daniel alors que je commence à refermer mon chemisier blanc.

- Agis comme une salope ! Montre-moi ta grosse poitrine !

Ce salaud me permet seulement de repousser les bonnets de mon soutien-gorge sur mes seins et de fermer juste un bouton de mon chemisier sous ma poitrine. De cette façon, mes gros seins sont poussés vers le haut et sont vulgairement exposés. Mes longs cheveux châtains et raides coulent le long de mes épaules et se posent sur ces monticules charnus et bombés, ce qui les fait paraître encore plus énormes.

A suivre…

samedi 23 septembre 2023

Les tribulations de Béatrice Ch. 05

 Texte de Xmaster.

****

Béatrice rentre nue chez elle.


Une autre demi-heure se passe, cette fois la pauvre ne tient plus, elle se risque à faire un pas en direction de la sortie pour aller uriner dehors, quand elle est retenue par le bras et entend :

- Tu pisses ici vieille conne, devant nous...

- Non !

- Si ! Avec ce qu'on a déjà vu de toi, c'est pas une petite pissette de pute qui va nous rendre aveugle ! 

Les trois autres hommes rient de bon cœur, autant d'entendre les propos vicieux de leur pote, que de voir la tête qu'affiche la pauvre femme qui se remet à pleurer.

- Allez, écarte tes cuisses et pisse tout debout... 

Béatrice reprend sa place, les yeux au sol, mais n'écarte pas les cuisses et tente encore de se retenir.

- Si tu n'obéit pas, je vais défaire ma ceinture et t'en donner quelques bons coups sur le cul pour t'apprendre ta place chienne ! 

Sur ce, il s'empare du caméscope qu'il avait posé près du fauteuil, le rallume, et commence à filmer l'entre-jambe de la femme. 

Toute honte bue, pressée par sa vessie, la blonde finie par obtempérer. Elle écarte ses cuisses et laisse l'urine chaude jaillir vers le sol en éclaboussant ses chevilles. Une bonne minute passe, le jet ne tarie pas, et c'est une grande flaque qui inonde le carrelage. Les quatre hommes regardent avec un air narquois la pauvre femme uriner. Béatrice se sent soulagée, un mince filet coule maintenant le long de ses jambes, mais elle n'en a cure, dans l'état de nerf où elle se trouve, ce n'est plus un peu d'urine sur ses cuisses qui va déranger grand-chose. 

Ahmed coupe l'enregistrement et se lève sans mot dire. Il sort de la pièce et revient très vite, cette fois il porte un seau qui contient une serpillière. Il s'arrête devant la pauvre femme et lui tend l'objet en lui ordonnant :

- Ramasses ta pisse salope... 

Puis il retourne s'asseoir confortablement dans son fauteuil et remet en route le caméscope. Béatrice passe plusieurs minutes à éponger son urine et à tordre la serpillière dans le seau. Dans cette position accroupie, le plug se rappelle à son bon souvenir, et elle tente désespérément de trouver une position qui lui fasse moins mal, mais c'est peine perdue. Elle se sent humiliée comme jamais auparavant, mais toutefois, cette tache ménagère, même si elle n'est pas agréable, lui permet de s'échapper de ses peurs durant toute l'opération. Lorsque la femme a fini de ramasser son urine, Ahmed ordonne encore en faisant un gros plan sur le visage de la pauvre :

- Ouvre la bouche que je vois que tu as toujours tes capotes... 

Sans aucun commentaire, la femme s'exécute en ouvrant la bouche en grand. Elle attend quelques secondes que l'homme lui autorise de refermer la bouche, puis reprend sa position debout, droite, à attendre.

- Tourne-toi et penche-toi en avant que je vois une fois encore si le plug est bien en place. 

Une fois encore, sans broncher, la belle se tourne et se penche en avant. Le mouvement est assez douloureux, mais moins tout de même que lorsqu'elle était accroupie.

- Je suis sûr que ton mari va apprécier de te retirer ton plug tout à l'heure, remarque, ça lui donnera peut-être quelques idées neuves pour te dresser... Bon, allez les gars, on ramène cette vieille pute chez elle, j'ai envie de me coucher et de dormir un peu. 

Béatrice est tout à coup effrayée, elle sent que l'homme va mettre ses menaces à exécution et qu'il va la ramener nue chez elle. Elle tente de se diriger vers la table pour prendre sa robe qui traîne par terre, mais la main puissante de Ahmed la bloque à nouveau.

- A poil ! je t'ai dis que je te ramène à poil, t'as pas encore compris ce que veux dire : A poil ?

- Pitié... 

Une grande gifle vient en guise de réponse, puis l'homme poursuit encore :

- Tu voulais te faire des arabes, bon, on t'a fait jouir, bon alors ! maintenant ce sont nos conditions, un point c'est tout !

- Mais je ne peux pas... 

Une nouvelle gifle vient la faire taire.

- A poil comme la vieille pute que tu es ! 

Et il entraîne la pauvre femme vers l'extérieur. Les trois complices suivent le couple en faisant de fines allusions sur le plug mais en arabe, si bien que la femme ne comprend pas ce qui se dit, néanmoins, elle se doute bien qu'elle est l'objet des quolibets qui fusent, fussent-ils dans une langue étrangère. Chacun reprend sa place dans la voiture, et bientôt la voiture démarre. Dès qu'elle commence à rouler, Ahmed défait sa braguette et ordonne encore à la pauvre blonde :

- Profite du voyage pour me sucer la bite. 

Et pour que les choses aillent dans son sens, il prend la nuque et baisse la tête de la femme sur sa queue. Le conducteur ne pose pas de question car il a noté tout à l'heure mentalement l'adresse de la femme, et, connaissant bien la ville, il sait exactement où il doit se rendre pour la déposer.

- C'est trop marrant une pute qui te suce avec des capotes en guise de chewing-gum... 

Les trois autres hommes rigolent à nouveau, et reprennent leur discussion en arabe. Béatrice essaye de sucer cette queue dont elle avait pourtant une énorme envie en début de soirée, mais avec tous ces événements, c'est bien à contrecœur qu'elle prend le membre en bouche. Mais ne voulant pas provoquer l'homme qu'elle sait maintenant être dangereux, elle s'applique en se disant que son calvaire touche à sa fin. Commençant à se dégriser, sa propre haleine commence aussi à la gêner, seul le plug devient de moins en moins douloureux au fur et à mesure que le temps passe. 

La voiture s'arrête enfin. Sans aucun ménagement Ahmed attrape les cheveux de la blonde et la retire en arrière. Il la lâche pour rentrer son dard dans son pantalon et refermer sa braguette, puis la reprend par las cheveux et la tire derrière lui en sortant de la voiture. Béatrice voudrait crier, appeler au secours, mais nue, cela lui parait être la dernière des choses à faire. Elle suit donc le mouvement et se retrouve dans la rue, debout sur la chaussée, nue comme au premier jour, avec l'homme qui se tient devant elle. Ahmed fixe la blonde dans les yeux, puis, sans crier gare, il lui crache au visage en lui disant :

- Rentre chez toi vieille pute, vas retrouver ton mari à qui tu as fait du mal pour ton unique plaisir de salope en chaleur. 

L'homme se retourne et entre dans la voiture qui redémarre avant qu'il n'est eu le temps de claquer sa portière. Béatrice se retrouve sur la chaussée, le regard perdu, les larmes lui montent aux yeux. Elle entrevoit tout juste ce qu'elle vient de faire car les vapeurs de l'alcool commencent à se dissiper. Elle reste plantée, nue, un plug dans le cul, les capotes toujours en bouche dans la fraîcheur du début de matinée, son cerveau se refusant de croire ce qui vient de se passer. 

Le voisin d'en face aperçoit sa voisine et reste figé pendant quelques instant de voir cette femme, souvent sympathique, mais qui reste comme inaccessible, là, devant lui, nue à pleurer. Le premier moment de stupeur passé, il se précipite à l'intérieur, attrape le téléphone et compose le numéro de son voisin. Après de nombreuses sonneries, et tout en vérifiant par la fenêtre que la femme est toujours sur la route, il entend :

- Oui ?

- Salut Richard, c'est Maurice, ton voisin, sais-tu que ta femme est nue sur la route devant chez toi ?

- Heu !

- je t'assure, je la vois en ce moment même, elle est comme pétrifiée...

- Ha bon ! 

Et le mari se précipite à son tour à la fenêtre, il voit effectivement sa compagne nue sur la chaussée. il lâche le téléphone qui tombe au sol et se rue dehors en courant. Comme dans un rêve, Béatrice voit son compagnon de toujours courir vers elle, mais elle ne peut bouger tant la honte l'envahie subitement. Richard la prend dans ses bras et la ramène en essayant de faire vite dans le pavillon. malheureusement il sent bien que son épouse a du mal à marcher, aussi fait-il l'effort de ralentir pour qu'elle puisse avancer sans trop souffrir. Il voit parfaitement sa femme cracher trois morceaux de latex dans la pelouse, mais le moment n'est pas aux questions, il est urgent de faire rentrer son épouse avant que tout le voisinage ne la surprenne ainsi. 

Dès que la porte d'entrée est refermée derrière elle, la pauvre femme éclate en sanglot. une longue plainte lugubre s'échappe de sa bouche entrouverte. Puis elle se laisse tomber aux pieds de son époux et s'écrie :

- Pardon, mille fois pardon mon chéri, si tu savais comme je regrette... 

L'homme, malgré la soirée épouvantable qu'il vient de passer, se baisse et aide sa compagne à se redresser. C'est en la voyant horriblement grimacer qu'il comprend qu'elle est blessée quelque part, aussi il demande d'une voix compatissante :

- Mais tu as mal où ?

- Les salauds, ils m'ont mis un énorme gode et j'ai mal au cul, pardon mon chéri... 

Et elle éclate à nouveau en sanglots. Comprenant qu'il est arrivé quelque chose de grave à son épouse, Richard se penche sur le coté et constate effectivement que sa femme a un gros morceau de caoutchouc blanc qui lui marque ses fesses plates. Il passe derrière sa femme et lui demande gentiment de se pencher en avant. Cette fois, se sentant enfin en sécurité, Béatrice se penche en avant en faisant tout de même attention à laisser son dos le plus droit possible. maintenant que les effets pervers de l'alcool se sont évanouis, elle écarte ses jambes et tend son intimité à l'homme qu'elle a choisie jadis pour la vie.

- Les salauds ! Les salauds ! répète continuellement le pauvre homme pensant que son épouse a subi de terribles sévices sexuels contre sa volonté. Les salauds! On va porter plainte contre ces malades... 

Les souvenirs reviennent très vite à la mémoire de Béatrice. Et si elle se souvient bien des horreurs qu'elle vient de subir, elle se souvient aussi de l'excitation et des orgasmes que les quatre salopards lui ont tout de même apporté. Elle se souvient même de s'être laissé entraîner, et avoir pris du plaisir à être exhibée, triturée, malaxée par des mains inconnues. Et, malheureusement, elle a également le souvenir du caméscope qui a enregistré toutes les scènes, et là, elle sait que tout n'est pas à son avantage, de loin s'en faut. aussi décide-t-elle de temporiser la légitime colère de son mari en disant :

- Non ! Pour le moment j'ai besoin de repos, pas question que je me fasse encore toucher, ne serait-ce que par un médecin. 

Richard a bien essayé de tirer sur la base du plug, mais il s'est vite aperçu que l'objet était bien arrimé et que sa sortie risquait fort d'être des plus douloureuse. Mais il n'est pas question non plus de laisser ce symbole de torture en place, aussi demande-t-il à sa femme :

- Tu as mal quand je tire doucement comme ça ?

- Aie ! Oh que oui ! Tires d'un coup sec, je crois que c'est encore la meilleure solution...

- Alors attention, cramponne-toi... 

Et, à deux mains, Richard tire l'objet de toutes ses forces. Le peu de force qui reste à Béatrice lui sert à pousser pour faire sortir l'infernal objet de ses entrailles. Le plug finit par sortir en faisant un bruit de bonde de lavabo. Puis, tout de suite après, alors que l'homme est encore juste à côté de l'anus, un pet pestilentiel sort du trou encore béant. Ensuite, suinte un jus infâme. Richard fâché de l'incident, mais aussi et encore après son épouse dont les frasques de la veille l'ont mis à mal, regarde fixement le diamètre impressionnant du jouet et ne peut s'empêcher de dire :

- Tu devais être sacrément excitée pour qu'un tel monstre puisse entrer dans ton cul !

- Je t'en prie chéri, ne parlons pas de ça maintenant, j'ai réellement besoin de me reposer, pardonne-moi encore pour hier soir, si tu savais comme j'ai honte de moi.

- Mais comment t'es tu retrouvée devant la maison ?

- Ces infâmes salauds m'ont déposé en voiture et m'ont laissé nue.

- Attends ! ils t'ont violée ?

- Oui... Enfin non... Peut-être qu'ils m'ont droguée, je ne me souviens plus exactement.

- C'est pas très claire ton histoire...

- Je t'en prie chéri, laisse-moi aller me coucher pour le moment, je t'en supplie ! 

En colère mais sans être inhumain, Richard accompagne son épouse au bord de l'épuisement dans la chambre à coucher. Là, tout doucement, il l'aide à s'allonger, puis la recouvre du drap. Béatrice ferme les yeux et tente de s'endormir, mais c'est peine perdue, toute la soirée lui revient sans cesse en mémoire, et avec de plus en plus de détails.

A suivre...

jeudi 21 septembre 2023

Bizutage à la Fac - 2ème partie

  Bande dessinée de Chris.

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A suivre...